FREDSum / test /Bardella_Darmanin--Partie_8_Securite_2.json
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"Transcript": "P1 : J'ai une autre question, pour préciser ce que vous dites à propos des forces de l'ordre. Les peines plancher, les peines minimales, pour ceux qui s'en prennent aux forces de l'ordre si marine Le pen est élue, comment ça marche ? JB : Ça veut dire qu'il y à des peines plancher. Pour bien comprendre, il y a aujourd'hui des peines maximales, la peine plancher, c'est-à-dire de qualifier combien d'années de prison vaudra une agression d'un policier. Il y a des peines maximales, donc il faut qu'il y ait des peines minimales. Là aussi, le fait d'être contre, je trouve ça profondément incohérent. Parceque les peines plancher, c'est la sûreté d'avoir une peine. Encore une fois, ça ne contraint pas l'individualisation de la peine. Il y a un principe fondamental en droit, qui s'appelle l'individualisation de la peine. Euh, le magistrat, le juge, qui va décider de la peine peut parfaitement descendre en dessous de ce seuil, mais, sauf qu'en descendant en dessous de ce seuil, il va devoir justifier, motiver sa décision, et donc, c'est vrai que les peines plancher, qui ont mis un peu de temps au rodage à se mettre en place, au début du moins du mandat de nicolas sarkozy que vous aviez soutenu, qui était, pour le coup une bonne mesure, euh, euh, qui se sont mis en place correctement convenablement, à la fin du quinquennat, étaient des moyens qui permettaient aux juges de leur faciliter le travail. On compte à la fois augmenter leur nombre, le nombre des magistrats, leur faciliter le travail, créer, des places de prison, expulser les délinquants et criminels étrangers, parce que, là aussi, je veux dire, là aussi, c'est la fête. Monsieur Darmanin, vous êtes le ministre de l'intérieur, quatre-vingt-dix pour cent, quatre-vingt-dix pour cent des obligations de quitter le territoire français ne sont pas exécutées. Donc, avec vous, tout le monde rentre en france, mais personne ne sort. Et vous voyez, il y a quelques faits d'actualité, tous les jours, tous les jours, à Arles il y a quelques semaines, il y a trois clandestins, qui étaient sous objet de quitter le territoire français, trois clandestins, sous oqtf, qui sont interpellés pour soixante-dix vols en trois mois. Eh bien, ils sont remis en liberté. Et bien, avec nous, ils auraient été renvoyés chez eux, dans leur pays d'origine, parce que, quand on vient dans un pays, quand on est invité à dîner chez des amis le soir, eh bien, on ne met pas ses pieds sur la table, et on respecte les lois du foyer qui nous accueille. Et bien, avec la maison France, je pense que c'est pareil. Et, encore une fois, ce n'est pas de l'extrémisme, mais je pense que c'est simplement de la justice. Et surtout un peu de bon sens. P1 : Réponse courte s’il vous plaît, gérald darmanin. GD : Vous avez pas voté, la création des dix mille policiers, gendarmes, supplémentaires en cinq ans. Le front national ne l’a jamais voté. Vous n'avez pas voté la construction des places de prison proposées par le gouvernement, vous l'avez jamais voté. Vous êtes finalement pompier et pyromane, c'est. JB : Je ne suis pas adhérent de la République en marche. GD: Non, non. C'est aussi bête que chou que de voter la création des postes de policiers ou de gendarmes, quand un gouvernement, quel qu'il soit, le présente. Donc vous êtes vraiment pompier pyromane. En fait, vous vivez des problèmes, et, quand il y a des problèmes, vous êtes content de le dire sur un plateau. Vous ne votez jamais une disposition qui va dans le bon sens, parce que, je crois que vous faites de la politique du pire. Vous faites un lien, après, très, très particulier, à chaque fois, entre immigration et délinquance. C'est pas la même chose, monsieur Bardella, de parler des gens qui devraient partir du territoire national, parce qu'ils ne doivent pas y rester, je suis tout à fait d'accord avec vous, et les délinquants. JB : Pourquoi vous les expulsez pas ? GD : Alors, prenons l'exemple des cas que vous évoquez, un étranger qui commet un acte, euh, euh, de délinquance, grave ou pas grave, il est sous la main de la justice. Vous avez dit, vous-même, qu’il a été remis en liberté, par un juge, par le procureur de la république, en l'occurrence, un procureur de la république, dans l'affaire d'arles, mais il va être convoqué, puis, je l'espère, personnellement condamné par un tribunal. La proposition du front national, que tout le monde a entendu. JB : Pourquoi vous les expulsez pas GD : Ça, c'est la vision administrative. Il faudra qu'il parte, mais, avant ça, avant ça, il a commis un acte de délinquance. La proposition du front national, c’est, on expulse la personne, nous ont dit qu'il faut qu'il soit condamné. Si il doit faire de la prison, il la fait, et après on l'expulse. Rien que l'année