metadata
base_model: OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1
datasets: []
language: []
library_name: sentence-transformers
metrics:
- cosine_accuracy@1
- cosine_accuracy@3
- cosine_accuracy@5
- cosine_accuracy@10
- cosine_precision@1
- cosine_precision@3
- cosine_precision@5
- cosine_precision@10
- cosine_recall@1
- cosine_recall@3
- cosine_recall@5
- cosine_recall@10
- cosine_ndcg@10
- cosine_mrr@10
- cosine_map@100
- dot_accuracy@1
- dot_accuracy@3
- dot_accuracy@5
- dot_accuracy@10
- dot_precision@1
- dot_precision@3
- dot_precision@5
- dot_precision@10
- dot_recall@1
- dot_recall@3
- dot_recall@5
- dot_recall@10
- dot_ndcg@10
- dot_mrr@10
- dot_map@100
pipeline_tag: sentence-similarity
tags:
- sentence-transformers
- sentence-similarity
- feature-extraction
- generated_from_trainer
- dataset_size:28864
- loss:MultipleNegativesRankingLoss
widget:
- source_sentence: >-
Dans le cadre d'une VEFA, quand les sommes perçues à titre de garantie
locative sont-elles comptabilisées en produit ?
sentences:
- >-
FAITS SIGNIFICATIFS DE LA PÉRIODE 11 1. MOUVEMENTS DE PÉRIMÈTRE EN 2020
Mouvements de périmètre réalisés par l'État Constitution d’un pôle
financier public Le 30 août 2018, l'État et la Caisse des Dépôts ont
annoncé leur volonté de créer un grand pôle financier public visant à
renforcer la cohésion des territoires et à lutter contre la fracture
territoriale en métropole et dans les outremers à travers La Poste et la
Caisse des Dépôts, opérateurs de proximité au service des citoyens. La
mise en œuvre de ce projet a été finalisée par échanges et transferts de
titres : • Le 4 mars 2020 : apport par l'État et la Caisse des Dépôts à
La Poste, puis par celle-ci à La Banque Postale, de leurs participations
respectives de 1,1% et de 40,9% au capital de CNP Assurances. Au terme
de cette opération, le groupe La Poste détient 62,13% du capital de CNP
Assurances et est consolidé par intégration globale par la Caisse des
Dépôts. L’État détient quant à lui 34% du nouveau groupe La Poste. La
réalisation de cette opération a généré les impacts suivants sur les
comptes du groupe La Poste : –une augmentation de capitaux propres
consolidés de 4 027 M€ correspondant à l’apport de 288.262.094 actions
CNP Assurances valorisées au cours de bourse du 4 mars 2020 (13,97
euros) ; –le reclassement en résultat net des réserves de conversion en
gain latents de CNP Assurances pour la quote-part du groupe, avant
l’opération, générant un produit de 594 M€, classé sur la ligne «
quote-part de résultat des autres sociétés mises en équivalence » du
compte de résultat ; –la dépréciation de la valeur des titres
précédemment mis en équivalence au regard du cours de bourse de l’action
CNP Assurances au jour de l’opération soit 1 571 M€, montant
représentant la différence entre la valeur des titres mis en équivalence
(3 054 M€) et la valeur de bourse (1 933 M€) ; –la constatation d’un
badwill pour un montant de 4 578 M€ correspondant à la différence entre,
d’une part la quote-part du groupe dans l’actif net de CNP Assurances
valorisé à la juste valeur (déterminé dans la cadre de l’allocation du
prix d’acquisition), soit 10 538 M€, et d’autre part la totalité des
titres valorisés au cours de bourse du jour de l’opération soit 5 960 M€
; • Le 30 septembre 2020 : rachat par la Caisse des Dépôts de la
totalité de la participation détenue par La Banque Postale au capital de
SFIL (soit 5%) et par l'État (soit 75%), à l’exception d’une action
ordinaire conservée par l'État. La Caisse des Dépôts est ainsi devenu
l’actionnaire de référence de SFIL. Les comptes des groupes La Poste et
SFIL ont été enregistrés en intégration globale, en « actifs détenus en
vue de la vente », dans les comptes combinés jusqu’au 4 mars 2020 et 30
septembre 2020 respectivement. Les comptes du groupe La Poste sont
enregistrés en mise en équivalence à compter du 4 mars 2020. Réforme du
ferroviaire - Création d’un groupe SNCF intégré Après deux années
consacrées à sa préparation en 2018 et 2019, la réforme ferroviaire a
été mise en œuvre en 2020.
- >-
Conformément aux dispositions de la norme IFRS 1, Vivendi a choisi de
constater au 1 er janvier 2004 les écarts actuariels non encore
comptabilisés en contrepartie des capitaux propres consolidés. 1.3.10
Impôts différés Les différences existant à la date de clôture entre la
valeur fiscale des actifs et passifs et leur valeur comptable au bilan c
onstituent des différences temporelles. En application de la méthode
bilantielle du report variable, ces différences temporelles donnent lieu
à la comptabilisation : d’actifs d’impôt différé, lorsque la valeur
fiscale est supérieure à la valeur comptable (situation correspondant à
une économi e future d’impôt attendue) ; ou de passifs d’impôt
différé, lorsque la valeur fiscale est inférieure à la valeur comptable
(situation correspondant à une ta xation future attendue). Les actifs et
passifs d’impôt différé sont déterminés sur la base des taux d’impôt
dont l’application est attendue sur l’exerci ce au cours duquel l’actif
sera réalisé ou le passif réglé, et sur la base des taux d’impôt (et
réglementations fiscales) qui ont été adopt és ou quasi adoptés à la
date de clôture. Ces estimations sont revues à la clôture de chaque
exercice, en fonction de l’évolution éventuell e des taux d’impôt
applicables. Des actifs d’impôt différé sont comptabilisés pour toutes
différences temporelles déductibles, reports en avant de pertes fisca
les et crédits d’impôt non utilisés, dans la mesure où il est probable
qu’un bénéfice imposable sera disponible ou lorsqu’il existe un passif
d’impôt exigible sur lequel ces différences temporelles déductibles,
reports en avant de pertes fiscales et crédits d’impôt non utilisés
pourron t être imputés, sauf quand l’actif d’impôt différé lié à la
différence temporelle déductible est généré par la comptabilisation
initiale d’un a ctif ou d’un passif dans une opération qui n’est pas un
regroupement d’entreprises et qu i, à la date de l’opération, n’affecte
ni le bénéfice compt able, ni le bénéfice imposable ou la perte fiscale.
Pour les différences temporelles déductibles liées à des participations
dans les filiales, coentreprises et entreprises associé es, des actifs
d’impôt différé sont comptabilisés dans la mesure où il est pr obable
que la différence temporelle s’inversera dans un avenir pr évisible et
qu’il existera un bénéfice imposable sur lequel pourra s’imputer la
différence temporelle.
