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Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Aucune prophylaxie n'est necessaire car le risque de rage terrestre en France est nul b. Une prophylaxie antirabique doit être démarrée dans tous les cas, ce jour en urgence c. La prophylaxie antirabique peut être démarrée dans un délai idéal de 7 jours par le centre antirabique d. La prophylaxie antirabique doit comporter une vaccination complète dans ce cas car le chien est indisponible e. Une sérothérapie antirabique n'est pas indiquée chez les patients préalablement vaccinés contre la rage
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Aucune prophylaxie n'est necessaire car le risque de rage terrestre en France est nul b. Une prophylaxie antirabique doit être démarrée dans tous les cas, ce jour en urgence c. La prophylaxie antirabique peut être démarrée dans un délai idéal de 7 jours par le centre antirabique d. La prophylaxie antirabique doit comporter une vaccination complète dans ce cas car le chien est indisponible e. Une sérothérapie antirabique n'est pas indiquée chez les patients préalablement vaccinés contre la rage A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique en général, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de chauve souris b. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de souris de laboratoire c. La vaccination antirabique peut être interrompue si l'encéphale du chien mordeur envoyé au laboratoire Pasteur après euthanasie s'avère négatif pour la rage d. La vaccination antirabique peut être interrompue si le certificat de surveillance vétérinaire du chien mordeur retrouve un animal indemne de signe d'encéphalite 15 jours après morsure e. La sérothérapie quand elle est faite peut être réalisée au même site que la vaccination
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Aucune prophylaxie n'est necessaire car le risque de rage terrestre en France est nul b. Une prophylaxie antirabique doit être démarrée dans tous les cas, ce jour en urgence c. La prophylaxie antirabique peut être démarrée dans un délai idéal de 7 jours par le centre antirabique d. La prophylaxie antirabique doit comporter une vaccination complète dans ce cas car le chien est indisponible e. Une sérothérapie antirabique n'est pas indiquée chez les patients préalablement vaccinés contre la rage A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique en général, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de chauve souris b. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de souris de laboratoire c. La vaccination antirabique peut être interrompue si l'encéphale du chien mordeur envoyé au laboratoire Pasteur après euthanasie s'avère négatif pour la rage d. La vaccination antirabique peut être interrompue si le certificat de surveillance vétérinaire du chien mordeur retrouve un animal indemne de signe d'encéphalite 15 jours après morsure e. La sérothérapie quand elle est faite peut être réalisée au même site que la vaccination A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'épidémiologie de la rage, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La rage vulpine (du renard) a disparu en France grâce à la vaccination b. La chauve souris peut être porteuse saine de virus de la rage et peut contaminer l'homme c. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de renard et toujours après morsure de chauve souris en France d. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de chien importé du Maghreb où la rage est peu fréquente e. Les chats ne sont jamais concernés par la rage
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Aucune prophylaxie n'est necessaire car le risque de rage terrestre en France est nul b. Une prophylaxie antirabique doit être démarrée dans tous les cas, ce jour en urgence c. La prophylaxie antirabique peut être démarrée dans un délai idéal de 7 jours par le centre antirabique d. La prophylaxie antirabique doit comporter une vaccination complète dans ce cas car le chien est indisponible e. Une sérothérapie antirabique n'est pas indiquée chez les patients préalablement vaccinés contre la rage A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique en général, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de chauve souris b. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de souris de laboratoire c. La vaccination antirabique peut être interrompue si l'encéphale du chien mordeur envoyé au laboratoire Pasteur après euthanasie s'avère négatif pour la rage d. La vaccination antirabique peut être interrompue si le certificat de surveillance vétérinaire du chien mordeur retrouve un animal indemne de signe d'encéphalite 15 jours après morsure e. La sérothérapie quand elle est faite peut être réalisée au même site que la vaccination A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'épidémiologie de la rage, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La rage vulpine (du renard) a disparu en France grâce à la vaccination b. La chauve souris peut être porteuse saine de virus de la rage et peut contaminer l'homme c. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de renard et toujours après morsure de chauve souris en France d. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de chien importé du Maghreb où la rage est peu fréquente e. Les chats ne sont jamais concernés par la rage A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'évolution locale commence à être favorable mais M X rapporte des diarrhées sous Amoxicilline/Acide clavulanique lors de la consultation de contrôle à 5 jours. Quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) plausible(s)? a. Il peut s'agir d'une colite à Entaemoba histolytica b. Il peut s'agir d'une colite à Clostridium difficile c. Il peut s'agir d'une colite à Giardia intestinalis d. Il peut s'agir d'un effet indésirable de l'acide clavulanique e. Il peut s'agir d'une insuffisance surrénalienne
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Aucune prophylaxie n'est necessaire car le risque de rage terrestre en France est nul b. Une prophylaxie antirabique doit être démarrée dans tous les cas, ce jour en urgence c. La prophylaxie antirabique peut être démarrée dans un délai idéal de 7 jours par le centre antirabique d. La prophylaxie antirabique doit comporter une vaccination complète dans ce cas car le chien est indisponible e. Une sérothérapie antirabique n'est pas indiquée chez les patients préalablement vaccinés contre la rage A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique en général, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de chauve souris b. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de souris de laboratoire c. La vaccination antirabique peut être interrompue si l'encéphale du chien mordeur envoyé au laboratoire Pasteur après euthanasie s'avère négatif pour la rage d. La vaccination antirabique peut être interrompue si le certificat de surveillance vétérinaire du chien mordeur retrouve un animal indemne de signe d'encéphalite 15 jours après morsure e. La sérothérapie quand elle est faite peut être réalisée au même site que la vaccination A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'épidémiologie de la rage, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La rage vulpine (du renard) a disparu en France grâce à la vaccination b. La chauve souris peut être porteuse saine de virus de la rage et peut contaminer l'homme c. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de renard et toujours après morsure de chauve souris en France d. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de chien importé du Maghreb où la rage est peu fréquente e. Les chats ne sont jamais concernés par la rage A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'évolution locale commence à être favorable mais M X rapporte des diarrhées sous Amoxicilline/Acide clavulanique lors de la consultation de contrôle à 5 jours. Quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) plausible(s)? a. Il peut s'agir d'une colite à Entaemoba histolytica b. Il peut s'agir d'une colite à Clostridium difficile c. Il peut s'agir d'une colite à Giardia intestinalis d. Il peut s'agir d'un effet indésirable de l'acide clavulanique e. Il peut s'agir d'une insuffisance surrénalienne A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans ce contexte, quelle attitude semble la plus adaptée? a. Vous prescrivez un traitement par métronidazole- Flagyl b. Vous arrêtez l'amoxicilline/acide clavulanique c. Vous poursuivez l'amoxicilline/acide clavulanique et prescrivez une recherche de Clostridium difficile d. Vous prescrivez un traitement par fluconazole- triflucan e. Vous prescrivez un test au synacthène
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Aucune prophylaxie n'est necessaire car le risque de rage terrestre en France est nul b. Une prophylaxie antirabique doit être démarrée dans tous les cas, ce jour en urgence c. La prophylaxie antirabique peut être démarrée dans un délai idéal de 7 jours par le centre antirabique d. La prophylaxie antirabique doit comporter une vaccination complète dans ce cas car le chien est indisponible e. Une sérothérapie antirabique n'est pas indiquée chez les patients préalablement vaccinés contre la rage A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique en général, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de chauve souris b. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de souris de laboratoire c. La vaccination antirabique peut être interrompue si l'encéphale du chien mordeur envoyé au laboratoire Pasteur après euthanasie s'avère négatif pour la rage d. La vaccination antirabique peut être interrompue si le certificat de surveillance vétérinaire du chien mordeur retrouve un animal indemne de signe d'encéphalite 15 jours après morsure e. La sérothérapie quand elle est faite peut être réalisée au même site que la vaccination A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'épidémiologie de la rage, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La rage vulpine (du renard) a disparu en France grâce à la vaccination b. La chauve souris peut être porteuse saine de virus de la rage et peut contaminer l'homme c. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de renard et toujours après morsure de chauve souris en France d. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de chien importé du Maghreb où la rage est peu fréquente e. Les chats ne sont jamais concernés par la rage A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'évolution locale commence à être favorable mais M X rapporte des diarrhées sous Amoxicilline/Acide clavulanique lors de la consultation de contrôle à 5 jours. Quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) plausible(s)? a. Il peut s'agir d'une colite à Entaemoba histolytica b. Il peut s'agir d'une colite à Clostridium difficile c. Il peut s'agir d'une colite à Giardia intestinalis d. Il peut s'agir d'un effet indésirable de l'acide clavulanique e. Il peut s'agir d'une insuffisance surrénalienne A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans ce contexte, quelle attitude semble la plus adaptée? a. Vous prescrivez un traitement par métronidazole- Flagyl b. Vous arrêtez l'amoxicilline/acide clavulanique c. Vous poursuivez l'amoxicilline/acide clavulanique et prescrivez une recherche de Clostridium difficile d. Vous prescrivez un traitement par fluconazole- triflucan e. Vous prescrivez un test au synacthène A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Concernant Clostridium difficile, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Il s'agit d'un bacille Gram positif anaérobie b. Il fait partie de la flore digestive de 3% de la population adulte c. Son pouvoir pathogène passe par la sécrétion de toxines d. Il émerge sous antibiothérapie et peut provoquer des perforations digestives chez les sujets les plus fragiles e. Le simple portage impose des précautions complémentaires contact
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Aucune prophylaxie n'est necessaire car le risque de rage terrestre en France est nul b. Une prophylaxie antirabique doit être démarrée dans tous les cas, ce jour en urgence c. La prophylaxie antirabique peut être démarrée dans un délai idéal de 7 jours par le centre antirabique d. La prophylaxie antirabique doit comporter une vaccination complète dans ce cas car le chien est indisponible e. Une sérothérapie antirabique n'est pas indiquée chez les patients préalablement vaccinés contre la rage A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique en général, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de chauve souris b. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de souris de laboratoire c. La vaccination antirabique peut être interrompue si l'encéphale du chien mordeur envoyé au laboratoire Pasteur après euthanasie s'avère négatif pour la rage d. La vaccination antirabique peut être interrompue si le certificat de surveillance vétérinaire du chien mordeur retrouve un animal indemne de signe d'encéphalite 15 jours après morsure e. La sérothérapie quand elle est faite peut être réalisée au même site que la vaccination A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'épidémiologie de la rage, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La rage vulpine (du renard) a disparu en France grâce à la vaccination b. La chauve souris peut être porteuse saine de virus de la rage et peut contaminer l'homme c. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de renard et toujours après morsure de chauve souris en France d. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de chien importé du Maghreb où la rage est peu fréquente e. Les chats ne sont jamais concernés par la rage A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'évolution locale commence à être favorable mais M X rapporte des diarrhées sous Amoxicilline/Acide clavulanique lors de la consultation de contrôle à 5 jours. Quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) plausible(s)? a. Il peut s'agir d'une colite à Entaemoba histolytica b. Il peut s'agir d'une colite à Clostridium difficile c. Il peut s'agir d'une colite à Giardia intestinalis d. Il peut s'agir d'un effet indésirable de l'acide clavulanique e. Il peut s'agir d'une insuffisance surrénalienne A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans ce contexte, quelle attitude semble la plus adaptée? a. Vous prescrivez un traitement par métronidazole- Flagyl b. Vous arrêtez l'amoxicilline/acide clavulanique c. Vous poursuivez l'amoxicilline/acide clavulanique et prescrivez une recherche de Clostridium difficile d. Vous prescrivez un traitement par fluconazole- triflucan e. Vous prescrivez un test au synacthène A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Concernant Clostridium difficile, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Il s'agit d'un bacille Gram positif anaérobie b. Il fait partie de la flore digestive de 3% de la population adulte c. Son pouvoir pathogène passe par la sécrétion de toxines d. Il émerge sous antibiothérapie et peut provoquer des perforations digestives chez les sujets les plus fragiles e. Le simple portage impose des précautions complémentaires contact A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant le métronidazole, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Il agit sur les bactéries anaérobies b. Il est efficace sur certains protozoaires comme les amibes, le trichomonas ou giardia intestinalis c. Il entraine un effet antabuse d. Il est inducteur enzymatique e. Il peut provoquer des neuropathies périphériques si on l'utilise plus de 3 semaines
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
131
14
1,269
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Aucune prophylaxie n'est necessaire car le risque de rage terrestre en France est nul b. Une prophylaxie antirabique doit être démarrée dans tous les cas, ce jour en urgence c. La prophylaxie antirabique peut être démarrée dans un délai idéal de 7 jours par le centre antirabique d. La prophylaxie antirabique doit comporter une vaccination complète dans ce cas car le chien est indisponible e. Une sérothérapie antirabique n'est pas indiquée chez les patients préalablement vaccinés contre la rage A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique en général, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de chauve souris b. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de souris de laboratoire c. La vaccination antirabique peut être interrompue si l'encéphale du chien mordeur envoyé au laboratoire Pasteur après euthanasie s'avère négatif pour la rage d. La vaccination antirabique peut être interrompue si le certificat de surveillance vétérinaire du chien mordeur retrouve un animal indemne de signe d'encéphalite 15 jours après morsure e. La sérothérapie quand elle est faite peut être réalisée au même site que la vaccination A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'épidémiologie de la rage, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La rage vulpine (du renard) a disparu en France grâce à la vaccination b. La chauve souris peut être porteuse saine de virus de la rage et peut contaminer l'homme c. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de renard et toujours après morsure de chauve souris en France d. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de chien importé du Maghreb où la rage est peu fréquente e. Les chats ne sont jamais concernés par la rage A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'évolution locale commence à être favorable mais M X rapporte des diarrhées sous Amoxicilline/Acide clavulanique lors de la consultation de contrôle à 5 jours. Quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) plausible(s)? a. Il peut s'agir d'une colite à Entaemoba histolytica b. Il peut s'agir d'une colite à Clostridium difficile c. Il peut s'agir d'une colite à Giardia intestinalis d. Il peut s'agir d'un effet indésirable de l'acide clavulanique e. Il peut s'agir d'une insuffisance surrénalienne A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans ce contexte, quelle attitude semble la plus adaptée? a. Vous prescrivez un traitement par métronidazole- Flagyl b. Vous arrêtez l'amoxicilline/acide clavulanique c. Vous poursuivez l'amoxicilline/acide clavulanique et prescrivez une recherche de Clostridium difficile d. Vous prescrivez un traitement par fluconazole- triflucan e. Vous prescrivez un test au synacthène A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Concernant Clostridium difficile, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Il s'agit d'un bacille Gram positif anaérobie b. Il fait partie de la flore digestive de 3% de la population adulte c. Son pouvoir pathogène passe par la sécrétion de toxines d. Il émerge sous antibiothérapie et peut provoquer des perforations digestives chez les sujets les plus fragiles e. Le simple portage impose des précautions complémentaires contact A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant le métronidazole, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Il agit sur les bactéries anaérobies b. Il est efficace sur certains protozoaires comme les amibes, le trichomonas ou giardia intestinalis c. Il entraine un effet antabuse d. Il est inducteur enzymatique e. Il peut provoquer des neuropathies périphériques si on l'utilise plus de 3 semaines A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Il n'y a pas de présence de toxines de Clostridium difficile dans les selles de M X. Il poursuit son traitement par Amoxicilline/acide clavulanique pendant 14 jours et l'évolution est favorable à l'exception d'une douleur de la métacarpophalangienne du 5e rayon gauche (MCP5) qui persiste encore au 14e jour de traitement. Quelle sont vos deux principales hypothèses diagnostiques? a. Arthrose MCP5 b. Arthrite septique torpide MCP5 à Pasteurella spp c. Pseudarthrose MCP5 d. Ostéonécrose MCP5 e. Algodystrophie MCP5
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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null
M X 42 ans vient vous voir ce matin en consultation aux urgences car il s'est fait mordre la main gauche hier soir à 18h00 par un chien inconnu qu'il a rencontré dans la rue après avoir essayé de le caresser. Le chien s'est enfui immédiatement après l'avoir mordu. M X est boucher, gaucher sans antécédent médical ni allergie. La main gauche est rouge et gonflée diffusément. Il existe quatre petites zones de perte de substance infracentimétriques sur l'éminence hypothénar correspondant à la marque laissée par les crocs du chien. Vous notez une fièvre à 38.5°C. La main est très douloureuse depuis le milieu de nuit. Que faut il rechercher à l'examen physique? a. Prise des constantes pouls, température b. Recherche d'un signe de Kernig c. Recherche de déficit vasculonerveux d. Recherche de flessum de l'auriculaire en faveur d'un phlegmon des gaines e. Recherche d'adénopathie épitrochléenne et axillaire gauche A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Aucun de ces éléments n'est présent et les constantes sont satisfaisantes. Que devez vous envisager en premier chez ce patient? a. Antibiothérapie b. Prophylaxie antirabique c. Prophylaxie antitétanique d. Nettoyage, désinfection, anesthésie et exploration des plaies e. Arrêt de travail et certificat descriptif des lésions A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L'exploration ne retrouve pas de lésion d'un élément noble nécessitant une prise en charge chirurgicale. Quel argument retrouvez vous dans l'observation en faveur d'une Pasteurellose d'inoculation?. le délai d'incubation < 24 heures, le délai d'incubation court, apparition rapide des symptômes, court délai d'incubation, courte période d'incubation, delai court, , delai d'apparition des signes cliniques rapide, delai d'incubation, delai d'incubation court, delai d'incubation rapide,tumefaction hyperalgique, delai de quelques heures, delai inferieur a 24h, delais d'incubation court : quelques heures, durée d'incubation, durée d'incubation courte, durée d'incubation très courte, durée de l'incubation, délai d'apparition des symptômes, délai d'incubation, délai d'incubation court, délai de survenue, délai morsure lésion, délais d'incubation, délais incubation, faible temps d'incubation, incubation courte, incubation courte < 12h, incubation courte < 1jour, incubation courte de moins de 24h, incubation de moins de 24 heures, incubation inférieure à 24h, incubation rapide, inflammation locale tres precoce, le délai d'incubation, periode d'incubation courte, 3-4h., periode d'inoculation, rapidite d'installation, signes inflammatoire avec délai rapide, symptomes précoces après la morsure, temps d'incubation, temps d'incubation court, vitesse d apparition des symptomes, délai d'apparition des symptômes inférieur à 24h, Délai d'apparition des symptômes, Délai d'incubation, Délai d'incubation court, INCUBATION COURTE, Incubation courte, Incubation rapide, Court délai d'incubation, Delai d'incubation, Durée d'incubation, Durée d'incubation courte, Incubation inférieure à 24h, Le délai d'incubation, Temps d'incubation, Temps d'incubation court. Qu'envisagez vous sur le plan thérapeutique dans cette hypothèse (pasteurellose)? a. Cicatrisation dirigée b. Suture des plaies c. Antibiothérapie orale probabiliste par amoxicilline/acide clavulanique d. Antibiothérapie orale probabiliste par pristinamycine e. Consultation de surveillance à 24-48 heures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie anti-tétanique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La morsure du chien correspond à une plaie majeure potentiellement tétanigène b. M X doit bénéficier d'une sérovaccination antitétanique dans tous les cas c. M X ne bénéficiera de rien de plus si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de moins de 20 ans d. M X bénéficiera d'une revaccination si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 10 ans e. M X doit bénéficier d'une revaccination et d'une sérothérapie si sa dernière injection de vaccin antitétanique date de plus de 20 ans A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Haut Conseil de la santé publique AVIS relatif aux rappels de vaccination antitétanique dans le cadre de la prise en charge des plaies 24 mai 2013. Concernant le tetanos, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Le tétanos est du à Clostridium perfringens b. Il s'agit d'une intoxination c. Le tétanos est toujours fébrile d. La contamination peut se faire en mangeant des conserves artisanales e. Le tétanos touche surtout aujoud'hui en France des personnes agées non à jour de leurs obligations vaccinales A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Aucune prophylaxie n'est necessaire car le risque de rage terrestre en France est nul b. Une prophylaxie antirabique doit être démarrée dans tous les cas, ce jour en urgence c. La prophylaxie antirabique peut être démarrée dans un délai idéal de 7 jours par le centre antirabique d. La prophylaxie antirabique doit comporter une vaccination complète dans ce cas car le chien est indisponible e. Une sérothérapie antirabique n'est pas indiquée chez les patients préalablement vaccinés contre la rage A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Concernant la prophylaxie antirabique en général, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de chauve souris b. Une sérothérapie est toujours indiquée en cas de morsure de souris de laboratoire c. La vaccination antirabique peut être interrompue si l'encéphale du chien mordeur envoyé au laboratoire Pasteur après euthanasie s'avère négatif pour la rage d. La vaccination antirabique peut être interrompue si le certificat de surveillance vétérinaire du chien mordeur retrouve un animal indemne de signe d'encéphalite 15 jours après morsure e. La sérothérapie quand elle est faite peut être réalisée au même site que la vaccination A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant l'épidémiologie de la rage, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. La rage vulpine (du renard) a disparu en France grâce à la vaccination b. La chauve souris peut être porteuse saine de virus de la rage et peut contaminer l'homme c. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de renard et toujours après morsure de chauve souris en France d. Il n'y a jamais d'indication à vacciner après morsure de chien importé du Maghreb où la rage est peu fréquente e. Les chats ne sont jamais concernés par la rage A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'évolution locale commence à être favorable mais M X rapporte des diarrhées sous Amoxicilline/Acide clavulanique lors de la consultation de contrôle à 5 jours. Quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) plausible(s)? a. Il peut s'agir d'une colite à Entaemoba histolytica b. Il peut s'agir d'une colite à Clostridium difficile c. Il peut s'agir d'une colite à Giardia intestinalis d. Il peut s'agir d'un effet indésirable de l'acide clavulanique e. Il peut s'agir d'une insuffisance surrénalienne A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans ce contexte, quelle attitude semble la plus adaptée? a. Vous prescrivez un traitement par métronidazole- Flagyl b. Vous arrêtez l'amoxicilline/acide clavulanique c. Vous poursuivez l'amoxicilline/acide clavulanique et prescrivez une recherche de Clostridium difficile d. Vous prescrivez un traitement par fluconazole- triflucan e. Vous prescrivez un test au synacthène A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Concernant Clostridium difficile, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Il s'agit d'un bacille Gram positif anaérobie b. Il fait partie de la flore digestive de 3% de la population adulte c. Son pouvoir pathogène passe par la sécrétion de toxines d. Il émerge sous antibiothérapie et peut provoquer des perforations digestives chez les sujets les plus fragiles e. Le simple portage impose des précautions complémentaires contact A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Concernant le métronidazole, quelle(s) est(sont) la(es) affirmation(s) vraie(s)? a. Il agit sur les bactéries anaérobies b. Il est efficace sur certains protozoaires comme les amibes, le trichomonas ou giardia intestinalis c. Il entraine un effet antabuse d. Il est inducteur enzymatique e. Il peut provoquer des neuropathies périphériques si on l'utilise plus de 3 semaines A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Il n'y a pas de présence de toxines de Clostridium difficile dans les selles de M X. Il poursuit son traitement par Amoxicilline/acide clavulanique pendant 14 jours et l'évolution est favorable à l'exception d'une douleur de la métacarpophalangienne du 5e rayon gauche (MCP5) qui persiste encore au 14e jour de traitement. Quelle sont vos deux principales hypothèses diagnostiques? a. Arthrose MCP5 b. Arthrite septique torpide MCP5 à Pasteurella spp c. Pseudarthrose MCP5 d. Ostéonécrose MCP5 e. Algodystrophie MCP5 A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous prescrivez une scintigraphie osseuse. Quel élément sur cet examen serait en faveur d'une algodystrophie? (2 à 4 mots maximum)
Hyperfixation au temps vasculaire, Hyperfixation précoce, hyperfixation (phase chaude), hyperfixation MCP5 précoce, hyperfixation de la MCP5 en phase chaude, hyperfixation osseuse précoce, , hyperfixation phase chaude, hyperfixation precoce MCP5, Hyperfixation phase chaude, hyperfixation précoce, Hyperfixation osseuse précoce, hyperfixation au temps vasculaire, 1, 0.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
132
1
1,271
A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Vous recevez au service d'accueil des urgences de votre hôpital une femme de 28 ans pour une dyspnée aiguë associée à une douleur basi-thoracique droite intense d'apparition brutale. On note dans ses antécédents un asthme de l'enfance guéri, une obésité avec un poids à 97 Kg et une taille de 168cm et des entorses de cheville à répétition dont la dernière il y a 9 mois a été traitée par une attelle. l'interrogatoire ne retrouve pas de conduites addicitves en dehors d'un tabagisme actif ni de traitement au long cours en dehors d'une contraception oestroprogestative. Les paramètres vitaux à l'admission sont les suivants: Pression artérielle: 145/65 mmhg, Fréquence cardiaque: 128/min, Saturation pulsée en oxygène en air ambiant 91%, Température: 38,2°C, Fréquence respiratoire: 32/min, Glycémie capillaire: 4,8mmol/l Pami les diagnostics suivants le(les)quel(s) sont à évoquer en première intention a. Embolie pulmonaire b. épanchement liquidien de la plèvre droite c. Péricardite d. Pneumonie aigue communautaire e. Asthme aigue grave
A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Dans ce contexte aigu de dyspnée avec douleur thoracique et fièvre il faut évoquer principalement une pneumonie aigue communautaire une embolie pulmonaire (d'autant plus que jeune, obèse, tabac et contraception) et une pathologie pleurale (plutôt pleurésie que pneumothorax rarement fébrile).
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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2
1,272
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous recevez au service d'accueil des urgences de votre hôpital une femme de 28 ans pour une dyspnée aiguë associée à une douleur basi-thoracique droite intense d'apparition brutale. On note dans ses antécédents un asthme de l'enfance guéri, une obésité avec un poids à 97 Kg et une taille de 168cm et des entorses de cheville à répétition dont la dernière il y a 9 mois a été traitée par une attelle. l'interrogatoire ne retrouve pas de conduites addicitves en dehors d'un tabagisme actif ni de traitement au long cours en dehors d'une contraception oestroprogestative. Les paramètres vitaux à l'admission sont les suivants: Pression artérielle: 145/65 mmhg, Fréquence cardiaque: 128/min, Saturation pulsée en oxygène en air ambiant 91%, Température: 38,2°C, Fréquence respiratoire: 32/min, Glycémie capillaire: 4,8mmol/l Pami les diagnostics suivants le(les)quel(s) sont à évoquer en première intention a. Embolie pulmonaire b. épanchement liquidien de la plèvre droite c. Péricardite d. Pneumonie aigue communautaire e. Asthme aigue grave A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Dans ce contexte aigu de dyspnée avec douleur thoracique et fièvre il faut évoquer principalement une pneumonie aigue communautaire une embolie pulmonaire (d'autant plus que jeune, obèse, tabac et contraception) et une pathologie pleurale (plutôt pleurésie que pneumothorax rarement fébrile). Vous suspectez une douleur de type pleurale à droite. Parmi les propositions suivantes, quel(s) signe(s) fonctionnel(s) ou physique(s) appuyerai(en)t cette hypothèse. a. Une irradiation de la douleur dans la mâchoire b. Une irradiation de la douleur dans l'épaule homolatérale c. Une toux aux changements de position d. Une diminution de la douleur à l'inspiration profonde e. une diminution des vibrations vocales à droite
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Ci-joint la sémiologie de l'épanchement pleural décrite dans le référentiel de pneumologie. L'irradiation dans l'épaule homolatérale est assez caractéristique Ici la douleur est augmentée à l'inspiration avec parfois une limitation douloureuse de l'ampliation thoracique (blockpnée).