dernière, nous avons expulsé mille trois cent cinquante étrangers sortant de prison. Mais, d'abord, ils ont leur condamnation en france, parce que ça veut dire qu'un français qui commettrait un acte de délinquance avec le front national, serait condamné à la prison, et un étranger qui commet un acte de délinquance serait juste expulsé et ne ferait jamais sa peine. P1 : Sur ce point-là, Jordan Bardella ? JB : C’est la double peine. Parce qu'aujourd'hui, les français ils ont la double peine. Les français aujourd’hui ils subissent des clandestins, qui ont pas à être sur le territoire, qui commettent des méfaits, qui commettent quand même des crimes et délits, et en plus, ils doivent rester à notre charge sur le territoire français. Donc un clandestin qui a une oqtf, qui doit quitter le territoire français, vous attendez qu’il commette soixante-dix vols en trois mois avant qu'il soit condamné, avant même de le remettre en liberté. Je vous donne un autre exemple parce que c'est très concret, et c’est symptomatique de votre politique que je trouve un peu molle si vous me le permettez. Il y a un islamiste tchétchène, qui a harcelé sur les réseaux sociaux la jeune Mila. La jeune Mila, vous le savez, c'est une jeune fille, qui est protégée par le ministère de l'intérieur, qui est harcelée sur les réseaux sociaux, qui est une adolescente qui, parce qu'elle a critiqué l'islam sur les réseaux, dont la vie est un enfer aujourd'hui parce qu'elle est harcelée. Un islamiste tchétchène, qui la harcelait sur les réseaux sociaux, a été interpellée par le raid, mis en examen pour menaces de mort et pour apologie de terrorisme, il est remis en liberté, mais, dehors ! Dehors ! GD : Si je peux me permettre, d’abord, c’est un citoyen russe, pour votre information, je voulais, juste dire ça comme ça. JB : Oui, la tchétchénie, rattachée à la russie, vous avez raison. GD : C'est un exemple tout à fait intéressant. Voilà un homme qui, euh, a, euh, agressé verbalement et, peut-être, peut-être, en tous cas, nous le soupçonnons de vouloir s'en prendre à madame mila. Nous la protégeons, comme l'a très bien dit monsieur Bardella, les policiers font un travail formidable et difficile, et cette personne est sous le coup de la justice. Monsieur Bardella fait semblant de tout confondre. Il y a une deuxième affaire, dans laquelle ce monsieur est concerné. Je ne peux pas tout dire ici, parce que il y a le secret de l'enquête, notamment anti-terroriste. Ça n'a rien à voir avec l'affaire mila, mais il fait semblant de confondre les choses. Dans cette deuxième affaire, il a par ailleurs, été arrêté par le raid, et présenté devant deux des deux juges d'instruction antiterroriste, des gens assez sérieux, qui font leurs affaires, et qui ont décidé, c'est leur propre liberté, de le remettre en liberté, mais toujours sous notre justice. Il est évidemment suivi par les moyens de la DGSI, que nous avons d'ailleurs très largement augmentés, de mille personnes en plus, depuis cinq ans, afin que nous puissions suivre ses faits et gestes. Mais ce qu'aurait fait monsieur Bardella, s'il était à ma place, il aurait dit, foin de ce que pense la justice, moi, je l'applique directement, sans passer par l'autorité judiciaire. J’expulse cette personne en Russie, sans jamais qu'il ait connue une condamnation. Moi, ce que je dis, bien sûr, que nous l'expulserons, j'en ai expulsé sept cents depuis deux ans. JB : Bravo, il y a quatre mille cinq cents étrangers qui sont suivis pour radicalisation et qui sont fichés. GD : Mille trois cent cinquante. JB : Clandestins. GD : Etrangers, les autres sont soit en prison, soit en hôpital psychiatrique. Avec monsieur bardella, il sera jamais expulsé. JB : Je vais vous dire, euh, d'abord, euh, il y a neuf cent mille clandestins dans notre pays, six cent mille, selon votre ministère, neuf cent mille selon monsieur stefani, qui est plus proche de vous que, euh, du rassemblement national, mais, disons, entre six cent mille et neuf cent mille, euh, y a un rapport parlementaire, d'ailleurs, qui était paru il y a quelques mois, rapport de l'assemblée nationale, et qui disait que, dans mon département de la seine-saint-denis, il y avait jusqu'à vingt-cinq pour cent de la population qui était présente de manière clandestine, c'est-à-dire, euh, au bas mot, quatre cent mille personnes. Donc l'etat est incapable de savoir combien nous avons des habitants sur notre sol tant l'immigration, non pas par l'opération du saint-esprit, mais par le bilan de monsieur darmanin, et monsieur macron, est complètement hors de contrôle. Neuf cent mille clandestins, nous les renvoyons chez eux. Il y a huit mille individus qui sont fichés S aujourd'hui, pour radicalisation, quatre mille cinq cents sont étrangers, nous les renvoyons chez eux. Principe de précaution. Vous êtes étranger, vous avez un lien objectif, et vous êtes