- >-
Capitaux propres « En complément des éléments, prévus dans le plan
comptable général, et si les statuts de la SCPI le prévoient, les
éléments suivants peuvent être imputés sur la prime d’émission : - les
frais d’établissement - les commissions de souscription, - les frais
d’acquisition des immeubles tels que les droits d’enregistre - ment, la
TVA non récupérable pour les immeubles commerciaux et professionnels et
les frais de notaire. » ii – rEglES DE COMPtABiliSAtiOn DES PrODUitS Et
CHArgES Produits de l’activité immobilière : - les loyers sont
enregistrés en produits sur la base des loyers courus et des termes du
bail. - Dans le cas des ventes en l’état futur d’achèvement (VEFA), les
sommes perçues à titre de garantie locative sont comptabilisées en
produit dans la ScPi, lorsqu’un tel mécanisme est prévu dans le contrat
liant la ScPi et le promoteur immobilier sur la période de garantie.
corrélativement, le coût de la garantie payée par la ScPi, corres -
pondant à une prime d’assurance est comptabilisé en charges sur la
période de garantie : - soit pour son montant, s’il a pu être valorisé
de manière explicite lors de l’acquisition et si le montant des loyers
garantis correspond à la valeur locative de marché du bien immobilier ;
- soit, dans tous les autres cas, pour le même montant que les loyers
garantis. Les pré-loyers reçus par la SCPI en rémunération du
financement d’un bien immobilier acquis en état futur d’achèvement
pendant la période de construction sont inscrits en autres produits
financiers. - les produits de l’activité immobilière incluent également
les charges incombant normalement au propriétaire, mises
contractuellement à la charge des locataires dont la refacturation aux
locataires constitue un produit immobilier à porter au compte 7021 «
charges immobilières facturées ». - les produits de l’activité
immobilière incluent également les charges locatives refacturées et sont
comptabilisées au compte 7025 « charges locatives refacturées ». - les
produits de l’activité immobilière incluent également les pro - duits
des participations contrôlées par la ScPi et comptabilisées en
placements immobiliers.La SCPI Allianz Home FranceSCPI.com
- source_sentence: >-
Quel outil est utilisé pour enregistrer les anomalies significatives dans
la gestion des risques opérationnels ?
sentences:
- >-
des conclusions des rapports établis par le contrôle périodique ou par
des tiers (dont les régulateurs) ; des incidents internes ou externes.
Les cartographies de risques opérationnels sont présentées formellement,
de manière annuelle, au Directeur des risques « Chief Risk Officer »
afin de s’assurer de leur pertinence par rapport aux autres risques
auxquels la banque fait face. Sur la base des cartographies réalisées
par les métiers, les fonctions et Digital Business Services, les
fonctions Assurance élaborent un plan de revues de second niveau des
activités des différentes entités. Ce plan présente les activités de
contrôle indépendant de 2nd niveau qui seront conduites au cours de
l'année suivante. Le programme doit faire l'objet de révisions et de
mises à jour continues, au fur et à mesure des changements de situation
et ce, afin de garantir la pérennité de sa pertinence. Les anomalies
significatives relevées dans les revues des équipes Assurance doivent
être présentées au Risk Owner de l’entité concernée et sont enregistrées
dans l’outil de gestion des risques opérationnels, Helios. Le dispositif
de contrôle de premier niveau ainsi identifié fait l’objet d’une
cotation en fonction d’une échelle de trois notes : - opérant (“
effective “) : conçu de manière efficace et fonctionne comme prévu, - à
améliorer (“ needs improvement “) : la conception ou le fonctionnement
du dispositif de contrôle présente des failles, il n’atténue que
partiellement le risque, - inopérant (“ ineffective “) : la conception
ou le fonctionnement du dispositif de contrôle présente des failles
significatives, aucune mesure n'est prévue ou ne permettra de les
résoudre, ou le contrôle est manquant. Les dispositifs de contrôles
cotés « à améliorer » ou « inopérants », donnent lieu à la définition
d’un plan d’actions correctrices destiné à rendre le contrôle « opérant
». L’élaboration et l’actualisation des cartographies de risques sont de
la responsabilité première des opérationnels, propriétaires des risques,
Risk Owners , à qui il revient d’identifier et d’évaluer les risques
ainsi que les contrôles de premier niveau à effectuer. Ce travail est
réalisé au fil de l’eau avec l’aide des Control Owners en fonction
notamment : - des résultats des contrôles opérés par les opérationnels,
- les résultats des missions de contrôle permanent réalisées par les
équipes Assurance, - des recommandations des Risk Stewards , - des
conclusions des rapports établis par le contrôle périodique ou par des
tiers (dont les régulateurs), - des incidents internes ou externes. La
fonction Operational & Resilience Risk organise des « RCA challenge
session » annuelles ou des ateliers de revue des risques les plus
élevés, en présence des Risk Stewards, des « Chief Control Officers »,
(CCO), des responsables des métiers ou fonctions et du Chief Risk
Officer , afin de présenter les risques significatifs de chaque entité.
Sur base des cartographies réalisées par les métiers, les fonctions et
DBS, les équipes Assurance élaborent un plan de revues de second niveau
des activités des différentes entités. Ce plan présente les activités de
contrôle indépendant de 2nd niveau qui seront conduites au cours de
l'année suivante. Le programme doit faire l'objet de révisions et de
mises à jour continues, au fur et à mesure des changements de situation
et ce, afin de garantir la pérennité de sa pertinence. Ce plan est
élaboré selon une approche par les risques afin d’assurer une couverture
régulière et adéquate des risques sur un cycle pouvant aller jusqu’à 3
ans maximum. L’enregistrement des résultats de ce plan de contrôle doit
se faire au fur et à mesure de son exécution. Les équipes Assurance
effectuent un suivi permanent de la progression par rapport au
programme, et doivent signaler tout retard.
- >-
(La version française de ce communiqué de presse vous est communiquée
uniquement à titre d’information. Seule la version anglaise est
officielle) Airbus publie ses résultats pour 2023 ● 735 avions
commerciaux livrés ● Chiffre d’affaires de 65,4 milliards d’euros ; EBIT
ajusté à 5,8 milliards d’euros ● EBIT (reporté) à 4,6 milliards d’euros
; BPA (reporté) de 4,80 euros ● Flux de trésorerie disponible avant
fusions et acquisitions et financements-clients de 4,4 milliards d’euros
; trésorerie nette à 10,7 milliards d’euros ● Les prévisions 2023 ont
été atteintes ● Proposition de dividende : 1,80 euro par action ;
dividende exceptionnel de 1,00 euro par action ● Publication des
prévisions 2024 Amsterdam, 15 février 2024 – Airbus SE (symbole boursier
: AIR) a publié ses résultats consolidés pour 2023 et ses prévisions
pour l’exercice 2024. « En 2023, toutes nos activités ont enregistré
d’importantes prises de commandes et nous avons tenu nos engagements. Il
s’agit d’un résultat remarquable compte tenu de la complexité du
contexte opérationnel », a déclaré Guillaume Faury, président exécutif
d’Airbus. « Nous continuerons à investir dans notre dispositif
industriel mondial tout en poursuivant notre transformation et notre
décarbonation. Notre proposition de dividendes reflète les bons
résultats financiers de 2023, nos perspectives de croissance pour 2024
et la solidité de notre bilan. » Airbus a enregistré 2 319 commandes
brutes d’avions commerciaux (2022 : 1 078 avions) et 2 094 commandes
nettes après annulations (2022 : 820 avions). Le carnet de commandes
atteignait 8 598 avions commerciaux à fin décembre 2023. Airbus
Helicopters a enregistré 393 commandes nettes (2022 : 362 unités), qui
profitent à tous les programmes, avec un ratio commandes
nettes/livraisons supérieur à 1 en valeur et en volume. Les prises de
commandes d’Airbus Defence and Space ont augmenté de 15 % à 15,7
milliards d’euros (2022 : 13,7 milliards d’euros), ce qui représente un
ratio commandes nettes/livraisons d’environ 1,4 en valeur. Les commandes
enregistrées au quatrième trimestre comprenaient 16 C295 destinés à
l’Espagne.