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Un homme de 35 ans, sans antécédent particulier mis à part un tabagisme actif de 20 PA, consulte aux urgences vers 8h00 du matin à la suite d’un rapport sexuel non protégé avec une partenaire qu’il ne connaissait pas. Le rapport sexuel a eu lieu vers 2 heures du matin. Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) vous semble(nt) exacte(s) ? a. Le délai pour le traitement post-exposition est trop long b. Un traitement préventif pour les infections urétrales à chlamydia et à gonocoque doit être mis en place c. Il existe un risque de transmission du VHB d. Il existe un risque de transmission du VHC e. Vous demandez au patient de revoir son médecin traitant pour la suite de la prise en charge
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Un homme de 35 ans, sans antécédent particulier mis à part un tabagisme actif de 20 PA, consulte aux urgences vers 8h00 du matin à la suite d’un rapport sexuel non protégé avec une partenaire qu’il ne connaissait pas. Le rapport sexuel a eu lieu vers 2 heures du matin. Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) vous semble(nt) exacte(s) ? a. Le délai pour le traitement post-exposition est trop long b. Un traitement préventif pour les infections urétrales à chlamydia et à gonocoque doit être mis en place c. Il existe un risque de transmission du VHB d. Il existe un risque de transmission du VHC e. Vous demandez au patient de revoir son médecin traitant pour la suite de la prise en charge A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez prescrit au patient un traitement post-exposition et les sérologies VIH, VHB et VHC réalisées aux urgences sont négatives. Trois semaines plus tard, le patient consulte aux urgences car il présente depuis 48 heures une douleur du genou gauche associée à un gonflement et une température à 38.4°C. Il vous rapporte un épisode d’écoulement urétral il y a 2 semaines pour lequel le médecin traitant a mis un traitement par AZITHROMYCINE (zithromax®) 1 g en monodose. Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) vous semble(nt) exacte(s) ? a. Un écoulement urétral clair et indolore est évocateur d´une urétrite à gonocoque b. l´urétrite à Chlamydia peut être associée aux arthrites réactionnelles c. Devant ce tableau évocateur d´arthrite réactionnelle, il n´est pas nécessaire de réaliser de ponction du genou gauche d. Le traitement de l´urétrite par le médecin traitant était adapté e. Une arthrite réactionnelle est le plus souvent contemporaine de l´urétrite
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. d : on traite systématiquement le gonocoque et le chlamydia.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®)
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelles sont les séquences d'imagerie par résonnance magnétique à réaliser chez Monsieur A ? a. Séquence pondérée en diffusion b. Séquence pondérée en T1 c. Séquence pondérée en T2* d. Séquence pondérée en Flair e. Angiographie par résonnance magnétique (ARM) dite en "time-of-flight" (TOF)
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelles sont les séquences d'imagerie par résonnance magnétique à réaliser chez Monsieur A ? a. Séquence pondérée en diffusion b. Séquence pondérée en T1 c. Séquence pondérée en T2* d. Séquence pondérée en Flair e. Angiographie par résonnance magnétique (ARM) dite en "time-of-flight" (TOF) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. L'iconographie ci-dessous est l'imagerie par résonnance magnétique (IRM) cérébrale est réalisée sans délai chez Monsieur A à 10H15 (les deux images supérieures : séquence de diffusion ; les deux images inférieures : séquence FLAIR). Quelles sont les propositions exactes ? a. On visualise un hypersignal en séquence de diffusion b. On visualise un hypersignal en séquence FLAIR c. On visualise un effet de masse d. Cet aspect est compatible avec un accident vasculaire cérébrale (AVC) ischémique à la phase aiguë e. Une imagerie de perfusion est absolument nécessaire avant de poser l'indication d'une thrombolyse intraveineuse
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. recommandations AVC HAS : Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelles sont les séquences d'imagerie par résonnance magnétique à réaliser chez Monsieur A ? a. Séquence pondérée en diffusion b. Séquence pondérée en T1 c. Séquence pondérée en T2* d. Séquence pondérée en Flair e. Angiographie par résonnance magnétique (ARM) dite en "time-of-flight" (TOF) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. L'iconographie ci-dessous est l'imagerie par résonnance magnétique (IRM) cérébrale est réalisée sans délai chez Monsieur A à 10H15 (les deux images supérieures : séquence de diffusion ; les deux images inférieures : séquence FLAIR). Quelles sont les propositions exactes ? a. On visualise un hypersignal en séquence de diffusion b. On visualise un hypersignal en séquence FLAIR c. On visualise un effet de masse d. Cet aspect est compatible avec un accident vasculaire cérébrale (AVC) ischémique à la phase aiguë e. Une imagerie de perfusion est absolument nécessaire avant de poser l'indication d'une thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. recommandations AVC HAS : Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. 10h45 : les séquences T2* de l’IRM et l’ARM sont normales. Il n'existe pas de trouble de la coagulation. L'interrogatoire de la famille permet de confirmer l'heure de début des signes. Après l'IRM, la tension artérielle de Monsieur A est : 220/110 mmHg Quelle est votre prise en charge dans l'heure ? a. Monitorage cardiotensionnel et saturation b. Monitorage clinique de la conscience et de l'examen neurologique c. Thrombolyse intraveineuse dans les 4H30 suivant le début des signes d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent e. Nicardipine (Loxen) en intraveineux à la seringue électrique
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelles sont les séquences d'imagerie par résonnance magnétique à réaliser chez Monsieur A ? a. Séquence pondérée en diffusion b. Séquence pondérée en T1 c. Séquence pondérée en T2* d. Séquence pondérée en Flair e. Angiographie par résonnance magnétique (ARM) dite en "time-of-flight" (TOF) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. L'iconographie ci-dessous est l'imagerie par résonnance magnétique (IRM) cérébrale est réalisée sans délai chez Monsieur A à 10H15 (les deux images supérieures : séquence de diffusion ; les deux images inférieures : séquence FLAIR). Quelles sont les propositions exactes ? a. On visualise un hypersignal en séquence de diffusion b. On visualise un hypersignal en séquence FLAIR c. On visualise un effet de masse d. Cet aspect est compatible avec un accident vasculaire cérébrale (AVC) ischémique à la phase aiguë e. Une imagerie de perfusion est absolument nécessaire avant de poser l'indication d'une thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. recommandations AVC HAS : Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. 10h45 : les séquences T2* de l’IRM et l’ARM sont normales. Il n'existe pas de trouble de la coagulation. L'interrogatoire de la famille permet de confirmer l'heure de début des signes. Après l'IRM, la tension artérielle de Monsieur A est : 220/110 mmHg Quelle est votre prise en charge dans l'heure ? a. Monitorage cardiotensionnel et saturation b. Monitorage clinique de la conscience et de l'examen neurologique c. Thrombolyse intraveineuse dans les 4H30 suivant le début des signes d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent e. Nicardipine (Loxen) en intraveineux à la seringue électrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. 10h58 : le radiologue vous informe, qu'après relecture de l'IRM, il visualise de manière formelle une occlusion de l'artère cérébrale moyenne. Il a transmis les images au radio-embolisteur pour discuter de la thrombectomie en urgence. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. La thrombectomie peut être envisagée dans les 4H30 suivant le début des signes recommandations européenne de la société de neuro-vasculaire : la Thrombectomie Mécanique (TM) est recommandée à la phase aiguë dans le traitement de l’AVC jusqu’à 6 heures après le début des symptômes chez les patients qui présentent une occlusion proximale des artères cérébrales (OPAC) (carotide, cérébrale moyenne, tronc basilaire). (Grade A, Niveau 1a) nouvelle extension récente discutée : dans les 24h suivant l'apparition des signes (n'est pas encore un consensus européen en 2017) b. La thrombectomie peut être réalisée au service d'accueil des urgences vitales (SAUV) plateau de radio-embolisation c. La thrombectomie est possible même si le patient a bénéficié d'une thrombolyse intraveineuse d. La thrombectomie est possible lorsque la thrombolyse est contre-indiquée e. La thrombectomie doit être réalisée le plus rapidement possible dès que son indication a été posée
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelles sont les séquences d'imagerie par résonnance magnétique à réaliser chez Monsieur A ? a. Séquence pondérée en diffusion b. Séquence pondérée en T1 c. Séquence pondérée en T2* d. Séquence pondérée en Flair e. Angiographie par résonnance magnétique (ARM) dite en "time-of-flight" (TOF) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. L'iconographie ci-dessous est l'imagerie par résonnance magnétique (IRM) cérébrale est réalisée sans délai chez Monsieur A à 10H15 (les deux images supérieures : séquence de diffusion ; les deux images inférieures : séquence FLAIR). Quelles sont les propositions exactes ? a. On visualise un hypersignal en séquence de diffusion b. On visualise un hypersignal en séquence FLAIR c. On visualise un effet de masse d. Cet aspect est compatible avec un accident vasculaire cérébrale (AVC) ischémique à la phase aiguë e. Une imagerie de perfusion est absolument nécessaire avant de poser l'indication d'une thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. recommandations AVC HAS : Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. 10h45 : les séquences T2* de l’IRM et l’ARM sont normales. Il n'existe pas de trouble de la coagulation. L'interrogatoire de la famille permet de confirmer l'heure de début des signes. Après l'IRM, la tension artérielle de Monsieur A est : 220/110 mmHg Quelle est votre prise en charge dans l'heure ? a. Monitorage cardiotensionnel et saturation b. Monitorage clinique de la conscience et de l'examen neurologique c. Thrombolyse intraveineuse dans les 4H30 suivant le début des signes d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent e. Nicardipine (Loxen) en intraveineux à la seringue électrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. 10h58 : le radiologue vous informe, qu'après relecture de l'IRM, il visualise de manière formelle une occlusion de l'artère cérébrale moyenne. Il a transmis les images au radio-embolisteur pour discuter de la thrombectomie en urgence. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. La thrombectomie peut être envisagée dans les 4H30 suivant le début des signes recommandations européenne de la société de neuro-vasculaire : la Thrombectomie Mécanique (TM) est recommandée à la phase aiguë dans le traitement de l’AVC jusqu’à 6 heures après le début des symptômes chez les patients qui présentent une occlusion proximale des artères cérébrales (OPAC) (carotide, cérébrale moyenne, tronc basilaire). (Grade A, Niveau 1a) nouvelle extension récente discutée : dans les 24h suivant l'apparition des signes (n'est pas encore un consensus européen en 2017) b. La thrombectomie peut être réalisée au service d'accueil des urgences vitales (SAUV) plateau de radio-embolisation c. La thrombectomie est possible même si le patient a bénéficié d'une thrombolyse intraveineuse d. La thrombectomie est possible lorsque la thrombolyse est contre-indiquée e. La thrombectomie doit être réalisée le plus rapidement possible dès que son indication a été posée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur A bénéficie d'une thrombolyse intraveineuse. Aucune indication de thrombectomie n'est retenue. Quelle est votre prise en charge et votre surveillance dans les 24H suivant la thrombolyse ? a. Admission en unité de soins intensifs neurovasculaires (USINV) b. Pose d'une sonde nasogastrique c. Paracétamol en intraveineux lent si hyperthermie supérieure ou égale à 38°C d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent (IVL) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse e. Héparine à dose efficace en intraveineux à la seringue électrique (IVSE) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelles sont les séquences d'imagerie par résonnance magnétique à réaliser chez Monsieur A ? a. Séquence pondérée en diffusion b. Séquence pondérée en T1 c. Séquence pondérée en T2* d. Séquence pondérée en Flair e. Angiographie par résonnance magnétique (ARM) dite en "time-of-flight" (TOF) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. L'iconographie ci-dessous est l'imagerie par résonnance magnétique (IRM) cérébrale est réalisée sans délai chez Monsieur A à 10H15 (les deux images supérieures : séquence de diffusion ; les deux images inférieures : séquence FLAIR). Quelles sont les propositions exactes ? a. On visualise un hypersignal en séquence de diffusion b. On visualise un hypersignal en séquence FLAIR c. On visualise un effet de masse d. Cet aspect est compatible avec un accident vasculaire cérébrale (AVC) ischémique à la phase aiguë e. Une imagerie de perfusion est absolument nécessaire avant de poser l'indication d'une thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. recommandations AVC HAS : Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. 10h45 : les séquences T2* de l’IRM et l’ARM sont normales. Il n'existe pas de trouble de la coagulation. L'interrogatoire de la famille permet de confirmer l'heure de début des signes. Après l'IRM, la tension artérielle de Monsieur A est : 220/110 mmHg Quelle est votre prise en charge dans l'heure ? a. Monitorage cardiotensionnel et saturation b. Monitorage clinique de la conscience et de l'examen neurologique c. Thrombolyse intraveineuse dans les 4H30 suivant le début des signes d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent e. Nicardipine (Loxen) en intraveineux à la seringue électrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. 10h58 : le radiologue vous informe, qu'après relecture de l'IRM, il visualise de manière formelle une occlusion de l'artère cérébrale moyenne. Il a transmis les images au radio-embolisteur pour discuter de la thrombectomie en urgence. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. La thrombectomie peut être envisagée dans les 4H30 suivant le début des signes recommandations européenne de la société de neuro-vasculaire : la Thrombectomie Mécanique (TM) est recommandée à la phase aiguë dans le traitement de l’AVC jusqu’à 6 heures après le début des symptômes chez les patients qui présentent une occlusion proximale des artères cérébrales (OPAC) (carotide, cérébrale moyenne, tronc basilaire). (Grade A, Niveau 1a) nouvelle extension récente discutée : dans les 24h suivant l'apparition des signes (n'est pas encore un consensus européen en 2017) b. La thrombectomie peut être réalisée au service d'accueil des urgences vitales (SAUV) plateau de radio-embolisation c. La thrombectomie est possible même si le patient a bénéficié d'une thrombolyse intraveineuse d. La thrombectomie est possible lorsque la thrombolyse est contre-indiquée e. La thrombectomie doit être réalisée le plus rapidement possible dès que son indication a été posée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur A bénéficie d'une thrombolyse intraveineuse. Aucune indication de thrombectomie n'est retenue. Quelle est votre prise en charge et votre surveillance dans les 24H suivant la thrombolyse ? a. Admission en unité de soins intensifs neurovasculaires (USINV) b. Pose d'une sonde nasogastrique c. Paracétamol en intraveineux lent si hyperthermie supérieure ou égale à 38°C d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent (IVL) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse e. Héparine à dose efficace en intraveineux à la seringue électrique (IVSE) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au 3ème jour (72h), une tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection est effectué en raison de l'aggravation de la symptomatologie de Monsieur B. La conclusion de l'examen est "région pariéto-occipitale gauche spontanément hyperdense avec effet de masse sans engagement". Quelles sont les propositions exactes ? a. La TDM cérébrale retrouve une zone hémorragique au sein de l' infarctus b. Ce phénomène est lié à une extravasation de sang au sein d'un foyer "de ramollissement" c. Le mécanisme est lié au rétablissement de la perfusion dans un territoire où les vaisseaux sanguins ont été altérés par l'ischémie d. L'effet de masse est exercé par le saignement e. L'engagement cérébral est une complication possible
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelles sont les séquences d'imagerie par résonnance magnétique à réaliser chez Monsieur A ? a. Séquence pondérée en diffusion b. Séquence pondérée en T1 c. Séquence pondérée en T2* d. Séquence pondérée en Flair e. Angiographie par résonnance magnétique (ARM) dite en "time-of-flight" (TOF) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. L'iconographie ci-dessous est l'imagerie par résonnance magnétique (IRM) cérébrale est réalisée sans délai chez Monsieur A à 10H15 (les deux images supérieures : séquence de diffusion ; les deux images inférieures : séquence FLAIR). Quelles sont les propositions exactes ? a. On visualise un hypersignal en séquence de diffusion b. On visualise un hypersignal en séquence FLAIR c. On visualise un effet de masse d. Cet aspect est compatible avec un accident vasculaire cérébrale (AVC) ischémique à la phase aiguë e. Une imagerie de perfusion est absolument nécessaire avant de poser l'indication d'une thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. recommandations AVC HAS : Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. 10h45 : les séquences T2* de l’IRM et l’ARM sont normales. Il n'existe pas de trouble de la coagulation. L'interrogatoire de la famille permet de confirmer l'heure de début des signes. Après l'IRM, la tension artérielle de Monsieur A est : 220/110 mmHg Quelle est votre prise en charge dans l'heure ? a. Monitorage cardiotensionnel et saturation b. Monitorage clinique de la conscience et de l'examen neurologique c. Thrombolyse intraveineuse dans les 4H30 suivant le début des signes d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent e. Nicardipine (Loxen) en intraveineux à la seringue électrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. 10h58 : le radiologue vous informe, qu'après relecture de l'IRM, il visualise de manière formelle une occlusion de l'artère cérébrale moyenne. Il a transmis les images au radio-embolisteur pour discuter de la thrombectomie en urgence. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. La thrombectomie peut être envisagée dans les 4H30 suivant le début des signes recommandations européenne de la société de neuro-vasculaire : la Thrombectomie Mécanique (TM) est recommandée à la phase aiguë dans le traitement de l’AVC jusqu’à 6 heures après le début des symptômes chez les patients qui présentent une occlusion proximale des artères cérébrales (OPAC) (carotide, cérébrale moyenne, tronc basilaire). (Grade A, Niveau 1a) nouvelle extension récente discutée : dans les 24h suivant l'apparition des signes (n'est pas encore un consensus européen en 2017) b. La thrombectomie peut être réalisée au service d'accueil des urgences vitales (SAUV) plateau de radio-embolisation c. La thrombectomie est possible même si le patient a bénéficié d'une thrombolyse intraveineuse d. La thrombectomie est possible lorsque la thrombolyse est contre-indiquée e. La thrombectomie doit être réalisée le plus rapidement possible dès que son indication a été posée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur A bénéficie d'une thrombolyse intraveineuse. Aucune indication de thrombectomie n'est retenue. Quelle est votre prise en charge et votre surveillance dans les 24H suivant la thrombolyse ? a. Admission en unité de soins intensifs neurovasculaires (USINV) b. Pose d'une sonde nasogastrique c. Paracétamol en intraveineux lent si hyperthermie supérieure ou égale à 38°C d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent (IVL) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse e. Héparine à dose efficace en intraveineux à la seringue électrique (IVSE) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au 3ème jour (72h), une tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection est effectué en raison de l'aggravation de la symptomatologie de Monsieur B. La conclusion de l'examen est "région pariéto-occipitale gauche spontanément hyperdense avec effet de masse sans engagement". Quelles sont les propositions exactes ? a. La TDM cérébrale retrouve une zone hémorragique au sein de l' infarctus b. Ce phénomène est lié à une extravasation de sang au sein d'un foyer "de ramollissement" c. Le mécanisme est lié au rétablissement de la perfusion dans un territoire où les vaisseaux sanguins ont été altérés par l'ischémie d. L'effet de masse est exercé par le saignement e. L'engagement cérébral est une complication possible A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Au retour de l'imagerie, l'examen clinique de Monsieur A est le suivant : - Aucune ouverture des yeux malgré la stimulation douloureuse - Aucune réponse verbale malgré la stimulation douloureuse - Réaction motrice non-orienté par rapport à la douleur - Pupilles : mydriase non-réactive à droite, myosis non-réactif à gauche - Respiration rapide et bruyante. Les constantes sont : - Fréquence cardiaque : 109 battements par minute - Fréquence respiratoire : 32 cycles par minute - Tension artérielle : 92/67 mmHg - Saturation (SpO2) : 91% sous masque à 6 L/min. Dans l'attente du réanimateur, quelles mesures immédiates entreprenez-vous ? a. Decubitus dorsal strict b. Oxygénothérapie par masque à haute concentration 15 L/min c. Aérosolothérapie par terbutaline/ipratropium bromure (Bricanyl/Atrovent) d. Remplissage vasculaire massif de 2 000 mL de colloïdes e. Osmothérapie par mannitol
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelles sont les séquences d'imagerie par résonnance magnétique à réaliser chez Monsieur A ? a. Séquence pondérée en diffusion b. Séquence pondérée en T1 c. Séquence pondérée en T2* d. Séquence pondérée en Flair e. Angiographie par résonnance magnétique (ARM) dite en "time-of-flight" (TOF) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. L'iconographie ci-dessous est l'imagerie par résonnance magnétique (IRM) cérébrale est réalisée sans délai chez Monsieur A à 10H15 (les deux images supérieures : séquence de diffusion ; les deux images inférieures : séquence FLAIR). Quelles sont les propositions exactes ? a. On visualise un hypersignal en séquence de diffusion b. On visualise un hypersignal en séquence FLAIR c. On visualise un effet de masse d. Cet aspect est compatible avec un accident vasculaire cérébrale (AVC) ischémique à la phase aiguë e. Une imagerie de perfusion est absolument nécessaire avant de poser l'indication d'une thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. recommandations AVC HAS : Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. 10h45 : les séquences T2* de l’IRM et l’ARM sont normales. Il n'existe pas de trouble de la coagulation. L'interrogatoire de la famille permet de confirmer l'heure de début des signes. Après l'IRM, la tension artérielle de Monsieur A est : 220/110 mmHg Quelle est votre prise en charge dans l'heure ? a. Monitorage cardiotensionnel et saturation b. Monitorage clinique de la conscience et de l'examen neurologique c. Thrombolyse intraveineuse dans les 4H30 suivant le début des signes d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent e. Nicardipine (Loxen) en intraveineux à la seringue électrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. 10h58 : le radiologue vous informe, qu'après relecture de l'IRM, il visualise de manière formelle une occlusion de l'artère cérébrale moyenne. Il a transmis les images au radio-embolisteur pour discuter de la thrombectomie en urgence. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. La thrombectomie peut être envisagée dans les 4H30 suivant le début des signes recommandations européenne de la société de neuro-vasculaire : la Thrombectomie Mécanique (TM) est recommandée à la phase aiguë dans le traitement de l’AVC jusqu’à 6 heures après le début des symptômes chez les patients qui présentent une occlusion proximale des artères cérébrales (OPAC) (carotide, cérébrale moyenne, tronc basilaire). (Grade A, Niveau 1a) nouvelle extension récente discutée : dans les 24h suivant l'apparition des signes (n'est pas encore un consensus européen en 2017) b. La thrombectomie peut être réalisée au service d'accueil des urgences vitales (SAUV) plateau de radio-embolisation c. La thrombectomie est possible même si le patient a bénéficié d'une thrombolyse intraveineuse d. La thrombectomie est possible lorsque la thrombolyse est contre-indiquée e. La thrombectomie doit être réalisée le plus rapidement possible dès que son indication a été posée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur A bénéficie d'une thrombolyse intraveineuse. Aucune indication de thrombectomie n'est retenue. Quelle est votre prise en charge et votre surveillance dans les 24H suivant la thrombolyse ? a. Admission en unité de soins intensifs neurovasculaires (USINV) b. Pose d'une sonde nasogastrique c. Paracétamol en intraveineux lent si hyperthermie supérieure ou égale à 38°C d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent (IVL) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse e. Héparine à dose efficace en intraveineux à la seringue électrique (IVSE) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au 3ème jour (72h), une tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection est effectué en raison de l'aggravation de la symptomatologie de Monsieur B. La conclusion de l'examen est "région pariéto-occipitale gauche spontanément hyperdense avec effet de masse sans engagement". Quelles sont les propositions exactes ? a. La TDM cérébrale retrouve une zone hémorragique au sein de l' infarctus b. Ce phénomène est lié à une extravasation de sang au sein d'un foyer "de ramollissement" c. Le mécanisme est lié au rétablissement de la perfusion dans un territoire où les vaisseaux sanguins ont été altérés par l'ischémie d. L'effet de masse est exercé par le saignement e. L'engagement cérébral est une complication possible A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Au retour de l'imagerie, l'examen clinique de Monsieur A est le suivant : - Aucune ouverture des yeux malgré la stimulation douloureuse - Aucune réponse verbale malgré la stimulation douloureuse - Réaction motrice non-orienté par rapport à la douleur - Pupilles : mydriase non-réactive à droite, myosis non-réactif à gauche - Respiration rapide et bruyante. Les constantes sont : - Fréquence cardiaque : 109 battements par minute - Fréquence respiratoire : 32 cycles par minute - Tension artérielle : 92/67 mmHg - Saturation (SpO2) : 91% sous masque à 6 L/min. Dans l'attente du réanimateur, quelles mesures immédiates entreprenez-vous ? a. Decubitus dorsal strict b. Oxygénothérapie par masque à haute concentration 15 L/min c. Aérosolothérapie par terbutaline/ipratropium bromure (Bricanyl/Atrovent) d. Remplissage vasculaire massif de 2 000 mL de colloïdes e. Osmothérapie par mannitol A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le réanimateur arrive au chevet de Monsieur A et décide d'une intubation oro-trachéale et d'une ventilation mécanique. Quels sont les bénéfices attendus de ce geste ? a. Protection des voies aériennes b. Optimisation des échanges gazeux : normoxie c. Optimisation des échanges gazeux : normocapnie d. Optimisation de la pression intracrânienne (PIC) e. Optimisation de la pression de perfusion cérébrale (PPC)
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
8h30 : Monsieur A, 71 ans, présente brutalement à 8 heures 30 un déficit moteur hémicorporel droit responsable d'une chute. Ses antécédents personnels sont : - Hypertension artérielle traitée par Fludex LP® (INDAPAMIDE) 1,5 mg/jour et Lopressor® (métoprolol: 100 mg/j) - Tabagisme actif à 30 paquet-années. Mode de vie : totalement autonome pour toutes les activités de vie quotidienne. 10h00 : Monsieur A arrive au service d'accueil des urgences par ambulance privée. L’examen neurologique effectué à 10H00 est : - Vigilance normale - Déficit sensitivo-moteur complet de l'hémicorps droit avec abolition des réflexes aux membres droits. - Absence de réflexe de clignement à la menace lors de la stimulation droite. Interrogé sur le motif d’hospitalisation, il s’exprime peu et difficilement avec quelques mots qui sont déformés par des modifications de syllabes (exemple : ‘palanquage’ au lieu de ‘langage’) voire remplacés par un autre mot (exemple : ‘table’ au lieu de ‘lit’). Ces troubles sont également observés à la répétition. Il ne réalise pas correctement de nombreuses consignes de l’examen clinique (exemple: ouvre la bouche au lieu d’ouvrir les yeux, lève les yeux au lieu de lever la main). Vous constatez qu’il s'étrangle de façon répétée en avalant sa salive et que sa voix est anormalement rauque.Il n'y a pas de dyspnée et l'auscultation thoracique est normale de même que la palpation des pouls périphériques. Les constantes relevée par l'infirmière sont : - Tension artérielle : 160/80 mmHg (au bras gauche), - Pouls : 88 battements/minute, - Température, à 37°4. - Poids : 76 Kg - Taille :178 cm. Quels sont les déficits présentés par le patient ? a. Hémianopsie latérale homonyme droite b. Aphasie globale c. Apraxie gestuelle d. Hémiplégie droite e. Troubles de la déglutition A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle est votre conduite à tenir sans délai ? a. Tension artérielle aux deux bras b. Pouls périphériques aux 4 membres c. électrocardiogramme d. Glycémie capillaire e. Hémoglobinémie capillaire rapide (Hemocue®) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La glycémie est à 5,6 mmoL/L. La tension est symétrique aux deux bras. L'ECG est sinusal. Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnotique(s) à ce stade ? a. Méningiome b. Accident vasculaire cérébral c. Hypoglycémie d. Dissection carotidienne e. Syndrome de Guillain-Barré A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels examens paracliniques réalisez-vous ? a. Tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection et sans délai b. Numération formule sanguine c. TP et TCA d. Activité anti-Xa e. Ionogramme sanguin A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez la réalisation d'une IRM cérébrale sans délai. Concernant les contre-indications et les précautions d'emploi de cet examen, quelles sont les propositions exactes ? a. Les défibrillateurs implantables mis sur le marché après 2015 sont une contre-indication absolue b. La grossesse est une contre-indication relative c. La claustrophobie est une contre-indication relative d. les éclats métalliques ayant un caractère ferromagnétique risquent de se déplacer ou de s'échauffer e. La présence d'un tatouage dans la zone à étudier expose au risque de brûlure A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelles sont les séquences d'imagerie par résonnance magnétique à réaliser chez Monsieur A ? a. Séquence pondérée en diffusion b. Séquence pondérée en T1 c. Séquence pondérée en T2* d. Séquence pondérée en Flair e. Angiographie par résonnance magnétique (ARM) dite en "time-of-flight" (TOF) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. L'iconographie ci-dessous est l'imagerie par résonnance magnétique (IRM) cérébrale est réalisée sans délai chez Monsieur A à 10H15 (les deux images supérieures : séquence de diffusion ; les deux images inférieures : séquence FLAIR). Quelles sont les propositions exactes ? a. On visualise un hypersignal en séquence de diffusion b. On visualise un hypersignal en séquence FLAIR c. On visualise un effet de masse d. Cet aspect est compatible avec un accident vasculaire cérébrale (AVC) ischémique à la phase aiguë e. Une imagerie de perfusion est absolument nécessaire avant de poser l'indication d'une thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. recommandations AVC HAS : Des séquences pondérées en diffusion, T2*, Flair, ARM temps de vol ou time-of-flight (TOF) sont systématiques alors que l’imagerie de perfusion nécessite du temps additionnel. Elle ne sera réalisée que dans certaines circonstances particulières, notamment si des informations relatives à la viabilité parenchymateuse sont susceptibles de modifier la prise en charge clinique. 10h45 : les séquences T2* de l’IRM et l’ARM sont normales. Il n'existe pas de trouble de la coagulation. L'interrogatoire de la famille permet de confirmer l'heure de début des signes. Après l'IRM, la tension artérielle de Monsieur A est : 220/110 mmHg Quelle est votre prise en charge dans l'heure ? a. Monitorage cardiotensionnel et saturation b. Monitorage clinique de la conscience et de l'examen neurologique c. Thrombolyse intraveineuse dans les 4H30 suivant le début des signes d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent e. Nicardipine (Loxen) en intraveineux à la seringue électrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. 10h58 : le radiologue vous informe, qu'après relecture de l'IRM, il visualise de manière formelle une occlusion de l'artère cérébrale moyenne. Il a transmis les images au radio-embolisteur pour discuter de la thrombectomie en urgence. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. La thrombectomie peut être envisagée dans les 4H30 suivant le début des signes recommandations européenne de la société de neuro-vasculaire : la Thrombectomie Mécanique (TM) est recommandée à la phase aiguë dans le traitement de l’AVC jusqu’à 6 heures après le début des symptômes chez les patients qui présentent une occlusion proximale des artères cérébrales (OPAC) (carotide, cérébrale moyenne, tronc basilaire). (Grade A, Niveau 1a) nouvelle extension récente discutée : dans les 24h suivant l'apparition des signes (n'est pas encore un consensus européen en 2017) b. La thrombectomie peut être réalisée au service d'accueil des urgences vitales (SAUV) plateau de radio-embolisation c. La thrombectomie est possible même si le patient a bénéficié d'une thrombolyse intraveineuse d. La thrombectomie est possible lorsque la thrombolyse est contre-indiquée e. La thrombectomie doit être réalisée le plus rapidement possible dès que son indication a été posée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur A bénéficie d'une thrombolyse intraveineuse. Aucune indication de thrombectomie n'est retenue. Quelle est votre prise en charge et votre surveillance dans les 24H suivant la thrombolyse ? a. Admission en unité de soins intensifs neurovasculaires (USINV) b. Pose d'une sonde nasogastrique c. Paracétamol en intraveineux lent si hyperthermie supérieure ou égale à 38°C d. Acide acétylsalicylique (Kardegic) à la posologie de 160mg en intraveineux lent (IVL) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse e. Héparine à dose efficace en intraveineux à la seringue électrique (IVSE) débuté deux heures après la fin de la thrombolyse intraveineuse A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au 3ème jour (72h), une tomodensitométrie (TDM) cérébrale sans injection est effectué en raison de l'aggravation de la symptomatologie de Monsieur B. La conclusion de l'examen est "région pariéto-occipitale gauche spontanément hyperdense avec effet de masse sans engagement". Quelles sont les propositions exactes ? a. La TDM cérébrale retrouve une zone hémorragique au sein de l' infarctus b. Ce phénomène est lié à une extravasation de sang au sein d'un foyer "de ramollissement" c. Le mécanisme est lié au rétablissement de la perfusion dans un territoire où les vaisseaux sanguins ont été altérés par l'ischémie d. L'effet de masse est exercé par le saignement e. L'engagement cérébral est une complication possible A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Au retour de l'imagerie, l'examen clinique de Monsieur A est le suivant : - Aucune ouverture des yeux malgré la stimulation douloureuse - Aucune réponse verbale malgré la stimulation douloureuse - Réaction motrice non-orienté par rapport à la douleur - Pupilles : mydriase non-réactive à droite, myosis non-réactif à gauche - Respiration rapide et bruyante. Les constantes sont : - Fréquence cardiaque : 109 battements par minute - Fréquence respiratoire : 32 cycles par minute - Tension artérielle : 92/67 mmHg - Saturation (SpO2) : 91% sous masque à 6 L/min. Dans l'attente du réanimateur, quelles mesures immédiates entreprenez-vous ? a. Decubitus dorsal strict b. Oxygénothérapie par masque à haute concentration 15 L/min c. Aérosolothérapie par terbutaline/ipratropium bromure (Bricanyl/Atrovent) d. Remplissage vasculaire massif de 2 000 mL de colloïdes e. Osmothérapie par mannitol A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le réanimateur arrive au chevet de Monsieur A et décide d'une intubation oro-trachéale et d'une ventilation mécanique. Quels sont les bénéfices attendus de ce geste ? a. Protection des voies aériennes b. Optimisation des échanges gazeux : normoxie c. Optimisation des échanges gazeux : normocapnie d. Optimisation de la pression intracrânienne (PIC) e. Optimisation de la pression de perfusion cérébrale (PPC) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Monsieur A est admis en réanimation. Le diagnostic retenu est coma d'origine neurologique (effet de masse sur transformation hémorragique de son accident vasculaire cérébral ischémique) compliqué d'une détresse respiratoire sur pneumopathie d'inhalation. Concernant la pneumopathie d'inhalation, quelles sont les propositions exactes ? a. l’altération de la conscience est présente dans environ 70 % des cas de pneumopathie d'inhalation b. le risque de pneumopathie d'inhalation augmente avec la sévérité de l’altération de la conscience évaluée par le score de Glasgow c. L’atteinte prédominante dans le lobe inférieur droit est classique d. L'antibiothérapie recommandée associe amoxicilline et acide clavulanique (augmentin) e. Il n'est pas nécessaire de documenter la pneumopathie par des prélèvements infectieux "Les facteurs majeurs associés à la mortalité sont l’antibiothérapie empirique inadaptée, la présence d’hémocultures positives associées et, chez les sujets âgés, l’indice de Charlson et l’hypoalbuminémie"
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Madame R. âgée de 35 ans, mère d'une petite fille de 6 ans, consulte en raison d'une anxiété particulière liée à l'apparition d'un cancer du sein bilatéral chez sa mère Madame V. âgée de 65 ans. Cinq ans auparavant, Madame V avait déjà été opérée d'un cancer de l'ovaire. Chez Madame V., le diagnostic de syndrome de prédisposition familiale aux cancers du sein et de l'ovaire repose sur l'observation : a. D'un cancer du sein bilatéral synchrone b. D'un cancer du sein bilatéral métachrone c. D'un cancer du sein et d'un cancer de l'ovaire d. D'un âge supérieur à 60 ans e. De l'absence d'autres cancers
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Madame R. âgée de 35 ans, mère d'une petite fille de 6 ans, consulte en raison d'une anxiété particulière liée à l'apparition d'un cancer du sein bilatéral chez sa mère Madame V. âgée de 65 ans. Cinq ans auparavant, Madame V avait déjà été opérée d'un cancer de l'ovaire. Chez Madame V., le diagnostic de syndrome de prédisposition familiale aux cancers du sein et de l'ovaire repose sur l'observation : a. D'un cancer du sein bilatéral synchrone b. D'un cancer du sein bilatéral métachrone c. D'un cancer du sein et d'un cancer de l'ovaire d. D'un âge supérieur à 60 ans e. De l'absence d'autres cancers A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quelle(s) proposition(s) doit on faire à Mme R. ? a. Test génétique sans tarder chez elle b. Test génétique dans les 6 mois chez elle c. Test génétique sans tarder chez sa mère d. Test génétique dans les 6 mois chez sa mère e. Pas de test génétique pour le moment chez elle
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable, F: Choix incorrect, G: Choix incorrect.
Madame R. âgée de 35 ans, mère d'une petite fille de 6 ans, consulte en raison d'une anxiété particulière liée à l'apparition d'un cancer du sein bilatéral chez sa mère Madame V. âgée de 65 ans. Cinq ans auparavant, Madame V avait déjà été opérée d'un cancer de l'ovaire. Chez Madame V., le diagnostic de syndrome de prédisposition familiale aux cancers du sein et de l'ovaire repose sur l'observation : a. D'un cancer du sein bilatéral synchrone b. D'un cancer du sein bilatéral métachrone c. D'un cancer du sein et d'un cancer de l'ovaire d. D'un âge supérieur à 60 ans e. De l'absence d'autres cancers A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quelle(s) proposition(s) doit on faire à Mme R. ? a. Test génétique sans tarder chez elle b. Test génétique dans les 6 mois chez elle c. Test génétique sans tarder chez sa mère d. Test génétique dans les 6 mois chez sa mère e. Pas de test génétique pour le moment chez elle A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Dans le cas où un test génétique chez sa mère retrouve une mutation délétère, le risque que Mme R. soit porteuse de la même mutation est de : a. 1% b. 10% c. 20% d. 40% e. 50% f. 60% g. 100%
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable, F: Choix incorrect, G: Choix incorrect.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Madame R. âgée de 35 ans, mère d'une petite fille de 6 ans, consulte en raison d'une anxiété particulière liée à l'apparition d'un cancer du sein bilatéral chez sa mère Madame V. âgée de 65 ans. Cinq ans auparavant, Madame V avait déjà été opérée d'un cancer de l'ovaire. Chez Madame V., le diagnostic de syndrome de prédisposition familiale aux cancers du sein et de l'ovaire repose sur l'observation : a. D'un cancer du sein bilatéral synchrone b. D'un cancer du sein bilatéral métachrone c. D'un cancer du sein et d'un cancer de l'ovaire d. D'un âge supérieur à 60 ans e. De l'absence d'autres cancers A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quelle(s) proposition(s) doit on faire à Mme R. ? a. Test génétique sans tarder chez elle b. Test génétique dans les 6 mois chez elle c. Test génétique sans tarder chez sa mère d. Test génétique dans les 6 mois chez sa mère e. Pas de test génétique pour le moment chez elle A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Dans le cas où un test génétique chez sa mère retrouve une mutation délétère, le risque que Mme R. soit porteuse de la même mutation est de : a. 1% b. 10% c. 20% d. 40% e. 50% f. 60% g. 100% A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable, F: Choix incorrect, G: Choix incorrect. Dans le cas où le test génétique de sa mère montre une mutation délétère, et que le test génétique réalisé chez Mme R ne montre pas de mutation, le risque que sa fille âgée de 6 ans soit porteuse de la mutation de sa grand mère est de : a. 0% b. 1% c. 10% d. 20% e. 50%
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Madame R. âgée de 35 ans, mère d'une petite fille de 6 ans, consulte en raison d'une anxiété particulière liée à l'apparition d'un cancer du sein bilatéral chez sa mère Madame V. âgée de 65 ans. Cinq ans auparavant, Madame V avait déjà été opérée d'un cancer de l'ovaire. Chez Madame V., le diagnostic de syndrome de prédisposition familiale aux cancers du sein et de l'ovaire repose sur l'observation : a. D'un cancer du sein bilatéral synchrone b. D'un cancer du sein bilatéral métachrone c. D'un cancer du sein et d'un cancer de l'ovaire d. D'un âge supérieur à 60 ans e. De l'absence d'autres cancers A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quelle(s) proposition(s) doit on faire à Mme R. ? a. Test génétique sans tarder chez elle b. Test génétique dans les 6 mois chez elle c. Test génétique sans tarder chez sa mère d. Test génétique dans les 6 mois chez sa mère e. Pas de test génétique pour le moment chez elle A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Dans le cas où un test génétique chez sa mère retrouve une mutation délétère, le risque que Mme R. soit porteuse de la même mutation est de : a. 1% b. 10% c. 20% d. 40% e. 50% f. 60% g. 100% A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable, F: Choix incorrect, G: Choix incorrect. Dans le cas où le test génétique de sa mère montre une mutation délétère, et que le test génétique réalisé chez Mme R ne montre pas de mutation, le risque que sa fille âgée de 6 ans soit porteuse de la mutation de sa grand mère est de : a. 0% b. 1% c. 10% d. 20% e. 50% A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Mme R. a été retrouvée porteuse d'une mutation constitutionnelle prédisposante. La surveillance doit comporter : a. Un examen clinique des seins tous les 6 mois b. Un examen clinique des seins tous les 12 mois c. Une mammographie avec échographie tous les 6 mois d. Une mammographie avec échographie tous les 12 mois e. Une mammographie sans échographie tous les 6 mois
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Madame R. âgée de 35 ans, mère d'une petite fille de 6 ans, consulte en raison d'une anxiété particulière liée à l'apparition d'un cancer du sein bilatéral chez sa mère Madame V. âgée de 65 ans. Cinq ans auparavant, Madame V avait déjà été opérée d'un cancer de l'ovaire. Chez Madame V., le diagnostic de syndrome de prédisposition familiale aux cancers du sein et de l'ovaire repose sur l'observation : a. D'un cancer du sein bilatéral synchrone b. D'un cancer du sein bilatéral métachrone c. D'un cancer du sein et d'un cancer de l'ovaire d. D'un âge supérieur à 60 ans e. De l'absence d'autres cancers A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quelle(s) proposition(s) doit on faire à Mme R. ? a. Test génétique sans tarder chez elle b. Test génétique dans les 6 mois chez elle c. Test génétique sans tarder chez sa mère d. Test génétique dans les 6 mois chez sa mère e. Pas de test génétique pour le moment chez elle A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Dans le cas où un test génétique chez sa mère retrouve une mutation délétère, le risque que Mme R. soit porteuse de la même mutation est de : a. 1% b. 10% c. 20% d. 40% e. 50% f. 60% g. 100% A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable, F: Choix incorrect, G: Choix incorrect. Dans le cas où le test génétique de sa mère montre une mutation délétère, et que le test génétique réalisé chez Mme R ne montre pas de mutation, le risque que sa fille âgée de 6 ans soit porteuse de la mutation de sa grand mère est de : a. 0% b. 1% c. 10% d. 20% e. 50% A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Mme R. a été retrouvée porteuse d'une mutation constitutionnelle prédisposante. La surveillance doit comporter : a. Un examen clinique des seins tous les 6 mois b. Un examen clinique des seins tous les 12 mois c. Une mammographie avec échographie tous les 6 mois d. Une mammographie avec échographie tous les 12 mois e. Une mammographie sans échographie tous les 6 mois A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Il est recommandé de discuter avec Mme R. des propositions chirurgicales suivantes : a. Ovariectomie avec annexectomie bilatérale b. Ovariectomie avec conservation des annexes c. Annexectomie bilatérale avec conservation des ovaires d. Mastectomie bilatérale sans reconstruction immédiate e. Mastectomie bilatérale avec reconstruction immédiate
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Un enfant de deux ans est hospitalisé pour une hyperthermie entre 38° 5, apparue depuis 3 jours, et associée à des douleurs diffuses des membres. Ces douleurs se situent au niveau des membres et du dos et sont présentes en fait depuis trois semaines : elles sont partiellement calmées par du paracétamol et ibuprofen. L'enfant est pâle & prostré, refusant tout contact. Son examen neurologique est normal. La pression artérielle est mesurée à 140/95 mm Hg, le pouls est à 110/mm par minutes, la saturation transcutanée est mesurée à 97%. Le poids est de 13 kg pour une taille de 87 cm. Quelle ÉCHELLE DE DOULEUR peut-on utiliser pour évaluer la douleur d'un enfant de 2 ans ? a. Échelle visuelle analogique b. Echelle des six visages c. Echelle numérique simple d. Echelle EVENDOL e. Jetons
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Chez un enfant de deux ans, seule une échelle d'hétéro-évaluation (EVENDOL) peut être utilisée.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Un enfant de deux ans est hospitalisé pour une hyperthermie entre 38° 5, apparue depuis 3 jours, et associée à des douleurs diffuses des membres. Ces douleurs se situent au niveau des membres et du dos et sont présentes en fait depuis trois semaines : elles sont partiellement calmées par du paracétamol et ibuprofen. L'enfant est pâle & prostré, refusant tout contact. Son examen neurologique est normal. La pression artérielle est mesurée à 140/95 mm Hg, le pouls est à 110/mm par minutes, la saturation transcutanée est mesurée à 97%. Le poids est de 13 kg pour une taille de 87 cm. Quelle ÉCHELLE DE DOULEUR peut-on utiliser pour évaluer la douleur d'un enfant de 2 ans ? a. Échelle visuelle analogique b. Echelle des six visages c. Echelle numérique simple d. Echelle EVENDOL e. Jetons A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Chez un enfant de deux ans, seule une échelle d'hétéro-évaluation (EVENDOL) peut être utilisée. Vous songez à donner des antalgiques de palier sup à 1. Quelles sont les recommandations justes pour la prescription des antalgiques en pédiatrie ? a. Le tramadol comprimé est indiqué en pédiatrie pour les douleurs intenses b. Le paracétamol n’est pas indiqué dans les douleurs neuropathiques c. La posologie du paracétamol oral est identique chez l’enfant quel que soit l’âge d. L’ibuprofène est contre-indiqué dans le contexte d'une varicelle e. La codéine n’est plus autorisée désormais en chirurgie ORL
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. posologie paracétamol : 60 mg/kg/j en 4 prises soit 15 mg/kg/6 h (= dose poids/prise) et l’AMM est dès la période NN. C’est la posologie IV qui est différente selon l'âge : 1 an et/ou <10 kg : 7 , 5 mg/kg/6 h, - au-delà : 15 mg/kg/6 h IVL 20 min ATTENTION au surdosage pour le tramadol en pédiatrie, à l'origine d'accidents graves. Posologie en gouttes. 1 goutte = 2,5mg de chlorh. de Tramadol. Poso 1-2 mg/kg par prise / 3 à 4 fois par jour. L’ANSM a reçu des signalements de surdosages en tramadol présenté en solution buvable (destiné aux enfants). Ces surdosages sont liés à des erreurs médicamenteuses principalement dues à un manque d'information des patients pour bien utiliser ces médicaments, ou à une incompréhension de la posologie prescrite. L'ANSM émet donc des recommandations pour prévenir ces risques de surdosages. Rappel : en France, deux spécialités de tramadol en solution buvable dosées à 100 mg/mL et présentées en flacon compte-goutte sont commercialisées : CONTRAMAL 100 mg/ml sol buv et TOPALGIC 100 mg/ml sol buv. L'ANSM souhaite une vigilance accrue à tous les niveaux : prescription, délivrance, utilisation Une prescription précise, compréhensible, exprimée en goutte L'ANSM rappelle aux prescripteurs que la posologie de tramadol (cf. détails supra) en solution buvable doit être exprimée en gouttes. Le prescripteur doit clairement indiquer sur l'ordonnance la posologie en nombre de gouttes par prise et en nombre de prises par jour.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Un enfant de deux ans est hospitalisé pour une hyperthermie entre 38° 5, apparue depuis 3 jours, et associée à des douleurs diffuses des membres. Ces douleurs se situent au niveau des membres et du dos et sont présentes en fait depuis trois semaines : elles sont partiellement calmées par du paracétamol et ibuprofen. L'enfant est pâle & prostré, refusant tout contact. Son examen neurologique est normal. La pression artérielle est mesurée à 140/95 mm Hg, le pouls est à 110/mm par minutes, la saturation transcutanée est mesurée à 97%. Le poids est de 13 kg pour une taille de 87 cm. Quelle ÉCHELLE DE DOULEUR peut-on utiliser pour évaluer la douleur d'un enfant de 2 ans ? a. Échelle visuelle analogique b. Echelle des six visages c. Echelle numérique simple d. Echelle EVENDOL e. Jetons A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Chez un enfant de deux ans, seule une échelle d'hétéro-évaluation (EVENDOL) peut être utilisée. Vous songez à donner des antalgiques de palier sup à 1. Quelles sont les recommandations justes pour la prescription des antalgiques en pédiatrie ? a. Le tramadol comprimé est indiqué en pédiatrie pour les douleurs intenses b. Le paracétamol n’est pas indiqué dans les douleurs neuropathiques c. La posologie du paracétamol oral est identique chez l’enfant quel que soit l’âge d. L’ibuprofène est contre-indiqué dans le contexte d'une varicelle e. La codéine n’est plus autorisée désormais en chirurgie ORL A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. posologie paracétamol : 60 mg/kg/j en 4 prises soit 15 mg/kg/6 h (= dose poids/prise) et l’AMM est dès la période NN. C’est la posologie IV qui est différente selon l'âge : 1 an et/ou <10 kg : 7 , 5 mg/kg/6 h, - au-delà : 15 mg/kg/6 h IVL 20 min ATTENTION au surdosage pour le tramadol en pédiatrie, à l'origine d'accidents graves. Posologie en gouttes. 1 goutte = 2,5mg de chlorh. de Tramadol. Poso 1-2 mg/kg par prise / 3 à 4 fois par jour. L’ANSM a reçu des signalements de surdosages en tramadol présenté en solution buvable (destiné aux enfants). Ces surdosages sont liés à des erreurs médicamenteuses principalement dues à un manque d'information des patients pour bien utiliser ces médicaments, ou à une incompréhension de la posologie prescrite. L'ANSM émet donc des recommandations pour prévenir ces risques de surdosages. Rappel : en France, deux spécialités de tramadol en solution buvable dosées à 100 mg/mL et présentées en flacon compte-goutte sont commercialisées : CONTRAMAL 100 mg/ml sol buv et TOPALGIC 100 mg/ml sol buv. L'ANSM souhaite une vigilance accrue à tous les niveaux : prescription, délivrance, utilisation Une prescription précise, compréhensible, exprimée en goutte L'ANSM rappelle aux prescripteurs que la posologie de tramadol (cf. détails supra) en solution buvable doit être exprimée en gouttes. Le prescripteur doit clairement indiquer sur l'ordonnance la posologie en nombre de gouttes par prise et en nombre de prises par jour. Quel traitement prescrivez-vous en première intention pour la symptomatologie douloureuse présentée par cet enfant ? a. codéine seul ou associé au Paracétamol b. paracétamol seul c. anti inflammatoire non stéroïdien d. Morphine e. Médicaments des douleurs neuropathiques
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Le traitement de cette douleur d’allure nociceptive, (et pour laquel existent possiblement des douleurs d'origine neurologiques malgré un examen neurologique normal) repose sur l'utilisation de moyens médicamenteux d’efficacité rapide en suggérant l'utilisation d'emblée pour des douleurs sévères comme des douleurs métastatiques osseuses des morphiniques. Le paracétamol est utilisable aussi mais non seul mais associées aux morphiniques. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens ont de nombreux effets indésirables, et sont probablement très insuffisants dans la situation décrite dans ce dossier. ! Toxicité rénale accrue en cas de déshydratation/dénutrition, risque d’aggravation de l’hémostase. Pour rappel une fois encore, la codéine n'est plus autorisée chez l'enfant de moins de 12 ans ( et en chir ORL accidents survenus après amygdalectomie, adénoidectomie). Le palier III i.e. la morphine est le médicament par voie intraveineuse qui a le plus de chance rapidement de soulager cet enfant intensément douloureux.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Ce vaccin: Cochez la(es) réponses(s) exacte(s) a. Permet une protection vis à vis du HSV (herpes simplex virus) b. Ne sera pas efficace chez Laura c. Dispensera Laura du suivi traditionnel par frottis du col si le schéma vaccinal est complet d. N'est pas remboursé par la sécurité sociale e. Vise surtout les virus oncogènes de type 16 et 18
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Vaccin remboursé selon les clauses de vaccinations prévues dans le BEH 3 injections Prévention des lésions cervicales induites par les HPV oncogènes 16-18 (les principaux) Ne dispense pas (pour le moment) d'un suivi traditionnel car pas fiable à 100%.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Ce vaccin: Cochez la(es) réponses(s) exacte(s) a. Permet une protection vis à vis du HSV (herpes simplex virus) b. Ne sera pas efficace chez Laura c. Dispensera Laura du suivi traditionnel par frottis du col si le schéma vaccinal est complet d. N'est pas remboursé par la sécurité sociale e. Vise surtout les virus oncogènes de type 16 et 18 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Vaccin remboursé selon les clauses de vaccinations prévues dans le BEH 3 injections Prévention des lésions cervicales induites par les HPV oncogènes 16-18 (les principaux) Ne dispense pas (pour le moment) d'un suivi traditionnel car pas fiable à 100%. A l'interrogatoire, vous retrouvez la notion d'un cancer du sein chez la grand mère et chez une tante de Laura à 40 ans ainsi qu'un cancer de l'ovaire chez une cousine au 2ème degré toujours du coté maternel. Laura n'a jamais été opérée. Elle pèse 50kg pour 1m65 et prend un traitement pour l'asthme allergique ponctuellement. Me G a entendu parler dans la presse de l'existence d'une mutation génétique "comme Angélina Jolie" et vous demande si on peut la rechercher chez sa fille. Quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. L'oncogénéticien peut proposer à Laura une recherche de mutation génétique b. Les mutations suspectées dans cette famille sont BRCA 1 et 2 c. Etant donné le risque familial de cancer, vous ne prescrivez pas de contraception de type hormonal à Laura d. L'oncogénéticien va surement proposer une recherche de mutation à Me G si elle en fait la demande e. Me G devrait avoir eu des mammographies avant 50 ans
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mutations BRCA 1 et 2 augmentent fortement le risque de cancer du sein et de l'ovaire et sont suspectées en cas d'antécédents familiaux au 1er degré ou de plusieurs cas au 2ème degré. Les patientes sont évaluées par un oncogénéticien puis si elles sont majeures et en font la demande, une recherche génétique peut etre effectuée. La contraception n'est pas modifiée pour la jeune fille ou la femme qui n'a pas d'antécédent personnel de cancer hormono-dépendant. Le dépistage individuel doit etre fait de manière plus précoce chez des familles dites "à risque ".