suivi pour votre proximité avec la mouvance islamiste ou avec la mouvance djihadiste, vous êtes renvoyés chez vous. Et pardon, mais quand vous avez, euh, quatre-vingt-dix pour cent, quatre-vingt-dix pour cent des oqtf qui ne sont pas exécutées, c'est un lourd bilan pour vous, parce que ça veut dire que vous, le ministre de l'intérieur, vous êtes capable d'appliquer que dix pour cent de la loi. Et bien, pardon, mais moi, je ne remets pas ma sécurité a quelqu'un qui est incapable de protéger les français et d'assurer le respect de la loi dans notre pays. Donc quand, euh, euh, on est clandestin, qu'on fait l'objet d'une procédure d'expulsion, l'obligation de quitter le territoire français, j'attends pas qu'on commette soixante-dix vols en trois mois, et la procédure de justice, qui va durer des mois, parfois des années, parce que ces gens-là savent pertinemment qu'ils ne risquent rien, et c'est la raison pour laquelle ils sont sur notre sol. Je les renvoie chez eux. Donc, y a des centaines de milliers de personnes, des millions de gens, qui sont arrivés dans notre pays depuis des années, qui ont fait un effort exigeant de s'assimiler, de s'intégrer, d'apprendre notre langue, de respecter la france, de respecter les enseignants et la police. Y a pas de raison que ceux qui arrivent aujourd'hui soient dispensés de cet effort, et se permettre,d’arriver en france, comme dans un parc d’attraction P1 : Comment faites-vous ? Comment faites-vous ? JB : D'après les parlementaires qui ont fait ce rapport, il y en aurait quatre cent mille en seine-saint-denis, au bas mot, ce qui veut dire que, euh, donc, on, est incapable de déterminer le nombre de clandestins. Il y en a beaucoup dans notre pays. On sait que le nombre de ceux qui bénéficient l'aide médicale d'état est autour de trois cent cinquante mille, mais peu importe. P1 : Comment faites-vous pour les renvoyer dans leur pays d'origine ? Six cent mille, au moins. JB : Eh bien, on négocie des accords avec les pays. P2 : Si les pays refusent ? P1 : C’est une vraie question. Monsieur darmanin a échoué à expulser, notamment, les indésirables algériens, qui ne veulent pas reprendre leurs délinquants, et criminels étrangers. Eh bien, figurez-vous que ces pays-là sont, généralement des pays à qui nous donnons beaucoup d'argent, pas seulement au titre de l'aide au développement, mais également au titre des transferts de fonds privés. Donc, si les pays de départ, qui nous envoient leurs indésirables, ne veulent pas les reprendre, eh bien, nous brandiront la menace diplomatique, et nous menaceront de couper l'aide au développement, l'argent public que nous donnons à ces pays-là, où, évidemment, les transferts de fonds privés. Et, croyez-moi, qu'en un quart d'heure, il y en a beaucoup qui sont d'ores et déjà à Roissy. GD : Oui, très rapidement. D'abord, euh, y a pas une invasion d'étrangers en france, hein, je voudrais le dire. Dans les années trente, il y avait six pour cent d'étrangers. Aujourd'hui, il y en a sept virgule un pour cent. Voilà, donc, y a pas, je veux dire, aux français, euh, quand bien même les étrangers seraient, par nature, mauvais, ce que je ne crois absolument pas. Euh, d'abord, il n'y a pas ce grand remplacement. JB : Il fait la comédie encore une fois. GD : Soyez, pas insultant. JB : Vous faites preuve d’un dédain. GD : Je parle du fond, il n'existe pas, euh, ce grand remplacement. JB : Votre bilan il existe. Quatre-vingt-dix pour cent des gens qui restent. Ça, c'est votre bilan, et ça, il existe. GD : Est-ce que je peux parler ? JB : Oui, je vous en prie. J'ai quand même le droit de demander des comptes à mon ministre de l'intérieur. GD : Bon, deuxième sujet, d'abord, il y a, euh, dans cette affaire d'expulsions, pas dix pour cent des oqtf qui ne sont pas exécutées. C'est une fable. Nous expulsons, nous faisons repartir, dans leur pays, entre vingt et trente pour cent des gens qui devraient repartir. JB : C’est faux, c’est les chiffres de la cour des comptes. GD : Bah travaillez à la cour des comptes. Ne faites pas de la politique dans ces cas-là. Bon, vous citez la cour des comptes cinq fois depuis le début. JB : Ce qui veut dire que c’est vrai GD : Non, on est à trente pour cent, entre vingt et trente pour cent de gens qui s'en vont, parce que y'a pas que des gens qu'on expulse, manu militari car il y en a, y a aussi tous ceux qui partent directement, parce qu'on leur dit, vous pouvez pas rester. Y a des étrangers, qui écoutent ce que dit l'état français, et qui repartent dans leur pays. C’est trente pour cent, des gens qui devraient partir. Ensuite, bien sûr, qu'on peut améliorer encore le procédé. C'est tout à fait vrai, et on a encore plein de choses, on propose pas de choses, empreinte du président de la république, mais, monsieur Bardella, il est comme si il n'était pas de réalité. D'abord, il y a des iraniens, des