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Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,. Suite à l'examen clinique de la patiente, quel(s) examen(s) radiologique(s) à visée étiologique prescrivez vous lors de cette hospitalisation de jour ? a. radiographie du bassin de face b. radiographie des hanches de face et de profil c. radiographie des genoux droit et gauche d. Scanner cérébral e. échographie cardiaque
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas de signe neuro ni cardio.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,. Suite à l'examen clinique de la patiente, quel(s) examen(s) radiologique(s) à visée étiologique prescrivez vous lors de cette hospitalisation de jour ? a. radiographie du bassin de face b. radiographie des hanches de face et de profil c. radiographie des genoux droit et gauche d. Scanner cérébral e. échographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas de signe neuro ni cardio. Quel(s) prélèvement(s) biologique(s) à visée étiologique prescrivez vous pour cette chute ? a. numération formule sanguine b. Ionogramme sanguin c. creatininémie et clearance de la créatinine d. Vitamine 25 OH D e. creatine phospho kinase (CPK)
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cpk pas étiologique cf reco HAS.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,. Suite à l'examen clinique de la patiente, quel(s) examen(s) radiologique(s) à visée étiologique prescrivez vous lors de cette hospitalisation de jour ? a. radiographie du bassin de face b. radiographie des hanches de face et de profil c. radiographie des genoux droit et gauche d. Scanner cérébral e. échographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas de signe neuro ni cardio. Quel(s) prélèvement(s) biologique(s) à visée étiologique prescrivez vous pour cette chute ? a. numération formule sanguine b. Ionogramme sanguin c. creatininémie et clearance de la créatinine d. Vitamine 25 OH D e. creatine phospho kinase (CPK) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cpk pas étiologique cf reco HAS. Une hypotension orthostatique est confirmée lorsqu'il y a entre les valeurs de la pression artérielle mesurée couchée et débout ? a. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle systolique b. une baisse de 10 mmHg de la pression artérielle systolique c. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle systolique d. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle diastolique e. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle diastolique
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,. Suite à l'examen clinique de la patiente, quel(s) examen(s) radiologique(s) à visée étiologique prescrivez vous lors de cette hospitalisation de jour ? a. radiographie du bassin de face b. radiographie des hanches de face et de profil c. radiographie des genoux droit et gauche d. Scanner cérébral e. échographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas de signe neuro ni cardio. Quel(s) prélèvement(s) biologique(s) à visée étiologique prescrivez vous pour cette chute ? a. numération formule sanguine b. Ionogramme sanguin c. creatininémie et clearance de la créatinine d. Vitamine 25 OH D e. creatine phospho kinase (CPK) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cpk pas étiologique cf reco HAS. Une hypotension orthostatique est confirmée lorsqu'il y a entre les valeurs de la pression artérielle mesurée couchée et débout ? a. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle systolique b. une baisse de 10 mmHg de la pression artérielle systolique c. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle systolique d. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle diastolique e. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle diastolique A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels sont les critères diagnostiques d'une dénutrition sévère chez les personnes âgées? a. indice de masse corporelle < 18 kg/m2 b. Perte de poids involontaire de 5 à 10% en 1 mois c. indice de masse corporelle < 21kg/m2 d. perte de poids involontaire >= 10% en 1 mois e. perte de poids involontaire >= 10% en 6 mois
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,. Suite à l'examen clinique de la patiente, quel(s) examen(s) radiologique(s) à visée étiologique prescrivez vous lors de cette hospitalisation de jour ? a. radiographie du bassin de face b. radiographie des hanches de face et de profil c. radiographie des genoux droit et gauche d. Scanner cérébral e. échographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas de signe neuro ni cardio. Quel(s) prélèvement(s) biologique(s) à visée étiologique prescrivez vous pour cette chute ? a. numération formule sanguine b. Ionogramme sanguin c. creatininémie et clearance de la créatinine d. Vitamine 25 OH D e. creatine phospho kinase (CPK) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cpk pas étiologique cf reco HAS. Une hypotension orthostatique est confirmée lorsqu'il y a entre les valeurs de la pression artérielle mesurée couchée et débout ? a. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle systolique b. une baisse de 10 mmHg de la pression artérielle systolique c. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle systolique d. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle diastolique e. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle diastolique A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels sont les critères diagnostiques d'une dénutrition sévère chez les personnes âgées? a. indice de masse corporelle < 18 kg/m2 b. Perte de poids involontaire de 5 à 10% en 1 mois c. indice de masse corporelle < 21kg/m2 d. perte de poids involontaire >= 10% en 1 mois e. perte de poids involontaire >= 10% en 6 mois A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les radiographies retrouvent une coxarthrose bilatérale, il n'y a pas de descellement de la prothèse de genou. Une consultation avec un chirurgien orthopédiste est programmée. En attendant, que proposez vous devant le refus de verticalisation de la patiente? a. évaluation cognitive b. évaluation thymique c. Demande d'admission en soins de suite et réadapatation d. demande d'admission en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) e. évaluation de la douleur
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,. Suite à l'examen clinique de la patiente, quel(s) examen(s) radiologique(s) à visée étiologique prescrivez vous lors de cette hospitalisation de jour ? a. radiographie du bassin de face b. radiographie des hanches de face et de profil c. radiographie des genoux droit et gauche d. Scanner cérébral e. échographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas de signe neuro ni cardio. Quel(s) prélèvement(s) biologique(s) à visée étiologique prescrivez vous pour cette chute ? a. numération formule sanguine b. Ionogramme sanguin c. creatininémie et clearance de la créatinine d. Vitamine 25 OH D e. creatine phospho kinase (CPK) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cpk pas étiologique cf reco HAS. Une hypotension orthostatique est confirmée lorsqu'il y a entre les valeurs de la pression artérielle mesurée couchée et débout ? a. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle systolique b. une baisse de 10 mmHg de la pression artérielle systolique c. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle systolique d. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle diastolique e. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle diastolique A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels sont les critères diagnostiques d'une dénutrition sévère chez les personnes âgées? a. indice de masse corporelle < 18 kg/m2 b. Perte de poids involontaire de 5 à 10% en 1 mois c. indice de masse corporelle < 21kg/m2 d. perte de poids involontaire >= 10% en 1 mois e. perte de poids involontaire >= 10% en 6 mois A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les radiographies retrouvent une coxarthrose bilatérale, il n'y a pas de descellement de la prothèse de genou. Une consultation avec un chirurgien orthopédiste est programmée. En attendant, que proposez vous devant le refus de verticalisation de la patiente? a. évaluation cognitive b. évaluation thymique c. Demande d'admission en soins de suite et réadapatation d. demande d'admission en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) e. évaluation de la douleur A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente évalue sa douleur a l'échelle verbale simple à 2/4 à la verticalisation uniquement. Concernant la prise en charge orale antalgique, quelles modifications thérapeutiques proposez vous en attendant la consultation chirurgicale? a. maintien de l'association paracétamol + codéine b. paracétamol + oxycodone LP 20 mg matin et soir c. paracétamol + oxycodone LP 5 mg matin d. association paracétamol + tramadol LP 100mg x 2/jour e. paracétamol + sulfate de morphine LP 10mg matin
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,. Suite à l'examen clinique de la patiente, quel(s) examen(s) radiologique(s) à visée étiologique prescrivez vous lors de cette hospitalisation de jour ? a. radiographie du bassin de face b. radiographie des hanches de face et de profil c. radiographie des genoux droit et gauche d. Scanner cérébral e. échographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas de signe neuro ni cardio. Quel(s) prélèvement(s) biologique(s) à visée étiologique prescrivez vous pour cette chute ? a. numération formule sanguine b. Ionogramme sanguin c. creatininémie et clearance de la créatinine d. Vitamine 25 OH D e. creatine phospho kinase (CPK) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cpk pas étiologique cf reco HAS. Une hypotension orthostatique est confirmée lorsqu'il y a entre les valeurs de la pression artérielle mesurée couchée et débout ? a. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle systolique b. une baisse de 10 mmHg de la pression artérielle systolique c. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle systolique d. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle diastolique e. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle diastolique A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels sont les critères diagnostiques d'une dénutrition sévère chez les personnes âgées? a. indice de masse corporelle < 18 kg/m2 b. Perte de poids involontaire de 5 à 10% en 1 mois c. indice de masse corporelle < 21kg/m2 d. perte de poids involontaire >= 10% en 1 mois e. perte de poids involontaire >= 10% en 6 mois A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les radiographies retrouvent une coxarthrose bilatérale, il n'y a pas de descellement de la prothèse de genou. Une consultation avec un chirurgien orthopédiste est programmée. En attendant, que proposez vous devant le refus de verticalisation de la patiente? a. évaluation cognitive b. évaluation thymique c. Demande d'admission en soins de suite et réadapatation d. demande d'admission en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) e. évaluation de la douleur A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente évalue sa douleur a l'échelle verbale simple à 2/4 à la verticalisation uniquement. Concernant la prise en charge orale antalgique, quelles modifications thérapeutiques proposez vous en attendant la consultation chirurgicale? a. maintien de l'association paracétamol + codéine b. paracétamol + oxycodone LP 20 mg matin et soir c. paracétamol + oxycodone LP 5 mg matin d. association paracétamol + tramadol LP 100mg x 2/jour e. paracétamol + sulfate de morphine LP 10mg matin A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan biologique retrouve un dosage de vitamine 25 OH D à 4ng/ml, que prescrivez vous pour corriger cette carence? a. 4 ampoules de vitamine D3 100 000UI sur 2 mois b. 1 ampoule de vitamine D3 100 000UI tous les 3 mois c. 6 ampoules de vitamine D3 100 000UI sur 3 mois d. 1 ampoule de vitamine D3 100 000UI par jour 1 mois e. 1 goutte de vitamine D2 soit 400 UI par jour 1 mois
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. eviter les exces d'apports rapportés nocifs ou les doses d'entretien qui ne corrigent pas.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,. Suite à l'examen clinique de la patiente, quel(s) examen(s) radiologique(s) à visée étiologique prescrivez vous lors de cette hospitalisation de jour ? a. radiographie du bassin de face b. radiographie des hanches de face et de profil c. radiographie des genoux droit et gauche d. Scanner cérébral e. échographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas de signe neuro ni cardio. Quel(s) prélèvement(s) biologique(s) à visée étiologique prescrivez vous pour cette chute ? a. numération formule sanguine b. Ionogramme sanguin c. creatininémie et clearance de la créatinine d. Vitamine 25 OH D e. creatine phospho kinase (CPK) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cpk pas étiologique cf reco HAS. Une hypotension orthostatique est confirmée lorsqu'il y a entre les valeurs de la pression artérielle mesurée couchée et débout ? a. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle systolique b. une baisse de 10 mmHg de la pression artérielle systolique c. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle systolique d. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle diastolique e. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle diastolique A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels sont les critères diagnostiques d'une dénutrition sévère chez les personnes âgées? a. indice de masse corporelle < 18 kg/m2 b. Perte de poids involontaire de 5 à 10% en 1 mois c. indice de masse corporelle < 21kg/m2 d. perte de poids involontaire >= 10% en 1 mois e. perte de poids involontaire >= 10% en 6 mois A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les radiographies retrouvent une coxarthrose bilatérale, il n'y a pas de descellement de la prothèse de genou. Une consultation avec un chirurgien orthopédiste est programmée. En attendant, que proposez vous devant le refus de verticalisation de la patiente? a. évaluation cognitive b. évaluation thymique c. Demande d'admission en soins de suite et réadapatation d. demande d'admission en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) e. évaluation de la douleur A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente évalue sa douleur a l'échelle verbale simple à 2/4 à la verticalisation uniquement. Concernant la prise en charge orale antalgique, quelles modifications thérapeutiques proposez vous en attendant la consultation chirurgicale? a. maintien de l'association paracétamol + codéine b. paracétamol + oxycodone LP 20 mg matin et soir c. paracétamol + oxycodone LP 5 mg matin d. association paracétamol + tramadol LP 100mg x 2/jour e. paracétamol + sulfate de morphine LP 10mg matin A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan biologique retrouve un dosage de vitamine 25 OH D à 4ng/ml, que prescrivez vous pour corriger cette carence? a. 4 ampoules de vitamine D3 100 000UI sur 2 mois b. 1 ampoule de vitamine D3 100 000UI tous les 3 mois c. 6 ampoules de vitamine D3 100 000UI sur 3 mois d. 1 ampoule de vitamine D3 100 000UI par jour 1 mois e. 1 goutte de vitamine D2 soit 400 UI par jour 1 mois A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. eviter les exces d'apports rapportés nocifs ou les doses d'entretien qui ne corrigent pas. Devant l'hypotension orthostatique confirmée, quelles propositions faites-vous? a. Arret des 3 antihypertenseurs b. Baisse de posologie des antihypertenseurs c. Port de bas de contention veineuse d. Repos au lit e. surveillance de la pression artérielle par infirmier à domicile
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mme C. , 86 ans, est adressée en hôpital de jour gériatrique pour des malaises à répétition depuis 1 mois. Elle décrit ses malaises comme une association de sueurs, de nausées avec sensation de faiblesse, sans perte de connaissance, survenant lors de l’orthostatisme. Le dernier s’est accompagné d’une chute avec depuis une angoisse à la marche. D’ailleurs elle refuse les tentatives de verticalisation lors de l’examen initial. Mode de vie : veuve depuis 15 ans, un fils qui vit à 30 km de chez elle. Une heure d’aide ménagère 1 fois par semaine financé par chèque emploi service. La patiente ne sort plus de chez elle et c’est son fils qui lui fait ses courses une fois par semaine. Antécédents : hypertension artérielle, gonarthrose gauche opérée (prothèse totale de genou) Traitement habituel: - acébutolol SECTRAL 200mg (ß bloquant) : 1 – 0 – 1 - lercandipine LERCAN 10mg (inhibiteur calcique) : 0 – 0 – 1 - ramipril TRIATEC 5mg (Inhibiteur de l’enzyme de conversion) : 1 – 0 – 0 - diclofenac VOLTARENE 75mg LP (AINS) : 1 – 0 – 1 - codéine 20mg - paracétamol 400mg CODOLIPRANE 2-2-2 L'examen clinique note: poids : 45 kg, taille : 1,60 m (indice de masse corporelle=18 kg/m2), pression artérielle 100/60 mmHg, fréquence cardiaque : 60/min, température 37,2°C, saturation périphérique en oxygène mesurée en air ambiant : 98 %. L’examen neurologique et cardiovasculaire est sans particularité. On note une amplitude articulaire de hanches diminuée et douloureuse bilatérale. On note un état d’hygiène médiocre des pieds. Quelle(s) est (sont) votre (vos) première(s) hypothèse(s) concernant l' (les) étiologie(s) de la chute ? a. Baisse d'acuité visuelle b. Hypotension orthostatique c. Dénutrition d. gastroparésie e. coxarthrose A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les médicaments suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous parait (paraissent) à risque de iatrogénie ? a. acebutolol 200 mg matin et soir b. lercandipine 10 mg le soir c. Association de 3 antihypertenseurs d. diclofenac libération prolongée (L) 75 mg matin et soir e. codéine 20mg + paracétamol 400mg : 2 comprimés matin midi et soir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. pas le betabloquant car pas de bradycardie pas l'inhibiteur calcique,. Suite à l'examen clinique de la patiente, quel(s) examen(s) radiologique(s) à visée étiologique prescrivez vous lors de cette hospitalisation de jour ? a. radiographie du bassin de face b. radiographie des hanches de face et de profil c. radiographie des genoux droit et gauche d. Scanner cérébral e. échographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas de signe neuro ni cardio. Quel(s) prélèvement(s) biologique(s) à visée étiologique prescrivez vous pour cette chute ? a. numération formule sanguine b. Ionogramme sanguin c. creatininémie et clearance de la créatinine d. Vitamine 25 OH D e. creatine phospho kinase (CPK) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cpk pas étiologique cf reco HAS. Une hypotension orthostatique est confirmée lorsqu'il y a entre les valeurs de la pression artérielle mesurée couchée et débout ? a. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle systolique b. une baisse de 10 mmHg de la pression artérielle systolique c. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle systolique d. une baisse de 20 mmHg de la pression artérielle diastolique e. une baisse de 30 mmHg de la pression artérielle diastolique A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels sont les critères diagnostiques d'une dénutrition sévère chez les personnes âgées? a. indice de masse corporelle < 18 kg/m2 b. Perte de poids involontaire de 5 à 10% en 1 mois c. indice de masse corporelle < 21kg/m2 d. perte de poids involontaire >= 10% en 1 mois e. perte de poids involontaire >= 10% en 6 mois A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les radiographies retrouvent une coxarthrose bilatérale, il n'y a pas de descellement de la prothèse de genou. Une consultation avec un chirurgien orthopédiste est programmée. En attendant, que proposez vous devant le refus de verticalisation de la patiente? a. évaluation cognitive b. évaluation thymique c. Demande d'admission en soins de suite et réadapatation d. demande d'admission en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) e. évaluation de la douleur A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente évalue sa douleur a l'échelle verbale simple à 2/4 à la verticalisation uniquement. Concernant la prise en charge orale antalgique, quelles modifications thérapeutiques proposez vous en attendant la consultation chirurgicale? a. maintien de l'association paracétamol + codéine b. paracétamol + oxycodone LP 20 mg matin et soir c. paracétamol + oxycodone LP 5 mg matin d. association paracétamol + tramadol LP 100mg x 2/jour e. paracétamol + sulfate de morphine LP 10mg matin A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan biologique retrouve un dosage de vitamine 25 OH D à 4ng/ml, que prescrivez vous pour corriger cette carence? a. 4 ampoules de vitamine D3 100 000UI sur 2 mois b. 1 ampoule de vitamine D3 100 000UI tous les 3 mois c. 6 ampoules de vitamine D3 100 000UI sur 3 mois d. 1 ampoule de vitamine D3 100 000UI par jour 1 mois e. 1 goutte de vitamine D2 soit 400 UI par jour 1 mois A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. eviter les exces d'apports rapportés nocifs ou les doses d'entretien qui ne corrigent pas. Devant l'hypotension orthostatique confirmée, quelles propositions faites-vous? a. Arret des 3 antihypertenseurs b. Baisse de posologie des antihypertenseurs c. Port de bas de contention veineuse d. Repos au lit e. surveillance de la pression artérielle par infirmier à domicile A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quelle(s) aide(s) matérielle(s) préconisez vous pour son domicile? a. Cannes b. télé alarme c. Barre d'appui dans les WC d. Lève malade e. Tapis amortisseurs
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
Vous recevez au service d'urgences un patient de 21 ans diabétique insulino-dépendant depuis l'âge de 14 ans pour une dyspnée associée à une hyperthermie à 40°C. il est étudiant en troisième année à la Faculté de droit. En dehors du diabète il a comme antécédent principal une allergie vraie aux bétalactamines. Il existe des signes de déshydratation. A l'interrogatoire, ses réponses sont confuses. Il existe une ouverture des yeux sur ordre et une réaction orientée motrice à la douleur. Sa pression artérielle est à 120mmHg, son pouls est à 120/min, la fréquence respiratoire est à 40/min. Il n'y a pas de marbrure. Il n'y a pas de syndrome méningé. Il n'y a pas de signe de localisaiton neurologique. A l'auscultation pulmonaire, vous entendez des râles crépitants au niveau de la base pulmonaire droite. Le poids du patient est estimé à 60kg. Quelles sont la ou les propositions justes concernant l'état de conscience du patient ? a. Y3M6V4 b. Y2M6V4 c. Y2M5V3 d. Y2M6V3 e. le score de glasgow est à 12.
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Il est indispensable de connaitre l'échelle de classification des comas. Le score de Glasgow est à 12 Y3M5V4.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous recevez au service d'urgences un patient de 21 ans diabétique insulino-dépendant depuis l'âge de 14 ans pour une dyspnée associée à une hyperthermie à 40°C. il est étudiant en troisième année à la Faculté de droit. En dehors du diabète il a comme antécédent principal une allergie vraie aux bétalactamines. Il existe des signes de déshydratation. A l'interrogatoire, ses réponses sont confuses. Il existe une ouverture des yeux sur ordre et une réaction orientée motrice à la douleur. Sa pression artérielle est à 120mmHg, son pouls est à 120/min, la fréquence respiratoire est à 40/min. Il n'y a pas de marbrure. Il n'y a pas de syndrome méningé. Il n'y a pas de signe de localisaiton neurologique. A l'auscultation pulmonaire, vous entendez des râles crépitants au niveau de la base pulmonaire droite. Le poids du patient est estimé à 60kg. Quelles sont la ou les propositions justes concernant l'état de conscience du patient ? a. Y3M6V4 b. Y2M6V4 c. Y2M5V3 d. Y2M6V3 e. le score de glasgow est à 12. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Il est indispensable de connaitre l'échelle de classification des comas. Le score de Glasgow est à 12 Y3M5V4. Le score de Glasgow est à 12. Quelles sont les premières mesures que vous prenez ? a. Vous mettez en place un scope, une pression artérielle non invasive et un oxymètre de pouls. b. Vous réalisez un dextro c. Vous réalisez un électrocardiogramme d. Vous appelez le réanimateur car vous pensez qu'il faut intuber le patient e. Vous réalisez une ponction lombaire
A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. En raison du contexte, et des antécédents de diabète et de la symptomatologie où il existe des signes de déshydratation et une polypnée il est nécessaire d'envisager le diagnostic d'acidocetose diabétique et donc de réaliser un dextro pour vérifier s'il existe une hyperglycémie, de mettre en oeuvre des moyens de surveillance immédiatement car il s'agit d'une urgence diagnostique et thérapeutique. Il faut aussi faire immédiatement un électrocardiogramme pour vérifier l'absence de dyskaliémie. Il n'y a aucune raison de réaliser à ce stage une ponction lombaire et strictement aucune indication d'intubation.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Vous recevez au service d'urgences un patient de 21 ans diabétique insulino-dépendant depuis l'âge de 14 ans pour une dyspnée associée à une hyperthermie à 40°C. il est étudiant en troisième année à la Faculté de droit. En dehors du diabète il a comme antécédent principal une allergie vraie aux bétalactamines. Il existe des signes de déshydratation. A l'interrogatoire, ses réponses sont confuses. Il existe une ouverture des yeux sur ordre et une réaction orientée motrice à la douleur. Sa pression artérielle est à 120mmHg, son pouls est à 120/min, la fréquence respiratoire est à 40/min. Il n'y a pas de marbrure. Il n'y a pas de syndrome méningé. Il n'y a pas de signe de localisaiton neurologique. A l'auscultation pulmonaire, vous entendez des râles crépitants au niveau de la base pulmonaire droite. Le poids du patient est estimé à 60kg. Quelles sont la ou les propositions justes concernant l'état de conscience du patient ? a. Y3M6V4 b. Y2M6V4 c. Y2M5V3 d. Y2M6V3 e. le score de glasgow est à 12. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Il est indispensable de connaitre l'échelle de classification des comas. Le score de Glasgow est à 12 Y3M5V4. Le score de Glasgow est à 12. Quelles sont les premières mesures que vous prenez ? a. Vous mettez en place un scope, une pression artérielle non invasive et un oxymètre de pouls. b. Vous réalisez un dextro c. Vous réalisez un électrocardiogramme d. Vous appelez le réanimateur car vous pensez qu'il faut intuber le patient e. Vous réalisez une ponction lombaire A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. En raison du contexte, et des antécédents de diabète et de la symptomatologie où il existe des signes de déshydratation et une polypnée il est nécessaire d'envisager le diagnostic d'acidocetose diabétique et donc de réaliser un dextro pour vérifier s'il existe une hyperglycémie, de mettre en oeuvre des moyens de surveillance immédiatement car il s'agit d'une urgence diagnostique et thérapeutique. Il faut aussi faire immédiatement un électrocardiogramme pour vérifier l'absence de dyskaliémie. Il n'y a aucune raison de réaliser à ce stage une ponction lombaire et strictement aucune indication d'intubation. Vous avez réalisé un dextro qui montre une glycémie capilaire à 20mmol/L. Vous n'avez pas pu faire de bandelette urinaire. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Décompensation d'un diabète. b. Hyperglycémie dans le cadre d'une réaction inflammatoire systémique à une infection. c. acido-cetose alcoolique d. Glycémie normale e. Acido-cétose diabétique
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Malgré l'absence de bandelette urinaire qui confirmerait la présence de corps cétoniques le seul diagnostic possible dans ce contexte est celui d'acidocétose diabétique.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016)
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre sans délai chez ce patient ? a. remplissage vasculaire par cristalloïde type NaCl remplissage vasculaire par serum physiologique isotonique b. antibiothérapie parentérale par Augmentin (amoxicilline + acide clavulanique) réaction urticarienne à l'augmentin dans les questions précédentes c. support vasopresseur par Adrénaline d. sondage vésical e. oxygénothérapie adaptée
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre sans délai chez ce patient ? a. remplissage vasculaire par cristalloïde type NaCl remplissage vasculaire par serum physiologique isotonique b. antibiothérapie parentérale par Augmentin (amoxicilline + acide clavulanique) réaction urticarienne à l'augmentin dans les questions précédentes c. support vasopresseur par Adrénaline d. sondage vésical e. oxygénothérapie adaptée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après 1 litre de remplissage, la tension se maintien à 8/4. Les autres constantes retrouvent : 110 battements par minute, 87% sous 12L au masque. Il existe un balancement thoraco-abdominal. Le score de Glasgow est à 9. Que décidez-vous ? a. intubation orotrachéale et ventilation mécanique b. amine vasopressive type Noradrénaline c. antiarythmique type cordarone (1 ampoule) d. poursuite du remplissage vasculaire e. toutes les propositions sont fausses
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre sans délai chez ce patient ? a. remplissage vasculaire par cristalloïde type NaCl remplissage vasculaire par serum physiologique isotonique b. antibiothérapie parentérale par Augmentin (amoxicilline + acide clavulanique) réaction urticarienne à l'augmentin dans les questions précédentes c. support vasopresseur par Adrénaline d. sondage vésical e. oxygénothérapie adaptée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après 1 litre de remplissage, la tension se maintien à 8/4. Les autres constantes retrouvent : 110 battements par minute, 87% sous 12L au masque. Il existe un balancement thoraco-abdominal. Le score de Glasgow est à 9. Que décidez-vous ? a. intubation orotrachéale et ventilation mécanique b. amine vasopressive type Noradrénaline c. antiarythmique type cordarone (1 ampoule) d. poursuite du remplissage vasculaire e. toutes les propositions sont fausses A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'antibiothérapie à mettre en oeuvre chez ce patient, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. il faut débuter une antibiothérapie probabiliste par fluoroquinolone réaction urticarienne à l'amoxicilline et pneumopathie communautaire probable donc macrolide b. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Streptococcus pneumoniae c. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : legionelle pneumophilia d. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Hæmophilus Influenzæ e. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : Streptocoque du groupe A
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre sans délai chez ce patient ? a. remplissage vasculaire par cristalloïde type NaCl remplissage vasculaire par serum physiologique isotonique b. antibiothérapie parentérale par Augmentin (amoxicilline + acide clavulanique) réaction urticarienne à l'augmentin dans les questions précédentes c. support vasopresseur par Adrénaline d. sondage vésical e. oxygénothérapie adaptée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après 1 litre de remplissage, la tension se maintien à 8/4. Les autres constantes retrouvent : 110 battements par minute, 87% sous 12L au masque. Il existe un balancement thoraco-abdominal. Le score de Glasgow est à 9. Que décidez-vous ? a. intubation orotrachéale et ventilation mécanique b. amine vasopressive type Noradrénaline c. antiarythmique type cordarone (1 ampoule) d. poursuite du remplissage vasculaire e. toutes les propositions sont fausses A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'antibiothérapie à mettre en oeuvre chez ce patient, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. il faut débuter une antibiothérapie probabiliste par fluoroquinolone réaction urticarienne à l'amoxicilline et pneumopathie communautaire probable donc macrolide b. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Streptococcus pneumoniae c. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : legionelle pneumophilia d. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Hæmophilus Influenzæ e. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : Streptocoque du groupe A A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient est stabilisé à 10/8 de tension artérielle et 80 battements par minutes sous Noradrénaline 2 mg/h. La température est à 37°7. Il est admis en réanimation. Cinq jour plus tard, le patient est transféré dans le service de pneumologie. Vous décidez de compléter les explorations par la réalisation d'une TDM thoracique avec injection de produit de contraste. Sur la table du scanner, lors de l'injection vous observez l'apparition rapide d'un rash cutané. Vous reprenez les constantes : tension artérielle à 7/3 et 127 battements par minutes Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. vous évoquez le diagnostic d'anaphylaxie critères de sampson : exposition à allergène + collapsus CV suffit au diagnostic b. vous administrez rapidement de la noradrénaline adrénaline c. vous effectuez rapidement un remplissage vasculaire En cas d’instabilité cardiovasculaire après la première injection d’adrénaline IM, une expansion volémique doit être débutée par du sérum salé isotonique (recommandations 2016) d. les corticoïdes sont le traitement d'urgence et doivent être réalisés en priorité Ils ne constituent pas un traitement d’urgence de l’anaphylaxie et ne doivent pas se substituer à l’adrénaline (recommandations 2016) e. vous continuez l'examen en cours
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre sans délai chez ce patient ? a. remplissage vasculaire par cristalloïde type NaCl remplissage vasculaire par serum physiologique isotonique b. antibiothérapie parentérale par Augmentin (amoxicilline + acide clavulanique) réaction urticarienne à l'augmentin dans les questions précédentes c. support vasopresseur par Adrénaline d. sondage vésical e. oxygénothérapie adaptée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après 1 litre de remplissage, la tension se maintien à 8/4. Les autres constantes retrouvent : 110 battements par minute, 87% sous 12L au masque. Il existe un balancement thoraco-abdominal. Le score de Glasgow est à 9. Que décidez-vous ? a. intubation orotrachéale et ventilation mécanique b. amine vasopressive type Noradrénaline c. antiarythmique type cordarone (1 ampoule) d. poursuite du remplissage vasculaire e. toutes les propositions sont fausses A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'antibiothérapie à mettre en oeuvre chez ce patient, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. il faut débuter une antibiothérapie probabiliste par fluoroquinolone réaction urticarienne à l'amoxicilline et pneumopathie communautaire probable donc macrolide b. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Streptococcus pneumoniae c. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : legionelle pneumophilia d. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Hæmophilus Influenzæ e. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : Streptocoque du groupe A A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient est stabilisé à 10/8 de tension artérielle et 80 battements par minutes sous Noradrénaline 2 mg/h. La température est à 37°7. Il est admis en réanimation. Cinq jour plus tard, le patient est transféré dans le service de pneumologie. Vous décidez de compléter les explorations par la réalisation d'une TDM thoracique avec injection de produit de contraste. Sur la table du scanner, lors de l'injection vous observez l'apparition rapide d'un rash cutané. Vous reprenez les constantes : tension artérielle à 7/3 et 127 battements par minutes Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. vous évoquez le diagnostic d'anaphylaxie critères de sampson : exposition à allergène + collapsus CV suffit au diagnostic b. vous administrez rapidement de la noradrénaline adrénaline c. vous effectuez rapidement un remplissage vasculaire En cas d’instabilité cardiovasculaire après la première injection d’adrénaline IM, une expansion volémique doit être débutée par du sérum salé isotonique (recommandations 2016) d. les corticoïdes sont le traitement d'urgence et doivent être réalisés en priorité Ils ne constituent pas un traitement d’urgence de l’anaphylaxie et ne doivent pas se substituer à l’adrénaline (recommandations 2016) e. vous continuez l'examen en cours A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à une atteinte respiratoire b. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à des signes d'hypoperfusion tissulaire c. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux isolés et après exposition à un allergène connu d. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux associés à une atteinte cutanéo-muqueuse et après exposition à un allergène connu e. Une anaphylaxie est probable devant : une hypotension artérielle < 90 mmHg chez l'adulte et après exposition à un allergène connu