- >-
Les informations relatives à ces accords ont été publiées dans les
conditions prévues à l’article L. 22-10-30 du Code de commer ce. En
application des dispositions de l’article L. 225-88 du Code de commerce,
ces conventions ont été approuvées par l’Assemblée générale des
actionnaires de Vivendi SE le 25 avril 2022. 23.3 Convention réglementée
entre Vi vendi SE et Lagardère SA Au 31 décembre 2022, Vivendi SE
détient 57,66 % du capital de Lagardère SA (se reporter aux notes 2.1 et
14). La demande d’autorisation de la prise de contrôle de Lagardère SA
auprès de la Commission européenne a été déposée par Vivendi SE le 24
octobre 2022. L’agrément de l’ARCOM11 sur le changement d’actionnariat
indirect des filiales de Lagardère éditrices de services de
radiodiffusion a été par ailleurs sollicité par ces dernières à la suite
du résultat de l’offre publique d’achat visant toutes les actions
Lagardère SA que Vivendi SE ne détient pas, dont le dépôt auprès de
l’Autorité des marchés financiers a été réalisé le 21 févri er 2022.
Afin de préparer les notifications réglementaires requises, Viv endi SE
et Lagardère SA sont convenues d’échanger certaines info rmations, aux
termes d’un accord dit de clean team , de confidentialité et de
coopération réciproque conclu le 20 décembre 2021. Un tiers indépendant
a été mandaté par Lagardère SA et Vivendi SE, aux coûts exclusifs de
cette dernière, pour assurer la mise en place et la gestion de la clean
team de chaque partie qui peut recevoir les informations confidentielles
de l’autre partie strictement nécessaires à la préparation des
notifications réglementaires requises. Les échanges d’informations sont
assurés par ce tiers indépendant sous l e contrôle des conseils
juridiques externes des parties. M. Arnaud de Puyfontaine étant
Président du Directoire de Vivendi SE et administrateur de Lagardère SA,
le Conseil de surveilla nce de Vivendi SE, dans ses séances du 15
septembre et du 18 novembre 2021, a autorisé, après examen, la signature
de cet accord de clean team , de confidentialité et de coopération,
conformément aux dispositions de l’article L. 225-86 du Code de
commerce. Cet accord permet aux parties de préparer les demandes
d’autorisation susvisées, tout en limitant leurs échanges aux informatio
ns strictement nécessaires, en conformité avec la règlementation
applicable et les garanties appropriées. Les informations relatives à
cet accord ont été publiées dans les conditions prévues à l’article L.
22-10-30 du Code de commerc e. En application des dispositions de
l’article L.225-88 du Code de co mmerce, cette convention a été
approuvée par l’Assemblée gén érale des actionnaires de Vivendi SE le 25
avril 2022. Le coût total de cet accord s’est élevé à 147 444 euros
bruts en 2022 et sera soumis à l’approbation de l’Assemblée générale de
s actionnaires de Vivendi SE qui se tiendra en 2023. 10 Le mandat de
membre du Directoire de Viv endi SE de MM. Gilles Alix et Cédric de
Bailliencourt est arrivé à échéance le 23 juin 2022. 11 L’ARCOM,
Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,
su ccède au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) et à la Haute
autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur
internet (HADOPI) à compter du 1er janvier 2022.
- source_sentence: >-
Quel montant a été payé par les fonds de couverture pour les prestations
de retraite en 2022 ?
sentences:
- >-
mercredi 8 mars 2023 Rapport financier et États financiers consolidés
audités de l'exercice clos le 31 décembre 2022 Vivendi / 97 19.2.2
Analyse de la charge comptabilisée et montant des prestations payées
Prestations de retraite Prestations complémentaires Total (en millions
d'euros) 2022 2021 2022 2021 2022 2021 Coût des services rendus 23 27 -
- 23 27 Coût des services passés (a) (8) (25) - - (8) (25)
(Gains)/pertes sur liquidation - - - - - - Autres 1 1 - - 1 1 Incidence
sur les charges administratives et commerciales 16 3 - - 16 3 Effet de
désactualisation des passifs actuariels 13 11 2 2 15 13 Rendement
attendu des actifs de couverture (9) (6) - - (9) (6) Incidence sur les
autres charges et produits financiers 4 5 2 2 6 7 Charge de la période
comptabilisée en résultat 20 8 2 2 22 10 a. En 2021, le coût des
services passés était un produit net d’exploitation de 25 millions
d’euros, qui comprenait : - une charge d’exploitation de 11 millions
d’euros, qui correspondait à la prise en compte sur la période d’emploi
restante des bénéficiaires du coût résiduel des régimes de retraite
additif et différentiel à prestations définies de Vivendi SE, dont l’acq
uisition des droits est désormais fermée en conséquence de la loi PACTE
; - un produit d’exploitation de 35 millions d’euros, qui comprenait
notamment l’incidence (19 millions d’euros) des pertes de droi ts
consécutive aux départs de bénéficiaires intervenus en 2021, notamment
dans le cadre de la cession d’UMG, et l’incidence au tit re des
exercices 2020 et 2021 (9 millions d’euros) du plafonnement des droits
cumulés au titre des nouveaux régimes de retraite additif et
différentiel à prestations définies de Vivendi SE, mis en place dans le
cadre de la loi PACTE. En 2022, le montant des prestations payées
s’élevait à 62 millions d’euros au titre des retraites (31 millions
d’euros en 2021) et à 8 millions d’euros au titre des prestations
complémentaires (9 millions d’ euros en 2021). Dans ce montant, 44
millions d’euros sont payés par les fonds de couverture (12 millions
d’euros en 2021), dont 31 millions d’euros au titre des régimes de
retraite additifs et différentiel à prestations définies de Vivendi SE
(5 millions d’euros en 2021).
- >-
Le projet de cession des bâtiments du site du Technocentre à Guyancourt
dont le classement en Actifs destinés à être cédés avait été opéré dans
les états financiers au 30 juin 2022 pour une valeur nette comptable de
322 mil lions d’euros a été suspendu suite à l ’évolution défavorable
des conditions de marché. Ces actifs ont donc été reclassés en
Immobilisations Corporelles et un rattrapage d’amortissements a été
comptabilisé au 31 décembre 2023 pour un total de (46) millions d’euros.