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Ce vaccin: Cochez la(es) réponses(s) exacte(s) a. Permet une protection vis à vis du HSV (herpes simplex virus) b. Ne sera pas efficace chez Laura c. Dispensera Laura du suivi traditionnel par frottis du col si le schéma vaccinal est complet d. N'est pas remboursé par la sécurité sociale e. Vise surtout les virus oncogènes de type 16 et 18 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Vaccin remboursé selon les clauses de vaccinations prévues dans le BEH 3 injections Prévention des lésions cervicales induites par les HPV oncogènes 16-18 (les principaux) Ne dispense pas (pour le moment) d'un suivi traditionnel car pas fiable à 100%. A l'interrogatoire, vous retrouvez la notion d'un cancer du sein chez la grand mère et chez une tante de Laura à 40 ans ainsi qu'un cancer de l'ovaire chez une cousine au 2ème degré toujours du coté maternel. Laura n'a jamais été opérée. Elle pèse 50kg pour 1m65 et prend un traitement pour l'asthme allergique ponctuellement. Me G a entendu parler dans la presse de l'existence d'une mutation génétique "comme Angélina Jolie" et vous demande si on peut la rechercher chez sa fille. Quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. L'oncogénéticien peut proposer à Laura une recherche de mutation génétique b. Les mutations suspectées dans cette famille sont BRCA 1 et 2 c. Etant donné le risque familial de cancer, vous ne prescrivez pas de contraception de type hormonal à Laura d. L'oncogénéticien va surement proposer une recherche de mutation à Me G si elle en fait la demande e. Me G devrait avoir eu des mammographies avant 50 ans A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mutations BRCA 1 et 2 augmentent fortement le risque de cancer du sein et de l'ovaire et sont suspectées en cas d'antécédents familiaux au 1er degré ou de plusieurs cas au 2ème degré. Les patientes sont évaluées par un oncogénéticien puis si elles sont majeures et en font la demande, une recherche génétique peut etre effectuée. La contraception n'est pas modifiée pour la jeune fille ou la femme qui n'a pas d'antécédent personnel de cancer hormono-dépendant. Le dépistage individuel doit etre fait de manière plus précoce chez des familles dites "à risque ". Vous décidez finalement de prescrire une contraception oestroprogestative à Laura. Quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) exacte(s)? a. Vous pouvez prescire de l'acetate de nomegestrol b. Vous prescrivez aussi une glycémie, dosage cholestérol total et triglycérides à jeun dans 3 mois c. Vous lui proposez de commencer le soir même si le dosage sanguin de bêtaHCG qu'elle vient de faire est négatif d. Vous proposez à Laura de la voir sans sa maman pour discuter de tout cela dans le respect de la confidentialité e. Vous lui donnez une ordonnance pour un an et la reverrez à l'issue pour le renouvellement
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'acétate de nomegestrol est un macroprogestatif et n'a pas l'AMM en tant que contraceptif. Le suivi biologique se renouvelle tous les 5 ans lors d'une contraception oetroprogestative. La consultation de l'adolescente doit dans l'idéal etre réalisée au moins en partie en tete à tete sans les parents (cf recommandations HAS "Contraception de l'adolescente"). Le renouvelement d'une première contraception est à 3 mois. La 1ère pilule peut etre prise le 1er soir des règles ou le jour même si le taux de BHCG est négatif.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Ce vaccin: Cochez la(es) réponses(s) exacte(s) a. Permet une protection vis à vis du HSV (herpes simplex virus) b. Ne sera pas efficace chez Laura c. Dispensera Laura du suivi traditionnel par frottis du col si le schéma vaccinal est complet d. N'est pas remboursé par la sécurité sociale e. Vise surtout les virus oncogènes de type 16 et 18 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Vaccin remboursé selon les clauses de vaccinations prévues dans le BEH 3 injections Prévention des lésions cervicales induites par les HPV oncogènes 16-18 (les principaux) Ne dispense pas (pour le moment) d'un suivi traditionnel car pas fiable à 100%. A l'interrogatoire, vous retrouvez la notion d'un cancer du sein chez la grand mère et chez une tante de Laura à 40 ans ainsi qu'un cancer de l'ovaire chez une cousine au 2ème degré toujours du coté maternel. Laura n'a jamais été opérée. Elle pèse 50kg pour 1m65 et prend un traitement pour l'asthme allergique ponctuellement. Me G a entendu parler dans la presse de l'existence d'une mutation génétique "comme Angélina Jolie" et vous demande si on peut la rechercher chez sa fille. Quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. L'oncogénéticien peut proposer à Laura une recherche de mutation génétique b. Les mutations suspectées dans cette famille sont BRCA 1 et 2 c. Etant donné le risque familial de cancer, vous ne prescrivez pas de contraception de type hormonal à Laura d. L'oncogénéticien va surement proposer une recherche de mutation à Me G si elle en fait la demande e. Me G devrait avoir eu des mammographies avant 50 ans A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mutations BRCA 1 et 2 augmentent fortement le risque de cancer du sein et de l'ovaire et sont suspectées en cas d'antécédents familiaux au 1er degré ou de plusieurs cas au 2ème degré. Les patientes sont évaluées par un oncogénéticien puis si elles sont majeures et en font la demande, une recherche génétique peut etre effectuée. La contraception n'est pas modifiée pour la jeune fille ou la femme qui n'a pas d'antécédent personnel de cancer hormono-dépendant. Le dépistage individuel doit etre fait de manière plus précoce chez des familles dites "à risque ". Vous décidez finalement de prescrire une contraception oestroprogestative à Laura. Quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) exacte(s)? a. Vous pouvez prescire de l'acetate de nomegestrol b. Vous prescrivez aussi une glycémie, dosage cholestérol total et triglycérides à jeun dans 3 mois c. Vous lui proposez de commencer le soir même si le dosage sanguin de bêtaHCG qu'elle vient de faire est négatif d. Vous proposez à Laura de la voir sans sa maman pour discuter de tout cela dans le respect de la confidentialité e. Vous lui donnez une ordonnance pour un an et la reverrez à l'issue pour le renouvellement A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'acétate de nomegestrol est un macroprogestatif et n'a pas l'AMM en tant que contraceptif. Le suivi biologique se renouvelle tous les 5 ans lors d'une contraception oetroprogestative. La consultation de l'adolescente doit dans l'idéal etre réalisée au moins en partie en tete à tete sans les parents (cf recommandations HAS "Contraception de l'adolescente"). Le renouvelement d'une première contraception est à 3 mois. La 1ère pilule peut etre prise le 1er soir des règles ou le jour même si le taux de BHCG est négatif. Me G revient vous voir seule quelques mois plus tard pour son suivi gynécologique annuel. Elle n'a plus de règles depuis maintenant un an, elle prend un traitement hormonal substitutif de la ménopause depuis 2 mois car elle avait beaucoup de bouffées de chaleur la nuit et n'arrivait plus à dormir. Elle vous apporte sa mammographie classée ACR 3 pour laquelle elle est très inquiète. Elle a demandé à rencontrer l'oncogénéticien et est en attente des résutats de sa recherche de mutation génétique BRCA. Elle vous signale aussi des dyspareunies profondes ainsi que des épisodes douloureux pelviens aigus intermittents depuis quelques mois. Son médecin généraliste a déjà fait réaliser une analyse d'urine qui est normale. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s)? a. Vous lui prescivez une échographie pelvienne b. Vous lui precrivez un dosage du Ca 15.3 et du Ca125 pour écarter un cancer c. Vous lui demandez si elle a bien un contrôle de sa mammographie à 6 mois et lui proposez de la revoir avec les résultats d. Vous lui faites réaliser une biopsie chirurgicale du sein e. Vous recherchez un kyste ovarien supect
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Ce vaccin: Cochez la(es) réponses(s) exacte(s) a. Permet une protection vis à vis du HSV (herpes simplex virus) b. Ne sera pas efficace chez Laura c. Dispensera Laura du suivi traditionnel par frottis du col si le schéma vaccinal est complet d. N'est pas remboursé par la sécurité sociale e. Vise surtout les virus oncogènes de type 16 et 18 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Vaccin remboursé selon les clauses de vaccinations prévues dans le BEH 3 injections Prévention des lésions cervicales induites par les HPV oncogènes 16-18 (les principaux) Ne dispense pas (pour le moment) d'un suivi traditionnel car pas fiable à 100%. A l'interrogatoire, vous retrouvez la notion d'un cancer du sein chez la grand mère et chez une tante de Laura à 40 ans ainsi qu'un cancer de l'ovaire chez une cousine au 2ème degré toujours du coté maternel. Laura n'a jamais été opérée. Elle pèse 50kg pour 1m65 et prend un traitement pour l'asthme allergique ponctuellement. Me G a entendu parler dans la presse de l'existence d'une mutation génétique "comme Angélina Jolie" et vous demande si on peut la rechercher chez sa fille. Quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. L'oncogénéticien peut proposer à Laura une recherche de mutation génétique b. Les mutations suspectées dans cette famille sont BRCA 1 et 2 c. Etant donné le risque familial de cancer, vous ne prescrivez pas de contraception de type hormonal à Laura d. L'oncogénéticien va surement proposer une recherche de mutation à Me G si elle en fait la demande e. Me G devrait avoir eu des mammographies avant 50 ans A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mutations BRCA 1 et 2 augmentent fortement le risque de cancer du sein et de l'ovaire et sont suspectées en cas d'antécédents familiaux au 1er degré ou de plusieurs cas au 2ème degré. Les patientes sont évaluées par un oncogénéticien puis si elles sont majeures et en font la demande, une recherche génétique peut etre effectuée. La contraception n'est pas modifiée pour la jeune fille ou la femme qui n'a pas d'antécédent personnel de cancer hormono-dépendant. Le dépistage individuel doit etre fait de manière plus précoce chez des familles dites "à risque ". Vous décidez finalement de prescrire une contraception oestroprogestative à Laura. Quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) exacte(s)? a. Vous pouvez prescire de l'acetate de nomegestrol b. Vous prescrivez aussi une glycémie, dosage cholestérol total et triglycérides à jeun dans 3 mois c. Vous lui proposez de commencer le soir même si le dosage sanguin de bêtaHCG qu'elle vient de faire est négatif d. Vous proposez à Laura de la voir sans sa maman pour discuter de tout cela dans le respect de la confidentialité e. Vous lui donnez une ordonnance pour un an et la reverrez à l'issue pour le renouvellement A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'acétate de nomegestrol est un macroprogestatif et n'a pas l'AMM en tant que contraceptif. Le suivi biologique se renouvelle tous les 5 ans lors d'une contraception oetroprogestative. La consultation de l'adolescente doit dans l'idéal etre réalisée au moins en partie en tete à tete sans les parents (cf recommandations HAS "Contraception de l'adolescente"). Le renouvelement d'une première contraception est à 3 mois. La 1ère pilule peut etre prise le 1er soir des règles ou le jour même si le taux de BHCG est négatif. Me G revient vous voir seule quelques mois plus tard pour son suivi gynécologique annuel. Elle n'a plus de règles depuis maintenant un an, elle prend un traitement hormonal substitutif de la ménopause depuis 2 mois car elle avait beaucoup de bouffées de chaleur la nuit et n'arrivait plus à dormir. Elle vous apporte sa mammographie classée ACR 3 pour laquelle elle est très inquiète. Elle a demandé à rencontrer l'oncogénéticien et est en attente des résutats de sa recherche de mutation génétique BRCA. Elle vous signale aussi des dyspareunies profondes ainsi que des épisodes douloureux pelviens aigus intermittents depuis quelques mois. Son médecin généraliste a déjà fait réaliser une analyse d'urine qui est normale. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s)? a. Vous lui prescivez une échographie pelvienne b. Vous lui precrivez un dosage du Ca 15.3 et du Ca125 pour écarter un cancer c. Vous lui demandez si elle a bien un contrôle de sa mammographie à 6 mois et lui proposez de la revoir avec les résultats d. Vous lui faites réaliser une biopsie chirurgicale du sein e. Vous recherchez un kyste ovarien supect A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. En échographie, quels sont les critères suspects d'une malignité pour ce kyste ovarien droit ? a. La taille supérieure à 3 cm b. La présence d'un épanchement péritonéal associé c. La présence de cloisons intra-kystiques d. L'épaisseur de la paroi du kyste e. La forme du kyste
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Ce vaccin: Cochez la(es) réponses(s) exacte(s) a. Permet une protection vis à vis du HSV (herpes simplex virus) b. Ne sera pas efficace chez Laura c. Dispensera Laura du suivi traditionnel par frottis du col si le schéma vaccinal est complet d. N'est pas remboursé par la sécurité sociale e. Vise surtout les virus oncogènes de type 16 et 18 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Vaccin remboursé selon les clauses de vaccinations prévues dans le BEH 3 injections Prévention des lésions cervicales induites par les HPV oncogènes 16-18 (les principaux) Ne dispense pas (pour le moment) d'un suivi traditionnel car pas fiable à 100%. A l'interrogatoire, vous retrouvez la notion d'un cancer du sein chez la grand mère et chez une tante de Laura à 40 ans ainsi qu'un cancer de l'ovaire chez une cousine au 2ème degré toujours du coté maternel. Laura n'a jamais été opérée. Elle pèse 50kg pour 1m65 et prend un traitement pour l'asthme allergique ponctuellement. Me G a entendu parler dans la presse de l'existence d'une mutation génétique "comme Angélina Jolie" et vous demande si on peut la rechercher chez sa fille. Quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. L'oncogénéticien peut proposer à Laura une recherche de mutation génétique b. Les mutations suspectées dans cette famille sont BRCA 1 et 2 c. Etant donné le risque familial de cancer, vous ne prescrivez pas de contraception de type hormonal à Laura d. L'oncogénéticien va surement proposer une recherche de mutation à Me G si elle en fait la demande e. Me G devrait avoir eu des mammographies avant 50 ans A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mutations BRCA 1 et 2 augmentent fortement le risque de cancer du sein et de l'ovaire et sont suspectées en cas d'antécédents familiaux au 1er degré ou de plusieurs cas au 2ème degré. Les patientes sont évaluées par un oncogénéticien puis si elles sont majeures et en font la demande, une recherche génétique peut etre effectuée. La contraception n'est pas modifiée pour la jeune fille ou la femme qui n'a pas d'antécédent personnel de cancer hormono-dépendant. Le dépistage individuel doit etre fait de manière plus précoce chez des familles dites "à risque ". Vous décidez finalement de prescrire une contraception oestroprogestative à Laura. Quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) exacte(s)? a. Vous pouvez prescire de l'acetate de nomegestrol b. Vous prescrivez aussi une glycémie, dosage cholestérol total et triglycérides à jeun dans 3 mois c. Vous lui proposez de commencer le soir même si le dosage sanguin de bêtaHCG qu'elle vient de faire est négatif d. Vous proposez à Laura de la voir sans sa maman pour discuter de tout cela dans le respect de la confidentialité e. Vous lui donnez une ordonnance pour un an et la reverrez à l'issue pour le renouvellement A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'acétate de nomegestrol est un macroprogestatif et n'a pas l'AMM en tant que contraceptif. Le suivi biologique se renouvelle tous les 5 ans lors d'une contraception oetroprogestative. La consultation de l'adolescente doit dans l'idéal etre réalisée au moins en partie en tete à tete sans les parents (cf recommandations HAS "Contraception de l'adolescente"). Le renouvelement d'une première contraception est à 3 mois. La 1ère pilule peut etre prise le 1er soir des règles ou le jour même si le taux de BHCG est négatif. Me G revient vous voir seule quelques mois plus tard pour son suivi gynécologique annuel. Elle n'a plus de règles depuis maintenant un an, elle prend un traitement hormonal substitutif de la ménopause depuis 2 mois car elle avait beaucoup de bouffées de chaleur la nuit et n'arrivait plus à dormir. Elle vous apporte sa mammographie classée ACR 3 pour laquelle elle est très inquiète. Elle a demandé à rencontrer l'oncogénéticien et est en attente des résutats de sa recherche de mutation génétique BRCA. Elle vous signale aussi des dyspareunies profondes ainsi que des épisodes douloureux pelviens aigus intermittents depuis quelques mois. Son médecin généraliste a déjà fait réaliser une analyse d'urine qui est normale. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s)? a. Vous lui prescivez une échographie pelvienne b. Vous lui precrivez un dosage du Ca 15.3 et du Ca125 pour écarter un cancer c. Vous lui demandez si elle a bien un contrôle de sa mammographie à 6 mois et lui proposez de la revoir avec les résultats d. Vous lui faites réaliser une biopsie chirurgicale du sein e. Vous recherchez un kyste ovarien supect A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. En échographie, quels sont les critères suspects d'une malignité pour ce kyste ovarien droit ? a. La taille supérieure à 3 cm b. La présence d'un épanchement péritonéal associé c. La présence de cloisons intra-kystiques d. L'épaisseur de la paroi du kyste e. La forme du kyste A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Me G devait vous revoir en consultation dans quelques jours mais elle arrive aux urgences pour un épisode douloureux abdominal depuis 3h de temps cette nuit, elle a vomi et présente une EVA à 8/10. A l'examen il existe une douleur intense à la palpation abdomino-pelvienne, diffuse. Le toucher vaginal et l'échographie vaginale sont impossibles compte tenu de la douleur intense et diffuse malgré un antalgique de pallier 2. Elle e présenté un malaise de type vagal. Vous lui proposez de réaliser: Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? a. Un bilan hépatique b. Une échographie abdominale à but diagnostique en urgence c. Une IRM pelvienne en urgence d. Un scanner à but diagnostique e. Une coelioscopie exploratrice
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Cancérologie - Radiothérapie
3
8
1,319
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Ce vaccin: Cochez la(es) réponses(s) exacte(s) a. Permet une protection vis à vis du HSV (herpes simplex virus) b. Ne sera pas efficace chez Laura c. Dispensera Laura du suivi traditionnel par frottis du col si le schéma vaccinal est complet d. N'est pas remboursé par la sécurité sociale e. Vise surtout les virus oncogènes de type 16 et 18 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Vaccin remboursé selon les clauses de vaccinations prévues dans le BEH 3 injections Prévention des lésions cervicales induites par les HPV oncogènes 16-18 (les principaux) Ne dispense pas (pour le moment) d'un suivi traditionnel car pas fiable à 100%. A l'interrogatoire, vous retrouvez la notion d'un cancer du sein chez la grand mère et chez une tante de Laura à 40 ans ainsi qu'un cancer de l'ovaire chez une cousine au 2ème degré toujours du coté maternel. Laura n'a jamais été opérée. Elle pèse 50kg pour 1m65 et prend un traitement pour l'asthme allergique ponctuellement. Me G a entendu parler dans la presse de l'existence d'une mutation génétique "comme Angélina Jolie" et vous demande si on peut la rechercher chez sa fille. Quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. L'oncogénéticien peut proposer à Laura une recherche de mutation génétique b. Les mutations suspectées dans cette famille sont BRCA 1 et 2 c. Etant donné le risque familial de cancer, vous ne prescrivez pas de contraception de type hormonal à Laura d. L'oncogénéticien va surement proposer une recherche de mutation à Me G si elle en fait la demande e. Me G devrait avoir eu des mammographies avant 50 ans A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mutations BRCA 1 et 2 augmentent fortement le risque de cancer du sein et de l'ovaire et sont suspectées en cas d'antécédents familiaux au 1er degré ou de plusieurs cas au 2ème degré. Les patientes sont évaluées par un oncogénéticien puis si elles sont majeures et en font la demande, une recherche génétique peut etre effectuée. La contraception n'est pas modifiée pour la jeune fille ou la femme qui n'a pas d'antécédent personnel de cancer hormono-dépendant. Le dépistage individuel doit etre fait de manière plus précoce chez des familles dites "à risque ". Vous décidez finalement de prescrire une contraception oestroprogestative à Laura. Quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) exacte(s)? a. Vous pouvez prescire de l'acetate de nomegestrol b. Vous prescrivez aussi une glycémie, dosage cholestérol total et triglycérides à jeun dans 3 mois c. Vous lui proposez de commencer le soir même si le dosage sanguin de bêtaHCG qu'elle vient de faire est négatif d. Vous proposez à Laura de la voir sans sa maman pour discuter de tout cela dans le respect de la confidentialité e. Vous lui donnez une ordonnance pour un an et la reverrez à l'issue pour le renouvellement A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'acétate de nomegestrol est un macroprogestatif et n'a pas l'AMM en tant que contraceptif. Le suivi biologique se renouvelle tous les 5 ans lors d'une contraception oetroprogestative. La consultation de l'adolescente doit dans l'idéal etre réalisée au moins en partie en tete à tete sans les parents (cf recommandations HAS "Contraception de l'adolescente"). Le renouvelement d'une première contraception est à 3 mois. La 1ère pilule peut etre prise le 1er soir des règles ou le jour même si le taux de BHCG est négatif. Me G revient vous voir seule quelques mois plus tard pour son suivi gynécologique annuel. Elle n'a plus de règles depuis maintenant un an, elle prend un traitement hormonal substitutif de la ménopause depuis 2 mois car elle avait beaucoup de bouffées de chaleur la nuit et n'arrivait plus à dormir. Elle vous apporte sa mammographie classée ACR 3 pour laquelle elle est très inquiète. Elle a demandé à rencontrer l'oncogénéticien et est en attente des résutats de sa recherche de mutation génétique BRCA. Elle vous signale aussi des dyspareunies profondes ainsi que des épisodes douloureux pelviens aigus intermittents depuis quelques mois. Son médecin généraliste a déjà fait réaliser une analyse d'urine qui est normale. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s)? a. Vous lui prescivez une échographie pelvienne b. Vous lui precrivez un dosage du Ca 15.3 et du Ca125 pour écarter un cancer c. Vous lui demandez si elle a bien un contrôle de sa mammographie à 6 mois et lui proposez de la revoir avec les résultats d. Vous lui faites réaliser une biopsie chirurgicale du sein e. Vous recherchez un kyste ovarien supect A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. En échographie, quels sont les critères suspects d'une malignité pour ce kyste ovarien droit ? a. La taille supérieure à 3 cm b. La présence d'un épanchement péritonéal associé c. La présence de cloisons intra-kystiques d. L'épaisseur de la paroi du kyste e. La forme du kyste A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Me G devait vous revoir en consultation dans quelques jours mais elle arrive aux urgences pour un épisode douloureux abdominal depuis 3h de temps cette nuit, elle a vomi et présente une EVA à 8/10. A l'examen il existe une douleur intense à la palpation abdomino-pelvienne, diffuse. Le toucher vaginal et l'échographie vaginale sont impossibles compte tenu de la douleur intense et diffuse malgré un antalgique de pallier 2. Elle e présenté un malaise de type vagal. Vous lui proposez de réaliser: Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? a. Un bilan hépatique b. Une échographie abdominale à but diagnostique en urgence c. Une IRM pelvienne en urgence d. Un scanner à but diagnostique e. Une coelioscopie exploratrice A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Finalement vous réalisez une annexectomie bilatérale par coelioscopie, il existait une torsion de l'ovaire droit. La cavité péritonéale est saine en dehors d'un petit nodule périonéal centimétrique du cul de sac de Douglas que vous réséquez intégralement. La cytologie péritonéale est positive montrant des cellules carcinomateuses rares. Le kyste ovarien droit correspond à un adénocarcinome ovarien et le nodule répond aussi la présence de cellules adénocarcinomateuses d'origine ovarienne. Quelle(s) est ( sont) l'(es) information(s) que vous communiquez à la patiente ? a. Elle aura une chimiothérapie à base d'anthracyclines en 1ère intention b. Elle va devoir avoir une autre chirurgie mais par laparotomie c. Elle présente un cancer ovarien de stade 3C selon la classification FIGO d. Elle peut bénéficier d'une prise en charge à 100% e. Son dossier va être discuté en réunion de concertation pluridisciplinaire uniquement si elle est d'accord
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Cancérologie - Radiothérapie
3
9
1,320
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Ce vaccin: Cochez la(es) réponses(s) exacte(s) a. Permet une protection vis à vis du HSV (herpes simplex virus) b. Ne sera pas efficace chez Laura c. Dispensera Laura du suivi traditionnel par frottis du col si le schéma vaccinal est complet d. N'est pas remboursé par la sécurité sociale e. Vise surtout les virus oncogènes de type 16 et 18 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Vaccin remboursé selon les clauses de vaccinations prévues dans le BEH 3 injections Prévention des lésions cervicales induites par les HPV oncogènes 16-18 (les principaux) Ne dispense pas (pour le moment) d'un suivi traditionnel car pas fiable à 100%. A l'interrogatoire, vous retrouvez la notion d'un cancer du sein chez la grand mère et chez une tante de Laura à 40 ans ainsi qu'un cancer de l'ovaire chez une cousine au 2ème degré toujours du coté maternel. Laura n'a jamais été opérée. Elle pèse 50kg pour 1m65 et prend un traitement pour l'asthme allergique ponctuellement. Me G a entendu parler dans la presse de l'existence d'une mutation génétique "comme Angélina Jolie" et vous demande si on peut la rechercher chez sa fille. Quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. L'oncogénéticien peut proposer à Laura une recherche de mutation génétique b. Les mutations suspectées dans cette famille sont BRCA 1 et 2 c. Etant donné le risque familial de cancer, vous ne prescrivez pas de contraception de type hormonal à Laura d. L'oncogénéticien va surement proposer une recherche de mutation à Me G si elle en fait la demande e. Me G devrait avoir eu des mammographies avant 50 ans A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mutations BRCA 1 et 2 augmentent fortement le risque de cancer du sein et de l'ovaire et sont suspectées en cas d'antécédents familiaux au 1er degré ou de plusieurs cas au 2ème degré. Les patientes sont évaluées par un oncogénéticien puis si elles sont majeures et en font la demande, une recherche génétique peut etre effectuée. La contraception n'est pas modifiée pour la jeune fille ou la femme qui n'a pas d'antécédent personnel de cancer hormono-dépendant. Le dépistage individuel doit etre fait de manière plus précoce chez des familles dites "à risque ". Vous décidez finalement de prescrire une contraception oestroprogestative à Laura. Quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) exacte(s)? a. Vous pouvez prescire de l'acetate de nomegestrol b. Vous prescrivez aussi une glycémie, dosage cholestérol total et triglycérides à jeun dans 3 mois c. Vous lui proposez de commencer le soir même si le dosage sanguin de bêtaHCG qu'elle vient de faire est négatif d. Vous proposez à Laura de la voir sans sa maman pour discuter de tout cela dans le respect de la confidentialité e. Vous lui donnez une ordonnance pour un an et la reverrez à l'issue pour le renouvellement A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'acétate de nomegestrol est un macroprogestatif et n'a pas l'AMM en tant que contraceptif. Le suivi biologique se renouvelle tous les 5 ans lors d'une contraception oetroprogestative. La consultation de l'adolescente doit dans l'idéal etre réalisée au moins en partie en tete à tete sans les parents (cf recommandations HAS "Contraception de l'adolescente"). Le renouvelement d'une première contraception est à 3 mois. La 1ère pilule peut etre prise le 1er soir des règles ou le jour même si le taux de BHCG est négatif. Me G revient vous voir seule quelques mois plus tard pour son suivi gynécologique annuel. Elle n'a plus de règles depuis maintenant un an, elle prend un traitement hormonal substitutif de la ménopause depuis 2 mois car elle avait beaucoup de bouffées de chaleur la nuit et n'arrivait plus à dormir. Elle vous apporte sa mammographie classée ACR 3 pour laquelle elle est très inquiète. Elle a demandé à rencontrer l'oncogénéticien et est en attente des résutats de sa recherche de mutation génétique BRCA. Elle vous signale aussi des dyspareunies profondes ainsi que des épisodes douloureux pelviens aigus intermittents depuis quelques mois. Son médecin généraliste a déjà fait réaliser une analyse d'urine qui est normale. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s)? a. Vous lui prescivez une échographie pelvienne b. Vous lui precrivez un dosage du Ca 15.3 et du Ca125 pour écarter un cancer c. Vous lui demandez si elle a bien un contrôle de sa mammographie à 6 mois et lui proposez de la revoir avec les résultats d. Vous lui faites réaliser une biopsie chirurgicale du sein e. Vous recherchez un kyste ovarien supect A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. En échographie, quels sont les critères suspects d'une malignité pour ce kyste ovarien droit ? a. La taille supérieure à 3 cm b. La présence d'un épanchement péritonéal associé c. La présence de cloisons intra-kystiques d. L'épaisseur de la paroi du kyste e. La forme du kyste A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Me G devait vous revoir en consultation dans quelques jours mais elle arrive aux urgences pour un épisode douloureux abdominal depuis 3h de temps cette nuit, elle a vomi et présente une EVA à 8/10. A l'examen il existe une douleur intense à la palpation abdomino-pelvienne, diffuse. Le toucher vaginal et l'échographie vaginale sont impossibles compte tenu de la douleur intense et diffuse malgré un antalgique de pallier 2. Elle e présenté un malaise de type vagal. Vous lui proposez de réaliser: Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? a. Un bilan hépatique b. Une échographie abdominale à but diagnostique en urgence c. Une IRM pelvienne en urgence d. Un scanner à but diagnostique e. Une coelioscopie exploratrice A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Finalement vous réalisez une annexectomie bilatérale par coelioscopie, il existait une torsion de l'ovaire droit. La cavité péritonéale est saine en dehors d'un petit nodule périonéal centimétrique du cul de sac de Douglas que vous réséquez intégralement. La cytologie péritonéale est positive montrant des cellules carcinomateuses rares. Le kyste ovarien droit correspond à un adénocarcinome ovarien et le nodule répond aussi la présence de cellules adénocarcinomateuses d'origine ovarienne. Quelle(s) est ( sont) l'(es) information(s) que vous communiquez à la patiente ? a. Elle aura une chimiothérapie à base d'anthracyclines en 1ère intention b. Elle va devoir avoir une autre chirurgie mais par laparotomie c. Elle présente un cancer ovarien de stade 3C selon la classification FIGO d. Elle peut bénéficier d'une prise en charge à 100% e. Son dossier va être discuté en réunion de concertation pluridisciplinaire uniquement si elle est d'accord A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Vous réalisez une chirurgie par laparotomie complète avec résidu macroscopique R0, vous n'avez pas retrouvé d'autres nodules peritonéaux. Cette chirurgie du cancer de l'ovaire a du comporter: Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s)?) a. Une hystérectomie sub totale interannexielle b. Une exerèse des orifices de trocart c. Une appendicectomie d. Une omentectomie e. Une splénectomie
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Cancérologie - Radiothérapie
3
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1,321
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Me G 53 ans accompagne sa dernière fille Laura âgée de 16 ans en consultation. Elle vous interroge sur le "vaccin du cancer du col de l'utérus" et sur la contraception pour sa fille qui vient d'avoir ses premiers rapports sexuels cette année. Laura n'est pas très à l'aise en présence de sa maman, elle n'ose pas trop parler. Elle vient de faire un dosage de BêtaHCG ce matin au laboratoire car elle a un léger retard de règles après un rapport sexuel non protégé le mois dernier. Vis à vis de la contraception du lendemain, quelle(s) réponse (s) pensez vous exacte(s)? a. Il aurait fallu qu'elle prenne du Norlevo ° dans les 72 h qui suivaient le rapport à risque b. Il aurait fallu qu'elle prenne Ellaone° ( acetate d'ulipristale ) dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque c. Le rapport ayant eu lieu après sa date habituelle d'ovulation , il n'y avait pas de risque de grossesse d. La contraception du lendemain n'est disponible que sur prescription médicale pour les mineures e. La contraception du lendemain comprend un estrogène A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Ce vaccin: Cochez la(es) réponses(s) exacte(s) a. Permet une protection vis à vis du HSV (herpes simplex virus) b. Ne sera pas efficace chez Laura c. Dispensera Laura du suivi traditionnel par frottis du col si le schéma vaccinal est complet d. N'est pas remboursé par la sécurité sociale e. Vise surtout les virus oncogènes de type 16 et 18 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Vaccin remboursé selon les clauses de vaccinations prévues dans le BEH 3 injections Prévention des lésions cervicales induites par les HPV oncogènes 16-18 (les principaux) Ne dispense pas (pour le moment) d'un suivi traditionnel car pas fiable à 100%. A l'interrogatoire, vous retrouvez la notion d'un cancer du sein chez la grand mère et chez une tante de Laura à 40 ans ainsi qu'un cancer de l'ovaire chez une cousine au 2ème degré toujours du coté maternel. Laura n'a jamais été opérée. Elle pèse 50kg pour 1m65 et prend un traitement pour l'asthme allergique ponctuellement. Me G a entendu parler dans la presse de l'existence d'une mutation génétique "comme Angélina Jolie" et vous demande si on peut la rechercher chez sa fille. Quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. L'oncogénéticien peut proposer à Laura une recherche de mutation génétique b. Les mutations suspectées dans cette famille sont BRCA 1 et 2 c. Etant donné le risque familial de cancer, vous ne prescrivez pas de contraception de type hormonal à Laura d. L'oncogénéticien va surement proposer une recherche de mutation à Me G si elle en fait la demande e. Me G devrait avoir eu des mammographies avant 50 ans A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mutations BRCA 1 et 2 augmentent fortement le risque de cancer du sein et de l'ovaire et sont suspectées en cas d'antécédents familiaux au 1er degré ou de plusieurs cas au 2ème degré. Les patientes sont évaluées par un oncogénéticien puis si elles sont majeures et en font la demande, une recherche génétique peut etre effectuée. La contraception n'est pas modifiée pour la jeune fille ou la femme qui n'a pas d'antécédent personnel de cancer hormono-dépendant. Le dépistage individuel doit etre fait de manière plus précoce chez des familles dites "à risque ". Vous décidez finalement de prescrire une contraception oestroprogestative à Laura. Quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) exacte(s)? a. Vous pouvez prescire de l'acetate de nomegestrol b. Vous prescrivez aussi une glycémie, dosage cholestérol total et triglycérides à jeun dans 3 mois c. Vous lui proposez de commencer le soir même si le dosage sanguin de bêtaHCG qu'elle vient de faire est négatif d. Vous proposez à Laura de la voir sans sa maman pour discuter de tout cela dans le respect de la confidentialité e. Vous lui donnez une ordonnance pour un an et la reverrez à l'issue pour le renouvellement A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'acétate de nomegestrol est un macroprogestatif et n'a pas l'AMM en tant que contraceptif. Le suivi biologique se renouvelle tous les 5 ans lors d'une contraception oetroprogestative. La consultation de l'adolescente doit dans l'idéal etre réalisée au moins en partie en tete à tete sans les parents (cf recommandations HAS "Contraception de l'adolescente"). Le renouvelement d'une première contraception est à 3 mois. La 1ère pilule peut etre prise le 1er soir des règles ou le jour même si le taux de BHCG est négatif. Me G revient vous voir seule quelques mois plus tard pour son suivi gynécologique annuel. Elle n'a plus de règles depuis maintenant un an, elle prend un traitement hormonal substitutif de la ménopause depuis 2 mois car elle avait beaucoup de bouffées de chaleur la nuit et n'arrivait plus à dormir. Elle vous apporte sa mammographie classée ACR 3 pour laquelle elle est très inquiète. Elle a demandé à rencontrer l'oncogénéticien et est en attente des résutats de sa recherche de mutation génétique BRCA. Elle vous signale aussi des dyspareunies profondes ainsi que des épisodes douloureux pelviens aigus intermittents depuis quelques mois. Son médecin généraliste a déjà fait réaliser une analyse d'urine qui est normale. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s)? a. Vous lui prescivez une échographie pelvienne b. Vous lui precrivez un dosage du Ca 15.3 et du Ca125 pour écarter un cancer c. Vous lui demandez si elle a bien un contrôle de sa mammographie à 6 mois et lui proposez de la revoir avec les résultats d. Vous lui faites réaliser une biopsie chirurgicale du sein e. Vous recherchez un kyste ovarien supect A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. En échographie, quels sont les critères suspects d'une malignité pour ce kyste ovarien droit ? a. La taille supérieure à 3 cm b. La présence d'un épanchement péritonéal associé c. La présence de cloisons intra-kystiques d. L'épaisseur de la paroi du kyste e. La forme du kyste A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Me G devait vous revoir en consultation dans quelques jours mais elle arrive aux urgences pour un épisode douloureux abdominal depuis 3h de temps cette nuit, elle a vomi et présente une EVA à 8/10. A l'examen il existe une douleur intense à la palpation abdomino-pelvienne, diffuse. Le toucher vaginal et l'échographie vaginale sont impossibles compte tenu de la douleur intense et diffuse malgré un antalgique de pallier 2. Elle e présenté un malaise de type vagal. Vous lui proposez de réaliser: Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? a. Un bilan hépatique b. Une échographie abdominale à but diagnostique en urgence c. Une IRM pelvienne en urgence d. Un scanner à but diagnostique e. Une coelioscopie exploratrice A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Finalement vous réalisez une annexectomie bilatérale par coelioscopie, il existait une torsion de l'ovaire droit. La cavité péritonéale est saine en dehors d'un petit nodule périonéal centimétrique du cul de sac de Douglas que vous réséquez intégralement. La cytologie péritonéale est positive montrant des cellules carcinomateuses rares. Le kyste ovarien droit correspond à un adénocarcinome ovarien et le nodule répond aussi la présence de cellules adénocarcinomateuses d'origine ovarienne. Quelle(s) est ( sont) l'(es) information(s) que vous communiquez à la patiente ? a. Elle aura une chimiothérapie à base d'anthracyclines en 1ère intention b. Elle va devoir avoir une autre chirurgie mais par laparotomie c. Elle présente un cancer ovarien de stade 3C selon la classification FIGO d. Elle peut bénéficier d'une prise en charge à 100% e. Son dossier va être discuté en réunion de concertation pluridisciplinaire uniquement si elle est d'accord A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Vous réalisez une chirurgie par laparotomie complète avec résidu macroscopique R0, vous n'avez pas retrouvé d'autres nodules peritonéaux. Cette chirurgie du cancer de l'ovaire a du comporter: Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s)?) a. Une hystérectomie sub totale interannexielle b. Une exerèse des orifices de trocart c. Une appendicectomie d. Une omentectomie e. Une splénectomie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Après la chimiothérapie, vous revoyez Me G. pour le suivi qui est normal. Elle vous explique qu'elle est inquiète pour sa fille car son gynécologue vient de lui trouver un kyste ovarien. Vous voyez donc Laura en consultation avec une échographie pelvienne et retrouvez un kyste ovarien de 6cm d'origine organique probable sans épanchement péritonéal, les cloisons sont fines mais il existe une zone hétérogène tissulaire. Quel examen complémentaire demandez vous ? a. Un scanner abdomino pelvien b. Un dosage du Ca 125 c. Une IRM pelvienne d. Un TEP scanner e. Aucune des propositions précédentes
