Rubyando59's picture
Add new SentenceTransformer model.
24d6ee9 verified
|
raw
history blame
76 kB
metadata
base_model: OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1
datasets: []
language: []
library_name: sentence-transformers
metrics:
  - cosine_accuracy@1
  - cosine_accuracy@3
  - cosine_accuracy@5
  - cosine_accuracy@10
  - cosine_precision@1
  - cosine_precision@3
  - cosine_precision@5
  - cosine_precision@10
  - cosine_recall@1
  - cosine_recall@3
  - cosine_recall@5
  - cosine_recall@10
  - cosine_ndcg@10
  - cosine_mrr@10
  - cosine_map@100
  - dot_accuracy@1
  - dot_accuracy@3
  - dot_accuracy@5
  - dot_accuracy@10
  - dot_precision@1
  - dot_precision@3
  - dot_precision@5
  - dot_precision@10
  - dot_recall@1
  - dot_recall@3
  - dot_recall@5
  - dot_recall@10
  - dot_ndcg@10
  - dot_mrr@10
  - dot_map@100
pipeline_tag: sentence-similarity
tags:
  - sentence-transformers
  - sentence-similarity
  - feature-extraction
  - generated_from_trainer
  - dataset_size:28864
  - loss:MultipleNegativesRankingLoss
widget:
  - source_sentence: >-
      Dans le cadre d'une VEFA, quand les sommes perçues à titre de garantie
      locative sont-elles comptabilisées en produit ?
    sentences:
      - >-
        FAITS SIGNIFICATIFS DE LA PÉRIODE 11 1. MOUVEMENTS DE PÉRIMÈTRE EN 2020
        Mouvements de périmètre réalisés par l'État Constitution d’un pôle
        financier public Le 30 août 2018, l'État et la Caisse des Dépôts ont
        annoncé leur volonté de créer un grand pôle financier public visant à
        renforcer la cohésion des territoires et à lutter contre la fracture
        territoriale en métropole et dans les outremers à travers La Poste et la
        Caisse des Dépôts, opérateurs de proximité au service des citoyens. La
        mise en œuvre de ce projet a été finalisée par échanges et transferts de
        titres : • Le 4 mars 2020 : apport par l'État et la Caisse des Dépôts à
        La Poste, puis par celle-ci à La Banque Postale, de leurs participations
        respectives de 1,1% et de 40,9% au capital de CNP Assurances. Au terme
        de cette opération, le groupe La Poste détient 62,13% du capital de CNP
        Assurances et est consolidé par intégration globale par la Caisse des
        Dépôts. L’État détient quant à lui 34% du nouveau groupe La Poste. La
        réalisation de cette opération a généré les impacts suivants sur les
        comptes du groupe La Poste : –une augmentation de capitaux propres
        consolidés de 4 027 M€ correspondant à l’apport de 288.262.094 actions
        CNP Assurances valorisées au cours de bourse du 4 mars 2020 (13,97
        euros) ; –le reclassement en résultat net des réserves de conversion en
        gain latents de CNP Assurances pour la quote-part du groupe, avant
        l’opération, générant un produit de 594 M€, classé sur la ligne «
        quote-part de résultat des autres sociétés mises en équivalence » du
        compte de résultat ; –la dépréciation de la valeur des titres
        précédemment mis en équivalence au regard du cours de bourse de l’action
        CNP Assurances au jour de l’opération soit 1 571 M€, montant
        représentant la différence entre la valeur des titres mis en équivalence
        (3 054 M€) et la valeur de bourse (1 933 M€) ; –la constatation d’un
        badwill pour un montant de 4 578 M€ correspondant à la différence entre,
        d’une part la quote-part du groupe dans l’actif net de CNP Assurances
        valorisé à la juste valeur (déterminé dans la cadre de l’allocation du
        prix d’acquisition), soit 10 538 M€, et d’autre part la totalité des
        titres valorisés au cours de bourse du jour de l’opération soit 5 960 M€
        ; • Le 30 septembre 2020 : rachat par la Caisse des Dépôts de la
        totalité de la participation détenue par La Banque Postale au capital de
        SFIL (soit 5%) et par l'État (soit 75%), à l’exception d’une action
        ordinaire conservée par l'État. La Caisse des Dépôts est ainsi devenu
        l’actionnaire de référence de SFIL. Les comptes des groupes La Poste et
        SFIL ont été enregistrés en intégration globale, en « actifs détenus en
        vue de la vente », dans les comptes combinés jusqu’au 4 mars 2020 et 30
        septembre 2020 respectivement. Les comptes du groupe La Poste sont
        enregistrés en mise en équivalence à compter du 4 mars 2020. Réforme du
        ferroviaire - Création d’un groupe SNCF intégré Après deux années
        consacrées à sa préparation en 2018 et 2019, la réforme ferroviaire a
        été mise en œuvre en 2020.
      - >-
        Conformément aux dispositions de la norme IFRS 1, Vivendi a choisi de
        constater au 1 er janvier 2004 les écarts actuariels non encore
        comptabilisés en contrepartie des capitaux propres consolidés. 1.3.10
        Impôts différés Les différences existant à la date de clôture entre la
        valeur fiscale des actifs et passifs et leur valeur comptable au bilan c
        onstituent des différences temporelles. En application de la méthode
        bilantielle du report variable, ces différences temporelles donnent lieu
        à la comptabilisation :  d’actifs d’impôt différé, lorsque la valeur
        fiscale est supérieure à la valeur comptable (situation correspondant à
        une économi e future d’impôt attendue) ;  ou de passifs d’impôt
        différé, lorsque la valeur fiscale est inférieure à la valeur comptable
        (situation correspondant à une ta xation future attendue). Les actifs et
        passifs d’impôt différé sont déterminés sur la base des taux d’impôt
        dont l’application est attendue sur l’exerci ce au cours duquel l’actif
        sera réalisé ou le passif réglé, et sur la base des taux d’impôt (et
        réglementations fiscales) qui ont été adopt és ou quasi adoptés à la
        date de clôture. Ces estimations sont revues à la clôture de chaque
        exercice, en fonction de l’évolution éventuell e des taux d’impôt
        applicables. Des actifs d’impôt différé sont comptabilisés pour toutes
        différences temporelles déductibles, reports en avant de pertes fisca
        les et crédits d’impôt non utilisés, dans la mesure où il est probable
        qu’un bénéfice imposable sera disponible ou lorsqu’il existe un passif
        d’impôt exigible sur lequel ces différences temporelles déductibles,
        reports en avant de pertes fiscales et crédits d’impôt non utilisés
        pourron t être imputés, sauf quand l’actif d’impôt différé lié à la
        différence temporelle déductible est généré par la comptabilisation
        initiale d’un a ctif ou d’un passif dans une opération qui n’est pas un
        regroupement d’entreprises et qu i, à la date de l’opération, n’affecte
        ni le bénéfice compt able, ni le bénéfice imposable ou la perte fiscale.
        Pour les différences temporelles déductibles liées à des participations
        dans les filiales, coentreprises et entreprises associé es, des actifs
        d’impôt différé sont comptabilisés dans la mesure où il est pr obable
        que la différence temporelle s’inversera dans un avenir pr évisible et
        qu’il existera un bénéfice imposable sur lequel pourra s’imputer la
        différence temporelle.
      - >-
        Capitaux propres « En complément des éléments, prévus dans le plan
        comptable général, et si les statuts de la SCPI le prévoient, les
        éléments suivants peuvent être imputés sur la prime d’émission : - les
        frais d’établissement - les commissions de souscription, - les frais
        d’acquisition des immeubles tels que les droits d’enregistre - ment, la
        TVA non récupérable pour les immeubles commerciaux et professionnels et
        les frais de notaire. » ii – rEglES DE COMPtABiliSAtiOn DES PrODUitS Et
        CHArgES Produits de l’activité immobilière : - les loyers sont
        enregistrés en produits sur la base des loyers courus et des termes du
        bail. - Dans le cas des ventes en l’état futur d’achèvement (VEFA), les
        sommes perçues à titre de garantie locative sont comptabilisées en
        produit dans la ScPi, lorsqu’un tel mécanisme est prévu dans le contrat
        liant la ScPi et le promoteur immobilier sur la période de garantie.
        corrélativement, le coût de la garantie payée par la ScPi, corres -
        pondant à une prime d’assurance est comptabilisé en charges sur la
        période de garantie : - soit pour son montant, s’il a pu être valorisé
        de manière explicite lors de l’acquisition et si le montant des loyers
        garantis correspond à la valeur locative de marché du bien immobilier ;
        - soit, dans tous les autres cas, pour le même montant que les loyers
        garantis. Les pré-loyers reçus par la SCPI en rémunération du