Le reclassement de ces actifs destinés à être cédés et passifs liés
apparaît en autres variations dans les annexes concernées. (en millions
d’euros) 31 décembre 2023 Dont Horse 31 décembre 2022 Dont Horse
Immobilisations incorporelles et goodwill 962 962 795 795
Immobilisations corporelles 2 295 2 290 2 537 2 166 Stocks 366 366 418
338 Trésorerie et équivalents de trésorerie 91 91 23 8 Autres 308 198 88
71 Total actifs destinés à être cédés 4 022 3 907 3 861 3 378 Total des
passifs liés aux actifs destinés à être cédés (1 075) (1 075) (873)
(841) Dont passifs financiers (37) (37) (129) (102)
- >-
Déchets HA-MAVL Les déchets HA-MAVL proviennent essentiellement du
traitement des combustibles usés et dans une moindre mesure des déchets
issus du démantèlement des centrales nucléaires (composants métalliques
ayant séjourné dans le réacteur).La loi du 28 juin 2006 prévoit pour ces
déchets un stockage réversible en couche géologique profonde. La
provision constituée pour les déchets HA-MAVL représente la part la plus
importante des provisions pour gestion à long terme des déchets
radioactifs. Jusqu’en juin 2015, le montant brut et l’échéancier des
dépenses prévisionnelles étaient basés sur un scénario industriel de
stockage géologique établi à partir des conclusions rendues au premier
semestre 2005 par un groupe de travail constitué sous l’égide de l'État
et réunissant les administrations concernées, l’ANDRA et les producteurs
de déchets (EDF, Orano, CEA). EDF avait effectué une déclinaison
raisonnable des éléments issus de ce groupe de travail et a abouti à un
coût de référence du stockage des déchets de l’ensemble des producteurs
à 14,1 Md€ aux conditions économiques de 2003 (20,8 Md€ aux conditions
économiques de 2011). En 2012, l’ANDRA a réalisé les études d’esquisse
sur le projet de stockage géologique (Cigéo). Sur cette base, l’ANDRA a
établi un dossier de chiffrage, qui a fait l’objet, conformément à la
loi du 28 juin 2006, d’un processus de consultation, initié fin décembre
2014 par la Direction Générale de l’Énergie et du Climat (DGEC) auprès
des producteurs de déchets. Dans ce cadre, EDF et les autres producteurs
ont transmis en avril 2015 à la DGEC leurs observations ainsi qu’une
évaluation conjointe du coût objectif du stockage Cigéo du fait de
divergences d’approches. Le dossier intégrant ces éléments ainsi que
l’avis de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) a été soumis à la
ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Énergie.
L’arrêté du 15 janvier 2016 pris par le Ministère de l’Ecologie, du
Développement durable et de l’Énergie fixe le coût objectif au projet de
stockage Cigéo à 25 Md€ aux conditions économiques du 31 décembre 2011.
Le coût arrêté constitue un objectif à atteindre par l’ANDRA, dans le
respect des normes de sûreté fixées par l’ASN, et en s’appuyant sur une
coopération étroite avec les exploitants d’installations nucléaires. En
application de cet arrêté, il a été prévu que le coût du projet Cigéo
serait régulièrement mis à jour et a minima aux étapes clés du
développement du projet (autorisation de création, mise en service, fin
de la « phase industrielle pilote », réexamens de sûreté), conformément
à l’avis de l’Autorité de Sûreté Nucléaire. En avril 2016, l’ANDRA a
transmis à l’ASN un dossier d’options de sûreté (DOS). La loi du 11
juillet 2016 a par ailleurs précisé la notion de réversibilité. Le 11
janvier 2018, l’ASN a rendu son avis sur le DOS estimant que le projet
Cigéo a atteint globalement une maturité technologique satisfaisante à
ce stade. À noter que dans cet avis, l’ASN demande que pour les déchets
bitumineux, des filières alternatives à leur stockage en l'État à Cigéo
soient étudiées.
- source_sentence: >-
Quel produit d'impôt a été inclus dans la charge d'impôt différé pour la
France en 2022 ?
sentences:
- >-
100 Rapport financier 2020 – 2021 de l’APE Les dérivés de transaction
sont principalement constitués des dérivés de transaction de matières
premières souscrits par EDF Trading et se décomposent comme suit :
31.12.2019 31.12.2020 Unités de mesureNotionnels netsJuste
valeurNotionnels netsJuste valeur Électricité Térawattheures - 17 824 -
174 - 380 GazMillions de therms- 7 826 76 - 6 803 310 Produits
pétroliers Milliers de barils 14 290 8 24 301 58 Charbon et fretMillions
de tonnes2 - 12 1 - 7 CO2Milliers de tonnes- 41 604 - 128 3 355 - 55
Autres matières premières - - 75 - 8 Instruments dérivés de transaction
liés aux matières premières- 35 155 693 20 680 - 66
- >-
Page 5 / 32 Chiffres clés Les informations financières présentées dans
ce document sont élaborées à partir des comptes consolidés au 31
décembre 2023. Les résultats exceptionnels du Groupe s’expliquent par
une très bonne performance opérationnelle avec une hausse importante de
41 ,4 TWh de la production nucléaire en France dans un contexte de prix
historiquement élevés. Cela fait suite à une année 2022 marquée par une
baisse brutale de la production nucléaire en France relatif au phénomène
de la corrosion sous contrainte et les mesures régulatoires
exceptionnelles en vue de limiter la hausse des prix pour les
consommateurs. Ces résultats permettent une réduction de la dette
financière nette. (en millions d’euros) 2023 2022 Variation en valeur
Variation en % Variation organique en % Chiffre d’affaires 139 715 143
476 (3 761) -2,6 -2,1 EBE 39 927 (4 986) 44 913 n.a n.a Résultat
d’exploitation 13 174 (19 363) 32 537 n.a n.a Résultat avant impôts des
sociétés intégrées 9 825 (22 916) 32 741 n.a n.a Résultat net part du
Groupe 10 016 (17 940) 27 956 n.a n.a Résultat net courant (1) 18 481
(12 662) 31 143 n.a n.a Résultat net courant ajusté de la rémunération
des hybrides 17 851 (13 268) 31 119 n.a n.a Cash -flow Groupe (2) 9 288
(24 603) 33 891 n.a n.a Endettement financier net (3) 54 381 64 500 (10
119) -15,7 n.a n.a : non applicable (1) Le résultat net courant n’est
pas défini par les normes IFRS et n’apparaît pas en lecture directe dans
le compte de résultat consolidé du Groupe. Il correspond au résultat net
hors éléments non récurrents, hors variations nettes de juste valeur sur
instruments dérivés énergie et matières premières hors activités de
trading et hors variations nettes de juste valeur de titres de dettes et
de capitaux propres nets d’impôts (voir section « Résultat net courant
»). (2) Le cash- flow Groupe ne constitue pas un agrégat défini par les
normes I FRS comme élément de mesure de la performance financière et ne
peut pas être compar é aux indicateurs ainsi dénommés par d’autres
entreprises. Il est égal au cash- flow généré par les opérations après
cessions d’actifs, impôt sur le résultat payé, frais financiers nets
décaissés, dotations nettes sur actifs dédiés, dividendes versés en
numéraire (voir section 4) (3) L’endettement financier net n’est pas
défini par les normes comptables et n’apparaît pas en lecture directe
dans le bilan consolidé du Groupe (v oir section 4).
