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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 15. Juni 2018 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Bundesgericht begrüsst Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes mit Vorbehalt zur subsidiären Verfassungsbeschwerde Das Bundesgericht begrüsst die heutige Verabschiedung der Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes durch den Bundesrat. Es unterstützt das mit der Vorlage verfolgte Ziel, den Rechtsschutz für Betroffene zu erweitern, indem der Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsbereichen geöffnet wird, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein bedeutender Fall vorliegt. Das Bundesgericht kann vor diesem Hintergrund der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde nicht zustimmen. 2007 wurde das Bundesgerichtsgesetz (BGG) eingeführt, mit dem unter anderem eine nachhaltige Entlastung des Bundesgerichts beabsichtigt war. Angesichts der seither eingetretenen massiven Zunahme der Beschwerdeeingänge (im Jahr 2017 erstmals über 8000 neue Fälle) kann davon nicht die Rede sein. Die Revision des BGG ist damit eine absolute Notwendigkeit geworden, um auch in Zukunft das gute Funktionieren des höchsten Gerichts sicherzustellen und insbesondere die Qualität der Begründung der Urteile zu gewährleisten. Das Bundesgericht begrüsst es deshalb, dass der Bundesrat nun die Botschaft zur Revision des BGG verabschiedet hat. Die Vorlage zielt zur Hauptsache darauf ab, den Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsgebieten zu öffnen, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt. Damit wird der Rechtsschutz für Betroffene auf Bereiche erweitert, die einer Prüfung durch das oberste Gericht bisher entzogen waren. Das Bundesgericht wird dadurch in die Lage versetzt, seine verfassungsmässige Aufgabe als höchstes Gericht der Schweiz in nahezu allen Rechtsmaterien wahrzunehmen, wobei der Zugang ans Bundesgericht in den weitaus meisten Rechtsgebieten weiterhin uneingeschränkt möglich sein wird. Vor diesem Hintergrund macht die vom Bundesrat vorgeschlagene Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde aus Sicht des Bundesgerichts keinen Sinn. Die seit 2007 gesammelten Erfahrungen mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde haben gezeigt, dass diese den Rechtsuchenden praktisch nichts bringt. Daran wird sich mit der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss bundesrätlichem Vorschlag nichts ändern. Die in der Vorlage vorgesehene Möglichkeit zur Beschwerde, wenn eine rechtliche Grundsatzfrage oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt, stellt demgegenüber den bisher mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde gewährten Rechtsschutz weiterhin sicher und erweitert diesen ganz erheblich. Die Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss dem Konzept des Bundesrates würde zudem mindestens zur Verdoppelung der Eingänge von subsidiären Verfassungsbeschwerden, wenn nicht zu einer Vervielfachung führen, ohne dass die Rechtsuchenden davon profitieren könnten. Die angestrebte Wirkung der Vorlage, das Bundesgericht zu entlasten, würde damit in ihr Gegenteil verkehrt. Konkret: Im Jahre 2017 konnten von 429 beurteilten subsidiären Verfassungsbeschwerden nur gerade 8 (1,86 Prozent) ganz oder teilweise gutgeheissen werden. Für nahezu alle Rechtsuchenden, die mittels der subsidiären Verfassungsbeschwerde ans Bundesgericht gelangten, blieben im Ergebnis nur Kosten und Frustration übrig. Dies führt zu einem Verlust des Vertrauens in die Justiz. Sollte bei diesen Gegebenheiten im Verlauf der parlamentarischen Beratungen die subsidiäre Verfassungsbeschwerde in der Vorlage verbleiben, würde das Bundesgericht diese insgesamt ablehnen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 15 juin 2018 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le Tribunal fédéral sous réserve du recours constitutionnel subsidiaire Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le Tribunal fédéral adopté aujourd'hui par le Conseil fédéral. Il soutient l'objectif recherché par ce texte, à savoir élargir la protection juridique des personnes concernées en leur permettant de recourir au Tribunal fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus, dans la mesure où il existe une question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Au vu de ce contexte, le Tribunal fédéral ne peut pas approuver le maintien du recours constitutionnel subsidiaire. La Loi sur le Tribunal fédéral (LTF) est entrée en vigueur en 2007 et avait notamment pour objectif de décharger durablement le Tribunal fédéral. Au vu de l'augmentation massive du nombre de recours introduits depuis lors (en 2017 pour la première fois plus de 8000 nouvelles affaires), cet objectif ne peut pas être considéré comme atteint. Il en résulte que la révision de la LTF est devenue absolument nécessaire afin de garantir à l'avenir aussi, le bon fonctionnement de la Cour suprême et en particulier la qualité de la motivation de ses décisions. C'est la raison pour laquelle le Tribunal fédéral accueille favorablement le fait que le Conseil fédéral ait adopté maintenant le message sur la révision de la LTF. Le texte présenté a pour objectif principal d'ouvrir les voies de recours au Tribunal fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus dans la mesure où il existe une question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Il en résulte une protection juridique accrue pour les personnes concernées dans des domaines qui jusqu'alors ne pouvaient pas être examinés par la Cour suprême. Le Tribunal fédéral sera à même par ces mesures d'assumer sa fonction constitutionnelle de Cour suprême de la Suisse dans pratiquement tous les domaines juridiques et à l'avenir l'accès au Tribunal fédéral continuera d'être non-limité dans la grande majorité des domaines juridiques. Dans ce contexte, le maintien du recours constitutionnel subsidiaire proposé par le Conseil fédéral n'est pas utile du point de vue du Tribunal fédéral. Les expériences faites depuis 2007 avec le recours constitutionnel subsidiaire ont démontré que celui-ci n'apportait pratiquement rien aux justiciables. Cette situation ne devrait pas changer avec le maintien du recours constitutionnel subsidiaire prévu dans la proposition du Conseil fédéral. La possibilité introduite dans le texte, de pouvoir déposer un recours lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, procure une protection juridique équivalente à celle accordée jusqu'à ce jour par le recours constitutionnel subsidiaire et l'élargit même considérablement. Le maintien du recours constitutionnel subsidiaire selon le concept du Conseil fédéral engendrerait en outre au moins un doublement du nombre de recours constitutionnels subsidiaires déposés, si ce n'est une augmentation encore plus importante, sans que le justiciable puisse en profiter. L'effet contraire à celui recherché dans le texte présenté, de décharger le Tribunal fédéral, serait alors atteint. Concrètement, en 2017, seul 8 recours constitutionnels subsidiaires (1,86%) sur 429 ont pu être admis ou partiellement admis. Ainsi, pour presque tous les justiciables qui se sont adressés au Tribunal fédéral par la voie du recours constitutionnel subsidiaire, il n'en est résulté que des coûts et de la frustration. Cette situation contribue à une perte de confiance dans la justice. Si à l'issue des débats parlementaires et au vu de la situation actuelle le recours constitutionnel subsidiaire devait rester dans le texte présenté, le Tribunal fédéral le rejetterait dans son entier.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 15 giugno 2018 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione della legge sul Tribunale federale con una riserva attinente al ricorso sussidiario in materia costituzionale Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione della legge sul Tribunale federale licenziato in data odierna dal Consiglio federale. Esso appoggia l'obiettivo del progetto volto ad ampliare la protezione giuridica degli interessati attraverso la possibilità, in presenza di questioni di diritto di importanza fondamentale o casi particolarmente importanti, di interporre ricorso in ambiti giuridici in cui tale eventualità era finora esclusa. In questo contesto, il Tribunale federale non può concordare sul mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale. Fra gli scopi perseguiti dalla legge sul Tribunale federale (LTF) entrata in vigore nel 2007 vi era anche quello di alleviare durevolmente il carico di lavoro del Tribunale federale. Tale obiettivo non è stato raggiunto, come dimostrato dal considerevole aumento del numero di ricorsi introdotti a partire da tale data (nel 2017, il numero di nuovi casi ha per la prima volta superato le 8000 unità). Ciò premesso, la revisione della LTF costituisce un'assoluta necessità per garantire il futuro buon funzionamento del tribunale supremo e, in particolare, la qualità della motivazione delle sentenze. Pertanto, il Tribunale federale accoglie favorevolmente l'odierno licenziamento del messaggio concernente la revisione della LTF da parte del Consiglio federale. Il progetto persegue principalmente l'obiettivo d'aprire la via ricorsuale dinanzi al Tribunale federale in ambiti giuridici dove tale possibilità risulta oggi esclusa, nella misura in cui il caso pone una questione di diritto d'importanza fondamentale oppure riveste particolare importanza. La protezione giuridica viene pertanto estesa ad ambiti precedentemente esclusi dal controllo da parte del Tribunale federale. Esso potrà così adempiere al suo mandato costituzionale di corte suprema in quasi tutte le materie giuridiche, premesso come l'accesso illimitato al Tribunale federale rimarrà garantito nella grande maggioranza delle aree del diritto. In questo contesto, il Tribunale federale è d'avviso che un mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, conformemente alla proposta del Consiglio federale, non abbia alcun senso. Le esperienze raccolte a far tempo dal 2007 mostrano come tale ricorso manchi di portata pratica per gli interessati e ciò indipendentemente da un suo mantenimento conformemente alla proposta del Consiglio federale. La proposta contenuta nel progetto, volta a introdurre la possibilità di interporre ricorso dinanzi al Tribunale federale in presenza di questioni di diritto di importanza fondamentale o casi particolarmente importanti, garantisce ed estende notevolmente la protezione giuridica finora garantita dal ricorso sussidiario in materia costituzionale. Inoltre, il mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, così come concepito dal Consiglio federale, avrà quale conseguenza il raddoppio, se non la moltiplicazione, del numero di detti ricorsi e ciò senza alcun profitto per gli interessati. E gli effetti di sgravio a favore del Tribunale federale perseguiti dal progetto si trasformeranno nel loro esatto contrario. Concretamente, dei 429 ricorsi sussidiari in materia costituzionale evasi nel 2017, solo 8 (pari all'1,86%) sono stati integralmente o parzialmente accolti. Quasi tutti coloro che hanno inoltrato un ricorso sussidiario in materia costituzionale dinanzi al Tribunale federale, al termine della procedura sono stati confrontati unicamente a costi e frustrazione. Tale situazione conduce a una perdita della fiducia riposta nella giustizia. Nella misura in cui nel corso dei dibattiti parlamentari il ricorso sussidiario in materia costituzionale dovesse essere mantenuto nel progetto, il Tribunale federale lo respingerà nella sua globalità.
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Lausanne, 15. Juni 2018 Medienmitteilung des Bundesgerichts Bundesgericht begrüsst Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes mit Vorbehalt zur subsidiären Verfassungsbeschwerde Das Bundesgericht begrüsst die heutige Verabschiedung der Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes durch den Bundesrat. Es unterstützt das mit der Vorlage verfolgte Ziel, den Rechtsschutz für Betroffene zu erweitern, indem der Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsbereichen geöffnet wird, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein bedeutender Fall vorliegt. Das Bundesgericht kann vor diesem Hintergrund der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde nicht zustimmen. 2007 wurde das Bundesgerichtsgesetz (BGG) eingeführt, mit dem unter anderem eine nachhaltige Entlastung des Bundesgerichts beabsichtigt war. Angesichts der seither eingetretenen massiven Zunahme der Beschwerdeeingänge (im Jahr 2017 erstmals über 8000 neue Fälle) kann davon nicht die Rede sein. Die Revision des BGG ist damit eine absolute Notwendigkeit geworden, um auch in Zukunft das gute Funktionieren des höchsten Gerichts sicherzustellen und insbesondere die Qualität der Begründung der Urteile zu gewährleisten. Das Bundesgericht begrüsst es deshalb, dass der Bundesrat nun die Botschaft zur Revision des BGG verabschiedet hat. Die Vorlage zielt zur Hauptsache darauf ab, den Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsgebieten zu öffnen, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt. Damit wird der Rechtsschutz für Betroffene auf Bereiche erweitert, die einer Prüfung durch das oberste Gericht bisher entzogen waren. Das Bundesgericht wird dadurch in die Lage versetzt, seine verfassungsmässige Aufgabe als höchstes Gericht der Schweiz in nahezu allen Rechtsmaterien wahrzunehmen, wobei der Zugang ans Bundesgericht in den weitaus meisten Rechtsgebieten weiterhin uneingeschränkt möglich sein wird. Vor diesem Hintergrund macht die vom Bundesrat vorgeschlagene Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde aus Sicht des Bundesgerichts keinen Sinn. Die seit 2007 gesammelten Erfahrungen mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde haben gezeigt, dass diese den Rechtsuchenden praktisch nichts bringt. Daran wird sich mit der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss bundesrätlichem Vorschlag nichts ändern. Die in der Vorlage vorgesehene Möglichkeit zur Beschwerde, wenn eine rechtliche Grundsatzfrage oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt, stellt demgegenüber den bisher mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde gewährten Rechtsschutz weiterhin sicher und erweitert diesen ganz erheblich. Die Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss dem Konzept des Bundesrates würde zudem mindestens zur Verdoppelung der Eingänge von subsidiären Verfassungsbeschwerden, wenn nicht zu einer Vervielfachung führen, ohne dass die Rechtsuchenden davon profitieren könnten. Die angestrebte Wirkung der Vorlage, das Bundesgericht zu entlasten, würde damit in ihr Gegenteil verkehrt. Konkret: Im Jahre 2017 konnten von 429 beurteilten subsidiären Verfassungsbeschwerden nur gerade 8 (1,86 Prozent) ganz oder teilweise gutgeheissen werden. Für nahezu alle Rechtsuchenden, die mittels der subsidiären Verfassungsbeschwerde ans Bundesgericht gelangten, blieben im Ergebnis nur Kosten und Frustration übrig. Dies führt zu einem Verlust des Vertrauens in die Justiz. Sollte bei diesen Gegebenheiten im Verlauf der parlamentarischen Beratungen die subsidiäre Verfassungsbeschwerde in der Vorlage verbleiben, würde das Bundesgericht diese insgesamt ablehnen.
Lausanne, le 15 juin 2018 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le Tribunal fédéral sous réserve du recours constitutionnel subsidiaire Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le Tribunal fédéral adopté aujourd'hui par le Conseil fédéral. Il soutient l'objectif recherché par ce texte, à savoir élargir la protection juridique des personnes concernées en leur permettant de recourir au Tribunal fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus, dans la mesure où il existe une question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Au vu de ce contexte, le Tribunal fédéral ne peut pas approuver le maintien du recours constitutionnel subsidiaire. La Loi sur le Tribunal fédéral (LTF) est entrée en vigueur en 2007 et avait notamment pour objectif de décharger durablement le Tribunal fédéral. Au vu de l'augmentation massive du nombre de recours introduits depuis lors (en 2017 pour la première fois plus de 8000 nouvelles affaires), cet objectif ne peut pas être considéré comme atteint. Il en résulte que la révision de la LTF est devenue absolument nécessaire afin de garantir à l'avenir aussi, le bon fonctionnement de la Cour suprême et en particulier la qualité de la motivation de ses décisions. C'est la raison pour laquelle le Tribunal fédéral accueille favorablement le fait que le Conseil fédéral ait adopté maintenant le message sur la révision de la LTF. Le texte présenté a pour objectif principal d'ouvrir les voies de recours au Tribunal fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus dans la mesure où il existe une question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Il en résulte une protection juridique accrue pour les personnes concernées dans des domaines qui jusqu'alors ne pouvaient pas être examinés par la Cour suprême. Le Tribunal fédéral sera à même par ces mesures d'assumer sa fonction constitutionnelle de Cour suprême de la Suisse dans pratiquement tous les domaines juridiques et à l'avenir l'accès au Tribunal fédéral continuera d'être non-limité dans la grande majorité des domaines juridiques. Dans ce contexte, le maintien du recours constitutionnel subsidiaire proposé par le Conseil fédéral n'est pas utile du point de vue du Tribunal fédéral. Les expériences faites depuis 2007 avec le recours constitutionnel subsidiaire ont démontré que celui-ci n'apportait pratiquement rien aux justiciables. Cette situation ne devrait pas changer avec le maintien du recours constitutionnel subsidiaire prévu dans la proposition du Conseil fédéral. La possibilité introduite dans le texte, de pouvoir déposer un recours lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, procure une protection juridique équivalente à celle accordée jusqu'à ce jour par le recours constitutionnel subsidiaire et l'élargit même considérablement. Le maintien du recours constitutionnel subsidiaire selon le concept du Conseil fédéral engendrerait en outre au moins un doublement du nombre de recours constitutionnels subsidiaires déposés, si ce n'est une augmentation encore plus importante, sans que le justiciable puisse en profiter. L'effet contraire à celui recherché dans le texte présenté, de décharger le Tribunal fédéral, serait alors atteint. Concrètement, en 2017, seul 8 recours constitutionnels subsidiaires (1,86%) sur 429 ont pu être admis ou partiellement admis. Ainsi, pour presque tous les justiciables qui se sont adressés au Tribunal fédéral par la voie du recours constitutionnel subsidiaire, il n'en est résulté que des coûts et de la frustration. Cette situation contribue à une perte de confiance dans la justice. Si à l'issue des débats parlementaires et au vu de la situation actuelle le recours constitutionnel subsidiaire devait rester dans le texte présenté, le Tribunal fédéral le rejetterait dans son entier.
Losanna, 15 giugno 2018 Comunicato stampa del Tribunale federale Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione della legge sul Tribunale federale con una riserva attinente al ricorso sussidiario in materia costituzionale Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione della legge sul Tribunale federale licenziato in data odierna dal Consiglio federale. Esso appoggia l'obiettivo del progetto volto ad ampliare la protezione giuridica degli interessati attraverso la possibilità, in presenza di questioni di diritto di importanza fondamentale o casi particolarmente importanti, di interporre ricorso in ambiti giuridici in cui tale eventualità era finora esclusa. In questo contesto, il Tribunale federale non può concordare sul mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale. Fra gli scopi perseguiti dalla legge sul Tribunale federale (LTF) entrata in vigore nel 2007 vi era anche quello di alleviare durevolmente il carico di lavoro del Tribunale federale. Tale obiettivo non è stato raggiunto, come dimostrato dal considerevole aumento del numero di ricorsi introdotti a partire da tale data (nel 2017, il numero di nuovi casi ha per la prima volta superato le 8000 unità). Ciò premesso, la revisione della LTF costituisce un'assoluta necessità per garantire il futuro buon funzionamento del tribunale supremo e, in particolare, la qualità della motivazione delle sentenze. Pertanto, il Tribunale federale accoglie favorevolmente l'odierno licenziamento del messaggio concernente la revisione della LTF da parte del Consiglio federale. Il progetto persegue principalmente l'obiettivo d'aprire la via ricorsuale dinanzi al Tribunale federale in ambiti giuridici dove tale possibilità risulta oggi esclusa, nella misura in cui il caso pone una questione di diritto d'importanza fondamentale oppure riveste particolare importanza. La protezione giuridica viene pertanto estesa ad ambiti precedentemente esclusi dal controllo da parte del Tribunale federale. Esso potrà così adempiere al suo mandato costituzionale di corte suprema in quasi tutte le materie giuridiche, premesso come l'accesso illimitato al Tribunale federale rimarrà garantito nella grande maggioranza delle aree del diritto. In questo contesto, il Tribunale federale è d'avviso che un mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, conformemente alla proposta del Consiglio federale, non abbia alcun senso. Le esperienze raccolte a far tempo dal 2007 mostrano come tale ricorso manchi di portata pratica per gli interessati e ciò indipendentemente da un suo mantenimento conformemente alla proposta del Consiglio federale. La proposta contenuta nel progetto, volta a introdurre la possibilità di interporre ricorso dinanzi al Tribunale federale in presenza di questioni di diritto di importanza fondamentale o casi particolarmente importanti, garantisce ed estende notevolmente la protezione giuridica finora garantita dal ricorso sussidiario in materia costituzionale. Inoltre, il mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, così come concepito dal Consiglio federale, avrà quale conseguenza il raddoppio, se non la moltiplicazione, del numero di detti ricorsi e ciò senza alcun profitto per gli interessati. E gli effetti di sgravio a favore del Tribunale federale perseguiti dal progetto si trasformeranno nel loro esatto contrario. Concretamente, dei 429 ricorsi sussidiari in materia costituzionale evasi nel 2017, solo 8 (pari all'1,86%) sono stati integralmente o parzialmente accolti. Quasi tutti coloro che hanno inoltrato un ricorso sussidiario in materia costituzionale dinanzi al Tribunale federale, al termine della procedura sono stati confrontati unicamente a costi e frustrazione. Tale situazione conduce a una perdita della fiducia riposta nella giustizia. Nella misura in cui nel corso dei dibattiti parlamentari il ricorso sussidiario in materia costituzionale dovesse essere mantenuto nel progetto, il Tribunale federale lo respingerà nella sua globalità.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 8. September 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte Das Bundesgericht empfängt am kommenden Mittwoch in Lausanne Richterdelegationen aus Deutschland, Österreich und dem Fürstentum Liechtenstein zum traditionellen Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte. Der vier Tage dauernde Anlass dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch zu aktuellen juristischen Themen und wird von einem Rahmenprogramm begleitet. Das Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte findet seit 1977 alle zwei Jahre statt. Dieses Jahr wird der Anlass vom 10. bis zum 13. September vom Bundesgericht in Lausanne durchgeführt. An der Veranstaltung nehmen die Präsidenten sowie Richterinnen und Richter des Verwaltungsgerichtshofs Österreich, des Bundesverwaltungsgerichts Deutschland, des Verwaltungsgerichtshofs Fürstentum Liechtenstein und des Bundesgerichts teil. Das Treffen dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch über die aktuelle Rechtsprechung sowie über Problemstellungen und Tendenzen im Verwaltungsrecht. Themenschwerpunkte der Arbeitssitzungen bilden der Grundrechts- insbesondere der Datenschutz im Lichte der elektronischen Technologien (z.B. Veröffentlichungen im Internet, Google Street View, Überwachung des öffentlichen Raums), Internationalrechtliche Verfahrensgarantien und rechtliche Fragen im Zusammenhang mit Spielbanken, Lotterien und Wetten. Der fachliche Austausch unter den Richtern wird begleitet von einem Rahmenprogramm, das unter anderem einen Besuch im Olympischen Museum in Lausanne und im CERN in Genf vorsieht.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 8 septembre 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Rencontre des cours administratives suprêmes germanophones Le Tribunal fédéral reçoit ce mercredi, à Lausanne, une délégation composée de juges d’Allemagne, d’Autriche et du Liechtenstein pour la traditionnelle rencontre des cours administratives suprêmes germanophones. La réunion, d’une durée de quatre jours, a pour but un échange d’opinions au-delà des frontières sur des thèmes juridiques actuels. Un programme culturel sera également proposé en marge de cette rencontre. La rencontre entre les cours administratives suprêmes germanophones a lieu tous les deux ans depuis 1977. Le Tribunal fédéral organise la présente édition du 10 au 13 septembre 2014. Les présidents ainsi que des juges des cours administratives suprêmes d’Autriche, d’Allemagne, du Liechtenstein et du Tribunal fédéral suisse prendront part à cette rencontre. La rencontre servira à un échange d’opinions transfrontalier sur la jurisprudence actuelle ainsi que sur les problèmes et tendances dans le droit administratif. Les points forts des séances de travail seront la protection des droits fondamentaux, en particulier la protection des données en relation avec les technologies électroniques (par exemple, publications sur internet, Google Street View, surveillance du domaine public), les garanties de procédure fondées sur le droit international ainsi que les questions de droit relatives aux maisons de jeu, aux loteries et aux paris. L’échange d'expériences professionnelles entre les juges sera accompagné d’un programme culturel, prévoyant notamment une visite du Musée olympique de Lausanne et du CERN à Genève.