afghans, des syriens, euh, des soudanais, qui sont, euh, euh, évidemment, euh, euh, dans ce cas-là, on expulse pas, aujourd'hui, effectivement, des afghans vers le régime des talibans. C'est vrai, ni des syriens dans le régime de bachar el-assad, c'est vrai, on ne pourra pas le faire. Et, même si c'est madame le pen qui est présidente de la république, elle ne pourra pas le faire, parce que personne n'aura la cruauté de renvoyer des afghans au régime des talibans. Et qu'est-ce qu'on fait avec la personne qui est homosexuelle sur le territoire national dans un pays où on condamne pénalement l'homosexualité, on le renvoie dans son pays, où ils risquent la peine de mort ? Donc, on voit bien qu'y a, bien sûr, des améliorations, tout n'a pas été fait bien, mais, mais, le cas du front national c’est le mensonge. P1 : Sur ce point-là, Jordan Bardella ? JB : L'afghanistan n'est pas un pays en guerre. GD : donc on les renvoie chez les taliban ? JB : Ce que vous dites là, euh, monsieur Darmanin, me choque. C'est-à-dire que le ministre de l'intérieur, qui est censé protéger les français, nous explique que ce n'est pas lui qui décide de la politique d'immigration, et qui décide, qui entre et qui sort du pays, mais que ce sont les immigrés eux-mêmes. Ce sont les gens qui arrivent dans notre pays, qui décident eux-mêmes de ce qu'ils y font, non, mais quelle aide sociale ils y bénéficient ? S'ils veulent partir, s’ils veulent rester, s’ils veulent commettre soixante-dix vols. De toute manière j’y reste. GD : Est ce que l’afghan homosexuel il retourne chez les talibans ? JB : Mais quel afghan homosexuel. Est-ce que l'afghanistan est un pays en guerre ? P1 : Donc vous le renvoyez Jordan Bardella ? JB : Mais, s'il répond au droit d'asile, il obtient l'asile. Mais le problème, c'est que l'asile a été totalement dévoyé. C’est pas ça le sujet, c'est qu'il y a cinq cent mille demandes d'asile. GD : Si vous êtes ministre de l’intérieur il faut vous poser des questions. JB : Cinq cent mille demandes d'asile déposées sur le territoire national depuis deux mille dix-sept, seulement un tiers sont acceptées, les deux tiers sont déboutés, sauf que les deux tiers ne sont pas renvoyés dans leur pays d'origine, alors qu'il ne répondent pas à la conventions de genève, ni au droit d'asile. Si vous répondez aux critères de l'asile, vous êtes pris en charge. Moi, je suis favorable à ce que des familles ukrainiennes, pour parler de l'actualité du moment, dont les, dont les maris sont restés combattre, les femmes et enfants qui viennent en france puissent être accueillis dans le respect, encore, du droit d'asile, de la convention de genève. Je ne souhaite pas remettre en cause le droit d'asile. En revanche, ce que je souhaite faire, c'est faire en sorte que comme l'a fait le danemark, gouvernement socialiste, que le droit d'asile soit traité depuis les ambassades et les consulats des pays de départ, parce que, euh, faire venir tout le monde pour faire faire les demandes, sur le territoire français, auprès de la nation française, c'est une pompe aspirante considérable. Donc, en fait, on y a deux choix, en vérité, soit on réélit, emmanuel macron, et on va avoir cinq ans de plus de submersion migratoire. Soit on vote pour Marine le pen, et on va permettre aux français de reprendre le contrôle de leur pays. GD : C'est très intéressant, parce que c'est très concret. Pardon, moi, je ne suis pas dans les grandes phrases, c'est très concret. L'afghan. Imaginons que vous le renvoyez dans le régime des talibans, parce qu'il n'aurait pas l'asile. D'abord, on n'a pas de relations diplomatiques avec le régime des talibans. Ça veut donc dire que, pour envoyer il faut avoir des accords. Donc, vous ouvrez une ambassade au régime des talibans. Premières informations, très intéressantes de la part du front national. On ne peut plus envoyer des avions qui font paris kaboul, tout le monde est bien conscient de ce sujet, vous les renvoyez comment ? Vous survolez l’afghanistan et vous les larguez avec un parachute ? Concrètement, alors, vous, vous faites un accord avec le pakistan pour les mettres à la frontière, ou, ou l'iran. Voyez bien que c'est déraisonnable. P1 : Répondez la dessus, Jordan Bardella. JB : Je mets en place des cités de l'asile, c'est-à-dire que, de concert avec les nations unies, nous mettons tous les pays autour de la table. GD : Je pense pas que les nations unies seront d’accord avec le front national. JB : Ils seront d'accord avec la présidente de la république française, vous lui devrez au moins ce respect, lorsqu'elle sera élue présidente dans quelques jours. Nous allons mettre en place des, euh, camps, pour les réfugiés, pour les migrants, de protection, des camps humanitaires, euh, aux confins des pays de départ, et aux confins des pays sûrs. Voilà une réponse extrêmement concrètes, en plus de la