- >-
Sur le plan fiscal, cette distribution est traitée comme une cession de
titres. L’impôt afférent à la distribution de 59,87 % du capital d’UMG
s’est élevé à 775 millions d’euros, enregistr é dans le compte de
résultat sur la ligne « Résultat net des activités cédées » conformément
à la norme IFRS 5. Enfin, la différence entre la valeur fiscale de la
participation résiduelle de 10,03 % dans le capital d’UMG et sa valeur
de mi se en équivalence dans les comptes consolidés a conduit à
comptabiliser un passif d’impôt différé de 119 millions d’euros,
conforméme nt à la norme IAS 12, par la contrepartie du « Résultat net
des activités cédées ». Sur l’exercice 2021, l’impôt afférent aux
opérations relatives à UMG s’est élevé à un montant total de 1 063
millions d’euros, essentiellement au titre des plus-values réalisées par
Vivend i, dont 895 millions d’euros enregistrés dans le « Résultat net
de s activités cédées », 8 millions enregistrés dans le « Résultat des
activités poursuivies » et 160 millions d’euros enregistrés en diminuti
on des capitaux propres attribuables aux actionnaires de Vivendi. 7.3
Impôt sur les résultats et impôt payé par zone géographique Impôt sur
les résultats Exercices clos le 31 décembre (en millions d'euros) 2022
2021 (Charge)/produit d'impôt Courant France (31) (5) Reste de l'Europe
(32) (33) Afrique (41) (28) États-Unis (31) (30) Reste du monde (26)
(21) (161) (117) Différé France (a) 31 (108) Reste de l'Europe 14 2
Afrique (2) 1 États-Unis 12 14 Reste du monde 7 2 62 (89) Impôt sur les
résultats (99) (206) a. Inclus un produit de 41 millions d’euros en
2022, contre une charge de 94 millions d’euros en 2021 correspondant à
la variation de l’actif d’impôt différé afférent à l’économie d’impôt
liée au régime de l’intégration fiscale de Vivendi en France.
- source_sentence: >-
Pourquoi le montant total distribué en dividende peut-il varier d'une
année à l'autre ?
sentences:
- >-
Les impôts différés sont calculés en appliquant le dernier taux d’impôt
voté à la date de clôture et applicable à la période de renversement de
ces différences. Au sein d’une même entité fiscale (société juridique,
établissement ou groupe d’entités redevable de l’impôt auprès de l’a
dministration fiscale), les impôts différés actifs et passifs sont
présentés de manière compensée, dès lors que celle -ci a le droit de
compenser ses actifs et passifs d’impôts exigibles. Les actifs nets
d’impôts différés sont reconnus en fonction de leur probabilité de
réalisation future. Les entreprises associées et les coentreprises
donnent lieu à comptabilisation d’un impôt différé passif de
distribution pour les différences entre la valeur comptable et la valeur
fiscale des titres. Les crédits d’impôt d ont l’utilisation est
conditionnée par la réalisation d’un bénéfice fiscal sont comptabilisés
en réduction de la charge d’impôt sur les résultats. Les crédits d’impôt
dont la récupération n’est pas subordonnée à la réalisation d’un
bénéfice fiscal figurent en réduction de la nature de charge à laquelle
ils se rapportent. Pour évaluer les provisions pour positions fiscales
incertaines, le Groupe utilise une méthode d’évaluation individuelle
basée en général sur le montant le plus probable. Ces provisions son t
classées sur des lignes dédiées dans la situation financière consolidée,
afin de se conformer à leurs caractéristiques qualitatives. 2-J.
Goodwill Les participations ne donnant pas le contrôle ( usuellement
dénommées « intérêts minoritaires ») sont évaluées so it à la juste
valeur (méthode dite du goodwill complet), soit à leur quote -part dans
la juste valeur des actifs acquis et passifs repris (méthode dite du
goodwill partiel). À ce jour Renault n’a enregistré que des goodwill
évalués selon la méthode dite du goodwill partiel. L’option entre ces
deux méthodes d’évaluation est exercée par le Groupe au cas par cas. Les
goodwill font l’objet d’un test de dépréciation au minimum une fois par
an, et dès qu’il existe un indice de perte de valeur. Après leur
comptabi lisation initiale, les goodwill sont donc évalués à leur coût
diminué du cumul des pertes de valeur éventuelles. Les goodwill relatifs
à des entreprises associées et coentreprises sont inclus dans la valeur
de ces participations à l’actif de la situation financière consolidée.
En cas de perte de valeur, celle -ci est comptabilisée et intégrée au
compte de
- >-
Le 15 janvier 2016, la DGEC a rendu publique la synthèse du rapport de
cet audit. L’Administration a indiqué que, bien que l’estimation du coût
du démantèlement de réacteurs nucléaires reste un exercice délicat,
compte tenu du retour d’expérience relativement limité, des perspectives
d’évolution des techniques et de l’éloignement des dépenses dans le
temps, l’audit confortait globalement l’estimation faite par EDF du coût
du démantèlement de son parc nucléaire en exploitation. L’Administration
a également formulé à EDF un certain nombre de recommandations suite à
cet audit. En 2016, EDF a effectué une révision du devis de
démantèlement afin de prendre en compte, d’une part, les recommandations
de l’audit, qui lui avaient été adressées, et d’autre part, le retour
d’expérience des opérations de démantèlement des réacteurs de première
génération (en particulier Chooz A). Le travail de révision du devis a
consisté en la mise en œuvre d’une démarche analytique détaillée,
identifiant l’ensemble des coûts d’ingénierie, de travaux,
d’exploitation et de traitement des déchets liés au démantèlement futur
des réacteurs en cours de fonctionnement. Il permet d’aboutir à un
chiffrage reposant sur des chroniques détaillées de démantèlement des
centrales. La démarche adoptée a permis d’approfondir l’évaluation des
coûts propres aux têtes de série, estimés pour chaque palier à partir de
coefficients de transposition appliqués au coût de référence de la tête
de série 900 MW, ainsi que les effets de série et de mutualisation, ces
coûts et effets étant en effet inhérents à la taille et à la
configuration du parc. Les natures des principaux effets de
mutualisation et de série retenus dans les chiffrages du devis sont
explicitées ci-dessous. Les effets de série (effet sur les sites
suivants le site tête de série d’un même palier) sont principalement de
deux natures différentes : • un premier effet provient du fait que sur
un parc de même technologie, une large part des études ne doit pas être
refaite à chaque fois ; • un second effet provient du fait que, sur un
parc de même technologie, les robots et les outillages peuvent être très
largement réutilisés d’un chantier à l’autre. Les effets de
mutualisation (effets entre les différentes tranches présentes sur un
même site qu’elles soient en exploitation ou en démantèlement) sont
quant à eux de différentes natures : • certains sont liés au partage de
bâtiments et d’équipements communs entre plusieurs réacteurs sur un même
site, qu’il n’y a donc pas à démanteler deux fois. Ainsi,
structurellement, le démantèlement d’une paire de réacteurs sur un même
site coûte moins cher que le démantèlement de deux réacteurs isolés sur
deux sites différents. En France, à la différence des autres
- >-
Le Groupe Bolloré a précisé dans cette lettre qu’un tel franchissement
de seuil n’aurait au demeurant rien d’inéluctable dès lo rs que les
sociétés du Groupe Bolloré conservent la possibilité, notamment pour
éviter sa survenance, de vendre des actions Vivendi ; elle s pourraient
également participer à l’opération de réduction de capital en apportant
leurs titres à l’offre de rachat qui serait mise en œuv re par Vivendi.