        financement d’un bien immobilier acquis en état futur d’achèvement
        pendant la période de construction sont inscrits en autres produits
        financiers. - les produits de l’activité immobilière incluent également
        les charges incombant normalement au propriétaire, mises
        contractuellement à la charge des locataires dont la refacturation aux
        locataires constitue un produit immobilier à porter au compte 7021 «
        charges immobilières facturées ». - les produits de l’activité
        immobilière incluent également les charges locatives refacturées et sont
        comptabilisées au compte 7025 « charges locatives refacturées ». - les
        produits de l’activité immobilière incluent également les pro - duits
        des participations contrôlées par la ScPi et comptabilisées en
        placements immobiliers.La SCPI Allianz Home FranceSCPI.com
  - source_sentence: >-
      Quel outil est utilisé pour enregistrer les anomalies significatives dans
      la gestion des risques opérationnels ?
    sentences:
      - >-
         des conclusions des rapports établis par le contrôle périodique ou par
        des tiers (dont les régulateurs) ;  des incidents internes ou externes.
        Les cartographies de risques opérationnels sont présentées formellement,
        de manière annuelle, au Directeur des risques « Chief Risk Officer »
        afin de s’assurer de leur pertinence par rapport aux autres risques
        auxquels la banque fait face. Sur la base des cartographies réalisées
        par les métiers, les fonctions et Digital Business Services, les
        fonctions Assurance élaborent un plan de revues de second niveau des
        activités des différentes entités. Ce plan présente les activités de
        contrôle indépendant de 2nd niveau qui seront conduites au cours de
        l'année suivante. Le programme doit faire l'objet de révisions et de
        mises à jour continues, au fur et à mesure des changements de situation
        et ce, afin de garantir la pérennité de sa pertinence. Les anomalies
        significatives relevées dans les revues des équipes Assurance doivent
        être présentées au Risk Owner de l’entité concernée et sont enregistrées
        dans l’outil de gestion des risques opérationnels, Helios. Le dispositif
        de contrôle de premier niveau ainsi identifié fait l’objet d’une
        cotation en fonction d’une échelle de trois notes : - opérant (“
        effective “) : conçu de manière efficace et fonctionne comme prévu, - à
        améliorer (“ needs improvement “) : la conception ou le fonctionnement
        du dispositif de contrôle présente des failles, il n’atténue que
        partiellement le risque, - inopérant (“ ineffective “) : la conception
        ou le fonctionnement du dispositif de contrôle présente des failles
        significatives, aucune mesure n'est prévue ou ne permettra de les
        résoudre, ou le contrôle est manquant. Les dispositifs de contrôles
        cotés « à améliorer » ou « inopérants », donnent lieu à la définition
        d’un plan d’actions correctrices destiné à rendre le contrôle « opérant
        ». L’élaboration et l’actualisation des cartographies de risques sont de
        la responsabilité première des opérationnels, propriétaires des risques,
        Risk Owners , à qui il revient d’identifier et d’évaluer les risques
        ainsi que les contrôles de premier niveau à effectuer. Ce travail est
        réalisé au fil de l’eau avec l’aide des Control Owners en fonction
        notamment : - des résultats des contrôles opérés par les opérationnels,
        - les résultats des missions de contrôle permanent réalisées par les
        équipes Assurance, - des recommandations des Risk Stewards , - des
        conclusions des rapports établis par le contrôle périodique ou par des
        tiers (dont les régulateurs), - des incidents internes ou externes. La
        fonction Operational & Resilience Risk organise des « RCA challenge
        session » annuelles ou des ateliers de revue des risques les plus
        élevés, en présence des Risk Stewards, des « Chief Control Officers »,
        (CCO), des responsables des métiers ou fonctions et du Chief Risk
        Officer , afin de présenter les risques significatifs de chaque entité.
        Sur base des cartographies réalisées par les métiers, les fonctions et
        DBS, les équipes Assurance élaborent un plan de revues de second niveau
        des activités des différentes entités. Ce plan présente les activités de
        contrôle indépendant de 2nd niveau qui seront conduites au cours de
        l'année suivante. Le programme doit faire l'objet de révisions et de
        mises à jour continues, au fur et à mesure des changements de situation
        et ce, afin de garantir la pérennité de sa pertinence. Ce plan est
        élaboré selon une approche par les risques afin d’assurer une couverture
        régulière et adéquate des risques sur un cycle pouvant aller jusqu’à 3
        ans maximum. L’enregistrement des résultats de ce plan de contrôle doit
        se faire au fur et à mesure de son exécution. Les équipes Assurance
        effectuent un suivi permanent de la progression par rapport au
        programme, et doivent signaler tout retard.
      - >-
        (La version française de ce communiqué de presse vous est communiquée
        uniquement à titre d’information. Seule la version anglaise est
        officielle) Airbus publie ses résultats pour 2023 ● 735 avions
        commerciaux livrés ● Chiffre d’affaires de 65,4 milliards d’euros ; EBIT
        ajusté à 5,8 milliards d’euros ● EBIT (reporté) à 4,6 milliards d’euros
        ; BPA (reporté) de 4,80 euros ● Flux de trésorerie disponible avant
        fusions et acquisitions et financements-clients de 4,4 milliards d’euros
        ; trésorerie nette à 10,7 milliards d’euros ● Les prévisions 2023 ont
        été atteintes ● Proposition de dividende : 1,80 euro par action ;
        dividende exceptionnel de 1,00 euro par action ● Publication des
        prévisions 2024 Amsterdam, 15 février 2024 – Airbus SE (symbole boursier
        : AIR) a publié ses résultats consolidés pour 2023 et ses prévisions
        pour l’exercice 2024. « En 2023, toutes nos activités ont enregistré
        d’importantes prises de commandes et nous avons tenu nos engagements. Il
        s’agit d’un résultat remarquable compte tenu de la complexité du
        contexte opérationnel », a déclaré Guillaume Faury, président exécutif
        d’Airbus. « Nous continuerons à investir dans notre dispositif
        industriel mondial tout en poursuivant notre transformation et notre
        décarbonation. Notre proposition de dividendes reflète les bons
        résultats financiers de 2023, nos perspectives de croissance pour 2024
        et la solidité de notre bilan. » Airbus a enregistré 2 319 commandes
        brutes d’avions commerciaux (2022 : 1 078 avions) et 2 094 commandes
        nettes après annulations (2022 : 820 avions). Le carnet de commandes
        atteignait 8 598 avions commerciaux à fin décembre 2023. Airbus
        Helicopters a enregistré 393 commandes nettes (2022 : 362 unités), qui
        profitent à tous les programmes, avec un ratio commandes
        nettes/livraisons supérieur à 1 en valeur et en volume. Les prises de
        commandes d’Airbus Defence and Space ont augmenté de 15 % à 15,7
        milliards d’euros (2022 : 13,7 milliards d’euros), ce qui représente un
        ratio commandes nettes/livraisons d’environ 1,4 en valeur. Les commandes
        enregistrées au quatrième trimestre comprenaient 16 C295 destinés à
        l’Espagne.
      - >-
        Les informations relatives à ces accords ont été publiées dans les
        conditions prévues à l’article L. 22-10-30 du Code de commer ce. En
        application des dispositions de l’article L. 225-88 du Code de commerce,
        ces conventions ont été approuvées par l’Assemblée générale des
        actionnaires de Vivendi SE le 25 avril 2022. 23.3 Convention réglementée
        entre Vi vendi SE et Lagardère SA Au 31 décembre 2022, Vivendi SE
        détient 57,66 % du capital de Lagardère SA (se reporter aux notes 2.1 et
        14). La demande d’autorisation de la prise de contrôle de Lagardère SA
        auprès de la Commission européenne a été déposée par Vivendi SE le 24
        octobre 2022. L’agrément de l’ARCOM11 sur le changement d’actionnariat
        indirect des filiales de Lagardère éditrices de services de
        radiodiffusion a été par ailleurs sollicité par ces dernières à la suite
        du résultat de l’offre publique d’achat visant toutes les actions
        Lagardère SA que Vivendi SE ne détient pas, dont le dépôt auprès de