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Lausanne, 8. September 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte Das Bundesgericht empfängt am kommenden Mittwoch in Lausanne Richterdelegationen aus Deutschland, Österreich und dem Fürstentum Liechtenstein zum traditionellen Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte. Der vier Tage dauernde Anlass dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch zu aktuellen juristischen Themen und wird von einem Rahmenprogramm begleitet. Das Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte findet seit 1977 alle zwei Jahre statt. Dieses Jahr wird der Anlass vom 10. bis zum 13. September vom Bundesgericht in Lausanne durchgeführt. An der Veranstaltung nehmen die Präsidenten sowie Richterinnen und Richter des Verwaltungsgerichtshofs Österreich, des Bundesverwaltungsgerichts Deutschland, des Verwaltungsgerichtshofs Fürstentum Liechtenstein und des Bundesgerichts teil. Das Treffen dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch über die aktuelle Rechtsprechung sowie über Problemstellungen und Tendenzen im Verwaltungsrecht. Themenschwerpunkte der Arbeitssitzungen bilden der Grundrechts- insbesondere der Datenschutz im Lichte der elektronischen Technologien (z.B. Veröffentlichungen im Internet, Google Street View, Überwachung des öffentlichen Raums), Internationalrechtliche Verfahrensgarantien und rechtliche Fragen im Zusammenhang mit Spielbanken, Lotterien und Wetten. Der fachliche Austausch unter den Richtern wird begleitet von einem Rahmenprogramm, das unter anderem einen Besuch im Olympischen Museum in Lausanne und im CERN in Genf vorsieht.
Lausanne, le 8 septembre 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Rencontre des cours administratives suprêmes germanophones Le Tribunal fédéral reçoit ce mercredi, à Lausanne, une délégation composée de juges d’Allemagne, d’Autriche et du Liechtenstein pour la traditionnelle rencontre des cours administratives suprêmes germanophones. La réunion, d’une durée de quatre jours, a pour but un échange d’opinions au-delà des frontières sur des thèmes juridiques actuels. Un programme culturel sera également proposé en marge de cette rencontre. La rencontre entre les cours administratives suprêmes germanophones a lieu tous les deux ans depuis 1977. Le Tribunal fédéral organise la présente édition du 10 au 13 septembre 2014. Les présidents ainsi que des juges des cours administratives suprêmes d’Autriche, d’Allemagne, du Liechtenstein et du Tribunal fédéral suisse prendront part à cette rencontre. La rencontre servira à un échange d’opinions transfrontalier sur la jurisprudence actuelle ainsi que sur les problèmes et tendances dans le droit administratif. Les points forts des séances de travail seront la protection des droits fondamentaux, en particulier la protection des données en relation avec les technologies électroniques (par exemple, publications sur internet, Google Street View, surveillance du domaine public), les garanties de procédure fondées sur le droit international ainsi que les questions de droit relatives aux maisons de jeu, aux loteries et aux paris. L’échange d'expériences professionnelles entre les juges sera accompagné d’un programme culturel, prévoyant notamment une visite du Musée olympique de Lausanne et du CERN à Genève.
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11.5.2_14.6.14.2_1_2015_yyyy_mm_dd_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 20. Mai 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Kongress ACCPUF vom 3. bis 7. Juni in Lausanne Das Bundesgericht richtet in Lausanne vom 3. bis zum 7. Juni 2015 den Kongress und die Generalversammlung der Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français) aus. An der Veranstaltung unter dem Titel "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) nehmen rund 100 Personen aus 48 Ländern teil. Im Rahmen der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte sowie Sitzungen der ACCPUF-Organe statt. Am kommenden 3. Juni treffen in Lausanne rund 100 Teilnehmer zum dreijährlich stattfindenden Kongress der ACCPUF ein. Die Konferenz unter dem Titel "La suprématie de la constitution" wird vom Schweizerischen Bundesgericht organisiert und durchgeführt. Zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts helfen bei der Durchführung des Anlasses mit. Im Rahmen der Eröffnungsfeier vom 4. Juni wird neben anderen Frau Bundespräsidentin Simonetta Sommaruga eine Ansprache halten. Während der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte, die Generalversammlung sowie Sitzungen der Organe der ACCPUF statt. Der Kongress dauert bis zum 7. Juni und wird von einem Rahmenprogramm ergänzt, das auch einen Besuch des Bundeshauses in Bern vorsieht. Die ACCPUF wurde 1997 gegründet; heute gehören ihr 45 Verfassungsgerichte aus Afrika, Europa, Amerika und Asien an; drei weitere Verfassungsgerichte haben Beobachterstatus. Gemäss den Statuten der ACCPUF können Institutionen aus Ländern aufgenommen werden, in denen die französische Sprache verwendet wird und die – unabhängig von ihrer konkreten Bezeichnung – in letzter Instanz über "Streitigkeiten zur Vereinbarkeit mit der Verfassung" entscheiden. ACCPUF hat zum Ziel, durch die Entwicklung der Beziehungen unter den beteiligten Gerichten die Rechtsstaatlichkeit zu fördern. Eine Mitgliedschaft bei der ACCPUF beinhaltet keinerlei Bestrebungen zur Änderung der aktuellen Überprüfungsbefugnisse der beteiligten Gerichte in Verfassungsfragen. Das Bundesgericht wurde 1997 in die ACCPUF aufgenommen. Aktuell wird die Vereinigung von Herr Mohamed Achargui präsidiert, dem Präsidenten des Verfassungsrates des Königreichs Marokko, wo 2012 der letzte Kongress der ACCPUF stattgefunden hat. Dabei wurde dem Bundesgericht das erste Vizepräsidium des Büros der ACCPUF und die Ausrichtung des nun stattfindenden Kongresses übertragen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 20 mai 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Congrès de l'ACCPUF du 3 au 7 juin à Lausanne Le Tribunal fédéral organise à Lausanne, du 3 au 7 juin 2015, le Congrès et l'Assemblée générale de l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français (ACCPUF). Environ 100 personnes provenant de 48 pays prendront part à cette manifestation qui aura pour thème « La suprématie de la Constitution ». Des séances de travail des représentants des Cours participantes ainsi que des réunions des organes de l'Association auront lieu dans le cadre de cette Conférence. Le 3 juin prochain, environ 100 participants se réuniront à Lausanne pour assister au Congrès triennal de l'ACCPUF. La Conférence sur le thème « La suprématie de la Constitution » est organisée par le Tribunal fédéral suisse. De nombreux employés du Tribunal fédéral apporteront leur soutien au bon déroulement de la manifestation. La cérémonie d'ouverture du 4 juin accueillera entre autres orateurs la Présidente de la Confédération suisse Simonetta Sommaruga. Pendant la Conférence, auront lieu des séances de travail des représentants des Cours participantes, l'Assemblée générale ainsi que des réunions des organes de l'Association. Le Congrès se terminera le 7 juin et finira par une excursion incluant notamment une visite du Palais fédéral à Berne. L'ACCPUF a été fondée en 1997 et est composée à ce jour de 45 Cours constitutionnelles d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et d'Asie; trois autres Cours constitutionnelles y ont un statut d'observateur. Selon les statuts de l'ACCPUF, peuvent devenir membres les institutions, quelles que soient leurs appellations, qui proviennent de pays ayant en partage l'usage du français et qui tranchent en dernière instance les litiges de conformité à la Constitution. L'ACCPUF a pour but de favoriser l'approfondissement de l'Etat de droit par un développement des relations entre les membres. La qualité de membre n'implique aucunement l'obligation, de la part des institutions participantes, de modifier leur pouvoir de contrôle actuel sur les questions constitutionnelles. Le Tribunal fédéral est entré dans l'ACCPUF en 1997. Actuellement, l'Association est présidée par Monsieur Mohamed Achargui, Président du Conseil constitutionnel du Royaume du Maroc, pays qui a accueilli en 2012 le dernier Congrès de l'ACCPUF. A cette occasion, le Tribunal fédéral a été élu à la première viceprésidence du Bureau et s'est vu confier l'organisation du présent Congrès.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 20 maggio 2015 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Congresso ACCPUF dal 3 al 7 giugno a Losanna Il Tribunale federale organizzerà a Losanna dal 3 al 7 giugno 2015 il Congresso e l'Assemblea Generale dell'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). All'evento, intitolato "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), parteciperanno circa 100 persone provenienti da 48 paesi. Durante il congresso avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF. Un centinaio di partecipanti si riuniranno il 3 giugno prossimo a Losanna per assistere al Congresso dell'ACCPUF, che si tiene ogni 3 anni. Il Congresso, intitolato "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), è organizzato dal Tribunale federale svizzero. Numerose collaboratrici e collaboratori del Tribunale federale parteciperanno all'organizzazione e allo svolgimento del Congresso. Alla cerimonia inaugurale del 4 giugno interverrà, tra gli altri, la Presidente della Confederazione svizzera Simonetta Sommaruga. Durante tutta la durata del Congresso avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF. Il Congresso si concluderà il 7 giugno con un'escursione durante la quale è segnatamente prevista una visita del Parlamento federale a Berna. L'ACCPUF, fondata nel 1997, è attualmente composta da 45 corti costituzionali africane, europee, americane e asiatiche. Tre ulteriori corti costituzionali hanno dal canto loro lo statuto di osservatrici. Secondo gli statuti dell'ACCPUF possono aderire all'associazione le istituzioni dei Paesi che hanno in comune l'uso della lingua francese che – indipendentemente dalla loro denominazione – decidono in ultima istanza sui litigi concernenti la costituzionalità. Obbiettivo di ACCPUF è di promuovere lo stato di diritto attraverso lo sviluppo delle relazioni tra i suoi membri. L'appartenenza all'ACCPUF non prospetta una modifica dell'attuale competenza dei tribunali membri nell'ambito del controllo costituzionale. Il Tribunale federale è entrato a far parte dell'ACCPUF nel 1997. L'associazione è attualmente presieduta da Mohamed Achargui, Presidente del Consiglio costituzionale del Regno del Marocco, dove nel 2012 ha avuto luogo l'ultima edizione del Congresso. In quell'occasione, il Tribunale federale svizzero è stato eletto alla prima Vicepresidenza dell'ACCPUF ed incaricato dell'organizzazione del presente congresso.
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Lausanne, 20. Mai 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Kongress ACCPUF vom 3. bis 7. Juni in Lausanne Das Bundesgericht richtet in Lausanne vom 3. bis zum 7. Juni 2015 den Kongress und die Generalversammlung der Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français) aus. An der Veranstaltung unter dem Titel "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) nehmen rund 100 Personen aus 48 Ländern teil. Im Rahmen der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte sowie Sitzungen der ACCPUF-Organe statt. Am kommenden 3. Juni treffen in Lausanne rund 100 Teilnehmer zum dreijährlich stattfindenden Kongress der ACCPUF ein. Die Konferenz unter dem Titel "La suprématie de la constitution" wird vom Schweizerischen Bundesgericht organisiert und durchgeführt. Zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts helfen bei der Durchführung des Anlasses mit. Im Rahmen der Eröffnungsfeier vom 4. Juni wird neben anderen Frau Bundespräsidentin Simonetta Sommaruga eine Ansprache halten. Während der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte, die Generalversammlung sowie Sitzungen der Organe der ACCPUF statt. Der Kongress dauert bis zum 7. Juni und wird von einem Rahmenprogramm ergänzt, das auch einen Besuch des Bundeshauses in Bern vorsieht. Die ACCPUF wurde 1997 gegründet; heute gehören ihr 45 Verfassungsgerichte aus Afrika, Europa, Amerika und Asien an; drei weitere Verfassungsgerichte haben Beobachterstatus. Gemäss den Statuten der ACCPUF können Institutionen aus Ländern aufgenommen werden, in denen die französische Sprache verwendet wird und die – unabhängig von ihrer konkreten Bezeichnung – in letzter Instanz über "Streitigkeiten zur Vereinbarkeit mit der Verfassung" entscheiden. ACCPUF hat zum Ziel, durch die Entwicklung der Beziehungen unter den beteiligten Gerichten die Rechtsstaatlichkeit zu fördern. Eine Mitgliedschaft bei der ACCPUF beinhaltet keinerlei Bestrebungen zur Änderung der aktuellen Überprüfungsbefugnisse der beteiligten Gerichte in Verfassungsfragen. Das Bundesgericht wurde 1997 in die ACCPUF aufgenommen. Aktuell wird die Vereinigung von Herr Mohamed Achargui präsidiert, dem Präsidenten des Verfassungsrates des Königreichs Marokko, wo 2012 der letzte Kongress der ACCPUF stattgefunden hat. Dabei wurde dem Bundesgericht das erste Vizepräsidium des Büros der ACCPUF und die Ausrichtung des nun stattfindenden Kongresses übertragen.
Lausanne, le 20 mai 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Congrès de l'ACCPUF du 3 au 7 juin à Lausanne Le Tribunal fédéral organise à Lausanne, du 3 au 7 juin 2015, le Congrès et l'Assemblée générale de l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français (ACCPUF). Environ 100 personnes provenant de 48 pays prendront part à cette manifestation qui aura pour thème « La suprématie de la Constitution ». Des séances de travail des représentants des Cours participantes ainsi que des réunions des organes de l'Association auront lieu dans le cadre de cette Conférence. Le 3 juin prochain, environ 100 participants se réuniront à Lausanne pour assister au Congrès triennal de l'ACCPUF. La Conférence sur le thème « La suprématie de la Constitution » est organisée par le Tribunal fédéral suisse. De nombreux employés du Tribunal fédéral apporteront leur soutien au bon déroulement de la manifestation. La cérémonie d'ouverture du 4 juin accueillera entre autres orateurs la Présidente de la Confédération suisse Simonetta Sommaruga. Pendant la Conférence, auront lieu des séances de travail des représentants des Cours participantes, l'Assemblée générale ainsi que des réunions des organes de l'Association. Le Congrès se terminera le 7 juin et finira par une excursion incluant notamment une visite du Palais fédéral à Berne. L'ACCPUF a été fondée en 1997 et est composée à ce jour de 45 Cours constitutionnelles d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et d'Asie; trois autres Cours constitutionnelles y ont un statut d'observateur. Selon les statuts de l'ACCPUF, peuvent devenir membres les institutions, quelles que soient leurs appellations, qui proviennent de pays ayant en partage l'usage du français et qui tranchent en dernière instance les litiges de conformité à la Constitution. L'ACCPUF a pour but de favoriser l'approfondissement de l'Etat de droit par un développement des relations entre les membres. La qualité de membre n'implique aucunement l'obligation, de la part des institutions participantes, de modifier leur pouvoir de contrôle actuel sur les questions constitutionnelles. Le Tribunal fédéral est entré dans l'ACCPUF en 1997. Actuellement, l'Association est présidée par Monsieur Mohamed Achargui, Président du Conseil constitutionnel du Royaume du Maroc, pays qui a accueilli en 2012 le dernier Congrès de l'ACCPUF. A cette occasion, le Tribunal fédéral a été élu à la première viceprésidence du Bureau et s'est vu confier l'organisation du présent Congrès.
Losanna, 20 maggio 2015 Comunicato stampa del Tribunale federale Congresso ACCPUF dal 3 al 7 giugno a Losanna Il Tribunale federale organizzerà a Losanna dal 3 al 7 giugno 2015 il Congresso e l'Assemblea Generale dell'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). All'evento, intitolato "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), parteciperanno circa 100 persone provenienti da 48 paesi. Durante il congresso avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF. Un centinaio di partecipanti si riuniranno il 3 giugno prossimo a Losanna per assistere al Congresso dell'ACCPUF, che si tiene ogni 3 anni. Il Congresso, intitolato "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), è organizzato dal Tribunale federale svizzero. Numerose collaboratrici e collaboratori del Tribunale federale parteciperanno all'organizzazione e allo svolgimento del Congresso. Alla cerimonia inaugurale del 4 giugno interverrà, tra gli altri, la Presidente della Confederazione svizzera Simonetta Sommaruga. Durante tutta la durata del Congresso avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF. Il Congresso si concluderà il 7 giugno con un'escursione durante la quale è segnatamente prevista una visita del Parlamento federale a Berna. L'ACCPUF, fondata nel 1997, è attualmente composta da 45 corti costituzionali africane, europee, americane e asiatiche. Tre ulteriori corti costituzionali hanno dal canto loro lo statuto di osservatrici. Secondo gli statuti dell'ACCPUF possono aderire all'associazione le istituzioni dei Paesi che hanno in comune l'uso della lingua francese che – indipendentemente dalla loro denominazione – decidono in ultima istanza sui litigi concernenti la costituzionalità. Obbiettivo di ACCPUF è di promuovere lo stato di diritto attraverso lo sviluppo delle relazioni tra i suoi membri. L'appartenenza all'ACCPUF non prospetta una modifica dell'attuale competenza dei tribunali membri nell'ambito del controllo costituzionale. Il Tribunale federale è entrato a far parte dell'ACCPUF nel 1997. L'associazione è attualmente presieduta da Mohamed Achargui, Presidente del Consiglio costituzionale del Regno del Marocco, dove nel 2012 ha avuto luogo l'ultima edizione del Congresso. In quell'occasione, il Tribunale federale svizzero è stato eletto alla prima Vicepresidenza dell'ACCPUF ed incaricato dell'organizzazione del presente congresso.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 11. Juni 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Bundesgerichtspräsident präsidiert ACCPUF bis 2018 Der Präsident des Schweizerischen Bundesgerichts präsidiert die nächsten drei Jahre die Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). Das Präsidium wurde von der Generalversammlung der ACCPUF an ihrer Konferenz von vergangener Woche in Lausanne übertragen. Vom 3. Juni bis zum 7. Juni 2015 fand in Lausanne der Kongress der ACCPUF statt. Anlässlich der Generalversammlung der ACCPUF vom vergangenen Freitag wurde dem Präsidenten des Schweizerischen Bundesgerichts das Präsidium für die Jahre 2015 bis 2018 übertragen. Von 2012 bis 2015 hatte das Bundesgericht das Vizepräsidium des Büros der ACCPUF ausgeübt und in diesem Rahmen den Kongress der ACCPUF von letzter Woche in Lausanne organisiert. Die Konferenz, bei deren Durchführung zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts mitgeholfen haben, fand zum Thema "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) statt. Während der Konferenz nahmen die rund 100 Teilnehmerinnen und Teilnehmer aus über 30 Ländern an mehreren Arbeitssitzungen teil. Ein Gesamtbericht und die Schlussfolgerungen zu den Konferenzergebnissen werden zu einem späteren Zeitpunkt veröffentlicht. Weitere Informationen zum ACCPUF-Kongress entnehmen Sie bitte unserer Medienmitteilung vom 20. Mai 2015, abrufbar unter: http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 11 juin 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Le Président du Tribunal fédéral préside l'ACCPUF jusqu'en 2018 Le Président du Tribunal fédéral suisse préside les trois prochaines années l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français (ACCPUF). La Présidence a été confiée par l'Assemblée générale de l'ACCPUF lors de son Congrès de la semaine passée à Lausanne. Le Congrès de l'ACCPUF a eu lieu du 3 au 7 juin 2015 à Lausanne. A l'occasion de l'Assemblée générale de l'ACCPUF de vendredi dernier, la Présidence de l'ACCPUF a été confiée au Président du Tribunal fédéral suisse pour les années 2015 à 2018. De 2012 à 2015, le Tribunal fédéral a exercé la vice-présidence du Bureau de l'ACCPUF et, dans ce cadre, a organisé le Congrès de l'ACCPUF de la semaine passée à Lausanne. La Conférence, pour laquelle de nombreux employés du Tribunal fédéral ont apporté leur soutien, a eu pour thème « La suprématie de la constitution ». Lors de cette Conférence environ 100 participantes et participants de plus de 30 pays ont participé aux différentes séances de travail. Un rapport général ainsi que les conclusions des résultats de la Conférence seront publiés ultérieurement. Vous trouverez de plus amples informations dans notre communiqué aux médias du 20 mai 2015, disponible sur: http://www.bger.ch/fr/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 11 giugno 2015 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Il Presidente del Tribunale federale presiederà ACCPUF sino al 2018 Il Presidente dell Tribunale federale svizzero presiederà per i prossimi tre anni l'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). L'assegnazione della presidenza è avvenuta durante il Congresso e l'Assemblea generale dell'ACCPUF, che hanno avuto luogo ad inizio giugno a Losanna. Il Congresso dell'ACCPUF si è svolto dal 3 al 7 giugno a Losanna. In occasione dell'Assemblea generale dell'ACCPUF, avvenuta venerdì 5 giugno, al Presidente del Tribunale federale svizzero è stata assegnata la presidenza dell'associazione dal 2015 al 2018. Il Tribunale federale è stato vicepresidente dell'Associazione dal 2012 al 2015 e in quanto tale ha organizzato il Congresso che si è tenuto a Losanna. La conferenza, all'organizzazione della quale hanno partecipato numerosi collaboratori e collaboratrici del Tribunale federale, era intitolata "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution). Un centinaio di partecipanti, provenienti da oltre 30 paesi, hanno preso parte alle sedute di lavoro. Un rapporto completo, con le conclusioni e le conseguenze delle Conferenze, verrà pubblicato ulteriormente. Per altre informazioni sul Congresso dell'ACCPUF vi invitiamo a consultare il nostro comunicato stampa del 20 maggio 2015, disponibile all'indirizzo: http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
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Lausanne, 11. Juni 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Bundesgerichtspräsident präsidiert ACCPUF bis 2018 Der Präsident des Schweizerischen Bundesgerichts präsidiert die nächsten drei Jahre die Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). Das Präsidium wurde von der Generalversammlung der ACCPUF an ihrer Konferenz von vergangener Woche in Lausanne übertragen. Vom 3. Juni bis zum 7. Juni 2015 fand in Lausanne der Kongress der ACCPUF statt. Anlässlich der Generalversammlung der ACCPUF vom vergangenen Freitag wurde dem Präsidenten des Schweizerischen Bundesgerichts das Präsidium für die Jahre 2015 bis 2018 übertragen. Von 2012 bis 2015 hatte das Bundesgericht das Vizepräsidium des Büros der ACCPUF ausgeübt und in diesem Rahmen den Kongress der ACCPUF von letzter Woche in Lausanne organisiert. Die Konferenz, bei deren Durchführung zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts mitgeholfen haben, fand zum Thema "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) statt. Während der Konferenz nahmen die rund 100 Teilnehmerinnen und Teilnehmer aus über 30 Ländern an mehreren Arbeitssitzungen teil. Ein Gesamtbericht und die Schlussfolgerungen zu den Konferenzergebnissen werden zu einem späteren Zeitpunkt veröffentlicht. Weitere Informationen zum ACCPUF-Kongress entnehmen Sie bitte unserer Medienmitteilung vom 20. Mai 2015, abrufbar unter: http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
Lausanne, le 11 juin 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Le Président du Tribunal fédéral préside l'ACCPUF jusqu'en 2018 Le Président du Tribunal fédéral suisse préside les trois prochaines années l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français (ACCPUF). La Présidence a été confiée par l'Assemblée générale de l'ACCPUF lors de son Congrès de la semaine passée à Lausanne. Le Congrès de l'ACCPUF a eu lieu du 3 au 7 juin 2015 à Lausanne. A l'occasion de l'Assemblée générale de l'ACCPUF de vendredi dernier, la Présidence de l'ACCPUF a été confiée au Président du Tribunal fédéral suisse pour les années 2015 à 2018. De 2012 à 2015, le Tribunal fédéral a exercé la vice-présidence du Bureau de l'ACCPUF et, dans ce cadre, a organisé le Congrès de l'ACCPUF de la semaine passée à Lausanne. La Conférence, pour laquelle de nombreux employés du Tribunal fédéral ont apporté leur soutien, a eu pour thème « La suprématie de la constitution ». Lors de cette Conférence environ 100 participantes et participants de plus de 30 pays ont participé aux différentes séances de travail. Un rapport général ainsi que les conclusions des résultats de la Conférence seront publiés ultérieurement. Vous trouverez de plus amples informations dans notre communiqué aux médias du 20 mai 2015, disponible sur: http://www.bger.ch/fr/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