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous mettez en place le protocole de chimiothérapie standard : 3 cycles FEC 100 (5FU, épirubicine, cyclophosphamide) puis 3 cycles docétaxel et thérapie ciclée. A quelle classe thérapeutique appartient l’épirubicine? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. vinca-alcaloides
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous mettez en place le protocole de chimiothérapie standard : 3 cycles FEC 100 (5FU, épirubicine, cyclophosphamide) puis 3 cycles docétaxel et thérapie ciclée. A quelle classe thérapeutique appartient l’épirubicine? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s'agit bien d'une anthracycline. Quels sont les effets indésirables spécifiques de cette molécule? a. Alopécie b. Néphrotoxicité c. Cardiotoxicité d. Neurotoxicité sensitive e. Syndrome main-pied
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous mettez en place le protocole de chimiothérapie standard : 3 cycles FEC 100 (5FU, épirubicine, cyclophosphamide) puis 3 cycles docétaxel et thérapie ciclée. A quelle classe thérapeutique appartient l’épirubicine? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s'agit bien d'une anthracycline. Quels sont les effets indésirables spécifiques de cette molécule? a. Alopécie b. Néphrotoxicité c. Cardiotoxicité d. Neurotoxicité sensitive e. Syndrome main-pied A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. A quelle famille thérapeutique appartient le docétaxel? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. Vinca-alcaloides
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Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous mettez en place le protocole de chimiothérapie standard : 3 cycles FEC 100 (5FU, épirubicine, cyclophosphamide) puis 3 cycles docétaxel et thérapie ciclée. A quelle classe thérapeutique appartient l’épirubicine? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s'agit bien d'une anthracycline. Quels sont les effets indésirables spécifiques de cette molécule? a. Alopécie b. Néphrotoxicité c. Cardiotoxicité d. Neurotoxicité sensitive e. Syndrome main-pied A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. A quelle famille thérapeutique appartient le docétaxel? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. Vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s’agit bien d’un poison du fuseau. Par quel mécanisme a-t’il un effet cytotoxique? a. Polymérisation des microtubles b. Dépolymérisation des microtubles c. Stabilisation des microtubules d. Inhibition de la topoisomérase II e. Liaison chimique inter et intra-brin
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous mettez en place le protocole de chimiothérapie standard : 3 cycles FEC 100 (5FU, épirubicine, cyclophosphamide) puis 3 cycles docétaxel et thérapie ciclée. A quelle classe thérapeutique appartient l’épirubicine? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s'agit bien d'une anthracycline. Quels sont les effets indésirables spécifiques de cette molécule? a. Alopécie b. Néphrotoxicité c. Cardiotoxicité d. Neurotoxicité sensitive e. Syndrome main-pied A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. A quelle famille thérapeutique appartient le docétaxel? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. Vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s’agit bien d’un poison du fuseau. Par quel mécanisme a-t’il un effet cytotoxique? a. Polymérisation des microtubles b. Dépolymérisation des microtubles c. Stabilisation des microtubules d. Inhibition de la topoisomérase II e. Liaison chimique inter et intra-brin A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La patiente vient en Hopital De Jour pour sa première cure de chimiothérapie. Quels traitements lui prescrivez-vous systématiquement ? a. Facteurs de croissance hématopoiétiques b. Anti-émétiques c. Prothèse capillaire d. Hyperhydratation e. Vitaminothérapie
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Cancérologie - Radiothérapie
4
10
1,332
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous mettez en place le protocole de chimiothérapie standard : 3 cycles FEC 100 (5FU, épirubicine, cyclophosphamide) puis 3 cycles docétaxel et thérapie ciclée. A quelle classe thérapeutique appartient l’épirubicine? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s'agit bien d'une anthracycline. Quels sont les effets indésirables spécifiques de cette molécule? a. Alopécie b. Néphrotoxicité c. Cardiotoxicité d. Neurotoxicité sensitive e. Syndrome main-pied A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. A quelle famille thérapeutique appartient le docétaxel? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. Vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s’agit bien d’un poison du fuseau. Par quel mécanisme a-t’il un effet cytotoxique? a. Polymérisation des microtubles b. Dépolymérisation des microtubles c. Stabilisation des microtubules d. Inhibition de la topoisomérase II e. Liaison chimique inter et intra-brin A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La patiente vient en Hopital De Jour pour sa première cure de chimiothérapie. Quels traitements lui prescrivez-vous systématiquement ? a. Facteurs de croissance hématopoiétiques b. Anti-émétiques c. Prothèse capillaire d. Hyperhydratation e. Vitaminothérapie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Votre patiente revient 3 semaines plus tard, et la tolérance à la chimiothérapie a été médiocre du fait de nausées et vomissements itératifs. Concernant les nausées et vomissements chimio-induits (NVCI), quelles sont les réponses exactes ? a. Les NVCI restent l'un des effets secondaires le plus redouté par les patients qui débutent un traitement par chimiothérapie anticancéreuse b. Les médicaments cytotoxiques provoquent tous des NVCI fréquents et intenses c. Les NVCI peuvent être responsables de complications métaboliques graves d. Les NVCI se divisent en deux phases cliniques distinctes : les NVCI aigus et les NVCI retardés e. Les NVCI retardés surviennent 12h après la chimiothérapie
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous mettez en place le protocole de chimiothérapie standard : 3 cycles FEC 100 (5FU, épirubicine, cyclophosphamide) puis 3 cycles docétaxel et thérapie ciclée. A quelle classe thérapeutique appartient l’épirubicine? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s'agit bien d'une anthracycline. Quels sont les effets indésirables spécifiques de cette molécule? a. Alopécie b. Néphrotoxicité c. Cardiotoxicité d. Neurotoxicité sensitive e. Syndrome main-pied A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. A quelle famille thérapeutique appartient le docétaxel? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. Vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s’agit bien d’un poison du fuseau. Par quel mécanisme a-t’il un effet cytotoxique? a. Polymérisation des microtubles b. Dépolymérisation des microtubles c. Stabilisation des microtubules d. Inhibition de la topoisomérase II e. Liaison chimique inter et intra-brin A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La patiente vient en Hopital De Jour pour sa première cure de chimiothérapie. Quels traitements lui prescrivez-vous systématiquement ? a. Facteurs de croissance hématopoiétiques b. Anti-émétiques c. Prothèse capillaire d. Hyperhydratation e. Vitaminothérapie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Votre patiente revient 3 semaines plus tard, et la tolérance à la chimiothérapie a été médiocre du fait de nausées et vomissements itératifs. Concernant les nausées et vomissements chimio-induits (NVCI), quelles sont les réponses exactes ? a. Les NVCI restent l'un des effets secondaires le plus redouté par les patients qui débutent un traitement par chimiothérapie anticancéreuse b. Les médicaments cytotoxiques provoquent tous des NVCI fréquents et intenses c. Les NVCI peuvent être responsables de complications métaboliques graves d. Les NVCI se divisent en deux phases cliniques distinctes : les NVCI aigus et les NVCI retardés e. Les NVCI retardés surviennent 12h après la chimiothérapie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En regardant ses ordonnances initiales vous notez que le traitement anti-émétique n’a pas été optimal. Que lui prescrivez-vous afin de prévenir les vomissements retardés post chimiothérapie ? a. Sétrons b. Aprepitant c. Corticoides d. Neuroleptiques à visée anti-émétique e. toutes les réponses sont fausses
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous mettez en place le protocole de chimiothérapie standard : 3 cycles FEC 100 (5FU, épirubicine, cyclophosphamide) puis 3 cycles docétaxel et thérapie ciclée. A quelle classe thérapeutique appartient l’épirubicine? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s'agit bien d'une anthracycline. Quels sont les effets indésirables spécifiques de cette molécule? a. Alopécie b. Néphrotoxicité c. Cardiotoxicité d. Neurotoxicité sensitive e. Syndrome main-pied A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. A quelle famille thérapeutique appartient le docétaxel? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. Vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s’agit bien d’un poison du fuseau. Par quel mécanisme a-t’il un effet cytotoxique? a. Polymérisation des microtubles b. Dépolymérisation des microtubles c. Stabilisation des microtubules d. Inhibition de la topoisomérase II e. Liaison chimique inter et intra-brin A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La patiente vient en Hopital De Jour pour sa première cure de chimiothérapie. Quels traitements lui prescrivez-vous systématiquement ? a. Facteurs de croissance hématopoiétiques b. Anti-émétiques c. Prothèse capillaire d. Hyperhydratation e. Vitaminothérapie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Votre patiente revient 3 semaines plus tard, et la tolérance à la chimiothérapie a été médiocre du fait de nausées et vomissements itératifs. Concernant les nausées et vomissements chimio-induits (NVCI), quelles sont les réponses exactes ? a. Les NVCI restent l'un des effets secondaires le plus redouté par les patients qui débutent un traitement par chimiothérapie anticancéreuse b. Les médicaments cytotoxiques provoquent tous des NVCI fréquents et intenses c. Les NVCI peuvent être responsables de complications métaboliques graves d. Les NVCI se divisent en deux phases cliniques distinctes : les NVCI aigus et les NVCI retardés e. Les NVCI retardés surviennent 12h après la chimiothérapie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En regardant ses ordonnances initiales vous notez que le traitement anti-émétique n’a pas été optimal. Que lui prescrivez-vous afin de prévenir les vomissements retardés post chimiothérapie ? a. Sétrons b. Aprepitant c. Corticoides d. Neuroleptiques à visée anti-émétique e. toutes les réponses sont fausses A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les caractéristiques anatomo-pathologique de la tumeur, une surexpression d'Her2 est observée. La patiente est donc candidate à un traitement ciblé. Lequel ? a. Anti-aromotase b. Anti-oestrogène c. Trastuzumab d. Bevacizumab e. Lapatinib
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Cancérologie - Radiothérapie
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1,335
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
Femme de 62 ans. Retraitée. Ancienne professeur des écoles. Non fumeuse. Mariée et 2 enfants. Ménopausée depuis 10 ans. ATCD : stripping de varices. HTA traitée par Amlor. Elle consulte pour une masse indurée dans le sein droit, indolore, non inflammatoire. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Tumeur maligne du sein b. Tumeur bénigne du sein c. Abcès du sein d. Kyste mammaire e. Aucune de ces réponses A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Effectivement, vous suspectez un cancer du sein.Vous effectuez en première intention à visée diagnostique une mammographie et une échographie mammaire bilatérale qui confirme que l'image est très suspecte de cancer du sein. Quel examen allez vous pratiquer pour confirmer ce diagnostic? a. Scanner thoraco-abdomino-pelvien b. Biopsie de la masse mammaire c. Cytoponction de la masse mammaire d. Irm mammaire e. Tep scanner A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La biopsie mammaire confirme qu'il s'agit d'un carcinome canalaire infiltrant, de grade SBR III, sans expression des récepteurs hormonaux, et Her2 surexprimé. Quel bilan effectuez vous afin de déterminer la prise en charge de la patiente? a. Examen clinique du sein controlatéral b. Examen clinique axillaire c. Cytoponction ganglionnaire en cas d'adénopathie axillaire palpable d. Recherche de signes cliniques en faveur d'une extension métastatique e. Recherche des facteurs de risque de cancer du sein A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'examen clinique met en évidence une masse de 50mm avec une adénopathie palpable. Il est décidé de réaliser une chimiothérapie néo-adjuvante. Qu’est-ce que cela signifie ? a. Chimiothérapie réalisée avant la chirurgie b. Chimiothérapie réalisée après la chirurgie c. Chimiothérapie réalisée en péri-opératoire d. Chimiothérapie réalisée avant la radiothréapie e. Chimiothérapie réalisée après la radiothérapie A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous mettez en place le protocole de chimiothérapie standard : 3 cycles FEC 100 (5FU, épirubicine, cyclophosphamide) puis 3 cycles docétaxel et thérapie ciclée. A quelle classe thérapeutique appartient l’épirubicine? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s'agit bien d'une anthracycline. Quels sont les effets indésirables spécifiques de cette molécule? a. Alopécie b. Néphrotoxicité c. Cardiotoxicité d. Neurotoxicité sensitive e. Syndrome main-pied A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. A quelle famille thérapeutique appartient le docétaxel? a. Alkylants b. Poison du fuseau c. Antimétabolites d. Anthracyclines e. Vinca-alcaloides A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il s’agit bien d’un poison du fuseau. Par quel mécanisme a-t’il un effet cytotoxique? a. Polymérisation des microtubles b. Dépolymérisation des microtubles c. Stabilisation des microtubules d. Inhibition de la topoisomérase II e. Liaison chimique inter et intra-brin A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La patiente vient en Hopital De Jour pour sa première cure de chimiothérapie. Quels traitements lui prescrivez-vous systématiquement ? a. Facteurs de croissance hématopoiétiques b. Anti-émétiques c. Prothèse capillaire d. Hyperhydratation e. Vitaminothérapie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Votre patiente revient 3 semaines plus tard, et la tolérance à la chimiothérapie a été médiocre du fait de nausées et vomissements itératifs. Concernant les nausées et vomissements chimio-induits (NVCI), quelles sont les réponses exactes ? a. Les NVCI restent l'un des effets secondaires le plus redouté par les patients qui débutent un traitement par chimiothérapie anticancéreuse b. Les médicaments cytotoxiques provoquent tous des NVCI fréquents et intenses c. Les NVCI peuvent être responsables de complications métaboliques graves d. Les NVCI se divisent en deux phases cliniques distinctes : les NVCI aigus et les NVCI retardés e. Les NVCI retardés surviennent 12h après la chimiothérapie A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En regardant ses ordonnances initiales vous notez que le traitement anti-émétique n’a pas été optimal. Que lui prescrivez-vous afin de prévenir les vomissements retardés post chimiothérapie ? a. Sétrons b. Aprepitant c. Corticoides d. Neuroleptiques à visée anti-émétique e. toutes les réponses sont fausses A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les caractéristiques anatomo-pathologique de la tumeur, une surexpression d'Her2 est observée. La patiente est donc candidate à un traitement ciblé. Lequel ? a. Anti-aromotase b. Anti-oestrogène c. Trastuzumab d. Bevacizumab e. Lapatinib A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. A quelle famille appartient le trastuzumab ? a. Inhibiteur de tyrosine kinase b. Chimiothérapie cytotoxique c. Hormonothérapie d. Immunothérapie e. Anticorps monoclonal
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
Cancérologie - Radiothérapie
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1
1,338
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Cancérologie - Radiothérapie
5
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1,339
null
Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Au cours de cet entretien, Mr X vous parle de son voisin chez qui on a diagnostiqué à l’âge de 35 ans un cancer du côlon et qui a plusieurs cas de cancer du côlon dans sa famille. A quelle forme de cancer vous fait penser cette histoire ?.
Forme familiale, Forme héréditaire, Héréditaire, familiale, A la forme familiale du cancer du colon, avec composante genetique, cancer dû à une mutation hereditaire d'un gène suppreseur de tumeurs (gène réparant des alterations de l'adn par exemple), , Cela me fait penser à une forme de cancer génétique ou héréditaire familiale., Cancer héréditaire, prédisposition genetique, comme polypode adenomateuse familiale, A composante génétique et héréditaire, A la forme héréditaire, Adénocarcinome héréditaire, Cancer a composante héréditaire, Cancer a facteur génétique, héréditaire, Cancer a gènes de prédisposition, Cancer d'origine genetique,hereditaire, Cancer familial (avec une part génétique), Cancer génétique familiale, Cancer héréditaire avec mutation d'un gène, Cancer à prédisposition génétique, Cancer à prédisposition héréditaire, forme familiale, une mutation génétique ( géne suppresseur de tumeur), Familiale Héréditaire, Familiale génétique, Forme familiale (altération gene supresseur), Forme familiale de cancer, Forme familiale de cancer du colon, Forme génétique / familiale, Forme génétique, héréditaire, Forme héréditaire de cancer du colon, Héréditaire familiale, Héréditaire génétique polypose, Héréditaire, familiale, Origine génétique familial, Predisposition genetique, Transmission héréditaire, cancer héréditaire (part de génétique) transmissible de générations en générations, donc son voisin présente des prédispositions génétiques pour le cancer du colon, forme de cancer héréditaire (avec polype au niveau du colon), cancer hereditaire du colon type polypose familiale, adénocarcinome polyposique familial, adénocarcinome polyposique héreditaire, cancer 'familial', polypose adenomateuse familiale, cancer a predispotion genetique, cancer avec une predisposition genetique, cancer colorectal héréditaire, cancer d'origine génétique (forme héréditaire), cancer de forme familiale, cancer de forme héréditaire/génétique, cancer de type héréditaire, cancer du colon dorigine genetique, hereditaire, cancer dû à un gène transmis dzns la famille, cancer familial, cancer familial (PAF), cancer familial predisposition heriditare du colon, cancer familial, lie a la genetique, cancer familiale, cancer genetique hereditaire, cancer genetique héréditaire, cancer hereditaire, cancer hereditaire/prédisposition génétique, cancer héréditaire, cancer precoce du colon hereditaire, cancer à prédisposition génétique, cancer à prédisposition hereditaire génétique, cancers héréditaires, cela fait penser a un cancer familial., familial, familial héréditaire, familial, hereditaire, forme de cancer héréditaire, forme familiale HNPCC, forme familiale héréditaire, forme familliale, forme familliale hériditaire (génétique), forme hereditaire, forme hereditaire , familiale, forme hereditaire du cancer du colon, forme hereditaire familiale, forme héréditaire de cancer, forme héréditaire/ familiale, formes familiales genetiques de cancer du colon, genetique (familial), gènes de prédisposition, génétique héréditaire, génétique, familial, hereditaire, héréditaire (mutation d'un gène), la forme héréditaire du cancer du colon, cancer lié à une mutation génétique hereditaire, cas familial de cancer du colon : polype adenomateux familial : PAF, prédisposition génétique, prédisposition génétique, héréditaire, prédispositions génétiques, A un cancer hereditaire ou la lumière du colon est envahie par des polipes, un cancer de type hereditaire, un cancer hereditaire, une forme hereditaire, a l'HNPCC, le cancer du colon héréditaire non polyposidique, forme héréditaire comme polypose adenomateuse familiale, a cause du gene supresseur de tumeur gspt-> familal, forme familiale ou héréditaire (possibilité de polypose), forme familiale de cancer avec predisposition genetique, cette histoire fait pensee a une forme de cancer hereditaire., cancer du colon familial d'origine genetique :hnpcc, il existerait une predisposition génétique ( deregulation de gènes responsable de lésions cancereuses), mutation du gene suppresseur de tumeur, forme familiale, cancer héréditaire lie a deficience des genes suppresseurs de tumeur, cancer du colon familiale (lié a une anomalie genetique), à une forme familiale (héréditaire) de cancer (cas dans la famille + âge), Forme génétique du cancer, cancer héréditaire (peut être une mutation génétique qui se transmet), forme familiale (ex PAF polypose adenomateuse familiale), Cancer colon génétique, lié précocité et récurrence familiale, Cancer familial, Cancer héréditaire, Familiale, Forme hereditaire, héréditaire, Familial.
Cancérologie - Radiothérapie
5
3
1,340
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Au cours de cet entretien, Mr X vous parle de son voisin chez qui on a diagnostiqué à l’âge de 35 ans un cancer du côlon et qui a plusieurs cas de cancer du côlon dans sa famille. A quelle forme de cancer vous fait penser cette histoire ?. Forme familiale, Forme héréditaire, Héréditaire, familiale, A la forme familiale du cancer du colon, avec composante genetique, cancer dû à une mutation hereditaire d'un gène suppreseur de tumeurs (gène réparant des alterations de l'adn par exemple), , Cela me fait penser à une forme de cancer génétique ou héréditaire familiale., Cancer héréditaire, prédisposition genetique, comme polypode adenomateuse familiale, A composante génétique et héréditaire, A la forme héréditaire, Adénocarcinome héréditaire, Cancer a composante héréditaire, Cancer a facteur génétique, héréditaire, Cancer a gènes de prédisposition, Cancer d'origine genetique,hereditaire, Cancer familial (avec une part génétique), Cancer génétique familiale, Cancer héréditaire avec mutation d'un gène, Cancer à prédisposition génétique, Cancer à prédisposition héréditaire, forme familiale, une mutation génétique ( géne suppresseur de tumeur), Familiale Héréditaire, Familiale génétique, Forme familiale (altération gene supresseur), Forme familiale de cancer, Forme familiale de cancer du colon, Forme génétique / familiale, Forme génétique, héréditaire, Forme héréditaire de cancer du colon, Héréditaire familiale, Héréditaire génétique polypose, Héréditaire, familiale, Origine génétique familial, Predisposition genetique, Transmission héréditaire, cancer héréditaire (part de génétique) transmissible de générations en générations, donc son voisin présente des prédispositions génétiques pour le cancer du colon, forme de cancer héréditaire (avec polype au niveau du colon), cancer hereditaire du colon type polypose familiale, adénocarcinome polyposique familial, adénocarcinome polyposique héreditaire, cancer 'familial', polypose adenomateuse familiale, cancer a predispotion genetique, cancer avec une predisposition genetique, cancer colorectal héréditaire, cancer d'origine génétique (forme héréditaire), cancer de forme familiale, cancer de forme héréditaire/génétique, cancer de type héréditaire, cancer du colon dorigine genetique, hereditaire, cancer dû à un gène transmis dzns la famille, cancer familial, cancer familial (PAF), cancer familial predisposition heriditare du colon, cancer familial, lie a la genetique, cancer familiale, cancer genetique hereditaire, cancer genetique héréditaire, cancer hereditaire, cancer hereditaire/prédisposition génétique, cancer héréditaire, cancer precoce du colon hereditaire, cancer à prédisposition génétique, cancer à prédisposition hereditaire génétique, cancers héréditaires, cela fait penser a un cancer familial., familial, familial héréditaire, familial, hereditaire, forme de cancer héréditaire, forme familiale HNPCC, forme familiale héréditaire, forme familliale, forme familliale hériditaire (génétique), forme hereditaire, forme hereditaire , familiale, forme hereditaire du cancer du colon, forme hereditaire familiale, forme héréditaire de cancer, forme héréditaire/ familiale, formes familiales genetiques de cancer du colon, genetique (familial), gènes de prédisposition, génétique héréditaire, génétique, familial, hereditaire, héréditaire (mutation d'un gène), la forme héréditaire du cancer du colon, cancer lié à une mutation génétique hereditaire, cas familial de cancer du colon : polype adenomateux familial : PAF, prédisposition génétique, prédisposition génétique, héréditaire, prédispositions génétiques, A un cancer hereditaire ou la lumière du colon est envahie par des polipes, un cancer de type hereditaire, un cancer hereditaire, une forme hereditaire, a l'HNPCC, le cancer du colon héréditaire non polyposidique, forme héréditaire comme polypose adenomateuse familiale, a cause du gene supresseur de tumeur gspt-> familal, forme familiale ou héréditaire (possibilité de polypose), forme familiale de cancer avec predisposition genetique, cette histoire fait pensee a une forme de cancer hereditaire., cancer du colon familial d'origine genetique :hnpcc, il existerait une predisposition génétique ( deregulation de gènes responsable de lésions cancereuses), mutation du gene suppresseur de tumeur, forme familiale, cancer héréditaire lie a deficience des genes suppresseurs de tumeur, cancer du colon familiale (lié a une anomalie genetique), à une forme familiale (héréditaire) de cancer (cas dans la famille + âge), Forme génétique du cancer, cancer héréditaire (peut être une mutation génétique qui se transmet), forme familiale (ex PAF polypose adenomateuse familiale), Cancer colon génétique, lié précocité et récurrence familiale, Cancer familial, Cancer héréditaire, Familiale, Forme hereditaire, héréditaire, Familial. Concernant les formes familiales de cancer: a. Elles représentent environ 50% des cancers b. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer est présente dans toutes les cellules de l´organisme c. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer implique le plus souvent un oncogène d. Elles sont décrites pour le cancer du sein e. Elles bénéficient d´un dépistage et d´un suivi particuliers
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Cancérologie - Radiothérapie
5
4
1,341
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Au cours de cet entretien, Mr X vous parle de son voisin chez qui on a diagnostiqué à l’âge de 35 ans un cancer du côlon et qui a plusieurs cas de cancer du côlon dans sa famille. A quelle forme de cancer vous fait penser cette histoire ?. Forme familiale, Forme héréditaire, Héréditaire, familiale, A la forme familiale du cancer du colon, avec composante genetique, cancer dû à une mutation hereditaire d'un gène suppreseur de tumeurs (gène réparant des alterations de l'adn par exemple), , Cela me fait penser à une forme de cancer génétique ou héréditaire familiale., Cancer héréditaire, prédisposition genetique, comme polypode adenomateuse familiale, A composante génétique et héréditaire, A la forme héréditaire, Adénocarcinome héréditaire, Cancer a composante héréditaire, Cancer a facteur génétique, héréditaire, Cancer a gènes de prédisposition, Cancer d'origine genetique,hereditaire, Cancer familial (avec une part génétique), Cancer génétique familiale, Cancer héréditaire avec mutation d'un gène, Cancer à prédisposition génétique, Cancer à prédisposition héréditaire, forme familiale, une mutation génétique ( géne suppresseur de tumeur), Familiale Héréditaire, Familiale génétique, Forme familiale (altération gene supresseur), Forme familiale de cancer, Forme familiale de cancer du colon, Forme génétique / familiale, Forme génétique, héréditaire, Forme héréditaire de cancer du colon, Héréditaire familiale, Héréditaire génétique polypose, Héréditaire, familiale, Origine génétique familial, Predisposition genetique, Transmission héréditaire, cancer héréditaire (part de génétique) transmissible de générations en générations, donc son voisin présente des prédispositions génétiques pour le cancer du colon, forme de cancer héréditaire (avec polype au niveau du colon), cancer hereditaire du colon type polypose familiale, adénocarcinome polyposique familial, adénocarcinome polyposique héreditaire, cancer 'familial', polypose adenomateuse familiale, cancer a predispotion genetique, cancer avec une predisposition genetique, cancer colorectal héréditaire, cancer d'origine génétique (forme héréditaire), cancer de forme familiale, cancer de forme héréditaire/génétique, cancer de type héréditaire, cancer du colon dorigine genetique, hereditaire, cancer dû à un gène transmis dzns la famille, cancer familial, cancer familial (PAF), cancer familial predisposition heriditare du colon, cancer familial, lie a la genetique, cancer familiale, cancer genetique hereditaire, cancer genetique héréditaire, cancer hereditaire, cancer hereditaire/prédisposition génétique, cancer héréditaire, cancer precoce du colon hereditaire, cancer à prédisposition génétique, cancer à prédisposition hereditaire génétique, cancers héréditaires, cela fait penser a un cancer familial., familial, familial héréditaire, familial, hereditaire, forme de cancer héréditaire, forme familiale HNPCC, forme familiale héréditaire, forme familliale, forme familliale hériditaire (génétique), forme hereditaire, forme hereditaire , familiale, forme hereditaire du cancer du colon, forme hereditaire familiale, forme héréditaire de cancer, forme héréditaire/ familiale, formes familiales genetiques de cancer du colon, genetique (familial), gènes de prédisposition, génétique héréditaire, génétique, familial, hereditaire, héréditaire (mutation d'un gène), la forme héréditaire du cancer du colon, cancer lié à une mutation génétique hereditaire, cas familial de cancer du colon : polype adenomateux familial : PAF, prédisposition génétique, prédisposition génétique, héréditaire, prédispositions génétiques, A un cancer hereditaire ou la lumière du colon est envahie par des polipes, un cancer de type hereditaire, un cancer hereditaire, une forme hereditaire, a l'HNPCC, le cancer du colon héréditaire non polyposidique, forme héréditaire comme polypose adenomateuse familiale, a cause du gene supresseur de tumeur gspt-> familal, forme familiale ou héréditaire (possibilité de polypose), forme familiale de cancer avec predisposition genetique, cette histoire fait pensee a une forme de cancer hereditaire., cancer du colon familial d'origine genetique :hnpcc, il existerait une predisposition génétique ( deregulation de gènes responsable de lésions cancereuses), mutation du gene suppresseur de tumeur, forme familiale, cancer héréditaire lie a deficience des genes suppresseurs de tumeur, cancer du colon familiale (lié a une anomalie genetique), à une forme familiale (héréditaire) de cancer (cas dans la famille + âge), Forme génétique du cancer, cancer héréditaire (peut être une mutation génétique qui se transmet), forme familiale (ex PAF polypose adenomateuse familiale), Cancer colon génétique, lié précocité et récurrence familiale, Cancer familial, Cancer héréditaire, Familiale, Forme hereditaire, héréditaire, Familial. Concernant les formes familiales de cancer: a. Elles représentent environ 50% des cancers b. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer est présente dans toutes les cellules de l´organisme c. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer implique le plus souvent un oncogène d. Elles sont décrites pour le cancer du sein e. Elles bénéficient d´un dépistage et d´un suivi particuliers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A l’âge de 55 ans, Mr X revient vous voir pour des rectorragies (saignements dans les selles) peu abondantes apparues il y a un peu plus d'une semaine. Il présente une asthénie et a perdu 5 kg ces 6 derniers mois. Une coloscopie est programmée et met en évidence plusieurs polypes et une lésion ulcéro-bourgeonnante du côlon droit de 6 cm suspecte. Des biopsies de la lésion sont réalisées. L’étude anatomopathologique confirme le diagnostic de cancer. Par argument de fréquence, quel est le type histologique le plus probable de cette tumeur colique ? a. Adénocarcinome b. Mésothéliome c. Mélanome d. Lymphome e. Sarcome
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Cancérologie - Radiothérapie
5
5
1,342
null
Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Au cours de cet entretien, Mr X vous parle de son voisin chez qui on a diagnostiqué à l’âge de 35 ans un cancer du côlon et qui a plusieurs cas de cancer du côlon dans sa famille. A quelle forme de cancer vous fait penser cette histoire ?. Forme familiale, Forme héréditaire, Héréditaire, familiale, A la forme familiale du cancer du colon, avec composante genetique, cancer dû à une mutation hereditaire d'un gène suppreseur de tumeurs (gène réparant des alterations de l'adn par exemple), , Cela me fait penser à une forme de cancer génétique ou héréditaire familiale., Cancer héréditaire, prédisposition genetique, comme polypode adenomateuse familiale, A composante génétique et héréditaire, A la forme héréditaire, Adénocarcinome héréditaire, Cancer a composante héréditaire, Cancer a facteur génétique, héréditaire, Cancer a gènes de prédisposition, Cancer d'origine genetique,hereditaire, Cancer familial (avec une part génétique), Cancer génétique familiale, Cancer héréditaire avec mutation d'un gène, Cancer à prédisposition génétique, Cancer à prédisposition héréditaire, forme familiale, une mutation génétique ( géne suppresseur de tumeur), Familiale Héréditaire, Familiale génétique, Forme familiale (altération gene supresseur), Forme familiale de cancer, Forme familiale de cancer du colon, Forme génétique / familiale, Forme génétique, héréditaire, Forme héréditaire de cancer du colon, Héréditaire familiale, Héréditaire génétique polypose, Héréditaire, familiale, Origine génétique familial, Predisposition genetique, Transmission héréditaire, cancer héréditaire (part de génétique) transmissible de générations en générations, donc son voisin présente des prédispositions génétiques pour le cancer du colon, forme de cancer héréditaire (avec polype au niveau du colon), cancer hereditaire du colon type polypose familiale, adénocarcinome polyposique familial, adénocarcinome polyposique héreditaire, cancer 'familial', polypose adenomateuse familiale, cancer a predispotion genetique, cancer avec une predisposition genetique, cancer colorectal héréditaire, cancer d'origine génétique (forme héréditaire), cancer de forme familiale, cancer de forme héréditaire/génétique, cancer de type héréditaire, cancer du colon dorigine genetique, hereditaire, cancer dû à un gène transmis dzns la famille, cancer familial, cancer familial (PAF), cancer familial predisposition heriditare du colon, cancer familial, lie a la genetique, cancer familiale, cancer genetique hereditaire, cancer genetique héréditaire, cancer hereditaire, cancer hereditaire/prédisposition génétique, cancer héréditaire, cancer precoce du colon hereditaire, cancer à prédisposition génétique, cancer à prédisposition hereditaire génétique, cancers héréditaires, cela fait penser a un cancer familial., familial, familial héréditaire, familial, hereditaire, forme de cancer héréditaire, forme familiale HNPCC, forme familiale héréditaire, forme familliale, forme familliale hériditaire (génétique), forme hereditaire, forme hereditaire , familiale, forme hereditaire du cancer du colon, forme hereditaire familiale, forme héréditaire de cancer, forme héréditaire/ familiale, formes familiales genetiques de cancer du colon, genetique (familial), gènes de prédisposition, génétique héréditaire, génétique, familial, hereditaire, héréditaire (mutation d'un gène), la forme héréditaire du cancer du colon, cancer lié à une mutation génétique hereditaire, cas familial de cancer du colon : polype adenomateux familial : PAF, prédisposition génétique, prédisposition génétique, héréditaire, prédispositions génétiques, A un cancer hereditaire ou la lumière du colon est envahie par des polipes, un cancer de type hereditaire, un cancer hereditaire, une forme hereditaire, a l'HNPCC, le cancer du colon héréditaire non polyposidique, forme héréditaire comme polypose adenomateuse familiale, a cause du gene supresseur de tumeur gspt-> familal, forme familiale ou héréditaire (possibilité de polypose), forme familiale de cancer avec predisposition genetique, cette histoire fait pensee a une forme de cancer hereditaire., cancer du colon familial d'origine genetique :hnpcc, il existerait une predisposition génétique ( deregulation de gènes responsable de lésions cancereuses), mutation du gene suppresseur de tumeur, forme familiale, cancer héréditaire lie a deficience des genes suppresseurs de tumeur, cancer du colon familiale (lié a une anomalie genetique), à une forme familiale (héréditaire) de cancer (cas dans la famille + âge), Forme génétique du cancer, cancer héréditaire (peut être une mutation génétique qui se transmet), forme familiale (ex PAF polypose adenomateuse familiale), Cancer colon génétique, lié précocité et récurrence familiale, Cancer familial, Cancer héréditaire, Familiale, Forme hereditaire, héréditaire, Familial. Concernant les formes familiales de cancer: a. Elles représentent environ 50% des cancers b. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer est présente dans toutes les cellules de l´organisme c. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer implique le plus souvent un oncogène d. Elles sont décrites pour le cancer du sein e. Elles bénéficient d´un dépistage et d´un suivi particuliers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A l’âge de 55 ans, Mr X revient vous voir pour des rectorragies (saignements dans les selles) peu abondantes apparues il y a un peu plus d'une semaine. Il présente une asthénie et a perdu 5 kg ces 6 derniers mois. Une coloscopie est programmée et met en évidence plusieurs polypes et une lésion ulcéro-bourgeonnante du côlon droit de 6 cm suspecte. Des biopsies de la lésion sont réalisées. L’étude anatomopathologique confirme le diagnostic de cancer. Par argument de fréquence, quel est le type histologique le plus probable de cette tumeur colique ? a. Adénocarcinome b. Mésothéliome c. Mélanome d. Lymphome e. Sarcome A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan d'extension est négatif et une intervention chirurgicale est programmée afin d’enlever la tumeur. Pendant l'intervention chirurgicale, quel examen peut demander le chirurgien, pouvant modifier sa prise en charge ?.