sous-traitance des pays de l'asile, dans nos euh, dans les consulats et dans les ambassades des pays de départ. Mais vous ferez pas croire aux gens qui nous regardent que sur les neuf cent mille clandestins, ou les six cents mille clandestins, qu’il y a six cent milles afghans homosexuels qui ne peuvent pas être envoyés chez eux. J'ai dit, vous prendrez toujours une exception, et ça ne fait pas la règle monsieur Darmanin. La vérité, c'est ce que vous avez été, complètement impuissant, incapable de maîtriser l'immigration, et vous admettez vous-même que ce n'est pas vous qui contrôlez l'immigration en france, mais que c’est les immigrés eux-mêmes, et, croyez-moi, croyez-moi, que les français, qui nous regardent, ne doute pas de la volonté, la détermination politique de Marine Le pen. ",
"Abstractive_1": "Dans ce débat, Jordan Bardella et Gérald Darmanin discutent des peines planchers des OQTF. Jordan Bardella explique qu'il existe des peines maximales, et qu'il faut en mettre des minimales.Jordan Bardella explique qu'il souhaite augmenter le nombre de magistrats, créer des places de prisons et expulser les délinquants et criminels étrangers. Jordan Bardella explique que seul 10% des obligations de quitter le territoire français sont exécutées. Gérald Darmanin accuse Jordan Bardella de ne jamais avoir voté les créations des postes de policiers et gendarmes ainsi que les constructions des places de prison. Gérald Darmanin explique que les OQTF doivent être réalisées assez souvent après des condamnations de peine de prison, qui doivent être exécutées. Jordan Bardella explique que les français doivent subir les clandestins, et en plus payer leur charges sur le territoire français. Jordan Bardella souhaite renvoyer les fichés S. Jordan Bardella explique que pour obliger les pays d'origines à récupérer les sans papiers, il supprimera l'aide au développement et les transferts de fonds entre les pays. Gérald Darmanin explique qu'il ne peut pas renvoyer des gens dans leur pays d'origine si ils sont en dangers, comme des afghans homosexuels. Jordan Bardella explique qu'il faut qu'ils répondent au droit d'asile, et souhaite mettre en place les demandes d'asiles dans les pays d'origines, avec la constructions de camps pour les réfugiés aux confins des pays de départs. ",
"Abstractive_2": "Jordan Bardella et Gérald Darmanin discutent des oqtf et des peines planchers. Jordan Bardella souhaite mettre en place des peines planchers, afin d'avoir des peines minimales et maximales pour chaque crimes, sans pour autant supprimer les individualisations de peines. Il souhaite créer des postes de magistrats, des places de prisons, et expulser les délinquants et les fichés S étrangers, déplorant le taux d'exécution trop bas des OQTF. Gérald Darmanin réponds que le rassemblement national n'a jamais voté pour les créations de postes de policiers et de constructions de places de prison. Selon lui, les condamnés étrangers doivent exécuter leur peines de prisons en france avant d'être renvoyé, afin de ne pas vivreen impunités. Jordan Bardella répond que les français ne devraient pas à avoir à payer les charges des clandestins, et forcera les pays étrangers à reprendre leurs clandestins, en stoppant l'aide au développement et les transferts de fonds privés vers ces pays. Gérald Darmanin ne souhaite pas expulser des clandestins en situations dangereuses dans leurs pays d'origine, comme des afghans homosexuels. Jordan Bardella déplore cette approche et explique que ces gens doivent répondre au droit d'asile, et souhaite mettre en place des demandes d'asiles traités depuis les ambassades et les consulats des pays de départ, dans des camps de protection aux frontières. ",
"Abstractive_3": "Dans ce débat, Jordan Bardella et Gérald Darmanin discutent des peines planchers et des OQTFs. Jordan Bardella débute en expliquant qu'il faut mettre en place des peines planchers, afin d'avoir des peines maximales et minimales. Les peines planchers n'empêcheront pas l'individualisation de la peine. Il propose d'augmenter le nombre de magistrats, de places de prisons, ainsi que l'expulsion des délinquents et des criminels étrangers. Il continue en accusant Gérald Darmanin, qui n'a réussi à faire exécuter que dix pour cent des OQTF. Gérald Darmanin rappelle que le rassemblement national n'a jamais voté les créations des postes de policiers et de places de prisons, les accusant de vouloir faire la politique du pire. Il déplore l'approche du rassemblement national qui expulse les personnes sans condamnation; les gens doivent d'abord expurger leur peines avant d'être expulsées. Pour Jordan Bardella, ce système est la double peine pour les français, qui doivent subir les crimes des clandestins, et payer leur prise en charge en prison. Il accuse l'état d'être incapable de connaître les chiffres de l'immigrations. Il propose de renvoyer