Losanna, 11 giugno 2015 Comunicato stampa del Tribunale federale Il Presidente del Tribunale federale presiederà ACCPUF sino al 2018 Il Presidente dell Tribunale federale svizzero presiederà per i prossimi tre anni l'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). L'assegnazione della presidenza è avvenuta durante il Congresso e l'Assemblea generale dell'ACCPUF, che hanno avuto luogo ad inizio giugno a Losanna. Il Congresso dell'ACCPUF si è svolto dal 3 al 7 giugno a Losanna. In occasione dell'Assemblea generale dell'ACCPUF, avvenuta venerdì 5 giugno, al Presidente del Tribunale federale svizzero è stata assegnata la presidenza dell'associazione dal 2015 al 2018. Il Tribunale federale è stato vicepresidente dell'Associazione dal 2012 al 2015 e in quanto tale ha organizzato il Congresso che si è tenuto a Losanna. La conferenza, all'organizzazione della quale hanno partecipato numerosi collaboratori e collaboratrici del Tribunale federale, era intitolata "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution). Un centinaio di partecipanti, provenienti da oltre 30 paesi, hanno preso parte alle sedute di lavoro. Un rapporto completo, con le conclusioni e le conseguenze delle Conferenze, verrà pubblicato ulteriormente. Per altre informazioni sul Congresso dell'ACCPUF vi invitiamo a consultare il nostro comunicato stampa del 20 maggio 2015, disponibile all'indirizzo: http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 5. Februar 2019 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des französischen Conseil d'État Das Bundesgericht in Lausanne hat am Sonntagabend eine Delegation des französischen Conseil d'État empfangen. Am Montag haben die Vertreter der beiden Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen. Der französische Conseil d'État wurde von seinem Vizepräsidenten Bruno Lassere und fünf weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Gerichtspräsident Ulrich Meyer fünf Richterinnen und Richter sowie den Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Montags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Bioethik, die Bedingung des Bürgerrechtserwerbs und Fragen um grosse Infrastrukturprojekte. Am Montagabend reiste die französische Delegation wieder ab.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 5 février 2019 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Visite du Conseil d’État français Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne dimanche soir une délégation du Conseil d’État français. Lors de la réunion de travail de lundi, les représentants des deux institutions ont discuté de questions juridiques actuelles. Le Conseil d’État français est représenté par son Vice-Président, M. Bruno Lassere, ainsi que par cinq autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son Président, M. le Juge Ulrich Meyer, ainsi que de cinq autres juges et du Secrétaire général. Les participants se sont réunis lundi pour trois séances de travail. Les sujets principaux abordés étaient la bioéthique, les conditions d'acquisition de la nationalité et des questions relatives aux grands projets d'infrastructure. La délégation française a quitté la Suisse lundi soir.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 5 febbraio 2019 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese Il Tribunale federale ha accolto domenica sera a Losanna una delegazione del Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo lunedì e si sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità. Il Consiglio di Stato francese è rappresentato dal suo Vicepresidente Bruno Lassere e da cinque ulteriori membri. La delegazione del Tribunale federale è composta dal suo Presidente Ulrich Meyer, da cinque giudici federali e dal Segretario generale supplente. I partecipanti si sono incontrati durante la giornata di lunedì per tre riunioni di lavoro. I temi principali sono stati la bioetica, le condizioni per l'acquisizione della cittadinanza e questioni relative ai grandi progetti di infrastruttura. La delegazione francese ha lasciato la Svizzera lunedì sera.
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Lausanne, 5. Februar 2019 Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des französischen Conseil d'État Das Bundesgericht in Lausanne hat am Sonntagabend eine Delegation des französischen Conseil d'État empfangen. Am Montag haben die Vertreter der beiden Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen. Der französische Conseil d'État wurde von seinem Vizepräsidenten Bruno Lassere und fünf weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Gerichtspräsident Ulrich Meyer fünf Richterinnen und Richter sowie den Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Montags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Bioethik, die Bedingung des Bürgerrechtserwerbs und Fragen um grosse Infrastrukturprojekte. Am Montagabend reiste die französische Delegation wieder ab.
Lausanne, le 5 février 2019 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Visite du Conseil d’État français Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne dimanche soir une délégation du Conseil d’État français. Lors de la réunion de travail de lundi, les représentants des deux institutions ont discuté de questions juridiques actuelles. Le Conseil d’État français est représenté par son Vice-Président, M. Bruno Lassere, ainsi que par cinq autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son Président, M. le Juge Ulrich Meyer, ainsi que de cinq autres juges et du Secrétaire général. Les participants se sont réunis lundi pour trois séances de travail. Les sujets principaux abordés étaient la bioéthique, les conditions d'acquisition de la nationalité et des questions relatives aux grands projets d'infrastructure. La délégation française a quitté la Suisse lundi soir.
Losanna, 5 febbraio 2019 Comunicato stampa del Tribunale federale Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese Il Tribunale federale ha accolto domenica sera a Losanna una delegazione del Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo lunedì e si sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità. Il Consiglio di Stato francese è rappresentato dal suo Vicepresidente Bruno Lassere e da cinque ulteriori membri. La delegazione del Tribunale federale è composta dal suo Presidente Ulrich Meyer, da cinque giudici federali e dal Segretario generale supplente. I partecipanti si sono incontrati durante la giornata di lunedì per tre riunioni di lavoro. I temi principali sono stati la bioetica, le condizioni per l'acquisizione della cittadinanza e questioni relative ai grandi progetti di infrastruttura. La delegazione francese ha lasciato la Svizzera lunedì sera.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 14. November 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des französischen Conseil d'État Das Bundesgericht in Lausanne hat am Donnerstagabend eine Delegation des französischen Conseil d'État empfangen. Am Freitag haben die Vertreter der beiden Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen. Der Besuch des französischen Conseil d'État erfolgt in seiner Funktion als oberstes Verwaltungsgericht Frankreichs. Der Conseil d'État wird von seinem Vizepräsidenten Jean-Marc Sauvé und vier weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasst neben Gerichtspräsident Gilbert Kolly fünf weitere Richterinnen und Richter sowie den stellvertretenden Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Freitags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Grund- und Freiheitsrechte im Lichte der digitalen Technologien (Internet, Google Street View u.a.), das Recht auf ein faires Verfahren sowie die Koordination sich widersprechender öffentlicher Interessen im Bereich des Umweltschutzes. Am Freitagabend reist die französische Delegation wieder ab.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 14 novembre 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Visite du Conseil d’État français Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne jeudi soir une délégation du Conseil d’État français. Lors de la réunion de travail de vendredi, les représentants des deux institutions ont discuté de questions juridiques actuelles. Le Conseil d’État français est reçu en sa qualité de juridiction administrative suprême de la France. Il est représenté par son Vice-Président, M. Jean-Marc Sauvé, ainsi que par quatre autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son Président, M. le Juge Gilbert Kolly, ainsi que de cinq autres membres et du Secrétaire général suppléant. Les participants se sont réunis vendredi pour trois séances de travail. Les sujets principaux abordés étaient les droits fondamentaux à la lumière des nouvelles technologies (Internet, Google Street View, etc.), le droit à un procès équitable et la coordination d'intérêts publics contradictoires en matière de protection de l'environnement. La délégation française quitte la Suisse vendredi soir.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 14 novembre 2014 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese Il Tribunale federale ha accolto giovedì sera a Losanna una delegazione del Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo venerdì e si sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità. Il Consiglio di Stato, rappresentato dal suo vicepresidente Jean-Marc Sauvé e da quattro ulteriori membri, rende visita al Tribunale federale nella sua veste di tribunale amministrativo supremo della Repubblica francese. La delegazione del Tribunale federale è composta dal presidente Gilbert Kolly, da cinque giudici federali e dal segretario generale supplente. Le delegazioni si sono incontrate durante la giornata di venerdì per tre riunioni di lavoro. I temi principali sono stati i diritti e le libertà fondamentali alla luce delle tecnologie digitali (Internet, Google Street View, ecc.), il diritto a un'equa procedura nonché la coordinazione di interessi pubblici contraddittori nell'ambito della protezione dell'ambiente. La delegazione francese ripartirà venerdì sera.
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Lausanne, 14. November 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des französischen Conseil d'État Das Bundesgericht in Lausanne hat am Donnerstagabend eine Delegation des französischen Conseil d'État empfangen. Am Freitag haben die Vertreter der beiden Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen. Der Besuch des französischen Conseil d'État erfolgt in seiner Funktion als oberstes Verwaltungsgericht Frankreichs. Der Conseil d'État wird von seinem Vizepräsidenten Jean-Marc Sauvé und vier weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasst neben Gerichtspräsident Gilbert Kolly fünf weitere Richterinnen und Richter sowie den stellvertretenden Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Freitags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Grund- und Freiheitsrechte im Lichte der digitalen Technologien (Internet, Google Street View u.a.), das Recht auf ein faires Verfahren sowie die Koordination sich widersprechender öffentlicher Interessen im Bereich des Umweltschutzes. Am Freitagabend reist die französische Delegation wieder ab.
Lausanne, le 14 novembre 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Visite du Conseil d’État français Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne jeudi soir une délégation du Conseil d’État français. Lors de la réunion de travail de vendredi, les représentants des deux institutions ont discuté de questions juridiques actuelles. Le Conseil d’État français est reçu en sa qualité de juridiction administrative suprême de la France. Il est représenté par son Vice-Président, M. Jean-Marc Sauvé, ainsi que par quatre autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son Président, M. le Juge Gilbert Kolly, ainsi que de cinq autres membres et du Secrétaire général suppléant. Les participants se sont réunis vendredi pour trois séances de travail. Les sujets principaux abordés étaient les droits fondamentaux à la lumière des nouvelles technologies (Internet, Google Street View, etc.), le droit à un procès équitable et la coordination d'intérêts publics contradictoires en matière de protection de l'environnement. La délégation française quitte la Suisse vendredi soir.
Losanna, 14 novembre 2014 Comunicato stampa del Tribunale federale Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese Il Tribunale federale ha accolto giovedì sera a Losanna una delegazione del Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo venerdì e si sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità. Il Consiglio di Stato, rappresentato dal suo vicepresidente Jean-Marc Sauvé e da quattro ulteriori membri, rende visita al Tribunale federale nella sua veste di tribunale amministrativo supremo della Repubblica francese. La delegazione del Tribunale federale è composta dal presidente Gilbert Kolly, da cinque giudici federali e dal segretario generale supplente. Le delegazioni si sono incontrate durante la giornata di venerdì per tre riunioni di lavoro. I temi principali sono stati i diritti e le libertà fondamentali alla luce delle tecnologie digitali (Internet, Google Street View, ecc.), il diritto a un'equa procedura nonché la coordinazione di interessi pubblici contraddittori nell'ambito della protezione dell'ambiente. La delegazione francese ripartirà venerdì sera.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 20. Februar 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des Bundesfinanzhofs Deutschland Das Bundesgericht hat am Donnerstag an seinem Sitz in Lausanne eine Delegation des Bundesfinanzhofs Deutschland empfangen. Während dem bis zum Freitag dauernden Besuch fanden mehrere Arbeitssitzungen statt, in denen vorwiegend aktuelle steuerrechtliche Fragen besprochen wurden. Der deutsche Bundesfinanzhof wurde von seinem Präsidenten Rudolf Mellinghoff und drei weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Bundesgerichtspräsident Gilbert Kolly den Abteilungspräsidenten Andreas Zünd und drei weitere Richter der für Steuerrecht zuständigen Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung sowie zwei Vertreter des Generalsekretariats. Die Teilnehmer trafen sich am Donnerstag und am Freitag zu fünf Arbeitssitzungen. Schwerpunkt bildeten dabei aktuelle steuerrechtliche Fragen, unter anderem die Rolle des Europäischen Gerichtshofs beziehungsweise des Europarechts für Deutschland und die Schweiz im Bereich des Steuerrechts. Ein weiteres Diskussionsthema betraf die Digitalisierung gerichtlicher Streitverfahren.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 20 février 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Visite de la Cour fédérale des finances allemande Le Tribunal fédéral a reçu jeudi à son siège de Lausanne une délégation de la Cour fédérale des finances allemande (Bundesfinanzhof). Durant la visite, qui s'est conclue vendredi, plusieurs séances de travail ont eu lieu, principalement consacrées à des questions actuelles de droit fiscal. La Cour fédérale des finances allemande était représentée par son Président Rudolf Mellinghoff et trois autres membres. La délégation du Tribunal fédéral était composée du Président du Tribunal fédéral Gilbert Kolly, du Président de la cour Andreas Zünd et de trois autres juges de la IIe Cour de droit public, compétente en matière de droit fiscal, ainsi que de deux représentants du Secrétariat général. Les participants se sont réunis jeudi et vendredi lors de cinq séances de travail, principalement consacrées à des questions actuelles de droit fiscal. Parmi les sujets traités figuraient le rôle de la Cour de Justice Européenne, respectivement du droit européen pour l'Allemagne et la Suisse dans le domaine du droit fiscal, ainsi que la digitalisation des procédures judiciaires contentieuses.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 20 febbraio 2015 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Visita della Corte federale delle finanze tedesca Il Tribunale federale ha ricevuto giovedì nella sua sede di Losanna la visita di una delegazione della Corte federale delle finanze tedesca (Bundesfinanzhof). La visita, che si è protratta sino a venerdì, prevedeva delle riunioni di lavoro focalizzate su questioni attuali di diritto fiscale. La Corte federale delle finanze tedesca è stata rappresentata dal suo presidente Rudolf Mellinghoff e da tre altri membri. La delegazione del Tribunale federale svizzero, dal canto suo, era composta dal presidente del Tribunale federale Gilbert Kolly, dal presidente di corte Andreas Zünd e da tre giudici della seconda Corte di diritto pubblico, responsabile del diritto fiscale, e da due membri del Segretariato generale. I partecipanti si sono incontrati giovedì e venerdì durante cinque riunioni di lavoro per discutere di questioni attuali di diritto fiscale. Tra queste figuravano il ruolo della Corte europea di giustizia, rispettivamente del diritto europeo, nell'ambito del diritto fiscale di Svizzera e Germania, e la digitalizzazione delle procedure litigiose da parte dei tribunali.
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Lausanne, 20. Februar 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des Bundesfinanzhofs Deutschland Das Bundesgericht hat am Donnerstag an seinem Sitz in Lausanne eine Delegation des Bundesfinanzhofs Deutschland empfangen. Während dem bis zum Freitag dauernden Besuch fanden mehrere Arbeitssitzungen statt, in denen vorwiegend aktuelle steuerrechtliche Fragen besprochen wurden. Der deutsche Bundesfinanzhof wurde von seinem Präsidenten Rudolf Mellinghoff und drei weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Bundesgerichtspräsident Gilbert Kolly den Abteilungspräsidenten Andreas Zünd und drei weitere Richter der für Steuerrecht zuständigen Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung sowie zwei Vertreter des Generalsekretariats. Die Teilnehmer trafen sich am Donnerstag und am Freitag zu fünf Arbeitssitzungen. Schwerpunkt bildeten dabei aktuelle steuerrechtliche Fragen, unter anderem die Rolle des Europäischen Gerichtshofs beziehungsweise des Europarechts für Deutschland und die Schweiz im Bereich des Steuerrechts. Ein weiteres Diskussionsthema betraf die Digitalisierung gerichtlicher Streitverfahren.
Lausanne, le 20 février 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Visite de la Cour fédérale des finances allemande Le Tribunal fédéral a reçu jeudi à son siège de Lausanne une délégation de la Cour fédérale des finances allemande (Bundesfinanzhof). Durant la visite, qui s'est conclue vendredi, plusieurs séances de travail ont eu lieu, principalement consacrées à des questions actuelles de droit fiscal. La Cour fédérale des finances allemande était représentée par son Président Rudolf Mellinghoff et trois autres membres. La délégation du Tribunal fédéral était composée du Président du Tribunal fédéral Gilbert Kolly, du Président de la cour Andreas Zünd et de trois autres juges de la IIe Cour de droit public, compétente en matière de droit fiscal, ainsi que de deux représentants du Secrétariat général. Les participants se sont réunis jeudi et vendredi lors de cinq séances de travail, principalement consacrées à des questions actuelles de droit fiscal. Parmi les sujets traités figuraient le rôle de la Cour de Justice Européenne, respectivement du droit européen pour l'Allemagne et la Suisse dans le domaine du droit fiscal, ainsi que la digitalisation des procédures judiciaires contentieuses.
Losanna, 20 febbraio 2015 Comunicato stampa del Tribunale federale Visita della Corte federale delle finanze tedesca Il Tribunale federale ha ricevuto giovedì nella sua sede di Losanna la visita di una delegazione della Corte federale delle finanze tedesca (Bundesfinanzhof). La visita, che si è protratta sino a venerdì, prevedeva delle riunioni di lavoro focalizzate su questioni attuali di diritto fiscale. La Corte federale delle finanze tedesca è stata rappresentata dal suo presidente Rudolf Mellinghoff e da tre altri membri. La delegazione del Tribunale federale svizzero, dal canto suo, era composta dal presidente del Tribunale federale Gilbert Kolly, dal presidente di corte Andreas Zünd e da tre giudici della seconda Corte di diritto pubblico, responsabile del diritto fiscale, e da due membri del Segretariato generale. I partecipanti si sono incontrati giovedì e venerdì durante cinque riunioni di lavoro per discutere di questioni attuali di diritto fiscale. Tra queste figuravano il ruolo della Corte europea di giustizia, rispettivamente del diritto europeo, nell'ambito del diritto fiscale di Svizzera e Germania, e la digitalizzazione delle procedure litigiose da parte dei tribunali.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 28. März 2018 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des Bundesverfassungsgerichts Deutschland Eine Delegation des Bundesverfassungsgerichts Deutschland hat von Montagabend bis Mittwoch das Schweizerische Bundesgericht an seinem Sitz in Lausanne besucht. In mehreren Arbeitssitzungen wurden aktuelle juristische Themen erörtert. Von Seiten des Bundesverfassungsgerichts Deutschland nahmen an dem Besuch dessen Präsident Andreas Vosskuhle, vier Richterinnen und Richter sowie der Direktor des Bundesverfassungsgerichts teil. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Bundesgerichtspräsident Ulrich Meyer und Bundesgerichtsvizepräsidentin Martha Niquille sechs weitere Richterinnen und Richter und den Generalsekretär des Bundesgerichts. Die Teilnehmer des Anlasses trafen sich während des Besuchs zu mehreren Arbeitssitzungen, an denen aktuelle juristische Themen erörtert wurden. Besprochen wurden unter anderem Fragen zum Föderalismus, zur Datenaufbewahrung, zum Umgang des Staates mit gefährlichen Straftätern sowie zur Schiedsgerichtsbarkeit anstelle staatlicher Justiz im demokratischen Verfassungsstaat.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 28 mars 2018 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Visite de la Cour constitutionnelle fédérale allemande Une délégation de la Cour constitutionnelle fédérale allemande a rendu visite au Tribunal fédéral suisse à son siège à Lausanne de lundi soir à mercredi. Des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus lors de plusieurs séances de travail. Du côté de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, ont participé à la visite son Président Andreas Vosskuhle, quatre juges ainsi que son Directeur. Outre le Président du Tribunal fédéral Ulrich Meyer et la Vice-présidente Martha Niquille, la délégation du Tribunal fédéral comprenait six autres juges et le Secrétaire général du Tribunal fédéral. Durant cette visite, les participants se sont rencontrés lors de plusieurs séances de travail au cours desquelles des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus. Les discussions ont notamment porté sur des questions en rapport avec le fédéralisme, la conservation des données, la manière pour l'Etat d'agir avec les délinquants dangereux ainsi que le recours à l'arbitrage plutôt qu'à la justice étatique dans un Etat constitutionnel démocratique.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 28 marzo 2018 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Visita della Corte costituzionale federale tedesca Una delegazione della Corte costituzionale federale tedesca ha effettuato da lunedì sera a mercoledì una visita del Tribunale federale svizzero presso la sua sede a Losanna. Durante diverse sessioni di lavoro sono stati discussi temi giuridici attuali. All'incontro erano presenti per la Corte costituzionale federale tedesca il suo Presidente Andreas Vosskuhle, quattro giudici e il suo Direttore. Oltre al Presidente del Tribunale federale Ulrich Meyer e alla Vicepresidente Martha Niquille, la delegazione del Tribunale federale era composta da altri sei giudici e dal suo Segretario generale. Durante la visita i partecipanti all'evento si sono riuniti in diverse sessioni di lavoro dove sono stati discussi temi giuridici attuali, in particolare questioni concernenti il federalismo, la conservazione dei dati, il modo di agire dello Stato nei confronti dei delinquenti pericolosi e il ricorso all'arbitrato anziché alla giurisdizione statale in uno Stato costituzionale democratico.
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Lausanne, 28. März 2018 Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des Bundesverfassungsgerichts Deutschland Eine Delegation des Bundesverfassungsgerichts Deutschland hat von Montagabend bis Mittwoch das Schweizerische Bundesgericht an seinem Sitz in Lausanne besucht. In mehreren Arbeitssitzungen wurden aktuelle juristische Themen erörtert. Von Seiten des Bundesverfassungsgerichts Deutschland nahmen an dem Besuch dessen Präsident Andreas Vosskuhle, vier Richterinnen und Richter sowie der Direktor des Bundesverfassungsgerichts teil. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Bundesgerichtspräsident Ulrich Meyer und Bundesgerichtsvizepräsidentin Martha Niquille sechs weitere Richterinnen und Richter und den Generalsekretär des Bundesgerichts. Die Teilnehmer des Anlasses trafen sich während des Besuchs zu mehreren Arbeitssitzungen, an denen aktuelle juristische Themen erörtert wurden. Besprochen wurden unter anderem Fragen zum Föderalismus, zur Datenaufbewahrung, zum Umgang des Staates mit gefährlichen Straftätern sowie zur Schiedsgerichtsbarkeit anstelle staatlicher Justiz im demokratischen Verfassungsstaat.