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre sans délai chez ce patient ? a. remplissage vasculaire par cristalloïde type NaCl remplissage vasculaire par serum physiologique isotonique b. antibiothérapie parentérale par Augmentin (amoxicilline + acide clavulanique) réaction urticarienne à l'augmentin dans les questions précédentes c. support vasopresseur par Adrénaline d. sondage vésical e. oxygénothérapie adaptée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après 1 litre de remplissage, la tension se maintien à 8/4. Les autres constantes retrouvent : 110 battements par minute, 87% sous 12L au masque. Il existe un balancement thoraco-abdominal. Le score de Glasgow est à 9. Que décidez-vous ? a. intubation orotrachéale et ventilation mécanique b. amine vasopressive type Noradrénaline c. antiarythmique type cordarone (1 ampoule) d. poursuite du remplissage vasculaire e. toutes les propositions sont fausses A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'antibiothérapie à mettre en oeuvre chez ce patient, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. il faut débuter une antibiothérapie probabiliste par fluoroquinolone réaction urticarienne à l'amoxicilline et pneumopathie communautaire probable donc macrolide b. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Streptococcus pneumoniae c. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : legionelle pneumophilia d. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Hæmophilus Influenzæ e. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : Streptocoque du groupe A A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient est stabilisé à 10/8 de tension artérielle et 80 battements par minutes sous Noradrénaline 2 mg/h. La température est à 37°7. Il est admis en réanimation. Cinq jour plus tard, le patient est transféré dans le service de pneumologie. Vous décidez de compléter les explorations par la réalisation d'une TDM thoracique avec injection de produit de contraste. Sur la table du scanner, lors de l'injection vous observez l'apparition rapide d'un rash cutané. Vous reprenez les constantes : tension artérielle à 7/3 et 127 battements par minutes Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. vous évoquez le diagnostic d'anaphylaxie critères de sampson : exposition à allergène + collapsus CV suffit au diagnostic b. vous administrez rapidement de la noradrénaline adrénaline c. vous effectuez rapidement un remplissage vasculaire En cas d’instabilité cardiovasculaire après la première injection d’adrénaline IM, une expansion volémique doit être débutée par du sérum salé isotonique (recommandations 2016) d. les corticoïdes sont le traitement d'urgence et doivent être réalisés en priorité Ils ne constituent pas un traitement d’urgence de l’anaphylaxie et ne doivent pas se substituer à l’adrénaline (recommandations 2016) e. vous continuez l'examen en cours A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à une atteinte respiratoire b. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à des signes d'hypoperfusion tissulaire c. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux isolés et après exposition à un allergène connu d. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux associés à une atteinte cutanéo-muqueuse et après exposition à un allergène connu e. Une anaphylaxie est probable devant : une hypotension artérielle < 90 mmHg chez l'adulte et après exposition à un allergène connu A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après traitement par Adrénaline intramusculaire à la posologie de 0,01 mg/kg, le patient reste hypotendu à 7/3. Un serum salé isotonique a été entrepris pour un remplissage de 20 mL/kg. Que faites-vous ? a. adrénaline intraveineux direct en titration oui, en 2ème ligne de traitement b. noradrénaline intraveineux direct seulement en cas d'échec de la proposition A c. antihistaminiques intraveineux 3ème ligne d. corticothérapie intraveineuse 3ème ligne e. toutes les propositions sont exactes
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre sans délai chez ce patient ? a. remplissage vasculaire par cristalloïde type NaCl remplissage vasculaire par serum physiologique isotonique b. antibiothérapie parentérale par Augmentin (amoxicilline + acide clavulanique) réaction urticarienne à l'augmentin dans les questions précédentes c. support vasopresseur par Adrénaline d. sondage vésical e. oxygénothérapie adaptée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après 1 litre de remplissage, la tension se maintien à 8/4. Les autres constantes retrouvent : 110 battements par minute, 87% sous 12L au masque. Il existe un balancement thoraco-abdominal. Le score de Glasgow est à 9. Que décidez-vous ? a. intubation orotrachéale et ventilation mécanique b. amine vasopressive type Noradrénaline c. antiarythmique type cordarone (1 ampoule) d. poursuite du remplissage vasculaire e. toutes les propositions sont fausses A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'antibiothérapie à mettre en oeuvre chez ce patient, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. il faut débuter une antibiothérapie probabiliste par fluoroquinolone réaction urticarienne à l'amoxicilline et pneumopathie communautaire probable donc macrolide b. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Streptococcus pneumoniae c. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : legionelle pneumophilia d. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Hæmophilus Influenzæ e. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : Streptocoque du groupe A A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient est stabilisé à 10/8 de tension artérielle et 80 battements par minutes sous Noradrénaline 2 mg/h. La température est à 37°7. Il est admis en réanimation. Cinq jour plus tard, le patient est transféré dans le service de pneumologie. Vous décidez de compléter les explorations par la réalisation d'une TDM thoracique avec injection de produit de contraste. Sur la table du scanner, lors de l'injection vous observez l'apparition rapide d'un rash cutané. Vous reprenez les constantes : tension artérielle à 7/3 et 127 battements par minutes Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. vous évoquez le diagnostic d'anaphylaxie critères de sampson : exposition à allergène + collapsus CV suffit au diagnostic b. vous administrez rapidement de la noradrénaline adrénaline c. vous effectuez rapidement un remplissage vasculaire En cas d’instabilité cardiovasculaire après la première injection d’adrénaline IM, une expansion volémique doit être débutée par du sérum salé isotonique (recommandations 2016) d. les corticoïdes sont le traitement d'urgence et doivent être réalisés en priorité Ils ne constituent pas un traitement d’urgence de l’anaphylaxie et ne doivent pas se substituer à l’adrénaline (recommandations 2016) e. vous continuez l'examen en cours A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à une atteinte respiratoire b. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à des signes d'hypoperfusion tissulaire c. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux isolés et après exposition à un allergène connu d. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux associés à une atteinte cutanéo-muqueuse et après exposition à un allergène connu e. Une anaphylaxie est probable devant : une hypotension artérielle < 90 mmHg chez l'adulte et après exposition à un allergène connu A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après traitement par Adrénaline intramusculaire à la posologie de 0,01 mg/kg, le patient reste hypotendu à 7/3. Un serum salé isotonique a été entrepris pour un remplissage de 20 mL/kg. Que faites-vous ? a. adrénaline intraveineux direct en titration oui, en 2ème ligne de traitement b. noradrénaline intraveineux direct seulement en cas d'échec de la proposition A c. antihistaminiques intraveineux 3ème ligne d. corticothérapie intraveineuse 3ème ligne e. toutes les propositions sont exactes A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L'évolution est favorable. Le patient sort après quelques jours d'hospitalisation. Avant le retour à domicile et en attente d’une consultation spécialisée avec un allergologue, quel(s) conseil(s), information(s) donnez-vous au patient ? a. une fiche de conseils mentionnant l’éviction de tout allergène supposé b. une fiche de conseils mentionnant les symptômes d’anaphylaxie c. une fiche de conseils mentionnant les consignes d’utilisation de l’adrénaline auto-injectable d. une fiche de conseils mentionnant les consignes d'utilisation des antihistaminiques et des corticoïdes e. une fiche de conseils mentionnant l'utilisation d'un défibrillateur semi-automatique (DSA)
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre sans délai chez ce patient ? a. remplissage vasculaire par cristalloïde type NaCl remplissage vasculaire par serum physiologique isotonique b. antibiothérapie parentérale par Augmentin (amoxicilline + acide clavulanique) réaction urticarienne à l'augmentin dans les questions précédentes c. support vasopresseur par Adrénaline d. sondage vésical e. oxygénothérapie adaptée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après 1 litre de remplissage, la tension se maintien à 8/4. Les autres constantes retrouvent : 110 battements par minute, 87% sous 12L au masque. Il existe un balancement thoraco-abdominal. Le score de Glasgow est à 9. Que décidez-vous ? a. intubation orotrachéale et ventilation mécanique b. amine vasopressive type Noradrénaline c. antiarythmique type cordarone (1 ampoule) d. poursuite du remplissage vasculaire e. toutes les propositions sont fausses A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'antibiothérapie à mettre en oeuvre chez ce patient, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. il faut débuter une antibiothérapie probabiliste par fluoroquinolone réaction urticarienne à l'amoxicilline et pneumopathie communautaire probable donc macrolide b. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Streptococcus pneumoniae c. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : legionelle pneumophilia d. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Hæmophilus Influenzæ e. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : Streptocoque du groupe A A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient est stabilisé à 10/8 de tension artérielle et 80 battements par minutes sous Noradrénaline 2 mg/h. La température est à 37°7. Il est admis en réanimation. Cinq jour plus tard, le patient est transféré dans le service de pneumologie. Vous décidez de compléter les explorations par la réalisation d'une TDM thoracique avec injection de produit de contraste. Sur la table du scanner, lors de l'injection vous observez l'apparition rapide d'un rash cutané. Vous reprenez les constantes : tension artérielle à 7/3 et 127 battements par minutes Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. vous évoquez le diagnostic d'anaphylaxie critères de sampson : exposition à allergène + collapsus CV suffit au diagnostic b. vous administrez rapidement de la noradrénaline adrénaline c. vous effectuez rapidement un remplissage vasculaire En cas d’instabilité cardiovasculaire après la première injection d’adrénaline IM, une expansion volémique doit être débutée par du sérum salé isotonique (recommandations 2016) d. les corticoïdes sont le traitement d'urgence et doivent être réalisés en priorité Ils ne constituent pas un traitement d’urgence de l’anaphylaxie et ne doivent pas se substituer à l’adrénaline (recommandations 2016) e. vous continuez l'examen en cours A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à une atteinte respiratoire b. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à des signes d'hypoperfusion tissulaire c. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux isolés et après exposition à un allergène connu d. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux associés à une atteinte cutanéo-muqueuse et après exposition à un allergène connu e. Une anaphylaxie est probable devant : une hypotension artérielle < 90 mmHg chez l'adulte et après exposition à un allergène connu A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après traitement par Adrénaline intramusculaire à la posologie de 0,01 mg/kg, le patient reste hypotendu à 7/3. Un serum salé isotonique a été entrepris pour un remplissage de 20 mL/kg. Que faites-vous ? a. adrénaline intraveineux direct en titration oui, en 2ème ligne de traitement b. noradrénaline intraveineux direct seulement en cas d'échec de la proposition A c. antihistaminiques intraveineux 3ème ligne d. corticothérapie intraveineuse 3ème ligne e. toutes les propositions sont exactes A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L'évolution est favorable. Le patient sort après quelques jours d'hospitalisation. Avant le retour à domicile et en attente d’une consultation spécialisée avec un allergologue, quel(s) conseil(s), information(s) donnez-vous au patient ? a. une fiche de conseils mentionnant l’éviction de tout allergène supposé b. une fiche de conseils mentionnant les symptômes d’anaphylaxie c. une fiche de conseils mentionnant les consignes d’utilisation de l’adrénaline auto-injectable d. une fiche de conseils mentionnant les consignes d'utilisation des antihistaminiques et des corticoïdes e. une fiche de conseils mentionnant l'utilisation d'un défibrillateur semi-automatique (DSA) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quelle est votre ordonnance de sortie pour ce patient ? a. adrénaline auto-injectable (type Anapen) : 300 μg deux AIA prescrits en fonction du poids, selon l’EAACI : entre 7,5 et 25 kg : dose de 150 μg ; au‑dessus de 25 kg : dose de 300 μg ; recommandations anaphylaxie 2016 b. adrénaline auto-injectable (type Anapen) : 1 mg toutes les 3 minutes en l'absence de réponse clinique après la première injection d'adrénaline auto-injectable (type Anapen) cette posologie est celle de l'arrêt cardio-respiratoire ! rappel : deux AIA prescrits en fonction du poids, selon l’EAACI : entre 7,5 et 25 kg : dose de 150 μg ; au‑dessus de 25 kg : dose de 300 μg ; recommandations anaphylaxie 2016 c. β2‑mimétique inhalé (ventoline) : 2 bouffées en cas de bronchospasme. d. prednisolone (solupred) : 60 mg par jour Un corticoïde par voie orale (prednisolone ou prednisone, 1 mg·kg-1 par jour, maximum 60 mg) et antihistaminique par voie orale sont habituellement prescrits pour une durée de trois à cinq jours, afin de traiter respectivement oedème et prurit. e. antihistiminique type desloratadine (aerius) Un corticoïde par voie orale (prednisolone ou prednisone, 1 mg·kg-1 par jour, maximum 60 mg) et antihistaminique par voie orale sont habituellement prescrits pour une durée de trois à cinq jours, afin de traiter respectivement oedème et prurit.
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un patient de 57 ans se présente aux urgences devant l'apparition ce jour d'un érythème diffus du thorax. Il n'a pas d'antécédent déclaré en dehors d'une dyslipidémie traitée par Crestor. On retrouve une notion de prise ce jour d'amoxicilline prescrit par son médecin traitant dans le cadre d'une pneumopathie Quel(s) est(sont) le(s) proposition(s) en faveur du diagnostic d'urticaire aigu ? a. les plaques sont de couleur rouge ou rosée, arrondies, bien limitées et en relief b. atteinte du visage et du tronc c. atteinte des muqueuses d. prurit nocturne prurit diurne et nocturne e. évolution sur quelques heures en dessinant des cercles ou des arabesques A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) de gravité à rechercher ? a. urticaire diffus du thorax et des lombes b. atteinte des plis c. oedème de la luette d. dyspnée e. signes gastro-intestinaux associés diagnostic d'anaphylaxie (critères de Sampson, recommandations 2016) A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'existe pas d'oedème de la luette ni atteinte dyspnée. Quel(s) est(sont) le(s) éléments de votre prise en charge aux urgences ? a. antihistamine type dexchlorphéniramine (Polaramine) b. corticothérapie courte prednisolone (solupred) c. adrénaline intramusculaire d. contre-indication à la prise ultérieure d'amoxicilline e. hospitalisation d'emblée A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelles consignes donnez-vous au patient avant sa sortie des urgences ? a. consultation d'un allergologue systématique en urgence N'est à proposer qu'à distance b. reprise de l'amoxicilline à trois semaines c. corticothérapie au long court d. l'urticaire allergique est liée à activation des mastocytes par des anticorps type immunoglobulines E (IgE) e. toutes les propositions sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. 48 heures plus tard, le patient consulte de nouveau. Il présente une dyspnée progressive avec hyperthermie à 39°C. Les constantes sont : 102 battements par minutes, tension à 80/32 mmHg, température à 39,2°C et saturation (SpO2) à 91% en air ambiant. Votre examen retrouve : Marbrures des membres inférieurs sibilants aux deux champs pulmonaires avec foyer auscultatoire gauche Sueurs pâleur toux grasse avec expectorations sales Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous ? a. pneumopathie gauche b. sepsis sévère c. méningite d. anaphylaxie e. oedème aigu du poumon (OAP) cardiogénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmis les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. les sueurs peuvent être un signe d'hypercapnie b. les sibilants peuvent être un signe d'hypercapnie c. les marbrures peuvent être un signe d'hypoperfusion tissulaire d. la tachycardie peut être un signe d'hypoperfusion tissulaire e. une pression artérielle diastolique basse peut traduire une vasoplégie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre sans délai chez ce patient ? a. remplissage vasculaire par cristalloïde type NaCl remplissage vasculaire par serum physiologique isotonique b. antibiothérapie parentérale par Augmentin (amoxicilline + acide clavulanique) réaction urticarienne à l'augmentin dans les questions précédentes c. support vasopresseur par Adrénaline d. sondage vésical e. oxygénothérapie adaptée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après 1 litre de remplissage, la tension se maintien à 8/4. Les autres constantes retrouvent : 110 battements par minute, 87% sous 12L au masque. Il existe un balancement thoraco-abdominal. Le score de Glasgow est à 9. Que décidez-vous ? a. intubation orotrachéale et ventilation mécanique b. amine vasopressive type Noradrénaline c. antiarythmique type cordarone (1 ampoule) d. poursuite du remplissage vasculaire e. toutes les propositions sont fausses A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'antibiothérapie à mettre en oeuvre chez ce patient, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. il faut débuter une antibiothérapie probabiliste par fluoroquinolone réaction urticarienne à l'amoxicilline et pneumopathie communautaire probable donc macrolide b. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Streptococcus pneumoniae c. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : legionelle pneumophilia d. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est :Hæmophilus Influenzæ e. dans ce contexte, une des bactéries suspectées est : Streptocoque du groupe A A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient est stabilisé à 10/8 de tension artérielle et 80 battements par minutes sous Noradrénaline 2 mg/h. La température est à 37°7. Il est admis en réanimation. Cinq jour plus tard, le patient est transféré dans le service de pneumologie. Vous décidez de compléter les explorations par la réalisation d'une TDM thoracique avec injection de produit de contraste. Sur la table du scanner, lors de l'injection vous observez l'apparition rapide d'un rash cutané. Vous reprenez les constantes : tension artérielle à 7/3 et 127 battements par minutes Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. vous évoquez le diagnostic d'anaphylaxie critères de sampson : exposition à allergène + collapsus CV suffit au diagnostic b. vous administrez rapidement de la noradrénaline adrénaline c. vous effectuez rapidement un remplissage vasculaire En cas d’instabilité cardiovasculaire après la première injection d’adrénaline IM, une expansion volémique doit être débutée par du sérum salé isotonique (recommandations 2016) d. les corticoïdes sont le traitement d'urgence et doivent être réalisés en priorité Ils ne constituent pas un traitement d’urgence de l’anaphylaxie et ne doivent pas se substituer à l’adrénaline (recommandations 2016) e. vous continuez l'examen en cours A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à une atteinte respiratoire b. Une anaphylaxie est probable devant : installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne associée à des signes d'hypoperfusion tissulaire c. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux isolés et après exposition à un allergène connu d. Une anaphylaxie est probable devant : des signes gastro-intestinaux associés à une atteinte cutanéo-muqueuse et après exposition à un allergène connu e. Une anaphylaxie est probable devant : une hypotension artérielle < 90 mmHg chez l'adulte et après exposition à un allergène connu A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Après traitement par Adrénaline intramusculaire à la posologie de 0,01 mg/kg, le patient reste hypotendu à 7/3. Un serum salé isotonique a été entrepris pour un remplissage de 20 mL/kg. Que faites-vous ? a. adrénaline intraveineux direct en titration oui, en 2ème ligne de traitement b. noradrénaline intraveineux direct seulement en cas d'échec de la proposition A c. antihistaminiques intraveineux 3ème ligne d. corticothérapie intraveineuse 3ème ligne e. toutes les propositions sont exactes A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L'évolution est favorable. Le patient sort après quelques jours d'hospitalisation. Avant le retour à domicile et en attente d’une consultation spécialisée avec un allergologue, quel(s) conseil(s), information(s) donnez-vous au patient ? a. une fiche de conseils mentionnant l’éviction de tout allergène supposé b. une fiche de conseils mentionnant les symptômes d’anaphylaxie c. une fiche de conseils mentionnant les consignes d’utilisation de l’adrénaline auto-injectable d. une fiche de conseils mentionnant les consignes d'utilisation des antihistaminiques et des corticoïdes e. une fiche de conseils mentionnant l'utilisation d'un défibrillateur semi-automatique (DSA) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quelle est votre ordonnance de sortie pour ce patient ? a. adrénaline auto-injectable (type Anapen) : 300 μg deux AIA prescrits en fonction du poids, selon l’EAACI : entre 7,5 et 25 kg : dose de 150 μg ; au‑dessus de 25 kg : dose de 300 μg ; recommandations anaphylaxie 2016 b. adrénaline auto-injectable (type Anapen) : 1 mg toutes les 3 minutes en l'absence de réponse clinique après la première injection d'adrénaline auto-injectable (type Anapen) cette posologie est celle de l'arrêt cardio-respiratoire ! rappel : deux AIA prescrits en fonction du poids, selon l’EAACI : entre 7,5 et 25 kg : dose de 150 μg ; au‑dessus de 25 kg : dose de 300 μg ; recommandations anaphylaxie 2016 c. β2‑mimétique inhalé (ventoline) : 2 bouffées en cas de bronchospasme. d. prednisolone (solupred) : 60 mg par jour Un corticoïde par voie orale (prednisolone ou prednisone, 1 mg·kg-1 par jour, maximum 60 mg) et antihistaminique par voie orale sont habituellement prescrits pour une durée de trois à cinq jours, afin de traiter respectivement oedème et prurit. e. antihistiminique type desloratadine (aerius) Un corticoïde par voie orale (prednisolone ou prednisone, 1 mg·kg-1 par jour, maximum 60 mg) et antihistaminique par voie orale sont habituellement prescrits pour une durée de trois à cinq jours, afin de traiter respectivement oedème et prurit. A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Concernant l'orientation du patient vers une consultation d'allergologie à distance d'un épisode d'anaphylaxie, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. l’orientation vers un allergologue est indispensable b. ce bilan permet d’identifier le mécanisme immunologique en cause c. ce bilan permet d’identifier le facteur déclenchant d. ce bilan permet d’évaluer le risque d’allergie croisée, les facteurs de risque individuel et de récurrence e. le bilan allergologue pourra aussi permettre d’infirmer un diagnostic d’allergie et d’autoriser la reprise de certains médicaments ou aliments 0 0
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas. Le diagnostic de bronchite aigüe virale est retenu, quelle prise en charge proposez vous? (plusieurs réponses possibles) a. Traitement symptomatique : paracetamol, repos, hydratation b. Antibiothérapie probabiliste c. Courte corticothérapie d. introduction d'un inhibiteur de la neuraminidase e. Traitement viral ciblé en fonction des résultats d'un prélèvement nano-pharyngé
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas. Le diagnostic de bronchite aigüe virale est retenu, quelle prise en charge proposez vous? (plusieurs réponses possibles) a. Traitement symptomatique : paracetamol, repos, hydratation b. Antibiothérapie probabiliste c. Courte corticothérapie d. introduction d'un inhibiteur de la neuraminidase e. Traitement viral ciblé en fonction des résultats d'un prélèvement nano-pharyngé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous recevez en décembre 2020 au cabinet de médecine générale un autre patient, de 75 ans, très actif, porteur d'une prothèse totale de genou droit depuis 2 ans, et avec un antécédent d'hypertension artérielle traitée par inhibiteur calcique. Il vient d'emménager seul dans un vieil appartement inhabité depuis des mois. Il vous rapporte un début insidieux depuis 3 jours d'une toux grasse, une fièvre marquée, une dyspnée d'effort sans dyspnée de repos, une fatigue inhabituelle, des douleurs diffuses, quelques diarrhées. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous? a. une primo-infection CMV (Cytomegalovirus) b. Bronchite aigüe virale c. Grippe saisonnière d. Pneumopathie aigüe bactérienne e. Infection à SARS-CoV2
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas. Le diagnostic de bronchite aigüe virale est retenu, quelle prise en charge proposez vous? (plusieurs réponses possibles) a. Traitement symptomatique : paracetamol, repos, hydratation b. Antibiothérapie probabiliste c. Courte corticothérapie d. introduction d'un inhibiteur de la neuraminidase e. Traitement viral ciblé en fonction des résultats d'un prélèvement nano-pharyngé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous recevez en décembre 2020 au cabinet de médecine générale un autre patient, de 75 ans, très actif, porteur d'une prothèse totale de genou droit depuis 2 ans, et avec un antécédent d'hypertension artérielle traitée par inhibiteur calcique. Il vient d'emménager seul dans un vieil appartement inhabité depuis des mois. Il vous rapporte un début insidieux depuis 3 jours d'une toux grasse, une fièvre marquée, une dyspnée d'effort sans dyspnée de repos, une fatigue inhabituelle, des douleurs diffuses, quelques diarrhées. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous? a. une primo-infection CMV (Cytomegalovirus) b. Bronchite aigüe virale c. Grippe saisonnière d. Pneumopathie aigüe bactérienne e. Infection à SARS-CoV2 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Si c'était une grippe, un traitement curatif pourrait être instauré chez ce Monsieur en raison a. de son âge b. d'une indication d'hospitalisation systématique c. d'un antécédent d'hypertension artérielle d. de la survenu de symptômes grippaux < 48 h e. non, il n' y pas d'indication de traitement curatif
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas. Le diagnostic de bronchite aigüe virale est retenu, quelle prise en charge proposez vous? (plusieurs réponses possibles) a. Traitement symptomatique : paracetamol, repos, hydratation b. Antibiothérapie probabiliste c. Courte corticothérapie d. introduction d'un inhibiteur de la neuraminidase e. Traitement viral ciblé en fonction des résultats d'un prélèvement nano-pharyngé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous recevez en décembre 2020 au cabinet de médecine générale un autre patient, de 75 ans, très actif, porteur d'une prothèse totale de genou droit depuis 2 ans, et avec un antécédent d'hypertension artérielle traitée par inhibiteur calcique. Il vient d'emménager seul dans un vieil appartement inhabité depuis des mois. Il vous rapporte un début insidieux depuis 3 jours d'une toux grasse, une fièvre marquée, une dyspnée d'effort sans dyspnée de repos, une fatigue inhabituelle, des douleurs diffuses, quelques diarrhées. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous? a. une primo-infection CMV (Cytomegalovirus) b. Bronchite aigüe virale c. Grippe saisonnière d. Pneumopathie aigüe bactérienne e. Infection à SARS-CoV2 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Si c'était une grippe, un traitement curatif pourrait être instauré chez ce Monsieur en raison a. de son âge b. d'une indication d'hospitalisation systématique c. d'un antécédent d'hypertension artérielle d. de la survenu de symptômes grippaux < 48 h e. non, il n' y pas d'indication de traitement curatif A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la grippe a. l'incubation est généralement courte < 3 jours b. la transmission se fait principalement par gouttelette c. elle peut se compliquer de surinfection bactérienne secondaire d. Elle peut se compliquer d'une pneumonie virale grippale e. Elle peut se compliquer de formes extra-pulmonaires
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas. Le diagnostic de bronchite aigüe virale est retenu, quelle prise en charge proposez vous? (plusieurs réponses possibles) a. Traitement symptomatique : paracetamol, repos, hydratation b. Antibiothérapie probabiliste c. Courte corticothérapie d. introduction d'un inhibiteur de la neuraminidase e. Traitement viral ciblé en fonction des résultats d'un prélèvement nano-pharyngé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous recevez en décembre 2020 au cabinet de médecine générale un autre patient, de 75 ans, très actif, porteur d'une prothèse totale de genou droit depuis 2 ans, et avec un antécédent d'hypertension artérielle traitée par inhibiteur calcique. Il vient d'emménager seul dans un vieil appartement inhabité depuis des mois. Il vous rapporte un début insidieux depuis 3 jours d'une toux grasse, une fièvre marquée, une dyspnée d'effort sans dyspnée de repos, une fatigue inhabituelle, des douleurs diffuses, quelques diarrhées. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous? a. une primo-infection CMV (Cytomegalovirus) b. Bronchite aigüe virale c. Grippe saisonnière d. Pneumopathie aigüe bactérienne e. Infection à SARS-CoV2 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Si c'était une grippe, un traitement curatif pourrait être instauré chez ce Monsieur en raison a. de son âge b. d'une indication d'hospitalisation systématique c. d'un antécédent d'hypertension artérielle d. de la survenu de symptômes grippaux < 48 h e. non, il n' y pas d'indication de traitement curatif A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la grippe a. l'incubation est généralement courte < 3 jours b. la transmission se fait principalement par gouttelette c. elle peut se compliquer de surinfection bactérienne secondaire d. Elle peut se compliquer d'une pneumonie virale grippale e. Elle peut se compliquer de formes extra-pulmonaires A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen il est fébrile à 39,5°C, une fréquence cardiaque à 105/min, un foyer franc de crépitants en base droite, quelques ronchi à gauche. Le patient est très asthénique, un peu confus. Quelle prise en charge proposez vous? Plusieurs réponses possibles. a. Bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats b. Antibiothérapie d'emblée puis bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats c. Adresser le patient aux urgences pour évaluation +/- hospitalisation d. Un test diagnostic de SARS-CoV2 devra être réalisé e. Une sérologie grippale devra être réalisée au décours
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Patient de 75 ans = évaluation hospitalière d'autant que confusion et asthénie marquée. Score CRB65 à 2. Imaginez le patient à votre consultation, le temps que prendra de faire une prise de sang, une radio de thorax, puis la consultation de contrôle = retard thérapeutique, alors qu'il est légèrement confus (et un âge élevé) décembre 2020 = covid-19, possibilité de faire un test antigénique au cabinet, puis PCR aux urgences si ce test est négatif, ou PCR d'emblée aux urgences.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas. Le diagnostic de bronchite aigüe virale est retenu, quelle prise en charge proposez vous? (plusieurs réponses possibles) a. Traitement symptomatique : paracetamol, repos, hydratation b. Antibiothérapie probabiliste c. Courte corticothérapie d. introduction d'un inhibiteur de la neuraminidase e. Traitement viral ciblé en fonction des résultats d'un prélèvement nano-pharyngé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous recevez en décembre 2020 au cabinet de médecine générale un autre patient, de 75 ans, très actif, porteur d'une prothèse totale de genou droit depuis 2 ans, et avec un antécédent d'hypertension artérielle traitée par inhibiteur calcique. Il vient d'emménager seul dans un vieil appartement inhabité depuis des mois. Il vous rapporte un début insidieux depuis 3 jours d'une toux grasse, une fièvre marquée, une dyspnée d'effort sans dyspnée de repos, une fatigue inhabituelle, des douleurs diffuses, quelques diarrhées. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous? a. une primo-infection CMV (Cytomegalovirus) b. Bronchite aigüe virale c. Grippe saisonnière d. Pneumopathie aigüe bactérienne e. Infection à SARS-CoV2 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Si c'était une grippe, un traitement curatif pourrait être instauré chez ce Monsieur en raison a. de son âge b. d'une indication d'hospitalisation systématique c. d'un antécédent d'hypertension artérielle d. de la survenu de symptômes grippaux < 48 h e. non, il n' y pas d'indication de traitement curatif A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la grippe a. l'incubation est généralement courte < 3 jours b. la transmission se fait principalement par gouttelette c. elle peut se compliquer de surinfection bactérienne secondaire d. Elle peut se compliquer d'une pneumonie virale grippale e. Elle peut se compliquer de formes extra-pulmonaires A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen il est fébrile à 39,5°C, une fréquence cardiaque à 105/min, un foyer franc de crépitants en base droite, quelques ronchi à gauche. Le patient est très asthénique, un peu confus. Quelle prise en charge proposez vous? Plusieurs réponses possibles. a. Bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats b. Antibiothérapie d'emblée puis bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats c. Adresser le patient aux urgences pour évaluation +/- hospitalisation d. Un test diagnostic de SARS-CoV2 devra être réalisé e. Une sérologie grippale devra être réalisée au décours A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Patient de 75 ans = évaluation hospitalière d'autant que confusion et asthénie marquée. Score CRB65 à 2. Imaginez le patient à votre consultation, le temps que prendra de faire une prise de sang, une radio de thorax, puis la consultation de contrôle = retard thérapeutique, alors qu'il est légèrement confus (et un âge élevé) décembre 2020 = covid-19, possibilité de faire un test antigénique au cabinet, puis PCR aux urgences si ce test est négatif, ou PCR d'emblée aux urgences. Vous décidez d'adresser le patient aux urgences. Aux urgences, on constate initialement une fièvre à 40°C, une fréquence respiratoire à 24/min, une pression artérielle à 95/65mmHg, le gaz du sang en air ambiant objective une PaO2 à 66mmHg, PaCO2 à 30mmHg. Il est toujour légèrement confus. Vous apprenez qu'il vit seul. Parmi les éléments suivant, quel(s) critère(s) vous incite(nt) à une hospitalisation a. température à 40°C b. fréquence respiratoire à 24/min c. isolement social d. la confusion e. un antécédent d'hypertension artérielle équilibrée
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Ce patient présente plusieurs critères d'hospitalisation, dont la fièvre élevée, l'isolement social, et la confusion. On peut aussi s'aider du quick SOFA dans un contexte d'infection pour évaluer rapidement le risque d'évolution grave du patient. Le score est à 2/3 (fréquence respiratoire et tension artérielle systolique), un score ≥2 identifie les patients risquant d'avoir un mauvais pronostic et justifiant d'un monitorage accru, et/ou d'un traitement spécifique et/ou de prendre un avis auprès des réanimateurs.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas. Le diagnostic de bronchite aigüe virale est retenu, quelle prise en charge proposez vous? (plusieurs réponses possibles) a. Traitement symptomatique : paracetamol, repos, hydratation b. Antibiothérapie probabiliste c. Courte corticothérapie d. introduction d'un inhibiteur de la neuraminidase e. Traitement viral ciblé en fonction des résultats d'un prélèvement nano-pharyngé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous recevez en décembre 2020 au cabinet de médecine générale un autre patient, de 75 ans, très actif, porteur d'une prothèse totale de genou droit depuis 2 ans, et avec un antécédent d'hypertension artérielle traitée par inhibiteur calcique. Il vient d'emménager seul dans un vieil appartement inhabité depuis des mois. Il vous rapporte un début insidieux depuis 3 jours d'une toux grasse, une fièvre marquée, une dyspnée d'effort sans dyspnée de repos, une fatigue inhabituelle, des douleurs diffuses, quelques diarrhées. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous? a. une primo-infection CMV (Cytomegalovirus) b. Bronchite aigüe virale c. Grippe saisonnière d. Pneumopathie aigüe bactérienne e. Infection à SARS-CoV2 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Si c'était une grippe, un traitement curatif pourrait être instauré chez ce Monsieur en raison a. de son âge b. d'une indication d'hospitalisation systématique c. d'un antécédent d'hypertension artérielle d. de la survenu de symptômes grippaux < 48 h e. non, il n' y pas d'indication de traitement curatif A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la grippe a. l'incubation est généralement courte < 3 jours b. la transmission se fait principalement par gouttelette c. elle peut se compliquer de surinfection bactérienne secondaire d. Elle peut se compliquer d'une pneumonie virale grippale e. Elle peut se compliquer de formes extra-pulmonaires A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen il est fébrile à 39,5°C, une fréquence cardiaque à 105/min, un foyer franc de crépitants en base droite, quelques ronchi à gauche. Le patient est très asthénique, un peu confus. Quelle prise en charge proposez vous? Plusieurs réponses possibles. a. Bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats b. Antibiothérapie d'emblée puis bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats c. Adresser le patient aux urgences pour évaluation +/- hospitalisation d. Un test diagnostic de SARS-CoV2 devra être réalisé e. Une sérologie grippale devra être réalisée au décours A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Patient de 75 ans = évaluation hospitalière d'autant que confusion et asthénie marquée. Score CRB65 à 2. Imaginez le patient à votre consultation, le temps que prendra de faire une prise de sang, une radio de thorax, puis la consultation de contrôle = retard thérapeutique, alors qu'il est légèrement confus (et un âge élevé) décembre 2020 = covid-19, possibilité de faire un test antigénique au cabinet, puis PCR aux urgences si ce test est négatif, ou PCR d'emblée aux urgences. Vous décidez d'adresser le patient aux urgences. Aux urgences, on constate initialement une fièvre à 40°C, une fréquence respiratoire à 24/min, une pression artérielle à 95/65mmHg, le gaz du sang en air ambiant objective une PaO2 à 66mmHg, PaCO2 à 30mmHg. Il est toujour légèrement confus. Vous apprenez qu'il vit seul. Parmi les éléments suivant, quel(s) critère(s) vous incite(nt) à une hospitalisation a. température à 40°C b. fréquence respiratoire à 24/min c. isolement social d. la confusion e. un antécédent d'hypertension artérielle équilibrée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Ce patient présente plusieurs critères d'hospitalisation, dont la fièvre élevée, l'isolement social, et la confusion. On peut aussi s'aider du quick SOFA dans un contexte d'infection pour évaluer rapidement le risque d'évolution grave du patient. Le score est à 2/3 (fréquence respiratoire et tension artérielle systolique), un score ≥2 identifie les patients risquant d'avoir un mauvais pronostic et justifiant d'un monitorage accru, et/ou d'un traitement spécifique et/ou de prendre un avis auprès des réanimateurs. La situation évolue en quelques heures. A l'examen aux urgences, le patient est confus, présente des douleurs musculaires, nécessite rapidement la mise sous oxygénothérapie à 6L/min au masque. Il n'a pas de syndrome méningé. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez vous ? a. PCR SARS-Co-V2 nano-pharyngée si test antigénique négatif en ville b. Antigénurie légionnelle c. Antigénurie pneumocoque d. Ponction lombaire e. BK crachats