Examen anatomopathologique extemporané, examen extemporané, un examin en extemporanée pour l anatomopathologiste pour observer les caracteristique de la tumeur, Analyse cytologique en extemporanée, Analyse extemporanée de la lesion, Analyse histologique en extemporanée, , Biopsie (extemporané), Biopsie extemporanée, Coupe extanporanee histologique, Examen Extemporanée, Examen anapath extemporané, Examen en extemporané, Examen extemporané de l'exérèse de la tumeur, Examen extemporané du ganglion sentinelle, Examen histologique extemporané, Examen microscopique extemporané, Extanporanee, Extemporanné, Il peut demander un examen extemporané., Observation microscopique extemporanée, Un prélèvement extemporané, analyse d'une biopsie de la tumeur en extemporané, analyse extemporannée, analyse extemporanée, analyse extemporanée anatomopathologie, analyse tumeur extemporanée, bilan extemporané, biposie ganglionnaire extemporanee, coupe extemporanée, examen extemporané demandé au laboratoire d'anatomo pathologie, examen anatomopathologique extemporanee, examen extamporane, examen extemporane, examen extemporanee, examen extemporanne, examen extemporanné, examen extemporanée coupe a congelation, extemporane, extemporanee, extemporanee pour eventuel curage gangionnaire, extemporannée, extemporané, extemporané analyse anatomopathologie, extemporané ganglion sentinelle, extemporané, annalyse ganglion sentinelle., extemporanée, extemporanée : diag de presomption, extemporanée peroperatoire, extemporanées, extamporrané pour anatomopathologiste ( savoir limite tumeur ), prélèvement extemporané, une analyse extemporanée des tissus environant la tumeur pour savoir s'ils sont eux aussi cancéreux ou non., un examen en extemporanee, un examen en extemporané, un examen extemporane, un examen extemporané, un examen histologique extemporane, un extemporané, un prelevement extemporane pour etude anapath, une extamporanée, une extemporané, une extemporanée, une extemporee, Analyse extemporanée des bords de la lésion pour vérifier si l'ablation est bien totale, extemporanée pour voir si exérèse complète de la tumeur, Examen anathomopathologique extemporané sur l'exérèse effectuée, il peut demander une étude du prélévement en extemporané par un anatomo pathologiste, analyse des ganglions voisins de la tumeur en extemporane, une analyse d'une coupe de la tumeur en extemporanee, Le chirurgien peut demander un examen en extemporane par l'anatomo-pathologiste., biopsie extemporanée, extemporanné, Examen extemporané, Extemporané, examen anatomopathologique extemporané, examen extemporanée, Examen extemporanee.
Cancérologie - Radiothérapie
5
6
1,343
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Au cours de cet entretien, Mr X vous parle de son voisin chez qui on a diagnostiqué à l’âge de 35 ans un cancer du côlon et qui a plusieurs cas de cancer du côlon dans sa famille. A quelle forme de cancer vous fait penser cette histoire ?. Forme familiale, Forme héréditaire, Héréditaire, familiale, A la forme familiale du cancer du colon, avec composante genetique, cancer dû à une mutation hereditaire d'un gène suppreseur de tumeurs (gène réparant des alterations de l'adn par exemple), , Cela me fait penser à une forme de cancer génétique ou héréditaire familiale., Cancer héréditaire, prédisposition genetique, comme polypode adenomateuse familiale, A composante génétique et héréditaire, A la forme héréditaire, Adénocarcinome héréditaire, Cancer a composante héréditaire, Cancer a facteur génétique, héréditaire, Cancer a gènes de prédisposition, Cancer d'origine genetique,hereditaire, Cancer familial (avec une part génétique), Cancer génétique familiale, Cancer héréditaire avec mutation d'un gène, Cancer à prédisposition génétique, Cancer à prédisposition héréditaire, forme familiale, une mutation génétique ( géne suppresseur de tumeur), Familiale Héréditaire, Familiale génétique, Forme familiale (altération gene supresseur), Forme familiale de cancer, Forme familiale de cancer du colon, Forme génétique / familiale, Forme génétique, héréditaire, Forme héréditaire de cancer du colon, Héréditaire familiale, Héréditaire génétique polypose, Héréditaire, familiale, Origine génétique familial, Predisposition genetique, Transmission héréditaire, cancer héréditaire (part de génétique) transmissible de générations en générations, donc son voisin présente des prédispositions génétiques pour le cancer du colon, forme de cancer héréditaire (avec polype au niveau du colon), cancer hereditaire du colon type polypose familiale, adénocarcinome polyposique familial, adénocarcinome polyposique héreditaire, cancer 'familial', polypose adenomateuse familiale, cancer a predispotion genetique, cancer avec une predisposition genetique, cancer colorectal héréditaire, cancer d'origine génétique (forme héréditaire), cancer de forme familiale, cancer de forme héréditaire/génétique, cancer de type héréditaire, cancer du colon dorigine genetique, hereditaire, cancer dû à un gène transmis dzns la famille, cancer familial, cancer familial (PAF), cancer familial predisposition heriditare du colon, cancer familial, lie a la genetique, cancer familiale, cancer genetique hereditaire, cancer genetique héréditaire, cancer hereditaire, cancer hereditaire/prédisposition génétique, cancer héréditaire, cancer precoce du colon hereditaire, cancer à prédisposition génétique, cancer à prédisposition hereditaire génétique, cancers héréditaires, cela fait penser a un cancer familial., familial, familial héréditaire, familial, hereditaire, forme de cancer héréditaire, forme familiale HNPCC, forme familiale héréditaire, forme familliale, forme familliale hériditaire (génétique), forme hereditaire, forme hereditaire , familiale, forme hereditaire du cancer du colon, forme hereditaire familiale, forme héréditaire de cancer, forme héréditaire/ familiale, formes familiales genetiques de cancer du colon, genetique (familial), gènes de prédisposition, génétique héréditaire, génétique, familial, hereditaire, héréditaire (mutation d'un gène), la forme héréditaire du cancer du colon, cancer lié à une mutation génétique hereditaire, cas familial de cancer du colon : polype adenomateux familial : PAF, prédisposition génétique, prédisposition génétique, héréditaire, prédispositions génétiques, A un cancer hereditaire ou la lumière du colon est envahie par des polipes, un cancer de type hereditaire, un cancer hereditaire, une forme hereditaire, a l'HNPCC, le cancer du colon héréditaire non polyposidique, forme héréditaire comme polypose adenomateuse familiale, a cause du gene supresseur de tumeur gspt-> familal, forme familiale ou héréditaire (possibilité de polypose), forme familiale de cancer avec predisposition genetique, cette histoire fait pensee a une forme de cancer hereditaire., cancer du colon familial d'origine genetique :hnpcc, il existerait une predisposition génétique ( deregulation de gènes responsable de lésions cancereuses), mutation du gene suppresseur de tumeur, forme familiale, cancer héréditaire lie a deficience des genes suppresseurs de tumeur, cancer du colon familiale (lié a une anomalie genetique), à une forme familiale (héréditaire) de cancer (cas dans la famille + âge), Forme génétique du cancer, cancer héréditaire (peut être une mutation génétique qui se transmet), forme familiale (ex PAF polypose adenomateuse familiale), Cancer colon génétique, lié précocité et récurrence familiale, Cancer familial, Cancer héréditaire, Familiale, Forme hereditaire, héréditaire, Familial. Concernant les formes familiales de cancer: a. Elles représentent environ 50% des cancers b. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer est présente dans toutes les cellules de l´organisme c. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer implique le plus souvent un oncogène d. Elles sont décrites pour le cancer du sein e. Elles bénéficient d´un dépistage et d´un suivi particuliers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A l’âge de 55 ans, Mr X revient vous voir pour des rectorragies (saignements dans les selles) peu abondantes apparues il y a un peu plus d'une semaine. Il présente une asthénie et a perdu 5 kg ces 6 derniers mois. Une coloscopie est programmée et met en évidence plusieurs polypes et une lésion ulcéro-bourgeonnante du côlon droit de 6 cm suspecte. Des biopsies de la lésion sont réalisées. L’étude anatomopathologique confirme le diagnostic de cancer. Par argument de fréquence, quel est le type histologique le plus probable de cette tumeur colique ? a. Adénocarcinome b. Mésothéliome c. Mélanome d. Lymphome e. Sarcome A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan d'extension est négatif et une intervention chirurgicale est programmée afin d’enlever la tumeur. Pendant l'intervention chirurgicale, quel examen peut demander le chirurgien, pouvant modifier sa prise en charge ?. Examen anatomopathologique extemporané, examen extemporané, un examin en extemporanée pour l anatomopathologiste pour observer les caracteristique de la tumeur, Analyse cytologique en extemporanée, Analyse extemporanée de la lesion, Analyse histologique en extemporanée, , Biopsie (extemporané), Biopsie extemporanée, Coupe extanporanee histologique, Examen Extemporanée, Examen anapath extemporané, Examen en extemporané, Examen extemporané de l'exérèse de la tumeur, Examen extemporané du ganglion sentinelle, Examen histologique extemporané, Examen microscopique extemporané, Extanporanee, Extemporanné, Il peut demander un examen extemporané., Observation microscopique extemporanée, Un prélèvement extemporané, analyse d'une biopsie de la tumeur en extemporané, analyse extemporannée, analyse extemporanée, analyse extemporanée anatomopathologie, analyse tumeur extemporanée, bilan extemporané, biposie ganglionnaire extemporanee, coupe extemporanée, examen extemporané demandé au laboratoire d'anatomo pathologie, examen anatomopathologique extemporanee, examen extamporane, examen extemporane, examen extemporanee, examen extemporanne, examen extemporanné, examen extemporanée coupe a congelation, extemporane, extemporanee, extemporanee pour eventuel curage gangionnaire, extemporannée, extemporané, extemporané analyse anatomopathologie, extemporané ganglion sentinelle, extemporané, annalyse ganglion sentinelle., extemporanée, extemporanée : diag de presomption, extemporanée peroperatoire, extemporanées, extamporrané pour anatomopathologiste ( savoir limite tumeur ), prélèvement extemporané, une analyse extemporanée des tissus environant la tumeur pour savoir s'ils sont eux aussi cancéreux ou non., un examen en extemporanee, un examen en extemporané, un examen extemporane, un examen extemporané, un examen histologique extemporane, un extemporané, un prelevement extemporane pour etude anapath, une extamporanée, une extemporané, une extemporanée, une extemporee, Analyse extemporanée des bords de la lésion pour vérifier si l'ablation est bien totale, extemporanée pour voir si exérèse complète de la tumeur, Examen anathomopathologique extemporané sur l'exérèse effectuée, il peut demander une étude du prélévement en extemporané par un anatomo pathologiste, analyse des ganglions voisins de la tumeur en extemporane, une analyse d'une coupe de la tumeur en extemporanee, Le chirurgien peut demander un examen en extemporane par l'anatomo-pathologiste., biopsie extemporanée, extemporanné, Examen extemporané, Extemporané, examen anatomopathologique extemporané, examen extemporanée, Examen extemporanee. Pour réaliser cet examen, quelles sont les conditions possibles recommandées pour l'envoi au laboratoire d'anatomo-pathologie? a. Fixé dans du formol b. à l´état frais c. Fixé dans du liquide de Bouin d. En urgence e. Dans un délai maximum de 4 heures
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Cancérologie - Radiothérapie
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null
Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Au cours de cet entretien, Mr X vous parle de son voisin chez qui on a diagnostiqué à l’âge de 35 ans un cancer du côlon et qui a plusieurs cas de cancer du côlon dans sa famille. A quelle forme de cancer vous fait penser cette histoire ?. Forme familiale, Forme héréditaire, Héréditaire, familiale, A la forme familiale du cancer du colon, avec composante genetique, cancer dû à une mutation hereditaire d'un gène suppreseur de tumeurs (gène réparant des alterations de l'adn par exemple), , Cela me fait penser à une forme de cancer génétique ou héréditaire familiale., Cancer héréditaire, prédisposition genetique, comme polypode adenomateuse familiale, A composante génétique et héréditaire, A la forme héréditaire, Adénocarcinome héréditaire, Cancer a composante héréditaire, Cancer a facteur génétique, héréditaire, Cancer a gènes de prédisposition, Cancer d'origine genetique,hereditaire, Cancer familial (avec une part génétique), Cancer génétique familiale, Cancer héréditaire avec mutation d'un gène, Cancer à prédisposition génétique, Cancer à prédisposition héréditaire, forme familiale, une mutation génétique ( géne suppresseur de tumeur), Familiale Héréditaire, Familiale génétique, Forme familiale (altération gene supresseur), Forme familiale de cancer, Forme familiale de cancer du colon, Forme génétique / familiale, Forme génétique, héréditaire, Forme héréditaire de cancer du colon, Héréditaire familiale, Héréditaire génétique polypose, Héréditaire, familiale, Origine génétique familial, Predisposition genetique, Transmission héréditaire, cancer héréditaire (part de génétique) transmissible de générations en générations, donc son voisin présente des prédispositions génétiques pour le cancer du colon, forme de cancer héréditaire (avec polype au niveau du colon), cancer hereditaire du colon type polypose familiale, adénocarcinome polyposique familial, adénocarcinome polyposique héreditaire, cancer 'familial', polypose adenomateuse familiale, cancer a predispotion genetique, cancer avec une predisposition genetique, cancer colorectal héréditaire, cancer d'origine génétique (forme héréditaire), cancer de forme familiale, cancer de forme héréditaire/génétique, cancer de type héréditaire, cancer du colon dorigine genetique, hereditaire, cancer dû à un gène transmis dzns la famille, cancer familial, cancer familial (PAF), cancer familial predisposition heriditare du colon, cancer familial, lie a la genetique, cancer familiale, cancer genetique hereditaire, cancer genetique héréditaire, cancer hereditaire, cancer hereditaire/prédisposition génétique, cancer héréditaire, cancer precoce du colon hereditaire, cancer à prédisposition génétique, cancer à prédisposition hereditaire génétique, cancers héréditaires, cela fait penser a un cancer familial., familial, familial héréditaire, familial, hereditaire, forme de cancer héréditaire, forme familiale HNPCC, forme familiale héréditaire, forme familliale, forme familliale hériditaire (génétique), forme hereditaire, forme hereditaire , familiale, forme hereditaire du cancer du colon, forme hereditaire familiale, forme héréditaire de cancer, forme héréditaire/ familiale, formes familiales genetiques de cancer du colon, genetique (familial), gènes de prédisposition, génétique héréditaire, génétique, familial, hereditaire, héréditaire (mutation d'un gène), la forme héréditaire du cancer du colon, cancer lié à une mutation génétique hereditaire, cas familial de cancer du colon : polype adenomateux familial : PAF, prédisposition génétique, prédisposition génétique, héréditaire, prédispositions génétiques, A un cancer hereditaire ou la lumière du colon est envahie par des polipes, un cancer de type hereditaire, un cancer hereditaire, une forme hereditaire, a l'HNPCC, le cancer du colon héréditaire non polyposidique, forme héréditaire comme polypose adenomateuse familiale, a cause du gene supresseur de tumeur gspt-> familal, forme familiale ou héréditaire (possibilité de polypose), forme familiale de cancer avec predisposition genetique, cette histoire fait pensee a une forme de cancer hereditaire., cancer du colon familial d'origine genetique :hnpcc, il existerait une predisposition génétique ( deregulation de gènes responsable de lésions cancereuses), mutation du gene suppresseur de tumeur, forme familiale, cancer héréditaire lie a deficience des genes suppresseurs de tumeur, cancer du colon familiale (lié a une anomalie genetique), à une forme familiale (héréditaire) de cancer (cas dans la famille + âge), Forme génétique du cancer, cancer héréditaire (peut être une mutation génétique qui se transmet), forme familiale (ex PAF polypose adenomateuse familiale), Cancer colon génétique, lié précocité et récurrence familiale, Cancer familial, Cancer héréditaire, Familiale, Forme hereditaire, héréditaire, Familial. Concernant les formes familiales de cancer: a. Elles représentent environ 50% des cancers b. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer est présente dans toutes les cellules de l´organisme c. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer implique le plus souvent un oncogène d. Elles sont décrites pour le cancer du sein e. Elles bénéficient d´un dépistage et d´un suivi particuliers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A l’âge de 55 ans, Mr X revient vous voir pour des rectorragies (saignements dans les selles) peu abondantes apparues il y a un peu plus d'une semaine. Il présente une asthénie et a perdu 5 kg ces 6 derniers mois. Une coloscopie est programmée et met en évidence plusieurs polypes et une lésion ulcéro-bourgeonnante du côlon droit de 6 cm suspecte. Des biopsies de la lésion sont réalisées. L’étude anatomopathologique confirme le diagnostic de cancer. Par argument de fréquence, quel est le type histologique le plus probable de cette tumeur colique ? a. Adénocarcinome b. Mésothéliome c. Mélanome d. Lymphome e. Sarcome A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan d'extension est négatif et une intervention chirurgicale est programmée afin d’enlever la tumeur. Pendant l'intervention chirurgicale, quel examen peut demander le chirurgien, pouvant modifier sa prise en charge ?. Examen anatomopathologique extemporané, examen extemporané, un examin en extemporanée pour l anatomopathologiste pour observer les caracteristique de la tumeur, Analyse cytologique en extemporanée, Analyse extemporanée de la lesion, Analyse histologique en extemporanée, , Biopsie (extemporané), Biopsie extemporanée, Coupe extanporanee histologique, Examen Extemporanée, Examen anapath extemporané, Examen en extemporané, Examen extemporané de l'exérèse de la tumeur, Examen extemporané du ganglion sentinelle, Examen histologique extemporané, Examen microscopique extemporané, Extanporanee, Extemporanné, Il peut demander un examen extemporané., Observation microscopique extemporanée, Un prélèvement extemporané, analyse d'une biopsie de la tumeur en extemporané, analyse extemporannée, analyse extemporanée, analyse extemporanée anatomopathologie, analyse tumeur extemporanée, bilan extemporané, biposie ganglionnaire extemporanee, coupe extemporanée, examen extemporané demandé au laboratoire d'anatomo pathologie, examen anatomopathologique extemporanee, examen extamporane, examen extemporane, examen extemporanee, examen extemporanne, examen extemporanné, examen extemporanée coupe a congelation, extemporane, extemporanee, extemporanee pour eventuel curage gangionnaire, extemporannée, extemporané, extemporané analyse anatomopathologie, extemporané ganglion sentinelle, extemporané, annalyse ganglion sentinelle., extemporanée, extemporanée : diag de presomption, extemporanée peroperatoire, extemporanées, extamporrané pour anatomopathologiste ( savoir limite tumeur ), prélèvement extemporané, une analyse extemporanée des tissus environant la tumeur pour savoir s'ils sont eux aussi cancéreux ou non., un examen en extemporanee, un examen en extemporané, un examen extemporane, un examen extemporané, un examen histologique extemporane, un extemporané, un prelevement extemporane pour etude anapath, une extamporanée, une extemporané, une extemporanée, une extemporee, Analyse extemporanée des bords de la lésion pour vérifier si l'ablation est bien totale, extemporanée pour voir si exérèse complète de la tumeur, Examen anathomopathologique extemporané sur l'exérèse effectuée, il peut demander une étude du prélévement en extemporané par un anatomo pathologiste, analyse des ganglions voisins de la tumeur en extemporane, une analyse d'une coupe de la tumeur en extemporanee, Le chirurgien peut demander un examen en extemporane par l'anatomo-pathologiste., biopsie extemporanée, extemporanné, Examen extemporané, Extemporané, examen anatomopathologique extemporané, examen extemporanée, Examen extemporanee. Pour réaliser cet examen, quelles sont les conditions possibles recommandées pour l'envoi au laboratoire d'anatomo-pathologie? a. Fixé dans du formol b. à l´état frais c. Fixé dans du liquide de Bouin d. En urgence e. Dans un délai maximum de 4 heures A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelle est la durée maximale recommandée habituelle d'un examen extemporané ?.
30 minutes, Une demi heure, 30 min, 30 minutes (une demi-heure), 30 minutes a partir de la reception, 30 minutes, pas plus., , 30 minuttes, 30min, 30minutes, 30mîn, Elle est de trente minutes., Trente minutes (30min), Une trentaine de minutes, a peu pres 30min, moins de 30min après reception au laboratoire, trente minutes, trentes minutes, une demi-heure, une demie heure, Trente minutes.
Cancérologie - Radiothérapie
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Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Au cours de cet entretien, Mr X vous parle de son voisin chez qui on a diagnostiqué à l’âge de 35 ans un cancer du côlon et qui a plusieurs cas de cancer du côlon dans sa famille. A quelle forme de cancer vous fait penser cette histoire ?. Forme familiale, Forme héréditaire, Héréditaire, familiale, A la forme familiale du cancer du colon, avec composante genetique, cancer dû à une mutation hereditaire d'un gène suppreseur de tumeurs (gène réparant des alterations de l'adn par exemple), , Cela me fait penser à une forme de cancer génétique ou héréditaire familiale., Cancer héréditaire, prédisposition genetique, comme polypode adenomateuse familiale, A composante génétique et héréditaire, A la forme héréditaire, Adénocarcinome héréditaire, Cancer a composante héréditaire, Cancer a facteur génétique, héréditaire, Cancer a gènes de prédisposition, Cancer d'origine genetique,hereditaire, Cancer familial (avec une part génétique), Cancer génétique familiale, Cancer héréditaire avec mutation d'un gène, Cancer à prédisposition génétique, Cancer à prédisposition héréditaire, forme familiale, une mutation génétique ( géne suppresseur de tumeur), Familiale Héréditaire, Familiale génétique, Forme familiale (altération gene supresseur), Forme familiale de cancer, Forme familiale de cancer du colon, Forme génétique / familiale, Forme génétique, héréditaire, Forme héréditaire de cancer du colon, Héréditaire familiale, Héréditaire génétique polypose, Héréditaire, familiale, Origine génétique familial, Predisposition genetique, Transmission héréditaire, cancer héréditaire (part de génétique) transmissible de générations en générations, donc son voisin présente des prédispositions génétiques pour le cancer du colon, forme de cancer héréditaire (avec polype au niveau du colon), cancer hereditaire du colon type polypose familiale, adénocarcinome polyposique familial, adénocarcinome polyposique héreditaire, cancer 'familial', polypose adenomateuse familiale, cancer a predispotion genetique, cancer avec une predisposition genetique, cancer colorectal héréditaire, cancer d'origine génétique (forme héréditaire), cancer de forme familiale, cancer de forme héréditaire/génétique, cancer de type héréditaire, cancer du colon dorigine genetique, hereditaire, cancer dû à un gène transmis dzns la famille, cancer familial, cancer familial (PAF), cancer familial predisposition heriditare du colon, cancer familial, lie a la genetique, cancer familiale, cancer genetique hereditaire, cancer genetique héréditaire, cancer hereditaire, cancer hereditaire/prédisposition génétique, cancer héréditaire, cancer precoce du colon hereditaire, cancer à prédisposition génétique, cancer à prédisposition hereditaire génétique, cancers héréditaires, cela fait penser a un cancer familial., familial, familial héréditaire, familial, hereditaire, forme de cancer héréditaire, forme familiale HNPCC, forme familiale héréditaire, forme familliale, forme familliale hériditaire (génétique), forme hereditaire, forme hereditaire , familiale, forme hereditaire du cancer du colon, forme hereditaire familiale, forme héréditaire de cancer, forme héréditaire/ familiale, formes familiales genetiques de cancer du colon, genetique (familial), gènes de prédisposition, génétique héréditaire, génétique, familial, hereditaire, héréditaire (mutation d'un gène), la forme héréditaire du cancer du colon, cancer lié à une mutation génétique hereditaire, cas familial de cancer du colon : polype adenomateux familial : PAF, prédisposition génétique, prédisposition génétique, héréditaire, prédispositions génétiques, A un cancer hereditaire ou la lumière du colon est envahie par des polipes, un cancer de type hereditaire, un cancer hereditaire, une forme hereditaire, a l'HNPCC, le cancer du colon héréditaire non polyposidique, forme héréditaire comme polypose adenomateuse familiale, a cause du gene supresseur de tumeur gspt-> familal, forme familiale ou héréditaire (possibilité de polypose), forme familiale de cancer avec predisposition genetique, cette histoire fait pensee a une forme de cancer hereditaire., cancer du colon familial d'origine genetique :hnpcc, il existerait une predisposition génétique ( deregulation de gènes responsable de lésions cancereuses), mutation du gene suppresseur de tumeur, forme familiale, cancer héréditaire lie a deficience des genes suppresseurs de tumeur, cancer du colon familiale (lié a une anomalie genetique), à une forme familiale (héréditaire) de cancer (cas dans la famille + âge), Forme génétique du cancer, cancer héréditaire (peut être une mutation génétique qui se transmet), forme familiale (ex PAF polypose adenomateuse familiale), Cancer colon génétique, lié précocité et récurrence familiale, Cancer familial, Cancer héréditaire, Familiale, Forme hereditaire, héréditaire, Familial. Concernant les formes familiales de cancer: a. Elles représentent environ 50% des cancers b. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer est présente dans toutes les cellules de l´organisme c. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer implique le plus souvent un oncogène d. Elles sont décrites pour le cancer du sein e. Elles bénéficient d´un dépistage et d´un suivi particuliers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A l’âge de 55 ans, Mr X revient vous voir pour des rectorragies (saignements dans les selles) peu abondantes apparues il y a un peu plus d'une semaine. Il présente une asthénie et a perdu 5 kg ces 6 derniers mois. Une coloscopie est programmée et met en évidence plusieurs polypes et une lésion ulcéro-bourgeonnante du côlon droit de 6 cm suspecte. Des biopsies de la lésion sont réalisées. L’étude anatomopathologique confirme le diagnostic de cancer. Par argument de fréquence, quel est le type histologique le plus probable de cette tumeur colique ? a. Adénocarcinome b. Mésothéliome c. Mélanome d. Lymphome e. Sarcome A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan d'extension est négatif et une intervention chirurgicale est programmée afin d’enlever la tumeur. Pendant l'intervention chirurgicale, quel examen peut demander le chirurgien, pouvant modifier sa prise en charge ?. Examen anatomopathologique extemporané, examen extemporané, un examin en extemporanée pour l anatomopathologiste pour observer les caracteristique de la tumeur, Analyse cytologique en extemporanée, Analyse extemporanée de la lesion, Analyse histologique en extemporanée, , Biopsie (extemporané), Biopsie extemporanée, Coupe extanporanee histologique, Examen Extemporanée, Examen anapath extemporané, Examen en extemporané, Examen extemporané de l'exérèse de la tumeur, Examen extemporané du ganglion sentinelle, Examen histologique extemporané, Examen microscopique extemporané, Extanporanee, Extemporanné, Il peut demander un examen extemporané., Observation microscopique extemporanée, Un prélèvement extemporané, analyse d'une biopsie de la tumeur en extemporané, analyse extemporannée, analyse extemporanée, analyse extemporanée anatomopathologie, analyse tumeur extemporanée, bilan extemporané, biposie ganglionnaire extemporanee, coupe extemporanée, examen extemporané demandé au laboratoire d'anatomo pathologie, examen anatomopathologique extemporanee, examen extamporane, examen extemporane, examen extemporanee, examen extemporanne, examen extemporanné, examen extemporanée coupe a congelation, extemporane, extemporanee, extemporanee pour eventuel curage gangionnaire, extemporannée, extemporané, extemporané analyse anatomopathologie, extemporané ganglion sentinelle, extemporané, annalyse ganglion sentinelle., extemporanée, extemporanée : diag de presomption, extemporanée peroperatoire, extemporanées, extamporrané pour anatomopathologiste ( savoir limite tumeur ), prélèvement extemporané, une analyse extemporanée des tissus environant la tumeur pour savoir s'ils sont eux aussi cancéreux ou non., un examen en extemporanee, un examen en extemporané, un examen extemporane, un examen extemporané, un examen histologique extemporane, un extemporané, un prelevement extemporane pour etude anapath, une extamporanée, une extemporané, une extemporanée, une extemporee, Analyse extemporanée des bords de la lésion pour vérifier si l'ablation est bien totale, extemporanée pour voir si exérèse complète de la tumeur, Examen anathomopathologique extemporané sur l'exérèse effectuée, il peut demander une étude du prélévement en extemporané par un anatomo pathologiste, analyse des ganglions voisins de la tumeur en extemporane, une analyse d'une coupe de la tumeur en extemporanee, Le chirurgien peut demander un examen en extemporane par l'anatomo-pathologiste., biopsie extemporanée, extemporanné, Examen extemporané, Extemporané, examen anatomopathologique extemporané, examen extemporanée, Examen extemporanee. Pour réaliser cet examen, quelles sont les conditions possibles recommandées pour l'envoi au laboratoire d'anatomo-pathologie? a. Fixé dans du formol b. à l´état frais c. Fixé dans du liquide de Bouin d. En urgence e. Dans un délai maximum de 4 heures A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelle est la durée maximale recommandée habituelle d'un examen extemporané ?. 30 minutes, Une demi heure, 30 min, 30 minutes (une demi-heure), 30 minutes a partir de la reception, 30 minutes, pas plus., , 30 minuttes, 30min, 30minutes, 30mîn, Elle est de trente minutes., Trente minutes (30min), Une trentaine de minutes, a peu pres 30min, moins de 30min après reception au laboratoire, trente minutes, trentes minutes, une demi-heure, une demie heure, Trente minutes. Les recoupes coliques examinées en extemporané sont saines. Le chirurgien réalise une colectomie droite. Avant d’envoyer la pièce opératoire en anatomie pathologique, le chirurgien demande à l’infirmière de la mettre dans un fixateur. Quel est le fixateur chimique recommandé que l’infirmière doit utiliser?.
Formol, C'est le Formol., Formaldéhyde, Formaldéhyde (formol tamponné), Formol tamponné, Formol tamponné ou formaldéhyde, , Formol tamponé, Formol, formaldéhyde, Formole, Le formaldéhyde, Le formol, Le formol., c'est le formol, c'est le formol tamponné bien sur !, du formol, formaldehyde, formol ou derivé formolé, formol tamponne, formol tamponné (10x le volume de la piece), formol tamponnée, formol tanponné, le formol tamponne, le formol tamponné, formol.