Lausanne, le 28 mars 2018 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Visite de la Cour constitutionnelle fédérale allemande Une délégation de la Cour constitutionnelle fédérale allemande a rendu visite au Tribunal fédéral suisse à son siège à Lausanne de lundi soir à mercredi. Des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus lors de plusieurs séances de travail. Du côté de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, ont participé à la visite son Président Andreas Vosskuhle, quatre juges ainsi que son Directeur. Outre le Président du Tribunal fédéral Ulrich Meyer et la Vice-présidente Martha Niquille, la délégation du Tribunal fédéral comprenait six autres juges et le Secrétaire général du Tribunal fédéral. Durant cette visite, les participants se sont rencontrés lors de plusieurs séances de travail au cours desquelles des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus. Les discussions ont notamment porté sur des questions en rapport avec le fédéralisme, la conservation des données, la manière pour l'Etat d'agir avec les délinquants dangereux ainsi que le recours à l'arbitrage plutôt qu'à la justice étatique dans un Etat constitutionnel démocratique.
Losanna, 28 marzo 2018 Comunicato stampa del Tribunale federale Visita della Corte costituzionale federale tedesca Una delegazione della Corte costituzionale federale tedesca ha effettuato da lunedì sera a mercoledì una visita del Tribunale federale svizzero presso la sua sede a Losanna. Durante diverse sessioni di lavoro sono stati discussi temi giuridici attuali. All'incontro erano presenti per la Corte costituzionale federale tedesca il suo Presidente Andreas Vosskuhle, quattro giudici e il suo Direttore. Oltre al Presidente del Tribunale federale Ulrich Meyer e alla Vicepresidente Martha Niquille, la delegazione del Tribunale federale era composta da altri sei giudici e dal suo Segretario generale. Durante la visita i partecipanti all'evento si sono riuniti in diverse sessioni di lavoro dove sono stati discussi temi giuridici attuali, in particolare questioni concernenti il federalismo, la conservazione dei dati, il modo di agire dello Stato nei confronti dei delinquenti pericolosi e il ricorso all'arbitrato anziché alla giurisdizione statale in uno Stato costituzionale democratico.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 27. April 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Filmaufnahmen zu öffentlichen Urteilsberatungen Das Bundesgericht stellt künftig Filmaufnahmen zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen zur Verfügung. Gezeigt werden in den mehrminütigen Filmbeiträgen jeweils die Eröffnung der Verhandlung sowie die Verkündung des Urteils. Die Filmaufnahmen können nach der Beratung auf der Homepage des Bundesgerichts angeschaut und heruntergeladen werden. Eine erste Filmaufnahme wurde heute Mittwoch veröffentlicht. Das Bundesgericht wird künftig zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen Filmaufnahmen zur Verfügung stellen. Gezeigt wird jeweils die Eröffnung der Verhandlung unter Nennung des Verfahrensgegenstandes sowie die Verkündung des Urteils am Ende der Beratung. Nicht aufgenommen wird die eigentliche Diskussion des Falles durch das Richtergremium, die oft mehrere Stunden dauern kann. Vorgesehen ist, pro Jahr zu mehreren ausgewählten Beratungen entsprechende Aufnahmen zu machen, die dann gleichentags auf der Homepage des Bundesgerichts (www.bger.ch) veröffentlicht werden. Die Beiträge können dort auf der "Medienplattform" unter der Rubrik "Presse/Aktuelles" angeschaut und heruntergeladen werden. An gleicher Stelle sind auch Fotografien zur jeweiligen Sitzung verfügbar. Die von einem Filmteam im Auftrag des Bundesgerichts erstellten Aufnahmen dauern einige Minuten. Ein erster Film wurde heute Mittwoch 27. April 2016 zur öffentlichen Beratung betreffend die Stimmrechtsbeschwerde im Zusammenhang mit der Teilrevision des Zürcher Richtplans zur künftigen Nutzung des Flugplatzareals Dübendorf veröffentlicht. Urteile des Bundesgerichts werden dann in einer öffentlichen Beratung gefällt, wenn die beteiligten Richter sich nicht einig sind, wenn der Abteilungspräsident dies anordnet oder wenn ein Richter es verlangt. Nach der Diskussion des Falles wird durch Handerheben abgestimmt. Anschliessend wird das Urteilsdispositiv eröffnet.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 27 avril 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Prises de vue lors de séances publiques A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées d'une sélection de délibérations publiques. Ces enregistrements de plusieurs minutes montreront l'ouverture de l'audience ainsi que le prononcé de la décision. Ils pourront être visionnés et téléchargés après la séance sur le site internet du Tribunal fédéral. Les images d'un premier tournage ont été publiées aujourd'hui. A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées de certaines délibérations publiques montrant l'ouverture de l'audience qui comprend l'énoncé de l'objet de la procédure, ainsi que le prononcé de la décision en fin de séance. Cependant, la discussion de l'affaire elle-même entre les juges, qui peut durer plusieurs heures, ne sera pas enregistrée. Il est prévu de filmer chaque année une sélection de séances publiques et de les publier le jour même sur le site internet du Tribunal fédéral (www.tribunal-federal.ch). Les enregistrements pourront être visionnés et téléchargés sur la « Plateforme des médias » sous la rubrique « Presse/Actualité ». Cette plateforme comprendra aussi des photos de la séance concernée. Une équipe de tournage mandatée par le Tribunal fédéral réalisera ces séquences de quelques minutes. Un premier film a été publié aujourd'hui, mercredi 27 avril 2016. Il montre la séance publique portant sur le recours pour violation du droit de vote dans le cadre de la révision partielle du plan directeur zurichois concernant l'utilisation future du territoire aéroportuaire de Dübendorf. Une affaire est jugée en séance publique lorsqu'il n'y a pas unanimité parmi les juges, lorsque le président de la cour l'ordonne ou un juge le demande. A l'issue des délibérations les juges votent à main levée. Ensuite, le dispositif de l'arrêt est prononcé.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 27 aprile 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Riprese video delle sedute pubbliche Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze, della durata di alcuni minuti, mostreranno l'apertura del dibattimento e la pronuncia della sentenza. Le immagini potranno essere visionate sul sito internet del Tribunale federale e da esso scaricate. Le prime riprese video sono state pubblicate oggi. Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze mostreranno l'apertura del dibattimento con l'annuncio dell'oggetto della procedura e la pronuncia della sentenza al termine della deliberazione. Non verrà, invece, filmata la discussione del caso da parte del collegio giudicante, che spesso si protrae per diverse ore. Ogni anno saranno realizzate delle riprese video di diverse sedute pubbliche, le quali saranno pubblicate il giorno stesso sul sito internet del Tribunale federale (www.tribunale-federale.ch). Tali sequenze potranno essere visionate e scaricate sull'Hub multimediale della rubrica "Stampa/Attualità", dove saranno disponibili pure delle fotografie relative alle sedute. Le riprese saranno effettuate da un team attivo su mandato del Tribunale federale e dureranno pochi minuti. II primo video è stato pubblicato oggi, mercoledì 27 aprile 2016, e concerne la seduta pubblica relativa alla revisione parziale del piano direttore per la futura utilizzazione del campo d'aviazione di Dübendorf. Le decisioni del Tribunale federale sono pronunciate in occasione di una seduta pubblica se non vi è unanimità fra i giudici, se lo ordina il presidente della corte oppure su richiesta di un giudice. Al termine della discussione, i giudici votano per alzata di mano. Il dispositivo della decisione è notificato successivamente.
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11.5.2_15.0.0.3_01_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang}
Lausanne, 27. April 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Filmaufnahmen zu öffentlichen Urteilsberatungen Das Bundesgericht stellt künftig Filmaufnahmen zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen zur Verfügung. Gezeigt werden in den mehrminütigen Filmbeiträgen jeweils die Eröffnung der Verhandlung sowie die Verkündung des Urteils. Die Filmaufnahmen können nach der Beratung auf der Homepage des Bundesgerichts angeschaut und heruntergeladen werden. Eine erste Filmaufnahme wurde heute Mittwoch veröffentlicht. Das Bundesgericht wird künftig zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen Filmaufnahmen zur Verfügung stellen. Gezeigt wird jeweils die Eröffnung der Verhandlung unter Nennung des Verfahrensgegenstandes sowie die Verkündung des Urteils am Ende der Beratung. Nicht aufgenommen wird die eigentliche Diskussion des Falles durch das Richtergremium, die oft mehrere Stunden dauern kann. Vorgesehen ist, pro Jahr zu mehreren ausgewählten Beratungen entsprechende Aufnahmen zu machen, die dann gleichentags auf der Homepage des Bundesgerichts (www.bger.ch) veröffentlicht werden. Die Beiträge können dort auf der "Medienplattform" unter der Rubrik "Presse/Aktuelles" angeschaut und heruntergeladen werden. An gleicher Stelle sind auch Fotografien zur jeweiligen Sitzung verfügbar. Die von einem Filmteam im Auftrag des Bundesgerichts erstellten Aufnahmen dauern einige Minuten. Ein erster Film wurde heute Mittwoch 27. April 2016 zur öffentlichen Beratung betreffend die Stimmrechtsbeschwerde im Zusammenhang mit der Teilrevision des Zürcher Richtplans zur künftigen Nutzung des Flugplatzareals Dübendorf veröffentlicht. Urteile des Bundesgerichts werden dann in einer öffentlichen Beratung gefällt, wenn die beteiligten Richter sich nicht einig sind, wenn der Abteilungspräsident dies anordnet oder wenn ein Richter es verlangt. Nach der Diskussion des Falles wird durch Handerheben abgestimmt. Anschliessend wird das Urteilsdispositiv eröffnet.
Lausanne, le 27 avril 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Prises de vue lors de séances publiques A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées d'une sélection de délibérations publiques. Ces enregistrements de plusieurs minutes montreront l'ouverture de l'audience ainsi que le prononcé de la décision. Ils pourront être visionnés et téléchargés après la séance sur le site internet du Tribunal fédéral. Les images d'un premier tournage ont été publiées aujourd'hui. A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées de certaines délibérations publiques montrant l'ouverture de l'audience qui comprend l'énoncé de l'objet de la procédure, ainsi que le prononcé de la décision en fin de séance. Cependant, la discussion de l'affaire elle-même entre les juges, qui peut durer plusieurs heures, ne sera pas enregistrée. Il est prévu de filmer chaque année une sélection de séances publiques et de les publier le jour même sur le site internet du Tribunal fédéral (www.tribunal-federal.ch). Les enregistrements pourront être visionnés et téléchargés sur la « Plateforme des médias » sous la rubrique « Presse/Actualité ». Cette plateforme comprendra aussi des photos de la séance concernée. Une équipe de tournage mandatée par le Tribunal fédéral réalisera ces séquences de quelques minutes. Un premier film a été publié aujourd'hui, mercredi 27 avril 2016. Il montre la séance publique portant sur le recours pour violation du droit de vote dans le cadre de la révision partielle du plan directeur zurichois concernant l'utilisation future du territoire aéroportuaire de Dübendorf. Une affaire est jugée en séance publique lorsqu'il n'y a pas unanimité parmi les juges, lorsque le président de la cour l'ordonne ou un juge le demande. A l'issue des délibérations les juges votent à main levée. Ensuite, le dispositif de l'arrêt est prononcé.
Losanna, 27 aprile 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Riprese video delle sedute pubbliche Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze, della durata di alcuni minuti, mostreranno l'apertura del dibattimento e la pronuncia della sentenza. Le immagini potranno essere visionate sul sito internet del Tribunale federale e da esso scaricate. Le prime riprese video sono state pubblicate oggi. Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze mostreranno l'apertura del dibattimento con l'annuncio dell'oggetto della procedura e la pronuncia della sentenza al termine della deliberazione. Non verrà, invece, filmata la discussione del caso da parte del collegio giudicante, che spesso si protrae per diverse ore. Ogni anno saranno realizzate delle riprese video di diverse sedute pubbliche, le quali saranno pubblicate il giorno stesso sul sito internet del Tribunale federale (www.tribunale-federale.ch). Tali sequenze potranno essere visionate e scaricate sull'Hub multimediale della rubrica "Stampa/Attualità", dove saranno disponibili pure delle fotografie relative alle sedute. Le riprese saranno effettuate da un team attivo su mandato del Tribunale federale e dureranno pochi minuti. II primo video è stato pubblicato oggi, mercoledì 27 aprile 2016, e concerne la seduta pubblica relativa alla revisione parziale del piano direttore per la futura utilizzazione del campo d'aviazione di Dübendorf. Le decisioni del Tribunale federale sono pronunciate in occasione di una seduta pubblica se non vi è unanimità fra i giudici, se lo ordina il presidente della corte oppure su richiesta di un giudice. Al termine della discussione, i giudici votano per alzata di mano. Il dispositivo della decisione è notificato successivamente.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 23. Oktober 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Gutachten zur Zulässigkeit des Projekts OpenJustitia Das Bundesgericht reagiert auf das Gutachten zur Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung als Open-Source-Software. Das Gericht ergreift Massnahmen zu den im Gutachten geäusserten Vorbehalten bei der kostenlosen Nutzung seiner Gerichtssoftware OpenJustitia durch die Kantone. OpenJustitia ist ein Paket gerichtsspezifischer Software, die auf Open-SourceKomponenten aufbaut. Die Anwendungen wurden vom Bundesgericht ab 2006 mangels geeigneter Marktangebote selber entwickelt und fortlaufend den Bedürfnissen des Gerichts angepasst. Seit September 2011 wurde das OpenJustitia-Paket vom Bundesgericht im Rahmen der Grundsätze von Open-Source interessierten Nutzern kostenlos zur Verfügung gestellt. Aktuell gehören 18 Mitglieder zur OpenJustitia-Community, wobei fast ausschliesslich eine Nutzung durch Gerichte in Betracht fällt. Die unentgeltliche Weitergabe von OpenJustitia ist geeignet, die Informatik-Kosten der öffentlichen Hand zu senken und den Steuerzahler zu entlasten. Das Bundesgericht kann seinerseits von den Weiterentwicklungen anderer Teilnehmer profitieren. Auf eine Interpellation hin entschied der Bundesrat im Februar 2013, ein juristisches Gutachten zur Zulässigkeit der Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung als Open-Source-Software erstellen zu lassen, mit spezifischen Fragen betreffend OpenJustitia. Das nun veröffentlichte Gutachten von Prof. Dr. iur Georg Müller und PD Dr. iur. Stefan Vogel kommt unter anderem zum Schluss, dass ein Zusammenwirken des Bundesgerichts mit kantonalen Gerichten im Rahmen einer Open-SourceCommunity möglich ist, aber einer gesetzlichen Grundlage bedarf. Der Einbezug von Privaten in Open-Source-Projekte des Bundesgerichts ist gemäss dem Gutachten problematisch und grundsätzlich unzulässig. Bei seinem Entscheid zur Freigabe von OpenJustitia im Rahmen einer Open-SourceCommunity ging das Bundesgericht davon aus, dass dieser Schritt mit den geltenden rechtlichen Bestimmungen vereinbar ist. Insbesondere vertrat es die Auffassung, dass es bei der kostenlosen Öffnung des Zugangs zur OpenJustita-Software nicht gewerblich tätig ist und dass das OpenJustitia-Projekt dem im Finanzhaushaltgesetz festgelegten Grundsatz entspricht, wonach der Bund für einen wirksamen und wirtschaftlichen Einsatz der Mittel zu sorgen hat 1. Zudem stützte es seinen Freigabe-Entscheid auf die E-Government-Strategie des Bundesrates 2 und die entsprechende öffentlich-rechtliche Rahmenvereinbarung zwischen Bund und Kantonen 3 ab, gemäss denen der "Mehrfachnutzung von Daten und Leistungen" eine zentrale Bedeutung zukommt. Das Bundesgericht nimmt zur Kenntnis, dass das Gutachten teilweise zu gegenteiligen Schlüssen kommt, die vom Gericht vorgesehene Open-Source-Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der im Gutachten formulierten Kriterien aber nicht ausschliesst. Das Bundesgericht wird eine Standortbestimmung vornehmen und den Subkommissionen Gerichte/BA der Geschäftsprüfungskommissionen bis 22. Dezember 2014 Bericht erstatten. Was die aktuelle Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der OpenSource-Community betrifft, handelt es sich dabei ausschliesslich um die Verwendung durch kantonale Gerichte oder im Auftrag von kantonalen Gerichten. Dem im Gutachten gemachten Vorbehalt der fehlenden gesetzlichen Grundlage trägt das Bundesgericht insofern Rechnung, als es vorerst keine Weiterentwicklungen allgemein zugänglich veröffentlicht. Es wird allenfalls Sache des Parlaments sein, über die Schaffung der gesetzlichen Grundlage zu entscheiden. Soweit das Gutachten bei Leistungsbeziehungen zwischen dem Bundesgericht und Dritten gewisse Bedenken hinsichtlich der Unabhängigkeit der Justiz formuliert, wird das Bundesgericht den massgebenden Grundsätzen weiterhin vorbehaltlos Rechnung tragen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 23 octobre 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Expertise relative à l'admissibilité du projet OpenJustitia Le Tribunal fédéral se prononce sur l'expertise relative à la mise à disposition de solutions informatiques de l'administration fédérale comme logiciels libres. Le Tribunal prend des mesures pour donner suite aux réserves exprimées dans l'expertise relative à l'utilisation gratuite par les cantons de son logiciel pour tribunaux OpenJustitia. OpenJustitia est un ensemble de logiciels spécifiques pour tribunaux basés sur des composants open source. Le Tribunal fédéral les a développés lui-même à partir de 2006 en raison de l'absence de produits appropriés disponibles sur le marché, puis les a adaptés à ses besoins. Depuis septembre 2011, les modules OpenJustitia du Tribunal fédéral sont mis à disposition gratuitement des utilisateurs intéressés dans le respect des règles régissant les logiciels libres. Actuellement la communauté OpenJustitia compte 18 membres; ce sont presque exclusivement des tribunaux qui ont utilisé des modules de ce logiciel libre. La remise gratuite d'OpenJustitia constitue un moyen approprié pour réduire les coûts informatiques des pouvoirs publics et pour diminuer la charge fiscale pesant sur les contribuables. De son côté, le Tribunal fédéral peut profiter des nouveaux développements effectués par d'autres participants de la communauté. Pour donner suite à une interpellation, le Conseil fédéral a décidé en février 2013 de faire établir une expertise juridique sur l'admissibilité de la mise à disposition de solutions informatiques par l'administration fédérale comme logiciels libres; le mandat d'expertise contenait aussi des questions spécifiques relatives à OpenJustitia. L'expertise, publiée aujourd'hui, des Professeurs Georg Müller et Stefan Vogel conclut notamment qu'une collaboration du Tribunal fédéral avec les tribunaux cantonaux est possible dans le cadre d'une communauté open source; cependant elle doit reposer sur une base légale. L'intégration d'entreprises privées dans les projets open source du Tribunal fédéral est, selon l'expertise, problématique et n'est en principe pas admissible. Lorsque le Tribunal fédéral avait décidé de mettre à disposition les modules OpenJustitia dans le cadre d'une communauté open source, il était d'avis que cette façon de faire était conforme aux dispositions légales en vigueur. En particulier, il avait estimé qu'il n’exerçait aucune activité commerciale par la mise à disposition gratuite du logiciel OpenJustitia et que le projet OpenJustitia respectait les principes de la loi sur les finances de la Confédération selon laquelle la Confédération veille à un emploi efficace et autonome des fonds 1. En outre, il avait fondé sa décision de mise à disposition du logiciel libre sur la Stratégie suisse de Cyberadministration ( « E-Government ») du Conseil fédéral2 ainsi que sur la Convention-cadre de droit public entre la Confédération et les cantons3 y relative préconisant « une utilisation multiple » des données et des prestations. Le Tribunal fédéral prend acte que l'expertise aboutit partiellement à des conclusions inverses, mais qu'elle n’exclut pas l'utilisation des logiciels libres OpenJustitia telle que prévue par le Tribunal dans les limites décrites dans l'expertise. Le Tribunal fédéral va apprécier la situation et rendre un rapport aux sous-commissions tribunaux/Ministère public des commissions de gestion d'ici au 22 décembre 2014. Actuellement, au sein de la communauté open source, des modules OpenJustitia sont utilisés exclusivement par des tribunaux cantonaux ou des entreprises mandatées par eux. Le Tribunal fédéral prend en considération les réserves relatives à l'absence de base légale formulées dans l'expertise et renonce provisoirement à donner un accès public aux nouveaux développements du logiciel. Le cas échéant, il incombera au Parlement de se prononcer sur l'adoption d'une base légale. En ce qui concerne certaines réserves, mentionnées dans l'expertise, en relation avec l’indépendance de la justice concernant des prestations entre le Tribunal et des tiers, le Tribunal fédéral va continuer de se conformer pleinement aux principes énoncés.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 23 ottobre 2014 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Perizia concernente l'ammissibilità del progetto OpenJustitia Il Tribunale federale si pronuncia in merito alla perizia concernente la messa a disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi open source. Il Tribunale prende delle misure a seguito delle riserve espresse nella perizia in merito all'utilizzazione gratuita da parte dei Cantoni del suo programma per tribunale OpenJustitia. OpenJustitia è un insieme di programmi informatici specificatamente sviluppati per le esigenze dei tribunali sulla base di componenti open source. Il Tribunale federale ha iniziato a sviluppare questi programmi a partire dal 2006 a causa della mancanza sul mercato di tali prodotti. In seguito, il Tribunale ha adattato nel tempo questi programmi per rispondere ai propri bisogni. Da settembre 2011, l'insieme dei programmi informatici OpenJustitia è gratuitamente a disposizione degli utilizzatori interessati al loro impiego nel rispetto dei principi open source. La comunità open source è attualmente composta da 18 membri, fra i quali si contano quasi esclusivamente dei tribunali. La trasmissione gratuita di OpenJustitia rappresenta un mezzo appropriato per ridurre i costi informatici del potere pubblico e diminuire il carico fiscale del contribuente. Da parte sua, il Tribunale federale può approfittare degli sviluppi apportati ai programmi dagli altri membri della comunità. Dando seguito ad un'interpellanza, nel corso del mese di febbraio 2013 il Consiglio federale ha chiesto l'allestimento di una perizia giuridica sull'ammissibilità della messa a disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi open source. Tale mandato peritale conteneva specifiche domande concernenti OpenJustitia. La perizia allestita dai professori Georg Müller e Stefan Vogel appena pubblicata giunge, fra l'altro, alla conclusione che una collaborazione del Tribunale federale con i tribunali cantonali nell'ambito di una comunità open source è possibile, ma deve poggiare su di una base legale. La partecipazione di privati a progetti open source del Tribunale federale è, secondo la medesima perizia, problematica e di principio inammissibile. Quando ha deciso di mettere a disposizione della comunità open source i suoi programmi informatici OpenJustitia, il Tribunale federale credeva nella compatibilità del suo agire con le disposizioni legali vigenti. Il Tribunale era segnatamente d'avviso che la messa a disposizione gratuita dei programmi OpenJustitia non costituiva alcuna attività commerciale e che tale progetto era conforme al principio enunciato nella legge federale sulle finanze della Confederazione che prevede un impiego efficace ed economico dei fondi1. Inoltre, il Tribunale federale aveva preso questa decisione fondandosi sulla strategia di e-government Svizzera del Consiglio federale 2 e sulla convenzione quadro di diritto pubblico fra la Confederazione e i Cantoni 3, le quali prevedono una "molteplice utilizzazione" dei dati e delle prestazioni. Il Tribunale federale constata che la perizia esperita giunge a conclusioni parzialmente contrarie, ma che non esclude, nel rispetto dei criteri enunciati nella stessa, la prevista utilizzazione open source dell'insieme dei programmi OpenJustitia. Il Tribunale federale analizzerà la situazione e consegnerà un rapporto all'attenzione delle sottocommissioni Tribunali/MPC delle commissioni della gestione entro il 22 dicembre 2014. Par quanto riguarda l'attuale utilizzazione di OpenJustitia da parte della comunità open source, tali programmi sono esclusivamente utilizzati da tribunali cantonali o da ditte attive su loro mandato. In considerazione della riserva concernente l'assenza di una base legale contenuta nella perizia, il Tribunale federale decide di rinunciare, per il momento, alla messa a disposizione di terzi di ulteriori sviluppi dei propri programmi. Se del caso, incomberà al Parlamento pronunciarsi sull'adozione di una base legale. Per quanto riguarda le riserve formulate nella perizia in merito all'indipendenza della giustizia in relazione ai rapporti di prestazione intrattenuti dal Tribunale federale con terzi, il Tribunale continuerà ad attenersi scrupolosamente ai principi enunciati.