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. PAC grave = antigénurie légionelle. L'antigénurie pneumocoque n'est recommandée QUE dans les PAC graves : c'est le cas ici. La ponction lombaire n'est pas indiquée. Les BK crachats n'ont pas du tout leur place ici.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas. Le diagnostic de bronchite aigüe virale est retenu, quelle prise en charge proposez vous? (plusieurs réponses possibles) a. Traitement symptomatique : paracetamol, repos, hydratation b. Antibiothérapie probabiliste c. Courte corticothérapie d. introduction d'un inhibiteur de la neuraminidase e. Traitement viral ciblé en fonction des résultats d'un prélèvement nano-pharyngé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous recevez en décembre 2020 au cabinet de médecine générale un autre patient, de 75 ans, très actif, porteur d'une prothèse totale de genou droit depuis 2 ans, et avec un antécédent d'hypertension artérielle traitée par inhibiteur calcique. Il vient d'emménager seul dans un vieil appartement inhabité depuis des mois. Il vous rapporte un début insidieux depuis 3 jours d'une toux grasse, une fièvre marquée, une dyspnée d'effort sans dyspnée de repos, une fatigue inhabituelle, des douleurs diffuses, quelques diarrhées. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous? a. une primo-infection CMV (Cytomegalovirus) b. Bronchite aigüe virale c. Grippe saisonnière d. Pneumopathie aigüe bactérienne e. Infection à SARS-CoV2 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Si c'était une grippe, un traitement curatif pourrait être instauré chez ce Monsieur en raison a. de son âge b. d'une indication d'hospitalisation systématique c. d'un antécédent d'hypertension artérielle d. de la survenu de symptômes grippaux < 48 h e. non, il n' y pas d'indication de traitement curatif A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la grippe a. l'incubation est généralement courte < 3 jours b. la transmission se fait principalement par gouttelette c. elle peut se compliquer de surinfection bactérienne secondaire d. Elle peut se compliquer d'une pneumonie virale grippale e. Elle peut se compliquer de formes extra-pulmonaires A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen il est fébrile à 39,5°C, une fréquence cardiaque à 105/min, un foyer franc de crépitants en base droite, quelques ronchi à gauche. Le patient est très asthénique, un peu confus. Quelle prise en charge proposez vous? Plusieurs réponses possibles. a. Bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats b. Antibiothérapie d'emblée puis bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats c. Adresser le patient aux urgences pour évaluation +/- hospitalisation d. Un test diagnostic de SARS-CoV2 devra être réalisé e. Une sérologie grippale devra être réalisée au décours A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Patient de 75 ans = évaluation hospitalière d'autant que confusion et asthénie marquée. Score CRB65 à 2. Imaginez le patient à votre consultation, le temps que prendra de faire une prise de sang, une radio de thorax, puis la consultation de contrôle = retard thérapeutique, alors qu'il est légèrement confus (et un âge élevé) décembre 2020 = covid-19, possibilité de faire un test antigénique au cabinet, puis PCR aux urgences si ce test est négatif, ou PCR d'emblée aux urgences. Vous décidez d'adresser le patient aux urgences. Aux urgences, on constate initialement une fièvre à 40°C, une fréquence respiratoire à 24/min, une pression artérielle à 95/65mmHg, le gaz du sang en air ambiant objective une PaO2 à 66mmHg, PaCO2 à 30mmHg. Il est toujour légèrement confus. Vous apprenez qu'il vit seul. Parmi les éléments suivant, quel(s) critère(s) vous incite(nt) à une hospitalisation a. température à 40°C b. fréquence respiratoire à 24/min c. isolement social d. la confusion e. un antécédent d'hypertension artérielle équilibrée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Ce patient présente plusieurs critères d'hospitalisation, dont la fièvre élevée, l'isolement social, et la confusion. On peut aussi s'aider du quick SOFA dans un contexte d'infection pour évaluer rapidement le risque d'évolution grave du patient. Le score est à 2/3 (fréquence respiratoire et tension artérielle systolique), un score ≥2 identifie les patients risquant d'avoir un mauvais pronostic et justifiant d'un monitorage accru, et/ou d'un traitement spécifique et/ou de prendre un avis auprès des réanimateurs. La situation évolue en quelques heures. A l'examen aux urgences, le patient est confus, présente des douleurs musculaires, nécessite rapidement la mise sous oxygénothérapie à 6L/min au masque. Il n'a pas de syndrome méningé. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez vous ? a. PCR SARS-Co-V2 nano-pharyngée si test antigénique négatif en ville b. Antigénurie légionnelle c. Antigénurie pneumocoque d. Ponction lombaire e. BK crachats A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. PAC grave = antigénurie légionelle. L'antigénurie pneumocoque n'est recommandée QUE dans les PAC graves : c'est le cas ici. La ponction lombaire n'est pas indiquée. Les BK crachats n'ont pas du tout leur place ici. Les réanimateurs décident d'un transfert aux soins intensifs. Vous n'avez pas encore les résultats des antigénuries. Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) concernant l'antibiothérapie ? a. Forte suspicion de légionellose donc macrolides en monothérapie b. Pneumopathie aiguë communautaire grave donc C3G + macrolides c. Large spectre, actif sur la majorité des germes potentiels dont pneumocoque et Legionella d. Amoxicilline-acide clavulanique intraveineux e. Piperacilline-tazobactam + Amikacine + macrolides
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous voyez dans votre cabinet de médecine générale un jeune retraité de 65 ans, avec un antécédent d'hypertension traitée et équilibrée, qui présente une toux depuis 5 jours, quelques sensations fébriles non intenses, une rhinorrhée, des brûlures rétrosternales. Ses crachats étaient initialement propres, le patient se sent bien mais vous consulte car ses crachats s'assombrissent depuis ce matin. De plus, il rapporte bien respecter les consignes de distanciation sociale, et n'avoir jamais fumé. A l'auscultation vous entendez des râles bronchiques diffus. Il a fait une PCR SARS CoV-2 nasopharyngée hier qui est négative. Que est le diagnostic le plus probable? a. Pneumopathie aigüe communautaire b. Bronchite aiguë virale c. Surinfection de grippe d. Grippe e. Rhinopharyngite virale A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Bronchite aiguë : inflammation aiguë des bronches et des bronchioles secondaire à une agression infectieuse, d'étiologie ville dans la quasi-totalité des cas. Le diagnostic de bronchite aigüe virale est retenu, quelle prise en charge proposez vous? (plusieurs réponses possibles) a. Traitement symptomatique : paracetamol, repos, hydratation b. Antibiothérapie probabiliste c. Courte corticothérapie d. introduction d'un inhibiteur de la neuraminidase e. Traitement viral ciblé en fonction des résultats d'un prélèvement nano-pharyngé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous recevez en décembre 2020 au cabinet de médecine générale un autre patient, de 75 ans, très actif, porteur d'une prothèse totale de genou droit depuis 2 ans, et avec un antécédent d'hypertension artérielle traitée par inhibiteur calcique. Il vient d'emménager seul dans un vieil appartement inhabité depuis des mois. Il vous rapporte un début insidieux depuis 3 jours d'une toux grasse, une fièvre marquée, une dyspnée d'effort sans dyspnée de repos, une fatigue inhabituelle, des douleurs diffuses, quelques diarrhées. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous? a. une primo-infection CMV (Cytomegalovirus) b. Bronchite aigüe virale c. Grippe saisonnière d. Pneumopathie aigüe bactérienne e. Infection à SARS-CoV2 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Si c'était une grippe, un traitement curatif pourrait être instauré chez ce Monsieur en raison a. de son âge b. d'une indication d'hospitalisation systématique c. d'un antécédent d'hypertension artérielle d. de la survenu de symptômes grippaux < 48 h e. non, il n' y pas d'indication de traitement curatif A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la grippe a. l'incubation est généralement courte < 3 jours b. la transmission se fait principalement par gouttelette c. elle peut se compliquer de surinfection bactérienne secondaire d. Elle peut se compliquer d'une pneumonie virale grippale e. Elle peut se compliquer de formes extra-pulmonaires A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen il est fébrile à 39,5°C, une fréquence cardiaque à 105/min, un foyer franc de crépitants en base droite, quelques ronchi à gauche. Le patient est très asthénique, un peu confus. Quelle prise en charge proposez vous? Plusieurs réponses possibles. a. Bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats b. Antibiothérapie d'emblée puis bilan biologique en laboratoire de ville + radiographie thoracique + consultation avec les résultats c. Adresser le patient aux urgences pour évaluation +/- hospitalisation d. Un test diagnostic de SARS-CoV2 devra être réalisé e. Une sérologie grippale devra être réalisée au décours A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Patient de 75 ans = évaluation hospitalière d'autant que confusion et asthénie marquée. Score CRB65 à 2. Imaginez le patient à votre consultation, le temps que prendra de faire une prise de sang, une radio de thorax, puis la consultation de contrôle = retard thérapeutique, alors qu'il est légèrement confus (et un âge élevé) décembre 2020 = covid-19, possibilité de faire un test antigénique au cabinet, puis PCR aux urgences si ce test est négatif, ou PCR d'emblée aux urgences. Vous décidez d'adresser le patient aux urgences. Aux urgences, on constate initialement une fièvre à 40°C, une fréquence respiratoire à 24/min, une pression artérielle à 95/65mmHg, le gaz du sang en air ambiant objective une PaO2 à 66mmHg, PaCO2 à 30mmHg. Il est toujour légèrement confus. Vous apprenez qu'il vit seul. Parmi les éléments suivant, quel(s) critère(s) vous incite(nt) à une hospitalisation a. température à 40°C b. fréquence respiratoire à 24/min c. isolement social d. la confusion e. un antécédent d'hypertension artérielle équilibrée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Ce patient présente plusieurs critères d'hospitalisation, dont la fièvre élevée, l'isolement social, et la confusion. On peut aussi s'aider du quick SOFA dans un contexte d'infection pour évaluer rapidement le risque d'évolution grave du patient. Le score est à 2/3 (fréquence respiratoire et tension artérielle systolique), un score ≥2 identifie les patients risquant d'avoir un mauvais pronostic et justifiant d'un monitorage accru, et/ou d'un traitement spécifique et/ou de prendre un avis auprès des réanimateurs. La situation évolue en quelques heures. A l'examen aux urgences, le patient est confus, présente des douleurs musculaires, nécessite rapidement la mise sous oxygénothérapie à 6L/min au masque. Il n'a pas de syndrome méningé. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez vous ? a. PCR SARS-Co-V2 nano-pharyngée si test antigénique négatif en ville b. Antigénurie légionnelle c. Antigénurie pneumocoque d. Ponction lombaire e. BK crachats A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. PAC grave = antigénurie légionelle. L'antigénurie pneumocoque n'est recommandée QUE dans les PAC graves : c'est le cas ici. La ponction lombaire n'est pas indiquée. Les BK crachats n'ont pas du tout leur place ici. Les réanimateurs décident d'un transfert aux soins intensifs. Vous n'avez pas encore les résultats des antigénuries. Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) concernant l'antibiothérapie ? a. Forte suspicion de légionellose donc macrolides en monothérapie b. Pneumopathie aiguë communautaire grave donc C3G + macrolides c. Large spectre, actif sur la majorité des germes potentiels dont pneumocoque et Legionella d. Amoxicilline-acide clavulanique intraveineux e. Piperacilline-tazobactam + Amikacine + macrolides A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'évolution du patient est lentement favorable. La PCR SARS-Co-V2 est négative. Un angioscanner thoracique n'objective pas d'image en verre dépoli, ni d'embolie pulmonaire, mais une atteinte multipolaire avec bronchogramme aérien. L'antigénurie légionelle est positive. L'examen bactériologique des crachats (estimé de bonne qualité par le laboratoire de microbiologie) ne permet pas de mettre en évidence un germe pathogène. Vous découvrez un diabète au décours de la prise en charge, avec une hémoglobine glyquée à 10%. Quelles sont les propositions vraies ? a. On peut proposer un relais antibiotique par lévofloxacine b. La durée d'antibiothérapie d'une légionellose non grave est de 8 à 14 jours c. La durée d'antibiothérapie d'une légionellose grave est de 21 jours d. La durée d'antibiothérapie d'une PAC est de 7 jours en dehors d'une légionellose e. Un ECBC est de bonne qualité si il a <25 PNN/champ et >10 cellules épithéliales/champ
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. PAC = 7 jours Sauf légionnellose = 8 à 14 jours, prolongée à 21 jours si grave et/ou sur terrain immunodéprimé.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. La bandelette urinaire est positive pour les leucocytes et les nitrites. L’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) objective une leucocyturie à 105/ml, l’examen direct en coloration de Gram est en attente. Les béta-HCG urinaires sont négatifs. Alors que la patiente est encore dans un box du Service d’Accueil des Urgences, son état clinique s’aggrave : vous notez une hypotension artérielle à 81/45 mm Hg, l’apparition de marbrures des membres inférieurs, une tachycardie à 135/minute et une tachypnée à 35/minute sans désaturation. La fièvre persiste à 39 °C, ainsi que les douleurs abdominales et lombaires. A propos de votre prise en charge immédiate, diriez-vous que : a. un remplissage vasculaire par cristalloïde est indiqué sans délai b. une intubation orotrachéale est indiquée sans délai c. l’initiation d’un support vasopresseur par noradrénaline est indiquée sans délai d. une imagerie des voies urinaires doit être prescrite rapidement e. une surveillance scopique continue des paramètres vitaux doit être instaurée sans délai
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Il s'agit donc d'un sepsis sur une probable infection des voies urinaires; l'hypovolémie étant constante à la phase initiale, le remplissage vasculaire est te traitement symptomatique de 1ère intention. La noradrénaline devra être mise en place en cas de persistance de l'hypotension artérielle malgré un remplissage adapté (environ 30 ml/ Kg), on parlera alors de choc septique.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. La bandelette urinaire est positive pour les leucocytes et les nitrites. L’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) objective une leucocyturie à 105/ml, l’examen direct en coloration de Gram est en attente. Les béta-HCG urinaires sont négatifs. Alors que la patiente est encore dans un box du Service d’Accueil des Urgences, son état clinique s’aggrave : vous notez une hypotension artérielle à 81/45 mm Hg, l’apparition de marbrures des membres inférieurs, une tachycardie à 135/minute et une tachypnée à 35/minute sans désaturation. La fièvre persiste à 39 °C, ainsi que les douleurs abdominales et lombaires. A propos de votre prise en charge immédiate, diriez-vous que : a. un remplissage vasculaire par cristalloïde est indiqué sans délai b. une intubation orotrachéale est indiquée sans délai c. l’initiation d’un support vasopresseur par noradrénaline est indiquée sans délai d. une imagerie des voies urinaires doit être prescrite rapidement e. une surveillance scopique continue des paramètres vitaux doit être instaurée sans délai A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Il s'agit donc d'un sepsis sur une probable infection des voies urinaires; l'hypovolémie étant constante à la phase initiale, le remplissage vasculaire est te traitement symptomatique de 1ère intention. La noradrénaline devra être mise en place en cas de persistance de l'hypotension artérielle malgré un remplissage adapté (environ 30 ml/ Kg), on parlera alors de choc septique. Votre prise en charge immédiate associe l’installation au déchocage pour surveillance scopique continue et un remplissage vasculaire par cristalloïde. Une gazométrie artérielle est réalisée. Les investigations microbiologiques sont complétées par la réalisation d’une paire d’hémocultures. L’examen microscopique des urines objective des bacilles Gram négatif. Vous posez le diagnostic de pyélonéphrite aiguë communautaire et vous décidez de débuter une antibiothérapie. A propos de celle-ci, diriez-vous que : a. l’administration intraveineuse est indiquée b. le spectre bactérien doit inclure Pseudomonas aeruginosa c. le spectre bactérien doit inclure les entérobactéries des groupes I et II d. l’association d’une céphalosporine de 3ème génération et d’un aminoside est une antibiothérapie envisageable e. l’activité bactéricide n'est pas souhaitable
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans la situation présente de pyélonéphrite aiguë communautaire grave l'antibiothérapie est une urgence vitale; la qualité de prescription anti infectieuse conditionne le pronostic du patient; ainsi l'antibiothérapie devra être parentérale et si possible bactéricide. Il s'agit d'une infection communautaire chez une patiente n'ayant pas reçue d'antibiothérapie récente ainsi le traitement anti infectieux probabiliste devra couvrir les entérobactéries de groupes I et II; l'antibiothérapie anti Pseudomonas aeruginosa n'a pas sa place ici.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. La bandelette urinaire est positive pour les leucocytes et les nitrites. L’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) objective une leucocyturie à 105/ml, l’examen direct en coloration de Gram est en attente. Les béta-HCG urinaires sont négatifs. Alors que la patiente est encore dans un box du Service d’Accueil des Urgences, son état clinique s’aggrave : vous notez une hypotension artérielle à 81/45 mm Hg, l’apparition de marbrures des membres inférieurs, une tachycardie à 135/minute et une tachypnée à 35/minute sans désaturation. La fièvre persiste à 39 °C, ainsi que les douleurs abdominales et lombaires. A propos de votre prise en charge immédiate, diriez-vous que : a. un remplissage vasculaire par cristalloïde est indiqué sans délai b. une intubation orotrachéale est indiquée sans délai c. l’initiation d’un support vasopresseur par noradrénaline est indiquée sans délai d. une imagerie des voies urinaires doit être prescrite rapidement e. une surveillance scopique continue des paramètres vitaux doit être instaurée sans délai A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Il s'agit donc d'un sepsis sur une probable infection des voies urinaires; l'hypovolémie étant constante à la phase initiale, le remplissage vasculaire est te traitement symptomatique de 1ère intention. La noradrénaline devra être mise en place en cas de persistance de l'hypotension artérielle malgré un remplissage adapté (environ 30 ml/ Kg), on parlera alors de choc septique. Votre prise en charge immédiate associe l’installation au déchocage pour surveillance scopique continue et un remplissage vasculaire par cristalloïde. Une gazométrie artérielle est réalisée. Les investigations microbiologiques sont complétées par la réalisation d’une paire d’hémocultures. L’examen microscopique des urines objective des bacilles Gram négatif. Vous posez le diagnostic de pyélonéphrite aiguë communautaire et vous décidez de débuter une antibiothérapie. A propos de celle-ci, diriez-vous que : a. l’administration intraveineuse est indiquée b. le spectre bactérien doit inclure Pseudomonas aeruginosa c. le spectre bactérien doit inclure les entérobactéries des groupes I et II d. l’association d’une céphalosporine de 3ème génération et d’un aminoside est une antibiothérapie envisageable e. l’activité bactéricide n'est pas souhaitable A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans la situation présente de pyélonéphrite aiguë communautaire grave l'antibiothérapie est une urgence vitale; la qualité de prescription anti infectieuse conditionne le pronostic du patient; ainsi l'antibiothérapie devra être parentérale et si possible bactéricide. Il s'agit d'une infection communautaire chez une patiente n'ayant pas reçue d'antibiothérapie récente ainsi le traitement anti infectieux probabiliste devra couvrir les entérobactéries de groupes I et II; l'antibiothérapie anti Pseudomonas aeruginosa n'a pas sa place ici. Vous débutez une biantibiothérapie par céfotaxime et gentamycine par voie parentérale. Si on vous demande de commenter cette antibiothérapie, diriez-vous que : a. céfotaxime est un antibiotique temps-dépendant b. gentamycine est un antibiotique temps-dépendant c. céfotaxime et gentamycine ont tous les deux une activité bactéricide d. la clairance de la gentamycine est principalement rénale e. le dosage du pic plasmatique de gentamycine vise à contrôler la toxicité de cet antibiotique
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. La bandelette urinaire est positive pour les leucocytes et les nitrites. L’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) objective une leucocyturie à 105/ml, l’examen direct en coloration de Gram est en attente. Les béta-HCG urinaires sont négatifs. Alors que la patiente est encore dans un box du Service d’Accueil des Urgences, son état clinique s’aggrave : vous notez une hypotension artérielle à 81/45 mm Hg, l’apparition de marbrures des membres inférieurs, une tachycardie à 135/minute et une tachypnée à 35/minute sans désaturation. La fièvre persiste à 39 °C, ainsi que les douleurs abdominales et lombaires. A propos de votre prise en charge immédiate, diriez-vous que : a. un remplissage vasculaire par cristalloïde est indiqué sans délai b. une intubation orotrachéale est indiquée sans délai c. l’initiation d’un support vasopresseur par noradrénaline est indiquée sans délai d. une imagerie des voies urinaires doit être prescrite rapidement e. une surveillance scopique continue des paramètres vitaux doit être instaurée sans délai A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Il s'agit donc d'un sepsis sur une probable infection des voies urinaires; l'hypovolémie étant constante à la phase initiale, le remplissage vasculaire est te traitement symptomatique de 1ère intention. La noradrénaline devra être mise en place en cas de persistance de l'hypotension artérielle malgré un remplissage adapté (environ 30 ml/ Kg), on parlera alors de choc septique. Votre prise en charge immédiate associe l’installation au déchocage pour surveillance scopique continue et un remplissage vasculaire par cristalloïde. Une gazométrie artérielle est réalisée. Les investigations microbiologiques sont complétées par la réalisation d’une paire d’hémocultures. L’examen microscopique des urines objective des bacilles Gram négatif. Vous posez le diagnostic de pyélonéphrite aiguë communautaire et vous décidez de débuter une antibiothérapie. A propos de celle-ci, diriez-vous que : a. l’administration intraveineuse est indiquée b. le spectre bactérien doit inclure Pseudomonas aeruginosa c. le spectre bactérien doit inclure les entérobactéries des groupes I et II d. l’association d’une céphalosporine de 3ème génération et d’un aminoside est une antibiothérapie envisageable e. l’activité bactéricide n'est pas souhaitable A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans la situation présente de pyélonéphrite aiguë communautaire grave l'antibiothérapie est une urgence vitale; la qualité de prescription anti infectieuse conditionne le pronostic du patient; ainsi l'antibiothérapie devra être parentérale et si possible bactéricide. Il s'agit d'une infection communautaire chez une patiente n'ayant pas reçue d'antibiothérapie récente ainsi le traitement anti infectieux probabiliste devra couvrir les entérobactéries de groupes I et II; l'antibiothérapie anti Pseudomonas aeruginosa n'a pas sa place ici. Vous débutez une biantibiothérapie par céfotaxime et gentamycine par voie parentérale. Si on vous demande de commenter cette antibiothérapie, diriez-vous que : a. céfotaxime est un antibiotique temps-dépendant b. gentamycine est un antibiotique temps-dépendant c. céfotaxime et gentamycine ont tous les deux une activité bactéricide d. la clairance de la gentamycine est principalement rénale e. le dosage du pic plasmatique de gentamycine vise à contrôler la toxicité de cet antibiotique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les résultats de la gazométrie artérielle en air ambiant sont les suivants : pH= 7,32 ; PaO2 = 110 mmHg ; PaCO2 = 32 mmHg ; HCO3- = 22 mmol/L ; lactate = 3,5 mmol/L. A propos de ces résultats de gazométrie, diriez-vous : a. que l'on observe une acidémie b. que l'on observe une acidose métabolique partiellement compensée c. que l'on observe un effet shunt gazométrique d. que l’hyperlactatémie est possiblement secondaire à une insuffisance rénale aiguë e. que ces anomalies gazométriques pourraient être au moins partiellement expliquées par une hypovolémie
A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. La bandelette urinaire est positive pour les leucocytes et les nitrites. L’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) objective une leucocyturie à 105/ml, l’examen direct en coloration de Gram est en attente. Les béta-HCG urinaires sont négatifs. Alors que la patiente est encore dans un box du Service d’Accueil des Urgences, son état clinique s’aggrave : vous notez une hypotension artérielle à 81/45 mm Hg, l’apparition de marbrures des membres inférieurs, une tachycardie à 135/minute et une tachypnée à 35/minute sans désaturation. La fièvre persiste à 39 °C, ainsi que les douleurs abdominales et lombaires. A propos de votre prise en charge immédiate, diriez-vous que : a. un remplissage vasculaire par cristalloïde est indiqué sans délai b. une intubation orotrachéale est indiquée sans délai c. l’initiation d’un support vasopresseur par noradrénaline est indiquée sans délai d. une imagerie des voies urinaires doit être prescrite rapidement e. une surveillance scopique continue des paramètres vitaux doit être instaurée sans délai A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Il s'agit donc d'un sepsis sur une probable infection des voies urinaires; l'hypovolémie étant constante à la phase initiale, le remplissage vasculaire est te traitement symptomatique de 1ère intention. La noradrénaline devra être mise en place en cas de persistance de l'hypotension artérielle malgré un remplissage adapté (environ 30 ml/ Kg), on parlera alors de choc septique. Votre prise en charge immédiate associe l’installation au déchocage pour surveillance scopique continue et un remplissage vasculaire par cristalloïde. Une gazométrie artérielle est réalisée. Les investigations microbiologiques sont complétées par la réalisation d’une paire d’hémocultures. L’examen microscopique des urines objective des bacilles Gram négatif. Vous posez le diagnostic de pyélonéphrite aiguë communautaire et vous décidez de débuter une antibiothérapie. A propos de celle-ci, diriez-vous que : a. l’administration intraveineuse est indiquée b. le spectre bactérien doit inclure Pseudomonas aeruginosa c. le spectre bactérien doit inclure les entérobactéries des groupes I et II d. l’association d’une céphalosporine de 3ème génération et d’un aminoside est une antibiothérapie envisageable e. l’activité bactéricide n'est pas souhaitable A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans la situation présente de pyélonéphrite aiguë communautaire grave l'antibiothérapie est une urgence vitale; la qualité de prescription anti infectieuse conditionne le pronostic du patient; ainsi l'antibiothérapie devra être parentérale et si possible bactéricide. Il s'agit d'une infection communautaire chez une patiente n'ayant pas reçue d'antibiothérapie récente ainsi le traitement anti infectieux probabiliste devra couvrir les entérobactéries de groupes I et II; l'antibiothérapie anti Pseudomonas aeruginosa n'a pas sa place ici. Vous débutez une biantibiothérapie par céfotaxime et gentamycine par voie parentérale. Si on vous demande de commenter cette antibiothérapie, diriez-vous que : a. céfotaxime est un antibiotique temps-dépendant b. gentamycine est un antibiotique temps-dépendant c. céfotaxime et gentamycine ont tous les deux une activité bactéricide d. la clairance de la gentamycine est principalement rénale e. le dosage du pic plasmatique de gentamycine vise à contrôler la toxicité de cet antibiotique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les résultats de la gazométrie artérielle en air ambiant sont les suivants : pH= 7,32 ; PaO2 = 110 mmHg ; PaCO2 = 32 mmHg ; HCO3- = 22 mmol/L ; lactate = 3,5 mmol/L. A propos de ces résultats de gazométrie, diriez-vous : a. que l'on observe une acidémie b. que l'on observe une acidose métabolique partiellement compensée c. que l'on observe un effet shunt gazométrique d. que l’hyperlactatémie est possiblement secondaire à une insuffisance rénale aiguë e. que ces anomalies gazométriques pourraient être au moins partiellement expliquées par une hypovolémie A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous décidez de prescrire un uroscanner. A propos de cet examen, diriez-vous que : a. il suppose nécessairement l’injection de produit de contraste iodé b. il permettrait de visualiser une éventuelle dilatation des cavités pyélocalicielles c. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle endoluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple un calcul endo-urétéral d. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle extraluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple une compression extrinsèque e. il permettrait de visualiser des éventuels foyers de néphrite
A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. La bandelette urinaire est positive pour les leucocytes et les nitrites. L’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) objective une leucocyturie à 105/ml, l’examen direct en coloration de Gram est en attente. Les béta-HCG urinaires sont négatifs. Alors que la patiente est encore dans un box du Service d’Accueil des Urgences, son état clinique s’aggrave : vous notez une hypotension artérielle à 81/45 mm Hg, l’apparition de marbrures des membres inférieurs, une tachycardie à 135/minute et une tachypnée à 35/minute sans désaturation. La fièvre persiste à 39 °C, ainsi que les douleurs abdominales et lombaires. A propos de votre prise en charge immédiate, diriez-vous que : a. un remplissage vasculaire par cristalloïde est indiqué sans délai b. une intubation orotrachéale est indiquée sans délai c. l’initiation d’un support vasopresseur par noradrénaline est indiquée sans délai d. une imagerie des voies urinaires doit être prescrite rapidement e. une surveillance scopique continue des paramètres vitaux doit être instaurée sans délai A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Il s'agit donc d'un sepsis sur une probable infection des voies urinaires; l'hypovolémie étant constante à la phase initiale, le remplissage vasculaire est te traitement symptomatique de 1ère intention. La noradrénaline devra être mise en place en cas de persistance de l'hypotension artérielle malgré un remplissage adapté (environ 30 ml/ Kg), on parlera alors de choc septique. Votre prise en charge immédiate associe l’installation au déchocage pour surveillance scopique continue et un remplissage vasculaire par cristalloïde. Une gazométrie artérielle est réalisée. Les investigations microbiologiques sont complétées par la réalisation d’une paire d’hémocultures. L’examen microscopique des urines objective des bacilles Gram négatif. Vous posez le diagnostic de pyélonéphrite aiguë communautaire et vous décidez de débuter une antibiothérapie. A propos de celle-ci, diriez-vous que : a. l’administration intraveineuse est indiquée b. le spectre bactérien doit inclure Pseudomonas aeruginosa c. le spectre bactérien doit inclure les entérobactéries des groupes I et II d. l’association d’une céphalosporine de 3ème génération et d’un aminoside est une antibiothérapie envisageable e. l’activité bactéricide n'est pas souhaitable A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans la situation présente de pyélonéphrite aiguë communautaire grave l'antibiothérapie est une urgence vitale; la qualité de prescription anti infectieuse conditionne le pronostic du patient; ainsi l'antibiothérapie devra être parentérale et si possible bactéricide. Il s'agit d'une infection communautaire chez une patiente n'ayant pas reçue d'antibiothérapie récente ainsi le traitement anti infectieux probabiliste devra couvrir les entérobactéries de groupes I et II; l'antibiothérapie anti Pseudomonas aeruginosa n'a pas sa place ici. Vous débutez une biantibiothérapie par céfotaxime et gentamycine par voie parentérale. Si on vous demande de commenter cette antibiothérapie, diriez-vous que : a. céfotaxime est un antibiotique temps-dépendant b. gentamycine est un antibiotique temps-dépendant c. céfotaxime et gentamycine ont tous les deux une activité bactéricide d. la clairance de la gentamycine est principalement rénale e. le dosage du pic plasmatique de gentamycine vise à contrôler la toxicité de cet antibiotique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les résultats de la gazométrie artérielle en air ambiant sont les suivants : pH= 7,32 ; PaO2 = 110 mmHg ; PaCO2 = 32 mmHg ; HCO3- = 22 mmol/L ; lactate = 3,5 mmol/L. A propos de ces résultats de gazométrie, diriez-vous : a. que l'on observe une acidémie b. que l'on observe une acidose métabolique partiellement compensée c. que l'on observe un effet shunt gazométrique d. que l’hyperlactatémie est possiblement secondaire à une insuffisance rénale aiguë e. que ces anomalies gazométriques pourraient être au moins partiellement expliquées par une hypovolémie A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous décidez de prescrire un uroscanner. A propos de cet examen, diriez-vous que : a. il suppose nécessairement l’injection de produit de contraste iodé b. il permettrait de visualiser une éventuelle dilatation des cavités pyélocalicielles c. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle endoluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple un calcul endo-urétéral d. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle extraluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple une compression extrinsèque e. il permettrait de visualiser des éventuels foyers de néphrite A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’uroscanner est réalisé. Dans les minutes suivant l’injection du produit de contraste iodé, la patiente se plaint d’un prurit généralisé et d’une sensation d’oppression thoracique. Vous suspectez une réaction anaphylactique au produit de contraste iodé. Dans cette hypothèse, diriez-vous que : a. le délai séparant l’exposition à l’allergène des premières manifestations cliniques est compatible b. le produit de contraste iodé est un allergène de type haptène c. l’apparition d’une pâleur généralisée est attendue d. l’apparition d’une dysphonie est possible, en rapport avec un œdème laryngé e. l'apparition de nausées et/ou de vomissements est possible