tous les clandestins et les fichés S en forçant les pays à accepter de reprendres leurs immigrés; pour cela, il souhaite interdire les transferts d'argents de fonds privés avec les pays qui voudraient refuser de reprendre les clandestins, tout en supprimant leur aide au développement. Pour Gérald Darmanin, il n'y a pas d'explosion de l'immigration, et entre vingt et trente pourcent des oqtfs sont réalisées. Le processus peut être amélioré, mais il est mieux que le processus cruel de Marine le pen. Jordan Bardella continue en expliquant qu'il ne conteste pas le droit d'asile, mais qu'il souhaite mettre en place des lieux de demandes d'asile en dehors de la france, pour empêcher les immigrants dont la demande a été rejetée de rester en france.",
"Extractive_1": "P1 : Les peines plancher, les peines minimales, pour ceux qui s'en prennent aux forces de l'ordre si marine Le pen est élue, comment ça marche ? JB : Il y a des peines maximales, donc il faut qu'il y ait des peines minimales. JB : Encore une fois, ça ne contraint pas l'individualisation de la peine. JB : On compte à la fois augmenter leur nombre, le nombre des magistrats, leur faciliter le travail, créer, des places de prison, expulser les délinquants et criminels étrangers, parce que, là aussi, je veux dire, là aussi, c'est la fête. JB : Monsieur Darmanin, vous êtes le ministre de l'intérieur, quatre-vingt-dix pour cent, quatre-vingt-dix pour cent des obligations de quitter le territoire français ne sont pas exécutées. GD : Vous avez pas voté, la création des dix mille policiers, gendarmes, supplémentaires en cinq ans. GD : Vous n'avez pas voté la construction des places de prison proposées par le gouvernement, vous l'avez jamais voté. GD : Vous ne votez jamais une disposition qui va dans le bon sens, parce que, je crois que vous faites de la politique du pire. GD : La proposition du front national, c’est, on expulse la personne, nous ont dit qu'il faut qu'il soit condamné. GD : Mais, d'abord, ils ont leur condamnation en france, parce que ça veut dire qu'un français qui commettrait un acte de délinquance avec le front national, serait condamné à la prison, et un étranger qui commet un acte de délinquance serait juste expulsé et ne ferait jamais sa peine. JB : Les français aujourd’hui ils subissent des clandestins, qui ont pas à être sur le territoire, qui commettent des méfaits, qui commettent quand même des crimes et délits, et en plus, ils doivent rester à notre charge sur le territoire français. JB : Neuf cent mille clandestins, nous les renvoyons chez eux. JB : Il y a huit mille individus qui sont fichés S aujourd'hui, pour radicalisation, quatre mille cinq cents sont étrangers, nous les renvoyons chez eux. JB : Et pardon, mais quand vous avez, euh, quatre-vingt-dix pour cent, quatre-vingt-dix pour cent des oqtf qui ne sont pas exécutées, c'est un lourd bilan pour vous, parce que ça veut dire que vous, le ministre de l'intérieur, vous êtes capable d'appliquer que dix pour cent de la loi. P1 : Comment faites-vous pour les renvoyer dans leur pays d'origine ? JB : Eh bien, on négocie des accords avec les pays. JB : Eh bien, figurez-vous que ces pays-là sont, généralement des pays à qui nous donnons beaucoup d'argent, pas seulement au titre de l'aide au développement, mais également au titre des transferts de fonds privés. JB : Donc, si les pays de départ, qui nous envoient leurs indésirables, ne veulent pas les reprendre, eh bien, nous brandiront la menace diplomatique, et nous menaceront de couper l'aide au développement, l'argent public que nous donnons à ces pays-là, où, évidemment, les transferts de fonds privés. GD : Nous expulsons, nous faisons repartir, dans leur pays, entre vingt et trente pour cent des gens qui devraient repartir. GD : D'abord, il y a des iraniens, des afghans, des syriens, euh, des soudanais, qui sont, euh, euh, évidemment, euh, euh, dans ce cas-là, on expulse pas, aujourd'hui, effectivement, des afghans vers le régime des talibans. JB : C'est-à-dire que le ministre de l'intérieur, qui est censé protéger les français, nous explique que ce n'est pas lui qui décide de la politique d'immigration, et qui décide, qui entre et qui sort du pays, mais que ce sont les immigrés eux-mêmes. GD : Est ce que l’afghan homosexuel il retourne chez les talibans ? JB : Mais, s'il répond au droit d'asile, il obtient l'asile. JB : En revanche, ce que je souhaite faire, c'est faire en sorte que comme l'a fait le danemark, gouvernement socialiste, que le droit d'asile soit traité depuis les ambassades et les consulats des pays de départ, parce que, euh, faire venir tout le monde pour faire faire les demandes, sur le territoire français, auprès de la nation française, c'est une pompe aspirante considérable. JB : Nous allons mettre en place des, euh, camps, pour les réfugiés, pour les migrants, de protection, des camps humanitaires, euh, aux confins des pays de départ, et aux confins des pays sûrs. ",