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Lausanne, 23. Oktober 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Gutachten zur Zulässigkeit des Projekts OpenJustitia Das Bundesgericht reagiert auf das Gutachten zur Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung als Open-Source-Software. Das Gericht ergreift Massnahmen zu den im Gutachten geäusserten Vorbehalten bei der kostenlosen Nutzung seiner Gerichtssoftware OpenJustitia durch die Kantone. OpenJustitia ist ein Paket gerichtsspezifischer Software, die auf Open-SourceKomponenten aufbaut. Die Anwendungen wurden vom Bundesgericht ab 2006 mangels geeigneter Marktangebote selber entwickelt und fortlaufend den Bedürfnissen des Gerichts angepasst. Seit September 2011 wurde das OpenJustitia-Paket vom Bundesgericht im Rahmen der Grundsätze von Open-Source interessierten Nutzern kostenlos zur Verfügung gestellt. Aktuell gehören 18 Mitglieder zur OpenJustitia-Community, wobei fast ausschliesslich eine Nutzung durch Gerichte in Betracht fällt. Die unentgeltliche Weitergabe von OpenJustitia ist geeignet, die Informatik-Kosten der öffentlichen Hand zu senken und den Steuerzahler zu entlasten. Das Bundesgericht kann seinerseits von den Weiterentwicklungen anderer Teilnehmer profitieren. Auf eine Interpellation hin entschied der Bundesrat im Februar 2013, ein juristisches Gutachten zur Zulässigkeit der Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung als Open-Source-Software erstellen zu lassen, mit spezifischen Fragen betreffend OpenJustitia. Das nun veröffentlichte Gutachten von Prof. Dr. iur Georg Müller und PD Dr. iur. Stefan Vogel kommt unter anderem zum Schluss, dass ein Zusammenwirken des Bundesgerichts mit kantonalen Gerichten im Rahmen einer Open-SourceCommunity möglich ist, aber einer gesetzlichen Grundlage bedarf. Der Einbezug von Privaten in Open-Source-Projekte des Bundesgerichts ist gemäss dem Gutachten problematisch und grundsätzlich unzulässig. Bei seinem Entscheid zur Freigabe von OpenJustitia im Rahmen einer Open-SourceCommunity ging das Bundesgericht davon aus, dass dieser Schritt mit den geltenden rechtlichen Bestimmungen vereinbar ist. Insbesondere vertrat es die Auffassung, dass es bei der kostenlosen Öffnung des Zugangs zur OpenJustita-Software nicht gewerblich tätig ist und dass das OpenJustitia-Projekt dem im Finanzhaushaltgesetz festgelegten Grundsatz entspricht, wonach der Bund für einen wirksamen und wirtschaftlichen Einsatz der Mittel zu sorgen hat 1. Zudem stützte es seinen Freigabe-Entscheid auf die E-Government-Strategie des Bundesrates 2 und die entsprechende öffentlich-rechtliche Rahmenvereinbarung zwischen Bund und Kantonen 3 ab, gemäss denen der "Mehrfachnutzung von Daten und Leistungen" eine zentrale Bedeutung zukommt. Das Bundesgericht nimmt zur Kenntnis, dass das Gutachten teilweise zu gegenteiligen Schlüssen kommt, die vom Gericht vorgesehene Open-Source-Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der im Gutachten formulierten Kriterien aber nicht ausschliesst. Das Bundesgericht wird eine Standortbestimmung vornehmen und den Subkommissionen Gerichte/BA der Geschäftsprüfungskommissionen bis 22. Dezember 2014 Bericht erstatten. Was die aktuelle Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der OpenSource-Community betrifft, handelt es sich dabei ausschliesslich um die Verwendung durch kantonale Gerichte oder im Auftrag von kantonalen Gerichten. Dem im Gutachten gemachten Vorbehalt der fehlenden gesetzlichen Grundlage trägt das Bundesgericht insofern Rechnung, als es vorerst keine Weiterentwicklungen allgemein zugänglich veröffentlicht. Es wird allenfalls Sache des Parlaments sein, über die Schaffung der gesetzlichen Grundlage zu entscheiden. Soweit das Gutachten bei Leistungsbeziehungen zwischen dem Bundesgericht und Dritten gewisse Bedenken hinsichtlich der Unabhängigkeit der Justiz formuliert, wird das Bundesgericht den massgebenden Grundsätzen weiterhin vorbehaltlos Rechnung tragen.
Lausanne, le 23 octobre 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Expertise relative à l'admissibilité du projet OpenJustitia Le Tribunal fédéral se prononce sur l'expertise relative à la mise à disposition de solutions informatiques de l'administration fédérale comme logiciels libres. Le Tribunal prend des mesures pour donner suite aux réserves exprimées dans l'expertise relative à l'utilisation gratuite par les cantons de son logiciel pour tribunaux OpenJustitia. OpenJustitia est un ensemble de logiciels spécifiques pour tribunaux basés sur des composants open source. Le Tribunal fédéral les a développés lui-même à partir de 2006 en raison de l'absence de produits appropriés disponibles sur le marché, puis les a adaptés à ses besoins. Depuis septembre 2011, les modules OpenJustitia du Tribunal fédéral sont mis à disposition gratuitement des utilisateurs intéressés dans le respect des règles régissant les logiciels libres. Actuellement la communauté OpenJustitia compte 18 membres; ce sont presque exclusivement des tribunaux qui ont utilisé des modules de ce logiciel libre. La remise gratuite d'OpenJustitia constitue un moyen approprié pour réduire les coûts informatiques des pouvoirs publics et pour diminuer la charge fiscale pesant sur les contribuables. De son côté, le Tribunal fédéral peut profiter des nouveaux développements effectués par d'autres participants de la communauté. Pour donner suite à une interpellation, le Conseil fédéral a décidé en février 2013 de faire établir une expertise juridique sur l'admissibilité de la mise à disposition de solutions informatiques par l'administration fédérale comme logiciels libres; le mandat d'expertise contenait aussi des questions spécifiques relatives à OpenJustitia. L'expertise, publiée aujourd'hui, des Professeurs Georg Müller et Stefan Vogel conclut notamment qu'une collaboration du Tribunal fédéral avec les tribunaux cantonaux est possible dans le cadre d'une communauté open source; cependant elle doit reposer sur une base légale. L'intégration d'entreprises privées dans les projets open source du Tribunal fédéral est, selon l'expertise, problématique et n'est en principe pas admissible. Lorsque le Tribunal fédéral avait décidé de mettre à disposition les modules OpenJustitia dans le cadre d'une communauté open source, il était d'avis que cette façon de faire était conforme aux dispositions légales en vigueur. En particulier, il avait estimé qu'il n’exerçait aucune activité commerciale par la mise à disposition gratuite du logiciel OpenJustitia et que le projet OpenJustitia respectait les principes de la loi sur les finances de la Confédération selon laquelle la Confédération veille à un emploi efficace et autonome des fonds 1. En outre, il avait fondé sa décision de mise à disposition du logiciel libre sur la Stratégie suisse de Cyberadministration ( « E-Government ») du Conseil fédéral2 ainsi que sur la Convention-cadre de droit public entre la Confédération et les cantons3 y relative préconisant « une utilisation multiple » des données et des prestations. Le Tribunal fédéral prend acte que l'expertise aboutit partiellement à des conclusions inverses, mais qu'elle n’exclut pas l'utilisation des logiciels libres OpenJustitia telle que prévue par le Tribunal dans les limites décrites dans l'expertise. Le Tribunal fédéral va apprécier la situation et rendre un rapport aux sous-commissions tribunaux/Ministère public des commissions de gestion d'ici au 22 décembre 2014. Actuellement, au sein de la communauté open source, des modules OpenJustitia sont utilisés exclusivement par des tribunaux cantonaux ou des entreprises mandatées par eux. Le Tribunal fédéral prend en considération les réserves relatives à l'absence de base légale formulées dans l'expertise et renonce provisoirement à donner un accès public aux nouveaux développements du logiciel. Le cas échéant, il incombera au Parlement de se prononcer sur l'adoption d'une base légale. En ce qui concerne certaines réserves, mentionnées dans l'expertise, en relation avec l’indépendance de la justice concernant des prestations entre le Tribunal et des tiers, le Tribunal fédéral va continuer de se conformer pleinement aux principes énoncés.
Losanna, 23 ottobre 2014 Comunicato stampa del Tribunale federale Perizia concernente l'ammissibilità del progetto OpenJustitia Il Tribunale federale si pronuncia in merito alla perizia concernente la messa a disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi open source. Il Tribunale prende delle misure a seguito delle riserve espresse nella perizia in merito all'utilizzazione gratuita da parte dei Cantoni del suo programma per tribunale OpenJustitia. OpenJustitia è un insieme di programmi informatici specificatamente sviluppati per le esigenze dei tribunali sulla base di componenti open source. Il Tribunale federale ha iniziato a sviluppare questi programmi a partire dal 2006 a causa della mancanza sul mercato di tali prodotti. In seguito, il Tribunale ha adattato nel tempo questi programmi per rispondere ai propri bisogni. Da settembre 2011, l'insieme dei programmi informatici OpenJustitia è gratuitamente a disposizione degli utilizzatori interessati al loro impiego nel rispetto dei principi open source. La comunità open source è attualmente composta da 18 membri, fra i quali si contano quasi esclusivamente dei tribunali. La trasmissione gratuita di OpenJustitia rappresenta un mezzo appropriato per ridurre i costi informatici del potere pubblico e diminuire il carico fiscale del contribuente. Da parte sua, il Tribunale federale può approfittare degli sviluppi apportati ai programmi dagli altri membri della comunità. Dando seguito ad un'interpellanza, nel corso del mese di febbraio 2013 il Consiglio federale ha chiesto l'allestimento di una perizia giuridica sull'ammissibilità della messa a disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi open source. Tale mandato peritale conteneva specifiche domande concernenti OpenJustitia. La perizia allestita dai professori Georg Müller e Stefan Vogel appena pubblicata giunge, fra l'altro, alla conclusione che una collaborazione del Tribunale federale con i tribunali cantonali nell'ambito di una comunità open source è possibile, ma deve poggiare su di una base legale. La partecipazione di privati a progetti open source del Tribunale federale è, secondo la medesima perizia, problematica e di principio inammissibile. Quando ha deciso di mettere a disposizione della comunità open source i suoi programmi informatici OpenJustitia, il Tribunale federale credeva nella compatibilità del suo agire con le disposizioni legali vigenti. Il Tribunale era segnatamente d'avviso che la messa a disposizione gratuita dei programmi OpenJustitia non costituiva alcuna attività commerciale e che tale progetto era conforme al principio enunciato nella legge federale sulle finanze della Confederazione che prevede un impiego efficace ed economico dei fondi1. Inoltre, il Tribunale federale aveva preso questa decisione fondandosi sulla strategia di e-government Svizzera del Consiglio federale 2 e sulla convenzione quadro di diritto pubblico fra la Confederazione e i Cantoni 3, le quali prevedono una "molteplice utilizzazione" dei dati e delle prestazioni. Il Tribunale federale constata che la perizia esperita giunge a conclusioni parzialmente contrarie, ma che non esclude, nel rispetto dei criteri enunciati nella stessa, la prevista utilizzazione open source dell'insieme dei programmi OpenJustitia. Il Tribunale federale analizzerà la situazione e consegnerà un rapporto all'attenzione delle sottocommissioni Tribunali/MPC delle commissioni della gestione entro il 22 dicembre 2014. Par quanto riguarda l'attuale utilizzazione di OpenJustitia da parte della comunità open source, tali programmi sono esclusivamente utilizzati da tribunali cantonali o da ditte attive su loro mandato. In considerazione della riserva concernente l'assenza di una base legale contenuta nella perizia, il Tribunale federale decide di rinunciare, per il momento, alla messa a disposizione di terzi di ulteriori sviluppi dei propri programmi. Se del caso, incomberà al Parlamento pronunciarsi sull'adozione di una base legale. Per quanto riguarda le riserve formulate nella perizia in merito all'indipendenza della giustizia in relazione ai rapporti di prestazione intrattenuti dal Tribunale federale con terzi, il Tribunale continuerà ad attenersi scrupolosamente ai principi enunciati.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 8. Oktober 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Auszugsweise französische Übersetzung des Grundsatzurteils zur somatoformen Schmerzstörung und zu vergleichbaren psychosomatischen Leiden in der IV Das Bundesgericht stellt sein Grundsatzurteil vom vergangenen Juni betreffend die Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente bei somatoformer Schmerzstörung und vergleichbaren psychosomatischen Leiden auszugsweise in französischer Übersetzung zur Verfügung. Mit seinem Urteil 9C_492/2014 vom 3. Juni 2015 hatte das Bundesgericht seine Praxis zur Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente wegen somatoformer Schmerzstörungen und vergleichbarer psychosomatischer Leiden angepasst. Über den Entscheid informierte das Bundesgericht die Öffentlichkeit am 17. Juni 2015 mit einer Medienmitteilung in Deutsch und Französisch. Die zuständige Abteilung des Bundesgerichts hat aufgrund der besonderen Bedeutung des in deutsch verfassten Urteils entschieden, Interessierten die wesentlichen Erwägungen des Entscheides selber in einer französischen Übersetzung zur Verfügung zu stellen. Der französische Text kann auf der Homepage des Bundesgerichts ( www.bger.ch ) in der Rubrik "Presse / Aktuelles" / "Medienmitteilungen" unter dem Datum 08.10.2015 zusammen mit der vorliegenden Medienmitteilung abgerufen werden. Die französische Übersetzung ist ein nichtamtliches Dokument. Als massgebliches Urteil gilt ausschliesslich der deutsche Wortlaut der amtlichen und publizierten Fassung. Diese ist auf der Webseite des Bundesgerichts (www.bger.ch ) in der Rubrik "Rechtsprechung (gratis)"/"Weitere Urteile ab 2000" unter Eingabe der Urteilsreferenz 9C_492/2014 zu finden.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 8 octobre 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Traduction en français des extraits de l'arrêt de principe sur les troubles somatoformes douloureux et les troubles psychosomatiques comparables dans l'AI Le Tribunal fédéral met à disposition une traduction en français d'extraits de son arrêt de principe de juin 2015 sur l'évaluation du droit à une rente de l'assuranceinvalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles psychosomatiques com parables. Avec l'arrêt 9C_492/2014 du 3 juin 2015, le Tribunal fédéral a adapté sa jurisprudence sur l'évaluation du droit à une rente d'invalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles psychosomatiques analogues. Le 17 juin 2015, le Tribunal fédéral a informé le public de son arrêt par un communiqué de presse en allemand et en français. En raison de l'importance particulière de l'arrêt rédigé en allemand, la Cour compétente du Tribunal fédéral a décidé de mettre à disposition des personnes intéressées sa propre traduction des considérants essentiels de la décision. Le texte français peut être consulté sur le site Internet du Tribunal fédéral ( www.tribunalfederal.ch ) sous la rubrique "Presse/Actualité"/"Communiqués aux médias" sous la date 08.10.2015, avec le présent communiqué de presse. La traduction française n'est pas un document officiel. Seule la version en allemand officielle et publiée de l'arrêt est déterminante; cette version peut être consultée sur le site Internet du Tribunal fédéral (www.tribunal-federal.ch ) sous la rubrique "Jurisprudence (gratuit)"/"Autres arrêts dès 2000" en introduisant la référence de l'arrêt 9C_492/2014.
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Lausanne, 8. Oktober 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Auszugsweise französische Übersetzung des Grundsatzurteils zur somatoformen Schmerzstörung und zu vergleichbaren psychosomatischen Leiden in der IV Das Bundesgericht stellt sein Grundsatzurteil vom vergangenen Juni betreffend die Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente bei somatoformer Schmerzstörung und vergleichbaren psychosomatischen Leiden auszugsweise in französischer Übersetzung zur Verfügung. Mit seinem Urteil 9C_492/2014 vom 3. Juni 2015 hatte das Bundesgericht seine Praxis zur Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente wegen somatoformer Schmerzstörungen und vergleichbarer psychosomatischer Leiden angepasst. Über den Entscheid informierte das Bundesgericht die Öffentlichkeit am 17. Juni 2015 mit einer Medienmitteilung in Deutsch und Französisch. Die zuständige Abteilung des Bundesgerichts hat aufgrund der besonderen Bedeutung des in deutsch verfassten Urteils entschieden, Interessierten die wesentlichen Erwägungen des Entscheides selber in einer französischen Übersetzung zur Verfügung zu stellen. Der französische Text kann auf der Homepage des Bundesgerichts ( www.bger.ch ) in der Rubrik "Presse / Aktuelles" / "Medienmitteilungen" unter dem Datum 08.10.2015 zusammen mit der vorliegenden Medienmitteilung abgerufen werden. Die französische Übersetzung ist ein nichtamtliches Dokument. Als massgebliches Urteil gilt ausschliesslich der deutsche Wortlaut der amtlichen und publizierten Fassung. Diese ist auf der Webseite des Bundesgerichts (www.bger.ch ) in der Rubrik "Rechtsprechung (gratis)"/"Weitere Urteile ab 2000" unter Eingabe der Urteilsreferenz 9C_492/2014 zu finden.
Lausanne, le 8 octobre 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Traduction en français des extraits de l'arrêt de principe sur les troubles somatoformes douloureux et les troubles psychosomatiques comparables dans l'AI Le Tribunal fédéral met à disposition une traduction en français d'extraits de son arrêt de principe de juin 2015 sur l'évaluation du droit à une rente de l'assuranceinvalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles psychosomatiques com parables. Avec l'arrêt 9C_492/2014 du 3 juin 2015, le Tribunal fédéral a adapté sa jurisprudence sur l'évaluation du droit à une rente d'invalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles psychosomatiques analogues. Le 17 juin 2015, le Tribunal fédéral a informé le public de son arrêt par un communiqué de presse en allemand et en français. En raison de l'importance particulière de l'arrêt rédigé en allemand, la Cour compétente du Tribunal fédéral a décidé de mettre à disposition des personnes intéressées sa propre traduction des considérants essentiels de la décision. Le texte français peut être consulté sur le site Internet du Tribunal fédéral ( www.tribunalfederal.ch ) sous la rubrique "Presse/Actualité"/"Communiqués aux médias" sous la date 08.10.2015, avec le présent communiqué de presse. La traduction française n'est pas un document officiel. Seule la version en allemand officielle et publiée de l'arrêt est déterminante; cette version peut être consultée sur le site Internet du Tribunal fédéral (www.tribunal-federal.ch ) sous la rubrique "Jurisprudence (gratuit)"/"Autres arrêts dès 2000" en introduisant la référence de l'arrêt 9C_492/2014.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 20. März 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Vorschläge zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes Das Bundesgericht schlägt im Rahmen der laufenden Bestrebungen zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes vor, Massnahmen zur Stärkung seiner verfassungsmässigen Rolle als oberstes Gericht zu treffen. Die Beurteilungskompetenz des Bundesgerichts sollte sachlich ausgedehnt und gleichzeitig auf wichtige Fragen beschränkt werden. In seiner letztjährigen Evaluation zur Totalrevision der Bundesrechtspflege von 2007 hatte der Bundesrat gesetzgeberische Massnahmen vorgeschlagen, um die zunehmende Belastung des Bundesgerichts zu reduzieren und gewisse Rechtsschutzlücken zu schliessen. Das Eidgenössische Justiz- und Polizeidepartement wurde mit der Ausarbeitung einer entsprechenden Vernehmlassungsvorlage beauftragt. Gewisse Änderungen am Bundesgerichtsgesetz werden zudem im Postulat Caroni verlangt, das der Nationalrat im vergangenen Dezember angenommen hat. Die Vollversammlung der Bundesrichterinnen und Bundesrichter hat als Beitrag zu diesen laufenden Arbeitsprozessen am vergangenen Montag mehrere Vorschläge verabschiedet. Mit den Anregungen strebt das Bundesgericht an, seine verfassungsmässige Funktion als oberste Gerichtsinstanz der Eidgenossenschaft zu stärken. Als einen zentralen Punkt zur Verwirklichung dieses Ziels schlägt das Gericht vor, den Zugang ans Bundesgericht zu erweitern. Die ordentliche Beschwerde sollte künftig in zusätzlichen Gebieten des Zivilrechts und des öffentlichen Rechts erhoben werden können. In limitiertem Umfang wären davon auch Asylentscheide des Bundesverwaltungsgerichts betroffen, die der bundesgerichtlichen Prüfung aktuell weitgehend entzogen sind. Die ordentliche Beschwerde soll in diesen zusätzlichen Bereichen allerdings nur möglich sein, wenn sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder wenn es sich aus anderen Gründen um einen besonders bedeutenden Fall handelt. Im Asylbereich wären noch weitere Einschränkungen vorzusehen. Damit die Überprüfung durch das Bundesgericht in den neu hinzukommenden Rechtsgebieten tatsächlich auf die objektiv wichtigen Fragen beschränkt bleibt, muss in den übrigen Fällen konsequenterweise die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ausgeschlossen werden. Um die mit der Öffnung verbundene Mehrbelastung des Bundesgerichts zu kompensieren, wären die Regelungen zur Konzentration auf die Grundsatzfragen in weiteren Materien anzuwenden, insbesondere im Ausländerrecht, wo die ordentliche Beschwerde heute unbeschränkt zur Verfügung steht. Die Limitierungen müssten ebenfalls gelten bei Entscheiden über vorsorgliche Massnahmen, Geldforderungen von weniger als 30'000 Franken (in gewissen Gebieten 15'000 Franken) und Strafurteilen, die nicht im Strafregister eingetragen werden. Weiter sollten grundsätzlich nur Strafentscheide einer zweiten gerichtlichen Instanz ans Bundesgericht weitergezogen werden können. Das wäre mit einem Ausbau der Beschwerdemöglichkeiten an die Vorinstanzen verbunden. Die Legitimation zur strafrechtlichen Beschwerde wäre zudem auf Geschädigte zu beschränken, welche die Opfereigenschaft erfüllen. Schliesslich ist nach Ansicht des Gerichts bei Entscheiden im Bereich der Militär- und Unfallversicherung der Sachverhalt künftig nicht mehr umfassend, sondern nur auf Willkür zu prüfen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 20 mars 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Propositions d’adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral Dans le cadre des travaux en cours d'adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral, le Tribunal fédéral propose des mesures visant à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême. Les domaines de compétence du Tribunal fédéral devraient être étendus et en même temps restreints aux questions importantes. L'année dernière, le Conseil fédéral a évalué la révision totale de l'organisation judiciaire fédérale de 2007 et a proposé des mesures législatives afin de réduire la charge de travail croissante du Tribunal fédéral et de combler certaines lacunes de la protection juridique. Le Département fédéral de Justice et Police a été chargé de préparer un projet destiné à être mis en consultation. En outre, un certain nombre de modifications de la loi sur le Tribunal fédéral ont été demandées dans le postulat Caroni qui a été accepté par le Conseil national en décembre dernier. La Cour plénière, qui réunit l'ensemble des juges du Tribunal, a approuvé lundi dernier plusieurs propositions destinées à servir de contribution aux travaux en cours. Le Tribunal fédéral recherche par ses vœux à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême de la Confédération. Le point central proposé par le Tribunal pour réaliser cet objectif est d'élargir l'accès au Tribunal fédéral. A l'avenir, le recours ordinaire devrait être possible dans des matières supplémentaires du droit civil et du droit public. Les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière d'asile qui, à l'heure actuelle, ne peuvent pour la plupart pas être examinées par le Tribunal fédéral, seraient aussi concernées mais d'une façon limitée. Le recours ordinaire ne devrait toutefois être recevable dans ces domaines supplémentaires que lorsqu'une question juridique de principe est soulevée ou lorsque, pour d'autres motifs, il s'agit d'une affaire revêtant une importance particulière. En matière d'asile, des restrictions supplémentaires devraient être prévues. Afin que l'examen par le Tribunal fédéral des nouveaux domaines se limite effectivement aux questions objectivement importantes, il conviendrait d'exclure de façon conséquente le recours constitutionnel subsidiaire dans les autres affaires. Afin de compenser la charge accrue du Tribunal fédéral, engendrée par ces compétences supplémentaires, il conviendrait d'étendre l'application de la règle autorisant le Tribunal à ne se prononcer que sur les questions juridiques de principe à d'autres matières, en particulier au droit des étrangers où le recours ordinaire ne connaît aucune restriction dans le droit actuel. Ces restrictions devraient aussi être appliquées aux décisions concernant des mesures provisionnelles, des prétentions pécuniaires inférieures à 30'000 francs (dans certains domaines, à 15'000 francs) et dans des affaires pénales qui ne font pas l'objet d'une inscription au casier judiciaire. En outre, seules des décisions pénales d'une deuxième instance judiciaire devraient en règle générale pouvoir être portées devant le Tribunal fédéral. Ce point suppose la création d'une possibilité de recours aux instances précédentes. De plus, la qualité pour recourir dans le cadre des recours en matière pénale devrait être limitée aux lésés qui ont qualité de victime. Enfin, de l'avis du Tribunal, l'examen de l'état de fait dans les domaines de l'assurance militaire et de l'assurance-accidents ne devrait plus être complet mais limité à l'arbitraire.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 20 marzo 2014 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Proposte per l'adattamento della legge sul Tribunale federale Nell'ambito dei lavori in corso per l'adattamento della legge sul Tribunale federale, il Tribunale federale propone delle misure volte a rafforzare il suo ruolo costituzionale di Corte suprema. La competenza decisionale del Tribunale federale dovrebbe essere estesa dal profilo materiale e contemporaneamente limitata alle questioni importanti. Nella sua ultima valutazione della revisione totale dell'organizzazione giudiziaria federale del 2007, il Consiglio federale ha proposto misure legislative per ridurre il crescente carico di lavoro del Tribunale federale e colmare determinate lacune nella protezione giuridica. Il Dipartimento federale di giustizia e polizia è stato incaricato del relativo progetto di consultazione. Certe modifiche della legge sul Tribunale federale sono inoltre richieste dal postulato Caroni, che il Consiglio nazionale ha accettato lo scorso mese di dicembre. La Corte plenaria dei giudici del Tribunale federale ha emanato lunedì scorso diverse proposte destinate a contribuire a questo processo lavorativo aperto. Con i suggerimenti, il Tribunale federale auspica che sia rafforzata la sua funzione di Corte suprema della Confederazione. Il Tribunale propone quale punto centrale per realizzare questo obiettivo che sia esteso l'accesso al Tribunale federale. In futuro, il ricorso ordinario dovrebbe essere proponibile in ambiti supplementari del diritto civile e del diritto pubblico. Dovrebbero essere interessate in misura limitata anche le decisioni del Tribunale amministrativo federale in materia di asilo, che attualmente sono in gran parte sottratte all'esame del Tribunale federale. Il ricorso ordinario in questi campi supplementari dovrebbe tuttavia essere possibile solo quando si presenta una questione di diritto d'importanza fondamentale o quando, per altri motivi, si tratta di un caso particolarmente importante. In materia di asilo, sarebbero da prevedere ulteriori restrizioni. Affinché l'esame da parte del Tribunale federale nei nuovi ambiti rimanga effettivamente limitato alle questioni oggettivamente importanti, il ricorso sussidiario in materia costituzionale nei casi rimanenti deve essere escluso in modo conseguente. Per compensare il carico supplementare del Tribunale federale legato a questa apertura, occorrerebbe applicare la regolamentazione relativa alla concentrazione su questioni di principio anche ad altre materie, segnatamente al diritto degli stranieri, in cui il ricorso ordinario è attualmente aperto senza limitazioni. Le restrizioni dovrebbero pure valere per le decisioni in materia di misure cautelari, pretese pecuniarie inferiori a fr. 30'000.-- (in determinati campi a fr. 15'000.--) e giudizi penali che non sono oggetto di iscrizione nel casellario giudiziale. Inoltre, soltanto le decisioni penali emanate da una seconda istanza giudiziaria dovrebbero di principio poter essere impugnabili al Tribunale federale. Questo aspetto è legato alla realizzazione di un ampliamento delle possibilità di ricorso dinanzi alle istanze precedenti. La legittimazione a presentare ricorso in materia penale dovrebbe altresì essere limitata ai danneggiati che hanno qualità di vittima. Infine, secondo il parere del Tribunale, in materia di assicurazione militare e di assicurazione contro gli infortuni, in futuro l'esame degli accertamenti di fatto non dovrebbe essere completo, ma limitato all'arbitrio.