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La majorité des réactions anaphylactiques surviennent dans les minutes suivant l’introduction de l’allergène dans l’organisme. Le choc anaphylactique est caractérisé par sa brutalité et sa rapidité d’installation. L’oedème de Quincke, ou angio-oedème allergique, désigne l’infiltration des tissus sous-cutanés profonds et est à l’origine d’un oedème facial avec tuméaction des paupières et des lèvres. Il est responsable d’une infiltration des voies aériennes supérieures à différents niveaux (langue, palais mou, pharynx, larynx) se manifestant initialement par une dyspnée et une dysphonie puis par une obstruction respiratoire avec risque d’asphyxie Des manifestations gastro-intestinales (nausées, vomissements, diarrhées) sont parfois observées reflétant l’augmentation de la contractilité des muscles lisses au niveau digestif.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. La bandelette urinaire est positive pour les leucocytes et les nitrites. L’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) objective une leucocyturie à 105/ml, l’examen direct en coloration de Gram est en attente. Les béta-HCG urinaires sont négatifs. Alors que la patiente est encore dans un box du Service d’Accueil des Urgences, son état clinique s’aggrave : vous notez une hypotension artérielle à 81/45 mm Hg, l’apparition de marbrures des membres inférieurs, une tachycardie à 135/minute et une tachypnée à 35/minute sans désaturation. La fièvre persiste à 39 °C, ainsi que les douleurs abdominales et lombaires. A propos de votre prise en charge immédiate, diriez-vous que : a. un remplissage vasculaire par cristalloïde est indiqué sans délai b. une intubation orotrachéale est indiquée sans délai c. l’initiation d’un support vasopresseur par noradrénaline est indiquée sans délai d. une imagerie des voies urinaires doit être prescrite rapidement e. une surveillance scopique continue des paramètres vitaux doit être instaurée sans délai A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Il s'agit donc d'un sepsis sur une probable infection des voies urinaires; l'hypovolémie étant constante à la phase initiale, le remplissage vasculaire est te traitement symptomatique de 1ère intention. La noradrénaline devra être mise en place en cas de persistance de l'hypotension artérielle malgré un remplissage adapté (environ 30 ml/ Kg), on parlera alors de choc septique. Votre prise en charge immédiate associe l’installation au déchocage pour surveillance scopique continue et un remplissage vasculaire par cristalloïde. Une gazométrie artérielle est réalisée. Les investigations microbiologiques sont complétées par la réalisation d’une paire d’hémocultures. L’examen microscopique des urines objective des bacilles Gram négatif. Vous posez le diagnostic de pyélonéphrite aiguë communautaire et vous décidez de débuter une antibiothérapie. A propos de celle-ci, diriez-vous que : a. l’administration intraveineuse est indiquée b. le spectre bactérien doit inclure Pseudomonas aeruginosa c. le spectre bactérien doit inclure les entérobactéries des groupes I et II d. l’association d’une céphalosporine de 3ème génération et d’un aminoside est une antibiothérapie envisageable e. l’activité bactéricide n'est pas souhaitable A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans la situation présente de pyélonéphrite aiguë communautaire grave l'antibiothérapie est une urgence vitale; la qualité de prescription anti infectieuse conditionne le pronostic du patient; ainsi l'antibiothérapie devra être parentérale et si possible bactéricide. Il s'agit d'une infection communautaire chez une patiente n'ayant pas reçue d'antibiothérapie récente ainsi le traitement anti infectieux probabiliste devra couvrir les entérobactéries de groupes I et II; l'antibiothérapie anti Pseudomonas aeruginosa n'a pas sa place ici. Vous débutez une biantibiothérapie par céfotaxime et gentamycine par voie parentérale. Si on vous demande de commenter cette antibiothérapie, diriez-vous que : a. céfotaxime est un antibiotique temps-dépendant b. gentamycine est un antibiotique temps-dépendant c. céfotaxime et gentamycine ont tous les deux une activité bactéricide d. la clairance de la gentamycine est principalement rénale e. le dosage du pic plasmatique de gentamycine vise à contrôler la toxicité de cet antibiotique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les résultats de la gazométrie artérielle en air ambiant sont les suivants : pH= 7,32 ; PaO2 = 110 mmHg ; PaCO2 = 32 mmHg ; HCO3- = 22 mmol/L ; lactate = 3,5 mmol/L. A propos de ces résultats de gazométrie, diriez-vous : a. que l'on observe une acidémie b. que l'on observe une acidose métabolique partiellement compensée c. que l'on observe un effet shunt gazométrique d. que l’hyperlactatémie est possiblement secondaire à une insuffisance rénale aiguë e. que ces anomalies gazométriques pourraient être au moins partiellement expliquées par une hypovolémie A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous décidez de prescrire un uroscanner. A propos de cet examen, diriez-vous que : a. il suppose nécessairement l’injection de produit de contraste iodé b. il permettrait de visualiser une éventuelle dilatation des cavités pyélocalicielles c. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle endoluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple un calcul endo-urétéral d. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle extraluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple une compression extrinsèque e. il permettrait de visualiser des éventuels foyers de néphrite A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’uroscanner est réalisé. Dans les minutes suivant l’injection du produit de contraste iodé, la patiente se plaint d’un prurit généralisé et d’une sensation d’oppression thoracique. Vous suspectez une réaction anaphylactique au produit de contraste iodé. Dans cette hypothèse, diriez-vous que : a. le délai séparant l’exposition à l’allergène des premières manifestations cliniques est compatible b. le produit de contraste iodé est un allergène de type haptène c. l’apparition d’une pâleur généralisée est attendue d. l’apparition d’une dysphonie est possible, en rapport avec un œdème laryngé e. l'apparition de nausées et/ou de vomissements est possible A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La majorité des réactions anaphylactiques surviennent dans les minutes suivant l’introduction de l’allergène dans l’organisme. Le choc anaphylactique est caractérisé par sa brutalité et sa rapidité d’installation. L’oedème de Quincke, ou angio-oedème allergique, désigne l’infiltration des tissus sous-cutanés profonds et est à l’origine d’un oedème facial avec tuméaction des paupières et des lèvres. Il est responsable d’une infiltration des voies aériennes supérieures à différents niveaux (langue, palais mou, pharynx, larynx) se manifestant initialement par une dyspnée et une dysphonie puis par une obstruction respiratoire avec risque d’asphyxie Des manifestations gastro-intestinales (nausées, vomissements, diarrhées) sont parfois observées reflétant l’augmentation de la contractilité des muscles lisses au niveau digestif. L’examen clinique ne met pas en évidence d’œdème glosso-labial mais des lésions urticariennes du tronc s’étendant aux membres supérieurs. La patiente est tachypnéique à 32/minute, avec une dyspnée aux 2 temps et des signes de lutte respiratoire. On note une hypotension artérielle à 70/40 mmHg, une tachycardie à 120/minute et une SpO2 à 89 % en air ambiant. L’auscultation pulmonaire objective un frein expiratoire et des sibilants bilatéraux. Vous suspectez un choc anaphylactique au produit de contraste iodé. Quel(s) est (sont) l’ (les) élément(s) de votre prise en charge immédiate ? a. injection intraveineuse d’adrénaline en bolus de 1 mg toutes les 1 à 2 minutes b. initiation d’une ventilation non invasive c. administration intraveineuse d’un anti-histaminique d. début d’une corticothérapie systémique injectée e. début d’une aérosolthérapie bronchodilatatrice par salbutamol
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. La bandelette urinaire est positive pour les leucocytes et les nitrites. L’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) objective une leucocyturie à 105/ml, l’examen direct en coloration de Gram est en attente. Les béta-HCG urinaires sont négatifs. Alors que la patiente est encore dans un box du Service d’Accueil des Urgences, son état clinique s’aggrave : vous notez une hypotension artérielle à 81/45 mm Hg, l’apparition de marbrures des membres inférieurs, une tachycardie à 135/minute et une tachypnée à 35/minute sans désaturation. La fièvre persiste à 39 °C, ainsi que les douleurs abdominales et lombaires. A propos de votre prise en charge immédiate, diriez-vous que : a. un remplissage vasculaire par cristalloïde est indiqué sans délai b. une intubation orotrachéale est indiquée sans délai c. l’initiation d’un support vasopresseur par noradrénaline est indiquée sans délai d. une imagerie des voies urinaires doit être prescrite rapidement e. une surveillance scopique continue des paramètres vitaux doit être instaurée sans délai A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Il s'agit donc d'un sepsis sur une probable infection des voies urinaires; l'hypovolémie étant constante à la phase initiale, le remplissage vasculaire est te traitement symptomatique de 1ère intention. La noradrénaline devra être mise en place en cas de persistance de l'hypotension artérielle malgré un remplissage adapté (environ 30 ml/ Kg), on parlera alors de choc septique. Votre prise en charge immédiate associe l’installation au déchocage pour surveillance scopique continue et un remplissage vasculaire par cristalloïde. Une gazométrie artérielle est réalisée. Les investigations microbiologiques sont complétées par la réalisation d’une paire d’hémocultures. L’examen microscopique des urines objective des bacilles Gram négatif. Vous posez le diagnostic de pyélonéphrite aiguë communautaire et vous décidez de débuter une antibiothérapie. A propos de celle-ci, diriez-vous que : a. l’administration intraveineuse est indiquée b. le spectre bactérien doit inclure Pseudomonas aeruginosa c. le spectre bactérien doit inclure les entérobactéries des groupes I et II d. l’association d’une céphalosporine de 3ème génération et d’un aminoside est une antibiothérapie envisageable e. l’activité bactéricide n'est pas souhaitable A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans la situation présente de pyélonéphrite aiguë communautaire grave l'antibiothérapie est une urgence vitale; la qualité de prescription anti infectieuse conditionne le pronostic du patient; ainsi l'antibiothérapie devra être parentérale et si possible bactéricide. Il s'agit d'une infection communautaire chez une patiente n'ayant pas reçue d'antibiothérapie récente ainsi le traitement anti infectieux probabiliste devra couvrir les entérobactéries de groupes I et II; l'antibiothérapie anti Pseudomonas aeruginosa n'a pas sa place ici. Vous débutez une biantibiothérapie par céfotaxime et gentamycine par voie parentérale. Si on vous demande de commenter cette antibiothérapie, diriez-vous que : a. céfotaxime est un antibiotique temps-dépendant b. gentamycine est un antibiotique temps-dépendant c. céfotaxime et gentamycine ont tous les deux une activité bactéricide d. la clairance de la gentamycine est principalement rénale e. le dosage du pic plasmatique de gentamycine vise à contrôler la toxicité de cet antibiotique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les résultats de la gazométrie artérielle en air ambiant sont les suivants : pH= 7,32 ; PaO2 = 110 mmHg ; PaCO2 = 32 mmHg ; HCO3- = 22 mmol/L ; lactate = 3,5 mmol/L. A propos de ces résultats de gazométrie, diriez-vous : a. que l'on observe une acidémie b. que l'on observe une acidose métabolique partiellement compensée c. que l'on observe un effet shunt gazométrique d. que l’hyperlactatémie est possiblement secondaire à une insuffisance rénale aiguë e. que ces anomalies gazométriques pourraient être au moins partiellement expliquées par une hypovolémie A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous décidez de prescrire un uroscanner. A propos de cet examen, diriez-vous que : a. il suppose nécessairement l’injection de produit de contraste iodé b. il permettrait de visualiser une éventuelle dilatation des cavités pyélocalicielles c. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle endoluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple un calcul endo-urétéral d. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle extraluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple une compression extrinsèque e. il permettrait de visualiser des éventuels foyers de néphrite A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’uroscanner est réalisé. Dans les minutes suivant l’injection du produit de contraste iodé, la patiente se plaint d’un prurit généralisé et d’une sensation d’oppression thoracique. Vous suspectez une réaction anaphylactique au produit de contraste iodé. Dans cette hypothèse, diriez-vous que : a. le délai séparant l’exposition à l’allergène des premières manifestations cliniques est compatible b. le produit de contraste iodé est un allergène de type haptène c. l’apparition d’une pâleur généralisée est attendue d. l’apparition d’une dysphonie est possible, en rapport avec un œdème laryngé e. l'apparition de nausées et/ou de vomissements est possible A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La majorité des réactions anaphylactiques surviennent dans les minutes suivant l’introduction de l’allergène dans l’organisme. Le choc anaphylactique est caractérisé par sa brutalité et sa rapidité d’installation. L’oedème de Quincke, ou angio-oedème allergique, désigne l’infiltration des tissus sous-cutanés profonds et est à l’origine d’un oedème facial avec tuméaction des paupières et des lèvres. Il est responsable d’une infiltration des voies aériennes supérieures à différents niveaux (langue, palais mou, pharynx, larynx) se manifestant initialement par une dyspnée et une dysphonie puis par une obstruction respiratoire avec risque d’asphyxie Des manifestations gastro-intestinales (nausées, vomissements, diarrhées) sont parfois observées reflétant l’augmentation de la contractilité des muscles lisses au niveau digestif. L’examen clinique ne met pas en évidence d’œdème glosso-labial mais des lésions urticariennes du tronc s’étendant aux membres supérieurs. La patiente est tachypnéique à 32/minute, avec une dyspnée aux 2 temps et des signes de lutte respiratoire. On note une hypotension artérielle à 70/40 mmHg, une tachycardie à 120/minute et une SpO2 à 89 % en air ambiant. L’auscultation pulmonaire objective un frein expiratoire et des sibilants bilatéraux. Vous suspectez un choc anaphylactique au produit de contraste iodé. Quel(s) est (sont) l’ (les) élément(s) de votre prise en charge immédiate ? a. injection intraveineuse d’adrénaline en bolus de 1 mg toutes les 1 à 2 minutes b. initiation d’une ventilation non invasive c. administration intraveineuse d’un anti-histaminique d. début d’une corticothérapie systémique injectée e. début d’une aérosolthérapie bronchodilatatrice par salbutamol A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A propos de l’adrénaline, diriez-vous : a. que son action est alpha, béta-1 et béta-2 agoniste b. que ses effets sont vasoconstricteurs et bronchodilatateurs c. que ses effets cardiaques sont inotrope, chronotrope, dromotrope et bathmotrope d. que son administration abaisse la consommation en oxygène du myocarde e. qu’une tachycardie supérieure à 130/minute contre-indique son utilisation au cours du choc anaphylactique
A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Une patiente de 22 ans consulte au Service d’Accueil des Urgences pour une fièvre et une asthénie, associées à une sensation de gène du coté gauche de l'abdomen et de la base du thorax, évoluant depuis 2 jours. A l’interrogatoire elle ne décrit pas d’antécédent médico-chirurgical et pas d’allergie connue. Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 39,3°C, pression artérielle à 99/55 mmHg, fréquence cardiaque à 121/minute, fréquence respiratoire à 29/minute et SpO2 à 96% en air ambiant. L’examen physique objective une sensibilité en fosse iliaque gauche, sans défense. La fosse lombaire homolatérale est sensible à la percussion. Les orifices herniaires sont libres. Parmi les signes négatifs, vous ne notez pas de signe d’hypoperfusion périphérique, pas de masse palpable abdominale et pas d’asymétrie tensionnelle des membres supérieurs. La patiente n’a consommé aucun médicament en dehors d’une automédication par paracétamol. Parmi les examens listés ci-dessous, lequel (lesquels) est (sont) à réaliser en urgence ? a. une radiographie de thorax de face b. une bandelette urinaire c. des béta-HCG urinaires d. un ionogramme sanguin e. un hémogramme A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. La bandelette urinaire est positive pour les leucocytes et les nitrites. L’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) objective une leucocyturie à 105/ml, l’examen direct en coloration de Gram est en attente. Les béta-HCG urinaires sont négatifs. Alors que la patiente est encore dans un box du Service d’Accueil des Urgences, son état clinique s’aggrave : vous notez une hypotension artérielle à 81/45 mm Hg, l’apparition de marbrures des membres inférieurs, une tachycardie à 135/minute et une tachypnée à 35/minute sans désaturation. La fièvre persiste à 39 °C, ainsi que les douleurs abdominales et lombaires. A propos de votre prise en charge immédiate, diriez-vous que : a. un remplissage vasculaire par cristalloïde est indiqué sans délai b. une intubation orotrachéale est indiquée sans délai c. l’initiation d’un support vasopresseur par noradrénaline est indiquée sans délai d. une imagerie des voies urinaires doit être prescrite rapidement e. une surveillance scopique continue des paramètres vitaux doit être instaurée sans délai A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Il s'agit donc d'un sepsis sur une probable infection des voies urinaires; l'hypovolémie étant constante à la phase initiale, le remplissage vasculaire est te traitement symptomatique de 1ère intention. La noradrénaline devra être mise en place en cas de persistance de l'hypotension artérielle malgré un remplissage adapté (environ 30 ml/ Kg), on parlera alors de choc septique. Votre prise en charge immédiate associe l’installation au déchocage pour surveillance scopique continue et un remplissage vasculaire par cristalloïde. Une gazométrie artérielle est réalisée. Les investigations microbiologiques sont complétées par la réalisation d’une paire d’hémocultures. L’examen microscopique des urines objective des bacilles Gram négatif. Vous posez le diagnostic de pyélonéphrite aiguë communautaire et vous décidez de débuter une antibiothérapie. A propos de celle-ci, diriez-vous que : a. l’administration intraveineuse est indiquée b. le spectre bactérien doit inclure Pseudomonas aeruginosa c. le spectre bactérien doit inclure les entérobactéries des groupes I et II d. l’association d’une céphalosporine de 3ème génération et d’un aminoside est une antibiothérapie envisageable e. l’activité bactéricide n'est pas souhaitable A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans la situation présente de pyélonéphrite aiguë communautaire grave l'antibiothérapie est une urgence vitale; la qualité de prescription anti infectieuse conditionne le pronostic du patient; ainsi l'antibiothérapie devra être parentérale et si possible bactéricide. Il s'agit d'une infection communautaire chez une patiente n'ayant pas reçue d'antibiothérapie récente ainsi le traitement anti infectieux probabiliste devra couvrir les entérobactéries de groupes I et II; l'antibiothérapie anti Pseudomonas aeruginosa n'a pas sa place ici. Vous débutez une biantibiothérapie par céfotaxime et gentamycine par voie parentérale. Si on vous demande de commenter cette antibiothérapie, diriez-vous que : a. céfotaxime est un antibiotique temps-dépendant b. gentamycine est un antibiotique temps-dépendant c. céfotaxime et gentamycine ont tous les deux une activité bactéricide d. la clairance de la gentamycine est principalement rénale e. le dosage du pic plasmatique de gentamycine vise à contrôler la toxicité de cet antibiotique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les résultats de la gazométrie artérielle en air ambiant sont les suivants : pH= 7,32 ; PaO2 = 110 mmHg ; PaCO2 = 32 mmHg ; HCO3- = 22 mmol/L ; lactate = 3,5 mmol/L. A propos de ces résultats de gazométrie, diriez-vous : a. que l'on observe une acidémie b. que l'on observe une acidose métabolique partiellement compensée c. que l'on observe un effet shunt gazométrique d. que l’hyperlactatémie est possiblement secondaire à une insuffisance rénale aiguë e. que ces anomalies gazométriques pourraient être au moins partiellement expliquées par une hypovolémie A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous décidez de prescrire un uroscanner. A propos de cet examen, diriez-vous que : a. il suppose nécessairement l’injection de produit de contraste iodé b. il permettrait de visualiser une éventuelle dilatation des cavités pyélocalicielles c. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle endoluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple un calcul endo-urétéral d. il permettrait de visualiser un éventuel obstacle extraluminal sur les voies excrétrices urinaires, par exemple une compression extrinsèque e. il permettrait de visualiser des éventuels foyers de néphrite A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’uroscanner est réalisé. Dans les minutes suivant l’injection du produit de contraste iodé, la patiente se plaint d’un prurit généralisé et d’une sensation d’oppression thoracique. Vous suspectez une réaction anaphylactique au produit de contraste iodé. Dans cette hypothèse, diriez-vous que : a. le délai séparant l’exposition à l’allergène des premières manifestations cliniques est compatible b. le produit de contraste iodé est un allergène de type haptène c. l’apparition d’une pâleur généralisée est attendue d. l’apparition d’une dysphonie est possible, en rapport avec un œdème laryngé e. l'apparition de nausées et/ou de vomissements est possible A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La majorité des réactions anaphylactiques surviennent dans les minutes suivant l’introduction de l’allergène dans l’organisme. Le choc anaphylactique est caractérisé par sa brutalité et sa rapidité d’installation. L’oedème de Quincke, ou angio-oedème allergique, désigne l’infiltration des tissus sous-cutanés profonds et est à l’origine d’un oedème facial avec tuméaction des paupières et des lèvres. Il est responsable d’une infiltration des voies aériennes supérieures à différents niveaux (langue, palais mou, pharynx, larynx) se manifestant initialement par une dyspnée et une dysphonie puis par une obstruction respiratoire avec risque d’asphyxie Des manifestations gastro-intestinales (nausées, vomissements, diarrhées) sont parfois observées reflétant l’augmentation de la contractilité des muscles lisses au niveau digestif. L’examen clinique ne met pas en évidence d’œdème glosso-labial mais des lésions urticariennes du tronc s’étendant aux membres supérieurs. La patiente est tachypnéique à 32/minute, avec une dyspnée aux 2 temps et des signes de lutte respiratoire. On note une hypotension artérielle à 70/40 mmHg, une tachycardie à 120/minute et une SpO2 à 89 % en air ambiant. L’auscultation pulmonaire objective un frein expiratoire et des sibilants bilatéraux. Vous suspectez un choc anaphylactique au produit de contraste iodé. Quel(s) est (sont) l’ (les) élément(s) de votre prise en charge immédiate ? a. injection intraveineuse d’adrénaline en bolus de 1 mg toutes les 1 à 2 minutes b. initiation d’une ventilation non invasive c. administration intraveineuse d’un anti-histaminique d. début d’une corticothérapie systémique injectée e. début d’une aérosolthérapie bronchodilatatrice par salbutamol A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A propos de l’adrénaline, diriez-vous : a. que son action est alpha, béta-1 et béta-2 agoniste b. que ses effets sont vasoconstricteurs et bronchodilatateurs c. que ses effets cardiaques sont inotrope, chronotrope, dromotrope et bathmotrope d. que son administration abaisse la consommation en oxygène du myocarde e. qu’une tachycardie supérieure à 130/minute contre-indique son utilisation au cours du choc anaphylactique A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect. Votre prise en charge thérapeutique immédiate associe une oxygénothérapie au masque, des aérosols de Salbutamol, l’administration de deux bolus intraveineux de 100 µg d’adrénaline et un remplissage vasculaire cristalloïde de 1000 ml au total. L’amélioration clinique est alors rapide, permettant après quelques minutes d’observer les paramètres vitaux suivants : pression artérielle à 100/60 mmHg, fréquence cardiaque à 100/minute et SpO2 à 100 % sous 6L/minute d’O2. La patiente est admise en réanimation pour la suite de la prise en charge. Quel(s) examen(s) à visée allergologique allez-vous alors prescrire rapidement ? a. dosage sanguin d'histamine b. dosage sanguin de la tryptase c. quantification des éosinophiles circulants d. dosage sanguin des IgE spécifiques e. dosage sanguin des fractions C3 et C4 du complément
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le bilan initial immédiat est réalisé lors des réactions anaphylactiques de grade II et au-delà. L’histamine plasmatique s’élève en quelques minutes, avec une déroissance rapide en une heure justifiant donc un prélèvement trè précoce. La tryptase d’origine mastocytaire atteint son taux maximum dans le sérum une à deux heures après la survenue du choc anaphylactique puis diminue progressivement dans les 10 à 12 heures suivantes. Dans les chocs sévères, elle est encore élevée 24 heures après l’exposition. Le dosage des anticorps IgE spécifiques de certains produits permet d’établir déinitivement le mécanisme de réaction d’hypersensibilitéimmédiate (IgE-médiée ou non) de la réaction allergique. Les tests cutanés devront être réalisés à distance (4 à 6 semaines plus tard) au cours d'une consultation spécialisée d'allergologie.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Médecin aux urgences, vous prenez en charge Mme V., 32 ans, qui consulte pour une dorsalgie intense d'apparition brutale, associée à un malaise. Elle n'a pas d'antécédent notable en dehors d'un tabagisme actif à 10 paquets-année. Elle prend comme seul traitement une contraception oestro-progestative. Les paramètres vitaux mesurés par l'infirmière d'accueil des urgences sont : pression artérielle à 182/110 mmHg, fréquence cardiaque à 90/min, SpO2 à 97 % en air ambiant. Quel(s) signe(s) clinique(s), associé(s) à une élévation tensionnelle, doi(ven)t faire suspecter une urgence hypertensive ? a. asymétrie tensionnelle b. tympanisme thoracique c. douleur thoracique d. déficit sensitivo-moteur e. hippocratisme digital
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les urgences hypertensives sont : l'AVC hémorragique, le syndrome coronaire aigu, la dissection aortique, l'éclampsie, l'oedème aigu pulmonaire cardiogénique (OAP)... Elles nécessitent un contrôle rapide de la tension artérielle.
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A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Médecin aux urgences, vous prenez en charge Mme V., 32 ans, qui consulte pour une dorsalgie intense d'apparition brutale, associée à un malaise. Elle n'a pas d'antécédent notable en dehors d'un tabagisme actif à 10 paquets-année. Elle prend comme seul traitement une contraception oestro-progestative. Les paramètres vitaux mesurés par l'infirmière d'accueil des urgences sont : pression artérielle à 182/110 mmHg, fréquence cardiaque à 90/min, SpO2 à 97 % en air ambiant. Quel(s) signe(s) clinique(s), associé(s) à une élévation tensionnelle, doi(ven)t faire suspecter une urgence hypertensive ? a. asymétrie tensionnelle b. tympanisme thoracique c. douleur thoracique d. déficit sensitivo-moteur e. hippocratisme digital A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les urgences hypertensives sont : l'AVC hémorragique, le syndrome coronaire aigu, la dissection aortique, l'éclampsie, l'oedème aigu pulmonaire cardiogénique (OAP)... Elles nécessitent un contrôle rapide de la tension artérielle. La douleur est très intense (évaluée à 10/10 au moyen d'une échelle numérique), migratrice vers le bas du dos, à type de déchirement. La pression artérielle est contrôlée à 190/112 mmHg au bras gauche et 120/56 mmHg au bras droit. Vous suspectez une dissection aortique. Quel(s) examen(s) pourrai(en)t en théorie permettre d'identifier une dissection aortique ? a. artériographie aortique b. angioscanner thoracique c. IRM thoracique d. échocardiographie transoesophagienne e. échocardiographie transthoracique
A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous ces examens peuvent permettre de confirmer une suspicion de dissection aortique. L'artériographie aortique est largement supplantée par l'angioscanner thoracique, premier examen réalisé chez les patients stables sur le plan hémodynamique. L'IRM thoracique est un bon examen diagnostique mais rarement disponible en urgence. L'échographie transthoracique peut montrer une dissection de l'aorte naissante. L'ETO est un excellent examen à réaliser au lit d'un patient intubé-ventilé et sédaté.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Médecin aux urgences, vous prenez en charge Mme V., 32 ans, qui consulte pour une dorsalgie intense d'apparition brutale, associée à un malaise. Elle n'a pas d'antécédent notable en dehors d'un tabagisme actif à 10 paquets-année. Elle prend comme seul traitement une contraception oestro-progestative. Les paramètres vitaux mesurés par l'infirmière d'accueil des urgences sont : pression artérielle à 182/110 mmHg, fréquence cardiaque à 90/min, SpO2 à 97 % en air ambiant. Quel(s) signe(s) clinique(s), associé(s) à une élévation tensionnelle, doi(ven)t faire suspecter une urgence hypertensive ? a. asymétrie tensionnelle b. tympanisme thoracique c. douleur thoracique d. déficit sensitivo-moteur e. hippocratisme digital A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les urgences hypertensives sont : l'AVC hémorragique, le syndrome coronaire aigu, la dissection aortique, l'éclampsie, l'oedème aigu pulmonaire cardiogénique (OAP)... Elles nécessitent un contrôle rapide de la tension artérielle. La douleur est très intense (évaluée à 10/10 au moyen d'une échelle numérique), migratrice vers le bas du dos, à type de déchirement. La pression artérielle est contrôlée à 190/112 mmHg au bras gauche et 120/56 mmHg au bras droit. Vous suspectez une dissection aortique. Quel(s) examen(s) pourrai(en)t en théorie permettre d'identifier une dissection aortique ? a. artériographie aortique b. angioscanner thoracique c. IRM thoracique d. échocardiographie transoesophagienne e. échocardiographie transthoracique A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous ces examens peuvent permettre de confirmer une suspicion de dissection aortique. L'artériographie aortique est largement supplantée par l'angioscanner thoracique, premier examen réalisé chez les patients stables sur le plan hémodynamique. L'IRM thoracique est un bon examen diagnostique mais rarement disponible en urgence. L'échographie transthoracique peut montrer une dissection de l'aorte naissante. L'ETO est un excellent examen à réaliser au lit d'un patient intubé-ventilé et sédaté. Quel(s) traitement(s) devez-vous débuter en urgence ? a. anticoagulation curative intraveineuse b. anti-hypertenseur intraveineux c. double anti-agrégation plaquettaire d. diurétiques intraveineux e. catécholamine intraveineuse
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L'urgence est au contrôle de la tension artérielle et de la fréquence cardiaque afin de diminuer les contraintes à chaque systole ventriculaire et d'éviter une extension ou une aggravation de la dissection. Les anticoagulants et anti-agrégants sont strictement contre-indiqués dans ce contexte : ils favorisent l'hémorragie.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
De garde aux urgences pédiatriques, il est 23h. Vous vous apprêtez à rejoindre votre chambre de garde, lorsque l’infirmière vous appel. Elle vous parle d'Hugo, 13 ans, qui se présente pour vomissements. A l’interrogatoire, la maman très anxieuse vous apprend que ces vomissements sont présents depuis qu’il est rentré de son entrainement de basket à 19h. Hugo avoue alors être tombé du panier lors de la réalisation d’un magnifique Dunk, et s’être cogné la tête très fort lors de l’atterrissage. Il croit avoir perdu connaissance quelques instants, mais ne se souvient pas très bien de ce qui s’est passé. Il a mal à la tête et souhaite rentrer à la maison se coucher. Quel(s) élément(s) de l’interrogatoire contre indique(nt) le retour à domicile ? a. La présence de vomissements b. L’âge de l’enfant c. La perte de connaissance d. L’anxiété de la mère e. Les céphalées
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
De garde aux urgences pédiatriques, il est 23h. Vous vous apprêtez à rejoindre votre chambre de garde, lorsque l’infirmière vous appel. Elle vous parle d'Hugo, 13 ans, qui se présente pour vomissements. A l’interrogatoire, la maman très anxieuse vous apprend que ces vomissements sont présents depuis qu’il est rentré de son entrainement de basket à 19h. Hugo avoue alors être tombé du panier lors de la réalisation d’un magnifique Dunk, et s’être cogné la tête très fort lors de l’atterrissage. Il croit avoir perdu connaissance quelques instants, mais ne se souvient pas très bien de ce qui s’est passé. Il a mal à la tête et souhaite rentrer à la maison se coucher. Quel(s) élément(s) de l’interrogatoire contre indique(nt) le retour à domicile ? a. La présence de vomissements b. L’âge de l’enfant c. La perte de connaissance d. L’anxiété de la mère e. Les céphalées A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) élément(s) décisif(s) faut-il préciser à l’interrogatoire ? a. La durée de la perte de connaissance b. L’intensité des céphalées c. L’horaire du dernier repas d. La fréquence des vomissements e. La présence d’un trouble de l’hémostase connu
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
De garde aux urgences pédiatriques, il est 23h. Vous vous apprêtez à rejoindre votre chambre de garde, lorsque l’infirmière vous appel. Elle vous parle d'Hugo, 13 ans, qui se présente pour vomissements. A l’interrogatoire, la maman très anxieuse vous apprend que ces vomissements sont présents depuis qu’il est rentré de son entrainement de basket à 19h. Hugo avoue alors être tombé du panier lors de la réalisation d’un magnifique Dunk, et s’être cogné la tête très fort lors de l’atterrissage. Il croit avoir perdu connaissance quelques instants, mais ne se souvient pas très bien de ce qui s’est passé. Il a mal à la tête et souhaite rentrer à la maison se coucher. Quel(s) élément(s) de l’interrogatoire contre indique(nt) le retour à domicile ? a. La présence de vomissements b. L’âge de l’enfant c. La perte de connaissance d. L’anxiété de la mère e. Les céphalées A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) élément(s) décisif(s) faut-il préciser à l’interrogatoire ? a. La durée de la perte de connaissance b. L’intensité des céphalées c. L’horaire du dernier repas d. La fréquence des vomissements e. La présence d’un trouble de l’hémostase connu A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quel(s) élément(s) indiquerai(ent) la réalisation d’une imagerie cérébrale en urgence ? a. La présence de céphalées légères b. Une perte de connaissance de plus d’une minute c. De nombreux vomissement qui persistent d. La survenue d’une convulsion e. Un bombement de la fontanelle antérieure
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Référentiel pédiatrie, item Traumatismes chez l'enfant : Cours Tableau 71.2 Niveaux de risque dans les TC de l’enfant Risque élevé Risque intermédiaire Risque faible – Perte de connaissance ≥ 1 min – Altération de la conscience, irritabilité – Convulsions – Signes neurologiques focaux persistants – Céphalées intenses et persistantes – Vomissements répétés ou persistants – Fontanelle bombée, augmentation du PC – Embarrure, signes de fracture de la base du crâne – Contexte évocateur de maltraitance – Perte de connaissance < 1 min – Amnésie de l’accident – Âge < 3 mois, mécanisme violent – Signes neurologiques focaux transitoires – Céphalées modérées – Vomissements isolés non répétés 0.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
De garde aux urgences pédiatriques, il est 23h. Vous vous apprêtez à rejoindre votre chambre de garde, lorsque l’infirmière vous appel. Elle vous parle d'Hugo, 13 ans, qui se présente pour vomissements. A l’interrogatoire, la maman très anxieuse vous apprend que ces vomissements sont présents depuis qu’il est rentré de son entrainement de basket à 19h. Hugo avoue alors être tombé du panier lors de la réalisation d’un magnifique Dunk, et s’être cogné la tête très fort lors de l’atterrissage. Il croit avoir perdu connaissance quelques instants, mais ne se souvient pas très bien de ce qui s’est passé. Il a mal à la tête et souhaite rentrer à la maison se coucher. Quel(s) élément(s) de l’interrogatoire contre indique(nt) le retour à domicile ? a. La présence de vomissements b. L’âge de l’enfant c. La perte de connaissance d. L’anxiété de la mère e. Les céphalées A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) élément(s) décisif(s) faut-il préciser à l’interrogatoire ? a. La durée de la perte de connaissance b. L’intensité des céphalées c. L’horaire du dernier repas d. La fréquence des vomissements e. La présence d’un trouble de l’hémostase connu A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quel(s) élément(s) indiquerai(ent) la réalisation d’une imagerie cérébrale en urgence ? a. La présence de céphalées légères b. Une perte de connaissance de plus d’une minute c. De nombreux vomissement qui persistent d. La survenue d’une convulsion e. Un bombement de la fontanelle antérieure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Référentiel pédiatrie, item Traumatismes chez l'enfant : Cours Tableau 71.2 Niveaux de risque dans les TC de l’enfant Risque élevé Risque intermédiaire Risque faible – Perte de connaissance ≥ 1 min – Altération de la conscience, irritabilité – Convulsions – Signes neurologiques focaux persistants – Céphalées intenses et persistantes – Vomissements répétés ou persistants – Fontanelle bombée, augmentation du PC – Embarrure, signes de fracture de la base du crâne – Contexte évocateur de maltraitance – Perte de connaissance < 1 min – Amnésie de l’accident – Âge < 3 mois, mécanisme violent – Signes neurologiques focaux transitoires – Céphalées modérées – Vomissements isolés non répétés 0. Le reste de l’interrogatoire et de l’examen clinique sont en faveur d’un traumatisme crânien grave, avec risque élevé. Quel est l’imagerie à réaliser ? a. Une IRM cérébrale avec injection de gadolinium b. Une IRM cérébrale sans injection de gadolinium c. Une TDM cérébrale avec injection de produit de contraste d. Une TDM cérébrale sans injection de produit de contraste e. Une échographie transfontanellaire
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Référentiel pédiatrie, item Traumatismes chez l'enfant : Cours Le scanner cérébral est l’imagerie de choix pour apprécier l’importance des lésions intracrâniennes. Il est à réserver aux seuls tc considérés à « risque élevé » de complications.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique. Votre examen révèle une contracture abdominale, des orifices herniaires libres, des traces de sang au toucher rectal, BU leuco – nitrites - sang -. Il existe des vomissements marrons. Sur le plan hémodynamique, le patient a les extrémités froides, un pouls filant, des marbrures des extrémités, pas de de turgescence jugulaire ni d’œdème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient est polypnéique avec un discret tirage sus-sternal, quelques crépitants en base droite. Sur le plan neurologique : patient confus sans signes de localisation. Quelle est votre prise en charge initiale ? a. Remplissage par colloïdes Le remplissage recommandé en première intention sont les cristalloïdes. b. Pose de cathéter central pour optimisation du débit de remplissage Dans un premier temps, un remplissage par voie périphérique est possible. Une deuxième voie veineuse doit être mise en place. Le remplissage est tout aussi efficace avec deux voies périphériques de bons calibres. c. Utilisation de la VNI Les deux indications préférentielles de la VNI sont l’OAP et la décompensation de BPCO. Ici ce n’est a priori pas le terrain et il existe manifestement un foyer à droite. De l’oxygénothérapie peut en revanche être administrée. d. Mise en place d’une sonde naso-gastrique Le patient a des vomissements itératifs, il faut pouvoir le soulager rapidement et éviter une inhalation de liquide gastrique pouvant aller dans les voies aériennes. e. Calcul du score de FINE Le score de FINE est un score pronostic des pneumopathies communautaires. Ici une pneumopathie est probable mais n’explique pas tout le tableau clinique du patient.