"Extractive_2": "P1 : Les peines plancher, les peines minimales, pour ceux qui s'en prennent aux forces de l'ordre si marine Le pen est élue, comment ça marche ? JB : Pour bien comprendre, il y a aujourd'hui des peines maximales, la peine plancher, c'est-à-dire de qualifier combien d'années de prison vaudra une agression d'un policier. JB : Il y a des peines maximales, donc il faut qu'il y ait des peines minimales. JB : Encore une fois, ça ne contraint pas l'individualisation de la peine. JB : On compte à la fois augmenter leur nombre, le nombre des magistrats, leur faciliter le travail, créer, des places de prison, expulser les délinquants et criminels étrangers, parce que, là aussi, je veux dire, là aussi, c'est la fête. JB : Monsieur Darmanin, vous êtes le ministre de l'intérieur, quatre-vingt-dix pour cent, quatre-vingt-dix pour cent des obligations de quitter le territoire français ne sont pas exécutées. GD : Vous avez pas voté, la création des dix mille policiers, gendarmes, supplémentaires en cinq ans. GD : Vous n'avez pas voté la construction des places de prison proposées par le gouvernement, vous l'avez jamais voté. GD : Vous ne votez jamais une disposition qui va dans le bon sens, parce que, je crois que vous faites de la politique du pire. GD : La proposition du front national, c’est, on expulse la personne, nous ont dit qu'il faut qu'il soit condamné. GD : Si il doit faire de la prison, il la fait, et après on l'expulse. GD : Mais, d'abord, ils ont leur condamnation en france, parce que ça veut dire qu'un français qui commettrait un acte de délinquance avec le front national, serait condamné à la prison, et un étranger qui commet un acte de délinquance serait juste expulsé et ne ferait jamais sa peine. JB : C’est la double peine. JB : Les français aujourd’hui ils subissent des clandestins, qui ont pas à être sur le territoire, qui commettent des méfaits, qui commettent quand même des crimes et délits, et en plus, ils doivent rester à notre charge sur le territoire français. JB : Donc l'etat est incapable de savoir combien nous avons des habitants sur notre sol tant l'immigration, non pas par l'opération du saint-esprit, mais par le bilan de monsieur darmanin, et monsieur macron, est complètement hors de contrôle. JB : Neuf cent mille clandestins, nous les renvoyons chez eux. JB : Il y a huit mille individus qui sont fichés S aujourd'hui, pour radicalisation, quatre mille cinq cents sont étrangers, nous les renvoyons chez eux. P1 : Comment faites-vous pour les renvoyer dans leur pays d'origine ? JB : Eh bien, on négocie des accords avec les pays. JB : Eh bien, figurez-vous que ces pays-là sont, généralement des pays à qui nous donnons beaucoup d'argent, pas seulement au titre de l'aide au développement, mais également au titre des transferts de fonds privés. JB : Donc, si les pays de départ, qui nous envoient leurs indésirables, ne veulent pas les reprendre, eh bien, nous brandiront la menace diplomatique, et nous menaceront de couper l'aide au développement, l'argent public que nous donnons à ces pays-là, où, évidemment, les transferts de fonds privés. GD : Dans les années trente, il y avait six pour cent d'étrangers. GD : Aujourd'hui, il y en a sept virgule un pour cent. GD : Voilà, donc, y a pas, je veux dire, aux français, euh, quand bien même les étrangers seraient, par nature, mauvais, ce que je ne crois absolument pas. GD : Nous expulsons, nous faisons repartir, dans leur pays, entre vingt et trente pour cent des gens qui devraient repartir. GD : Ensuite, bien sûr, qu'on peut améliorer encore le procédé. GD : Et, même si c'est madame le pen qui est présidente de la république, elle ne pourra pas le faire, parce que personne n'aura la cruauté de renvoyer des afghans au régime des talibans. JB : Mais, s'il répond au droit d'asile, il obtient l'asile. JB : Cinq cent mille demandes d'asile déposées sur le territoire national depuis deux mille dix-sept, seulement un tiers sont acceptées, les deux tiers sont déboutés, sauf que les deux tiers ne sont pas renvoyés dans leur pays d'origine, alors qu'il ne répondent pas à la conventions de genève, ni au droit d'asile. JB : Si vous répondez aux critères de l'asile, vous êtes pris en charge. JB : En revanche, ce que je souhaite faire, c'est faire en sorte que comme l'a fait le danemark, gouvernement socialiste, que le droit d'asile soit traité depuis les ambassades et les consulats des pays de départ, parce que, euh, faire venir tout le monde pour faire faire les demandes, sur le territoire français, auprès de la nation française, c'est une pompe aspirante considérable.",
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"text": "Dans ce débat, Jordan Bardella et Gérald Darmanin discutent des peines planchers des OQTF."