        l’Autorité des marchés financiers a été réalisé le 21 févri er 2022.
        Afin de préparer les notifications réglementaires requises, Viv endi SE
        et Lagardère SA sont convenues d’échanger certaines info rmations, aux
        termes d’un accord dit de clean team , de confidentialité et de
        coopération réciproque conclu le 20 décembre 2021. Un tiers indépendant
        a été mandaté par Lagardère SA et Vivendi SE, aux coûts exclusifs de
        cette dernière, pour assurer la mise en place et la gestion de la clean
        team de chaque partie qui peut recevoir les informations confidentielles
        de l’autre partie strictement nécessaires à la préparation des
        notifications réglementaires requises. Les échanges d’informations sont
        assurés par ce tiers indépendant sous l e contrôle des conseils
        juridiques externes des parties. M. Arnaud de Puyfontaine étant
        Président du Directoire de Vivendi SE et administrateur de Lagardère SA,
        le Conseil de surveilla nce de Vivendi SE, dans ses séances du 15
        septembre et du 18 novembre 2021, a autorisé, après examen, la signature
        de cet accord de clean team , de confidentialité et de coopération,
        conformément aux dispositions de l’article L. 225-86 du Code de
        commerce. Cet accord permet aux parties de préparer les demandes
        d’autorisation susvisées, tout en limitant leurs échanges aux informatio
        ns strictement nécessaires, en conformité avec la règlementation
        applicable et les garanties appropriées. Les informations relatives à
        cet accord ont été publiées dans les conditions prévues à l’article L.
        22-10-30 du Code de commerc e. En application des dispositions de
        l’article L.225-88 du Code de co mmerce, cette convention a été
        approuvée par l’Assemblée gén érale des actionnaires de Vivendi SE le 25
        avril 2022. Le coût total de cet accord s’est élevé à 147 444 euros
        bruts en 2022 et sera soumis à l’approbation de l’Assemblée générale de
        s actionnaires de Vivendi SE qui se tiendra en 2023. 10 Le mandat de
        membre du Directoire de Viv endi SE de MM. Gilles Alix et Cédric de
        Bailliencourt est arrivé à échéance le 23 juin 2022. 11 L’ARCOM,
        Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,
        su ccède au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) et à la Haute
        autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur
        internet (HADOPI) à compter du 1er janvier 2022.
  - source_sentence: >-
      Quel montant a été payé par les fonds de couverture pour les prestations
      de retraite en 2022 ?
    sentences:
      - >-
        mercredi 8 mars 2023 Rapport financier et États financiers consolidés
        audités de l'exercice clos le 31 décembre 2022 Vivendi / 97 19.2.2
        Analyse de la charge comptabilisée et montant des prestations payées
        Prestations de retraite Prestations complémentaires Total (en millions
        d'euros) 2022 2021 2022 2021 2022 2021 Coût des services rendus 23 27 -
        - 23 27 Coût des services passés (a) (8) (25) - - (8) (25)
        (Gains)/pertes sur liquidation - - - - - - Autres 1 1 - - 1 1 Incidence
        sur les charges administratives et commerciales 16 3 - - 16 3 Effet de
        désactualisation des passifs actuariels 13 11 2 2 15 13 Rendement
        attendu des actifs de couverture (9) (6) - - (9) (6) Incidence sur les
        autres charges et produits financiers 4 5 2 2 6 7 Charge de la période
        comptabilisée en résultat 20 8 2 2 22 10 a. En 2021, le coût des
        services passés était un produit net d’exploitation de 25 millions
        d’euros, qui comprenait : - une charge d’exploitation de 11 millions
        d’euros, qui correspondait à la prise en compte sur la période d’emploi
        restante des bénéficiaires du coût résiduel des régimes de retraite
        additif et différentiel à prestations définies de Vivendi SE, dont l’acq
        uisition des droits est désormais fermée en conséquence de la loi PACTE
        ; - un produit d’exploitation de 35 millions d’euros, qui comprenait
        notamment l’incidence (19 millions d’euros) des pertes de droi ts
        consécutive aux départs de bénéficiaires intervenus en 2021, notamment
        dans le cadre de la cession d’UMG, et l’incidence au tit re des
        exercices 2020 et 2021 (9 millions d’euros) du plafonnement des droits
        cumulés au titre des nouveaux régimes de retraite additif et
        différentiel à prestations définies de Vivendi SE, mis en place dans le
        cadre de la loi PACTE. En 2022, le montant des prestations payées
        s’élevait à 62 millions d’euros au titre des retraites (31 millions
        d’euros en 2021) et à 8 millions d’euros au titre des prestations
        complémentaires (9 millions d’ euros en 2021). Dans ce montant, 44
        millions d’euros sont payés par les fonds de couverture (12 millions
        d’euros en 2021), dont 31 millions d’euros au titre des régimes de
        retraite additifs et différentiel à prestations définies de Vivendi SE
        (5 millions d’euros en 2021).
      - >-
        Le projet de cession des bâtiments du site du Technocentre à Guyancourt
        dont le classement en Actifs destinés à être cédés avait été opéré dans
        les états financiers au 30 juin 2022 pour une valeur nette comptable de
        322 mil lions d’euros a été suspendu suite à l ’évolution défavorable
        des conditions de marché. Ces actifs ont donc été reclassés en
        Immobilisations Corporelles et un rattrapage d’amortissements a été
        comptabilisé au 31 décembre 2023 pour un total de (46) millions d’euros.
        Le reclassement de ces actifs destinés à être cédés et passifs liés
        apparaît en autres variations dans les annexes concernées. (en millions
        d’euros) 31 décembre 2023 Dont Horse 31 décembre 2022 Dont Horse
        Immobilisations incorporelles et goodwill 962 962 795 795
        Immobilisations corporelles 2 295 2 290 2 537 2 166 Stocks 366 366 418
        338 Trésorerie et équivalents de trésorerie 91 91 23 8 Autres 308 198 88
        71 Total actifs destinés à être cédés 4 022 3 907 3 861 3 378 Total des
        passifs liés aux actifs destinés à être cédés (1 075) (1 075) (873)
        (841) Dont passifs financiers (37) (37) (129) (102)
      - >-
        Déchets HA-MAVL Les déchets HA-MAVL proviennent essentiellement du
        traitement des combustibles usés et dans une moindre mesure des déchets
        issus du démantèlement des centrales nucléaires (composants métalliques
        ayant séjourné dans le réacteur).La loi du 28 juin 2006 prévoit pour ces
        déchets un stockage réversible en couche géologique profonde. La
        provision constituée pour les déchets HA-MAVL représente la part la plus
        importante des provisions pour gestion à long terme des déchets
        radioactifs. Jusqu’en juin 2015, le montant brut et l’échéancier des
        dépenses prévisionnelles étaient basés sur un scénario industriel de
        stockage géologique établi à partir des conclusions rendues au premier
        semestre 2005 par un groupe de travail constitué sous l’égide de l'État
        et réunissant les administrations concernées, l’ANDRA et les producteurs
        de déchets (EDF, Orano, CEA). EDF avait effectué une déclinaison
        raisonnable des éléments issus de ce groupe de travail et a abouti à un
        coût de référence du stockage des déchets de l’ensemble des producteurs
        à 14,1 Md€ aux conditions économiques de 2003 (20,8 Md€ aux conditions
        économiques de 2011). En 2012, l’ANDRA a réalisé les études d’esquisse
        sur le projet de stockage géologique (Cigéo). Sur cette base, l’ANDRA a
        établi un dossier de chiffrage, qui a fait l’objet, conformément à la
        loi du 28 juin 2006, d’un processus de consultation, initié fin décembre
        2014 par la Direction Générale de l’Énergie et du Climat (DGEC) auprès
        des producteurs de déchets. Dans ce cadre, EDF et les autres producteurs
        ont transmis en avril 2015 à la DGEC leurs observations ainsi qu’une
        évaluation conjointe du coût objectif du stockage Cigéo du fait de
        divergences d’approches. Le dossier intégrant ces éléments ainsi que
        l’avis de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) a été soumis à la
        ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Énergie.
        L’arrêté du 15 janvier 2016 pris par le Ministère de l’Ecologie, du
        Développement durable et de l’Énergie fixe le coût objectif au projet de
        stockage Cigéo à 25 Md€ aux conditions économiques du 31 décembre 2011.