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique. Votre examen révèle une contracture abdominale, des orifices herniaires libres, des traces de sang au toucher rectal, BU leuco – nitrites - sang -. Il existe des vomissements marrons. Sur le plan hémodynamique, le patient a les extrémités froides, un pouls filant, des marbrures des extrémités, pas de de turgescence jugulaire ni d’œdème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient est polypnéique avec un discret tirage sus-sternal, quelques crépitants en base droite. Sur le plan neurologique : patient confus sans signes de localisation. Quelle est votre prise en charge initiale ? a. Remplissage par colloïdes Le remplissage recommandé en première intention sont les cristalloïdes. b. Pose de cathéter central pour optimisation du débit de remplissage Dans un premier temps, un remplissage par voie périphérique est possible. Une deuxième voie veineuse doit être mise en place. Le remplissage est tout aussi efficace avec deux voies périphériques de bons calibres. c. Utilisation de la VNI Les deux indications préférentielles de la VNI sont l’OAP et la décompensation de BPCO. Ici ce n’est a priori pas le terrain et il existe manifestement un foyer à droite. De l’oxygénothérapie peut en revanche être administrée. d. Mise en place d’une sonde naso-gastrique Le patient a des vomissements itératifs, il faut pouvoir le soulager rapidement et éviter une inhalation de liquide gastrique pouvant aller dans les voies aériennes. e. Calcul du score de FINE Le score de FINE est un score pronostic des pneumopathies communautaires. Ici une pneumopathie est probable mais n’explique pas tout le tableau clinique du patient. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous avez donc mis en place 2 voies veineuses périphériques, mis une sonde urinaire, rempli le patient de 3000 ml de cristalloïdes, posé une sonde nasogastrique ayant aspiré un liquide d’aspect fécaloïde, mis en place une oxygénothérapie. Le patient est transféré au déchocage. Un bilan biologique est prélevé en urgence. Votre sénior vous rejoint, mais rapidement l’état du patient se dégrade : Ses constantes sont : FC 140/min, TA 70/40 mmHg, FR 30/min, SaO2 90% sous 10 Ld'O2 avec tirage et balancement thoraco-abdominal. La conscience du patient s’altère Glasgow 7, le patient commence à vomir. Quelle est votre prise en charge immédiate ? a. Transfert médicalisé au scanner avec oxygénothérapie 15 L b. Transfert médicalisé en réanimation avant toute manoeuvre de réanimation c. Noradrénaline d. Mettre le patient en position latérale de sécurité e. Intubation orotrachéale
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tout d’abord le patient vomit, il faut le mettre en position latérale de sécurité pour éviter qu’il inhale du liquide gastrique malgré la sonde nasogastrique. Ensuite le patient étant devenu très oxygénodépendant et présentant une défaillance neurologique ne lui permettant plus de maintenir une sécurité au niveau de ses voies aériennes, il est temps de l’intuber avant de faire le point sur son état. Cependant une intubation nécessite une sédation qui est potentiellement hypotensive : il faut instaurer la noradrénaline avant l’induction. Enfin, il est licite d’appeler le réanimateur mais un transfert avant une intubation semble inapproprié. Les examens complémentaires ne sont pas non plus une priorité. Pour résumer : 1/ mise en PLS 2/ instauration de la noradrénaline 3/ intubation orotrachéale.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique. Votre examen révèle une contracture abdominale, des orifices herniaires libres, des traces de sang au toucher rectal, BU leuco – nitrites - sang -. Il existe des vomissements marrons. Sur le plan hémodynamique, le patient a les extrémités froides, un pouls filant, des marbrures des extrémités, pas de de turgescence jugulaire ni d’œdème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient est polypnéique avec un discret tirage sus-sternal, quelques crépitants en base droite. Sur le plan neurologique : patient confus sans signes de localisation. Quelle est votre prise en charge initiale ? a. Remplissage par colloïdes Le remplissage recommandé en première intention sont les cristalloïdes. b. Pose de cathéter central pour optimisation du débit de remplissage Dans un premier temps, un remplissage par voie périphérique est possible. Une deuxième voie veineuse doit être mise en place. Le remplissage est tout aussi efficace avec deux voies périphériques de bons calibres. c. Utilisation de la VNI Les deux indications préférentielles de la VNI sont l’OAP et la décompensation de BPCO. Ici ce n’est a priori pas le terrain et il existe manifestement un foyer à droite. De l’oxygénothérapie peut en revanche être administrée. d. Mise en place d’une sonde naso-gastrique Le patient a des vomissements itératifs, il faut pouvoir le soulager rapidement et éviter une inhalation de liquide gastrique pouvant aller dans les voies aériennes. e. Calcul du score de FINE Le score de FINE est un score pronostic des pneumopathies communautaires. Ici une pneumopathie est probable mais n’explique pas tout le tableau clinique du patient. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous avez donc mis en place 2 voies veineuses périphériques, mis une sonde urinaire, rempli le patient de 3000 ml de cristalloïdes, posé une sonde nasogastrique ayant aspiré un liquide d’aspect fécaloïde, mis en place une oxygénothérapie. Le patient est transféré au déchocage. Un bilan biologique est prélevé en urgence. Votre sénior vous rejoint, mais rapidement l’état du patient se dégrade : Ses constantes sont : FC 140/min, TA 70/40 mmHg, FR 30/min, SaO2 90% sous 10 Ld'O2 avec tirage et balancement thoraco-abdominal. La conscience du patient s’altère Glasgow 7, le patient commence à vomir. Quelle est votre prise en charge immédiate ? a. Transfert médicalisé au scanner avec oxygénothérapie 15 L b. Transfert médicalisé en réanimation avant toute manoeuvre de réanimation c. Noradrénaline d. Mettre le patient en position latérale de sécurité e. Intubation orotrachéale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tout d’abord le patient vomit, il faut le mettre en position latérale de sécurité pour éviter qu’il inhale du liquide gastrique malgré la sonde nasogastrique. Ensuite le patient étant devenu très oxygénodépendant et présentant une défaillance neurologique ne lui permettant plus de maintenir une sécurité au niveau de ses voies aériennes, il est temps de l’intuber avant de faire le point sur son état. Cependant une intubation nécessite une sédation qui est potentiellement hypotensive : il faut instaurer la noradrénaline avant l’induction. Enfin, il est licite d’appeler le réanimateur mais un transfert avant une intubation semble inapproprié. Les examens complémentaires ne sont pas non plus une priorité. Pour résumer : 1/ mise en PLS 2/ instauration de la noradrénaline 3/ intubation orotrachéale. Assisté par votre sénior vous avez donc réussi à intuber le patient. Lorsque vous vous êtes exposés, la sonde nasogastrique était dans la glotte. Le patient reste hypotendu, la noradrénaline est débutée. Concernant la physiopathologie du sepsis : a. Le sepsis provient d’une réponse inadaptée de l’hôte face au pathogène b. Les médiateurs inflammatoires sont responsables d’une vasoplégie c. L’hypovolémie relative s’explique par la fuite capillaire et l’hypovolémie vraie par la vasoplégie C'est l'inverse ! d. La confusion est un signe de choc fréquent C'est souvent l'un des signes les plus précoces. e. La réponse immunitaire innée est lente et non spécifique et la réponse adaptative est rapide et spécifique La réponse innée est RAPIDE et non spécifique et la réponse adaptative est LENTE et spécifique.
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique. Votre examen révèle une contracture abdominale, des orifices herniaires libres, des traces de sang au toucher rectal, BU leuco – nitrites - sang -. Il existe des vomissements marrons. Sur le plan hémodynamique, le patient a les extrémités froides, un pouls filant, des marbrures des extrémités, pas de de turgescence jugulaire ni d’œdème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient est polypnéique avec un discret tirage sus-sternal, quelques crépitants en base droite. Sur le plan neurologique : patient confus sans signes de localisation. Quelle est votre prise en charge initiale ? a. Remplissage par colloïdes Le remplissage recommandé en première intention sont les cristalloïdes. b. Pose de cathéter central pour optimisation du débit de remplissage Dans un premier temps, un remplissage par voie périphérique est possible. Une deuxième voie veineuse doit être mise en place. Le remplissage est tout aussi efficace avec deux voies périphériques de bons calibres. c. Utilisation de la VNI Les deux indications préférentielles de la VNI sont l’OAP et la décompensation de BPCO. Ici ce n’est a priori pas le terrain et il existe manifestement un foyer à droite. De l’oxygénothérapie peut en revanche être administrée. d. Mise en place d’une sonde naso-gastrique Le patient a des vomissements itératifs, il faut pouvoir le soulager rapidement et éviter une inhalation de liquide gastrique pouvant aller dans les voies aériennes. e. Calcul du score de FINE Le score de FINE est un score pronostic des pneumopathies communautaires. Ici une pneumopathie est probable mais n’explique pas tout le tableau clinique du patient. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous avez donc mis en place 2 voies veineuses périphériques, mis une sonde urinaire, rempli le patient de 3000 ml de cristalloïdes, posé une sonde nasogastrique ayant aspiré un liquide d’aspect fécaloïde, mis en place une oxygénothérapie. Le patient est transféré au déchocage. Un bilan biologique est prélevé en urgence. Votre sénior vous rejoint, mais rapidement l’état du patient se dégrade : Ses constantes sont : FC 140/min, TA 70/40 mmHg, FR 30/min, SaO2 90% sous 10 Ld'O2 avec tirage et balancement thoraco-abdominal. La conscience du patient s’altère Glasgow 7, le patient commence à vomir. Quelle est votre prise en charge immédiate ? a. Transfert médicalisé au scanner avec oxygénothérapie 15 L b. Transfert médicalisé en réanimation avant toute manoeuvre de réanimation c. Noradrénaline d. Mettre le patient en position latérale de sécurité e. Intubation orotrachéale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tout d’abord le patient vomit, il faut le mettre en position latérale de sécurité pour éviter qu’il inhale du liquide gastrique malgré la sonde nasogastrique. Ensuite le patient étant devenu très oxygénodépendant et présentant une défaillance neurologique ne lui permettant plus de maintenir une sécurité au niveau de ses voies aériennes, il est temps de l’intuber avant de faire le point sur son état. Cependant une intubation nécessite une sédation qui est potentiellement hypotensive : il faut instaurer la noradrénaline avant l’induction. Enfin, il est licite d’appeler le réanimateur mais un transfert avant une intubation semble inapproprié. Les examens complémentaires ne sont pas non plus une priorité. Pour résumer : 1/ mise en PLS 2/ instauration de la noradrénaline 3/ intubation orotrachéale. Assisté par votre sénior vous avez donc réussi à intuber le patient. Lorsque vous vous êtes exposés, la sonde nasogastrique était dans la glotte. Le patient reste hypotendu, la noradrénaline est débutée. Concernant la physiopathologie du sepsis : a. Le sepsis provient d’une réponse inadaptée de l’hôte face au pathogène b. Les médiateurs inflammatoires sont responsables d’une vasoplégie c. L’hypovolémie relative s’explique par la fuite capillaire et l’hypovolémie vraie par la vasoplégie C'est l'inverse ! d. La confusion est un signe de choc fréquent C'est souvent l'un des signes les plus précoces. e. La réponse immunitaire innée est lente et non spécifique et la réponse adaptative est rapide et spécifique La réponse innée est RAPIDE et non spécifique et la réponse adaptative est LENTE et spécifique. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la pression artérielle moyenne (PAM) : a. Une PAM de 65 mmHg est recommandée lors de la prise en charge hémodynamique des chocs septiques Seuil communément admis d’après plusieurs études, seuil à retenir dans vos dossiers mais à moduler en pratique. b. L’objectif recommandé dans les chocs permet une perfusion optimale de la plupart des organes c. La PAM est plus influencée par la pression artérielle systolique que diastolique Cf formule de l'item D. d. PAM = 2/3 PAD + 1/3 PAS avec PAS la Pression Artérielle Systolique et PAD la Pression Artérielle Diastolique e. Tous les organes n’ont pas besoin de la même PAM, une PAM > 65 mmHg permettrait la perfusion de la plupart des organes.
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique. Votre examen révèle une contracture abdominale, des orifices herniaires libres, des traces de sang au toucher rectal, BU leuco – nitrites - sang -. Il existe des vomissements marrons. Sur le plan hémodynamique, le patient a les extrémités froides, un pouls filant, des marbrures des extrémités, pas de de turgescence jugulaire ni d’œdème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient est polypnéique avec un discret tirage sus-sternal, quelques crépitants en base droite. Sur le plan neurologique : patient confus sans signes de localisation. Quelle est votre prise en charge initiale ? a. Remplissage par colloïdes Le remplissage recommandé en première intention sont les cristalloïdes. b. Pose de cathéter central pour optimisation du débit de remplissage Dans un premier temps, un remplissage par voie périphérique est possible. Une deuxième voie veineuse doit être mise en place. Le remplissage est tout aussi efficace avec deux voies périphériques de bons calibres. c. Utilisation de la VNI Les deux indications préférentielles de la VNI sont l’OAP et la décompensation de BPCO. Ici ce n’est a priori pas le terrain et il existe manifestement un foyer à droite. De l’oxygénothérapie peut en revanche être administrée. d. Mise en place d’une sonde naso-gastrique Le patient a des vomissements itératifs, il faut pouvoir le soulager rapidement et éviter une inhalation de liquide gastrique pouvant aller dans les voies aériennes. e. Calcul du score de FINE Le score de FINE est un score pronostic des pneumopathies communautaires. Ici une pneumopathie est probable mais n’explique pas tout le tableau clinique du patient. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous avez donc mis en place 2 voies veineuses périphériques, mis une sonde urinaire, rempli le patient de 3000 ml de cristalloïdes, posé une sonde nasogastrique ayant aspiré un liquide d’aspect fécaloïde, mis en place une oxygénothérapie. Le patient est transféré au déchocage. Un bilan biologique est prélevé en urgence. Votre sénior vous rejoint, mais rapidement l’état du patient se dégrade : Ses constantes sont : FC 140/min, TA 70/40 mmHg, FR 30/min, SaO2 90% sous 10 Ld'O2 avec tirage et balancement thoraco-abdominal. La conscience du patient s’altère Glasgow 7, le patient commence à vomir. Quelle est votre prise en charge immédiate ? a. Transfert médicalisé au scanner avec oxygénothérapie 15 L b. Transfert médicalisé en réanimation avant toute manoeuvre de réanimation c. Noradrénaline d. Mettre le patient en position latérale de sécurité e. Intubation orotrachéale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tout d’abord le patient vomit, il faut le mettre en position latérale de sécurité pour éviter qu’il inhale du liquide gastrique malgré la sonde nasogastrique. Ensuite le patient étant devenu très oxygénodépendant et présentant une défaillance neurologique ne lui permettant plus de maintenir une sécurité au niveau de ses voies aériennes, il est temps de l’intuber avant de faire le point sur son état. Cependant une intubation nécessite une sédation qui est potentiellement hypotensive : il faut instaurer la noradrénaline avant l’induction. Enfin, il est licite d’appeler le réanimateur mais un transfert avant une intubation semble inapproprié. Les examens complémentaires ne sont pas non plus une priorité. Pour résumer : 1/ mise en PLS 2/ instauration de la noradrénaline 3/ intubation orotrachéale. Assisté par votre sénior vous avez donc réussi à intuber le patient. Lorsque vous vous êtes exposés, la sonde nasogastrique était dans la glotte. Le patient reste hypotendu, la noradrénaline est débutée. Concernant la physiopathologie du sepsis : a. Le sepsis provient d’une réponse inadaptée de l’hôte face au pathogène b. Les médiateurs inflammatoires sont responsables d’une vasoplégie c. L’hypovolémie relative s’explique par la fuite capillaire et l’hypovolémie vraie par la vasoplégie C'est l'inverse ! d. La confusion est un signe de choc fréquent C'est souvent l'un des signes les plus précoces. e. La réponse immunitaire innée est lente et non spécifique et la réponse adaptative est rapide et spécifique La réponse innée est RAPIDE et non spécifique et la réponse adaptative est LENTE et spécifique. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la pression artérielle moyenne (PAM) : a. Une PAM de 65 mmHg est recommandée lors de la prise en charge hémodynamique des chocs septiques Seuil communément admis d’après plusieurs études, seuil à retenir dans vos dossiers mais à moduler en pratique. b. L’objectif recommandé dans les chocs permet une perfusion optimale de la plupart des organes c. La PAM est plus influencée par la pression artérielle systolique que diastolique Cf formule de l'item D. d. PAM = 2/3 PAD + 1/3 PAS avec PAS la Pression Artérielle Systolique et PAD la Pression Artérielle Diastolique e. Tous les organes n’ont pas besoin de la même PAM, une PAM > 65 mmHg permettrait la perfusion de la plupart des organes. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réanimateurs sont prévenus, les chirurgiens digestifs aussi. Le bilan que vous avez prélevé vous revient : NFS : Hb 9 g/dL, plaquettes 40 G/L, leucocytes 14 G/L dont 90% de PNN. Ionogramme : Na 130 mmol/L, K 5,0 mmol/l, Cl 105 mmol/l, créatinémie 260 μmol/L, urée 16 mmol/L. Bilan hépatique : ASAT 14N, ALAT 12N, GGT 3N, PAL 3N. Hémostase : TP 40%, TCA 1,3. Concernant la CIVD : a. Pour le versant thrombotique, les héparines peuvent améliorer le pronostic Inutile car une fibrinolyse apparaît ensuite. b. Elle conduit à une thrombopénie de consommation c. Il est recommandé de transfuser du plasma frais congelé si TP < 35% d. Il existe une hyperfibrinogénolyse Consommation excessive de fibrinogène dans la CIVD. e. Il existe ici une CIVD certaine CIVD probable mais il manque les D-dimères et un facteur mineur, le fibrinogène.
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique. Votre examen révèle une contracture abdominale, des orifices herniaires libres, des traces de sang au toucher rectal, BU leuco – nitrites - sang -. Il existe des vomissements marrons. Sur le plan hémodynamique, le patient a les extrémités froides, un pouls filant, des marbrures des extrémités, pas de de turgescence jugulaire ni d’œdème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient est polypnéique avec un discret tirage sus-sternal, quelques crépitants en base droite. Sur le plan neurologique : patient confus sans signes de localisation. Quelle est votre prise en charge initiale ? a. Remplissage par colloïdes Le remplissage recommandé en première intention sont les cristalloïdes. b. Pose de cathéter central pour optimisation du débit de remplissage Dans un premier temps, un remplissage par voie périphérique est possible. Une deuxième voie veineuse doit être mise en place. Le remplissage est tout aussi efficace avec deux voies périphériques de bons calibres. c. Utilisation de la VNI Les deux indications préférentielles de la VNI sont l’OAP et la décompensation de BPCO. Ici ce n’est a priori pas le terrain et il existe manifestement un foyer à droite. De l’oxygénothérapie peut en revanche être administrée. d. Mise en place d’une sonde naso-gastrique Le patient a des vomissements itératifs, il faut pouvoir le soulager rapidement et éviter une inhalation de liquide gastrique pouvant aller dans les voies aériennes. e. Calcul du score de FINE Le score de FINE est un score pronostic des pneumopathies communautaires. Ici une pneumopathie est probable mais n’explique pas tout le tableau clinique du patient. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous avez donc mis en place 2 voies veineuses périphériques, mis une sonde urinaire, rempli le patient de 3000 ml de cristalloïdes, posé une sonde nasogastrique ayant aspiré un liquide d’aspect fécaloïde, mis en place une oxygénothérapie. Le patient est transféré au déchocage. Un bilan biologique est prélevé en urgence. Votre sénior vous rejoint, mais rapidement l’état du patient se dégrade : Ses constantes sont : FC 140/min, TA 70/40 mmHg, FR 30/min, SaO2 90% sous 10 Ld'O2 avec tirage et balancement thoraco-abdominal. La conscience du patient s’altère Glasgow 7, le patient commence à vomir. Quelle est votre prise en charge immédiate ? a. Transfert médicalisé au scanner avec oxygénothérapie 15 L b. Transfert médicalisé en réanimation avant toute manoeuvre de réanimation c. Noradrénaline d. Mettre le patient en position latérale de sécurité e. Intubation orotrachéale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tout d’abord le patient vomit, il faut le mettre en position latérale de sécurité pour éviter qu’il inhale du liquide gastrique malgré la sonde nasogastrique. Ensuite le patient étant devenu très oxygénodépendant et présentant une défaillance neurologique ne lui permettant plus de maintenir une sécurité au niveau de ses voies aériennes, il est temps de l’intuber avant de faire le point sur son état. Cependant une intubation nécessite une sédation qui est potentiellement hypotensive : il faut instaurer la noradrénaline avant l’induction. Enfin, il est licite d’appeler le réanimateur mais un transfert avant une intubation semble inapproprié. Les examens complémentaires ne sont pas non plus une priorité. Pour résumer : 1/ mise en PLS 2/ instauration de la noradrénaline 3/ intubation orotrachéale. Assisté par votre sénior vous avez donc réussi à intuber le patient. Lorsque vous vous êtes exposés, la sonde nasogastrique était dans la glotte. Le patient reste hypotendu, la noradrénaline est débutée. Concernant la physiopathologie du sepsis : a. Le sepsis provient d’une réponse inadaptée de l’hôte face au pathogène b. Les médiateurs inflammatoires sont responsables d’une vasoplégie c. L’hypovolémie relative s’explique par la fuite capillaire et l’hypovolémie vraie par la vasoplégie C'est l'inverse ! d. La confusion est un signe de choc fréquent C'est souvent l'un des signes les plus précoces. e. La réponse immunitaire innée est lente et non spécifique et la réponse adaptative est rapide et spécifique La réponse innée est RAPIDE et non spécifique et la réponse adaptative est LENTE et spécifique. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la pression artérielle moyenne (PAM) : a. Une PAM de 65 mmHg est recommandée lors de la prise en charge hémodynamique des chocs septiques Seuil communément admis d’après plusieurs études, seuil à retenir dans vos dossiers mais à moduler en pratique. b. L’objectif recommandé dans les chocs permet une perfusion optimale de la plupart des organes c. La PAM est plus influencée par la pression artérielle systolique que diastolique Cf formule de l'item D. d. PAM = 2/3 PAD + 1/3 PAS avec PAS la Pression Artérielle Systolique et PAD la Pression Artérielle Diastolique e. Tous les organes n’ont pas besoin de la même PAM, une PAM > 65 mmHg permettrait la perfusion de la plupart des organes. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réanimateurs sont prévenus, les chirurgiens digestifs aussi. Le bilan que vous avez prélevé vous revient : NFS : Hb 9 g/dL, plaquettes 40 G/L, leucocytes 14 G/L dont 90% de PNN. Ionogramme : Na 130 mmol/L, K 5,0 mmol/l, Cl 105 mmol/l, créatinémie 260 μmol/L, urée 16 mmol/L. Bilan hépatique : ASAT 14N, ALAT 12N, GGT 3N, PAL 3N. Hémostase : TP 40%, TCA 1,3. Concernant la CIVD : a. Pour le versant thrombotique, les héparines peuvent améliorer le pronostic Inutile car une fibrinolyse apparaît ensuite. b. Elle conduit à une thrombopénie de consommation c. Il est recommandé de transfuser du plasma frais congelé si TP < 35% d. Il existe une hyperfibrinogénolyse Consommation excessive de fibrinogène dans la CIVD. e. Il existe ici une CIVD certaine CIVD probable mais il manque les D-dimères et un facteur mineur, le fibrinogène. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la défaillance rénale : a. La classification KDIGO classifie en 4 stades l’insuffisance rénale aiguë La classification comporte 3 stades. b. Dans une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle, l’urée est réabsorbée en même temps que le sodium c. Le ionogramme urinaire d’une insuffisance rénale organique montre un natriurèse pauvre (< 20 mmol/L) Le rein pathologique ne peut réabsorber le sel donc il y aura une natriurèse importante. d. La nécrose tubulaire aiguë est la cause la plus fréquente d’insuffisance rénale aiguë organique e. L’insuffisance rénale est organique jusqu'à preuve du contraire Dans le raisonnement face à une insuffisance rénale aiguë, il faudra éliminer une part obstructive, ensuite considérer la part fonctionnelle, d’autant plus qu’il y a une part d’hypovolémie vraie et relative dans le sepsis. Enfin évoquer la part organique si les arguments sont en faveur.