Leur décision à cet égard n’est pas prise, elle le sera le moment venu.
17.3 Distribution d’un dividende ordina ire en numéraire aux
actionnaires Dans le cadre de l’arrêté des comptes de l’exercice 2022 et
de l’affectation du résultat de l’exercice, le Directoire de Vivend i,
dans sa réunion du 6 mars 2023, a décidé de proposer aux actionnaires de
mettre en paiement un dividende ordinaire en numéraire de 0,25 euro pa r
action représentant un montant total distribué de 256 millions d’euros.
Cette proposition a été portée à la connaissance du Conseil de
surveillance du 8 mars 2023 qui l’a approuvée, et sera soumise à
l’approbation de l’Assemblée générale des actionnaires du 24 avril 2023.
Le 28 avril 2022, au titre de l’exercice 2021, un dividende ordinaire de
0,25 euro par action a été versé (après détachement du coupon le 26
avril 2022), représentant un montant total distribué de 261 millions
d’euros.
model-index:
- name: SentenceTransformer based on OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1
results:
- task:
type: information-retrieval
name: Information Retrieval
dataset:
name: Unknown
type: unknown
metrics:
- type: cosine_accuracy@1
value: 0.5856079404466501
name: Cosine Accuracy@1
- type: cosine_accuracy@3
value: 0.8163771712158809
name: Cosine Accuracy@3
- type: cosine_accuracy@5
value: 0.8775847808105872
name: Cosine Accuracy@5
- type: cosine_accuracy@10
value: 0.9454094292803971
name: Cosine Accuracy@10
- type: cosine_precision@1
value: 0.5856079404466501
name: Cosine Precision@1
- type: cosine_precision@3
value: 0.272125723738627
name: Cosine Precision@3
- type: cosine_precision@5
value: 0.17551695616211743
name: Cosine Precision@5
- type: cosine_precision@10
value: 0.09454094292803969
name: Cosine Precision@10
- type: cosine_recall@1
value: 0.5856079404466501
name: Cosine Recall@1
- type: cosine_recall@3
value: 0.8163771712158809
name: Cosine Recall@3
- type: cosine_recall@5
value: 0.8775847808105872
name: Cosine Recall@5
- type: cosine_recall@10
value: 0.9454094292803971
name: Cosine Recall@10
- type: cosine_ndcg@10
value: 0.7693717436163442
name: Cosine Ndcg@10
- type: cosine_mrr@10
value: 0.7125103391232432
name: Cosine Mrr@10
- type: cosine_map@100
value: 0.7157854780098822
name: Cosine Map@100
- type: dot_accuracy@1
value: 0.5856079404466501
name: Dot Accuracy@1
- type: dot_accuracy@3
value: 0.8163771712158809
name: Dot Accuracy@3
- type: dot_accuracy@5
value: 0.8775847808105872
name: Dot Accuracy@5
- type: dot_accuracy@10
value: 0.9454094292803971
name: Dot Accuracy@10
- type: dot_precision@1
value: 0.5856079404466501
name: Dot Precision@1
- type: dot_precision@3
value: 0.272125723738627
name: Dot Precision@3
- type: dot_precision@5
value: 0.17551695616211743
name: Dot Precision@5
- type: dot_precision@10
value: 0.09454094292803969
name: Dot Precision@10
- type: dot_recall@1
value: 0.5856079404466501
name: Dot Recall@1
- type: dot_recall@3
value: 0.8163771712158809
name: Dot Recall@3
- type: dot_recall@5
value: 0.8775847808105872
name: Dot Recall@5
- type: dot_recall@10
value: 0.9454094292803971
name: Dot Recall@10
- type: dot_ndcg@10
value: 0.7693717436163442
name: Dot Ndcg@10
- type: dot_mrr@10
value: 0.7125103391232432
name: Dot Mrr@10
- type: dot_map@100
value: 0.7157854780098822
name: Dot Map@100
SentenceTransformer based on OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1
This is a sentence-transformers model finetuned from OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1. It maps sentences & paragraphs to a 1024-dimensional dense vector space and can be used for semantic textual similarity, semantic search, paraphrase mining, text classification, clustering, and more.
Model Details
Model Description
- Model Type: Sentence Transformer
- Base model: OrdalieTech/Solon-embeddings-large-0.1
- Maximum Sequence Length: 512 tokens
- Output Dimensionality: 1024 tokens
- Similarity Function: Cosine Similarity
Model Sources
- Documentation: Sentence Transformers Documentation
- Repository: Sentence Transformers on GitHub
- Hugging Face: Sentence Transformers on Hugging Face
Full Model Architecture
SentenceTransformer(
(0): Transformer({'max_seq_length': 512, 'do_lower_case': False}) with Transformer model: XLMRobertaModel
(1): Pooling({'word_embedding_dimension': 1024, 'pooling_mode_cls_token': False, 'pooling_mode_mean_tokens': True, 'pooling_mode_max_tokens': False, 'pooling_mode_mean_sqrt_len_tokens': False, 'pooling_mode_weightedmean_tokens': False, 'pooling_mode_lasttoken': False, 'include_prompt': True})
(2): Normalize()
)
Usage
Direct Usage (Sentence Transformers)
First install the Sentence Transformers library:
pip install -U sentence-transformers
Then you can load this model and run inference.