        Le coût arrêté constitue un objectif à atteindre par l’ANDRA, dans le
        respect des normes de sûreté fixées par l’ASN, et en s’appuyant sur une
        coopération étroite avec les exploitants d’installations nucléaires. En
        application de cet arrêté, il a été prévu que le coût du projet Cigéo
        serait régulièrement mis à jour et a minima aux étapes clés du
        développement du projet (autorisation de création, mise en service, fin
        de la « phase industrielle pilote », réexamens de sûreté), conformément
        à l’avis de l’Autorité de Sûreté Nucléaire. En avril 2016, l’ANDRA a
        transmis à l’ASN un dossier d’options de sûreté (DOS). La loi du 11
        juillet 2016 a par ailleurs précisé la notion de réversibilité. Le 11
        janvier 2018, l’ASN a rendu son avis sur le DOS estimant que le projet
        Cigéo a atteint globalement une maturité technologique satisfaisante à
        ce stade. À noter que dans cet avis, l’ASN demande que pour les déchets
        bitumineux, des filières alternatives à leur stockage en l'État à Cigéo
        soient étudiées.
  - source_sentence: >-
      Quel produit d'impôt a été inclus dans la charge d'impôt différé pour la
      France en 2022 ?
    sentences:
      - >-
        100 Rapport financier 2020 – 2021 de l’APE Les dérivés de transaction
        sont principalement constitués des dérivés de transaction de matières
        premières souscrits par EDF Trading et se décomposent comme suit :
        31.12.2019 31.12.2020 Unités de mesureNotionnels netsJuste
        valeurNotionnels netsJuste valeur Électricité Térawattheures - 17 824 -
        174 - 380 GazMillions de therms- 7 826 76 - 6 803 310 Produits
        pétroliers Milliers de barils 14 290 8 24 301 58 Charbon et fretMillions
        de tonnes2 - 12 1 - 7 CO2Milliers de tonnes- 41 604 - 128 3 355 - 55
        Autres matières premières - - 75 - 8 Instruments dérivés de transaction
        liés aux matières premières- 35 155 693 20 680 - 66
      - >-
        Page 5 / 32 Chiffres clés Les informations financières présentées dans
        ce document sont élaborées à partir des comptes consolidés au 31
        décembre 2023. Les résultats exceptionnels du Groupe s’expliquent par
        une très bonne performance opérationnelle avec une hausse importante de
        41 ,4 TWh de la production nucléaire en France dans un contexte de prix
        historiquement élevés. Cela fait suite à une année 2022 marquée par une
        baisse brutale de la production nucléaire en France relatif au phénomène
        de la corrosion sous contrainte et les mesures régulatoires
        exceptionnelles en vue de limiter la hausse des prix pour les
        consommateurs. Ces résultats permettent une réduction de la dette
        financière nette. (en millions d’euros) 2023 2022 Variation en valeur
        Variation en % Variation organique en % Chiffre d’affaires 139 715 143
        476 (3 761) -2,6 -2,1 EBE 39 927 (4 986) 44 913 n.a n.a Résultat
        d’exploitation 13 174 (19 363) 32 537 n.a n.a Résultat avant impôts des
        sociétés intégrées 9 825 (22 916) 32 741 n.a n.a Résultat net part du
        Groupe 10 016 (17 940) 27 956 n.a n.a Résultat net courant (1) 18 481
        (12 662) 31 143 n.a n.a Résultat net courant ajusté de la rémunération
        des hybrides 17 851 (13 268) 31 119 n.a n.a Cash -flow Groupe (2) 9 288
        (24 603) 33 891 n.a n.a Endettement financier net (3) 54 381 64 500 (10
        119) -15,7 n.a n.a : non applicable (1) Le résultat net courant n’est
        pas défini par les normes IFRS et n’apparaît pas en lecture directe dans
        le compte de résultat consolidé du Groupe. Il correspond au résultat net
        hors éléments non récurrents, hors variations nettes de juste valeur sur
        instruments dérivés énergie et matières premières hors activités de
        trading et hors variations nettes de juste valeur de titres de dettes et
        de capitaux propres nets d’impôts (voir section « Résultat net courant
        »). (2) Le cash- flow Groupe ne constitue pas un agrégat défini par les
        normes I FRS comme élément de mesure de la performance financière et ne
        peut pas être compar é aux indicateurs ainsi dénommés par d’autres
        entreprises. Il est égal au cash- flow généré par les opérations après
        cessions d’actifs, impôt sur le résultat payé, frais financiers nets
        décaissés, dotations nettes sur actifs dédiés, dividendes versés en
        numéraire (voir section 4) (3) L’endettement financier net n’est pas
        défini par les normes comptables et n’apparaît pas en lecture directe
        dans le bilan consolidé du Groupe (v oir section 4).
      - >-
        Sur le plan fiscal, cette distribution est traitée comme une cession de
        titres. L’impôt afférent à la distribution de 59,87 % du capital d’UMG
        s’est élevé à 775 millions d’euros, enregistr é dans le compte de
        résultat sur la ligne « Résultat net des activités cédées » conformément
        à la norme IFRS 5. Enfin, la différence entre la valeur fiscale de la
        participation résiduelle de 10,03 % dans le capital d’UMG et sa valeur
        de mi se en équivalence dans les comptes consolidés a conduit à
        comptabiliser un passif d’impôt différé de 119 millions d’euros,
        conforméme nt à la norme IAS 12, par la contrepartie du « Résultat net
        des activités cédées ». Sur l’exercice 2021, l’impôt afférent aux
        opérations relatives à UMG s’est élevé à un montant total de 1 063
        millions d’euros, essentiellement au titre des plus-values réalisées par
        Vivend i, dont 895 millions d’euros enregistrés dans le « Résultat net
        de s activités cédées », 8 millions enregistrés dans le « Résultat des
        activités poursuivies » et 160 millions d’euros enregistrés en diminuti
        on des capitaux propres attribuables aux actionnaires de Vivendi. 7.3
        Impôt sur les résultats et impôt payé par zone géographique Impôt sur
        les résultats Exercices clos le 31 décembre (en millions d'euros) 2022
        2021 (Charge)/produit d'impôt Courant France (31) (5) Reste de l'Europe
        (32) (33) Afrique (41) (28) États-Unis (31) (30) Reste du monde (26)
        (21) (161) (117) Différé France (a) 31 (108) Reste de l'Europe 14 2
        Afrique (2) 1 États-Unis 12 14 Reste du monde 7 2 62 (89) Impôt sur les
        résultats (99) (206) a. Inclus un produit de 41 millions d’euros en
        2022, contre une charge de 94 millions d’euros en 2021 correspondant à
        la variation de l’actif d’impôt différé afférent à l’économie d’impôt
        liée au régime de l’intégration fiscale de Vivendi en France.
  - source_sentence: >-
      Pourquoi le montant total distribué en dividende peut-il varier d'une
      année à l'autre ?
    sentences:
      - >-
        Les impôts différés sont calculés en appliquant le dernier taux d’impôt
        voté à la date de clôture et applicable à la période de renversement de
        ces différences. Au sein d’une même entité fiscale (société juridique,
        établissement ou groupe d’entités redevable de l’impôt auprès de l’a
        dministration fiscale), les impôts différés actifs et passifs sont
        présentés de manière compensée, dès lors que celle -ci a le droit de
        compenser ses actifs et passifs d’impôts exigibles. Les actifs nets
        d’impôts différés sont reconnus en fonction de leur probabilité de
        réalisation future. Les entreprises associées et les coentreprises
        donnent lieu à comptabilisation d’un impôt différé passif de
        distribution pour les différences entre la valeur comptable et la valeur
        fiscale des titres. Les crédits d’impôt d ont l’utilisation est
        conditionnée par la réalisation d’un bénéfice fiscal sont comptabilisés
        en réduction de la charge d’impôt sur les résultats. Les crédits d’impôt
        dont la récupération n’est pas subordonnée à la réalisation d’un
        bénéfice fiscal figurent en réduction de la nature de charge à laquelle
        ils se rapportent. Pour évaluer les provisions pour positions fiscales
        incertaines, le Groupe utilise une méthode d’évaluation individuelle
        basée en général sur le montant le plus probable. Ces provisions son t
        classées sur des lignes dédiées dans la situation financière consolidée,
        afin de se conformer à leurs caractéristiques qualitatives. 2-J.
        Goodwill Les participations ne donnant pas le contrôle ( usuellement
        dénommées « intérêts minoritaires ») sont évaluées so it à la juste
        valeur (méthode dite du goodwill complet), soit à leur quote -part dans
        la juste valeur des actifs acquis et passifs repris (méthode dite du