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Lausanne, 20. März 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Vorschläge zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes Das Bundesgericht schlägt im Rahmen der laufenden Bestrebungen zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes vor, Massnahmen zur Stärkung seiner verfassungsmässigen Rolle als oberstes Gericht zu treffen. Die Beurteilungskompetenz des Bundesgerichts sollte sachlich ausgedehnt und gleichzeitig auf wichtige Fragen beschränkt werden. In seiner letztjährigen Evaluation zur Totalrevision der Bundesrechtspflege von 2007 hatte der Bundesrat gesetzgeberische Massnahmen vorgeschlagen, um die zunehmende Belastung des Bundesgerichts zu reduzieren und gewisse Rechtsschutzlücken zu schliessen. Das Eidgenössische Justiz- und Polizeidepartement wurde mit der Ausarbeitung einer entsprechenden Vernehmlassungsvorlage beauftragt. Gewisse Änderungen am Bundesgerichtsgesetz werden zudem im Postulat Caroni verlangt, das der Nationalrat im vergangenen Dezember angenommen hat. Die Vollversammlung der Bundesrichterinnen und Bundesrichter hat als Beitrag zu diesen laufenden Arbeitsprozessen am vergangenen Montag mehrere Vorschläge verabschiedet. Mit den Anregungen strebt das Bundesgericht an, seine verfassungsmässige Funktion als oberste Gerichtsinstanz der Eidgenossenschaft zu stärken. Als einen zentralen Punkt zur Verwirklichung dieses Ziels schlägt das Gericht vor, den Zugang ans Bundesgericht zu erweitern. Die ordentliche Beschwerde sollte künftig in zusätzlichen Gebieten des Zivilrechts und des öffentlichen Rechts erhoben werden können. In limitiertem Umfang wären davon auch Asylentscheide des Bundesverwaltungsgerichts betroffen, die der bundesgerichtlichen Prüfung aktuell weitgehend entzogen sind. Die ordentliche Beschwerde soll in diesen zusätzlichen Bereichen allerdings nur möglich sein, wenn sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder wenn es sich aus anderen Gründen um einen besonders bedeutenden Fall handelt. Im Asylbereich wären noch weitere Einschränkungen vorzusehen. Damit die Überprüfung durch das Bundesgericht in den neu hinzukommenden Rechtsgebieten tatsächlich auf die objektiv wichtigen Fragen beschränkt bleibt, muss in den übrigen Fällen konsequenterweise die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ausgeschlossen werden. Um die mit der Öffnung verbundene Mehrbelastung des Bundesgerichts zu kompensieren, wären die Regelungen zur Konzentration auf die Grundsatzfragen in weiteren Materien anzuwenden, insbesondere im Ausländerrecht, wo die ordentliche Beschwerde heute unbeschränkt zur Verfügung steht. Die Limitierungen müssten ebenfalls gelten bei Entscheiden über vorsorgliche Massnahmen, Geldforderungen von weniger als 30'000 Franken (in gewissen Gebieten 15'000 Franken) und Strafurteilen, die nicht im Strafregister eingetragen werden. Weiter sollten grundsätzlich nur Strafentscheide einer zweiten gerichtlichen Instanz ans Bundesgericht weitergezogen werden können. Das wäre mit einem Ausbau der Beschwerdemöglichkeiten an die Vorinstanzen verbunden. Die Legitimation zur strafrechtlichen Beschwerde wäre zudem auf Geschädigte zu beschränken, welche die Opfereigenschaft erfüllen. Schliesslich ist nach Ansicht des Gerichts bei Entscheiden im Bereich der Militär- und Unfallversicherung der Sachverhalt künftig nicht mehr umfassend, sondern nur auf Willkür zu prüfen.
Lausanne, le 20 mars 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Propositions d’adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral Dans le cadre des travaux en cours d'adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral, le Tribunal fédéral propose des mesures visant à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême. Les domaines de compétence du Tribunal fédéral devraient être étendus et en même temps restreints aux questions importantes. L'année dernière, le Conseil fédéral a évalué la révision totale de l'organisation judiciaire fédérale de 2007 et a proposé des mesures législatives afin de réduire la charge de travail croissante du Tribunal fédéral et de combler certaines lacunes de la protection juridique. Le Département fédéral de Justice et Police a été chargé de préparer un projet destiné à être mis en consultation. En outre, un certain nombre de modifications de la loi sur le Tribunal fédéral ont été demandées dans le postulat Caroni qui a été accepté par le Conseil national en décembre dernier. La Cour plénière, qui réunit l'ensemble des juges du Tribunal, a approuvé lundi dernier plusieurs propositions destinées à servir de contribution aux travaux en cours. Le Tribunal fédéral recherche par ses vœux à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême de la Confédération. Le point central proposé par le Tribunal pour réaliser cet objectif est d'élargir l'accès au Tribunal fédéral. A l'avenir, le recours ordinaire devrait être possible dans des matières supplémentaires du droit civil et du droit public. Les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière d'asile qui, à l'heure actuelle, ne peuvent pour la plupart pas être examinées par le Tribunal fédéral, seraient aussi concernées mais d'une façon limitée. Le recours ordinaire ne devrait toutefois être recevable dans ces domaines supplémentaires que lorsqu'une question juridique de principe est soulevée ou lorsque, pour d'autres motifs, il s'agit d'une affaire revêtant une importance particulière. En matière d'asile, des restrictions supplémentaires devraient être prévues. Afin que l'examen par le Tribunal fédéral des nouveaux domaines se limite effectivement aux questions objectivement importantes, il conviendrait d'exclure de façon conséquente le recours constitutionnel subsidiaire dans les autres affaires. Afin de compenser la charge accrue du Tribunal fédéral, engendrée par ces compétences supplémentaires, il conviendrait d'étendre l'application de la règle autorisant le Tribunal à ne se prononcer que sur les questions juridiques de principe à d'autres matières, en particulier au droit des étrangers où le recours ordinaire ne connaît aucune restriction dans le droit actuel. Ces restrictions devraient aussi être appliquées aux décisions concernant des mesures provisionnelles, des prétentions pécuniaires inférieures à 30'000 francs (dans certains domaines, à 15'000 francs) et dans des affaires pénales qui ne font pas l'objet d'une inscription au casier judiciaire. En outre, seules des décisions pénales d'une deuxième instance judiciaire devraient en règle générale pouvoir être portées devant le Tribunal fédéral. Ce point suppose la création d'une possibilité de recours aux instances précédentes. De plus, la qualité pour recourir dans le cadre des recours en matière pénale devrait être limitée aux lésés qui ont qualité de victime. Enfin, de l'avis du Tribunal, l'examen de l'état de fait dans les domaines de l'assurance militaire et de l'assurance-accidents ne devrait plus être complet mais limité à l'arbitraire.
Losanna, 20 marzo 2014 Comunicato stampa del Tribunale federale Proposte per l'adattamento della legge sul Tribunale federale Nell'ambito dei lavori in corso per l'adattamento della legge sul Tribunale federale, il Tribunale federale propone delle misure volte a rafforzare il suo ruolo costituzionale di Corte suprema. La competenza decisionale del Tribunale federale dovrebbe essere estesa dal profilo materiale e contemporaneamente limitata alle questioni importanti. Nella sua ultima valutazione della revisione totale dell'organizzazione giudiziaria federale del 2007, il Consiglio federale ha proposto misure legislative per ridurre il crescente carico di lavoro del Tribunale federale e colmare determinate lacune nella protezione giuridica. Il Dipartimento federale di giustizia e polizia è stato incaricato del relativo progetto di consultazione. Certe modifiche della legge sul Tribunale federale sono inoltre richieste dal postulato Caroni, che il Consiglio nazionale ha accettato lo scorso mese di dicembre. La Corte plenaria dei giudici del Tribunale federale ha emanato lunedì scorso diverse proposte destinate a contribuire a questo processo lavorativo aperto. Con i suggerimenti, il Tribunale federale auspica che sia rafforzata la sua funzione di Corte suprema della Confederazione. Il Tribunale propone quale punto centrale per realizzare questo obiettivo che sia esteso l'accesso al Tribunale federale. In futuro, il ricorso ordinario dovrebbe essere proponibile in ambiti supplementari del diritto civile e del diritto pubblico. Dovrebbero essere interessate in misura limitata anche le decisioni del Tribunale amministrativo federale in materia di asilo, che attualmente sono in gran parte sottratte all'esame del Tribunale federale. Il ricorso ordinario in questi campi supplementari dovrebbe tuttavia essere possibile solo quando si presenta una questione di diritto d'importanza fondamentale o quando, per altri motivi, si tratta di un caso particolarmente importante. In materia di asilo, sarebbero da prevedere ulteriori restrizioni. Affinché l'esame da parte del Tribunale federale nei nuovi ambiti rimanga effettivamente limitato alle questioni oggettivamente importanti, il ricorso sussidiario in materia costituzionale nei casi rimanenti deve essere escluso in modo conseguente. Per compensare il carico supplementare del Tribunale federale legato a questa apertura, occorrerebbe applicare la regolamentazione relativa alla concentrazione su questioni di principio anche ad altre materie, segnatamente al diritto degli stranieri, in cui il ricorso ordinario è attualmente aperto senza limitazioni. Le restrizioni dovrebbero pure valere per le decisioni in materia di misure cautelari, pretese pecuniarie inferiori a fr. 30'000.-- (in determinati campi a fr. 15'000.--) e giudizi penali che non sono oggetto di iscrizione nel casellario giudiziale. Inoltre, soltanto le decisioni penali emanate da una seconda istanza giudiziaria dovrebbero di principio poter essere impugnabili al Tribunale federale. Questo aspetto è legato alla realizzazione di un ampliamento delle possibilità di ricorso dinanzi alle istanze precedenti. La legittimazione a presentare ricorso in materia penale dovrebbe altresì essere limitata ai danneggiati che hanno qualità di vittima. Infine, secondo il parere del Tribunale, in materia di assicurazione militare e di assicurazione contro gli infortuni, in futuro l'esame degli accertamenti di fatto non dovrebbe essere completo, ma limitato all'arbitrio.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 22. Februar 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichter Rudolf Ursprung Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung tritt auf Ende des laufenden Jahres von seinem Amt zurück. Rudolf Ursprung wurde 2001 zum Bundesrichter gewählt und ist in der Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern tätig. Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung wurde am 20. März 2001 zum Mitglied des damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG) gewählt, das 2007 mit dem Bundesgericht vereinigt wurde. Bundesrichter Ursprung ist Mitglied der Ersten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern, die er in den Jahren 2007 bis 2012 präsidierte. Er gehört der Rekurskommission des Bundesgerichts an und amtet seit 2013 als deren Präsident. Bundesrichter Rudolf Ursprung hat entschieden, auf Ende des Jahres 2016 von seinem Amt als Bundesrichter zurückzutreten. Seine Nachfolgerin oder sein Nachfolger wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 22 février 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung quittera sa fonction à la fin de l'année en cours. Rudolf Ursprung a été élu juge fédéral en 2001 et exerce son activité juridictionnelle au sein de la première Cour de droit social du Tribunal fédéral à Lucerne. Monsieur Rudolf Ursprung a été élu le 20 mars 2001 comme juge au sein de l'ancien Tribunal fédéral des assurances (TFA), qui a fusionné en 2007 avec le Tribunal fédéral. Il exerce ses fonctions au sein de la première Cour de droit social dont il a été le Président de 2007 à 2012. Il fait partie de la Commission de recours du Tribunal fédéral qu'il préside depuis 2013. Monsieur le Juge Ursprung a décidé de remettre son mandat de juge fédéral pour la fin décembre 2016. Son successeur sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 22 febbraio 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni del Giudice federale Rudolf Ursprung Il Giudice federale Rudolf Ursprung lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. Rudolf Ursprung è stato eletto quale giudice federale nel 2001 e svolge la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto sociale a Lucerna. Il Giudice federale Rudolf Ursprung è stato eletto nel 2001 al Tribunale federale delle assicurazioni (TFA), quest'ultimo integrato al Tribunale federale nel 2007. Egli è membro della prima Corte di diritto sociale a Lucerna, di cui è stato presidente dal 2007 fino al 2012, e della Commissione di ricorso del Tribunale federale, che presiede dal 2013. Il Giudice federale Rudolf Ursprung ha deciso di lasciare la funzione alla fine dell'anno. Il suo successore sarà eletto dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
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Lausanne, 22. Februar 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichter Rudolf Ursprung Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung tritt auf Ende des laufenden Jahres von seinem Amt zurück. Rudolf Ursprung wurde 2001 zum Bundesrichter gewählt und ist in der Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern tätig. Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung wurde am 20. März 2001 zum Mitglied des damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG) gewählt, das 2007 mit dem Bundesgericht vereinigt wurde. Bundesrichter Ursprung ist Mitglied der Ersten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern, die er in den Jahren 2007 bis 2012 präsidierte. Er gehört der Rekurskommission des Bundesgerichts an und amtet seit 2013 als deren Präsident. Bundesrichter Rudolf Ursprung hat entschieden, auf Ende des Jahres 2016 von seinem Amt als Bundesrichter zurückzutreten. Seine Nachfolgerin oder sein Nachfolger wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
Lausanne, le 22 février 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung quittera sa fonction à la fin de l'année en cours. Rudolf Ursprung a été élu juge fédéral en 2001 et exerce son activité juridictionnelle au sein de la première Cour de droit social du Tribunal fédéral à Lucerne. Monsieur Rudolf Ursprung a été élu le 20 mars 2001 comme juge au sein de l'ancien Tribunal fédéral des assurances (TFA), qui a fusionné en 2007 avec le Tribunal fédéral. Il exerce ses fonctions au sein de la première Cour de droit social dont il a été le Président de 2007 à 2012. Il fait partie de la Commission de recours du Tribunal fédéral qu'il préside depuis 2013. Monsieur le Juge Ursprung a décidé de remettre son mandat de juge fédéral pour la fin décembre 2016. Son successeur sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
Losanna, 22 febbraio 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni del Giudice federale Rudolf Ursprung Il Giudice federale Rudolf Ursprung lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. Rudolf Ursprung è stato eletto quale giudice federale nel 2001 e svolge la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto sociale a Lucerna. Il Giudice federale Rudolf Ursprung è stato eletto nel 2001 al Tribunale federale delle assicurazioni (TFA), quest'ultimo integrato al Tribunale federale nel 2007. Egli è membro della prima Corte di diritto sociale a Lucerna, di cui è stato presidente dal 2007 fino al 2012, e della Commissione di ricorso del Tribunale federale, che presiede dal 2013. Il Giudice federale Rudolf Ursprung ha deciso di lasciare la funzione alla fine dell'anno. Il suo successore sarà eletto dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 8. März 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Wechsel des Präsidiums in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung Auf den 1. April 2016 wechselt das Präsidium in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung. Herr Bundesrichter Andreas Zünd tritt infolge Ablaufs der maximalen Amtszeit von sechs Jahren als Abteilungspräsident ab. Als Nachfolger wurde vom Gesamtgericht Herr Bundesrichter Hans Georg Seiler gewählt. Der aktuelle Abteilungspräsident Herr Bundesrichter Andreas Zünd übt das Amt seit dem 1. April 2010 aus. Nach Ablauf der maximalen Amtszeit von sechs Jahren gibt Herr Bundesrichter Zünd das Präsidium auf den 1. April 2016 ab. Er wird als Bundesrichter weiter in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung tätig sein. Als neuen Präsidenten der Abteilung wählte das Gesamtgericht am 20. Januar 2016 Herrn Bundesrichter Hans Georg Seiler. Er wurde 2005 zum Bundesrichter gewählt und gehört der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung als Richter seit 2011 an.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 8 mars 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Changement de présidence à la deuxième Cour de droit public Le 1er avril 2016 aura lieu un changement de présidence à la deuxième Cour de droit public. Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd quittera la présidence de la Cour après avoir exercé cette fonction pendant la durée maximale prévue de six ans. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge fédéral Hans Georg Seiler pour lui succéder. L'actuel Président de Cour, Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd, exerce cette fonction depuis le 1er avril 2010. Après la période de fonction maximale de six ans, Monsieur le Juge fédéral Zünd quittera cette présidence au 1 er avril 2016. Il continuera d'exercer sa fonction de juge fédéral au sein de la deuxième Cour de droit public. La Cour plénière a élu Monsieur le juge fédéral Hans Georg Seiler en qualité de nouveau Président de Cour le 20 janvier 2016. Il a été élu juge fédéral en 2005 et est affecté à la deuxième Cour de droit public, en tant que juge, depuis 2011.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 8 marzo 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto pubblico Il 1° aprile 2016 interverrà un avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto pubblico. Il Giudice federale Andreas Zünd lascerà la funzione di presidente di corte al termine del periodo di carica massimo previsto. La Corte plenaria ha eletto quale suo successore il Giudice federale Hans Georg Seiler. Il Giudice federale Andreas Zünd è attivo quale presidente di corte dal 1° aprile 2010. Egli lascerà tale funzione al termine del periodo di carica massimo di sei anni e continuerà ad essere attivo in seno alla seconda Corte di diritto pubblico in qualità di giudice federale. La Corte plenaria ha eletto il 20 gennaio 2016 il Giudice federale Hans Georg Seiler quale nuovo presidente di corte. Egli è stato eletto quale giudice federale nel 2005 e svolge tale funzione in seno alla seconda Corte di diritto pubblico dal 2011.
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Lausanne, 8. März 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Wechsel des Präsidiums in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung Auf den 1. April 2016 wechselt das Präsidium in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung. Herr Bundesrichter Andreas Zünd tritt infolge Ablaufs der maximalen Amtszeit von sechs Jahren als Abteilungspräsident ab. Als Nachfolger wurde vom Gesamtgericht Herr Bundesrichter Hans Georg Seiler gewählt. Der aktuelle Abteilungspräsident Herr Bundesrichter Andreas Zünd übt das Amt seit dem 1. April 2010 aus. Nach Ablauf der maximalen Amtszeit von sechs Jahren gibt Herr Bundesrichter Zünd das Präsidium auf den 1. April 2016 ab. Er wird als Bundesrichter weiter in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung tätig sein. Als neuen Präsidenten der Abteilung wählte das Gesamtgericht am 20. Januar 2016 Herrn Bundesrichter Hans Georg Seiler. Er wurde 2005 zum Bundesrichter gewählt und gehört der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung als Richter seit 2011 an.
Lausanne, le 8 mars 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Changement de présidence à la deuxième Cour de droit public Le 1er avril 2016 aura lieu un changement de présidence à la deuxième Cour de droit public. Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd quittera la présidence de la Cour après avoir exercé cette fonction pendant la durée maximale prévue de six ans. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge fédéral Hans Georg Seiler pour lui succéder. L'actuel Président de Cour, Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd, exerce cette fonction depuis le 1er avril 2010. Après la période de fonction maximale de six ans, Monsieur le Juge fédéral Zünd quittera cette présidence au 1 er avril 2016. Il continuera d'exercer sa fonction de juge fédéral au sein de la deuxième Cour de droit public. La Cour plénière a élu Monsieur le juge fédéral Hans Georg Seiler en qualité de nouveau Président de Cour le 20 janvier 2016. Il a été élu juge fédéral en 2005 et est affecté à la deuxième Cour de droit public, en tant que juge, depuis 2011.