from sentence_transformers import SentenceTransformer
# Download from the 🤗 Hub
model = SentenceTransformer("sujet-ai/Marsilia-Embeddings-FR-Large")
# Run inference
sentences = [
"Pourquoi le montant total distribué en dividende peut-il varier d'une année à l'autre ?",
'Le Groupe Bolloré a précisé dans cette lettre qu’un tel franchissement de seuil n’aurait au demeurant rien d’inéluctable dès lo rs que les sociétés du Groupe Bolloré conservent la possibilité, notamment pour éviter sa survenance, de vendre des actions Vivendi ; elle s pourraient également participer à l’opération de réduction de capital en apportant leurs titres à l’offre de rachat qui serait mise en œuv re par Vivendi. Leur décision à cet égard n’est pas prise, elle le sera le moment venu. 17.3 Distribution d’un dividende ordina ire en numéraire aux actionnaires Dans le cadre de l’arrêté des comptes de l’exercice 2022 et de l’affectation du résultat de l’exercice, le Directoire de Vivend i, dans sa réunion du 6 mars 2023, a décidé de proposer aux actionnaires de mettre en paiement un dividende ordinaire en numéraire de 0,25 euro pa r action représentant un montant total distribué de 256 millions d’euros. Cette proposition a été portée à la connaissance du Conseil de surveillance du 8 mars 2023 qui l’a approuvée, et sera soumise à l’approbation de l’Assemblée générale des actionnaires du 24 avril 2023. Le 28 avril 2022, au titre de l’exercice 2021, un dividende ordinaire de 0,25 euro par action a été versé (après détachement du coupon le 26 avril 2022), représentant un montant total distribué de 261 millions d’euros.',
'Les impôts différés sont calculés en appliquant le dernier taux d’impôt voté à la date de clôture et applicable à la période de renversement de ces différences. Au sein d’une même entité fiscale (société juridique, établissement ou groupe d’entités redevable de l’impôt auprès de l’a dministration fiscale), les impôts différés actifs et passifs sont présentés de manière compensée, dès lors que celle -ci a le droit de compenser ses actifs et passifs d’impôts exigibles. Les actifs nets d’impôts différés sont reconnus en fonction de leur probabilité de réalisation future. Les entreprises associées et les coentreprises donnent lieu à comptabilisation d’un impôt différé passif de distribution pour les différences entre la valeur comptable et la valeur fiscale des titres. Les crédits d’impôt d ont l’utilisation est conditionnée par la réalisation d’un bénéfice fiscal sont comptabilisés en réduction de la charge d’impôt sur les résultats. Les crédits d’impôt dont la récupération n’est pas subordonnée à la réalisation d’un bénéfice fiscal figurent en réduction de la nature de charge à laquelle ils se rapportent. Pour évaluer les provisions pour positions fiscales incertaines, le Groupe utilise une méthode d’évaluation individuelle basée en général sur le montant le plus probable. Ces provisions son t classées sur des lignes dédiées dans la situation financière consolidée, afin de se conformer à leurs caractéristiques qualitatives. 2-J. Goodwill Les participations ne donnant pas le contrôle ( usuellement dénommées « intérêts minoritaires ») sont évaluées so it à la juste valeur (méthode dite du goodwill complet), soit à leur quote -part dans la juste valeur des actifs acquis et passifs repris (méthode dite du goodwill partiel). À ce jour Renault n’a enregistré que des goodwill évalués selon la méthode dite du goodwill partiel. L’option entre ces deux méthodes d’évaluation est exercée par le Groupe au cas par cas. Les goodwill font l’objet d’un test de dépréciation au minimum une fois par an, et dès qu’il existe un indice de perte de valeur. Après leur comptabi lisation initiale, les goodwill sont donc évalués à leur coût diminué du cumul des pertes de valeur éventuelles. Les goodwill relatifs à des entreprises associées et coentreprises sont inclus dans la valeur de ces participations à l’actif de la situation financière consolidée. En cas de perte de valeur, celle -ci est comptabilisée et intégrée au compte de',
]
embeddings = model.encode(sentences)
print(embeddings.shape)
# [3, 1024]
# Get the similarity scores for the embeddings
similarities = model.similarity(embeddings, embeddings)
print(similarities.shape)
# [3, 3]
Evaluation
Metrics
Information Retrieval
- Evaluated with
InformationRetrievalEvaluator
Metric | Value |
---|---|
cosine_accuracy@1 | 0.5856 |
cosine_accuracy@3 | 0.8164 |
cosine_accuracy@5 | 0.8776 |
cosine_accuracy@10 | 0.9454 |
cosine_precision@1 | 0.5856 |
cosine_precision@3 | 0.2721 |
cosine_precision@5 | 0.1755 |
cosine_precision@10 | 0.0945 |
cosine_recall@1 | 0.5856 |
cosine_recall@3 | 0.8164 |
cosine_recall@5 | 0.8776 |
cosine_recall@10 | 0.9454 |
cosine_ndcg@10 | 0.7694 |
cosine_mrr@10 | 0.7125 |
cosine_map@100 | 0.7158 |
dot_accuracy@1 | 0.5856 |
dot_accuracy@3 | 0.8164 |
dot_accuracy@5 | 0.8776 |
dot_accuracy@10 | 0.9454 |
dot_precision@1 | 0.5856 |
dot_precision@3 | 0.2721 |
dot_precision@5 | 0.1755 |
dot_precision@10 | 0.0945 |
dot_recall@1 | 0.5856 |
dot_recall@3 | 0.8164 |
dot_recall@5 | 0.8776 |
dot_recall@10 | 0.9454 |
dot_ndcg@10 | 0.7694 |
dot_mrr@10 | 0.7125 |
dot_map@100 | 0.7158 |
Training Details
Training Dataset
Unnamed Dataset
- Size: 28,864 training samples
- Columns:
sentence_0
andsentence_1
- Approximate statistics based on the first 1000 samples:
sentence_0 sentence_1 type string string details - min: 14 tokens
- mean: 27.25 tokens
- max: 57 tokens
- min: 34 tokens
- mean: 428.69 tokens
- max: 512 tokens
- Samples:
sentence_0 sentence_1 Quel est le coefficient d'occupation pour le court et moyen-courrier en 2023, et quelle est la variation par rapport à 2022 ?
KLM Quatrième trimestre Annuel Total activité reseaux passage 2023 2022 variation 2023 2022 variation Passagers transportés (milliers) 7 7 1 1 6 3 3 7 22 % 3 0 3 3 2 2 5 8 3 8 17 % Passager kilomètre transporté (m de PKT) 2 2 9 4 6 2 1 2 3 6 8 % 9 2 6 5 2 8 2 2 8 9 13 % Siège kilomètre offert (m de SKO) 2 6 7 2 2 2 4 9 6 8 7 % 1 0 6 3 3 6 9 8 6 6 0 8 % Coefficient d’occupation (%) 86 % 85 % 1pt 87 % 83 % 4pt Long-courrier Passagers transportés (milliers) 2 3 8 1 2 2 9 4 4 % 9 6 5 9 8 6 2 6 12 % Passager kilomètre transporté (m de PKT) 1 8 4 9 1 1 7 7 9 3 4 % 7 4 8 8 5 6 6 9 3 9 12 % Siège kilomètre offert (m de SKO) 2 1 2 5 4 2 0 5 5 5 3 % 8 4 9 4 0 7 9 3 8 6 7 % Coefficient d’occupation (%) 87 % 87 % –pt 88 % 84 % 4pt Court et Moyen-courrier Passagers transportés (milliers) 5 3 3 0 4 0 4 3 32 % 2 0 6 7 3 1 7 2 1 2 20 % Passager kilomètre transporté (m de PKT) 4 4 5 6 3 4 4 3 29 % 1 7 7 6 6 1 5 3 5 0 16 % Siège kilomètre offert (m de SKO) 5 4 6 8 4 4 1 3 24 % 2 1 3 9 6 1 9 2 7 4 11 % Coefficient d’occupation (%) 81 % 78 % 3pt 83 % 80 % 3pt Activité Cargo Tonne kilomètre transportée (m de TKT) 862 828 4 % 3 2 4 4 3 3 3 0 (3 %) Tonne kilomètre offerte (m de TKO) 1 5 2 6 1 4 5 3 5 % 6 0 8 7 5 7 6 2 6 % Coefficient d’occupation (%) 56 % 57 % –pt 53 % 58 % (4)pt 24
Quelles obligations peuvent justifier la constitution de provisions pour risques et charges ?