        goodwill partiel). À ce jour Renault n’a enregistré que des goodwill
        évalués selon la méthode dite du goodwill partiel. L’option entre ces
        deux méthodes d’évaluation est exercée par le Groupe au cas par cas. Les
        goodwill font l’objet d’un test de dépréciation au minimum une fois par
        an, et dès qu’il existe un indice de perte de valeur. Après leur
        comptabi lisation initiale, les goodwill sont donc évalués à leur coût
        diminué du cumul des pertes de valeur éventuelles. Les goodwill relatifs
        à des entreprises associées et coentreprises sont inclus dans la valeur
        de ces participations à l’actif de la situation financière consolidée.
        En cas de perte de valeur, celle -ci est comptabilisée et intégrée au
        compte de
      - >-
        Le 15 janvier 2016, la DGEC a rendu publique la synthèse du rapport de
        cet audit. L’Administration a indiqué que, bien que l’estimation du coût
        du démantèlement de réacteurs nucléaires reste un exercice délicat,
        compte tenu du retour d’expérience relativement limité, des perspectives
        d’évolution des techniques et de l’éloignement des dépenses dans le
        temps, l’audit confortait globalement l’estimation faite par EDF du coût
        du démantèlement de son parc nucléaire en exploitation. L’Administration
        a également formulé à EDF un certain nombre de recommandations suite à
        cet audit. En 2016, EDF a effectué une révision du devis de
        démantèlement afin de prendre en compte, d’une part, les recommandations
        de l’audit, qui lui avaient été adressées, et d’autre part, le retour
        d’expérience des opérations de démantèlement des réacteurs de première
        génération (en particulier Chooz A). Le travail de révision du devis a
        consisté en la mise en œuvre d’une démarche analytique détaillée,
        identifiant l’ensemble des coûts d’ingénierie, de travaux,
        d’exploitation et de traitement des déchets liés au démantèlement futur
        des réacteurs en cours de fonctionnement. Il permet d’aboutir à un
        chiffrage reposant sur des chroniques détaillées de démantèlement des
        centrales. La démarche adoptée a permis d’approfondir l’évaluation des
        coûts propres aux têtes de série, estimés pour chaque palier à partir de
        coefficients de transposition appliqués au coût de référence de la tête
        de série 900 MW, ainsi que les effets de série et de mutualisation, ces
        coûts et effets étant en effet inhérents à la taille et à la
        configuration du parc. Les natures des principaux effets de
        mutualisation et de série retenus dans les chiffrages du devis sont
        explicitées ci-dessous. Les effets de série (effet sur les sites
        suivants le site tête de série d’un même palier) sont principalement de
        deux natures différentes : • un premier effet provient du fait que sur
        un parc de même technologie, une large part des études ne doit pas être
        refaite à chaque fois ; • un second effet provient du fait que, sur un
        parc de même technologie, les robots et les outillages peuvent être très
        largement réutilisés d’un chantier à l’autre. Les effets de
        mutualisation (effets entre les différentes tranches présentes sur un
        même site qu’elles soient en exploitation ou en démantèlement) sont
        quant à eux de différentes natures : • certains sont liés au partage de
        bâtiments et d’équipements communs entre plusieurs réacteurs sur un même
        site, qu’il n’y a donc pas à démanteler deux fois. Ainsi,
        structurellement, le démantèlement d’une paire de réacteurs sur un même
        site coûte moins cher que le démantèlement de deux réacteurs isolés sur
        deux sites différents. En France, à la différence des autres
      - >-
        Le Groupe Bolloré a précisé dans cette lettre qu’un tel franchissement
        de seuil n’aurait au demeurant rien d’inéluctable dès lo rs que les
        sociétés du Groupe Bolloré conservent la possibilité, notamment pour
        éviter sa survenance, de vendre des actions Vivendi ; elle s pourraient
        également participer à l’opération de réduction de capital en apportant
        leurs titres à l’offre de rachat qui serait mise en œuv re par Vivendi.
        Leur décision à cet égard n’est pas prise, elle le sera le moment venu.
        17.3 Distribution d’un dividende ordina ire en numéraire aux
        actionnaires Dans le cadre de l’arrêté des comptes de l’exercice 2022 et
        de l’affectation du résultat de l’exercice, le Directoire de Vivend i,
        dans sa réunion du 6 mars 2023, a décidé de proposer aux actionnaires de
        mettre en paiement un dividende ordinaire en numéraire de 0,25 euro pa r
        action représentant un montant total distribué de 256 millions d’euros.
        Cette proposition a été portée à la connaissance du Conseil de
        surveillance du 8 mars 2023 qui l’a approuvée, et sera soumise à
        l’approbation de l’Assemblée générale des actionnaires du 24 avril 2023.
        Le 28 avril 2022, au titre de l’exercice 2021, un dividende ordinaire de
        0,25 euro par action a été versé (après détachement du coupon le 26
        avril 2022), représentant un montant total distribué de 261 millions
        d’euros.
model-index:
  - name: SentenceTransformer based on OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1
    results:
      - task:
          type: information-retrieval
          name: Information Retrieval
        dataset:
          name: Unknown
          type: unknown
        metrics:
          - type: cosine_accuracy@1
            value: 0.5856079404466501
            name: Cosine Accuracy@1
          - type: cosine_accuracy@3
            value: 0.8163771712158809
            name: Cosine Accuracy@3
          - type: cosine_accuracy@5
            value: 0.8775847808105872
            name: Cosine Accuracy@5
          - type: cosine_accuracy@10
            value: 0.9454094292803971
            name: Cosine Accuracy@10
          - type: cosine_precision@1
            value: 0.5856079404466501
            name: Cosine Precision@1
          - type: cosine_precision@3
            value: 0.272125723738627
            name: Cosine Precision@3
          - type: cosine_precision@5
            value: 0.17551695616211743
            name: Cosine Precision@5
          - type: cosine_precision@10
            value: 0.09454094292803969
            name: Cosine Precision@10
          - type: cosine_recall@1
            value: 0.5856079404466501
            name: Cosine Recall@1
          - type: cosine_recall@3
            value: 0.8163771712158809
            name: Cosine Recall@3
          - type: cosine_recall@5
            value: 0.8775847808105872
            name: Cosine Recall@5
          - type: cosine_recall@10
            value: 0.9454094292803971
            name: Cosine Recall@10
          - type: cosine_ndcg@10
            value: 0.7693717436163442
            name: Cosine Ndcg@10
          - type: cosine_mrr@10
            value: 0.7125103391232432
            name: Cosine Mrr@10
          - type: cosine_map@100
            value: 0.7157854780098822
            name: Cosine Map@100
          - type: dot_accuracy@1
            value: 0.5856079404466501
            name: Dot Accuracy@1
          - type: dot_accuracy@3
            value: 0.8163771712158809
            name: Dot Accuracy@3
          - type: dot_accuracy@5
            value: 0.8775847808105872
            name: Dot Accuracy@5
          - type: dot_accuracy@10
            value: 0.9454094292803971
            name: Dot Accuracy@10
          - type: dot_precision@1
            value: 0.5856079404466501
            name: Dot Precision@1
          - type: dot_precision@3
            value: 0.272125723738627
            name: Dot Precision@3
          - type: dot_precision@5
            value: 0.17551695616211743
            name: Dot Precision@5
          - type: dot_precision@10
            value: 0.09454094292803969
            name: Dot Precision@10
          - type: dot_recall@1
            value: 0.5856079404466501
            name: Dot Recall@1
          - type: dot_recall@3
            value: 0.8163771712158809
            name: Dot Recall@3
          - type: dot_recall@5
            value: 0.8775847808105872
            name: Dot Recall@5
          - type: dot_recall@10
            value: 0.9454094292803971
            name: Dot Recall@10
          - type: dot_ndcg@10
            value: 0.7693717436163442
            name: Dot Ndcg@10
          - type: dot_mrr@10
            value: 0.7125103391232432
            name: Dot Mrr@10
          - type: dot_map@100
            value: 0.7157854780098822
            name: Dot Map@100