Cancérologie - Radiothérapie
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1,346
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Au cours de cet entretien, Mr X vous parle de son voisin chez qui on a diagnostiqué à l’âge de 35 ans un cancer du côlon et qui a plusieurs cas de cancer du côlon dans sa famille. A quelle forme de cancer vous fait penser cette histoire ?. Forme familiale, Forme héréditaire, Héréditaire, familiale, A la forme familiale du cancer du colon, avec composante genetique, cancer dû à une mutation hereditaire d'un gène suppreseur de tumeurs (gène réparant des alterations de l'adn par exemple), , Cela me fait penser à une forme de cancer génétique ou héréditaire familiale., Cancer héréditaire, prédisposition genetique, comme polypode adenomateuse familiale, A composante génétique et héréditaire, A la forme héréditaire, Adénocarcinome héréditaire, Cancer a composante héréditaire, Cancer a facteur génétique, héréditaire, Cancer a gènes de prédisposition, Cancer d'origine genetique,hereditaire, Cancer familial (avec une part génétique), Cancer génétique familiale, Cancer héréditaire avec mutation d'un gène, Cancer à prédisposition génétique, Cancer à prédisposition héréditaire, forme familiale, une mutation génétique ( géne suppresseur de tumeur), Familiale Héréditaire, Familiale génétique, Forme familiale (altération gene supresseur), Forme familiale de cancer, Forme familiale de cancer du colon, Forme génétique / familiale, Forme génétique, héréditaire, Forme héréditaire de cancer du colon, Héréditaire familiale, Héréditaire génétique polypose, Héréditaire, familiale, Origine génétique familial, Predisposition genetique, Transmission héréditaire, cancer héréditaire (part de génétique) transmissible de générations en générations, donc son voisin présente des prédispositions génétiques pour le cancer du colon, forme de cancer héréditaire (avec polype au niveau du colon), cancer hereditaire du colon type polypose familiale, adénocarcinome polyposique familial, adénocarcinome polyposique héreditaire, cancer 'familial', polypose adenomateuse familiale, cancer a predispotion genetique, cancer avec une predisposition genetique, cancer colorectal héréditaire, cancer d'origine génétique (forme héréditaire), cancer de forme familiale, cancer de forme héréditaire/génétique, cancer de type héréditaire, cancer du colon dorigine genetique, hereditaire, cancer dû à un gène transmis dzns la famille, cancer familial, cancer familial (PAF), cancer familial predisposition heriditare du colon, cancer familial, lie a la genetique, cancer familiale, cancer genetique hereditaire, cancer genetique héréditaire, cancer hereditaire, cancer hereditaire/prédisposition génétique, cancer héréditaire, cancer precoce du colon hereditaire, cancer à prédisposition génétique, cancer à prédisposition hereditaire génétique, cancers héréditaires, cela fait penser a un cancer familial., familial, familial héréditaire, familial, hereditaire, forme de cancer héréditaire, forme familiale HNPCC, forme familiale héréditaire, forme familliale, forme familliale hériditaire (génétique), forme hereditaire, forme hereditaire , familiale, forme hereditaire du cancer du colon, forme hereditaire familiale, forme héréditaire de cancer, forme héréditaire/ familiale, formes familiales genetiques de cancer du colon, genetique (familial), gènes de prédisposition, génétique héréditaire, génétique, familial, hereditaire, héréditaire (mutation d'un gène), la forme héréditaire du cancer du colon, cancer lié à une mutation génétique hereditaire, cas familial de cancer du colon : polype adenomateux familial : PAF, prédisposition génétique, prédisposition génétique, héréditaire, prédispositions génétiques, A un cancer hereditaire ou la lumière du colon est envahie par des polipes, un cancer de type hereditaire, un cancer hereditaire, une forme hereditaire, a l'HNPCC, le cancer du colon héréditaire non polyposidique, forme héréditaire comme polypose adenomateuse familiale, a cause du gene supresseur de tumeur gspt-> familal, forme familiale ou héréditaire (possibilité de polypose), forme familiale de cancer avec predisposition genetique, cette histoire fait pensee a une forme de cancer hereditaire., cancer du colon familial d'origine genetique :hnpcc, il existerait une predisposition génétique ( deregulation de gènes responsable de lésions cancereuses), mutation du gene suppresseur de tumeur, forme familiale, cancer héréditaire lie a deficience des genes suppresseurs de tumeur, cancer du colon familiale (lié a une anomalie genetique), à une forme familiale (héréditaire) de cancer (cas dans la famille + âge), Forme génétique du cancer, cancer héréditaire (peut être une mutation génétique qui se transmet), forme familiale (ex PAF polypose adenomateuse familiale), Cancer colon génétique, lié précocité et récurrence familiale, Cancer familial, Cancer héréditaire, Familiale, Forme hereditaire, héréditaire, Familial. Concernant les formes familiales de cancer: a. Elles représentent environ 50% des cancers b. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer est présente dans toutes les cellules de l´organisme c. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer implique le plus souvent un oncogène d. Elles sont décrites pour le cancer du sein e. Elles bénéficient d´un dépistage et d´un suivi particuliers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A l’âge de 55 ans, Mr X revient vous voir pour des rectorragies (saignements dans les selles) peu abondantes apparues il y a un peu plus d'une semaine. Il présente une asthénie et a perdu 5 kg ces 6 derniers mois. Une coloscopie est programmée et met en évidence plusieurs polypes et une lésion ulcéro-bourgeonnante du côlon droit de 6 cm suspecte. Des biopsies de la lésion sont réalisées. L’étude anatomopathologique confirme le diagnostic de cancer. Par argument de fréquence, quel est le type histologique le plus probable de cette tumeur colique ? a. Adénocarcinome b. Mésothéliome c. Mélanome d. Lymphome e. Sarcome A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan d'extension est négatif et une intervention chirurgicale est programmée afin d’enlever la tumeur. Pendant l'intervention chirurgicale, quel examen peut demander le chirurgien, pouvant modifier sa prise en charge ?. Examen anatomopathologique extemporané, examen extemporané, un examin en extemporanée pour l anatomopathologiste pour observer les caracteristique de la tumeur, Analyse cytologique en extemporanée, Analyse extemporanée de la lesion, Analyse histologique en extemporanée, , Biopsie (extemporané), Biopsie extemporanée, Coupe extanporanee histologique, Examen Extemporanée, Examen anapath extemporané, Examen en extemporané, Examen extemporané de l'exérèse de la tumeur, Examen extemporané du ganglion sentinelle, Examen histologique extemporané, Examen microscopique extemporané, Extanporanee, Extemporanné, Il peut demander un examen extemporané., Observation microscopique extemporanée, Un prélèvement extemporané, analyse d'une biopsie de la tumeur en extemporané, analyse extemporannée, analyse extemporanée, analyse extemporanée anatomopathologie, analyse tumeur extemporanée, bilan extemporané, biposie ganglionnaire extemporanee, coupe extemporanée, examen extemporané demandé au laboratoire d'anatomo pathologie, examen anatomopathologique extemporanee, examen extamporane, examen extemporane, examen extemporanee, examen extemporanne, examen extemporanné, examen extemporanée coupe a congelation, extemporane, extemporanee, extemporanee pour eventuel curage gangionnaire, extemporannée, extemporané, extemporané analyse anatomopathologie, extemporané ganglion sentinelle, extemporané, annalyse ganglion sentinelle., extemporanée, extemporanée : diag de presomption, extemporanée peroperatoire, extemporanées, extamporrané pour anatomopathologiste ( savoir limite tumeur ), prélèvement extemporané, une analyse extemporanée des tissus environant la tumeur pour savoir s'ils sont eux aussi cancéreux ou non., un examen en extemporanee, un examen en extemporané, un examen extemporane, un examen extemporané, un examen histologique extemporane, un extemporané, un prelevement extemporane pour etude anapath, une extamporanée, une extemporané, une extemporanée, une extemporee, Analyse extemporanée des bords de la lésion pour vérifier si l'ablation est bien totale, extemporanée pour voir si exérèse complète de la tumeur, Examen anathomopathologique extemporané sur l'exérèse effectuée, il peut demander une étude du prélévement en extemporané par un anatomo pathologiste, analyse des ganglions voisins de la tumeur en extemporane, une analyse d'une coupe de la tumeur en extemporanee, Le chirurgien peut demander un examen en extemporane par l'anatomo-pathologiste., biopsie extemporanée, extemporanné, Examen extemporané, Extemporané, examen anatomopathologique extemporané, examen extemporanée, Examen extemporanee. Pour réaliser cet examen, quelles sont les conditions possibles recommandées pour l'envoi au laboratoire d'anatomo-pathologie? a. Fixé dans du formol b. à l´état frais c. Fixé dans du liquide de Bouin d. En urgence e. Dans un délai maximum de 4 heures A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelle est la durée maximale recommandée habituelle d'un examen extemporané ?. 30 minutes, Une demi heure, 30 min, 30 minutes (une demi-heure), 30 minutes a partir de la reception, 30 minutes, pas plus., , 30 minuttes, 30min, 30minutes, 30mîn, Elle est de trente minutes., Trente minutes (30min), Une trentaine de minutes, a peu pres 30min, moins de 30min après reception au laboratoire, trente minutes, trentes minutes, une demi-heure, une demie heure, Trente minutes. Les recoupes coliques examinées en extemporané sont saines. Le chirurgien réalise une colectomie droite. Avant d’envoyer la pièce opératoire en anatomie pathologique, le chirurgien demande à l’infirmière de la mettre dans un fixateur. Quel est le fixateur chimique recommandé que l’infirmière doit utiliser?. Formol, C'est le Formol., Formaldéhyde, Formaldéhyde (formol tamponné), Formol tamponné, Formol tamponné ou formaldéhyde, , Formol tamponé, Formol, formaldéhyde, Formole, Le formaldéhyde, Le formol, Le formol., c'est le formol, c'est le formol tamponné bien sur !, du formol, formaldehyde, formol ou derivé formolé, formol tamponne, formol tamponné (10x le volume de la piece), formol tamponnée, formol tanponné, le formol tamponne, le formol tamponné, formol. L'infirmière demande à quoi sert la fixation chimique. Le chirurgien répond que la fixation : a. Fige les protéines b. Permet d'arrêter l'autolyse c. Durcit le prélèvement d. Inactive les enzymes e. Permet de maintenir les cellules vivantes
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Mr X, 50 ans, sans antécédents particuliers, vient vous voir car il a entendu parler d’un dépistage pour le cancer du côlon. Vous expliquez à Mr X que le dépistage du cancer du côlon en France: a. Est un dépistage organisé au niveau national b. S´adresse à des personnes asymptomatiques (sans aucun signe clinique) c. Est réalisé sans limite d´âge d. Permet de dépister un cancer ou une lésion pré-cancéreuse à un stade précoce e. Permet d´affirmer le diagnostic de cancer ou de lésion pré-cancéreuse du colon A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Au cours de cet entretien, Mr X vous parle de son voisin chez qui on a diagnostiqué à l’âge de 35 ans un cancer du côlon et qui a plusieurs cas de cancer du côlon dans sa famille. A quelle forme de cancer vous fait penser cette histoire ?. Forme familiale, Forme héréditaire, Héréditaire, familiale, A la forme familiale du cancer du colon, avec composante genetique, cancer dû à une mutation hereditaire d'un gène suppreseur de tumeurs (gène réparant des alterations de l'adn par exemple), , Cela me fait penser à une forme de cancer génétique ou héréditaire familiale., Cancer héréditaire, prédisposition genetique, comme polypode adenomateuse familiale, A composante génétique et héréditaire, A la forme héréditaire, Adénocarcinome héréditaire, Cancer a composante héréditaire, Cancer a facteur génétique, héréditaire, Cancer a gènes de prédisposition, Cancer d'origine genetique,hereditaire, Cancer familial (avec une part génétique), Cancer génétique familiale, Cancer héréditaire avec mutation d'un gène, Cancer à prédisposition génétique, Cancer à prédisposition héréditaire, forme familiale, une mutation génétique ( géne suppresseur de tumeur), Familiale Héréditaire, Familiale génétique, Forme familiale (altération gene supresseur), Forme familiale de cancer, Forme familiale de cancer du colon, Forme génétique / familiale, Forme génétique, héréditaire, Forme héréditaire de cancer du colon, Héréditaire familiale, Héréditaire génétique polypose, Héréditaire, familiale, Origine génétique familial, Predisposition genetique, Transmission héréditaire, cancer héréditaire (part de génétique) transmissible de générations en générations, donc son voisin présente des prédispositions génétiques pour le cancer du colon, forme de cancer héréditaire (avec polype au niveau du colon), cancer hereditaire du colon type polypose familiale, adénocarcinome polyposique familial, adénocarcinome polyposique héreditaire, cancer 'familial', polypose adenomateuse familiale, cancer a predispotion genetique, cancer avec une predisposition genetique, cancer colorectal héréditaire, cancer d'origine génétique (forme héréditaire), cancer de forme familiale, cancer de forme héréditaire/génétique, cancer de type héréditaire, cancer du colon dorigine genetique, hereditaire, cancer dû à un gène transmis dzns la famille, cancer familial, cancer familial (PAF), cancer familial predisposition heriditare du colon, cancer familial, lie a la genetique, cancer familiale, cancer genetique hereditaire, cancer genetique héréditaire, cancer hereditaire, cancer hereditaire/prédisposition génétique, cancer héréditaire, cancer precoce du colon hereditaire, cancer à prédisposition génétique, cancer à prédisposition hereditaire génétique, cancers héréditaires, cela fait penser a un cancer familial., familial, familial héréditaire, familial, hereditaire, forme de cancer héréditaire, forme familiale HNPCC, forme familiale héréditaire, forme familliale, forme familliale hériditaire (génétique), forme hereditaire, forme hereditaire , familiale, forme hereditaire du cancer du colon, forme hereditaire familiale, forme héréditaire de cancer, forme héréditaire/ familiale, formes familiales genetiques de cancer du colon, genetique (familial), gènes de prédisposition, génétique héréditaire, génétique, familial, hereditaire, héréditaire (mutation d'un gène), la forme héréditaire du cancer du colon, cancer lié à une mutation génétique hereditaire, cas familial de cancer du colon : polype adenomateux familial : PAF, prédisposition génétique, prédisposition génétique, héréditaire, prédispositions génétiques, A un cancer hereditaire ou la lumière du colon est envahie par des polipes, un cancer de type hereditaire, un cancer hereditaire, une forme hereditaire, a l'HNPCC, le cancer du colon héréditaire non polyposidique, forme héréditaire comme polypose adenomateuse familiale, a cause du gene supresseur de tumeur gspt-> familal, forme familiale ou héréditaire (possibilité de polypose), forme familiale de cancer avec predisposition genetique, cette histoire fait pensee a une forme de cancer hereditaire., cancer du colon familial d'origine genetique :hnpcc, il existerait une predisposition génétique ( deregulation de gènes responsable de lésions cancereuses), mutation du gene suppresseur de tumeur, forme familiale, cancer héréditaire lie a deficience des genes suppresseurs de tumeur, cancer du colon familiale (lié a une anomalie genetique), à une forme familiale (héréditaire) de cancer (cas dans la famille + âge), Forme génétique du cancer, cancer héréditaire (peut être une mutation génétique qui se transmet), forme familiale (ex PAF polypose adenomateuse familiale), Cancer colon génétique, lié précocité et récurrence familiale, Cancer familial, Cancer héréditaire, Familiale, Forme hereditaire, héréditaire, Familial. Concernant les formes familiales de cancer: a. Elles représentent environ 50% des cancers b. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer est présente dans toutes les cellules de l´organisme c. L´anomalie moléculaire impliquée dans ces formes de cancer implique le plus souvent un oncogène d. Elles sont décrites pour le cancer du sein e. Elles bénéficient d´un dépistage et d´un suivi particuliers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A l’âge de 55 ans, Mr X revient vous voir pour des rectorragies (saignements dans les selles) peu abondantes apparues il y a un peu plus d'une semaine. Il présente une asthénie et a perdu 5 kg ces 6 derniers mois. Une coloscopie est programmée et met en évidence plusieurs polypes et une lésion ulcéro-bourgeonnante du côlon droit de 6 cm suspecte. Des biopsies de la lésion sont réalisées. L’étude anatomopathologique confirme le diagnostic de cancer. Par argument de fréquence, quel est le type histologique le plus probable de cette tumeur colique ? a. Adénocarcinome b. Mésothéliome c. Mélanome d. Lymphome e. Sarcome A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan d'extension est négatif et une intervention chirurgicale est programmée afin d’enlever la tumeur. Pendant l'intervention chirurgicale, quel examen peut demander le chirurgien, pouvant modifier sa prise en charge ?. Examen anatomopathologique extemporané, examen extemporané, un examin en extemporanée pour l anatomopathologiste pour observer les caracteristique de la tumeur, Analyse cytologique en extemporanée, Analyse extemporanée de la lesion, Analyse histologique en extemporanée, , Biopsie (extemporané), Biopsie extemporanée, Coupe extanporanee histologique, Examen Extemporanée, Examen anapath extemporané, Examen en extemporané, Examen extemporané de l'exérèse de la tumeur, Examen extemporané du ganglion sentinelle, Examen histologique extemporané, Examen microscopique extemporané, Extanporanee, Extemporanné, Il peut demander un examen extemporané., Observation microscopique extemporanée, Un prélèvement extemporané, analyse d'une biopsie de la tumeur en extemporané, analyse extemporannée, analyse extemporanée, analyse extemporanée anatomopathologie, analyse tumeur extemporanée, bilan extemporané, biposie ganglionnaire extemporanee, coupe extemporanée, examen extemporané demandé au laboratoire d'anatomo pathologie, examen anatomopathologique extemporanee, examen extamporane, examen extemporane, examen extemporanee, examen extemporanne, examen extemporanné, examen extemporanée coupe a congelation, extemporane, extemporanee, extemporanee pour eventuel curage gangionnaire, extemporannée, extemporané, extemporané analyse anatomopathologie, extemporané ganglion sentinelle, extemporané, annalyse ganglion sentinelle., extemporanée, extemporanée : diag de presomption, extemporanée peroperatoire, extemporanées, extamporrané pour anatomopathologiste ( savoir limite tumeur ), prélèvement extemporané, une analyse extemporanée des tissus environant la tumeur pour savoir s'ils sont eux aussi cancéreux ou non., un examen en extemporanee, un examen en extemporané, un examen extemporane, un examen extemporané, un examen histologique extemporane, un extemporané, un prelevement extemporane pour etude anapath, une extamporanée, une extemporané, une extemporanée, une extemporee, Analyse extemporanée des bords de la lésion pour vérifier si l'ablation est bien totale, extemporanée pour voir si exérèse complète de la tumeur, Examen anathomopathologique extemporané sur l'exérèse effectuée, il peut demander une étude du prélévement en extemporané par un anatomo pathologiste, analyse des ganglions voisins de la tumeur en extemporane, une analyse d'une coupe de la tumeur en extemporanee, Le chirurgien peut demander un examen en extemporane par l'anatomo-pathologiste., biopsie extemporanée, extemporanné, Examen extemporané, Extemporané, examen anatomopathologique extemporané, examen extemporanée, Examen extemporanee. Pour réaliser cet examen, quelles sont les conditions possibles recommandées pour l'envoi au laboratoire d'anatomo-pathologie? a. Fixé dans du formol b. à l´état frais c. Fixé dans du liquide de Bouin d. En urgence e. Dans un délai maximum de 4 heures A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelle est la durée maximale recommandée habituelle d'un examen extemporané ?. 30 minutes, Une demi heure, 30 min, 30 minutes (une demi-heure), 30 minutes a partir de la reception, 30 minutes, pas plus., , 30 minuttes, 30min, 30minutes, 30mîn, Elle est de trente minutes., Trente minutes (30min), Une trentaine de minutes, a peu pres 30min, moins de 30min après reception au laboratoire, trente minutes, trentes minutes, une demi-heure, une demie heure, Trente minutes. Les recoupes coliques examinées en extemporané sont saines. Le chirurgien réalise une colectomie droite. Avant d’envoyer la pièce opératoire en anatomie pathologique, le chirurgien demande à l’infirmière de la mettre dans un fixateur. Quel est le fixateur chimique recommandé que l’infirmière doit utiliser?. Formol, C'est le Formol., Formaldéhyde, Formaldéhyde (formol tamponné), Formol tamponné, Formol tamponné ou formaldéhyde, , Formol tamponé, Formol, formaldéhyde, Formole, Le formaldéhyde, Le formol, Le formol., c'est le formol, c'est le formol tamponné bien sur !, du formol, formaldehyde, formol ou derivé formolé, formol tamponne, formol tamponné (10x le volume de la piece), formol tamponnée, formol tanponné, le formol tamponne, le formol tamponné, formol. L'infirmière demande à quoi sert la fixation chimique. Le chirurgien répond que la fixation : a. Fige les protéines b. Permet d'arrêter l'autolyse c. Durcit le prélèvement d. Inactive les enzymes e. Permet de maintenir les cellules vivantes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quel volume minimum de fixateur, le prélèvement doit-il être plongé ? a. Une fois le volume du prélèvement b. Deux fois le volume du prélèvement c. Cinq fois le volume du prélèvement d. Dix fois le volume du prélèvement e. Cent fois le volume du prélèvement
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
Vous voyez en consultation en juin 2016, un patient de 15 ans pour des lésions du visage évoluant depuis 1 an. Il est en bon état général. Il a un antécédent personnel d'allergie à la penicilline. Sa maman présente à la consulation rapporte des carcinomes basocellulaires chez le père du patient. Ces lésions sont vésiculo pustuleuses. Vous constatez par ailleurs des papules de 3 mm sur les mêmes topographies. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous ? a. herpes à HSV b. acné rosacé c. candidose cutanée d. dermite seborrhéique e. acné juvénile
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le plus probable est une acné juvénile mixte. La présence de comédon est indispensable pour poser le diagnostic d'acné. l'herpes évolue rarement sur un an, et ne présente pas de lésions rétensionnelles. la folliculite peut être un diagnostic différentiel, mais ne présente pas de comédon. la lésion élémentaire de la dermte seborréique n'est pas vésiculo pustuleuse. la candidose peut présenter des vésicules sur la bordure active mais ne touche pas le visage et le dos et ne présenta pas de comédon.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous voyez en consultation en juin 2016, un patient de 15 ans pour des lésions du visage évoluant depuis 1 an. Il est en bon état général. Il a un antécédent personnel d'allergie à la penicilline. Sa maman présente à la consulation rapporte des carcinomes basocellulaires chez le père du patient. Ces lésions sont vésiculo pustuleuses. Vous constatez par ailleurs des papules de 3 mm sur les mêmes topographies. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous ? a. herpes à HSV b. acné rosacé c. candidose cutanée d. dermite seborrhéique e. acné juvénile A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le plus probable est une acné juvénile mixte. La présence de comédon est indispensable pour poser le diagnostic d'acné. l'herpes évolue rarement sur un an, et ne présente pas de lésions rétensionnelles. la folliculite peut être un diagnostic différentiel, mais ne présente pas de comédon. la lésion élémentaire de la dermte seborréique n'est pas vésiculo pustuleuse. la candidose peut présenter des vésicules sur la bordure active mais ne touche pas le visage et le dos et ne présenta pas de comédon. vous avez diagnostiqué une acné juvénile modérée à prédominance inflammatoire. quel(s) sont vos propositions thérapeutiques ? a. topique en monothérapie contenant du peroxyde de benzoyle b. topique en monothérapie contenant du peroxyde de benzoyle et retinoide c. topique en monothérapie contenant erythromycine d. doxycycline Per os e. isotrotretinoine Per os
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. acné modéré. peroxyde de benzoyle est le traitement de référence de cette forme, seule ou en association. L'erythromycine ne doit pas être utilisé en monothérapie. les traitements per os ne doivent pas être utilisé à ce stade.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous voyez en consultation en juin 2016, un patient de 15 ans pour des lésions du visage évoluant depuis 1 an. Il est en bon état général. Il a un antécédent personnel d'allergie à la penicilline. Sa maman présente à la consulation rapporte des carcinomes basocellulaires chez le père du patient. Ces lésions sont vésiculo pustuleuses. Vous constatez par ailleurs des papules de 3 mm sur les mêmes topographies. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous ? a. herpes à HSV b. acné rosacé c. candidose cutanée d. dermite seborrhéique e. acné juvénile A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le plus probable est une acné juvénile mixte. La présence de comédon est indispensable pour poser le diagnostic d'acné. l'herpes évolue rarement sur un an, et ne présente pas de lésions rétensionnelles. la folliculite peut être un diagnostic différentiel, mais ne présente pas de comédon. la lésion élémentaire de la dermte seborréique n'est pas vésiculo pustuleuse. la candidose peut présenter des vésicules sur la bordure active mais ne touche pas le visage et le dos et ne présenta pas de comédon. vous avez diagnostiqué une acné juvénile modérée à prédominance inflammatoire. quel(s) sont vos propositions thérapeutiques ? a. topique en monothérapie contenant du peroxyde de benzoyle b. topique en monothérapie contenant du peroxyde de benzoyle et retinoide c. topique en monothérapie contenant erythromycine d. doxycycline Per os e. isotrotretinoine Per os A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. acné modéré. peroxyde de benzoyle est le traitement de référence de cette forme, seule ou en association. L'erythromycine ne doit pas être utilisé en monothérapie. les traitements per os ne doivent pas être utilisé à ce stade. sa maman présente à la consultation souhaite avoir des informations sur la physiopathologique de l'acné. quel(s) sont les propositions justes ? a. augmentation de la production de sébum par la glande sebacée b. kératinisation infundibulaire du follicule pilo sebacée c. hypersensibilité des récepteurs androgéniques présent sur cellules produisants le sebum d. anomalies de la vascularisation faciale e. histamino libération
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il y a une augmentation de la procuction de sebum, par une hypersensibilité périphérique aux androgènes. Les anomalies de la vascularisation faciale sont lié à la rosacée. L'histamino libération est un mécanisme dans l'urticaire.
Cancérologie - Radiothérapie
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1,352
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous voyez en consultation en juin 2016, un patient de 15 ans pour des lésions du visage évoluant depuis 1 an. Il est en bon état général. Il a un antécédent personnel d'allergie à la penicilline. Sa maman présente à la consulation rapporte des carcinomes basocellulaires chez le père du patient. Ces lésions sont vésiculo pustuleuses. Vous constatez par ailleurs des papules de 3 mm sur les mêmes topographies. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous ? a. herpes à HSV b. acné rosacé c. candidose cutanée d. dermite seborrhéique e. acné juvénile A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le plus probable est une acné juvénile mixte. La présence de comédon est indispensable pour poser le diagnostic d'acné. l'herpes évolue rarement sur un an, et ne présente pas de lésions rétensionnelles. la folliculite peut être un diagnostic différentiel, mais ne présente pas de comédon. la lésion élémentaire de la dermte seborréique n'est pas vésiculo pustuleuse. la candidose peut présenter des vésicules sur la bordure active mais ne touche pas le visage et le dos et ne présenta pas de comédon. vous avez diagnostiqué une acné juvénile modérée à prédominance inflammatoire. quel(s) sont vos propositions thérapeutiques ? a. topique en monothérapie contenant du peroxyde de benzoyle b. topique en monothérapie contenant du peroxyde de benzoyle et retinoide c. topique en monothérapie contenant erythromycine d. doxycycline Per os e. isotrotretinoine Per os A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. acné modéré. peroxyde de benzoyle est le traitement de référence de cette forme, seule ou en association. L'erythromycine ne doit pas être utilisé en monothérapie. les traitements per os ne doivent pas être utilisé à ce stade. sa maman présente à la consultation souhaite avoir des informations sur la physiopathologique de l'acné. quel(s) sont les propositions justes ? a. augmentation de la production de sébum par la glande sebacée b. kératinisation infundibulaire du follicule pilo sebacée c. hypersensibilité des récepteurs androgéniques présent sur cellules produisants le sebum d. anomalies de la vascularisation faciale e. histamino libération A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il y a une augmentation de la procuction de sebum, par une hypersensibilité périphérique aux androgènes. Les anomalies de la vascularisation faciale sont lié à la rosacée. L'histamino libération est un mécanisme dans l'urticaire. Vous revoyez votre patient à 4 mois, et il présente une acnée sévère avec extension au tronc. quelle est votre prise en charge en première intention ? une ou plusieurs réponses possibles a. isotretinoine per os b. doxycycline per os c. hormonothérapie d. gluconate de zinc per os e. traitement topique combiné : peroxyde de benzoyle et erythromycine
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. les acnés sévères ou avec extension au tronc justifient un traitement systémique. la première intention sont les cyclines. En seconde intention l'isotretinoine. l'hormothérapie est à discuter chez les patientes. le gluconate de zinc peut être utilisé en été (période moins propice au cycline) mais reste une seconde intention.
Cancérologie - Radiothérapie
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1,353
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous voyez en consultation en juin 2016, un patient de 15 ans pour des lésions du visage évoluant depuis 1 an. Il est en bon état général. Il a un antécédent personnel d'allergie à la penicilline. Sa maman présente à la consulation rapporte des carcinomes basocellulaires chez le père du patient. Ces lésions sont vésiculo pustuleuses. Vous constatez par ailleurs des papules de 3 mm sur les mêmes topographies. Quel(s) diagnostic(s) évoquez vous ? a. herpes à HSV b. acné rosacé c. candidose cutanée d. dermite seborrhéique e. acné juvénile A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le plus probable est une acné juvénile mixte. La présence de comédon est indispensable pour poser le diagnostic d'acné. l'herpes évolue rarement sur un an, et ne présente pas de lésions rétensionnelles. la folliculite peut être un diagnostic différentiel, mais ne présente pas de comédon. la lésion élémentaire de la dermte seborréique n'est pas vésiculo pustuleuse. la candidose peut présenter des vésicules sur la bordure active mais ne touche pas le visage et le dos et ne présenta pas de comédon. vous avez diagnostiqué une acné juvénile modérée à prédominance inflammatoire. quel(s) sont vos propositions thérapeutiques ? a. topique en monothérapie contenant du peroxyde de benzoyle b. topique en monothérapie contenant du peroxyde de benzoyle et retinoide c. topique en monothérapie contenant erythromycine d. doxycycline Per os e. isotrotretinoine Per os A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. acné modéré. peroxyde de benzoyle est le traitement de référence de cette forme, seule ou en association. L'erythromycine ne doit pas être utilisé en monothérapie. les traitements per os ne doivent pas être utilisé à ce stade. sa maman présente à la consultation souhaite avoir des informations sur la physiopathologique de l'acné. quel(s) sont les propositions justes ? a. augmentation de la production de sébum par la glande sebacée b. kératinisation infundibulaire du follicule pilo sebacée c. hypersensibilité des récepteurs androgéniques présent sur cellules produisants le sebum d. anomalies de la vascularisation faciale e. histamino libération A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il y a une augmentation de la procuction de sebum, par une hypersensibilité périphérique aux androgènes. Les anomalies de la vascularisation faciale sont lié à la rosacée. L'histamino libération est un mécanisme dans l'urticaire. Vous revoyez votre patient à 4 mois, et il présente une acnée sévère avec extension au tronc. quelle est votre prise en charge en première intention ? une ou plusieurs réponses possibles a. isotretinoine per os b. doxycycline per os c. hormonothérapie d. gluconate de zinc per os e. traitement topique combiné : peroxyde de benzoyle et erythromycine A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. les acnés sévères ou avec extension au tronc justifient un traitement systémique. la première intention sont les cyclines. En seconde intention l'isotretinoine. l'hormothérapie est à discuter chez les patientes. le gluconate de zinc peut être utilisé en été (période moins propice au cycline) mais reste une seconde intention. le patient est toujours mal controlé sous doxycycline. vous proposez un traitement par isotretinoine quel(s) précaution(s) devez vous prendre ? a. l'information sur la tératogénécité est nécessaire chez le garcon b. proscrire les lentilles de vue c. bilan hépatique uniquement avant l'instauration du traitement d. proposer un traitement emollient non comédogène e. bilan glycémique uniquement avant l'instauration du traitement
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. l'information du risque tératogène doit être faite chez le garcon : limitation du don du sang ; prévention chez l'adolescent de la transmission de ses traitements à une femme enceinte ("tiens essaye ça, ça marche bien...") la sécheresse cutanéo muqueuse doit faire arrêter les lentilles (kératite). La xérose peut être importante. Le bilan est initial puis une surveillance tous les 3 mois. La glycémie n'est pas demandé contrairement au bilan lipidique.
Cancérologie - Radiothérapie
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1
1,355
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Mme Julie D., 50 ans enseignante en école élémentaire en milieu rural, mariée avec 2 enfants majeurs, se considère en bonne santé. Elle consulte peu souvent le médecin. Elle est tabagique active à 8 AT. Elle consulte son médecin traitant, le Dr Vincent F. car elle a reçu par courrier une invitation à réaliser un dépistage du cancer colorectal et vient se renseigner sur la nécessité de réaliser ce dépistage et la démarche à suivre. Parmi les informations que le Dr F s’autorise à délivrer à la patiente pour l’inciter à réaliser le dépistage et dans un souci de décision éclairée, cochez celle(s) qui est (sont) validée(s) sur le plan scientifique : a. il faut augmenter le nombre de personnes qui participent au dépistage en France pour qu’il soit efficace en terme de réduction de la mortalité totale b. l’intérêt du dépistage du cancer colorectal est de trouver des cancers à des stades plus précoces c. le dépistage organisé le rend obligatoire une fois que l’on reçoit le courrier d. plus le diagnostic est fait tôt moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont grandes e. le test immunologique semble plus efficace que l’ancien test au Gaïac pour détecter les cancers et les adénomes à haut risque, mais il fait réaliser une proportion plus importante de coloscopies.
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Cancérologie - Radiothérapie
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2
1,356
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Mme Julie D., 50 ans enseignante en école élémentaire en milieu rural, mariée avec 2 enfants majeurs, se considère en bonne santé. Elle consulte peu souvent le médecin. Elle est tabagique active à 8 AT. Elle consulte son médecin traitant, le Dr Vincent F. car elle a reçu par courrier une invitation à réaliser un dépistage du cancer colorectal et vient se renseigner sur la nécessité de réaliser ce dépistage et la démarche à suivre. Parmi les informations que le Dr F s’autorise à délivrer à la patiente pour l’inciter à réaliser le dépistage et dans un souci de décision éclairée, cochez celle(s) qui est (sont) validée(s) sur le plan scientifique : a. il faut augmenter le nombre de personnes qui participent au dépistage en France pour qu’il soit efficace en terme de réduction de la mortalité totale b. l’intérêt du dépistage du cancer colorectal est de trouver des cancers à des stades plus précoces c. le dépistage organisé le rend obligatoire une fois que l’on reçoit le courrier d. plus le diagnostic est fait tôt moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont grandes e. le test immunologique semble plus efficace que l’ancien test au Gaïac pour détecter les cancers et les adénomes à haut risque, mais il fait réaliser une proportion plus importante de coloscopies. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le Dr F. qui est vigilant sur son rôle en prévention primaire en profite pour informer la patiente sur les actions permettant de diminuer le risque de cancer en général. Il profite de cet échange sur le dépistage pour livrer des informations à la patiente sur les connaissances actuelles de prévention primaire concernant le cancer du côlon en particulier : cochez celle(s) qui est (sont) validées sur le plan scientifique : a. le tabagisme joue un rôle dans le développement du cancer du colon b. manger 5 fruits et légumes par jour est l’action la plus efficace pour diminuer l’incidence du cancer du colon c. la consommation régulière et excessive d’alcool est un facteur d’augmentation du risque de cancer du colon d. la consommation quotidienne de viandes rouges et de charcuterie est un facteur d’augmentation du risque de cancer colorectal e. la consommation régulière de fibres diminue le risque de développer un cancer du colon
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Cancérologie - Radiothérapie
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1,357
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Mme Julie D., 50 ans enseignante en école élémentaire en milieu rural, mariée avec 2 enfants majeurs, se considère en bonne santé. Elle consulte peu souvent le médecin. Elle est tabagique active à 8 AT. Elle consulte son médecin traitant, le Dr Vincent F. car elle a reçu par courrier une invitation à réaliser un dépistage du cancer colorectal et vient se renseigner sur la nécessité de réaliser ce dépistage et la démarche à suivre. Parmi les informations que le Dr F s’autorise à délivrer à la patiente pour l’inciter à réaliser le dépistage et dans un souci de décision éclairée, cochez celle(s) qui est (sont) validée(s) sur le plan scientifique : a. il faut augmenter le nombre de personnes qui participent au dépistage en France pour qu’il soit efficace en terme de réduction de la mortalité totale b. l’intérêt du dépistage du cancer colorectal est de trouver des cancers à des stades plus précoces c. le dépistage organisé le rend obligatoire une fois que l’on reçoit le courrier d. plus le diagnostic est fait tôt moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont grandes e. le test immunologique semble plus efficace que l’ancien test au Gaïac pour détecter les cancers et les adénomes à haut risque, mais il fait réaliser une proportion plus importante de coloscopies. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le Dr F. qui est vigilant sur son rôle en prévention primaire en profite pour informer la patiente sur les actions permettant de diminuer le risque de cancer en général. Il profite de cet échange sur le dépistage pour livrer des informations à la patiente sur les connaissances actuelles de prévention primaire concernant le cancer du côlon en particulier : cochez celle(s) qui est (sont) validées sur le plan scientifique : a. le tabagisme joue un rôle dans le développement du cancer du colon b. manger 5 fruits et légumes par jour est l’action la plus efficace pour diminuer l’incidence du cancer du colon c. la consommation régulière et excessive d’alcool est un facteur d’augmentation du risque de cancer du colon d. la consommation quotidienne de viandes rouges et de charcuterie est un facteur d’augmentation du risque de cancer colorectal e. la consommation régulière de fibres diminue le risque de développer un cancer du colon A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Parmi les informations importantes à donner à la patiente et en fonction de ses questions, il faut notamment anticiper la suite à donner en fonction du résultat au test. Quelle(s) est (sont) parmi les affirmations suivantes celle(s) qui est (sont) exacte(s) en cas de test positif : a. la coloscopie ne retrouvera un cancer que dans 20% des cas b. la plupart du temps (plus de 50% des cas) la coloscopie ne retrouve pas d’anomalie c. si la coloscopie est normale il est conseillé de refaire un test de dépistage tous les deux ans d. elle sera convoquée directement par un gastroentérologue e. elle devra réaliser obligatoirement une coloscopie
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mme Julie D., 50 ans enseignante en école élémentaire en milieu rural, mariée avec 2 enfants majeurs, se considère en bonne santé. Elle consulte peu souvent le médecin. Elle est tabagique active à 8 AT. Elle consulte son médecin traitant, le Dr Vincent F. car elle a reçu par courrier une invitation à réaliser un dépistage du cancer colorectal et vient se renseigner sur la nécessité de réaliser ce dépistage et la démarche à suivre. Parmi les informations que le Dr F s’autorise à délivrer à la patiente pour l’inciter à réaliser le dépistage et dans un souci de décision éclairée, cochez celle(s) qui est (sont) validée(s) sur le plan scientifique : a. il faut augmenter le nombre de personnes qui participent au dépistage en France pour qu’il soit efficace en terme de réduction de la mortalité totale b. l’intérêt du dépistage du cancer colorectal est de trouver des cancers à des stades plus précoces c. le dépistage organisé le rend obligatoire une fois que l’on reçoit le courrier d. plus le diagnostic est fait tôt moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont grandes e. le test immunologique semble plus efficace que l’ancien test au Gaïac pour détecter les cancers et les adénomes à haut risque, mais il fait réaliser une proportion plus importante de coloscopies. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le Dr F. qui est vigilant sur son rôle en prévention primaire en profite pour informer la patiente sur les actions permettant de diminuer le risque de cancer en général. Il profite de cet échange sur le dépistage pour livrer des informations à la patiente sur les connaissances actuelles de prévention primaire concernant le cancer du côlon en particulier : cochez celle(s) qui est (sont) validées sur le plan scientifique : a. le tabagisme joue un rôle dans le développement du cancer du colon b. manger 5 fruits et légumes par jour est l’action la plus efficace pour diminuer l’incidence du cancer du colon c. la consommation régulière et excessive d’alcool est un facteur d’augmentation du risque de cancer du colon d. la consommation quotidienne de viandes rouges et de charcuterie est un facteur d’augmentation du risque de cancer colorectal e. la consommation régulière de fibres diminue le risque de développer un cancer du colon A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Parmi les informations importantes à donner à la patiente et en fonction de ses questions, il faut notamment anticiper la suite à donner en fonction du résultat au test. Quelle(s) est (sont) parmi les affirmations suivantes celle(s) qui est (sont) exacte(s) en cas de test positif : a. la coloscopie ne retrouvera un cancer que dans 20% des cas b. la plupart du temps (plus de 50% des cas) la coloscopie ne retrouve pas d’anomalie c. si la coloscopie est normale il est conseillé de refaire un test de dépistage tous les deux ans d. elle sera convoquée directement par un gastroentérologue e. elle devra réaliser obligatoirement une coloscopie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les informations importantes à donner à la patiente et en fonction de ses questions, il faut anticiper la suite à donner en fonction du résultat au test. Quelle(s) est (sont) parmi les affirmations suivantes celle(s) qui est (sont) exactes en cas de test négatif : a. le test peut passer à côté d’un cancer déjà existant dans environ 30 % des cas b. le test doit être refait tous les deux ans c. si des symptômes digestifs apparaissaient dans l’intervalle, la réalisation du test doit être avancée d. la très bonne spécificité du test permet de dire que vous n’avez très probablement pas de cancer e. les faux négatifs sont des patients chez qui le test est positif alors qu’ils n’ont ni cancer ni polypes
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. D c'est la VPN et non la spécificité.