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"text": "Les peines plancher, les peines minimales, pour ceux qui s'en prennent aux forces de l'ordre si marine Le pen est élue, comment ça marche ?"
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"text": "On compte à la fois augmenter leur nombre, le nombre des magistrats, leur faciliter le travail, créer, des places de prison, expulser les délinquants et criminels étrangers, parce que, là aussi, je veux dire, là aussi, c'est la fête."
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"text": "Et pardon, mais quand vous avez, euh, quatre-vingt-dix pour cent, quatre-vingt-dix pour cent des oqtf qui ne sont pas exécutées, c'est un lourd bilan pour vous, parce que ça veut dire que vous, le ministre de l'intérieur, vous êtes capable d'appliquer que dix pour cent de la loi."
},
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"speaker": "JB",
"text": "C'est-à-dire que le ministre de l'intérieur, qui est censé protéger les français, nous explique que ce n'est pas lui qui décide de la politique d'immigration, et qui décide, qui entre et qui sort du pays, mais que ce sont les immigrés eux-mêmes."
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"text": "Gérald Darmanin accuse Jordan Bardella de ne jamais avoir voté les créations des postes de policiers et gendarmes ainsi que les constructions des places de prison."
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"text": "Vous avez pas voté, la création des dix mille policiers, gendarmes, supplémentaires en cinq ans."
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"text": "Gérald Darmanin explique que les OQTF doivent être réalisées assez souvent après des condamnations de peine de prison, qui doivent être exécutées."
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"text": "La proposition du front national, c’est, on expulse la personne, nous ont dit qu'il faut qu'il soit condamné."
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"text": "Mais, d'abord, ils ont leur condamnation en france, parce que ça veut dire qu'un français qui commettrait un acte de délinquance avec le front national, serait condamné à la prison, et un étranger qui commet un acte de délinquance serait juste expulsé et ne ferait jamais sa peine."
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"text": "Jordan Bardella explique que les français doivent subir les clandestins, et en plus payer leur charges sur le territoire français."
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"text": "Les français aujourd’hui ils subissent des clandestins, qui ont pas à être sur le territoire, qui commettent des méfaits, qui commettent quand même des crimes et délits, et en plus, ils doivent rester à notre charge sur le territoire français."
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"text": "Donc, si les pays de départ, qui nous envoient leurs indésirables, ne veulent pas les reprendre, eh bien, nous brandiront la menace diplomatique, et nous menaceront de couper l'aide au développement, l'argent public que nous donnons à ces pays-là, où, évidemment, les transferts de fonds privés."
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"text": "Gérald Darmanin explique qu'il ne peut pas renvoyer des gens dans leur pays d'origine si ils sont en dangers, comme des afghans homosexuels."
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"text": "D'abord, il y a des iraniens, des afghans, des syriens, euh, des soudanais, qui sont, euh, euh, évidemment, euh, euh, dans ce cas-là, on expulse pas, aujourd'hui, effectivement, des afghans vers le régime des talibans."
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"text": "Est ce que l’afghan homosexuel il retourne chez les talibans ?"
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"text": "Jordan Bardella explique qu'il faut qu'ils répondent au droit d'asile, et souhaite mettre en place les demandes d'asiles dans les pays d'origines, avec la constructions de camps pour les réfugiés aux confins des pays de départs."
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"text": "Mais, s'il répond au droit d'asile, il obtient l'asile."
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"text": "En revanche, ce que je souhaite faire, c'est faire en sorte que comme l'a fait le danemark, gouvernement socialiste, que le droit d'asile soit traité depuis les ambassades et les consulats des pays de départ, parce que, euh, faire venir tout le monde pour faire faire les demandes, sur le territoire français, auprès de la nation française, c'est une pompe aspirante considérable."
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"speaker": "JB",
"text": "Nous allons mettre en place des, euh, camps, pour les réfugiés, pour les migrants, de protection, des camps humanitaires, euh, aux confins des pays de départ, et aux confins des pays sûrs."
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