SentenceTransformer based on OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1

This is a sentence-transformers model finetuned from OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1. It maps sentences & paragraphs to a 1024-dimensional dense vector space and can be used for semantic textual similarity, semantic search, paraphrase mining, text classification, clustering, and more.

Model Details

Model Description

  • Model Type: Sentence Transformer
  • Base model: OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1
  • Maximum Sequence Length: 512 tokens
  • Output Dimensionality: 1024 tokens
  • Similarity Function: Cosine Similarity

Model Sources

Full Model Architecture

SentenceTransformer(
  (0): Transformer({'max_seq_length': 512, 'do_lower_case': False}) with Transformer model: XLMRobertaModel 
  (1): Pooling({'word_embedding_dimension': 1024, 'pooling_mode_cls_token': False, 'pooling_mode_mean_tokens': True, 'pooling_mode_max_tokens': False, 'pooling_mode_mean_sqrt_len_tokens': False, 'pooling_mode_weightedmean_tokens': False, 'pooling_mode_lasttoken': False, 'include_prompt': True})
  (2): Normalize()
)

Usage

Direct Usage (Sentence Transformers)

First install the Sentence Transformers library:

pip install -U sentence-transformers

Then you can load this model and run inference.

from sentence_transformers import SentenceTransformer

# Download from the 🤗 Hub
model = SentenceTransformer("sujet-ai/Marsilia-Embeddings-FR-Large")
# Run inference
sentences = [
    "Pourquoi le montant total distribué en dividende peut-il varier d'une année à l'autre ?",
    'Le Groupe Bolloré a précisé dans cette lettre qu’un tel franchissement de seuil n’aurait au demeurant rien d’inéluctable dès lo rs que les sociétés du Groupe Bolloré conservent la possibilité, notamment pour éviter sa survenance, de vendre des actions Vivendi ; elle s pourraient également participer à l’opération de réduction de capital en apportant leurs titres à l’offre de rachat qui serait mise en œuv re par Vivendi. Leur décision à cet égard n’est pas prise, elle le sera le moment venu. 17.3 Distribution d’un dividende ordina ire en numéraire aux actionnaires Dans le cadre de l’arrêté des comptes de l’exercice 2022 et de l’affectation du résultat de l’exercice, le Directoire de Vivend i, dans sa réunion du 6 mars 2023, a décidé de proposer aux actionnaires de mettre en paiement un dividende ordinaire en numéraire de 0,25 euro pa r action représentant un montant total distribué de 256 millions d’euros. Cette proposition a été portée à la connaissance du Conseil de surveillance du 8 mars 2023 qui l’a approuvée, et sera soumise à l’approbation de l’Assemblée générale des actionnaires du 24 avril 2023. Le 28 avril 2022, au titre de l’exercice 2021, un dividende ordinaire de 0,25 euro par action a été versé (après détachement du coupon le 26 avril 2022), représentant un montant total distribué de 261 millions d’euros.',
    'Les impôts différés sont calculés en appliquant le dernier taux d’impôt voté à la date de clôture et applicable à la période de renversement de ces différences. Au sein d’une même entité fiscale (société juridique, établissement ou groupe d’entités redevable de l’impôt auprès de l’a dministration fiscale), les impôts différés actifs et passifs sont présentés de manière compensée, dès lors que celle -ci a le droit de compenser ses actifs et passifs d’impôts exigibles. Les actifs nets d’impôts différés sont reconnus en fonction de leur probabilité de réalisation future. Les entreprises associées et les coentreprises donnent lieu à comptabilisation d’un impôt différé passif de distribution pour les différences entre la valeur comptable et la valeur fiscale des titres. Les crédits d’impôt d ont l’utilisation est conditionnée par la réalisation d’un bénéfice fiscal sont comptabilisés en réduction de la charge d’impôt sur les résultats. Les crédits d’impôt dont la récupération n’est pas subordonnée à la réalisation d’un bénéfice fiscal figurent en réduction de la nature de charge à laquelle ils se rapportent. Pour évaluer les provisions pour positions fiscales incertaines, le Groupe utilise une méthode d’évaluation individuelle basée en général sur le montant le plus probable. Ces provisions son t classées sur des lignes dédiées dans la situation financière consolidée, afin de se conformer à leurs caractéristiques qualitatives. 2-J. Goodwill Les participations ne donnant pas le contrôle ( usuellement dénommées « intérêts minoritaires ») sont évaluées so it à la juste valeur (méthode dite du goodwill complet), soit à leur quote -part dans la juste valeur des actifs acquis et passifs repris (méthode dite du goodwill partiel). À ce jour Renault n’a enregistré que des goodwill évalués selon la méthode dite du goodwill partiel. L’option entre ces deux méthodes d’évaluation est exercée par le Groupe au cas par cas. Les goodwill font l’objet d’un test de dépréciation au minimum une fois par an, et dès qu’il existe un indice de perte de valeur. Après leur comptabi lisation initiale, les goodwill sont donc évalués à leur coût diminué du cumul des pertes de valeur éventuelles. Les goodwill relatifs à des entreprises associées et coentreprises sont inclus dans la valeur de ces participations à l’actif de la situation financière consolidée. En cas de perte de valeur, celle -ci est comptabilisée et intégrée au compte de',
]
embeddings = model.encode(sentences)
print(embeddings.shape)
# [3, 1024]