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique. Votre examen révèle une contracture abdominale, des orifices herniaires libres, des traces de sang au toucher rectal, BU leuco – nitrites - sang -. Il existe des vomissements marrons. Sur le plan hémodynamique, le patient a les extrémités froides, un pouls filant, des marbrures des extrémités, pas de de turgescence jugulaire ni d’œdème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient est polypnéique avec un discret tirage sus-sternal, quelques crépitants en base droite. Sur le plan neurologique : patient confus sans signes de localisation. Quelle est votre prise en charge initiale ? a. Remplissage par colloïdes Le remplissage recommandé en première intention sont les cristalloïdes. b. Pose de cathéter central pour optimisation du débit de remplissage Dans un premier temps, un remplissage par voie périphérique est possible. Une deuxième voie veineuse doit être mise en place. Le remplissage est tout aussi efficace avec deux voies périphériques de bons calibres. c. Utilisation de la VNI Les deux indications préférentielles de la VNI sont l’OAP et la décompensation de BPCO. Ici ce n’est a priori pas le terrain et il existe manifestement un foyer à droite. De l’oxygénothérapie peut en revanche être administrée. d. Mise en place d’une sonde naso-gastrique Le patient a des vomissements itératifs, il faut pouvoir le soulager rapidement et éviter une inhalation de liquide gastrique pouvant aller dans les voies aériennes. e. Calcul du score de FINE Le score de FINE est un score pronostic des pneumopathies communautaires. Ici une pneumopathie est probable mais n’explique pas tout le tableau clinique du patient. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous avez donc mis en place 2 voies veineuses périphériques, mis une sonde urinaire, rempli le patient de 3000 ml de cristalloïdes, posé une sonde nasogastrique ayant aspiré un liquide d’aspect fécaloïde, mis en place une oxygénothérapie. Le patient est transféré au déchocage. Un bilan biologique est prélevé en urgence. Votre sénior vous rejoint, mais rapidement l’état du patient se dégrade : Ses constantes sont : FC 140/min, TA 70/40 mmHg, FR 30/min, SaO2 90% sous 10 Ld'O2 avec tirage et balancement thoraco-abdominal. La conscience du patient s’altère Glasgow 7, le patient commence à vomir. Quelle est votre prise en charge immédiate ? a. Transfert médicalisé au scanner avec oxygénothérapie 15 L b. Transfert médicalisé en réanimation avant toute manoeuvre de réanimation c. Noradrénaline d. Mettre le patient en position latérale de sécurité e. Intubation orotrachéale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tout d’abord le patient vomit, il faut le mettre en position latérale de sécurité pour éviter qu’il inhale du liquide gastrique malgré la sonde nasogastrique. Ensuite le patient étant devenu très oxygénodépendant et présentant une défaillance neurologique ne lui permettant plus de maintenir une sécurité au niveau de ses voies aériennes, il est temps de l’intuber avant de faire le point sur son état. Cependant une intubation nécessite une sédation qui est potentiellement hypotensive : il faut instaurer la noradrénaline avant l’induction. Enfin, il est licite d’appeler le réanimateur mais un transfert avant une intubation semble inapproprié. Les examens complémentaires ne sont pas non plus une priorité. Pour résumer : 1/ mise en PLS 2/ instauration de la noradrénaline 3/ intubation orotrachéale. Assisté par votre sénior vous avez donc réussi à intuber le patient. Lorsque vous vous êtes exposés, la sonde nasogastrique était dans la glotte. Le patient reste hypotendu, la noradrénaline est débutée. Concernant la physiopathologie du sepsis : a. Le sepsis provient d’une réponse inadaptée de l’hôte face au pathogène b. Les médiateurs inflammatoires sont responsables d’une vasoplégie c. L’hypovolémie relative s’explique par la fuite capillaire et l’hypovolémie vraie par la vasoplégie C'est l'inverse ! d. La confusion est un signe de choc fréquent C'est souvent l'un des signes les plus précoces. e. La réponse immunitaire innée est lente et non spécifique et la réponse adaptative est rapide et spécifique La réponse innée est RAPIDE et non spécifique et la réponse adaptative est LENTE et spécifique. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la pression artérielle moyenne (PAM) : a. Une PAM de 65 mmHg est recommandée lors de la prise en charge hémodynamique des chocs septiques Seuil communément admis d’après plusieurs études, seuil à retenir dans vos dossiers mais à moduler en pratique. b. L’objectif recommandé dans les chocs permet une perfusion optimale de la plupart des organes c. La PAM est plus influencée par la pression artérielle systolique que diastolique Cf formule de l'item D. d. PAM = 2/3 PAD + 1/3 PAS avec PAS la Pression Artérielle Systolique et PAD la Pression Artérielle Diastolique e. Tous les organes n’ont pas besoin de la même PAM, une PAM > 65 mmHg permettrait la perfusion de la plupart des organes. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réanimateurs sont prévenus, les chirurgiens digestifs aussi. Le bilan que vous avez prélevé vous revient : NFS : Hb 9 g/dL, plaquettes 40 G/L, leucocytes 14 G/L dont 90% de PNN. Ionogramme : Na 130 mmol/L, K 5,0 mmol/l, Cl 105 mmol/l, créatinémie 260 μmol/L, urée 16 mmol/L. Bilan hépatique : ASAT 14N, ALAT 12N, GGT 3N, PAL 3N. Hémostase : TP 40%, TCA 1,3. Concernant la CIVD : a. Pour le versant thrombotique, les héparines peuvent améliorer le pronostic Inutile car une fibrinolyse apparaît ensuite. b. Elle conduit à une thrombopénie de consommation c. Il est recommandé de transfuser du plasma frais congelé si TP < 35% d. Il existe une hyperfibrinogénolyse Consommation excessive de fibrinogène dans la CIVD. e. Il existe ici une CIVD certaine CIVD probable mais il manque les D-dimères et un facteur mineur, le fibrinogène. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la défaillance rénale : a. La classification KDIGO classifie en 4 stades l’insuffisance rénale aiguë La classification comporte 3 stades. b. Dans une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle, l’urée est réabsorbée en même temps que le sodium c. Le ionogramme urinaire d’une insuffisance rénale organique montre un natriurèse pauvre (< 20 mmol/L) Le rein pathologique ne peut réabsorber le sel donc il y aura une natriurèse importante. d. La nécrose tubulaire aiguë est la cause la plus fréquente d’insuffisance rénale aiguë organique e. L’insuffisance rénale est organique jusqu'à preuve du contraire Dans le raisonnement face à une insuffisance rénale aiguë, il faudra éliminer une part obstructive, ensuite considérer la part fonctionnelle, d’autant plus qu’il y a une part d’hypovolémie vraie et relative dans le sepsis. Enfin évoquer la part organique si les arguments sont en faveur. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous complétez le bilan par un gaz du sang sous FiO2 80% : pH 7,20 ; pCO2 30 mmHg ; pO2 90 mmHg ; HCO3- 14 mmol/L ; lactates 11 mmol/L. a. On a une acidose métabolique non compensée Non compensé car non normo pH, acidose car consommation de bicarbonates. Devant le trou anionique non augmenté, l’acidose provient probablement de l’hyperlactatémie. b. On a une acidose mixte c. On peut affirmer à 100% qu’il y a une hypoxie Difficile de l’affirmer dans un contexte de possible hyperlactatémie due à la metformine. d. On peut affirmer que le patient ne présente pas d’hypoxémie Le patient malgré une pO2 à 90mmHg a une FiO2 à 80% ce qui fait une PO2/FiO2= 112,5 (une personne sans trouble respiratoire : PO2/FiO2 > 400). Quand on présente des gaz du sang, il est important de pondérer les résultats en disant sous combien d’oxygène ces derniers ont été réalisés. e. L’acidose est un état stimulant pour l’activité des enzymes utilisées par le système immunitaire Au contraire l’acidose n’est pas un état favorable, notamment sur le plan enzymatique.
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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10
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique. Votre examen révèle une contracture abdominale, des orifices herniaires libres, des traces de sang au toucher rectal, BU leuco – nitrites - sang -. Il existe des vomissements marrons. Sur le plan hémodynamique, le patient a les extrémités froides, un pouls filant, des marbrures des extrémités, pas de de turgescence jugulaire ni d’œdème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient est polypnéique avec un discret tirage sus-sternal, quelques crépitants en base droite. Sur le plan neurologique : patient confus sans signes de localisation. Quelle est votre prise en charge initiale ? a. Remplissage par colloïdes Le remplissage recommandé en première intention sont les cristalloïdes. b. Pose de cathéter central pour optimisation du débit de remplissage Dans un premier temps, un remplissage par voie périphérique est possible. Une deuxième voie veineuse doit être mise en place. Le remplissage est tout aussi efficace avec deux voies périphériques de bons calibres. c. Utilisation de la VNI Les deux indications préférentielles de la VNI sont l’OAP et la décompensation de BPCO. Ici ce n’est a priori pas le terrain et il existe manifestement un foyer à droite. De l’oxygénothérapie peut en revanche être administrée. d. Mise en place d’une sonde naso-gastrique Le patient a des vomissements itératifs, il faut pouvoir le soulager rapidement et éviter une inhalation de liquide gastrique pouvant aller dans les voies aériennes. e. Calcul du score de FINE Le score de FINE est un score pronostic des pneumopathies communautaires. Ici une pneumopathie est probable mais n’explique pas tout le tableau clinique du patient. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous avez donc mis en place 2 voies veineuses périphériques, mis une sonde urinaire, rempli le patient de 3000 ml de cristalloïdes, posé une sonde nasogastrique ayant aspiré un liquide d’aspect fécaloïde, mis en place une oxygénothérapie. Le patient est transféré au déchocage. Un bilan biologique est prélevé en urgence. Votre sénior vous rejoint, mais rapidement l’état du patient se dégrade : Ses constantes sont : FC 140/min, TA 70/40 mmHg, FR 30/min, SaO2 90% sous 10 Ld'O2 avec tirage et balancement thoraco-abdominal. La conscience du patient s’altère Glasgow 7, le patient commence à vomir. Quelle est votre prise en charge immédiate ? a. Transfert médicalisé au scanner avec oxygénothérapie 15 L b. Transfert médicalisé en réanimation avant toute manoeuvre de réanimation c. Noradrénaline d. Mettre le patient en position latérale de sécurité e. Intubation orotrachéale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tout d’abord le patient vomit, il faut le mettre en position latérale de sécurité pour éviter qu’il inhale du liquide gastrique malgré la sonde nasogastrique. Ensuite le patient étant devenu très oxygénodépendant et présentant une défaillance neurologique ne lui permettant plus de maintenir une sécurité au niveau de ses voies aériennes, il est temps de l’intuber avant de faire le point sur son état. Cependant une intubation nécessite une sédation qui est potentiellement hypotensive : il faut instaurer la noradrénaline avant l’induction. Enfin, il est licite d’appeler le réanimateur mais un transfert avant une intubation semble inapproprié. Les examens complémentaires ne sont pas non plus une priorité. Pour résumer : 1/ mise en PLS 2/ instauration de la noradrénaline 3/ intubation orotrachéale. Assisté par votre sénior vous avez donc réussi à intuber le patient. Lorsque vous vous êtes exposés, la sonde nasogastrique était dans la glotte. Le patient reste hypotendu, la noradrénaline est débutée. Concernant la physiopathologie du sepsis : a. Le sepsis provient d’une réponse inadaptée de l’hôte face au pathogène b. Les médiateurs inflammatoires sont responsables d’une vasoplégie c. L’hypovolémie relative s’explique par la fuite capillaire et l’hypovolémie vraie par la vasoplégie C'est l'inverse ! d. La confusion est un signe de choc fréquent C'est souvent l'un des signes les plus précoces. e. La réponse immunitaire innée est lente et non spécifique et la réponse adaptative est rapide et spécifique La réponse innée est RAPIDE et non spécifique et la réponse adaptative est LENTE et spécifique. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la pression artérielle moyenne (PAM) : a. Une PAM de 65 mmHg est recommandée lors de la prise en charge hémodynamique des chocs septiques Seuil communément admis d’après plusieurs études, seuil à retenir dans vos dossiers mais à moduler en pratique. b. L’objectif recommandé dans les chocs permet une perfusion optimale de la plupart des organes c. La PAM est plus influencée par la pression artérielle systolique que diastolique Cf formule de l'item D. d. PAM = 2/3 PAD + 1/3 PAS avec PAS la Pression Artérielle Systolique et PAD la Pression Artérielle Diastolique e. Tous les organes n’ont pas besoin de la même PAM, une PAM > 65 mmHg permettrait la perfusion de la plupart des organes. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réanimateurs sont prévenus, les chirurgiens digestifs aussi. Le bilan que vous avez prélevé vous revient : NFS : Hb 9 g/dL, plaquettes 40 G/L, leucocytes 14 G/L dont 90% de PNN. Ionogramme : Na 130 mmol/L, K 5,0 mmol/l, Cl 105 mmol/l, créatinémie 260 μmol/L, urée 16 mmol/L. Bilan hépatique : ASAT 14N, ALAT 12N, GGT 3N, PAL 3N. Hémostase : TP 40%, TCA 1,3. Concernant la CIVD : a. Pour le versant thrombotique, les héparines peuvent améliorer le pronostic Inutile car une fibrinolyse apparaît ensuite. b. Elle conduit à une thrombopénie de consommation c. Il est recommandé de transfuser du plasma frais congelé si TP < 35% d. Il existe une hyperfibrinogénolyse Consommation excessive de fibrinogène dans la CIVD. e. Il existe ici une CIVD certaine CIVD probable mais il manque les D-dimères et un facteur mineur, le fibrinogène. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la défaillance rénale : a. La classification KDIGO classifie en 4 stades l’insuffisance rénale aiguë La classification comporte 3 stades. b. Dans une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle, l’urée est réabsorbée en même temps que le sodium c. Le ionogramme urinaire d’une insuffisance rénale organique montre un natriurèse pauvre (< 20 mmol/L) Le rein pathologique ne peut réabsorber le sel donc il y aura une natriurèse importante. d. La nécrose tubulaire aiguë est la cause la plus fréquente d’insuffisance rénale aiguë organique e. L’insuffisance rénale est organique jusqu'à preuve du contraire Dans le raisonnement face à une insuffisance rénale aiguë, il faudra éliminer une part obstructive, ensuite considérer la part fonctionnelle, d’autant plus qu’il y a une part d’hypovolémie vraie et relative dans le sepsis. Enfin évoquer la part organique si les arguments sont en faveur. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous complétez le bilan par un gaz du sang sous FiO2 80% : pH 7,20 ; pCO2 30 mmHg ; pO2 90 mmHg ; HCO3- 14 mmol/L ; lactates 11 mmol/L. a. On a une acidose métabolique non compensée Non compensé car non normo pH, acidose car consommation de bicarbonates. Devant le trou anionique non augmenté, l’acidose provient probablement de l’hyperlactatémie. b. On a une acidose mixte c. On peut affirmer à 100% qu’il y a une hypoxie Difficile de l’affirmer dans un contexte de possible hyperlactatémie due à la metformine. d. On peut affirmer que le patient ne présente pas d’hypoxémie Le patient malgré une pO2 à 90mmHg a une FiO2 à 80% ce qui fait une PO2/FiO2= 112,5 (une personne sans trouble respiratoire : PO2/FiO2 > 400). Quand on présente des gaz du sang, il est important de pondérer les résultats en disant sous combien d’oxygène ces derniers ont été réalisés. e. L’acidose est un état stimulant pour l’activité des enzymes utilisées par le système immunitaire Au contraire l’acidose n’est pas un état favorable, notamment sur le plan enzymatique. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Concernant le lactate : a. L’hyperlactatémie peut être induite ici par les biguanides Tout à fait, même s'il est probable que ce soit une part qui se surajoute à un sepsis. b. L’insuffisance rénale peut participer à l’hyperlactémie Les lactates sont à élimination rénale. c. L’insuffisance hépatique peut participer à l’hyperlactatémie Métabolisation hépatique des lactates. d. La noradrénaline peut participer à l’hyperlactatémie e. Il faut éliminer en premier lieu un sepsis/choc devant une hyperlactatémie.
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous êtes interne de premier semestre fraîchement diplômé. Première garde aux urgences, vous accueillez votre premier patient. Mr T.G, 75 ans, consulte aux urgences pour douleur abdominale et vomissements. Le patient est connu de l’hôpital et vous consultez son dossier : Antécédents : HTA, dyslipidémie, diabète, hernie inguinale non opérée, diverticulite traitée médicalement il y a un an, une constipation depuis 4 mois. Veuf, autonome à domicile. Traitement habituel : amlodipine, atorvastatine, metformine, macrogol. Les constantes prises par l’infirmière d’accueil sont les suivantes : FC : 130/min, TA 90/45 mmHg, FR 28/min, SaO2 92% en air ambiant, T°= 38,3°. Avant de rentrer voir le patient quels sont les diagnostics à évoquer ? a. Hernie inguinale étranglée b. Infarctus mésentérique c. Syndrome coronarien aigu d. Ulcère gastrique e. Récidive de diverticulite A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tous les diagnostics sont à évoquer, y compris le syndrome coronarien aigu. Les douleur abdominales et vomissements sont possibles dans les SCA inférieurs. Toujours sans voir le patient, comment peut être expliquée la tachycardie ? a. La douleur b. La fièvre c. La déshydratation d. Un saignement e. Une lipothymie vagale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Toutes les réponses sont bonnes hormis la dernière car par définition c’est le système vagal ou parasympathique qui est responsable d’une chute tensionnelle, accompagné fréquemment d’une bradycardie. La déshydratation et le saignement augmentent la fréquence cardiaque afin d’améliorer le débit cardiaque (le but final étant d’améliorer le transport d’O2). Q = VES x FC où Q est le débit et VES le volume d’éjection systolique. Votre examen révèle une contracture abdominale, des orifices herniaires libres, des traces de sang au toucher rectal, BU leuco – nitrites - sang -. Il existe des vomissements marrons. Sur le plan hémodynamique, le patient a les extrémités froides, un pouls filant, des marbrures des extrémités, pas de de turgescence jugulaire ni d’œdème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient est polypnéique avec un discret tirage sus-sternal, quelques crépitants en base droite. Sur le plan neurologique : patient confus sans signes de localisation. Quelle est votre prise en charge initiale ? a. Remplissage par colloïdes Le remplissage recommandé en première intention sont les cristalloïdes. b. Pose de cathéter central pour optimisation du débit de remplissage Dans un premier temps, un remplissage par voie périphérique est possible. Une deuxième voie veineuse doit être mise en place. Le remplissage est tout aussi efficace avec deux voies périphériques de bons calibres. c. Utilisation de la VNI Les deux indications préférentielles de la VNI sont l’OAP et la décompensation de BPCO. Ici ce n’est a priori pas le terrain et il existe manifestement un foyer à droite. De l’oxygénothérapie peut en revanche être administrée. d. Mise en place d’une sonde naso-gastrique Le patient a des vomissements itératifs, il faut pouvoir le soulager rapidement et éviter une inhalation de liquide gastrique pouvant aller dans les voies aériennes. e. Calcul du score de FINE Le score de FINE est un score pronostic des pneumopathies communautaires. Ici une pneumopathie est probable mais n’explique pas tout le tableau clinique du patient. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous avez donc mis en place 2 voies veineuses périphériques, mis une sonde urinaire, rempli le patient de 3000 ml de cristalloïdes, posé une sonde nasogastrique ayant aspiré un liquide d’aspect fécaloïde, mis en place une oxygénothérapie. Le patient est transféré au déchocage. Un bilan biologique est prélevé en urgence. Votre sénior vous rejoint, mais rapidement l’état du patient se dégrade : Ses constantes sont : FC 140/min, TA 70/40 mmHg, FR 30/min, SaO2 90% sous 10 Ld'O2 avec tirage et balancement thoraco-abdominal. La conscience du patient s’altère Glasgow 7, le patient commence à vomir. Quelle est votre prise en charge immédiate ? a. Transfert médicalisé au scanner avec oxygénothérapie 15 L b. Transfert médicalisé en réanimation avant toute manoeuvre de réanimation c. Noradrénaline d. Mettre le patient en position latérale de sécurité e. Intubation orotrachéale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Tout d’abord le patient vomit, il faut le mettre en position latérale de sécurité pour éviter qu’il inhale du liquide gastrique malgré la sonde nasogastrique. Ensuite le patient étant devenu très oxygénodépendant et présentant une défaillance neurologique ne lui permettant plus de maintenir une sécurité au niveau de ses voies aériennes, il est temps de l’intuber avant de faire le point sur son état. Cependant une intubation nécessite une sédation qui est potentiellement hypotensive : il faut instaurer la noradrénaline avant l’induction. Enfin, il est licite d’appeler le réanimateur mais un transfert avant une intubation semble inapproprié. Les examens complémentaires ne sont pas non plus une priorité. Pour résumer : 1/ mise en PLS 2/ instauration de la noradrénaline 3/ intubation orotrachéale. Assisté par votre sénior vous avez donc réussi à intuber le patient. Lorsque vous vous êtes exposés, la sonde nasogastrique était dans la glotte. Le patient reste hypotendu, la noradrénaline est débutée. Concernant la physiopathologie du sepsis : a. Le sepsis provient d’une réponse inadaptée de l’hôte face au pathogène b. Les médiateurs inflammatoires sont responsables d’une vasoplégie c. L’hypovolémie relative s’explique par la fuite capillaire et l’hypovolémie vraie par la vasoplégie C'est l'inverse ! d. La confusion est un signe de choc fréquent C'est souvent l'un des signes les plus précoces. e. La réponse immunitaire innée est lente et non spécifique et la réponse adaptative est rapide et spécifique La réponse innée est RAPIDE et non spécifique et la réponse adaptative est LENTE et spécifique. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la pression artérielle moyenne (PAM) : a. Une PAM de 65 mmHg est recommandée lors de la prise en charge hémodynamique des chocs septiques Seuil communément admis d’après plusieurs études, seuil à retenir dans vos dossiers mais à moduler en pratique. b. L’objectif recommandé dans les chocs permet une perfusion optimale de la plupart des organes c. La PAM est plus influencée par la pression artérielle systolique que diastolique Cf formule de l'item D. d. PAM = 2/3 PAD + 1/3 PAS avec PAS la Pression Artérielle Systolique et PAD la Pression Artérielle Diastolique e. Tous les organes n’ont pas besoin de la même PAM, une PAM > 65 mmHg permettrait la perfusion de la plupart des organes. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réanimateurs sont prévenus, les chirurgiens digestifs aussi. Le bilan que vous avez prélevé vous revient : NFS : Hb 9 g/dL, plaquettes 40 G/L, leucocytes 14 G/L dont 90% de PNN. Ionogramme : Na 130 mmol/L, K 5,0 mmol/l, Cl 105 mmol/l, créatinémie 260 μmol/L, urée 16 mmol/L. Bilan hépatique : ASAT 14N, ALAT 12N, GGT 3N, PAL 3N. Hémostase : TP 40%, TCA 1,3. Concernant la CIVD : a. Pour le versant thrombotique, les héparines peuvent améliorer le pronostic Inutile car une fibrinolyse apparaît ensuite. b. Elle conduit à une thrombopénie de consommation c. Il est recommandé de transfuser du plasma frais congelé si TP < 35% d. Il existe une hyperfibrinogénolyse Consommation excessive de fibrinogène dans la CIVD. e. Il existe ici une CIVD certaine CIVD probable mais il manque les D-dimères et un facteur mineur, le fibrinogène. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant la défaillance rénale : a. La classification KDIGO classifie en 4 stades l’insuffisance rénale aiguë La classification comporte 3 stades. b. Dans une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle, l’urée est réabsorbée en même temps que le sodium c. Le ionogramme urinaire d’une insuffisance rénale organique montre un natriurèse pauvre (< 20 mmol/L) Le rein pathologique ne peut réabsorber le sel donc il y aura une natriurèse importante. d. La nécrose tubulaire aiguë est la cause la plus fréquente d’insuffisance rénale aiguë organique e. L’insuffisance rénale est organique jusqu'à preuve du contraire Dans le raisonnement face à une insuffisance rénale aiguë, il faudra éliminer une part obstructive, ensuite considérer la part fonctionnelle, d’autant plus qu’il y a une part d’hypovolémie vraie et relative dans le sepsis. Enfin évoquer la part organique si les arguments sont en faveur. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous complétez le bilan par un gaz du sang sous FiO2 80% : pH 7,20 ; pCO2 30 mmHg ; pO2 90 mmHg ; HCO3- 14 mmol/L ; lactates 11 mmol/L. a. On a une acidose métabolique non compensée Non compensé car non normo pH, acidose car consommation de bicarbonates. Devant le trou anionique non augmenté, l’acidose provient probablement de l’hyperlactatémie. b. On a une acidose mixte c. On peut affirmer à 100% qu’il y a une hypoxie Difficile de l’affirmer dans un contexte de possible hyperlactatémie due à la metformine. d. On peut affirmer que le patient ne présente pas d’hypoxémie Le patient malgré une pO2 à 90mmHg a une FiO2 à 80% ce qui fait une PO2/FiO2= 112,5 (une personne sans trouble respiratoire : PO2/FiO2 > 400). Quand on présente des gaz du sang, il est important de pondérer les résultats en disant sous combien d’oxygène ces derniers ont été réalisés. e. L’acidose est un état stimulant pour l’activité des enzymes utilisées par le système immunitaire Au contraire l’acidose n’est pas un état favorable, notamment sur le plan enzymatique. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Concernant le lactate : a. L’hyperlactatémie peut être induite ici par les biguanides Tout à fait, même s'il est probable que ce soit une part qui se surajoute à un sepsis. b. L’insuffisance rénale peut participer à l’hyperlactémie Les lactates sont à élimination rénale. c. L’insuffisance hépatique peut participer à l’hyperlactatémie Métabolisation hépatique des lactates. d. La noradrénaline peut participer à l’hyperlactatémie e. Il faut éliminer en premier lieu un sepsis/choc devant une hyperlactatémie. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Votre patient est toujours sous noradrénaline, le remplissage ayant été considéré comme optimal. Avec les éléments cliniques et paracliniques que vous avez, peut-on parler de choc septique ? a. Non, il manque le calcul du SOFA SOFA : N’est pas un score DIAGNOSTIC mais PRONOSTIC. Permet d’identifier les patients à risque de présenter un sepsis en partant du concept de dysfonction d’organe (cf les items). Sensé être plus performant que le SIRS (en pratique courbes ROC semblable). Corrélé au séjour prolongé en réanimation et à la mortalité en réanimation. Un mot du Quick SOFA : 3 items : FC, FR, TA. Permet de suspecter le sepsis chez les patients aux urgences ou dans les services, on calcule ensuite le SOFA. Toujours pas un score diagnostic. b. Non, le choc hémorragique n’a pas été éliminé Contexte non en faveur d'un choc hémorragique. c. D’après la définition, oui car il a reçu un remplissage optimal et a des lactates > 4 mmol Lactates > 2 mmol/L dans la nouvelle définition du choc. Lactates > 4 mmol/L vient de l’ancienne définition du choc. d. Oui ,car le patient a reçu un remplissage optimal et a des lactates > 2 mmol/L Oui par définition, choc septique = remplissage adéquat ET lactates > 2 mmol/L. e. Oui car il possède les critères de SRIS et de sepsis sévère SRIS et sepsis sévère à oublier, SRIS car très sensible et trop peu spécifique, sepsis sévère car confusiogène.
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous prenez en charge en urgence Madame S, âgée de 37 ans, amenée par les pompiers pour céphalées évoluant depuis 3h. Dans ses antécédents, on note un diabète insulino-dépendant depuis l’enfance traité par insuline lente et rapide et deux accouchements par voie basse sans particularité. D’après son mari la patiente se plaint de céphalées non calmées par la prise de paracétamol, apparues brutalement vers 14h15 alors qu’elle tentait de déplacer un meuble lourd. Il a décidé d’appeler les pompiers devant l’apparition de propos incohérents inhabituels et de vomissements chez sa femme. Les paramètres vitaux sont les suivants : PA= 159/95 FC= 102/min SaO2= 97% en air ambiant FR= 21/min T= 37.2°C L’HGT est à 7.1 mmol/l A votre entrée dans le box, Madame S ouvre les yeux à l’appel de son nom et bouge spontanément les 4 membres. Elle sait que nous sommes en 2018 mais ne se souvient plus du mois. L’examen neurologique retrouve des céphalées intenses associées à une phono photophobie. La nuque est raide sans signes de Kernig ni Brudzinski. La patiente présente un nouvel épisode de vomissement devant vous. L’examen cutané est sans particularité. L’auscultation cardiopulmonaire est normale. Quel(s) examen(s) paraclinique(s) réalisez-vous en première intention ? a. un scanner et angioscanner cérébral b. un electro encephalogramme c. une IRM cérébrale d. une ponction lombaire e. des hémocultures
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La patiente présente un tableau de céphalée brutale (heure précise 14h15) associée à une confusion. Votre hypothèse principale est celle d'une hémorragie méningée qu'il faut éliminer par un scanner sans et avec injection de produit de contraste (visualisation d'un éventuel anévrysme).
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures).