Cancérologie - Radiothérapie
7
5
1,359
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Mme Julie D., 50 ans enseignante en école élémentaire en milieu rural, mariée avec 2 enfants majeurs, se considère en bonne santé. Elle consulte peu souvent le médecin. Elle est tabagique active à 8 AT. Elle consulte son médecin traitant, le Dr Vincent F. car elle a reçu par courrier une invitation à réaliser un dépistage du cancer colorectal et vient se renseigner sur la nécessité de réaliser ce dépistage et la démarche à suivre. Parmi les informations que le Dr F s’autorise à délivrer à la patiente pour l’inciter à réaliser le dépistage et dans un souci de décision éclairée, cochez celle(s) qui est (sont) validée(s) sur le plan scientifique : a. il faut augmenter le nombre de personnes qui participent au dépistage en France pour qu’il soit efficace en terme de réduction de la mortalité totale b. l’intérêt du dépistage du cancer colorectal est de trouver des cancers à des stades plus précoces c. le dépistage organisé le rend obligatoire une fois que l’on reçoit le courrier d. plus le diagnostic est fait tôt moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont grandes e. le test immunologique semble plus efficace que l’ancien test au Gaïac pour détecter les cancers et les adénomes à haut risque, mais il fait réaliser une proportion plus importante de coloscopies. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le Dr F. qui est vigilant sur son rôle en prévention primaire en profite pour informer la patiente sur les actions permettant de diminuer le risque de cancer en général. Il profite de cet échange sur le dépistage pour livrer des informations à la patiente sur les connaissances actuelles de prévention primaire concernant le cancer du côlon en particulier : cochez celle(s) qui est (sont) validées sur le plan scientifique : a. le tabagisme joue un rôle dans le développement du cancer du colon b. manger 5 fruits et légumes par jour est l’action la plus efficace pour diminuer l’incidence du cancer du colon c. la consommation régulière et excessive d’alcool est un facteur d’augmentation du risque de cancer du colon d. la consommation quotidienne de viandes rouges et de charcuterie est un facteur d’augmentation du risque de cancer colorectal e. la consommation régulière de fibres diminue le risque de développer un cancer du colon A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Parmi les informations importantes à donner à la patiente et en fonction de ses questions, il faut notamment anticiper la suite à donner en fonction du résultat au test. Quelle(s) est (sont) parmi les affirmations suivantes celle(s) qui est (sont) exacte(s) en cas de test positif : a. la coloscopie ne retrouvera un cancer que dans 20% des cas b. la plupart du temps (plus de 50% des cas) la coloscopie ne retrouve pas d’anomalie c. si la coloscopie est normale il est conseillé de refaire un test de dépistage tous les deux ans d. elle sera convoquée directement par un gastroentérologue e. elle devra réaliser obligatoirement une coloscopie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les informations importantes à donner à la patiente et en fonction de ses questions, il faut anticiper la suite à donner en fonction du résultat au test. Quelle(s) est (sont) parmi les affirmations suivantes celle(s) qui est (sont) exactes en cas de test négatif : a. le test peut passer à côté d’un cancer déjà existant dans environ 30 % des cas b. le test doit être refait tous les deux ans c. si des symptômes digestifs apparaissaient dans l’intervalle, la réalisation du test doit être avancée d. la très bonne spécificité du test permet de dire que vous n’avez très probablement pas de cancer e. les faux négatifs sont des patients chez qui le test est positif alors qu’ils n’ont ni cancer ni polypes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. D c'est la VPN et non la spécificité. Elle réalise son test de dépistage. Le Dr F. reçoit le résultat par courrier qui est négatif. Il ne revoit pas la patiente pendant 5 ans Cinq ans plus tard, la patiente consulte un peu affolée car elle a constaté la présence de sang dans ses selles. Elle vous avoue n’avoir pas refait de nouveau test de dépistage depuis. L’examen clinique que vous réalisez est normal. La patiente est habituellement constipée, peut-être un peu plus ces derniers temps. Le toucher rectal est normal sans présence de sang. Vous constatez l’existence d’hémorroïdes. Dans l’immédiat, citez le(les) élément(s) de votre conduite à tenir: a. rassurer la patiente et à lui proposer de faire le test HEMOCCULT lorsqu’elle y sera invitée b. lui proposer de faire dans la semaine un test HEMOCCULT que vous lui remettez directement c. lui demander de faire une coloscopie d. lui demander de faire un scanner abdominal e. lui faire rencontrer rapidement un proctologue pour traiter les hémorroïdes
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mme Julie D., 50 ans enseignante en école élémentaire en milieu rural, mariée avec 2 enfants majeurs, se considère en bonne santé. Elle consulte peu souvent le médecin. Elle est tabagique active à 8 AT. Elle consulte son médecin traitant, le Dr Vincent F. car elle a reçu par courrier une invitation à réaliser un dépistage du cancer colorectal et vient se renseigner sur la nécessité de réaliser ce dépistage et la démarche à suivre. Parmi les informations que le Dr F s’autorise à délivrer à la patiente pour l’inciter à réaliser le dépistage et dans un souci de décision éclairée, cochez celle(s) qui est (sont) validée(s) sur le plan scientifique : a. il faut augmenter le nombre de personnes qui participent au dépistage en France pour qu’il soit efficace en terme de réduction de la mortalité totale b. l’intérêt du dépistage du cancer colorectal est de trouver des cancers à des stades plus précoces c. le dépistage organisé le rend obligatoire une fois que l’on reçoit le courrier d. plus le diagnostic est fait tôt moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont grandes e. le test immunologique semble plus efficace que l’ancien test au Gaïac pour détecter les cancers et les adénomes à haut risque, mais il fait réaliser une proportion plus importante de coloscopies. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le Dr F. qui est vigilant sur son rôle en prévention primaire en profite pour informer la patiente sur les actions permettant de diminuer le risque de cancer en général. Il profite de cet échange sur le dépistage pour livrer des informations à la patiente sur les connaissances actuelles de prévention primaire concernant le cancer du côlon en particulier : cochez celle(s) qui est (sont) validées sur le plan scientifique : a. le tabagisme joue un rôle dans le développement du cancer du colon b. manger 5 fruits et légumes par jour est l’action la plus efficace pour diminuer l’incidence du cancer du colon c. la consommation régulière et excessive d’alcool est un facteur d’augmentation du risque de cancer du colon d. la consommation quotidienne de viandes rouges et de charcuterie est un facteur d’augmentation du risque de cancer colorectal e. la consommation régulière de fibres diminue le risque de développer un cancer du colon A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Parmi les informations importantes à donner à la patiente et en fonction de ses questions, il faut notamment anticiper la suite à donner en fonction du résultat au test. Quelle(s) est (sont) parmi les affirmations suivantes celle(s) qui est (sont) exacte(s) en cas de test positif : a. la coloscopie ne retrouvera un cancer que dans 20% des cas b. la plupart du temps (plus de 50% des cas) la coloscopie ne retrouve pas d’anomalie c. si la coloscopie est normale il est conseillé de refaire un test de dépistage tous les deux ans d. elle sera convoquée directement par un gastroentérologue e. elle devra réaliser obligatoirement une coloscopie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les informations importantes à donner à la patiente et en fonction de ses questions, il faut anticiper la suite à donner en fonction du résultat au test. Quelle(s) est (sont) parmi les affirmations suivantes celle(s) qui est (sont) exactes en cas de test négatif : a. le test peut passer à côté d’un cancer déjà existant dans environ 30 % des cas b. le test doit être refait tous les deux ans c. si des symptômes digestifs apparaissaient dans l’intervalle, la réalisation du test doit être avancée d. la très bonne spécificité du test permet de dire que vous n’avez très probablement pas de cancer e. les faux négatifs sont des patients chez qui le test est positif alors qu’ils n’ont ni cancer ni polypes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. D c'est la VPN et non la spécificité. Elle réalise son test de dépistage. Le Dr F. reçoit le résultat par courrier qui est négatif. Il ne revoit pas la patiente pendant 5 ans Cinq ans plus tard, la patiente consulte un peu affolée car elle a constaté la présence de sang dans ses selles. Elle vous avoue n’avoir pas refait de nouveau test de dépistage depuis. L’examen clinique que vous réalisez est normal. La patiente est habituellement constipée, peut-être un peu plus ces derniers temps. Le toucher rectal est normal sans présence de sang. Vous constatez l’existence d’hémorroïdes. Dans l’immédiat, citez le(les) élément(s) de votre conduite à tenir: a. rassurer la patiente et à lui proposer de faire le test HEMOCCULT lorsqu’elle y sera invitée b. lui proposer de faire dans la semaine un test HEMOCCULT que vous lui remettez directement c. lui demander de faire une coloscopie d. lui demander de faire un scanner abdominal e. lui faire rencontrer rapidement un proctologue pour traiter les hémorroïdes A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La coloscopie objective une tumeur non franchissable à 13 cm de la marge anale, s’étendant sur 5 cm. La biopsie confirme un adénocarcinome liberkhunien moyennement différencié. Quel(s) examen(s) demandez-vous ? a. un scanner abdominal b. un scanner thorax-abdomen –pelvis c. un pet-scanner d. une IRM pelvienne e. une IRM hépatique
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Mme Julie D., 50 ans enseignante en école élémentaire en milieu rural, mariée avec 2 enfants majeurs, se considère en bonne santé. Elle consulte peu souvent le médecin. Elle est tabagique active à 8 AT. Elle consulte son médecin traitant, le Dr Vincent F. car elle a reçu par courrier une invitation à réaliser un dépistage du cancer colorectal et vient se renseigner sur la nécessité de réaliser ce dépistage et la démarche à suivre. Parmi les informations que le Dr F s’autorise à délivrer à la patiente pour l’inciter à réaliser le dépistage et dans un souci de décision éclairée, cochez celle(s) qui est (sont) validée(s) sur le plan scientifique : a. il faut augmenter le nombre de personnes qui participent au dépistage en France pour qu’il soit efficace en terme de réduction de la mortalité totale b. l’intérêt du dépistage du cancer colorectal est de trouver des cancers à des stades plus précoces c. le dépistage organisé le rend obligatoire une fois que l’on reçoit le courrier d. plus le diagnostic est fait tôt moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont grandes e. le test immunologique semble plus efficace que l’ancien test au Gaïac pour détecter les cancers et les adénomes à haut risque, mais il fait réaliser une proportion plus importante de coloscopies. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le Dr F. qui est vigilant sur son rôle en prévention primaire en profite pour informer la patiente sur les actions permettant de diminuer le risque de cancer en général. Il profite de cet échange sur le dépistage pour livrer des informations à la patiente sur les connaissances actuelles de prévention primaire concernant le cancer du côlon en particulier : cochez celle(s) qui est (sont) validées sur le plan scientifique : a. le tabagisme joue un rôle dans le développement du cancer du colon b. manger 5 fruits et légumes par jour est l’action la plus efficace pour diminuer l’incidence du cancer du colon c. la consommation régulière et excessive d’alcool est un facteur d’augmentation du risque de cancer du colon d. la consommation quotidienne de viandes rouges et de charcuterie est un facteur d’augmentation du risque de cancer colorectal e. la consommation régulière de fibres diminue le risque de développer un cancer du colon A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Parmi les informations importantes à donner à la patiente et en fonction de ses questions, il faut notamment anticiper la suite à donner en fonction du résultat au test. Quelle(s) est (sont) parmi les affirmations suivantes celle(s) qui est (sont) exacte(s) en cas de test positif : a. la coloscopie ne retrouvera un cancer que dans 20% des cas b. la plupart du temps (plus de 50% des cas) la coloscopie ne retrouve pas d’anomalie c. si la coloscopie est normale il est conseillé de refaire un test de dépistage tous les deux ans d. elle sera convoquée directement par un gastroentérologue e. elle devra réaliser obligatoirement une coloscopie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les informations importantes à donner à la patiente et en fonction de ses questions, il faut anticiper la suite à donner en fonction du résultat au test. Quelle(s) est (sont) parmi les affirmations suivantes celle(s) qui est (sont) exactes en cas de test négatif : a. le test peut passer à côté d’un cancer déjà existant dans environ 30 % des cas b. le test doit être refait tous les deux ans c. si des symptômes digestifs apparaissaient dans l’intervalle, la réalisation du test doit être avancée d. la très bonne spécificité du test permet de dire que vous n’avez très probablement pas de cancer e. les faux négatifs sont des patients chez qui le test est positif alors qu’ils n’ont ni cancer ni polypes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. D c'est la VPN et non la spécificité. Elle réalise son test de dépistage. Le Dr F. reçoit le résultat par courrier qui est négatif. Il ne revoit pas la patiente pendant 5 ans Cinq ans plus tard, la patiente consulte un peu affolée car elle a constaté la présence de sang dans ses selles. Elle vous avoue n’avoir pas refait de nouveau test de dépistage depuis. L’examen clinique que vous réalisez est normal. La patiente est habituellement constipée, peut-être un peu plus ces derniers temps. Le toucher rectal est normal sans présence de sang. Vous constatez l’existence d’hémorroïdes. Dans l’immédiat, citez le(les) élément(s) de votre conduite à tenir: a. rassurer la patiente et à lui proposer de faire le test HEMOCCULT lorsqu’elle y sera invitée b. lui proposer de faire dans la semaine un test HEMOCCULT que vous lui remettez directement c. lui demander de faire une coloscopie d. lui demander de faire un scanner abdominal e. lui faire rencontrer rapidement un proctologue pour traiter les hémorroïdes A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La coloscopie objective une tumeur non franchissable à 13 cm de la marge anale, s’étendant sur 5 cm. La biopsie confirme un adénocarcinome liberkhunien moyennement différencié. Quel(s) examen(s) demandez-vous ? a. un scanner abdominal b. un scanner thorax-abdomen –pelvis c. un pet-scanner d. une IRM pelvienne e. une IRM hépatique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le bilan d’extension est négatif. Quelle(s) est(sont) la (les) bonne(s) proposition(s) thérapeutique(s) pour cette patiente ? a. une chimiothérapie première suivie de chirurgie b. une radiothérapie première suivie de chirurgie c. une colectomie segmentaire d. Une colectomie segmentaire suivie éventuellement d’une chimiothérapie adjuvante e. une radiochimiothérapie
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Un homme de 55 ans, ancien chaudronnier travaillant actuellement à l’entretien des freins à la SNCF se présente aux urgences pour une hémoptysie. Depuis 1 heure, il a craché du sang rouge vif à quatre reprises, environ un demi-verre à chaque fois. Il fume 2 paquets de cigarettes par jour depuis l’âge de 16 ans et consomme en moyenne 3 bières et une demi-bouteille de vin par jour. Il est traité par aspirine à faible dose pour une artérite des membres inférieurs. Il vous dit que c’est la première fois qu’il crache du sang, mais que par contre il crache volontiers jaune, plusieurs fois par an, et ce depuis la tuberculose pulmonaire développée quand il avait 15 ans. Sa femme vous signale qu’il a perdu 10 kg au cours des 3 derniers mois. Il vous dit être essoufflé à la marche sur terrain plat depuis plus d’un an. Depuis 8 jours, il est essoufflé à la parole. Il se plaint d’une douleur thoracique pariétale droite qui se majore à la toux et depuis plusieurs semaines de douleurs d’horaire inflammatoire des mains, des poignets et des genoux, non calmées par l’association de paracétamol et de codéine. Sa fréquence respiratoire est à 22 par minute, la pression artérielle à 150/80 mmHg, ses pulsations à 125 bpm, sa température à 37,8°C et sa SpO2 à 88% en air ambiant Concernant l’hémoptysie que présente ce patient vous considérez : a. Qu'elle est grave car le volume de sang extériorisé est >200 ml/h b. Qu'elle n'est pas grave car il s'agit du premier épisode d'hémoptysie c. Qu'elle n'est pas grave car le patient ne présente pas de signe de détresse respiratoire aiguë d. Qu'elle n'est pas grave car elle survient sur un « poumon sain » e. Que si elle persiste, il est probable que les signes de détresse respiratoires précèderont les signes de choc hémorragique
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Référentiel Quelle est la gravité de l’hémoptysie ? La gravité de l’hémoptysie va conditionner le pronostic et orienter les choix thérapeutiques est liée à - l’abondance du saignement (200 ml/h chez un sujet sain) - au terrain sous-jacent (un saignement modéré sera grave chez un insuffisant respiratoire) - sa persistance (le fait que le saignement n’a pas tendance à se tarir, notamment sous traitement vasoconstricteur (figure 2), est un critère de gravité) L’appréciation de l’abondance de l’hémoptysie est un élément essentiel à préciser. Il convient ainsi de recueillir le saignement dans un récipient permettant de quantifier le saignement : une cuillère à soupe pleine au ¾ représente environ 10 ml; un verre ou un crachoir plein au ¾ représente environ 100 ml ; un haricot (ou un bol) plein au ¾ représente environ 500 ml Gravité immédiate d’une hémoptysie elle ne vient pas du risque spoliation sanguine mais plutôt du retentissement sur l’hématose et en particulier du risque asphyxique (le volume des voies aériennes de conduction étant approximativement de 200 ml). toute hémoptysie même minime doit être considérée comme une urgence. Il n’est pas rare en effet qu’après un épisode minime, l’hémoptysie récidive sous une forme beaucoup plus sévère.
Cancérologie - Radiothérapie
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Un homme de 55 ans, ancien chaudronnier travaillant actuellement à l’entretien des freins à la SNCF se présente aux urgences pour une hémoptysie. Depuis 1 heure, il a craché du sang rouge vif à quatre reprises, environ un demi-verre à chaque fois. Il fume 2 paquets de cigarettes par jour depuis l’âge de 16 ans et consomme en moyenne 3 bières et une demi-bouteille de vin par jour. Il est traité par aspirine à faible dose pour une artérite des membres inférieurs. Il vous dit que c’est la première fois qu’il crache du sang, mais que par contre il crache volontiers jaune, plusieurs fois par an, et ce depuis la tuberculose pulmonaire développée quand il avait 15 ans. Sa femme vous signale qu’il a perdu 10 kg au cours des 3 derniers mois. Il vous dit être essoufflé à la marche sur terrain plat depuis plus d’un an. Depuis 8 jours, il est essoufflé à la parole. Il se plaint d’une douleur thoracique pariétale droite qui se majore à la toux et depuis plusieurs semaines de douleurs d’horaire inflammatoire des mains, des poignets et des genoux, non calmées par l’association de paracétamol et de codéine. Sa fréquence respiratoire est à 22 par minute, la pression artérielle à 150/80 mmHg, ses pulsations à 125 bpm, sa température à 37,8°C et sa SpO2 à 88% en air ambiant Concernant l’hémoptysie que présente ce patient vous considérez : a. Qu'elle est grave car le volume de sang extériorisé est >200 ml/h b. Qu'elle n'est pas grave car il s'agit du premier épisode d'hémoptysie c. Qu'elle n'est pas grave car le patient ne présente pas de signe de détresse respiratoire aiguë d. Qu'elle n'est pas grave car elle survient sur un « poumon sain » e. Que si elle persiste, il est probable que les signes de détresse respiratoires précèderont les signes de choc hémorragique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Référentiel Quelle est la gravité de l’hémoptysie ? La gravité de l’hémoptysie va conditionner le pronostic et orienter les choix thérapeutiques est liée à - l’abondance du saignement (200 ml/h chez un sujet sain) - au terrain sous-jacent (un saignement modéré sera grave chez un insuffisant respiratoire) - sa persistance (le fait que le saignement n’a pas tendance à se tarir, notamment sous traitement vasoconstricteur (figure 2), est un critère de gravité) L’appréciation de l’abondance de l’hémoptysie est un élément essentiel à préciser. Il convient ainsi de recueillir le saignement dans un récipient permettant de quantifier le saignement : une cuillère à soupe pleine au ¾ représente environ 10 ml; un verre ou un crachoir plein au ¾ représente environ 100 ml ; un haricot (ou un bol) plein au ¾ représente environ 500 ml Gravité immédiate d’une hémoptysie elle ne vient pas du risque spoliation sanguine mais plutôt du retentissement sur l’hématose et en particulier du risque asphyxique (le volume des voies aériennes de conduction étant approximativement de 200 ml). toute hémoptysie même minime doit être considérée comme une urgence. Il n’est pas rare en effet qu’après un épisode minime, l’hémoptysie récidive sous une forme beaucoup plus sévère. Compte tenu de l’aspect du sang expectoré quels sont les vaisseaux le plus probablement à l’origine du saignement ?.
artères bronchiques, artères systémiques bronchiques, bronchiques, hypervascularisation bronchiqueRéférentiel : Mécanismes et causes des hémoptysies Origine du saignement le plus souvent de la circulation systémique bronchique par le biais du développement d’une hypervascularisation artérielle systémique (HVS) .dans le cadre d’une pathologie respiratoire sous jacente beaucoup plus rarement de la circulation pulmonaire (artérielle ou veineuse) Il existe au niveau du poumon une circulation pulmonaire fonctionnelle à basse pression (petite circulation) et une circulation nourricière bronchique (grande circulation) à haute pression. Cette circulation nourricière se distribue à la trachée et aux bronches ainsi qu’à l’œsophage, la plèvre viscérale diaphragmatique et médiastinale, les parois des artères et veines pulmonaires, la paroi aortique. Il existe de nombreuses anastomoses entre les 2 systèmes : anastomoses artérielles au niveau des bronches de 1.5 à3.5 mmde diamètre, au niveau précapillaire et aussi anastomoses veineuses (capillaires veineux bronchiques- veines pulmonaires). Le lit capillaire bronchique proximal se draine vers le système azygos et la veine cave supérieure alors que le lit capillaire pleural et bronchique distal (70% du débit) se draine vers le versant veineux de la circulation pulmonaire contribuant ainsi au shunt arterio-veineux pulmonaire physiologique. Le principal mécanisme de développement de l’HVS est la survenue d’une destruction du lit capillaire quelle qu’en soit l’origine (granulome, fibrose, cicatrice d’une lésion pulmonaire). C’est ce qu’on observe en cas de tuberculose, de cancer, de processus fibrosant. Il existe aussi potentiellement un rôle surajouté de l’hyperhémie liée à l’infection (ex: bronchectasies, abcès). Le développement de l’HVS peut aussi être secondaire à un défaut d’apport de la circulation pulmonaire. Ce cas de figure est observé en cas d’hypertension artérielle pulmonaire post-embolique, de sténose inflammatoire de l’artère pulmonaire (maladie de Takayasu), ou dans certaines cardiopathies congénitales. Dans les 2 mécanismes, l’HVS trouve son origine dans l’ouverture des anastomoses entre les 2 circulations. La circulation bronchique est la circulation systémique à partir de laquelle se développe l’HVS mais cette dernière peut aussi trouver son origine dans le système des artères systémiques non bronchiques (artères mammaires internes, intercostales, sous clavières, tronc thyro-bicervico-scapulaire …). Le pré-requis pour l’implication de ce système est l’existence de zones de symphyse pleurale à travers lesquelles cette circulation peut atteindre le poumon.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Un homme de 55 ans, ancien chaudronnier travaillant actuellement à l’entretien des freins à la SNCF se présente aux urgences pour une hémoptysie. Depuis 1 heure, il a craché du sang rouge vif à quatre reprises, environ un demi-verre à chaque fois. Il fume 2 paquets de cigarettes par jour depuis l’âge de 16 ans et consomme en moyenne 3 bières et une demi-bouteille de vin par jour. Il est traité par aspirine à faible dose pour une artérite des membres inférieurs. Il vous dit que c’est la première fois qu’il crache du sang, mais que par contre il crache volontiers jaune, plusieurs fois par an, et ce depuis la tuberculose pulmonaire développée quand il avait 15 ans. Sa femme vous signale qu’il a perdu 10 kg au cours des 3 derniers mois. Il vous dit être essoufflé à la marche sur terrain plat depuis plus d’un an. Depuis 8 jours, il est essoufflé à la parole. Il se plaint d’une douleur thoracique pariétale droite qui se majore à la toux et depuis plusieurs semaines de douleurs d’horaire inflammatoire des mains, des poignets et des genoux, non calmées par l’association de paracétamol et de codéine. Sa fréquence respiratoire est à 22 par minute, la pression artérielle à 150/80 mmHg, ses pulsations à 125 bpm, sa température à 37,8°C et sa SpO2 à 88% en air ambiant Concernant l’hémoptysie que présente ce patient vous considérez : a. Qu'elle est grave car le volume de sang extériorisé est >200 ml/h b. Qu'elle n'est pas grave car il s'agit du premier épisode d'hémoptysie c. Qu'elle n'est pas grave car le patient ne présente pas de signe de détresse respiratoire aiguë d. Qu'elle n'est pas grave car elle survient sur un « poumon sain » e. Que si elle persiste, il est probable que les signes de détresse respiratoires précèderont les signes de choc hémorragique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Référentiel Quelle est la gravité de l’hémoptysie ? La gravité de l’hémoptysie va conditionner le pronostic et orienter les choix thérapeutiques est liée à - l’abondance du saignement (200 ml/h chez un sujet sain) - au terrain sous-jacent (un saignement modéré sera grave chez un insuffisant respiratoire) - sa persistance (le fait que le saignement n’a pas tendance à se tarir, notamment sous traitement vasoconstricteur (figure 2), est un critère de gravité) L’appréciation de l’abondance de l’hémoptysie est un élément essentiel à préciser. Il convient ainsi de recueillir le saignement dans un récipient permettant de quantifier le saignement : une cuillère à soupe pleine au ¾ représente environ 10 ml; un verre ou un crachoir plein au ¾ représente environ 100 ml ; un haricot (ou un bol) plein au ¾ représente environ 500 ml Gravité immédiate d’une hémoptysie elle ne vient pas du risque spoliation sanguine mais plutôt du retentissement sur l’hématose et en particulier du risque asphyxique (le volume des voies aériennes de conduction étant approximativement de 200 ml). toute hémoptysie même minime doit être considérée comme une urgence. Il n’est pas rare en effet qu’après un épisode minime, l’hémoptysie récidive sous une forme beaucoup plus sévère. Compte tenu de l’aspect du sang expectoré quels sont les vaisseaux le plus probablement à l’origine du saignement ?. artères bronchiques, artères systémiques bronchiques, bronchiques, hypervascularisation bronchiqueRéférentiel : Mécanismes et causes des hémoptysies Origine du saignement le plus souvent de la circulation systémique bronchique par le biais du développement d’une hypervascularisation artérielle systémique (HVS) .dans le cadre d’une pathologie respiratoire sous jacente beaucoup plus rarement de la circulation pulmonaire (artérielle ou veineuse) Il existe au niveau du poumon une circulation pulmonaire fonctionnelle à basse pression (petite circulation) et une circulation nourricière bronchique (grande circulation) à haute pression. Cette circulation nourricière se distribue à la trachée et aux bronches ainsi qu’à l’œsophage, la plèvre viscérale diaphragmatique et médiastinale, les parois des artères et veines pulmonaires, la paroi aortique. Il existe de nombreuses anastomoses entre les 2 systèmes : anastomoses artérielles au niveau des bronches de 1.5 à3.5 mmde diamètre, au niveau précapillaire et aussi anastomoses veineuses (capillaires veineux bronchiques- veines pulmonaires). Le lit capillaire bronchique proximal se draine vers le système azygos et la veine cave supérieure alors que le lit capillaire pleural et bronchique distal (70% du débit) se draine vers le versant veineux de la circulation pulmonaire contribuant ainsi au shunt arterio-veineux pulmonaire physiologique. Le principal mécanisme de développement de l’HVS est la survenue d’une destruction du lit capillaire quelle qu’en soit l’origine (granulome, fibrose, cicatrice d’une lésion pulmonaire). C’est ce qu’on observe en cas de tuberculose, de cancer, de processus fibrosant. Il existe aussi potentiellement un rôle surajouté de l’hyperhémie liée à l’infection (ex: bronchectasies, abcès). Le développement de l’HVS peut aussi être secondaire à un défaut d’apport de la circulation pulmonaire. Ce cas de figure est observé en cas d’hypertension artérielle pulmonaire post-embolique, de sténose inflammatoire de l’artère pulmonaire (maladie de Takayasu), ou dans certaines cardiopathies congénitales. Dans les 2 mécanismes, l’HVS trouve son origine dans l’ouverture des anastomoses entre les 2 circulations. La circulation bronchique est la circulation systémique à partir de laquelle se développe l’HVS mais cette dernière peut aussi trouver son origine dans le système des artères systémiques non bronchiques (artères mammaires internes, intercostales, sous clavières, tronc thyro-bicervico-scapulaire …). Le pré-requis pour l’implication de ce système est l’existence de zones de symphyse pleurale à travers lesquelles cette circulation peut atteindre le poumon. Parmi les étiologies suivantes quelles sont les trois étiologies que vous retenez en priorité chez ce patient ? a. Bronchectasie(s) b. Asbestose c. Réactivation de tuberculose d. Cancer bronchique e. prise d'aspirine en l'absence de pathologie respiratoire sous-jacente
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Référentiel : Principales étiologies des hémoptysies Les causes d’hémoptysie sont très nombreuses (tableau 1) mais restent dominées par les cancers broncho-pulmonaires les dilatations bronchiques (bronchectasies) la tuberculose active ou séquellaire l’aspergillome (prolifération mycélienne à A. fumigatus au sein d’une cavité pulmonaire séquellaire) Principales étiologies des hémoptysies (les plus fréquentes sont marquées d’une *) Tumeurs bronchopulmonaires* cancer bronchique primitif tumeur carcinoïde bronchique Dilatations des bronches (bronchectasies) localisées ou diffuses* toutes causes mucoviscidose* Tuberculose* séquelles : cicatrices, dilatations des bronches secondaires, aspergillome sur une caverne détergée, broncholithiase) plus rarement forme évolutive : érosion vasculaire par une caverne Infections pulmonaires (en dehors de la tuberculose) infections aspergillaires (aspergillomes*, aspergillose invasive ou semi-invasive) Pneumopathies infectieuses nécrosantes aigües ou subaigües (entérobactéries, S. aureus, P. aeruginosa, Actinomyces, Nocardia..) mycobactéries atypiques (infection active ou séquelles) Hémorragies alvéolaires (assez rares) insuffisance cardiaque gauche et rétrécissement mitral médicaments ou toxiques (pénicillamine, isocyanates, crack, anticoagulants) vascularites (granulomatose avec polyangéite, polyangéite microscopique..) collagénoses (lupus érythémateux disséminé) syndrome de Goodpasture autres : thrombopénie chez l’immunodéprimé; causes infectieuses; hémosidérose idiopathique Hémoptysie idiopathique° (ou cryptogénique)* Anévrismes pulmonaires, faux anévrysmes et malformations artério-veineuses (isolées ou dans cadre d’une maladie de Rendu-Osler) assez rares Séquestration pulmonaire (très rare) Hémoptysies traumatiques et iatrogènes Causes cardiovasculaires (en dehors du cas de l’hémorragie alvéolaire) embolie pulmonaire hypertension artérielle pulmonaire primitive, postembolique, sur cardiopathie congénitale ou collagénose; sténoses de l’artère pulmonaire (maladie de Takayasu, fibrose médiastinale) rupture spontanée d’un anévrisme de l’aorte.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un homme de 55 ans, ancien chaudronnier travaillant actuellement à l’entretien des freins à la SNCF se présente aux urgences pour une hémoptysie. Depuis 1 heure, il a craché du sang rouge vif à quatre reprises, environ un demi-verre à chaque fois. Il fume 2 paquets de cigarettes par jour depuis l’âge de 16 ans et consomme en moyenne 3 bières et une demi-bouteille de vin par jour. Il est traité par aspirine à faible dose pour une artérite des membres inférieurs. Il vous dit que c’est la première fois qu’il crache du sang, mais que par contre il crache volontiers jaune, plusieurs fois par an, et ce depuis la tuberculose pulmonaire développée quand il avait 15 ans. Sa femme vous signale qu’il a perdu 10 kg au cours des 3 derniers mois. Il vous dit être essoufflé à la marche sur terrain plat depuis plus d’un an. Depuis 8 jours, il est essoufflé à la parole. Il se plaint d’une douleur thoracique pariétale droite qui se majore à la toux et depuis plusieurs semaines de douleurs d’horaire inflammatoire des mains, des poignets et des genoux, non calmées par l’association de paracétamol et de codéine. Sa fréquence respiratoire est à 22 par minute, la pression artérielle à 150/80 mmHg, ses pulsations à 125 bpm, sa température à 37,8°C et sa SpO2 à 88% en air ambiant Concernant l’hémoptysie que présente ce patient vous considérez : a. Qu'elle est grave car le volume de sang extériorisé est >200 ml/h b. Qu'elle n'est pas grave car il s'agit du premier épisode d'hémoptysie c. Qu'elle n'est pas grave car le patient ne présente pas de signe de détresse respiratoire aiguë d. Qu'elle n'est pas grave car elle survient sur un « poumon sain » e. Que si elle persiste, il est probable que les signes de détresse respiratoires précèderont les signes de choc hémorragique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Référentiel Quelle est la gravité de l’hémoptysie ? La gravité de l’hémoptysie va conditionner le pronostic et orienter les choix thérapeutiques est liée à - l’abondance du saignement (200 ml/h chez un sujet sain) - au terrain sous-jacent (un saignement modéré sera grave chez un insuffisant respiratoire) - sa persistance (le fait que le saignement n’a pas tendance à se tarir, notamment sous traitement vasoconstricteur (figure 2), est un critère de gravité) L’appréciation de l’abondance de l’hémoptysie est un élément essentiel à préciser. Il convient ainsi de recueillir le saignement dans un récipient permettant de quantifier le saignement : une cuillère à soupe pleine au ¾ représente environ 10 ml; un verre ou un crachoir plein au ¾ représente environ 100 ml ; un haricot (ou un bol) plein au ¾ représente environ 500 ml Gravité immédiate d’une hémoptysie elle ne vient pas du risque spoliation sanguine mais plutôt du retentissement sur l’hématose et en particulier du risque asphyxique (le volume des voies aériennes de conduction étant approximativement de 200 ml). toute hémoptysie même minime doit être considérée comme une urgence. Il n’est pas rare en effet qu’après un épisode minime, l’hémoptysie récidive sous une forme beaucoup plus sévère. Compte tenu de l’aspect du sang expectoré quels sont les vaisseaux le plus probablement à l’origine du saignement ?. artères bronchiques, artères systémiques bronchiques, bronchiques, hypervascularisation bronchiqueRéférentiel : Mécanismes et causes des hémoptysies Origine du saignement le plus souvent de la circulation systémique bronchique par le biais du développement d’une hypervascularisation artérielle systémique (HVS) .dans le cadre d’une pathologie respiratoire sous jacente beaucoup plus rarement de la circulation pulmonaire (artérielle ou veineuse) Il existe au niveau du poumon une circulation pulmonaire fonctionnelle à basse pression (petite circulation) et une circulation nourricière bronchique (grande circulation) à haute pression. Cette circulation nourricière se distribue à la trachée et aux bronches ainsi qu’à l’œsophage, la plèvre viscérale diaphragmatique et médiastinale, les parois des artères et veines pulmonaires, la paroi aortique. Il existe de nombreuses anastomoses entre les 2 systèmes : anastomoses artérielles au niveau des bronches de 1.5 à3.5 mmde diamètre, au niveau précapillaire et aussi anastomoses veineuses (capillaires veineux bronchiques- veines pulmonaires). Le lit capillaire bronchique proximal se draine vers le système azygos et la veine cave supérieure alors que le lit capillaire pleural et bronchique distal (70% du débit) se draine vers le versant veineux de la circulation pulmonaire contribuant ainsi au shunt arterio-veineux pulmonaire physiologique. Le principal mécanisme de développement de l’HVS est la survenue d’une destruction du lit capillaire quelle qu’en soit l’origine (granulome, fibrose, cicatrice d’une lésion pulmonaire). C’est ce qu’on observe en cas de tuberculose, de cancer, de processus fibrosant. Il existe aussi potentiellement un rôle surajouté de l’hyperhémie liée à l’infection (ex: bronchectasies, abcès). Le développement de l’HVS peut aussi être secondaire à un défaut d’apport de la circulation pulmonaire. Ce cas de figure est observé en cas d’hypertension artérielle pulmonaire post-embolique, de sténose inflammatoire de l’artère pulmonaire (maladie de Takayasu), ou dans certaines cardiopathies congénitales. Dans les 2 mécanismes, l’HVS trouve son origine dans l’ouverture des anastomoses entre les 2 circulations. La circulation bronchique est la circulation systémique à partir de laquelle se développe l’HVS mais cette dernière peut aussi trouver son origine dans le système des artères systémiques non bronchiques (artères mammaires internes, intercostales, sous clavières, tronc thyro-bicervico-scapulaire …). Le pré-requis pour l’implication de ce système est l’existence de zones de symphyse pleurale à travers lesquelles cette circulation peut atteindre le poumon. Parmi les étiologies suivantes quelles sont les trois étiologies que vous retenez en priorité chez ce patient ? a. Bronchectasie(s) b. Asbestose c. Réactivation de tuberculose d. Cancer bronchique e. prise d'aspirine en l'absence de pathologie respiratoire sous-jacente A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Référentiel : Principales étiologies des hémoptysies Les causes d’hémoptysie sont très nombreuses (tableau 1) mais restent dominées par les cancers broncho-pulmonaires les dilatations bronchiques (bronchectasies) la tuberculose active ou séquellaire l’aspergillome (prolifération mycélienne à A. fumigatus au sein d’une cavité pulmonaire séquellaire) Principales étiologies des hémoptysies (les plus fréquentes sont marquées d’une *) Tumeurs bronchopulmonaires* cancer bronchique primitif tumeur carcinoïde bronchique Dilatations des bronches (bronchectasies) localisées ou diffuses* toutes causes mucoviscidose* Tuberculose* séquelles : cicatrices, dilatations des bronches secondaires, aspergillome sur une caverne détergée, broncholithiase) plus rarement forme évolutive : érosion vasculaire par une caverne Infections pulmonaires (en dehors de la tuberculose) infections aspergillaires (aspergillomes*, aspergillose invasive ou semi-invasive) Pneumopathies infectieuses nécrosantes aigües ou subaigües (entérobactéries, S. aureus, P. aeruginosa, Actinomyces, Nocardia..) mycobactéries atypiques (infection active ou séquelles) Hémorragies alvéolaires (assez rares) insuffisance cardiaque gauche et rétrécissement mitral médicaments ou toxiques (pénicillamine, isocyanates, crack, anticoagulants) vascularites (granulomatose avec polyangéite, polyangéite microscopique..) collagénoses (lupus érythémateux disséminé) syndrome de Goodpasture autres : thrombopénie chez l’immunodéprimé; causes infectieuses; hémosidérose idiopathique Hémoptysie idiopathique° (ou cryptogénique)* Anévrismes pulmonaires, faux anévrysmes et malformations artério-veineuses (isolées ou dans cadre d’une maladie de Rendu-Osler) assez rares Séquestration pulmonaire (très rare) Hémoptysies traumatiques et iatrogènes Causes cardiovasculaires (en dehors du cas de l’hémorragie alvéolaire) embolie pulmonaire hypertension artérielle pulmonaire primitive, postembolique, sur cardiopathie congénitale ou collagénose; sténoses de l’artère pulmonaire (maladie de Takayasu, fibrose médiastinale) rupture spontanée d’un anévrisme de l’aorte. Vous considérez que le tableau présenté par ce patient a. Justifie l'hospitalisation b. Justifie la mise en place de voie veineuse périphérique c. Justifie un remplissage vasculaire d. Justifie des mesures d'isolement « air » et le port d'un masque FFP2 e. Justifie la réalisation d'un cliché thoracique
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Référentiel : hémoptysies : traitement médical Hospitalisation en milieu spécialisé : Les hémoptysies doivent être prises en charge dans des centres capables, dans le cadre de l’urgence, de mettre en œuvre sur un même lieu, à la fois les investigations à visée diagnostique (angioscanner ± endoscopie bronchique) et la prise en charge thérapeutique (embolisation artérielle bronchique (EAB) et chirurgie si échec de l’EAB). Oxygène souvent nécessaire en raison du retentissement potentiel de l’hémoptysie sur l’hématose en particulier lorsqu’il existe une pathologie respiratoire sous-jacente ou que le volume de l’hémoptysie est abondant. Guidée par l’oxymétrie trans cutanée, avec pour objectif le maintien d’une SpO2> 90%.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous recevez en consultation Mme K. âgée de 62 ans. Cela fait 20 ans qu'elle n'a pas vu de gynécologue. Elle vous dit avoir eu 4 enfants agés de 42,41,39 et 35 ans. Elle n'a pas d'antécédents médico-chirurgicaux notables en dehors d'un comprimé pour la tension "Amlor 5 mg" le matin. Elle vous explique ne plus saigner depuis 2 ans mais voilà que ses règles sont de retour. Devant ce tableau, quel diagnostic évoquez-vous en priorité ? a. une atrophie endométriale b. des fibromes c. une grossesse extra-utérine d. un cancer de l'endomètre e. un cancer de l'ovaire
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Toute métrorragie chez la femme ménopausée = CANCER de l'ENDOMETRE + jusqu'à preuve du contraire.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous recevez en consultation Mme K. âgée de 62 ans. Cela fait 20 ans qu'elle n'a pas vu de gynécologue. Elle vous dit avoir eu 4 enfants agés de 42,41,39 et 35 ans. Elle n'a pas d'antécédents médico-chirurgicaux notables en dehors d'un comprimé pour la tension "Amlor 5 mg" le matin. Elle vous explique ne plus saigner depuis 2 ans mais voilà que ses règles sont de retour. Devant ce tableau, quel diagnostic évoquez-vous en priorité ? a. une atrophie endométriale b. des fibromes c. une grossesse extra-utérine d. un cancer de l'endomètre e. un cancer de l'ovaire A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Toute métrorragie chez la femme ménopausée = CANCER de l'ENDOMETRE + jusqu'à preuve du contraire. Quel(s) est(sont) le(s) facteur(s) de risque du cancer de l'endomètre parmi ceux-ci ? a. la nulliparité b. l'obésité c. le tabac d. la puberté précoce e. le diabète
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. FDR du cancer de l'endomètre à connaitre + : -Hyperoestrogénie : nulliparité, puberté précoce, ménopause tardive -Syndrome métabolique : HTA, diabète, obésité -Prise de Tamoxifène -HNPCC.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous recevez en consultation Mme K. âgée de 62 ans. Cela fait 20 ans qu'elle n'a pas vu de gynécologue. Elle vous dit avoir eu 4 enfants agés de 42,41,39 et 35 ans. Elle n'a pas d'antécédents médico-chirurgicaux notables en dehors d'un comprimé pour la tension "Amlor 5 mg" le matin. Elle vous explique ne plus saigner depuis 2 ans mais voilà que ses règles sont de retour. Devant ce tableau, quel diagnostic évoquez-vous en priorité ? a. une atrophie endométriale b. des fibromes c. une grossesse extra-utérine d. un cancer de l'endomètre e. un cancer de l'ovaire A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Toute métrorragie chez la femme ménopausée = CANCER de l'ENDOMETRE + jusqu'à preuve du contraire. Quel(s) est(sont) le(s) facteur(s) de risque du cancer de l'endomètre parmi ceux-ci ? a. la nulliparité b. l'obésité c. le tabac d. la puberté précoce e. le diabète A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. FDR du cancer de l'endomètre à connaitre + : -Hyperoestrogénie : nulliparité, puberté précoce, ménopause tardive -Syndrome métabolique : HTA, diabète, obésité -Prise de Tamoxifène -HNPCC. A l'examen clinique, on retrouve au toucher vaginal un utérus mou, indolore et globuleux. L'examen au spéculum objective des métrorragies de sang rouge et l'absence d'anomalies du col. La palpation des seins est normale. Quel(s) examen(s) allez-vous réaliser chez cette patiente ? a. une mammographie bilatérale b. une échographie pelvienne c. le dosage du CA 15-3 d. un frottis cervico-vaginal e. des biopsies à la pipelle de Cornier
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. rem : Mammographie et FCV systématiques car la patiente n'a pas vu de gynécologue depuis 20 ans !.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous recevez en consultation Mme K. âgée de 62 ans. Cela fait 20 ans qu'elle n'a pas vu de gynécologue. Elle vous dit avoir eu 4 enfants agés de 42,41,39 et 35 ans. Elle n'a pas d'antécédents médico-chirurgicaux notables en dehors d'un comprimé pour la tension "Amlor 5 mg" le matin. Elle vous explique ne plus saigner depuis 2 ans mais voilà que ses règles sont de retour. Devant ce tableau, quel diagnostic évoquez-vous en priorité ? a. une atrophie endométriale b. des fibromes c. une grossesse extra-utérine d. un cancer de l'endomètre e. un cancer de l'ovaire A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Toute métrorragie chez la femme ménopausée = CANCER de l'ENDOMETRE + jusqu'à preuve du contraire. Quel(s) est(sont) le(s) facteur(s) de risque du cancer de l'endomètre parmi ceux-ci ? a. la nulliparité b. l'obésité c. le tabac d. la puberté précoce e. le diabète A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. FDR du cancer de l'endomètre à connaitre + : -Hyperoestrogénie : nulliparité, puberté précoce, ménopause tardive -Syndrome métabolique : HTA, diabète, obésité -Prise de Tamoxifène -HNPCC. A l'examen clinique, on retrouve au toucher vaginal un utérus mou, indolore et globuleux. L'examen au spéculum objective des métrorragies de sang rouge et l'absence d'anomalies du col. La palpation des seins est normale. Quel(s) examen(s) allez-vous réaliser chez cette patiente ? a. une mammographie bilatérale b. une échographie pelvienne c. le dosage du CA 15-3 d. un frottis cervico-vaginal e. des biopsies à la pipelle de Cornier A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. rem : Mammographie et FCV systématiques car la patiente n'a pas vu de gynécologue depuis 20 ans !. Finalement, les biopsies à la pipelle de Cornier sont négatives, quelle est ou quelles sont votre ou vos attitudes ? a. Le diagnostic de cancer de l'endomètre est éliminé, vous rassurez la patiente et cherchez une autre cause des métrorragies. b. Vous renouvelez une biopsie par pipelle de Cornier. c. Vous réalisez une hystéroscopie avec biopsies orientées. d. Vous réalisez un curetage de l'endomètre . e. Une biopsie à la pipelle de Cornier positive affirme le diagnostic.