Losanna, 8 marzo 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto pubblico Il 1° aprile 2016 interverrà un avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto pubblico. Il Giudice federale Andreas Zünd lascerà la funzione di presidente di corte al termine del periodo di carica massimo previsto. La Corte plenaria ha eletto quale suo successore il Giudice federale Hans Georg Seiler. Il Giudice federale Andreas Zünd è attivo quale presidente di corte dal 1° aprile 2010. Egli lascerà tale funzione al termine del periodo di carica massimo di sei anni e continuerà ad essere attivo in seno alla seconda Corte di diritto pubblico in qualità di giudice federale. La Corte plenaria ha eletto il 20 gennaio 2016 il Giudice federale Hans Georg Seiler quale nuovo presidente di corte. Egli è stato eletto quale giudice federale nel 2005 e svolge tale funzione in seno alla seconda Corte di diritto pubblico dal 2011.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 2. Juni 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichter Gilbert Kolly Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, Bundesgerichtspräsident und Mitglied der I. zivilrechtlichen Abteilung, scheidet auf Ende Jahr aus dem Bundesgericht aus. Er ist seit 1999 Richter am Bundesgericht und seit 2013 dessen Präsident. Bundesrichter Gilbert Kolly wurde am 7. Oktober 1998 zum ordentlichen Mitglied des Bundesgerichts gewählt. Von 1999 bis 2006 war er Mitglied der Strafrechtlichen Abteilung, seither gehört er der I. zivilrechtlichen Abteilung an. In den Jahren 2011 und 2012 war Gilbert Kolly Vizepräsident des Bundesgerichts, seit 2013 präsidiert er das Bundesgericht. Das Gesetz beschränkt die Amtsdauer des Bundesgerichtspräsidenten auf zwei Jahre; einmalige Wiederwahl ist zulässig (Artikel 14 Absatz 2 Bundesgerichtsgesetz). Bundesrichter Kolly nimmt das Ende seiner Amtszeit als Bundesgerichtspräsident per Ende 2016 zum Anlass, auf diesen Zeitpunkt hin auch als Mitglied des Bundesgerichts zurückzutreten. Sein Nachfolger oder seine Nachfolgerin im Amt des Bundesrichters wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt. Die Vereinigte Bundesversammlung wird zudem auf Vorschlag des Gesamtgerichts hin einen neuen Bundesgerichtspräsidenten bzw. eine neue Bundesgerichtspräsidentin wählen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 2 juin 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly, Président du Tribunal fédéral et membre de la Ire Cour de droit civil, quittera ses fonctions à la fin de l'année. Il est juge au Tribunal fédéral depuis 1999 et en est le Président depuis 2013. Monsieur Gilbert Kolly a été élu juge au Tribunal fédéral le 7 octobre 1998. Il a exercé ses fonctions au sein de la Cour de droit pénal de 1999 à 2006 et, depuis, au sein de la Ire Cour de droit civil. Monsieur Gilbert Kolly était Vice-président du Tribunal fédéral de 2011 à 2012 et, depuis 2013, il exerce la fonction de Président du Tribunal fédéral. La loi limite la durée de la présidence à deux ans; ce mandat peut être reconduit une seule fois (article 14 alinéa 2 Loi sur le Tribunal fédéral). Le mandat présidentiel du juge fédéral Kolly échoit à la fin de l'année en cours. Il souhaite faire coïncider la fin de sa présidence avec son départ du Tribunal fédéral et quittera donc sa fonction de juge fin 2016. Son successeur en tant que juge fédéral sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue. De plus, l'Assemblée fédéral élira, sur proposition de la Cour plénière, un nouveau Président ou une nouvelle Présidente du Tribunal fédéral.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 2 giugno 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni del Giudice federale Gilbert Kolly Il Giudice federale Gilbert Kolly, Presidente del Tribunale federale e membro della prima Corte di diritto civile, lascerà la sua funzione presso il Tribunale federale alla fine dell'anno. Egli è giudice al Tribunale federale dal 1999 e suo Presidente dal 2013. Il Giudice federale Gilbert Kolly è stato eletto giudice ordinario al Tribunale federale il 7 ottobre 1998. Dal 1999 al 2006 è stato membro della Corte di diritto penale e dal 2006 esercita la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto civile. Gilbert Kolly ha assunto la vicepresidenza del Tribunale federale durante gli anni 2011 e 2012, divenendone in seguito Presidente nel 2013. In virtù della legge, la durata della presidenza è limitata a due anni; questo mandato può essere rinnovato una volta (articolo 14 capoverso 2 della legge sul Tribunale federale). Il mandato presidenziale del Giudice federale Kolly terminerà alla fine di quest'anno e alla stessa data si dimetterà anche dalla funzione di giudice del Tribunale federale. Il successore del Giudice federale Gilbert Kolly sarà eletto dall'Assemblea federale plenaria. La data di tale elezione non è ancora nota. Inoltre, l'Assemblea federale plenaria eleggerà, su proposta della Corte plenaria, un nuovo o una nuova Presidente del Tribunale federale.
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11.5.2_9.1.1.1_03_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang}
Lausanne, 2. Juni 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichter Gilbert Kolly Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, Bundesgerichtspräsident und Mitglied der I. zivilrechtlichen Abteilung, scheidet auf Ende Jahr aus dem Bundesgericht aus. Er ist seit 1999 Richter am Bundesgericht und seit 2013 dessen Präsident. Bundesrichter Gilbert Kolly wurde am 7. Oktober 1998 zum ordentlichen Mitglied des Bundesgerichts gewählt. Von 1999 bis 2006 war er Mitglied der Strafrechtlichen Abteilung, seither gehört er der I. zivilrechtlichen Abteilung an. In den Jahren 2011 und 2012 war Gilbert Kolly Vizepräsident des Bundesgerichts, seit 2013 präsidiert er das Bundesgericht. Das Gesetz beschränkt die Amtsdauer des Bundesgerichtspräsidenten auf zwei Jahre; einmalige Wiederwahl ist zulässig (Artikel 14 Absatz 2 Bundesgerichtsgesetz). Bundesrichter Kolly nimmt das Ende seiner Amtszeit als Bundesgerichtspräsident per Ende 2016 zum Anlass, auf diesen Zeitpunkt hin auch als Mitglied des Bundesgerichts zurückzutreten. Sein Nachfolger oder seine Nachfolgerin im Amt des Bundesrichters wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt. Die Vereinigte Bundesversammlung wird zudem auf Vorschlag des Gesamtgerichts hin einen neuen Bundesgerichtspräsidenten bzw. eine neue Bundesgerichtspräsidentin wählen.
Lausanne, le 2 juin 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly, Président du Tribunal fédéral et membre de la Ire Cour de droit civil, quittera ses fonctions à la fin de l'année. Il est juge au Tribunal fédéral depuis 1999 et en est le Président depuis 2013. Monsieur Gilbert Kolly a été élu juge au Tribunal fédéral le 7 octobre 1998. Il a exercé ses fonctions au sein de la Cour de droit pénal de 1999 à 2006 et, depuis, au sein de la Ire Cour de droit civil. Monsieur Gilbert Kolly était Vice-président du Tribunal fédéral de 2011 à 2012 et, depuis 2013, il exerce la fonction de Président du Tribunal fédéral. La loi limite la durée de la présidence à deux ans; ce mandat peut être reconduit une seule fois (article 14 alinéa 2 Loi sur le Tribunal fédéral). Le mandat présidentiel du juge fédéral Kolly échoit à la fin de l'année en cours. Il souhaite faire coïncider la fin de sa présidence avec son départ du Tribunal fédéral et quittera donc sa fonction de juge fin 2016. Son successeur en tant que juge fédéral sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue. De plus, l'Assemblée fédéral élira, sur proposition de la Cour plénière, un nouveau Président ou une nouvelle Présidente du Tribunal fédéral.
Losanna, 2 giugno 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni del Giudice federale Gilbert Kolly Il Giudice federale Gilbert Kolly, Presidente del Tribunale federale e membro della prima Corte di diritto civile, lascerà la sua funzione presso il Tribunale federale alla fine dell'anno. Egli è giudice al Tribunale federale dal 1999 e suo Presidente dal 2013. Il Giudice federale Gilbert Kolly è stato eletto giudice ordinario al Tribunale federale il 7 ottobre 1998. Dal 1999 al 2006 è stato membro della Corte di diritto penale e dal 2006 esercita la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto civile. Gilbert Kolly ha assunto la vicepresidenza del Tribunale federale durante gli anni 2011 e 2012, divenendone in seguito Presidente nel 2013. In virtù della legge, la durata della presidenza è limitata a due anni; questo mandato può essere rinnovato una volta (articolo 14 capoverso 2 della legge sul Tribunale federale). Il mandato presidenziale del Giudice federale Kolly terminerà alla fine di quest'anno e alla stessa data si dimetterà anche dalla funzione di giudice del Tribunale federale. Il successore del Giudice federale Gilbert Kolly sarà eletto dall'Assemblea federale plenaria. La data di tale elezione non è ancora nota. Inoltre, l'Assemblea federale plenaria eleggerà, su proposta della Corte plenaria, un nuovo o una nuova Presidente del Tribunale federale.
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11.5.2_9.1.1.1_04_2016_yyyy_mm_dd_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 11. Oktober 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Wahlvorschlag für Präsidium / Vizepräsidium ab 1. Januar 2017 und Wahl Leitungsorgane Das Bundesgericht schlägt der Bundesversammlung Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer zur Wahl als Bundesgerichtspräsidenten und Frau Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl als Vizepräsidentin vor. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. In zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts kommt es auf Anfang 2017 zu einem Wechsel des Präsidiums. In der Dezembersession wird die Bundesversammlung auf Vorschlag des Bundesgerichts hin das Präsidium und das Vizepräsidium des Bundesgerichts für die Amtsperiode 2017 bis 2018 wählen. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter (Gesamtgericht) hat am 10. Oktober 2016 beschlossen, den amtierenden Vizepräsidenten des Bundesgerichts, Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer, zur Wahl als neuen Präsidenten des Bundesgerichts vorzuschlagen. Der aktuelle Bundesgerichtspräsident, Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, tritt auf Ende Jahr von seinem Amt als Bundesrichter zurück. Als neue Vizepräsidentin schlägt das Gesamtgericht Frau Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl vor. Der neue Präsident und die neue Vizepräsidentin nehmen von Gesetzes wegen auch in der Verwaltungskommission des Bundesgerichts Einsitz. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. Auf Anfang 2017 kommt es in zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts zu einem Wechsel des Präsidiums. Herr Bundesrichter Jean Fonjallaz gibt Ende 2016 das Amt als Abteilungspräsident der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung ab. Als seinen Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Thomas Merkli gewählt. Frau Bundesrichterin Brigitte Pfiffner löst auf Anfang 2017 Frau Bundesrichterin Lucrezia Glanzmann als Präsidentin der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern ab. Die Präsidien der übrigen fünf Abteilungen bleiben unverändert (Zweite öffentlich-rechtliche Abteilung: Bundesrichter Hans Georg Seiler, Erste zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Christina Kiss, Zweite zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichter Nicolas von Werdt, Strafrechtliche Abteilung: Bundesrichter Christian Denys, Erste sozialrechtliche Abteilung: Bundesrichter Marcel Maillard). Weiter hat das Bundesgericht als Mitglieder seiner Rekurskommission für die Amtsperiode 2017 bis 2018 Herrn Bundesrichter Luca Marazzi (neu Vorsitz) und Herrn Bundesrichter François Chaix bestätigt sowie Frau Bundesrichterin Alexia Heine neu gewählt. Die am 28. September 2016 von der Bundesversammlung neu gewählte Bundesrichterin Daniela Viscione wird der Ersten sozialrechtlichen Abteilung zugeteilt, die neu gewählte Bundesrichterin Marie-Chantal May Canellas der Ersten zivilrechtlichen Abteilung.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 11 octobre 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Proposition pour l'élection à la Présidence et à la Vice-Prési dence dès le 1er janvier 2017 et élection des organes de direc tion Le Tribunal fédéral propose à l'Assemblée fédérale d'élire Monsieur le Juge Ulrich Meyer en qualité de Président du Tribunal fédéral et Madame la Juge Martha NiquilleEberle comme Vice-Présidente. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge Yves Donzallaz comme troisième membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2017, le Tribunal fédéral comptera deux nouveaux présidents de cour sur sept. Lors de la session de décembre, l'Assemblée fédérale élira, sur proposition du Tribunal fédéral, le Président et la Vice-Présidente du Tribunal fédéral pour la période 2017 à 2018. La Cour plénière, composée de tous les juges fédéraux, a décidé le 10 octobre 2016 de proposer l'actuel Vice-Président du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Ulrich Meyer, pour l'élection en tant que nouveau Président du Tribunal fédéral. Le Président actuel du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Gilbert Kolly, quittera sa fonction de Juge fédéral à la fin de l'année en cours. La Cour plénière propose d'élire Madame la Juge Martha Niquille-Eberle à la fonction de Vice-Présidente. Le nouveau Président et la nouvelle Vice-Présidente sont membres de la Commission administrative du Tribunal fédéral de par la loi. La Cour plénière a élu lundi Monsieur le Juge Yves Donzallaz en qualité de troisième membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2017, deux des sept cours du Tribunal fédéral auront un nouveau président ou une nouvelle présidente. Monsieur le Juge Jean Fonjallaz termine à la fin de 2016 son mandat comme Président de la Première Cour de droit public. Monsieur le Juge Thomas Merkli a été élu à sa succession par la Cour plénière. Madame la Juge Brigitte Pfiffner remplace dès le 1 er janvier 2017 Madame la Juge Lucrezia Glanzmann comme Présidente de la Deuxième Cour de droit social à Lucerne. Les présidences des cinq autres cours restent inchangées (II e Cour de droit public : Monsieur le Juge Hans Georg Seiler, Ire Cour de droit civil : Madame la Juge Christina Kiss, II e Cour de droit civil : Monsieur le Juge Nicolas von Werdt, Cour de droit pénal : Monsieur le Juge Christian Denys, I re Cour de droit social : Monsieur le Juge Marcel Maillard). De plus, le Tribunal fédéral a confirmé les membres de sa Commission de recours pour la période 2017 à 2018, à savoir Monsieur le Juge Luca Marazzi (nouveau Président) ainsi que Monsieur le Juge François Chaix et a élu Madame la Juge Alexia Heine en qualité de nouvelle membre de cette commission. Madame la Juge Daniela Viscione a été affectée à la I re Cour de droit social et Madame la Juge Marie-Chantal May Canellas à la I re Cour de droit civil; toutes deux avaient été élues par l'Assemblée fédérale le 28 septembre 2016.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 11 ottobre 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Proposta di elezione per la presidenza e la vicepresidenza dal 1° gennaio 2017 ed elezione degli organi direttivi Il Tribunale federale propone all'Assemblea federale di eleggere il Giudice federale Ulrich Meyer alla presidenza del Tribunale federale e la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. La Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Yves Donzallaz quale terzo membro della Commissione amministrativa. Ad inizio 2017, due delle sette Corti del Tribunale federale conosceranno un nuovo Presidente. Durante la sessione di dicembre, l'Assemblea federale procederà all'elezione, su proposta del Tribunale federale, del Presidente e del Vicepresidente del Tribunale federale per il periodo 2017-2018. Il 10 ottobre 2016, la Corte plenaria ha proposto di eleggere il Vicepresidente in carica, Giudice federale Ulrich Meyer, quale nuovo Presidente del Tribunale federale. L'attuale Presidente del Tribunale federale, Giudice federale Gilbert Kolly, lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. La Corte plenaria propone, inoltre, di eleggere la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. Il nuovo Presidente e la nuova Vicepresidente siedono per legge nella Commissione amministrativa. Quale terzo membro di questa Commissione, la Corte plenaria ha eletto lunedì il Giudice federale Yves Donzallaz. Ad inizio 2017, due delle sette Corti conosceranno un nuovo Presidente. Il Giudice federale Jean Fonjallaz lascerà la carica di Presidente della Prima Corte di diritto pubblico alla fine del 2016. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Thomas Merkli. La Giudice federale Brigitte Pfiffner succede il 1° gennaio 2017 alla Giudice federale Lucrezia Glanzmann come Presidente della Seconda Corte di diritto sociale a Lucerna. Al suo posto è stata eletta la Giudice federale Brigitte Pfiffner. I Presidi delle altre cinque Corti restano immutati (Seconda Corte di diritto pubblico: Giudice federale Hans Georg Seiler, Prima Corte di diritto civile: Giudice federale Christina Kiss, Seconda Corte di diritto civile: Giudice federale Nicolas von Werdt, Corte di diritto penale: Giudice federale Christian Denys, Prima Corte di diritto sociale: Giudice federale Marcel Maillard). Inoltre, il Tribunale federale ha confermato i Giudici federali Luca Marazzi (nuovo Presidente) e François Chaix, nonché eletto la Giudice federale Alexia Heine quali membri della sua Commissione di ricorso per il periodo di carica 2017-2018. La Giudice federale Daniela Viscione, eletta dall'Assemblea federale in data 28 settembre 2016, è stata attribuita alla Prima Corte di diritto sociale. La Giudice federale Marie-Chantal May Canellas, anch'essa eletta il 28 settembre 2016, eserciterà la sua funzione in seno alla Prima Corte di diritto civile.
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11.5.2_9.1.1.1_04_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang}
Lausanne, 11. Oktober 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Wahlvorschlag für Präsidium / Vizepräsidium ab 1. Januar 2017 und Wahl Leitungsorgane Das Bundesgericht schlägt der Bundesversammlung Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer zur Wahl als Bundesgerichtspräsidenten und Frau Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl als Vizepräsidentin vor. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. In zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts kommt es auf Anfang 2017 zu einem Wechsel des Präsidiums. In der Dezembersession wird die Bundesversammlung auf Vorschlag des Bundesgerichts hin das Präsidium und das Vizepräsidium des Bundesgerichts für die Amtsperiode 2017 bis 2018 wählen. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter (Gesamtgericht) hat am 10. Oktober 2016 beschlossen, den amtierenden Vizepräsidenten des Bundesgerichts, Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer, zur Wahl als neuen Präsidenten des Bundesgerichts vorzuschlagen. Der aktuelle Bundesgerichtspräsident, Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, tritt auf Ende Jahr von seinem Amt als Bundesrichter zurück. Als neue Vizepräsidentin schlägt das Gesamtgericht Frau Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl vor. Der neue Präsident und die neue Vizepräsidentin nehmen von Gesetzes wegen auch in der Verwaltungskommission des Bundesgerichts Einsitz. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. Auf Anfang 2017 kommt es in zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts zu einem Wechsel des Präsidiums. Herr Bundesrichter Jean Fonjallaz gibt Ende 2016 das Amt als Abteilungspräsident der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung ab. Als seinen Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Thomas Merkli gewählt. Frau Bundesrichterin Brigitte Pfiffner löst auf Anfang 2017 Frau Bundesrichterin Lucrezia Glanzmann als Präsidentin der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern ab. Die Präsidien der übrigen fünf Abteilungen bleiben unverändert (Zweite öffentlich-rechtliche Abteilung: Bundesrichter Hans Georg Seiler, Erste zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Christina Kiss, Zweite zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichter Nicolas von Werdt, Strafrechtliche Abteilung: Bundesrichter Christian Denys, Erste sozialrechtliche Abteilung: Bundesrichter Marcel Maillard). Weiter hat das Bundesgericht als Mitglieder seiner Rekurskommission für die Amtsperiode 2017 bis 2018 Herrn Bundesrichter Luca Marazzi (neu Vorsitz) und Herrn Bundesrichter François Chaix bestätigt sowie Frau Bundesrichterin Alexia Heine neu gewählt. Die am 28. September 2016 von der Bundesversammlung neu gewählte Bundesrichterin Daniela Viscione wird der Ersten sozialrechtlichen Abteilung zugeteilt, die neu gewählte Bundesrichterin Marie-Chantal May Canellas der Ersten zivilrechtlichen Abteilung.
Lausanne, le 11 octobre 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Proposition pour l'élection à la Présidence et à la Vice-Prési dence dès le 1er janvier 2017 et élection des organes de direc tion Le Tribunal fédéral propose à l'Assemblée fédérale d'élire Monsieur le Juge Ulrich Meyer en qualité de Président du Tribunal fédéral et Madame la Juge Martha NiquilleEberle comme Vice-Présidente. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge Yves Donzallaz comme troisième membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2017, le Tribunal fédéral comptera deux nouveaux présidents de cour sur sept. Lors de la session de décembre, l'Assemblée fédérale élira, sur proposition du Tribunal fédéral, le Président et la Vice-Présidente du Tribunal fédéral pour la période 2017 à 2018. La Cour plénière, composée de tous les juges fédéraux, a décidé le 10 octobre 2016 de proposer l'actuel Vice-Président du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Ulrich Meyer, pour l'élection en tant que nouveau Président du Tribunal fédéral. Le Président actuel du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Gilbert Kolly, quittera sa fonction de Juge fédéral à la fin de l'année en cours. La Cour plénière propose d'élire Madame la Juge Martha Niquille-Eberle à la fonction de Vice-Présidente. Le nouveau Président et la nouvelle Vice-Présidente sont membres de la Commission administrative du Tribunal fédéral de par la loi. La Cour plénière a élu lundi Monsieur le Juge Yves Donzallaz en qualité de troisième membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2017, deux des sept cours du Tribunal fédéral auront un nouveau président ou une nouvelle présidente. Monsieur le Juge Jean Fonjallaz termine à la fin de 2016 son mandat comme Président de la Première Cour de droit public. Monsieur le Juge Thomas Merkli a été élu à sa succession par la Cour plénière. Madame la Juge Brigitte Pfiffner remplace dès le 1 er janvier 2017 Madame la Juge Lucrezia Glanzmann comme Présidente de la Deuxième Cour de droit social à Lucerne. Les présidences des cinq autres cours restent inchangées (II e Cour de droit public : Monsieur le Juge Hans Georg Seiler, Ire Cour de droit civil : Madame la Juge Christina Kiss, II e Cour de droit civil : Monsieur le Juge Nicolas von Werdt, Cour de droit pénal : Monsieur le Juge Christian Denys, I re Cour de droit social : Monsieur le Juge Marcel Maillard). De plus, le Tribunal fédéral a confirmé les membres de sa Commission de recours pour la période 2017 à 2018, à savoir Monsieur le Juge Luca Marazzi (nouveau Président) ainsi que Monsieur le Juge François Chaix et a élu Madame la Juge Alexia Heine en qualité de nouvelle membre de cette commission. Madame la Juge Daniela Viscione a été affectée à la I re Cour de droit social et Madame la Juge Marie-Chantal May Canellas à la I re Cour de droit civil; toutes deux avaient été élues par l'Assemblée fédérale le 28 septembre 2016.
Losanna, 11 ottobre 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Proposta di elezione per la presidenza e la vicepresidenza dal 1° gennaio 2017 ed elezione degli organi direttivi Il Tribunale federale propone all'Assemblea federale di eleggere il Giudice federale Ulrich Meyer alla presidenza del Tribunale federale e la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. La Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Yves Donzallaz quale terzo membro della Commissione amministrativa. Ad inizio 2017, due delle sette Corti del Tribunale federale conosceranno un nuovo Presidente. Durante la sessione di dicembre, l'Assemblea federale procederà all'elezione, su proposta del Tribunale federale, del Presidente e del Vicepresidente del Tribunale federale per il periodo 2017-2018. Il 10 ottobre 2016, la Corte plenaria ha proposto di eleggere il Vicepresidente in carica, Giudice federale Ulrich Meyer, quale nuovo Presidente del Tribunale federale. L'attuale Presidente del Tribunale federale, Giudice federale Gilbert Kolly, lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. La Corte plenaria propone, inoltre, di eleggere la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. Il nuovo Presidente e la nuova Vicepresidente siedono per legge nella Commissione amministrativa. Quale terzo membro di questa Commissione, la Corte plenaria ha eletto lunedì il Giudice federale Yves Donzallaz. Ad inizio 2017, due delle sette Corti conosceranno un nuovo Presidente. Il Giudice federale Jean Fonjallaz lascerà la carica di Presidente della Prima Corte di diritto pubblico alla fine del 2016. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Thomas Merkli. La Giudice federale Brigitte Pfiffner succede il 1° gennaio 2017 alla Giudice federale Lucrezia Glanzmann come Presidente della Seconda Corte di diritto sociale a Lucerna. Al suo posto è stata eletta la Giudice federale Brigitte Pfiffner. I Presidi delle altre cinque Corti restano immutati (Seconda Corte di diritto pubblico: Giudice federale Hans Georg Seiler, Prima Corte di diritto civile: Giudice federale Christina Kiss, Seconda Corte di diritto civile: Giudice federale Nicolas von Werdt, Corte di diritto penale: Giudice federale Christian Denys, Prima Corte di diritto sociale: Giudice federale Marcel Maillard). Inoltre, il Tribunale federale ha confermato i Giudici federali Luca Marazzi (nuovo Presidente) e François Chaix, nonché eletto la Giudice federale Alexia Heine quali membri della sua Commissione di ricorso per il periodo di carica 2017-2018. La Giudice federale Daniela Viscione, eletta dall'Assemblea federale in data 28 settembre 2016, è stata attribuita alla Prima Corte di diritto sociale. La Giudice federale Marie-Chantal May Canellas, anch'essa eletta il 28 settembre 2016, eserciterà la sua funzione in seno alla Prima Corte di diritto civile.
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Dataset Card for Swiss Supreme Court Press Release Translations