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse. Malgré les traitements mis en place, persiste un état d’hypotension avec des douleurs abdominales. Que faites-vous ? a. Adrénaline à la Seringue Electrique (IVSE) b. Adrénaline en intraveineux direct c. 2ème dose d’adrénaline intramusculaire d. Ajout de Noradrénaline e. Ajout de Dobutamine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut répéter la dose d’adrénaline intramusculaire avant de débuter IVSE en cas de persistance des signes d’anaphylaxie. L’intraveineux direct n’a d’intérêt qu’en cas d’arrêt cardio respiratoire ou de phase pré-arrêt. La Noradrénaline ou la Dobutamine n’ont pas d’intérêt.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse. Malgré les traitements mis en place, persiste un état d’hypotension avec des douleurs abdominales. Que faites-vous ? a. Adrénaline à la Seringue Electrique (IVSE) b. Adrénaline en intraveineux direct c. 2ème dose d’adrénaline intramusculaire d. Ajout de Noradrénaline e. Ajout de Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut répéter la dose d’adrénaline intramusculaire avant de débuter IVSE en cas de persistance des signes d’anaphylaxie. L’intraveineux direct n’a d’intérêt qu’en cas d’arrêt cardio respiratoire ou de phase pré-arrêt. La Noradrénaline ou la Dobutamine n’ont pas d’intérêt. Les traitements ont permis de stabiliser la patiente, vous la ramenez aux urgences, quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez-vous ? a. Tryptase à 30 minutes b. Tryptase à 24 heures ou lors du bilan allergologique c. Histamine d. ECG e. Echographie cardiaque
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le Tryptase au pic (30min) et à 24 heures ou lors du bilan allergologique sont utiles au diagnostic positif mais aussi différentiel (mastocytose). L’ECG semble logique chez cette patiente qui a reçu deux doses d’adrénaline. L’Histamine n’est plus conseillée sur les réactions allergiques. L’échographie cardiaque n’a pas d’intérêt dans ce contexte.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse. Malgré les traitements mis en place, persiste un état d’hypotension avec des douleurs abdominales. Que faites-vous ? a. Adrénaline à la Seringue Electrique (IVSE) b. Adrénaline en intraveineux direct c. 2ème dose d’adrénaline intramusculaire d. Ajout de Noradrénaline e. Ajout de Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut répéter la dose d’adrénaline intramusculaire avant de débuter IVSE en cas de persistance des signes d’anaphylaxie. L’intraveineux direct n’a d’intérêt qu’en cas d’arrêt cardio respiratoire ou de phase pré-arrêt. La Noradrénaline ou la Dobutamine n’ont pas d’intérêt. Les traitements ont permis de stabiliser la patiente, vous la ramenez aux urgences, quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez-vous ? a. Tryptase à 30 minutes b. Tryptase à 24 heures ou lors du bilan allergologique c. Histamine d. ECG e. Echographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le Tryptase au pic (30min) et à 24 heures ou lors du bilan allergologique sont utiles au diagnostic positif mais aussi différentiel (mastocytose). L’ECG semble logique chez cette patiente qui a reçu deux doses d’adrénaline. L’Histamine n’est plus conseillée sur les réactions allergiques. L’échographie cardiaque n’a pas d’intérêt dans ce contexte. La patiente peut sortir le lendemain après une surveillance scopée de 24 heures. Vous organisez sa sortie, que devez-vous lui remettre concernant son choc anaphylactique ? a. Une ampoule d’adrénaline à avaler en cas de nouvelle anaphylaxie b. Une seringue auto injectable d’adrénaline c. Des corticoides à prendre per os en cas de nouvelle anaphylaxie d. Un rendez vous avec un allergologue e. Des antihistaminiques
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Â la sortie prévoir : Fiche de conseils Trousse d’urgence Adrénaline auto injectable adaptée au poids β2‐mimétiques Compte rendu écrit Conseils d’éviction de l’allergène Consultation allergologue.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse. Malgré les traitements mis en place, persiste un état d’hypotension avec des douleurs abdominales. Que faites-vous ? a. Adrénaline à la Seringue Electrique (IVSE) b. Adrénaline en intraveineux direct c. 2ème dose d’adrénaline intramusculaire d. Ajout de Noradrénaline e. Ajout de Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut répéter la dose d’adrénaline intramusculaire avant de débuter IVSE en cas de persistance des signes d’anaphylaxie. L’intraveineux direct n’a d’intérêt qu’en cas d’arrêt cardio respiratoire ou de phase pré-arrêt. La Noradrénaline ou la Dobutamine n’ont pas d’intérêt. Les traitements ont permis de stabiliser la patiente, vous la ramenez aux urgences, quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez-vous ? a. Tryptase à 30 minutes b. Tryptase à 24 heures ou lors du bilan allergologique c. Histamine d. ECG e. Echographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le Tryptase au pic (30min) et à 24 heures ou lors du bilan allergologique sont utiles au diagnostic positif mais aussi différentiel (mastocytose). L’ECG semble logique chez cette patiente qui a reçu deux doses d’adrénaline. L’Histamine n’est plus conseillée sur les réactions allergiques. L’échographie cardiaque n’a pas d’intérêt dans ce contexte. La patiente peut sortir le lendemain après une surveillance scopée de 24 heures. Vous organisez sa sortie, que devez-vous lui remettre concernant son choc anaphylactique ? a. Une ampoule d’adrénaline à avaler en cas de nouvelle anaphylaxie b. Une seringue auto injectable d’adrénaline c. Des corticoides à prendre per os en cas de nouvelle anaphylaxie d. Un rendez vous avec un allergologue e. Des antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Â la sortie prévoir : Fiche de conseils Trousse d’urgence Adrénaline auto injectable adaptée au poids β2‐mimétiques Compte rendu écrit Conseils d’éviction de l’allergène Consultation allergologue. Finalement après 24h de surveillance, alors que vous vous apprêtiez à faire sortir la patiente, elle présente de la fièvre à 39°C accompagnée de diarrhées profuses glairo-sanglantes et de l’intensification des douleurs abdominales. Concernant la diarrhée, quelle(s) proposition(s) est (sont) exacte(s) ? a. Le mécanisme incriminé est entéroinvasif b. Les lésions de destruction muqueuse siègent généralement au niveau du colon c. Staphylococcus aureus est une des causes de syndrome dysentérique d. La diarrhée peut être qualifiée de nosocomiale e. La fièvre est constante
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. S. aureus est pourvoyeur de syndrome cholériforme. La diarrhée est communautaire car survenant à moins de 48h d’hospitalisation. L’amoebose donne généralement un syndrome dysentérique sans fièvre, donc la fièvre est inconstante.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse. Malgré les traitements mis en place, persiste un état d’hypotension avec des douleurs abdominales. Que faites-vous ? a. Adrénaline à la Seringue Electrique (IVSE) b. Adrénaline en intraveineux direct c. 2ème dose d’adrénaline intramusculaire d. Ajout de Noradrénaline e. Ajout de Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut répéter la dose d’adrénaline intramusculaire avant de débuter IVSE en cas de persistance des signes d’anaphylaxie. L’intraveineux direct n’a d’intérêt qu’en cas d’arrêt cardio respiratoire ou de phase pré-arrêt. La Noradrénaline ou la Dobutamine n’ont pas d’intérêt. Les traitements ont permis de stabiliser la patiente, vous la ramenez aux urgences, quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez-vous ? a. Tryptase à 30 minutes b. Tryptase à 24 heures ou lors du bilan allergologique c. Histamine d. ECG e. Echographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le Tryptase au pic (30min) et à 24 heures ou lors du bilan allergologique sont utiles au diagnostic positif mais aussi différentiel (mastocytose). L’ECG semble logique chez cette patiente qui a reçu deux doses d’adrénaline. L’Histamine n’est plus conseillée sur les réactions allergiques. L’échographie cardiaque n’a pas d’intérêt dans ce contexte. La patiente peut sortir le lendemain après une surveillance scopée de 24 heures. Vous organisez sa sortie, que devez-vous lui remettre concernant son choc anaphylactique ? a. Une ampoule d’adrénaline à avaler en cas de nouvelle anaphylaxie b. Une seringue auto injectable d’adrénaline c. Des corticoides à prendre per os en cas de nouvelle anaphylaxie d. Un rendez vous avec un allergologue e. Des antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Â la sortie prévoir : Fiche de conseils Trousse d’urgence Adrénaline auto injectable adaptée au poids β2‐mimétiques Compte rendu écrit Conseils d’éviction de l’allergène Consultation allergologue. Finalement après 24h de surveillance, alors que vous vous apprêtiez à faire sortir la patiente, elle présente de la fièvre à 39°C accompagnée de diarrhées profuses glairo-sanglantes et de l’intensification des douleurs abdominales. Concernant la diarrhée, quelle(s) proposition(s) est (sont) exacte(s) ? a. Le mécanisme incriminé est entéroinvasif b. Les lésions de destruction muqueuse siègent généralement au niveau du colon c. Staphylococcus aureus est une des causes de syndrome dysentérique d. La diarrhée peut être qualifiée de nosocomiale e. La fièvre est constante A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. S. aureus est pourvoyeur de syndrome cholériforme. La diarrhée est communautaire car survenant à moins de 48h d’hospitalisation. L’amoebose donne généralement un syndrome dysentérique sans fièvre, donc la fièvre est inconstante. Vous suspectez une toxi-infection alimentaire. Quel(s) pathogène(s) peuvent-être en cause ? a. Staphylococcus aureus b. Salmonella enterica c. Bacillus cereus d. E. coli entérohémorragique e. Klebsiella oxytoca
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. S. aureus et B. cereus donnent des syndromes cholériformes. Klebsiella oxytoca ne donne pas de TIAC.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse. Malgré les traitements mis en place, persiste un état d’hypotension avec des douleurs abdominales. Que faites-vous ? a. Adrénaline à la Seringue Electrique (IVSE) b. Adrénaline en intraveineux direct c. 2ème dose d’adrénaline intramusculaire d. Ajout de Noradrénaline e. Ajout de Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut répéter la dose d’adrénaline intramusculaire avant de débuter IVSE en cas de persistance des signes d’anaphylaxie. L’intraveineux direct n’a d’intérêt qu’en cas d’arrêt cardio respiratoire ou de phase pré-arrêt. La Noradrénaline ou la Dobutamine n’ont pas d’intérêt. Les traitements ont permis de stabiliser la patiente, vous la ramenez aux urgences, quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez-vous ? a. Tryptase à 30 minutes b. Tryptase à 24 heures ou lors du bilan allergologique c. Histamine d. ECG e. Echographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le Tryptase au pic (30min) et à 24 heures ou lors du bilan allergologique sont utiles au diagnostic positif mais aussi différentiel (mastocytose). L’ECG semble logique chez cette patiente qui a reçu deux doses d’adrénaline. L’Histamine n’est plus conseillée sur les réactions allergiques. L’échographie cardiaque n’a pas d’intérêt dans ce contexte. La patiente peut sortir le lendemain après une surveillance scopée de 24 heures. Vous organisez sa sortie, que devez-vous lui remettre concernant son choc anaphylactique ? a. Une ampoule d’adrénaline à avaler en cas de nouvelle anaphylaxie b. Une seringue auto injectable d’adrénaline c. Des corticoides à prendre per os en cas de nouvelle anaphylaxie d. Un rendez vous avec un allergologue e. Des antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Â la sortie prévoir : Fiche de conseils Trousse d’urgence Adrénaline auto injectable adaptée au poids β2‐mimétiques Compte rendu écrit Conseils d’éviction de l’allergène Consultation allergologue. Finalement après 24h de surveillance, alors que vous vous apprêtiez à faire sortir la patiente, elle présente de la fièvre à 39°C accompagnée de diarrhées profuses glairo-sanglantes et de l’intensification des douleurs abdominales. Concernant la diarrhée, quelle(s) proposition(s) est (sont) exacte(s) ? a. Le mécanisme incriminé est entéroinvasif b. Les lésions de destruction muqueuse siègent généralement au niveau du colon c. Staphylococcus aureus est une des causes de syndrome dysentérique d. La diarrhée peut être qualifiée de nosocomiale e. La fièvre est constante A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. S. aureus est pourvoyeur de syndrome cholériforme. La diarrhée est communautaire car survenant à moins de 48h d’hospitalisation. L’amoebose donne généralement un syndrome dysentérique sans fièvre, donc la fièvre est inconstante. Vous suspectez une toxi-infection alimentaire. Quel(s) pathogène(s) peuvent-être en cause ? a. Staphylococcus aureus b. Salmonella enterica c. Bacillus cereus d. E. coli entérohémorragique e. Klebsiella oxytoca A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. S. aureus et B. cereus donnent des syndromes cholériformes. Klebsiella oxytoca ne donne pas de TIAC. Quels examens complémentaires faites-vous ? a. Hémocultures b. Coproculture c. ECBU d. Sérologie amibienne si retour de voyage en zone d’endémie e. Aucun des examens cités
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La sérologie amibienne est utile pour le diagnostic des abcès amibiens du foie mais pas pour les amoeboses digestives. La patiente est déjà hospitalisée et présente de la fièvre à 39°C : il est donc licite de lui proposer des hémocultures. De plus, il existe une forte suspicion de toxi-infection alimentaire, donc une coproculture est requise pour diagnostiquer le pathogène en cause.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse. Malgré les traitements mis en place, persiste un état d’hypotension avec des douleurs abdominales. Que faites-vous ? a. Adrénaline à la Seringue Electrique (IVSE) b. Adrénaline en intraveineux direct c. 2ème dose d’adrénaline intramusculaire d. Ajout de Noradrénaline e. Ajout de Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut répéter la dose d’adrénaline intramusculaire avant de débuter IVSE en cas de persistance des signes d’anaphylaxie. L’intraveineux direct n’a d’intérêt qu’en cas d’arrêt cardio respiratoire ou de phase pré-arrêt. La Noradrénaline ou la Dobutamine n’ont pas d’intérêt. Les traitements ont permis de stabiliser la patiente, vous la ramenez aux urgences, quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez-vous ? a. Tryptase à 30 minutes b. Tryptase à 24 heures ou lors du bilan allergologique c. Histamine d. ECG e. Echographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le Tryptase au pic (30min) et à 24 heures ou lors du bilan allergologique sont utiles au diagnostic positif mais aussi différentiel (mastocytose). L’ECG semble logique chez cette patiente qui a reçu deux doses d’adrénaline. L’Histamine n’est plus conseillée sur les réactions allergiques. L’échographie cardiaque n’a pas d’intérêt dans ce contexte. La patiente peut sortir le lendemain après une surveillance scopée de 24 heures. Vous organisez sa sortie, que devez-vous lui remettre concernant son choc anaphylactique ? a. Une ampoule d’adrénaline à avaler en cas de nouvelle anaphylaxie b. Une seringue auto injectable d’adrénaline c. Des corticoides à prendre per os en cas de nouvelle anaphylaxie d. Un rendez vous avec un allergologue e. Des antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Â la sortie prévoir : Fiche de conseils Trousse d’urgence Adrénaline auto injectable adaptée au poids β2‐mimétiques Compte rendu écrit Conseils d’éviction de l’allergène Consultation allergologue. Finalement après 24h de surveillance, alors que vous vous apprêtiez à faire sortir la patiente, elle présente de la fièvre à 39°C accompagnée de diarrhées profuses glairo-sanglantes et de l’intensification des douleurs abdominales. Concernant la diarrhée, quelle(s) proposition(s) est (sont) exacte(s) ? a. Le mécanisme incriminé est entéroinvasif b. Les lésions de destruction muqueuse siègent généralement au niveau du colon c. Staphylococcus aureus est une des causes de syndrome dysentérique d. La diarrhée peut être qualifiée de nosocomiale e. La fièvre est constante A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. S. aureus est pourvoyeur de syndrome cholériforme. La diarrhée est communautaire car survenant à moins de 48h d’hospitalisation. L’amoebose donne généralement un syndrome dysentérique sans fièvre, donc la fièvre est inconstante. Vous suspectez une toxi-infection alimentaire. Quel(s) pathogène(s) peuvent-être en cause ? a. Staphylococcus aureus b. Salmonella enterica c. Bacillus cereus d. E. coli entérohémorragique e. Klebsiella oxytoca A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. S. aureus et B. cereus donnent des syndromes cholériformes. Klebsiella oxytoca ne donne pas de TIAC. Quels examens complémentaires faites-vous ? a. Hémocultures b. Coproculture c. ECBU d. Sérologie amibienne si retour de voyage en zone d’endémie e. Aucun des examens cités A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La sérologie amibienne est utile pour le diagnostic des abcès amibiens du foie mais pas pour les amoeboses digestives. La patiente est déjà hospitalisée et présente de la fièvre à 39°C : il est donc licite de lui proposer des hémocultures. De plus, il existe une forte suspicion de toxi-infection alimentaire, donc une coproculture est requise pour diagnostiquer le pathogène en cause. Vous gardez la patiente hospitalisée. Son compagnon n’a pas pu venir lui rendre visite car il est cloué au lit avec la même symptomatologie. Le lendemain, vous recevez le résultat des hémocultures : Salmonella enterica. a. Une déclaration à l’ARS est obligatoire b. Mise en place d’un isolement contact c. Antibiothérapie par C3G d. Prescription de racecadotril e. Réhydratation par voie intraveineuse
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La déclaration des TIAC est obligatoire : plus de 2 cas, dès la suspicion. La prescription d’anti-sécrétoires est autorisée, pas celle des bloqueurs de transit (loperamide). L’isolement contact est requis en cas de diarrhée, a fortiori à salmonelle. Une antibiothérapie par fluoroquinolones ou azithromycine peut se concevoir en probabiliste l’absence de signes de gravité. Ici, la diarrhée est documentée donc antibiothérapie par C3G en attendant l’antibiogramme et la vérification de l’absence de résistances.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse. Malgré les traitements mis en place, persiste un état d’hypotension avec des douleurs abdominales. Que faites-vous ? a. Adrénaline à la Seringue Electrique (IVSE) b. Adrénaline en intraveineux direct c. 2ème dose d’adrénaline intramusculaire d. Ajout de Noradrénaline e. Ajout de Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut répéter la dose d’adrénaline intramusculaire avant de débuter IVSE en cas de persistance des signes d’anaphylaxie. L’intraveineux direct n’a d’intérêt qu’en cas d’arrêt cardio respiratoire ou de phase pré-arrêt. La Noradrénaline ou la Dobutamine n’ont pas d’intérêt. Les traitements ont permis de stabiliser la patiente, vous la ramenez aux urgences, quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez-vous ? a. Tryptase à 30 minutes b. Tryptase à 24 heures ou lors du bilan allergologique c. Histamine d. ECG e. Echographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le Tryptase au pic (30min) et à 24 heures ou lors du bilan allergologique sont utiles au diagnostic positif mais aussi différentiel (mastocytose). L’ECG semble logique chez cette patiente qui a reçu deux doses d’adrénaline. L’Histamine n’est plus conseillée sur les réactions allergiques. L’échographie cardiaque n’a pas d’intérêt dans ce contexte. La patiente peut sortir le lendemain après une surveillance scopée de 24 heures. Vous organisez sa sortie, que devez-vous lui remettre concernant son choc anaphylactique ? a. Une ampoule d’adrénaline à avaler en cas de nouvelle anaphylaxie b. Une seringue auto injectable d’adrénaline c. Des corticoides à prendre per os en cas de nouvelle anaphylaxie d. Un rendez vous avec un allergologue e. Des antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Â la sortie prévoir : Fiche de conseils Trousse d’urgence Adrénaline auto injectable adaptée au poids β2‐mimétiques Compte rendu écrit Conseils d’éviction de l’allergène Consultation allergologue. Finalement après 24h de surveillance, alors que vous vous apprêtiez à faire sortir la patiente, elle présente de la fièvre à 39°C accompagnée de diarrhées profuses glairo-sanglantes et de l’intensification des douleurs abdominales. Concernant la diarrhée, quelle(s) proposition(s) est (sont) exacte(s) ? a. Le mécanisme incriminé est entéroinvasif b. Les lésions de destruction muqueuse siègent généralement au niveau du colon c. Staphylococcus aureus est une des causes de syndrome dysentérique d. La diarrhée peut être qualifiée de nosocomiale e. La fièvre est constante A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. S. aureus est pourvoyeur de syndrome cholériforme. La diarrhée est communautaire car survenant à moins de 48h d’hospitalisation. L’amoebose donne généralement un syndrome dysentérique sans fièvre, donc la fièvre est inconstante. Vous suspectez une toxi-infection alimentaire. Quel(s) pathogène(s) peuvent-être en cause ? a. Staphylococcus aureus b. Salmonella enterica c. Bacillus cereus d. E. coli entérohémorragique e. Klebsiella oxytoca A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. S. aureus et B. cereus donnent des syndromes cholériformes. Klebsiella oxytoca ne donne pas de TIAC. Quels examens complémentaires faites-vous ? a. Hémocultures b. Coproculture c. ECBU d. Sérologie amibienne si retour de voyage en zone d’endémie e. Aucun des examens cités A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La sérologie amibienne est utile pour le diagnostic des abcès amibiens du foie mais pas pour les amoeboses digestives. La patiente est déjà hospitalisée et présente de la fièvre à 39°C : il est donc licite de lui proposer des hémocultures. De plus, il existe une forte suspicion de toxi-infection alimentaire, donc une coproculture est requise pour diagnostiquer le pathogène en cause. Vous gardez la patiente hospitalisée. Son compagnon n’a pas pu venir lui rendre visite car il est cloué au lit avec la même symptomatologie. Le lendemain, vous recevez le résultat des hémocultures : Salmonella enterica. a. Une déclaration à l’ARS est obligatoire b. Mise en place d’un isolement contact c. Antibiothérapie par C3G d. Prescription de racecadotril e. Réhydratation par voie intraveineuse A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La déclaration des TIAC est obligatoire : plus de 2 cas, dès la suspicion. La prescription d’anti-sécrétoires est autorisée, pas celle des bloqueurs de transit (loperamide). L’isolement contact est requis en cas de diarrhée, a fortiori à salmonelle. Une antibiothérapie par fluoroquinolones ou azithromycine peut se concevoir en probabiliste l’absence de signes de gravité. Ici, la diarrhée est documentée donc antibiothérapie par C3G en attendant l’antibiogramme et la vérification de l’absence de résistances. Vous apprenez que 5 personnes sur les 25 ayant mangé dans le restaurant chinois ce midi-là ont fait une salmonellose. Quel indicateur vous semble pertinent d’utiliser pour décrire la situation ? a. La proportion de personnes diagnostiquées avec une diarrhée parmi l’ensemble des personnes dont le diagnostic de salmonellose est certain b. La proportion de personnes non diagnostiquées avec une diarrhée qui font réellement une salmonellose c. Le nombre de personnes atteintes de salmonellose dans la population à un moment donné d. Le nombre de nouveaux cas de salmonellose dans la population qui a fréquenté le restaurant chinois pendant l’année e. Le nombre de nouveaux cas de salmonellose rapporté au nombre de personnes qui ont fréquenté le restaurant le même jour que la patiente
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. La définition attendue est celle du taux d’attaque.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes le médecin régulateur du SAMU 86. Vous recevez un appel d’une patiente de 38 ans, allergique connue aux arachides, qui lors d’un déjeuner au restaurant chinois pense avoir ingéré par inadvertance un gâteau en contenant. Elle sent sa langue gonflée, ne se sent pas bien. Parmi ces affirmations sur l’anaphylaxie, lesquelles sont exactes ? a. L’anaphylaxie est un diagnostic clinique b. Les manifestations cutanéomuqueuses isolés sont une anaphylaxie c. Le diagnostic nécessite un dosage d’histamine et tryptase d. Plus les symptômes sont précoces plus l’anaphylaxie est grave e. L’anaphylaxie peut se manifester par un ACR inaugural A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les réactions anaphylactiques les plus graves apparaissent dans la première heure, les manifestations cliniques peuvent être très variées, mais une atteinte cutanée isolée n’en fait pas partie. Selon les critères de Sampson quelle(s) situation(s) clinique(s), si d’apparition brutale, sont évocatrices d’anaphylaxie ? a. Installation aigue d’une atteinte cutanée et atteinte respiratoire b. Installation aigue d’une atteinte cutanée et hypotension artérielle c. Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu d. Association d’une atteinte respiratoire et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène e. Association d’une atteinte cutanéomuqueuse et de signes gastro-intestinaux après exposition à un allergène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Critères de Sampson. Une anaphylaxie est probable quand l’une de ces trois situations cliniques apparaît brutalement : 1/ Installation aiguë (minutes à quelques heures) d’une atteinte cutanéomuqueuse de type urticarienne ET au moins un des éléments suivants : Atteinte respiratoire Hypotension artérielle ou signe de mauvaise perfusion d’organes 2/ Au moins deux des éléments suivants, apparaissant rapidement après exposition à un probable allergène pour ce patient (minutes à quelques heures) : - Atteinte cutanéomuqueuse - Atteinte respiratoire - Hypotension artérielle ou signes de mauvaise perfusion d’organes - Signes gastro‑intestinaux persistants (douleurs abdominales, vomissements, etc.) 3/ Hypotension artérielle après exposition à un allergène connu pour ce patient (minutes à quelques heures). Devant l’intensité de la réaction anaphylactique et les ATCD d’œdème de Quincke vous déclenchez une équipe SMUR. A l’arrivée de cette dernière, la patiente est très rouge, avec une gène respiratoire importante et des douleurs abdominales très intenses. Les constantes sont les suivantes : Tension Artérielle à 80/45 mmhg, Fréquence cardiaque 130 battements par minute, Saturation à 85%. Parmi les actions suivantes, laquelle doit être faite la 1ère ? a. L'oxygène b. La voie veineuse périphérique c. L'adrénaline d. Les corticoïdes e. Les antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’adrénaline est LE traitement de l’anaphylaxie, et doit être administré le plus rapidement possible. Le temps que vous examiniez la patiente, votre infirmière l’a perfusée. Comment administrez vous l’adrénaline ? a. En sous cutané b. En Aérosol c. En intra musculaire d. En intra veineux e. En intra trachéal A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La voie intramusculaire doit être utilisée en première intention. La voie intraveineuse est dangereuse, entrainant des à-coups tensionnels, ses indications sont limitées, la disponibilité de l’adrénaline en sous cutanée est aléatoire. Quel(s) traitement(s) adjuvant(s) devez vous mettre en place en plus de l’adrénaline ? a. Remplissage vasculaire par colloïdes b. Remplissage vasculaire par cristalloïdes c. Corticoïdes d. Antihistaminique e. Aérosol de corticoïdes A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les solutés colloïdes sont allergisants, et contre-indiqués en cas d’anaphylaxie. Les corticoïdes et anti histaminiques font partie des traitements adjuvants systématiques. En cas d’atteinte respiratoire, on peut associer des aérosols d’adrénaline si atteinte haute, ou des aérosols de bêtamimétique si atteinte respiratoire basse. Malgré les traitements mis en place, persiste un état d’hypotension avec des douleurs abdominales. Que faites-vous ? a. Adrénaline à la Seringue Electrique (IVSE) b. Adrénaline en intraveineux direct c. 2ème dose d’adrénaline intramusculaire d. Ajout de Noradrénaline e. Ajout de Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut répéter la dose d’adrénaline intramusculaire avant de débuter IVSE en cas de persistance des signes d’anaphylaxie. L’intraveineux direct n’a d’intérêt qu’en cas d’arrêt cardio respiratoire ou de phase pré-arrêt. La Noradrénaline ou la Dobutamine n’ont pas d’intérêt. Les traitements ont permis de stabiliser la patiente, vous la ramenez aux urgences, quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez-vous ? a. Tryptase à 30 minutes b. Tryptase à 24 heures ou lors du bilan allergologique c. Histamine d. ECG e. Echographie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le Tryptase au pic (30min) et à 24 heures ou lors du bilan allergologique sont utiles au diagnostic positif mais aussi différentiel (mastocytose). L’ECG semble logique chez cette patiente qui a reçu deux doses d’adrénaline. L’Histamine n’est plus conseillée sur les réactions allergiques. L’échographie cardiaque n’a pas d’intérêt dans ce contexte. La patiente peut sortir le lendemain après une surveillance scopée de 24 heures. Vous organisez sa sortie, que devez-vous lui remettre concernant son choc anaphylactique ? a. Une ampoule d’adrénaline à avaler en cas de nouvelle anaphylaxie b. Une seringue auto injectable d’adrénaline c. Des corticoides à prendre per os en cas de nouvelle anaphylaxie d. Un rendez vous avec un allergologue e. Des antihistaminiques A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Â la sortie prévoir : Fiche de conseils Trousse d’urgence Adrénaline auto injectable adaptée au poids β2‐mimétiques Compte rendu écrit Conseils d’éviction de l’allergène Consultation allergologue. Finalement après 24h de surveillance, alors que vous vous apprêtiez à faire sortir la patiente, elle présente de la fièvre à 39°C accompagnée de diarrhées profuses glairo-sanglantes et de l’intensification des douleurs abdominales. Concernant la diarrhée, quelle(s) proposition(s) est (sont) exacte(s) ? a. Le mécanisme incriminé est entéroinvasif b. Les lésions de destruction muqueuse siègent généralement au niveau du colon c. Staphylococcus aureus est une des causes de syndrome dysentérique d. La diarrhée peut être qualifiée de nosocomiale e. La fièvre est constante A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. S. aureus est pourvoyeur de syndrome cholériforme. La diarrhée est communautaire car survenant à moins de 48h d’hospitalisation. L’amoebose donne généralement un syndrome dysentérique sans fièvre, donc la fièvre est inconstante. Vous suspectez une toxi-infection alimentaire. Quel(s) pathogène(s) peuvent-être en cause ? a. Staphylococcus aureus b. Salmonella enterica c. Bacillus cereus d. E. coli entérohémorragique e. Klebsiella oxytoca A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. S. aureus et B. cereus donnent des syndromes cholériformes. Klebsiella oxytoca ne donne pas de TIAC. Quels examens complémentaires faites-vous ? a. Hémocultures b. Coproculture c. ECBU d. Sérologie amibienne si retour de voyage en zone d’endémie e. Aucun des examens cités A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La sérologie amibienne est utile pour le diagnostic des abcès amibiens du foie mais pas pour les amoeboses digestives. La patiente est déjà hospitalisée et présente de la fièvre à 39°C : il est donc licite de lui proposer des hémocultures. De plus, il existe une forte suspicion de toxi-infection alimentaire, donc une coproculture est requise pour diagnostiquer le pathogène en cause. Vous gardez la patiente hospitalisée. Son compagnon n’a pas pu venir lui rendre visite car il est cloué au lit avec la même symptomatologie. Le lendemain, vous recevez le résultat des hémocultures : Salmonella enterica. a. Une déclaration à l’ARS est obligatoire b. Mise en place d’un isolement contact c. Antibiothérapie par C3G d. Prescription de racecadotril e. Réhydratation par voie intraveineuse A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La déclaration des TIAC est obligatoire : plus de 2 cas, dès la suspicion. La prescription d’anti-sécrétoires est autorisée, pas celle des bloqueurs de transit (loperamide). L’isolement contact est requis en cas de diarrhée, a fortiori à salmonelle. Une antibiothérapie par fluoroquinolones ou azithromycine peut se concevoir en probabiliste l’absence de signes de gravité. Ici, la diarrhée est documentée donc antibiothérapie par C3G en attendant l’antibiogramme et la vérification de l’absence de résistances. Vous apprenez que 5 personnes sur les 25 ayant mangé dans le restaurant chinois ce midi-là ont fait une salmonellose. Quel indicateur vous semble pertinent d’utiliser pour décrire la situation ? a. La proportion de personnes diagnostiquées avec une diarrhée parmi l’ensemble des personnes dont le diagnostic de salmonellose est certain b. La proportion de personnes non diagnostiquées avec une diarrhée qui font réellement une salmonellose c. Le nombre de personnes atteintes de salmonellose dans la population à un moment donné d. Le nombre de nouveaux cas de salmonellose dans la population qui a fréquenté le restaurant chinois pendant l’année e. Le nombre de nouveaux cas de salmonellose rapporté au nombre de personnes qui ont fréquenté le restaurant le même jour que la patiente A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. La définition attendue est celle du taux d’attaque. Que faites-vous? a. Un ECG 12 dérivations b. Un ECG 18 dérivations c. Un bilan sanguin avec uniquement une troponine d. Vous le perfusez et instaurez immédiatement 80 mg d’Inhibiteur de la Pompe à Protons e. Rien, vous l’adressez au service des urgences cardiologiques
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Médecin anesthésiste, vous vous préparez à prendre en charge au bloc opératoire Monsieur H pour une cure de hernie inguinale. Vous êtes aidé par l'interne de garde et par un étudiant en 2ème année de médecine qui débute son premier stage hospitalier. Au tout début de l'intervention, l'étudiant se plaint soudain de brûlures palmaires accompagnées de prurit et d'une sensation de malaise. En le regardant, vous constatez qu'il est en sueurs, il présente un érythème du visage et du cou et vous semble tachypnéique. L'interne prend sa tension artérielle qui est à 80/53 mmHg. Quel est votre diagnostic ? a. choc hypovolémique b. œdème angioneurotique c. anaphylaxie aiguë d. malaise vagal e. choc cardiogénique
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Médecin anesthésiste, vous vous préparez à prendre en charge au bloc opératoire Monsieur H pour une cure de hernie inguinale. Vous êtes aidé par l'interne de garde et par un étudiant en 2ème année de médecine qui débute son premier stage hospitalier. Au tout début de l'intervention, l'étudiant se plaint soudain de brûlures palmaires accompagnées de prurit et d'une sensation de malaise. En le regardant, vous constatez qu'il est en sueurs, il présente un érythème du visage et du cou et vous semble tachypnéique. L'interne prend sa tension artérielle qui est à 80/53 mmHg. Quel est votre diagnostic ? a. choc hypovolémique b. œdème angioneurotique c. anaphylaxie aiguë d. malaise vagal e. choc cardiogénique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une anaphylaxie aiguë. Quelle en est ici l'étiologie la plus probable ? a. agent anesthésique b. latex c. anti-inflammatoire non stéroïdiens d. produit de contraste iodé e. aliments
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Médecin anesthésiste, vous vous préparez à prendre en charge au bloc opératoire Monsieur H pour une cure de hernie inguinale. Vous êtes aidé par l'interne de garde et par un étudiant en 2ème année de médecine qui débute son premier stage hospitalier. Au tout début de l'intervention, l'étudiant se plaint soudain de brûlures palmaires accompagnées de prurit et d'une sensation de malaise. En le regardant, vous constatez qu'il est en sueurs, il présente un érythème du visage et du cou et vous semble tachypnéique. L'interne prend sa tension artérielle qui est à 80/53 mmHg. Quel est votre diagnostic ? a. choc hypovolémique b. œdème angioneurotique c. anaphylaxie aiguë d. malaise vagal e. choc cardiogénique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une anaphylaxie aiguë. Quelle en est ici l'étiologie la plus probable ? a. agent anesthésique b. latex c. anti-inflammatoire non stéroïdiens d. produit de contraste iodé e. aliments A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une allergie au latex. Parmi les considérations physiopathologiques suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) vraie(s) ? a. contact antigénique préalable b. présence d'IgE spécifiques à la surface des polynucléaires basophiles c. présence d'IgE spécifiques à la surface des mastocytes d. synthèse de médiateurs membranaires (prostaglandines, leucotriènes) avant réintroduction antigénique après e. libération de médiateurs granulaires (histamine) après réintroduction antigénique
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Médecin anesthésiste, vous vous préparez à prendre en charge au bloc opératoire Monsieur H pour une cure de hernie inguinale. Vous êtes aidé par l'interne de garde et par un étudiant en 2ème année de médecine qui débute son premier stage hospitalier. Au tout début de l'intervention, l'étudiant se plaint soudain de brûlures palmaires accompagnées de prurit et d'une sensation de malaise. En le regardant, vous constatez qu'il est en sueurs, il présente un érythème du visage et du cou et vous semble tachypnéique. L'interne prend sa tension artérielle qui est à 80/53 mmHg. Quel est votre diagnostic ? a. choc hypovolémique b. œdème angioneurotique c. anaphylaxie aiguë d. malaise vagal e. choc cardiogénique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une anaphylaxie aiguë. Quelle en est ici l'étiologie la plus probable ? a. agent anesthésique b. latex c. anti-inflammatoire non stéroïdiens d. produit de contraste iodé e. aliments A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une allergie au latex. Parmi les considérations physiopathologiques suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) vraie(s) ? a. contact antigénique préalable b. présence d'IgE spécifiques à la surface des polynucléaires basophiles c. présence d'IgE spécifiques à la surface des mastocytes d. synthèse de médiateurs membranaires (prostaglandines, leucotriènes) avant réintroduction antigénique après e. libération de médiateurs granulaires (histamine) après réintroduction antigénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) en est(sont) le(s) risque(s) évolutif(s) ? a. convulsions b. acidose métabolique c. troubles de la coagulation d. arrêt cardio-circulatoire e. asphyxie