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous recevez en consultation Mme K. âgée de 62 ans. Cela fait 20 ans qu'elle n'a pas vu de gynécologue. Elle vous dit avoir eu 4 enfants agés de 42,41,39 et 35 ans. Elle n'a pas d'antécédents médico-chirurgicaux notables en dehors d'un comprimé pour la tension "Amlor 5 mg" le matin. Elle vous explique ne plus saigner depuis 2 ans mais voilà que ses règles sont de retour. Devant ce tableau, quel diagnostic évoquez-vous en priorité ? a. une atrophie endométriale b. des fibromes c. une grossesse extra-utérine d. un cancer de l'endomètre e. un cancer de l'ovaire A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Toute métrorragie chez la femme ménopausée = CANCER de l'ENDOMETRE + jusqu'à preuve du contraire. Quel(s) est(sont) le(s) facteur(s) de risque du cancer de l'endomètre parmi ceux-ci ? a. la nulliparité b. l'obésité c. le tabac d. la puberté précoce e. le diabète A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. FDR du cancer de l'endomètre à connaitre + : -Hyperoestrogénie : nulliparité, puberté précoce, ménopause tardive -Syndrome métabolique : HTA, diabète, obésité -Prise de Tamoxifène -HNPCC. A l'examen clinique, on retrouve au toucher vaginal un utérus mou, indolore et globuleux. L'examen au spéculum objective des métrorragies de sang rouge et l'absence d'anomalies du col. La palpation des seins est normale. Quel(s) examen(s) allez-vous réaliser chez cette patiente ? a. une mammographie bilatérale b. une échographie pelvienne c. le dosage du CA 15-3 d. un frottis cervico-vaginal e. des biopsies à la pipelle de Cornier A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. rem : Mammographie et FCV systématiques car la patiente n'a pas vu de gynécologue depuis 20 ans !. Finalement, les biopsies à la pipelle de Cornier sont négatives, quelle est ou quelles sont votre ou vos attitudes ? a. Le diagnostic de cancer de l'endomètre est éliminé, vous rassurez la patiente et cherchez une autre cause des métrorragies. b. Vous renouvelez une biopsie par pipelle de Cornier. c. Vous réalisez une hystéroscopie avec biopsies orientées. d. Vous réalisez un curetage de l'endomètre . e. Une biopsie à la pipelle de Cornier positive affirme le diagnostic. A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les biopsies réalisées sous hystéroscopie reviennent positives pour un cancer de l'endomètre. Comment complétez-vous votre bilan ? a. IRM abdomino-pelvienne b. TDM abdomino-pelvienne c. Scintigraphie osseuse d. Radiographie thoracique e. ACE
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. rem : TDM abdomino-pelvienne réalisée en cas de CI à l'IRM.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous recevez en consultation Mme K. âgée de 62 ans. Cela fait 20 ans qu'elle n'a pas vu de gynécologue. Elle vous dit avoir eu 4 enfants agés de 42,41,39 et 35 ans. Elle n'a pas d'antécédents médico-chirurgicaux notables en dehors d'un comprimé pour la tension "Amlor 5 mg" le matin. Elle vous explique ne plus saigner depuis 2 ans mais voilà que ses règles sont de retour. Devant ce tableau, quel diagnostic évoquez-vous en priorité ? a. une atrophie endométriale b. des fibromes c. une grossesse extra-utérine d. un cancer de l'endomètre e. un cancer de l'ovaire A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Toute métrorragie chez la femme ménopausée = CANCER de l'ENDOMETRE + jusqu'à preuve du contraire. Quel(s) est(sont) le(s) facteur(s) de risque du cancer de l'endomètre parmi ceux-ci ? a. la nulliparité b. l'obésité c. le tabac d. la puberté précoce e. le diabète A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. FDR du cancer de l'endomètre à connaitre + : -Hyperoestrogénie : nulliparité, puberté précoce, ménopause tardive -Syndrome métabolique : HTA, diabète, obésité -Prise de Tamoxifène -HNPCC. A l'examen clinique, on retrouve au toucher vaginal un utérus mou, indolore et globuleux. L'examen au spéculum objective des métrorragies de sang rouge et l'absence d'anomalies du col. La palpation des seins est normale. Quel(s) examen(s) allez-vous réaliser chez cette patiente ? a. une mammographie bilatérale b. une échographie pelvienne c. le dosage du CA 15-3 d. un frottis cervico-vaginal e. des biopsies à la pipelle de Cornier A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. rem : Mammographie et FCV systématiques car la patiente n'a pas vu de gynécologue depuis 20 ans !. Finalement, les biopsies à la pipelle de Cornier sont négatives, quelle est ou quelles sont votre ou vos attitudes ? a. Le diagnostic de cancer de l'endomètre est éliminé, vous rassurez la patiente et cherchez une autre cause des métrorragies. b. Vous renouvelez une biopsie par pipelle de Cornier. c. Vous réalisez une hystéroscopie avec biopsies orientées. d. Vous réalisez un curetage de l'endomètre . e. Une biopsie à la pipelle de Cornier positive affirme le diagnostic. A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les biopsies réalisées sous hystéroscopie reviennent positives pour un cancer de l'endomètre. Comment complétez-vous votre bilan ? a. IRM abdomino-pelvienne b. TDM abdomino-pelvienne c. Scintigraphie osseuse d. Radiographie thoracique e. ACE A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. rem : TDM abdomino-pelvienne réalisée en cas de CI à l'IRM. A propos du cancer de l'endomètre chez cette patiente : a. Le CA 125 est un marqueur pour le cancer de l'endomètre. b. Le type histologique le plus fréquent est l'adénocarcinome endométrioide. c. Son dépistage par échographie doit être surveillé en cas de prise de Tamoxifène. d. La pilule oestroprogestative est un facteur de risque. e. Il s'agit d'un cancer hormono-dépendant.
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. rem : les marqueurs du cancer de l'endomètre sont le CA125 et le CA19,9 mais ils sont inconstamment positifs et non spécifiques.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous recevez madame B, 66ans, en consultation. Elle présente depuis plusieurs semaines une fatigue intense associée à une perte de 3 kilos. Elle décrit depuis trois jours des douleurs pelviennes lancinantes, spontanément résolutives ainsi qu’une pesanteur pelvienne 1/ Pour le moment, quelles sont les hypothèses diagnostiques à émettre pour expliquer l’ensemble du tableau ? a. Appendicite b. Torsion d’annexe c. Cancer ovarien d. Abcès tubaire e. Fibrome utérin symptomatique
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas de fièvre franche rapportée, douleurs pelviennes évoluant depuis plusieurs jours chez une patiente de plus de 50 ans => peu en faveur d'une appendicite ou d'une torsion.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect.
Vous recevez madame B, 66ans, en consultation. Elle présente depuis plusieurs semaines une fatigue intense associée à une perte de 3 kilos. Elle décrit depuis trois jours des douleurs pelviennes lancinantes, spontanément résolutives ainsi qu’une pesanteur pelvienne 1/ Pour le moment, quelles sont les hypothèses diagnostiques à émettre pour expliquer l’ensemble du tableau ? a. Appendicite b. Torsion d’annexe c. Cancer ovarien d. Abcès tubaire e. Fibrome utérin symptomatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas de fièvre franche rapportée, douleurs pelviennes évoluant depuis plusieurs jours chez une patiente de plus de 50 ans => peu en faveur d'une appendicite ou d'une torsion. La patiente est totalement apyrétique. Vous apprenez que sa mère est décédée d’un cancer du sein à l’âge de 53 ans. L’examen clinique retrouve un abdomen tendu et douloureux de manière diffuse. Vous percevez à la percussion une matité abdominale déclive. Aucune adénopathie n’est palpée. L’examen des seins est normal, l’examen sous spéculum n’objective aucune lésion et le toucher vaginal retrouve une petite masse latéro-utérine gauche indolore. 2/ Devant ce tableau, quelles sont les propositions exactes ? a. Vous réalisez une échographie qui sera sûrement rapidement suivie d’une cœlioscopie, sans la nécessité d’une autre imagerie préalable b. Une IRM pelvienne en urgence est indiquée c. Vous réalisez un dosage du CA125 en préopératoire car une étiologie cancéreuse vous semble très probable d. Vous réalisez une ponction-biopsie transvaginale de la masse latéro-utérine gauche e. Une analyse cytologique du liquide de la ponction d’ascite est à réaliser avant tout acte opératoire
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect. Le seule examen d'imagerie à faire en urgence est l'échographie, suivie d'une coeiloscopie diagnostique et de stadification éventuellement convertie en laparotomie si tumeur opérable. La ponction transvaginale va entrainer une contamination du trajet avec risque certain de dissémination !.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous recevez madame B, 66ans, en consultation. Elle présente depuis plusieurs semaines une fatigue intense associée à une perte de 3 kilos. Elle décrit depuis trois jours des douleurs pelviennes lancinantes, spontanément résolutives ainsi qu’une pesanteur pelvienne 1/ Pour le moment, quelles sont les hypothèses diagnostiques à émettre pour expliquer l’ensemble du tableau ? a. Appendicite b. Torsion d’annexe c. Cancer ovarien d. Abcès tubaire e. Fibrome utérin symptomatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas de fièvre franche rapportée, douleurs pelviennes évoluant depuis plusieurs jours chez une patiente de plus de 50 ans => peu en faveur d'une appendicite ou d'une torsion. La patiente est totalement apyrétique. Vous apprenez que sa mère est décédée d’un cancer du sein à l’âge de 53 ans. L’examen clinique retrouve un abdomen tendu et douloureux de manière diffuse. Vous percevez à la percussion une matité abdominale déclive. Aucune adénopathie n’est palpée. L’examen des seins est normal, l’examen sous spéculum n’objective aucune lésion et le toucher vaginal retrouve une petite masse latéro-utérine gauche indolore. 2/ Devant ce tableau, quelles sont les propositions exactes ? a. Vous réalisez une échographie qui sera sûrement rapidement suivie d’une cœlioscopie, sans la nécessité d’une autre imagerie préalable b. Une IRM pelvienne en urgence est indiquée c. Vous réalisez un dosage du CA125 en préopératoire car une étiologie cancéreuse vous semble très probable d. Vous réalisez une ponction-biopsie transvaginale de la masse latéro-utérine gauche e. Une analyse cytologique du liquide de la ponction d’ascite est à réaliser avant tout acte opératoire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect. Le seule examen d'imagerie à faire en urgence est l'échographie, suivie d'une coeiloscopie diagnostique et de stadification éventuellement convertie en laparotomie si tumeur opérable. La ponction transvaginale va entrainer une contamination du trajet avec risque certain de dissémination !. Vous pratiquez une échographie endo-vaginale qui objective une masse ovarienne gauche suspecte. 3/ quels sont les arguments échographiques en faveur de la malignité de la masse ovarienne ? a. Paroi épaisse b. Cloisons ou végétations intrakystiques c. Contenu homogène d. Diamètre supérieur à 4 cm e. Vascularisation artérielle des végétations
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable.
Vous recevez madame B, 66ans, en consultation. Elle présente depuis plusieurs semaines une fatigue intense associée à une perte de 3 kilos. Elle décrit depuis trois jours des douleurs pelviennes lancinantes, spontanément résolutives ainsi qu’une pesanteur pelvienne 1/ Pour le moment, quelles sont les hypothèses diagnostiques à émettre pour expliquer l’ensemble du tableau ? a. Appendicite b. Torsion d’annexe c. Cancer ovarien d. Abcès tubaire e. Fibrome utérin symptomatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas de fièvre franche rapportée, douleurs pelviennes évoluant depuis plusieurs jours chez une patiente de plus de 50 ans => peu en faveur d'une appendicite ou d'une torsion. La patiente est totalement apyrétique. Vous apprenez que sa mère est décédée d’un cancer du sein à l’âge de 53 ans. L’examen clinique retrouve un abdomen tendu et douloureux de manière diffuse. Vous percevez à la percussion une matité abdominale déclive. Aucune adénopathie n’est palpée. L’examen des seins est normal, l’examen sous spéculum n’objective aucune lésion et le toucher vaginal retrouve une petite masse latéro-utérine gauche indolore. 2/ Devant ce tableau, quelles sont les propositions exactes ? a. Vous réalisez une échographie qui sera sûrement rapidement suivie d’une cœlioscopie, sans la nécessité d’une autre imagerie préalable b. Une IRM pelvienne en urgence est indiquée c. Vous réalisez un dosage du CA125 en préopératoire car une étiologie cancéreuse vous semble très probable d. Vous réalisez une ponction-biopsie transvaginale de la masse latéro-utérine gauche e. Une analyse cytologique du liquide de la ponction d’ascite est à réaliser avant tout acte opératoire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect. Le seule examen d'imagerie à faire en urgence est l'échographie, suivie d'une coeiloscopie diagnostique et de stadification éventuellement convertie en laparotomie si tumeur opérable. La ponction transvaginale va entrainer une contamination du trajet avec risque certain de dissémination !. Vous pratiquez une échographie endo-vaginale qui objective une masse ovarienne gauche suspecte. 3/ quels sont les arguments échographiques en faveur de la malignité de la masse ovarienne ? a. Paroi épaisse b. Cloisons ou végétations intrakystiques c. Contenu homogène d. Diamètre supérieur à 4 cm e. Vascularisation artérielle des végétations A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans les suites du bilan, le dosage du CA125 retrouve un taux normal du marqueur. Une cœlioscopie exploratrice est réalisée. Des granulations suspectes associées à une tumeur de l’ovaire gauche sont retrouvées. Il existe une carcinose péritonéale diffuse ainsi qu’une ascite abondante. Des biopsies et des prélèvements du liquide péritonéal sont réalisés et envoyées en anatomopathologie. Voici le compte-rendu histologique : « Cystadénocarcinome séreux ovarien avec carcinose péritonéale et présence de cellules tumorales dans le liquide d’ascite » Vous annoncez donc les résultats définitifs des prélèvements à votre patiente. Sous le choc, elle vous demande ce qui a bien pu favoriser le développement de son cancer. 4/ Quelles sont les réponses à lui donner ? a. Prise d’une pilule oestro-progestative b. Puberté précoce et ménopause tardive c. Intoxication alcolo tabagique d. Mutation BRCA1/2 e. Âge avancé
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Puberté précoce et ménopause tardive car équivaut à une longue période d'ovulation.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous recevez madame B, 66ans, en consultation. Elle présente depuis plusieurs semaines une fatigue intense associée à une perte de 3 kilos. Elle décrit depuis trois jours des douleurs pelviennes lancinantes, spontanément résolutives ainsi qu’une pesanteur pelvienne 1/ Pour le moment, quelles sont les hypothèses diagnostiques à émettre pour expliquer l’ensemble du tableau ? a. Appendicite b. Torsion d’annexe c. Cancer ovarien d. Abcès tubaire e. Fibrome utérin symptomatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas de fièvre franche rapportée, douleurs pelviennes évoluant depuis plusieurs jours chez une patiente de plus de 50 ans => peu en faveur d'une appendicite ou d'une torsion. La patiente est totalement apyrétique. Vous apprenez que sa mère est décédée d’un cancer du sein à l’âge de 53 ans. L’examen clinique retrouve un abdomen tendu et douloureux de manière diffuse. Vous percevez à la percussion une matité abdominale déclive. Aucune adénopathie n’est palpée. L’examen des seins est normal, l’examen sous spéculum n’objective aucune lésion et le toucher vaginal retrouve une petite masse latéro-utérine gauche indolore. 2/ Devant ce tableau, quelles sont les propositions exactes ? a. Vous réalisez une échographie qui sera sûrement rapidement suivie d’une cœlioscopie, sans la nécessité d’une autre imagerie préalable b. Une IRM pelvienne en urgence est indiquée c. Vous réalisez un dosage du CA125 en préopératoire car une étiologie cancéreuse vous semble très probable d. Vous réalisez une ponction-biopsie transvaginale de la masse latéro-utérine gauche e. Une analyse cytologique du liquide de la ponction d’ascite est à réaliser avant tout acte opératoire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect. Le seule examen d'imagerie à faire en urgence est l'échographie, suivie d'une coeiloscopie diagnostique et de stadification éventuellement convertie en laparotomie si tumeur opérable. La ponction transvaginale va entrainer une contamination du trajet avec risque certain de dissémination !. Vous pratiquez une échographie endo-vaginale qui objective une masse ovarienne gauche suspecte. 3/ quels sont les arguments échographiques en faveur de la malignité de la masse ovarienne ? a. Paroi épaisse b. Cloisons ou végétations intrakystiques c. Contenu homogène d. Diamètre supérieur à 4 cm e. Vascularisation artérielle des végétations A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans les suites du bilan, le dosage du CA125 retrouve un taux normal du marqueur. Une cœlioscopie exploratrice est réalisée. Des granulations suspectes associées à une tumeur de l’ovaire gauche sont retrouvées. Il existe une carcinose péritonéale diffuse ainsi qu’une ascite abondante. Des biopsies et des prélèvements du liquide péritonéal sont réalisés et envoyées en anatomopathologie. Voici le compte-rendu histologique : « Cystadénocarcinome séreux ovarien avec carcinose péritonéale et présence de cellules tumorales dans le liquide d’ascite » Vous annoncez donc les résultats définitifs des prélèvements à votre patiente. Sous le choc, elle vous demande ce qui a bien pu favoriser le développement de son cancer. 4/ Quelles sont les réponses à lui donner ? a. Prise d’une pilule oestro-progestative b. Puberté précoce et ménopause tardive c. Intoxication alcolo tabagique d. Mutation BRCA1/2 e. Âge avancé A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Puberté précoce et ménopause tardive car équivaut à une longue période d'ovulation. Vous proposez à votre patiente la recherche de la mutation germinale du gène BRCA1/2 pour orienter la thérapeutique. 5/ A propos de cette mutation, quelles sont les propositions exactes ? a. Tout cancer de l’ovaire survenu à tout âge doit amener à rechercher cette mutation b. En cas d’antécédent familial ou personnel de cancer de l’endomètre ou du côlon, un syndrome de Lynch est à rechercher c. La recherche d’une mutation germinale nécessite un consentement éclairé écrit d. Une patiente porteuse de la mutation doit réaliser une mammographie annuelle de dépistage e. Une mastectomie et/ou une annexectomie prophylactiques peuvent être réalisée selon la mutation et les antécédents de la patiente
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. Recherche de la mutation germinale uniquement pour les patients jeunes et ayant des antécédents médicaux. Mutation somatique pour toutes les patients en situation de rechute platine sensible.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous recevez madame B, 66ans, en consultation. Elle présente depuis plusieurs semaines une fatigue intense associée à une perte de 3 kilos. Elle décrit depuis trois jours des douleurs pelviennes lancinantes, spontanément résolutives ainsi qu’une pesanteur pelvienne 1/ Pour le moment, quelles sont les hypothèses diagnostiques à émettre pour expliquer l’ensemble du tableau ? a. Appendicite b. Torsion d’annexe c. Cancer ovarien d. Abcès tubaire e. Fibrome utérin symptomatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas de fièvre franche rapportée, douleurs pelviennes évoluant depuis plusieurs jours chez une patiente de plus de 50 ans => peu en faveur d'une appendicite ou d'une torsion. La patiente est totalement apyrétique. Vous apprenez que sa mère est décédée d’un cancer du sein à l’âge de 53 ans. L’examen clinique retrouve un abdomen tendu et douloureux de manière diffuse. Vous percevez à la percussion une matité abdominale déclive. Aucune adénopathie n’est palpée. L’examen des seins est normal, l’examen sous spéculum n’objective aucune lésion et le toucher vaginal retrouve une petite masse latéro-utérine gauche indolore. 2/ Devant ce tableau, quelles sont les propositions exactes ? a. Vous réalisez une échographie qui sera sûrement rapidement suivie d’une cœlioscopie, sans la nécessité d’une autre imagerie préalable b. Une IRM pelvienne en urgence est indiquée c. Vous réalisez un dosage du CA125 en préopératoire car une étiologie cancéreuse vous semble très probable d. Vous réalisez une ponction-biopsie transvaginale de la masse latéro-utérine gauche e. Une analyse cytologique du liquide de la ponction d’ascite est à réaliser avant tout acte opératoire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect. Le seule examen d'imagerie à faire en urgence est l'échographie, suivie d'une coeiloscopie diagnostique et de stadification éventuellement convertie en laparotomie si tumeur opérable. La ponction transvaginale va entrainer une contamination du trajet avec risque certain de dissémination !. Vous pratiquez une échographie endo-vaginale qui objective une masse ovarienne gauche suspecte. 3/ quels sont les arguments échographiques en faveur de la malignité de la masse ovarienne ? a. Paroi épaisse b. Cloisons ou végétations intrakystiques c. Contenu homogène d. Diamètre supérieur à 4 cm e. Vascularisation artérielle des végétations A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans les suites du bilan, le dosage du CA125 retrouve un taux normal du marqueur. Une cœlioscopie exploratrice est réalisée. Des granulations suspectes associées à une tumeur de l’ovaire gauche sont retrouvées. Il existe une carcinose péritonéale diffuse ainsi qu’une ascite abondante. Des biopsies et des prélèvements du liquide péritonéal sont réalisés et envoyées en anatomopathologie. Voici le compte-rendu histologique : « Cystadénocarcinome séreux ovarien avec carcinose péritonéale et présence de cellules tumorales dans le liquide d’ascite » Vous annoncez donc les résultats définitifs des prélèvements à votre patiente. Sous le choc, elle vous demande ce qui a bien pu favoriser le développement de son cancer. 4/ Quelles sont les réponses à lui donner ? a. Prise d’une pilule oestro-progestative b. Puberté précoce et ménopause tardive c. Intoxication alcolo tabagique d. Mutation BRCA1/2 e. Âge avancé A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Puberté précoce et ménopause tardive car équivaut à une longue période d'ovulation. Vous proposez à votre patiente la recherche de la mutation germinale du gène BRCA1/2 pour orienter la thérapeutique. 5/ A propos de cette mutation, quelles sont les propositions exactes ? a. Tout cancer de l’ovaire survenu à tout âge doit amener à rechercher cette mutation b. En cas d’antécédent familial ou personnel de cancer de l’endomètre ou du côlon, un syndrome de Lynch est à rechercher c. La recherche d’une mutation germinale nécessite un consentement éclairé écrit d. Une patiente porteuse de la mutation doit réaliser une mammographie annuelle de dépistage e. Une mastectomie et/ou une annexectomie prophylactiques peuvent être réalisée selon la mutation et les antécédents de la patiente A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. Recherche de la mutation germinale uniquement pour les patients jeunes et ayant des antécédents médicaux. Mutation somatique pour toutes les patients en situation de rechute platine sensible. Parallèlement à la consultation d’oncogénétique, vous avez organisé une pose de PAC pour débuter un traitement par 6 cures de chimiothérapie par CARBOPLATINE-TAXOL. 6/ Lors de la deuxième séance de chimiothérapie, vous êtes appelés en, urgence pour une une tension artérielle à 110/60 mmHg, une fréquence cardiaque à 100 battements par minute, la patiente se plaint de douleurs abdominales, de difficulté respiratoire et d’un prurit diffus. Quelles sont les propositions exactes ? a. Vous évoquez en premier lieu un choc cardiogénique b. Avant toute chose, vous stoppez la perfusion en cours c. Le traitement de première intention est la noradrénaline d. Vous réalisez en urgence une gazométrie artérielle avant de débuter l’oxygénothérapie e. En l’absence d’amélioration rapide, vous contactez le service de réanimation
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. réaction allergique au carboplatine, préparer une seringue d'adrénaline si la patiente chute sa tension artérielle ou ne s'amliore pas rapidement par le traitement de première intention.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous recevez madame B, 66ans, en consultation. Elle présente depuis plusieurs semaines une fatigue intense associée à une perte de 3 kilos. Elle décrit depuis trois jours des douleurs pelviennes lancinantes, spontanément résolutives ainsi qu’une pesanteur pelvienne 1/ Pour le moment, quelles sont les hypothèses diagnostiques à émettre pour expliquer l’ensemble du tableau ? a. Appendicite b. Torsion d’annexe c. Cancer ovarien d. Abcès tubaire e. Fibrome utérin symptomatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas de fièvre franche rapportée, douleurs pelviennes évoluant depuis plusieurs jours chez une patiente de plus de 50 ans => peu en faveur d'une appendicite ou d'une torsion. La patiente est totalement apyrétique. Vous apprenez que sa mère est décédée d’un cancer du sein à l’âge de 53 ans. L’examen clinique retrouve un abdomen tendu et douloureux de manière diffuse. Vous percevez à la percussion une matité abdominale déclive. Aucune adénopathie n’est palpée. L’examen des seins est normal, l’examen sous spéculum n’objective aucune lésion et le toucher vaginal retrouve une petite masse latéro-utérine gauche indolore. 2/ Devant ce tableau, quelles sont les propositions exactes ? a. Vous réalisez une échographie qui sera sûrement rapidement suivie d’une cœlioscopie, sans la nécessité d’une autre imagerie préalable b. Une IRM pelvienne en urgence est indiquée c. Vous réalisez un dosage du CA125 en préopératoire car une étiologie cancéreuse vous semble très probable d. Vous réalisez une ponction-biopsie transvaginale de la masse latéro-utérine gauche e. Une analyse cytologique du liquide de la ponction d’ascite est à réaliser avant tout acte opératoire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect. Le seule examen d'imagerie à faire en urgence est l'échographie, suivie d'une coeiloscopie diagnostique et de stadification éventuellement convertie en laparotomie si tumeur opérable. La ponction transvaginale va entrainer une contamination du trajet avec risque certain de dissémination !. Vous pratiquez une échographie endo-vaginale qui objective une masse ovarienne gauche suspecte. 3/ quels sont les arguments échographiques en faveur de la malignité de la masse ovarienne ? a. Paroi épaisse b. Cloisons ou végétations intrakystiques c. Contenu homogène d. Diamètre supérieur à 4 cm e. Vascularisation artérielle des végétations A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans les suites du bilan, le dosage du CA125 retrouve un taux normal du marqueur. Une cœlioscopie exploratrice est réalisée. Des granulations suspectes associées à une tumeur de l’ovaire gauche sont retrouvées. Il existe une carcinose péritonéale diffuse ainsi qu’une ascite abondante. Des biopsies et des prélèvements du liquide péritonéal sont réalisés et envoyées en anatomopathologie. Voici le compte-rendu histologique : « Cystadénocarcinome séreux ovarien avec carcinose péritonéale et présence de cellules tumorales dans le liquide d’ascite » Vous annoncez donc les résultats définitifs des prélèvements à votre patiente. Sous le choc, elle vous demande ce qui a bien pu favoriser le développement de son cancer. 4/ Quelles sont les réponses à lui donner ? a. Prise d’une pilule oestro-progestative b. Puberté précoce et ménopause tardive c. Intoxication alcolo tabagique d. Mutation BRCA1/2 e. Âge avancé A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable. Puberté précoce et ménopause tardive car équivaut à une longue période d'ovulation. Vous proposez à votre patiente la recherche de la mutation germinale du gène BRCA1/2 pour orienter la thérapeutique. 5/ A propos de cette mutation, quelles sont les propositions exactes ? a. Tout cancer de l’ovaire survenu à tout âge doit amener à rechercher cette mutation b. En cas d’antécédent familial ou personnel de cancer de l’endomètre ou du côlon, un syndrome de Lynch est à rechercher c. La recherche d’une mutation germinale nécessite un consentement éclairé écrit d. Une patiente porteuse de la mutation doit réaliser une mammographie annuelle de dépistage e. Une mastectomie et/ou une annexectomie prophylactiques peuvent être réalisée selon la mutation et les antécédents de la patiente A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct. Recherche de la mutation germinale uniquement pour les patients jeunes et ayant des antécédents médicaux. Mutation somatique pour toutes les patients en situation de rechute platine sensible. Parallèlement à la consultation d’oncogénétique, vous avez organisé une pose de PAC pour débuter un traitement par 6 cures de chimiothérapie par CARBOPLATINE-TAXOL. 6/ Lors de la deuxième séance de chimiothérapie, vous êtes appelés en, urgence pour une une tension artérielle à 110/60 mmHg, une fréquence cardiaque à 100 battements par minute, la patiente se plaint de douleurs abdominales, de difficulté respiratoire et d’un prurit diffus. Quelles sont les propositions exactes ? a. Vous évoquez en premier lieu un choc cardiogénique b. Avant toute chose, vous stoppez la perfusion en cours c. Le traitement de première intention est la noradrénaline d. Vous réalisez en urgence une gazométrie artérielle avant de débuter l’oxygénothérapie e. En l’absence d’amélioration rapide, vous contactez le service de réanimation A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. réaction allergique au carboplatine, préparer une seringue d'adrénaline si la patiente chute sa tension artérielle ou ne s'amliore pas rapidement par le traitement de première intention. Finalement, la patiente s’améliore rapidement après un traitement par 5mg de Polaramine (antihistaminique H1) et 60 mg de Solumedrol (corticoïde intraveineux). Après une consultation en allergologie permettant une prémédication adaptée avant chaque séance de chimiothérapie, la patiente poursuit son traitement. Devant une bonne régression des lésions et une résécabilité devenue possible, vous décidez de réaliser une laparotomie chez madame B. 7/ Concernant la prise en charge de la patiente, quelles sont les propositions exactes ? a. Le carboplatine est un sel de platine possédant l’avantage d’être moins émétisant que le cisplatine b. Le risque d’alopécie induit par la chimiothérapie est diminué par le port d’un casque réfrigérant c. Compte-tenu de l’âge de madame B, la chirurgie sera minimaliste et une annexectomie gauche avec lavage péritonéal seront pratiqués d. La chirurgie de cytoréduction doit permettre une résection macroscopique complète comprenant au moins annexectomie bilatérale, une appendicectomie, une résection du grand épiplon, une hystérectomie dans le cas particulier de madame B e. En cas de splénectomie, il existe des recommandations précises pour limiter le risque infectieux
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct, E: Choix correct. Le casque réfrigérant entraine une vasoconstriction des capillaires du cuir chevelu limitant la diffusion de la chimiothérapie. La seule chirurgie valable et à faire dans le cancer de l'ovaire est une chirugie de résection macroscopiquement complète.
Cancérologie - Radiothérapie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
Vous exercez en tant que médecin gériatre au sein d'une unité de soins aigus gériatriques et êtes sollicité, par son mdédecin, pour admettre en hospitalisation une patiente âgée de 82 ans en raison d'une dyspnée avec polypnée d’apparition brutale évoluant depuis moins de 48 heures. Ses morbidités sont les suivantes : une hypertension artérielle, une gonarthrose et unreflux gastro oesophagien. Ses traitements sont les suivants : Inhibiteur calcique (diltiazem), Esomeprazole et Paracetamol. L'examen clinique confirme la dyspnée avec polypnée. Les auscultations cardiaque et pulmonaire sont sans particularité. la fréquence cardiaque est de 60 bpm. Vous organisez cette hospitalisation le jour même et initiez un premier bilan. Les données de la gazométrie artérielle, réalisée en air ambiant sont les suivantes : pH 7,41, PCO2 41 mmHg, PO2 81 mmHg, Bicarbonates 24 mmol/L. Quel(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) : a. Présence d'une acidose métabolique b. Présence d'un effet shunt c. Présence d'une hypoxémie d. Présence d'une légère hypercapnie e. Absence d'anomalie
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.