This dataset card describes a collection of press releases from the Swiss Federal Supreme Court, provided in German, French, and Italian. It is a parallel dataset enabling multilingual translation and analysis of legal press releases.

Dataset Details

Dataset Description

This dataset consists of press releases from the Swiss Federal Supreme Court in three official languages: German, French, and Italian. Each release provides essential information on recent decisions, legal updates, and notable cases. The dataset supports multilingual tasks and can be used for machine translation, text alignment, or legal document processing and analysis.

  • Curated by: Joel Niklaus
  • Source: Swiss Federal Supreme Court Press Releases
  • Language(s) (NLP): German (de), French (fr), Italian (it)
  • License: [More Information Needed]

Dataset Sources

  • Repository: [More Information Needed]
  • Paper [optional]: [More Information Needed]
  • Demo [optional]: [More Information Needed]

Uses

Direct Use

This dataset can be used for:

  • Multilingual text alignment and translation tasks across three languages.
  • Language model training or fine-tuning for press releases in the legal domain.

Out-of-Scope Use

The dataset may not be suitable for tasks outside the legal domain, or those that do not consider the context of press releases.

Dataset Structure

The dataset consists of three fields per entry, providing multilingual translations of each press release.

  • Fields:
    • filename: Unique filename identifying each press release.
    • de_text: Press release content in German.
    • fr_text: Press release content in French.
    • it_text: Press release content in Italian.

Example Code

from datasets import load_dataset

# Load the press release dataset
press_release_dataset = load_dataset('joelniklaus/SwissSupremeCourtPressReleases', name='press_release', trust_remote_code=True)

# Print dataset for inspection
print(press_release_dataset)

Dataset Creation

Curation Rationale

The dataset was created to support multilingual legal research and media analysis. By providing structured press releases in three languages, it enables a variety of tasks in legal translation and text processing.

Source Data

The dataset is derived from publicly available Swiss Supreme Court press releases.

Data Collection and Processing

The press releases were collected, cleaned, and structured in German, French, and Italian. Each release is saved in a standardized format with a unique filename.

Who are the source data producers?

The source data is produced by the Swiss Federal Supreme Court.

Annotations [optional]

No additional annotations have been added beyond the official translations provided by Swiss authorities.

Personal and Sensitive Information

The dataset does not contain any personal, sensitive, or private information. It consists solely of publicly available press releases.

Bias, Risks, and Limitations

The dataset is specific to Swiss federal press releases and may not represent international press releases or general legal frameworks outside Switzerland. Users should consider these limitations for cross-national legal studies.

Recommendations

This dataset is best used for tasks within the legal and media domains, especially those focused on multilingual press release processing, translation, and analysis.

Citation [optional]

BibTeX:

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APA:

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Glossary [optional]

  • Swiss Federal Supreme Court: The highest court in Switzerland responsible for federal legal matters.

More Information [optional]

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Dataset Card Authors

Joel Niklaus

Dataset Card Contact

Joel Niklaus

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