# Get the similarity scores for the embeddings
similarities = model.similarity(embeddings, embeddings)
print(similarities.shape)
# [3, 3]

Evaluation

Metrics

Information Retrieval

Metric Value
cosine_accuracy@1 0.5856
cosine_accuracy@3 0.8164
cosine_accuracy@5 0.8776
cosine_accuracy@10 0.9454
cosine_precision@1 0.5856
cosine_precision@3 0.2721
cosine_precision@5 0.1755
cosine_precision@10 0.0945
cosine_recall@1 0.5856
cosine_recall@3 0.8164
cosine_recall@5 0.8776
cosine_recall@10 0.9454
cosine_ndcg@10 0.7694
cosine_mrr@10 0.7125
cosine_map@100 0.7158
dot_accuracy@1 0.5856
dot_accuracy@3 0.8164
dot_accuracy@5 0.8776
dot_accuracy@10 0.9454
dot_precision@1 0.5856
dot_precision@3 0.2721
dot_precision@5 0.1755
dot_precision@10 0.0945
dot_recall@1 0.5856
dot_recall@3 0.8164
dot_recall@5 0.8776
dot_recall@10 0.9454
dot_ndcg@10 0.7694
dot_mrr@10 0.7125
dot_map@100 0.7158

Training Details

Training Dataset

Unnamed Dataset

  • Size: 28,864 training samples
  • Columns: sentence_0 and sentence_1
  • Approximate statistics based on the first 1000 samples:
    sentence_0 sentence_1
    type string string
    details
    • min: 14 tokens
    • mean: 27.25 tokens
    • max: 57 tokens
    • min: 34 tokens
    • mean: 428.69 tokens
    • max: 512 tokens
  • Samples:
    sentence_0 sentence_1
    Quel est le coefficient d'occupation pour le court et moyen-courrier en 2023, et quelle est la variation par rapport à 2022 ? KLM Quatrième trimestre Annuel Total activité reseaux passage 2023 2022 variation 2023 2022 variation Passagers transportés (milliers) 7 7 1 1 6 3 3 7 22 % 3 0 3 3 2 2 5 8 3 8 17 % Passager kilomètre transporté (m de PKT) 2 2 9 4 6 2 1 2 3 6 8 % 9 2 6 5 2 8 2 2 8 9 13 % Siège kilomètre offert (m de SKO) 2 6 7 2 2 2 4 9 6 8 7 % 1 0 6 3 3 6 9 8 6 6 0 8 % Coefficient d’occupation (%) 86 % 85 % 1pt 87 % 83 % 4pt Long-courrier Passagers transportés (milliers) 2 3 8 1 2 2 9 4 4 % 9 6 5 9 8 6 2 6 12 % Passager kilomètre transporté (m de PKT) 1 8 4 9 1 1 7 7 9 3 4 % 7 4 8 8 5 6 6 9 3 9 12 % Siège kilomètre offert (m de SKO) 2 1 2 5 4 2 0 5 5 5 3 % 8 4 9 4 0 7 9 3 8 6 7 % Coefficient d’occupation (%) 87 % 87 % –pt 88 % 84 % 4pt Court et Moyen-courrier Passagers transportés (milliers) 5 3 3 0 4 0 4 3 32 % 2 0 6 7 3 1 7 2 1 2 20 % Passager kilomètre transporté (m de PKT) 4 4 5 6 3 4 4 3 29 % 1 7 7 6 6 1 5 3 5 0 16 % Siège kilomètre offert (m de SKO) 5 4 6 8 4 4 1 3 24 % 2 1 3 9 6 1 9 2 7 4 11 % Coefficient d’occupation (%) 81 % 78 % 3pt 83 % 80 % 3pt Activité Cargo Tonne kilomètre transportée (m de TKT) 862 828 4 % 3 2 4 4 3 3 3 0 (3 %) Tonne kilomètre offerte (m de TKO) 1 5 2 6 1 4 5 3 5 % 6 0 8 7 5 7 6 2 6 % Coefficient d’occupation (%) 56 % 57 % –pt 53 % 58 % (4)pt 24
    Quelles obligations peuvent justifier la constitution de provisions pour risques et charges ? 70 Rapport financier 2020 – 2021 de l’APE NOTE 17 PROVISIONS COURANTES ET NON COURANTES Principes comptables Les provisions sont comptabilisées lorsque les trois conditions suivantes sont simultanément remplies : • il existe une obligation actuelle (juridique ou implicite) vis-à-vis d’un tiers résultant d’un événement passé, antérieur à la date de clôture ; • il est probable qu’une sortie de ressources représentative d’avantages économiques sera nécessaire pour éteindre l’obligation ; • le coût de l’obligation peut être estimé de manière fiable. L’évaluation des provisions est faite sur la base des coûts attendus pour éteindre l’obligation. Les estimations sont déterminées à partir de données de gestion issues des systèmes d’information, d’hypothèses, éventuellement complétées par l’expérience de transactions similaires, et, dans certains cas, sur la base de rapports d’experts indépendants ou de devis de prestataires de chaque entité du périmètre de combinaison. Ces différentes hypothèses sont revues, par chaque entité, à l’occasion de chaque arrêté comptable. Les passifs éventuels, correspondant à une obligation qui n’est ni probable ni certaine à la date d’arrêté des comptes, ou à une obligation probable pour laquelle la sortie de ressources ne l’est pas, ne sont pas comptabilisés. Ils font l’objet d’une information en annexe. Les provisions pour démantèlement et reconstitution des sites Elles sont destinées à couvrir la valeur actuelle des coûts de remise en état des sites qui supportent ou ont supporté des ouvrages. Leur montant reflète la meilleure estimation des coûts futurs déterminés, en fonction des exigences réglementaires actuelles ou en cours d’adoption, de l'État des connaissances techniques ainsi que de l’expérience acquise. Elles sont constituées initialement en contrepartie d’un actif corporel qui est amorti sur la durée d’exploitation prévisible du site concerné. Les provisions sont actualisées en prenant en compte la date effective d’engagement des coûts. Le taux d’actualisation reflète les conditions d’un taux sans risque attaché à des obligations de même maturité, majoré de l’effet des risques spécifiques attachés au passif concerné. Dans tous les cas, l’effet des révisions d’estimations (calendrier de démantèlement, estimation des coûts à engager, etc.) conduit à modifier la valeur de l’actif, l’impact dans le montant de l’amortissement étant pris de manière prospective. Enfin, la valeur de l’actif ainsi modifié fait l’objet d’un test de perte de valeur. Les dotations et reprises de provision relèvent du résultat opérationnel. La charge de désactualisation figure en charges financières. Enfin, la valeur de l’actif fait l’objet d’un test de perte de valeur. Autres provisions Des provisions pour risques et charges sont constituées en vue de couvrir les obligations légales, juridiques ou implicites résultant d’événements passés pour lesquelles les entités de la combinaison prévoient qu’une sortie de ressources sera nécessaire. Tous les risques sont régulièrement examinés. Lorsqu’elles sont utilisées, les provisions sont reprises au compte de résultat et viennent en contrepartie des charges correspondantes.
    Quelle est la contribution des activités arrêtées au résultat net total ? 132 - 3 - 99 - 1 234 - 30 - 0 - 356 694 685 - - - 1 372 Résultat des activités arrêtées ou en cours de cession- - - - 180 - 7 - - 5 - 24 - 380 - - 212 Résultat net de l'ensemble combiné- 1 221 132 - 64 - 693 - 2 579 57 - 3 580 96 - 739 627 1 079 4 - 1 - 6 881 Part groupe- 1 221 132 - 64 - 707 - 2 232 57 - 3 164 96 - 739 627 1 072 4 - 1 - 6 138 Part intérêts minoritaires - - 0 - 1 14 - 347 - - 416 - - - 0 7 - - - 742
  • Loss: MultipleNegativesRankingLoss with these parameters:
    {
        "scale": 20.0,
        "similarity_fct": "cos_sim"
    }
    