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Médecin anesthésiste, vous vous préparez à prendre en charge au bloc opératoire Monsieur H pour une cure de hernie inguinale. Vous êtes aidé par l'interne de garde et par un étudiant en 2ème année de médecine qui débute son premier stage hospitalier. Au tout début de l'intervention, l'étudiant se plaint soudain de brûlures palmaires accompagnées de prurit et d'une sensation de malaise. En le regardant, vous constatez qu'il est en sueurs, il présente un érythème du visage et du cou et vous semble tachypnéique. L'interne prend sa tension artérielle qui est à 80/53 mmHg. Quel est votre diagnostic ? a. choc hypovolémique b. œdème angioneurotique c. anaphylaxie aiguë d. malaise vagal e. choc cardiogénique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une anaphylaxie aiguë. Quelle en est ici l'étiologie la plus probable ? a. agent anesthésique b. latex c. anti-inflammatoire non stéroïdiens d. produit de contraste iodé e. aliments A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une allergie au latex. Parmi les considérations physiopathologiques suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) vraie(s) ? a. contact antigénique préalable b. présence d'IgE spécifiques à la surface des polynucléaires basophiles c. présence d'IgE spécifiques à la surface des mastocytes d. synthèse de médiateurs membranaires (prostaglandines, leucotriènes) avant réintroduction antigénique après e. libération de médiateurs granulaires (histamine) après réintroduction antigénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) en est(sont) le(s) risque(s) évolutif(s) ? a. convulsions b. acidose métabolique c. troubles de la coagulation d. arrêt cardio-circulatoire e. asphyxie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen physique, outre l'urticaire généralisé, vous notez un gonflement du visage et l'apparition d'une détresse respiratoire avec dysphonie. Quel est votre diagnostic ? a. laryngite aiguë b. œdème de Quincke c. déficit congénital de l'inhibiteur de la C1-estérase (angioedème neurotique) d. déficit acquis de l'inhibiteur de la C1-estérase e. épiglottite
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Médecin anesthésiste, vous vous préparez à prendre en charge au bloc opératoire Monsieur H pour une cure de hernie inguinale. Vous êtes aidé par l'interne de garde et par un étudiant en 2ème année de médecine qui débute son premier stage hospitalier. Au tout début de l'intervention, l'étudiant se plaint soudain de brûlures palmaires accompagnées de prurit et d'une sensation de malaise. En le regardant, vous constatez qu'il est en sueurs, il présente un érythème du visage et du cou et vous semble tachypnéique. L'interne prend sa tension artérielle qui est à 80/53 mmHg. Quel est votre diagnostic ? a. choc hypovolémique b. œdème angioneurotique c. anaphylaxie aiguë d. malaise vagal e. choc cardiogénique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une anaphylaxie aiguë. Quelle en est ici l'étiologie la plus probable ? a. agent anesthésique b. latex c. anti-inflammatoire non stéroïdiens d. produit de contraste iodé e. aliments A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une allergie au latex. Parmi les considérations physiopathologiques suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) vraie(s) ? a. contact antigénique préalable b. présence d'IgE spécifiques à la surface des polynucléaires basophiles c. présence d'IgE spécifiques à la surface des mastocytes d. synthèse de médiateurs membranaires (prostaglandines, leucotriènes) avant réintroduction antigénique après e. libération de médiateurs granulaires (histamine) après réintroduction antigénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) en est(sont) le(s) risque(s) évolutif(s) ? a. convulsions b. acidose métabolique c. troubles de la coagulation d. arrêt cardio-circulatoire e. asphyxie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen physique, outre l'urticaire généralisé, vous notez un gonflement du visage et l'apparition d'une détresse respiratoire avec dysphonie. Quel est votre diagnostic ? a. laryngite aiguë b. œdème de Quincke c. déficit congénital de l'inhibiteur de la C1-estérase (angioedème neurotique) d. déficit acquis de l'inhibiteur de la C1-estérase e. épiglottite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel est le premier geste thérapeutique à réaliser ? a. remplissage vasculaire b. administration de corticoïdes IV c. administration d'antihistaminiques IV d. administration d'adrénaline IV e. aérosol atrovent et bricanyl
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Médecin anesthésiste, vous vous préparez à prendre en charge au bloc opératoire Monsieur H pour une cure de hernie inguinale. Vous êtes aidé par l'interne de garde et par un étudiant en 2ème année de médecine qui débute son premier stage hospitalier. Au tout début de l'intervention, l'étudiant se plaint soudain de brûlures palmaires accompagnées de prurit et d'une sensation de malaise. En le regardant, vous constatez qu'il est en sueurs, il présente un érythème du visage et du cou et vous semble tachypnéique. L'interne prend sa tension artérielle qui est à 80/53 mmHg. Quel est votre diagnostic ? a. choc hypovolémique b. œdème angioneurotique c. anaphylaxie aiguë d. malaise vagal e. choc cardiogénique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une anaphylaxie aiguë. Quelle en est ici l'étiologie la plus probable ? a. agent anesthésique b. latex c. anti-inflammatoire non stéroïdiens d. produit de contraste iodé e. aliments A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une allergie au latex. Parmi les considérations physiopathologiques suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) vraie(s) ? a. contact antigénique préalable b. présence d'IgE spécifiques à la surface des polynucléaires basophiles c. présence d'IgE spécifiques à la surface des mastocytes d. synthèse de médiateurs membranaires (prostaglandines, leucotriènes) avant réintroduction antigénique après e. libération de médiateurs granulaires (histamine) après réintroduction antigénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) en est(sont) le(s) risque(s) évolutif(s) ? a. convulsions b. acidose métabolique c. troubles de la coagulation d. arrêt cardio-circulatoire e. asphyxie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen physique, outre l'urticaire généralisé, vous notez un gonflement du visage et l'apparition d'une détresse respiratoire avec dysphonie. Quel est votre diagnostic ? a. laryngite aiguë b. œdème de Quincke c. déficit congénital de l'inhibiteur de la C1-estérase (angioedème neurotique) d. déficit acquis de l'inhibiteur de la C1-estérase e. épiglottite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel est le premier geste thérapeutique à réaliser ? a. remplissage vasculaire b. administration de corticoïdes IV c. administration d'antihistaminiques IV d. administration d'adrénaline IV e. aérosol atrovent et bricanyl A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Quelle(s) est(sont) l'(es) autre(s) mesure(s) thérapeutique(s) à réaliser rapidement ? a. retrait des gants de l'étudiant b. corticothérapie par voie intraveineuse c. oxygénothérapie au masque à haute concentration d. poser une voie veineuse centrale e. poursuite titration par adrénaline par voie IV si pas d’amélioration
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Médecin anesthésiste, vous vous préparez à prendre en charge au bloc opératoire Monsieur H pour une cure de hernie inguinale. Vous êtes aidé par l'interne de garde et par un étudiant en 2ème année de médecine qui débute son premier stage hospitalier. Au tout début de l'intervention, l'étudiant se plaint soudain de brûlures palmaires accompagnées de prurit et d'une sensation de malaise. En le regardant, vous constatez qu'il est en sueurs, il présente un érythème du visage et du cou et vous semble tachypnéique. L'interne prend sa tension artérielle qui est à 80/53 mmHg. Quel est votre diagnostic ? a. choc hypovolémique b. œdème angioneurotique c. anaphylaxie aiguë d. malaise vagal e. choc cardiogénique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une anaphylaxie aiguë. Quelle en est ici l'étiologie la plus probable ? a. agent anesthésique b. latex c. anti-inflammatoire non stéroïdiens d. produit de contraste iodé e. aliments A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une allergie au latex. Parmi les considérations physiopathologiques suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) vraie(s) ? a. contact antigénique préalable b. présence d'IgE spécifiques à la surface des polynucléaires basophiles c. présence d'IgE spécifiques à la surface des mastocytes d. synthèse de médiateurs membranaires (prostaglandines, leucotriènes) avant réintroduction antigénique après e. libération de médiateurs granulaires (histamine) après réintroduction antigénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) en est(sont) le(s) risque(s) évolutif(s) ? a. convulsions b. acidose métabolique c. troubles de la coagulation d. arrêt cardio-circulatoire e. asphyxie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen physique, outre l'urticaire généralisé, vous notez un gonflement du visage et l'apparition d'une détresse respiratoire avec dysphonie. Quel est votre diagnostic ? a. laryngite aiguë b. œdème de Quincke c. déficit congénital de l'inhibiteur de la C1-estérase (angioedème neurotique) d. déficit acquis de l'inhibiteur de la C1-estérase e. épiglottite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel est le premier geste thérapeutique à réaliser ? a. remplissage vasculaire b. administration de corticoïdes IV c. administration d'antihistaminiques IV d. administration d'adrénaline IV e. aérosol atrovent et bricanyl A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Quelle(s) est(sont) l'(es) autre(s) mesure(s) thérapeutique(s) à réaliser rapidement ? a. retrait des gants de l'étudiant b. corticothérapie par voie intraveineuse c. oxygénothérapie au masque à haute concentration d. poser une voie veineuse centrale e. poursuite titration par adrénaline par voie IV si pas d’amélioration A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel bilan complémentaire réalisez-vous ? a. dosage de l'histamine dès que possible b. dosage de l'histamine 24 heures après le début des symptômes c. dosage sanguin de la tryptase entre 30 minutes et 2 heures après le début des symptômes d. dosage sanguin de la tryptase 24 heures après le début des symptômes e. aucun, car un taux normal de ces marqueurs ne permet pas d'exclure le diagnostic
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Médecin anesthésiste, vous vous préparez à prendre en charge au bloc opératoire Monsieur H pour une cure de hernie inguinale. Vous êtes aidé par l'interne de garde et par un étudiant en 2ème année de médecine qui débute son premier stage hospitalier. Au tout début de l'intervention, l'étudiant se plaint soudain de brûlures palmaires accompagnées de prurit et d'une sensation de malaise. En le regardant, vous constatez qu'il est en sueurs, il présente un érythème du visage et du cou et vous semble tachypnéique. L'interne prend sa tension artérielle qui est à 80/53 mmHg. Quel est votre diagnostic ? a. choc hypovolémique b. œdème angioneurotique c. anaphylaxie aiguë d. malaise vagal e. choc cardiogénique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une anaphylaxie aiguë. Quelle en est ici l'étiologie la plus probable ? a. agent anesthésique b. latex c. anti-inflammatoire non stéroïdiens d. produit de contraste iodé e. aliments A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une allergie au latex. Parmi les considérations physiopathologiques suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) vraie(s) ? a. contact antigénique préalable b. présence d'IgE spécifiques à la surface des polynucléaires basophiles c. présence d'IgE spécifiques à la surface des mastocytes d. synthèse de médiateurs membranaires (prostaglandines, leucotriènes) avant réintroduction antigénique après e. libération de médiateurs granulaires (histamine) après réintroduction antigénique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) en est(sont) le(s) risque(s) évolutif(s) ? a. convulsions b. acidose métabolique c. troubles de la coagulation d. arrêt cardio-circulatoire e. asphyxie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. A l'examen physique, outre l'urticaire généralisé, vous notez un gonflement du visage et l'apparition d'une détresse respiratoire avec dysphonie. Quel est votre diagnostic ? a. laryngite aiguë b. œdème de Quincke c. déficit congénital de l'inhibiteur de la C1-estérase (angioedème neurotique) d. déficit acquis de l'inhibiteur de la C1-estérase e. épiglottite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel est le premier geste thérapeutique à réaliser ? a. remplissage vasculaire b. administration de corticoïdes IV c. administration d'antihistaminiques IV d. administration d'adrénaline IV e. aérosol atrovent et bricanyl A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Quelle(s) est(sont) l'(es) autre(s) mesure(s) thérapeutique(s) à réaliser rapidement ? a. retrait des gants de l'étudiant b. corticothérapie par voie intraveineuse c. oxygénothérapie au masque à haute concentration d. poser une voie veineuse centrale e. poursuite titration par adrénaline par voie IV si pas d’amélioration A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel bilan complémentaire réalisez-vous ? a. dosage de l'histamine dès que possible b. dosage de l'histamine 24 heures après le début des symptômes c. dosage sanguin de la tryptase entre 30 minutes et 2 heures après le début des symptômes d. dosage sanguin de la tryptase 24 heures après le début des symptômes e. aucun, car un taux normal de ces marqueurs ne permet pas d'exclure le diagnostic A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les symptômes ont régressé en 3 heures. Quelle est l’orientation du patient ? a. retour à domicile même s’il est seul à la maison b. retour à domicile uniquement s’il est accompagné c. hospitalisation pour surveillance non scopée d. hospitalisation pour surveillance en secteur scopé e. hospitalisation en réanimation
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Julien et Paul, deux jeunes adultes de 18 et 19 ans sans antécédent, ont été victimes d'un accident de la voie publique en scooter contre une voiture sur le périphérique. Julien était casqué au moment du choc et a été projeté à une distance de plus de 10 mètres. Paul était non casqué au moment de l’accident. Vous arrivez en renfort d’une première équipe SMUR pour vous occuper de Julien – l’autre équipe s’occupant de Paul. A votre arrivée, Julien est orienté dans le temps et l’espace. Il a spontanément les yeux fermés. Il ouvre les yeux et serre la main à la demande. L’ampliation thoracique ainsi que l’auscultation pulmonaire sont asymétriques. L’abdomen est volumineux et semble tendu à la palpation. La pression artérielle est mesurée à 76/43 mmHg et la fréquence cardiaque est à 120/min. La fréquence respiratoire est à 30/min. La saturation pulsée en oxygène est mesurée à 96% en air ambiant. La température est à 35,6°C. Pendant votre prise en charge, le médecin de l’autre équipe de SMUR vous signale que Paul est décédé malgré les manœuvres de réanimation. Quel(s) est (sont), selon les critères de Vittel, le(les) élément(s) de gravité retrouvé(s) chez ce patient ? a. projection b. décès de l'autre passager c. accident de moto d. score de Glasgow à 14 e. PAS < 90 mmHg
A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'accident de moto ne fait pas partie des critères de Vittel Le score de Glasgow fait partie des critères de Vittel mais n'est pas inférieur à 13 dans le cas présent.
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Julien et Paul, deux jeunes adultes de 18 et 19 ans sans antécédent, ont été victimes d'un accident de la voie publique en scooter contre une voiture sur le périphérique. Julien était casqué au moment du choc et a été projeté à une distance de plus de 10 mètres. Paul était non casqué au moment de l’accident. Vous arrivez en renfort d’une première équipe SMUR pour vous occuper de Julien – l’autre équipe s’occupant de Paul. A votre arrivée, Julien est orienté dans le temps et l’espace. Il a spontanément les yeux fermés. Il ouvre les yeux et serre la main à la demande. L’ampliation thoracique ainsi que l’auscultation pulmonaire sont asymétriques. L’abdomen est volumineux et semble tendu à la palpation. La pression artérielle est mesurée à 76/43 mmHg et la fréquence cardiaque est à 120/min. La fréquence respiratoire est à 30/min. La saturation pulsée en oxygène est mesurée à 96% en air ambiant. La température est à 35,6°C. Pendant votre prise en charge, le médecin de l’autre équipe de SMUR vous signale que Paul est décédé malgré les manœuvres de réanimation. Quel(s) est (sont), selon les critères de Vittel, le(les) élément(s) de gravité retrouvé(s) chez ce patient ? a. projection b. décès de l'autre passager c. accident de moto d. score de Glasgow à 14 e. PAS < 90 mmHg A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'accident de moto ne fait pas partie des critères de Vittel Le score de Glasgow fait partie des critères de Vittel mais n'est pas inférieur à 13 dans le cas présent. Quelle est la pression artérielle moyenne (PAM) de ce patient (en mmHg) ?.
54La PAM est égale à (PAS + 2xPAD) / 3.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Julien et Paul, deux jeunes adultes de 18 et 19 ans sans antécédent, ont été victimes d'un accident de la voie publique en scooter contre une voiture sur le périphérique. Julien était casqué au moment du choc et a été projeté à une distance de plus de 10 mètres. Paul était non casqué au moment de l’accident. Vous arrivez en renfort d’une première équipe SMUR pour vous occuper de Julien – l’autre équipe s’occupant de Paul. A votre arrivée, Julien est orienté dans le temps et l’espace. Il a spontanément les yeux fermés. Il ouvre les yeux et serre la main à la demande. L’ampliation thoracique ainsi que l’auscultation pulmonaire sont asymétriques. L’abdomen est volumineux et semble tendu à la palpation. La pression artérielle est mesurée à 76/43 mmHg et la fréquence cardiaque est à 120/min. La fréquence respiratoire est à 30/min. La saturation pulsée en oxygène est mesurée à 96% en air ambiant. La température est à 35,6°C. Pendant votre prise en charge, le médecin de l’autre équipe de SMUR vous signale que Paul est décédé malgré les manœuvres de réanimation. Quel(s) est (sont), selon les critères de Vittel, le(les) élément(s) de gravité retrouvé(s) chez ce patient ? a. projection b. décès de l'autre passager c. accident de moto d. score de Glasgow à 14 e. PAS < 90 mmHg A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'accident de moto ne fait pas partie des critères de Vittel Le score de Glasgow fait partie des critères de Vittel mais n'est pas inférieur à 13 dans le cas présent. Quelle est la pression artérielle moyenne (PAM) de ce patient (en mmHg) ?. 54La PAM est égale à (PAS + 2xPAD) / 3. Concernant la PAM chez un patient polytraumatisé en choc hémorragique, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. en l'absence de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 60 mmHg b. en cas de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 70 mmHg c. en cas de choc hémorragique, tolérer une PAM basse permet de diminuer le saignement actif d. en cas de choc hémorragique avec suspicion de lésion cérébrale, maintenir une PAM élevée permet de maintenir une perfusion cérébrale e. le déterminant de la perfusion cérébrale est égale à la somme de la PAM + la PIC
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. 1. Vrai 2. Faux. L'objectif de PAM est supérieur à 80-90 mmHg 3. Vrai 4. Vrai 5. Faux. PPC=PAM-PIC.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Julien et Paul, deux jeunes adultes de 18 et 19 ans sans antécédent, ont été victimes d'un accident de la voie publique en scooter contre une voiture sur le périphérique. Julien était casqué au moment du choc et a été projeté à une distance de plus de 10 mètres. Paul était non casqué au moment de l’accident. Vous arrivez en renfort d’une première équipe SMUR pour vous occuper de Julien – l’autre équipe s’occupant de Paul. A votre arrivée, Julien est orienté dans le temps et l’espace. Il a spontanément les yeux fermés. Il ouvre les yeux et serre la main à la demande. L’ampliation thoracique ainsi que l’auscultation pulmonaire sont asymétriques. L’abdomen est volumineux et semble tendu à la palpation. La pression artérielle est mesurée à 76/43 mmHg et la fréquence cardiaque est à 120/min. La fréquence respiratoire est à 30/min. La saturation pulsée en oxygène est mesurée à 96% en air ambiant. La température est à 35,6°C. Pendant votre prise en charge, le médecin de l’autre équipe de SMUR vous signale que Paul est décédé malgré les manœuvres de réanimation. Quel(s) est (sont), selon les critères de Vittel, le(les) élément(s) de gravité retrouvé(s) chez ce patient ? a. projection b. décès de l'autre passager c. accident de moto d. score de Glasgow à 14 e. PAS < 90 mmHg A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'accident de moto ne fait pas partie des critères de Vittel Le score de Glasgow fait partie des critères de Vittel mais n'est pas inférieur à 13 dans le cas présent. Quelle est la pression artérielle moyenne (PAM) de ce patient (en mmHg) ?. 54La PAM est égale à (PAS + 2xPAD) / 3. Concernant la PAM chez un patient polytraumatisé en choc hémorragique, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. en l'absence de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 60 mmHg b. en cas de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 70 mmHg c. en cas de choc hémorragique, tolérer une PAM basse permet de diminuer le saignement actif d. en cas de choc hémorragique avec suspicion de lésion cérébrale, maintenir une PAM élevée permet de maintenir une perfusion cérébrale e. le déterminant de la perfusion cérébrale est égale à la somme de la PAM + la PIC A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. 1. Vrai 2. Faux. L'objectif de PAM est supérieur à 80-90 mmHg 3. Vrai 4. Vrai 5. Faux. PPC=PAM-PIC. Au final, Julien se dégrade sur le plan neurologique. Il n’ouvre plus les yeux, ni à la demande ni à la douleur. Il n’y a aucune réponse verbale et les membres supérieurs ont des mouvements en enroulement à la stimulation douloureuse. Vous constatez également une anisocorie. Quelle(s) est(sont) l'(les) atteinte(s) pouvant être suspectée(s) au vu de l'ensemble du tableau clinique ? a. un traumatisme splénique b. un traumatisme hépatique c. un saignement intra-cranien d. un pneumothorax e. un pneumo-péritoine
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Le glasgow inférieur à 8 est évocateur d'un saignement intra-cranien. L'asymétrie d'ampliation thoracique et auscultatoire sont évocatrices d'un pneumothorax. Le caractère tendu de l'abdomen est évocateur d'une lésion traumatique d'organe intra-abdominal avec possible épanchement péritonéal liquidien ou gazeux.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Julien et Paul, deux jeunes adultes de 18 et 19 ans sans antécédent, ont été victimes d'un accident de la voie publique en scooter contre une voiture sur le périphérique. Julien était casqué au moment du choc et a été projeté à une distance de plus de 10 mètres. Paul était non casqué au moment de l’accident. Vous arrivez en renfort d’une première équipe SMUR pour vous occuper de Julien – l’autre équipe s’occupant de Paul. A votre arrivée, Julien est orienté dans le temps et l’espace. Il a spontanément les yeux fermés. Il ouvre les yeux et serre la main à la demande. L’ampliation thoracique ainsi que l’auscultation pulmonaire sont asymétriques. L’abdomen est volumineux et semble tendu à la palpation. La pression artérielle est mesurée à 76/43 mmHg et la fréquence cardiaque est à 120/min. La fréquence respiratoire est à 30/min. La saturation pulsée en oxygène est mesurée à 96% en air ambiant. La température est à 35,6°C. Pendant votre prise en charge, le médecin de l’autre équipe de SMUR vous signale que Paul est décédé malgré les manœuvres de réanimation. Quel(s) est (sont), selon les critères de Vittel, le(les) élément(s) de gravité retrouvé(s) chez ce patient ? a. projection b. décès de l'autre passager c. accident de moto d. score de Glasgow à 14 e. PAS < 90 mmHg A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'accident de moto ne fait pas partie des critères de Vittel Le score de Glasgow fait partie des critères de Vittel mais n'est pas inférieur à 13 dans le cas présent. Quelle est la pression artérielle moyenne (PAM) de ce patient (en mmHg) ?. 54La PAM est égale à (PAS + 2xPAD) / 3. Concernant la PAM chez un patient polytraumatisé en choc hémorragique, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. en l'absence de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 60 mmHg b. en cas de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 70 mmHg c. en cas de choc hémorragique, tolérer une PAM basse permet de diminuer le saignement actif d. en cas de choc hémorragique avec suspicion de lésion cérébrale, maintenir une PAM élevée permet de maintenir une perfusion cérébrale e. le déterminant de la perfusion cérébrale est égale à la somme de la PAM + la PIC A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. 1. Vrai 2. Faux. L'objectif de PAM est supérieur à 80-90 mmHg 3. Vrai 4. Vrai 5. Faux. PPC=PAM-PIC. Au final, Julien se dégrade sur le plan neurologique. Il n’ouvre plus les yeux, ni à la demande ni à la douleur. Il n’y a aucune réponse verbale et les membres supérieurs ont des mouvements en enroulement à la stimulation douloureuse. Vous constatez également une anisocorie. Quelle(s) est(sont) l'(les) atteinte(s) pouvant être suspectée(s) au vu de l'ensemble du tableau clinique ? a. un traumatisme splénique b. un traumatisme hépatique c. un saignement intra-cranien d. un pneumothorax e. un pneumo-péritoine A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Le glasgow inférieur à 8 est évocateur d'un saignement intra-cranien. L'asymétrie d'ampliation thoracique et auscultatoire sont évocatrices d'un pneumothorax. Le caractère tendu de l'abdomen est évocateur d'une lésion traumatique d'organe intra-abdominal avec possible épanchement péritonéal liquidien ou gazeux. Vous suspectez à la fois une atteinte traumatique neurologique, pulmonaire et abdominale. Quelle(s) est(sont) la(les) thérapeutique(s) initiale(s) que vous entreprenez en pré-hospitalier ? a. immobilisation rachis en rectitude b. mise en place de deux voies veineuses périphériques c. pose d’une sonde gastrique par voie nasale d. pose d’un drain thoracique e. intubation oro-trachéale après induction en séquence rapide
A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. En cas de pneumothorax, le geste de sauvetage en urgence en pré-hospitalier est une exsufflation à l'aiguille ou une thoracostomie et non la pose d'un drain thoracique qui sera différée.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
Julien et Paul, deux jeunes adultes de 18 et 19 ans sans antécédent, ont été victimes d'un accident de la voie publique en scooter contre une voiture sur le périphérique. Julien était casqué au moment du choc et a été projeté à une distance de plus de 10 mètres. Paul était non casqué au moment de l’accident. Vous arrivez en renfort d’une première équipe SMUR pour vous occuper de Julien – l’autre équipe s’occupant de Paul. A votre arrivée, Julien est orienté dans le temps et l’espace. Il a spontanément les yeux fermés. Il ouvre les yeux et serre la main à la demande. L’ampliation thoracique ainsi que l’auscultation pulmonaire sont asymétriques. L’abdomen est volumineux et semble tendu à la palpation. La pression artérielle est mesurée à 76/43 mmHg et la fréquence cardiaque est à 120/min. La fréquence respiratoire est à 30/min. La saturation pulsée en oxygène est mesurée à 96% en air ambiant. La température est à 35,6°C. Pendant votre prise en charge, le médecin de l’autre équipe de SMUR vous signale que Paul est décédé malgré les manœuvres de réanimation. Quel(s) est (sont), selon les critères de Vittel, le(les) élément(s) de gravité retrouvé(s) chez ce patient ? a. projection b. décès de l'autre passager c. accident de moto d. score de Glasgow à 14 e. PAS < 90 mmHg A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'accident de moto ne fait pas partie des critères de Vittel Le score de Glasgow fait partie des critères de Vittel mais n'est pas inférieur à 13 dans le cas présent. Quelle est la pression artérielle moyenne (PAM) de ce patient (en mmHg) ?. 54La PAM est égale à (PAS + 2xPAD) / 3. Concernant la PAM chez un patient polytraumatisé en choc hémorragique, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. en l'absence de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 60 mmHg b. en cas de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 70 mmHg c. en cas de choc hémorragique, tolérer une PAM basse permet de diminuer le saignement actif d. en cas de choc hémorragique avec suspicion de lésion cérébrale, maintenir une PAM élevée permet de maintenir une perfusion cérébrale e. le déterminant de la perfusion cérébrale est égale à la somme de la PAM + la PIC A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. 1. Vrai 2. Faux. L'objectif de PAM est supérieur à 80-90 mmHg 3. Vrai 4. Vrai 5. Faux. PPC=PAM-PIC. Au final, Julien se dégrade sur le plan neurologique. Il n’ouvre plus les yeux, ni à la demande ni à la douleur. Il n’y a aucune réponse verbale et les membres supérieurs ont des mouvements en enroulement à la stimulation douloureuse. Vous constatez également une anisocorie. Quelle(s) est(sont) l'(les) atteinte(s) pouvant être suspectée(s) au vu de l'ensemble du tableau clinique ? a. un traumatisme splénique b. un traumatisme hépatique c. un saignement intra-cranien d. un pneumothorax e. un pneumo-péritoine A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Le glasgow inférieur à 8 est évocateur d'un saignement intra-cranien. L'asymétrie d'ampliation thoracique et auscultatoire sont évocatrices d'un pneumothorax. Le caractère tendu de l'abdomen est évocateur d'une lésion traumatique d'organe intra-abdominal avec possible épanchement péritonéal liquidien ou gazeux. Vous suspectez à la fois une atteinte traumatique neurologique, pulmonaire et abdominale. Quelle(s) est(sont) la(les) thérapeutique(s) initiale(s) que vous entreprenez en pré-hospitalier ? a. immobilisation rachis en rectitude b. mise en place de deux voies veineuses périphériques c. pose d’une sonde gastrique par voie nasale d. pose d’un drain thoracique e. intubation oro-trachéale après induction en séquence rapide A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. En cas de pneumothorax, le geste de sauvetage en urgence en pré-hospitalier est une exsufflation à l'aiguille ou une thoracostomie et non la pose d'un drain thoracique qui sera différée. Concernant la coagulopathie aggravant le choc hémorragique, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. l'hypothermie est un facteur aggravant b. les troubles de l'hémostase congénitaux sont protecteurs c. l'hémodilution liée au remplissage vasculaire est un facteur aggravant d. l'alcalose est un facteur aggravant e. la transfusion en grande quantité de concentrés érythrocytaires est responsable d'une hypocalcémie
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Julien et Paul, deux jeunes adultes de 18 et 19 ans sans antécédent, ont été victimes d'un accident de la voie publique en scooter contre une voiture sur le périphérique. Julien était casqué au moment du choc et a été projeté à une distance de plus de 10 mètres. Paul était non casqué au moment de l’accident. Vous arrivez en renfort d’une première équipe SMUR pour vous occuper de Julien – l’autre équipe s’occupant de Paul. A votre arrivée, Julien est orienté dans le temps et l’espace. Il a spontanément les yeux fermés. Il ouvre les yeux et serre la main à la demande. L’ampliation thoracique ainsi que l’auscultation pulmonaire sont asymétriques. L’abdomen est volumineux et semble tendu à la palpation. La pression artérielle est mesurée à 76/43 mmHg et la fréquence cardiaque est à 120/min. La fréquence respiratoire est à 30/min. La saturation pulsée en oxygène est mesurée à 96% en air ambiant. La température est à 35,6°C. Pendant votre prise en charge, le médecin de l’autre équipe de SMUR vous signale que Paul est décédé malgré les manœuvres de réanimation. Quel(s) est (sont), selon les critères de Vittel, le(les) élément(s) de gravité retrouvé(s) chez ce patient ? a. projection b. décès de l'autre passager c. accident de moto d. score de Glasgow à 14 e. PAS < 90 mmHg A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'accident de moto ne fait pas partie des critères de Vittel Le score de Glasgow fait partie des critères de Vittel mais n'est pas inférieur à 13 dans le cas présent. Quelle est la pression artérielle moyenne (PAM) de ce patient (en mmHg) ?. 54La PAM est égale à (PAS + 2xPAD) / 3. Concernant la PAM chez un patient polytraumatisé en choc hémorragique, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. en l'absence de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 60 mmHg b. en cas de suspicion de lésion cérébrale, l'objectif de PAM est supérieur à 70 mmHg c. en cas de choc hémorragique, tolérer une PAM basse permet de diminuer le saignement actif d. en cas de choc hémorragique avec suspicion de lésion cérébrale, maintenir une PAM élevée permet de maintenir une perfusion cérébrale e. le déterminant de la perfusion cérébrale est égale à la somme de la PAM + la PIC A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. 1. Vrai 2. Faux. L'objectif de PAM est supérieur à 80-90 mmHg 3. Vrai 4. Vrai 5. Faux. PPC=PAM-PIC. Au final, Julien se dégrade sur le plan neurologique. Il n’ouvre plus les yeux, ni à la demande ni à la douleur. Il n’y a aucune réponse verbale et les membres supérieurs ont des mouvements en enroulement à la stimulation douloureuse. Vous constatez également une anisocorie. Quelle(s) est(sont) l'(les) atteinte(s) pouvant être suspectée(s) au vu de l'ensemble du tableau clinique ? a. un traumatisme splénique b. un traumatisme hépatique c. un saignement intra-cranien d. un pneumothorax e. un pneumo-péritoine A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Le glasgow inférieur à 8 est évocateur d'un saignement intra-cranien. L'asymétrie d'ampliation thoracique et auscultatoire sont évocatrices d'un pneumothorax. Le caractère tendu de l'abdomen est évocateur d'une lésion traumatique d'organe intra-abdominal avec possible épanchement péritonéal liquidien ou gazeux. Vous suspectez à la fois une atteinte traumatique neurologique, pulmonaire et abdominale. Quelle(s) est(sont) la(les) thérapeutique(s) initiale(s) que vous entreprenez en pré-hospitalier ? a. immobilisation rachis en rectitude b. mise en place de deux voies veineuses périphériques c. pose d’une sonde gastrique par voie nasale d. pose d’un drain thoracique e. intubation oro-trachéale après induction en séquence rapide A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. En cas de pneumothorax, le geste de sauvetage en urgence en pré-hospitalier est une exsufflation à l'aiguille ou une thoracostomie et non la pose d'un drain thoracique qui sera différée. Concernant la coagulopathie aggravant le choc hémorragique, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? a. l'hypothermie est un facteur aggravant b. les troubles de l'hémostase congénitaux sont protecteurs c. l'hémodilution liée au remplissage vasculaire est un facteur aggravant d. l'alcalose est un facteur aggravant e. la transfusion en grande quantité de concentrés érythrocytaires est responsable d'une hypocalcémie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le patient est transporté vers la salle de réveil du CHU le plus proche. Les paramètres vitaux sont les suivantes : pression artérielle 74/32 mmHg malgré un remplissage vasculaire de 2000 ml de cristalloïdes, et un traitement par vasopresseur (noradrénaline); la fréquence cardiaque reste à 120/min. La première valeur d'hémoglogine par Hémocue® est de 6.3 g/dL. Quel(s) est (sont) l'(es) examen(s) d'imagerie de première intention que vous réalisez pour ce patient? a. une échographie de type FAST b. une radiographie du rachis cervical c. une radiographie du bassin de face d. une radiographie du thorax e. un scanner corps entier injecté
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. En cas d'instabilité hémodynamique, les examens recommandés sont échographie de type FAST, radiographies de bassin et de thorax.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mme D. 61 ans, est adressée en salle de déchoquage pour un polytraumatisme. En effet elle a été piétinée par une de ses juments dans des circonstances inconnues. Elle a été retrouvée inconsciente au sol avec un traumatisme thoracique fermé, un traumatisme du membre inférieur droit (déformation de la cuisse droite) et des dermabrasions multiples. Elle a actuellement repris connaissance et est maintenant confuse. A l’admission elle présente une hypotension sévère avec une tachycardie et une saturation à 87% en air ambiant. Elle a reçu 2L de remplissage vasculaire pendant le transport. Quelle est votre première hypothèse diagnostique devant cet état de choc ? a. Choc hypovolémique b. Choc cardiogénique c. Choc septique d. Choc spinal e. Choc obstructif
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La première hypothèse dans un contexte de polytraumatisme est toujours un choc hémorragique qui fait parti des chocs hypovolémiques.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mme D. 61 ans, est adressée en salle de déchoquage pour un polytraumatisme. En effet elle a été piétinée par une de ses juments dans des circonstances inconnues. Elle a été retrouvée inconsciente au sol avec un traumatisme thoracique fermé, un traumatisme du membre inférieur droit (déformation de la cuisse droite) et des dermabrasions multiples. Elle a actuellement repris connaissance et est maintenant confuse. A l’admission elle présente une hypotension sévère avec une tachycardie et une saturation à 87% en air ambiant. Elle a reçu 2L de remplissage vasculaire pendant le transport. Quelle est votre première hypothèse diagnostique devant cet état de choc ? a. Choc hypovolémique b. Choc cardiogénique c. Choc septique d. Choc spinal e. Choc obstructif A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La première hypothèse dans un contexte de polytraumatisme est toujours un choc hémorragique qui fait parti des chocs hypovolémiques. Quelles sont les voies d’abord vasculaire à privilégier en première intention afin d’optimiser le remplissage vasculaire devant un choc hémorragique ? a. Voie veineuse périphérique b. Voie veineuse centrale c. Voie pour épuration extra-rénale d. Cathéter intra-osseux e. Cathéter tunnelisé
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le remplissage vasculaire dans un choc hémorragique doit être débuté le plus précocement possible avec un débit important. Pour cela en première intention il faut 2 cathéters veineux de gros calibre. En cas d’impossibilité de pose, un cathéter intra-osseux permettra d’avoir un débit satisfaisant. La voie veineuse centrale a un débit insuffisant et son délai de pose est trop long. En seconde intention, un cathéter d’épuration extrarénale (ou Shaldon) malgré un délai de pose identique à la voie centrale, permettra d’avoir un débit beaucoup plus important que la VVC.