Training Hyperparameters

Non-Default Hyperparameters

  • eval_strategy: steps
  • per_device_train_batch_size: 32
  • per_device_eval_batch_size: 32
  • gradient_accumulation_steps: 16
  • num_train_epochs: 20
  • bf16: True
  • tf32: True
  • batch_sampler: no_duplicates
  • multi_dataset_batch_sampler: round_robin

All Hyperparameters

Click to expand
  • overwrite_output_dir: False
  • do_predict: False
  • eval_strategy: steps
  • prediction_loss_only: True
  • per_device_train_batch_size: 32
  • per_device_eval_batch_size: 32
  • per_gpu_train_batch_size: None
  • per_gpu_eval_batch_size: None
  • gradient_accumulation_steps: 16
  • eval_accumulation_steps: None
  • learning_rate: 5e-05
  • weight_decay: 0.0
  • adam_beta1: 0.9
  • adam_beta2: 0.999
  • adam_epsilon: 1e-08
  • max_grad_norm: 1
  • num_train_epochs: 20
  • max_steps: -1
  • lr_scheduler_type: linear
  • lr_scheduler_kwargs: {}
  • warmup_ratio: 0.0
  • warmup_steps: 0
  • log_level: passive
  • log_level_replica: warning
  • log_on_each_node: True
  • logging_nan_inf_filter: True
  • save_safetensors: True
  • save_on_each_node: False
  • save_only_model: False
  • restore_callback_states_from_checkpoint: False
  • no_cuda: False
  • use_cpu: False
  • use_mps_device: False
  • seed: 42
  • data_seed: None
  • jit_mode_eval: False
  • use_ipex: False
  • bf16: True
  • fp16: False
  • fp16_opt_level: O1
  • half_precision_backend: auto
  • bf16_full_eval: False
  • fp16_full_eval: False
  • tf32: True
  • local_rank: 0
  • ddp_backend: None
  • tpu_num_cores: None
  • tpu_metrics_debug: False
  • debug: []
  • dataloader_drop_last: False
  • dataloader_num_workers: 0
  • dataloader_prefetch_factor: None
  • past_index: -1
  • disable_tqdm: False
  • remove_unused_columns: True
  • label_names: None
  • load_best_model_at_end: False
  • ignore_data_skip: False
  • fsdp: []
  • fsdp_min_num_params: 0
  • fsdp_config: {'min_num_params': 0, 'xla': False, 'xla_fsdp_v2': False, 'xla_fsdp_grad_ckpt': False}
  • fsdp_transformer_layer_cls_to_wrap: None
  • accelerator_config: {'split_batches': False, 'dispatch_batches': None, 'even_batches': True, 'use_seedable_sampler': True, 'non_blocking': False, 'gradient_accumulation_kwargs': None}
  • deepspeed: None
  • label_smoothing_factor: 0.0
  • optim: adamw_torch
  • optim_args: None
  • adafactor: False
  • group_by_length: False
  • length_column_name: length
  • ddp_find_unused_parameters: None
  • ddp_bucket_cap_mb: None
  • ddp_broadcast_buffers: False
  • dataloader_pin_memory: True
  • dataloader_persistent_workers: False
  • skip_memory_metrics: True
  • use_legacy_prediction_loop: False
  • push_to_hub: False
  • resume_from_checkpoint: None
  • hub_model_id: None
  • hub_strategy: every_save
  • hub_private_repo: False
  • hub_always_push: False
  • gradient_checkpointing: False
  • gradient_checkpointing_kwargs: None
  • include_inputs_for_metrics: False
  • eval_do_concat_batches: True
  • fp16_backend: auto
  • push_to_hub_model_id: None
  • push_to_hub_organization: None
  • mp_parameters:
  • auto_find_batch_size: False
  • full_determinism: False
  • torchdynamo: None
  • ray_scope: last
  • ddp_timeout: 1800
  • torch_compile: False
  • torch_compile_backend: None
  • torch_compile_mode: None
  • dispatch_batches: None
  • split_batches: None
  • include_tokens_per_second: False
  • include_num_input_tokens_seen: False
  • neftune_noise_alpha: None
  • optim_target_modules: None
  • batch_eval_metrics: False
  • eval_on_start: False
  • batch_sampler: no_duplicates
  • multi_dataset_batch_sampler: round_robin

Training Logs

Epoch Step cosine_map@100
0.1774 10 0.5951
0.3548 20 0.6117
0.5322 30 0.6312
0.7095 40 0.6493
0.8869 50 0.6639
0.9933 56 0.6686
1.0643 60 0.6739
1.2417 70 0.6840
1.4191 80 0.6881
1.5965 90 0.6900
1.7738 100 0.6910
1.9512 110 0.6960
1.9867 112 0.6985
2.1286 120 0.7020
2.3060 130 0.7056
2.4834 140 0.6988
2.6608 150 0.7051
2.8381 160 0.6994
2.9978 169 0.6999
3.0155 170 0.7004
3.1929 180 0.7058
3.3703 190 0.7030
3.5477 200 0.7042
3.7251 210 0.6989
3.9024 220 0.6970
3.9911 225 0.6960
4.0798 230 0.6968
4.2572 240 0.7067
4.4346 250 0.7158

Framework Versions

  • Python: 3.10.13
  • Sentence Transformers: 3.0.1
  • Transformers: 4.42.3
  • PyTorch: 2.5.0.dev20240704+cu124
  • Accelerate: 0.32.1
  • Datasets: 2.20.0
  • Tokenizers: 0.19.1

Citation

BibTeX

Sentence Transformers

@inproceedings{reimers-2019-sentence-bert,
    title = "Sentence-BERT: Sentence Embeddings using Siamese BERT-Networks",
    author = "Reimers, Nils and Gurevych, Iryna",
    booktitle = "Proceedings of the 2019 Conference on Empirical Methods in Natural Language Processing",
    month = "11",
    year = "2019",
    publisher = "Association for Computational Linguistics",
    url = "https://arxiv.org/abs/1908.10084",
}

MultipleNegativesRankingLoss

@misc{henderson2017efficient,
    title={Efficient Natural Language Response Suggestion for Smart Reply}, 
    author={Matthew Henderson and Rami Al-Rfou and Brian Strope and Yun-hsuan Sung and Laszlo Lukacs and Ruiqi Guo and Sanjiv Kumar and Balint Miklos and Ray Kurzweil},
    year={2017},
    eprint={1705.00652},
    archivePrefix={arXiv},
    primaryClass={cs.CL}
}