70 Rapport financier 2020 – 2021 de l’APE NOTE 17 PROVISIONS COURANTES ET NON COURANTES Principes comptables Les provisions sont comptabilisées lorsque les trois conditions suivantes sont simultanément remplies : • il existe une obligation actuelle (juridique ou implicite) vis-à-vis d’un tiers résultant d’un événement passé, antérieur à la date de clôture ; • il est probable qu’une sortie de ressources représentative d’avantages économiques sera nécessaire pour éteindre l’obligation ; • le coût de l’obligation peut être estimé de manière fiable. L’évaluation des provisions est faite sur la base des coûts attendus pour éteindre l’obligation. Les estimations sont déterminées à partir de données de gestion issues des systèmes d’information, d’hypothèses, éventuellement complétées par l’expérience de transactions similaires, et, dans certains cas, sur la base de rapports d’experts indépendants ou de devis de prestataires de chaque entité du périmètre de combinaison. Ces différentes hypothèses sont revues, par chaque entité, à l’occasion de chaque arrêté comptable. Les passifs éventuels, correspondant à une obligation qui n’est ni probable ni certaine à la date d’arrêté des comptes, ou à une obligation probable pour laquelle la sortie de ressources ne l’est pas, ne sont pas comptabilisés. Ils font l’objet d’une information en annexe. Les provisions pour démantèlement et reconstitution des sites Elles sont destinées à couvrir la valeur actuelle des coûts de remise en état des sites qui supportent ou ont supporté des ouvrages. Leur montant reflète la meilleure estimation des coûts futurs déterminés, en fonction des exigences réglementaires actuelles ou en cours d’adoption, de l'État des connaissances techniques ainsi que de l’expérience acquise. Elles sont constituées initialement en contrepartie d’un actif corporel qui est amorti sur la durée d’exploitation prévisible du site concerné. Les provisions sont actualisées en prenant en compte la date effective d’engagement des coûts. Le taux d’actualisation reflète les conditions d’un taux sans risque attaché à des obligations de même maturité, majoré de l’effet des risques spécifiques attachés au passif concerné. Dans tous les cas, l’effet des révisions d’estimations (calendrier de démantèlement, estimation des coûts à engager, etc.) conduit à modifier la valeur de l’actif, l’impact dans le montant de l’amortissement étant pris de manière prospective. Enfin, la valeur de l’actif ainsi modifié fait l’objet d’un test de perte de valeur. Les dotations et reprises de provision relèvent du résultat opérationnel. La charge de désactualisation figure en charges financières. Enfin, la valeur de l’actif fait l’objet d’un test de perte de valeur. Autres provisions Des provisions pour risques et charges sont constituées en vue de couvrir les obligations légales, juridiques ou implicites résultant d’événements passés pour lesquelles les entités de la combinaison prévoient qu’une sortie de ressources sera nécessaire. Tous les risques sont régulièrement examinés. Lorsqu’elles sont utilisées, les provisions sont reprises au compte de résultat et viennent en contrepartie des charges correspondantes.
Quelle est la contribution des activités arrêtées au résultat net total ?
132 - 3 - 99 - 1 234 - 30 - 0 - 356 694 685 - - - 1 372 Résultat des activités arrêtées ou en cours de cession- - - - 180 - 7 - - 5 - 24 - 380 - - 212 Résultat net de l'ensemble combiné- 1 221 132 - 64 - 693 - 2 579 57 - 3 580 96 - 739 627 1 079 4 - 1 - 6 881 Part groupe- 1 221 132 - 64 - 707 - 2 232 57 - 3 164 96 - 739 627 1 072 4 - 1 - 6 138 Part intérêts minoritaires - - 0 - 1 14 - 347 - - 416 - - - 0 7 - - - 742
- Loss:
MultipleNegativesRankingLoss
with these parameters:{ "scale": 20.0, "similarity_fct": "cos_sim" }
Training Hyperparameters
Non-Default Hyperparameters
eval_strategy
: stepsper_device_train_batch_size
: 32per_device_eval_batch_size
: 32gradient_accumulation_steps
: 16num_train_epochs
: 20bf16
: Truetf32
: Truebatch_sampler
: no_duplicatesmulti_dataset_batch_sampler
: round_robin
All Hyperparameters
Click to expand
overwrite_output_dir
: Falsedo_predict
: Falseeval_strategy
: stepsprediction_loss_only
: Trueper_device_train_batch_size
: 32per_device_eval_batch_size
: 32per_gpu_train_batch_size
: Noneper_gpu_eval_batch_size
: Nonegradient_accumulation_steps
: 16eval_accumulation_steps
: Nonelearning_rate
: 5e-05weight_decay
: 0.0adam_beta1
: 0.9adam_beta2
: 0.999adam_epsilon
: 1e-08max_grad_norm
: 1num_train_epochs
: 20max_steps
: -1lr_scheduler_type
: linearlr_scheduler_kwargs
: {}warmup_ratio
: 0.0warmup_steps
: 0log_level
: passivelog_level_replica
: warninglog_on_each_node
: Truelogging_nan_inf_filter
: Truesave_safetensors
: Truesave_on_each_node
: Falsesave_only_model
: Falserestore_callback_states_from_checkpoint
: Falseno_cuda
: Falseuse_cpu
: Falseuse_mps_device
: Falseseed
: 42data_seed
: Nonejit_mode_eval
: Falseuse_ipex
: Falsebf16
: Truefp16
: Falsefp16_opt_level
: O1half_precision_backend
: autobf16_full_eval
: Falsefp16_full_eval
: Falsetf32
: Truelocal_rank
: 0ddp_backend
: Nonetpu_num_cores
: Nonetpu_metrics_debug
: Falsedebug
: []dataloader_drop_last
: Falsedataloader_num_workers
: 0dataloader_prefetch_factor
: Nonepast_index
: -1disable_tqdm
: Falseremove_unused_columns
: Truelabel_names
: Noneload_best_model_at_end
: Falseignore_data_skip
: Falsefsdp
: []fsdp_min_num_params
: 0fsdp_config
: {'min_num_params': 0, 'xla': False, 'xla_fsdp_v2': False, 'xla_fsdp_grad_ckpt': False}fsdp_transformer_layer_cls_to_wrap
: Noneaccelerator_config
: {'split_batches': False, 'dispatch_batches': None, 'even_batches': True, 'use_seedable_sampler': True, 'non_blocking': False, 'gradient_accumulation_kwargs': None}deepspeed
: Nonelabel_smoothing_factor
: 0.0optim
: adamw_torchoptim_args
: Noneadafactor
: Falsegroup_by_length
: Falselength_column_name
: lengthddp_find_unused_parameters
: Noneddp_bucket_cap_mb
: Noneddp_broadcast_buffers
: Falsedataloader_pin_memory
: Truedataloader_persistent_workers
: Falseskip_memory_metrics
: Trueuse_legacy_prediction_loop
: Falsepush_to_hub
: Falseresume_from_checkpoint
: Nonehub_model_id
: Nonehub_strategy
: every_savehub_private_repo
: Falsehub_always_push
: Falsegradient_checkpointing
: Falsegradient_checkpointing_kwargs
: Noneinclude_inputs_for_metrics
: Falseeval_do_concat_batches
: Truefp16_backend
: autopush_to_hub_model_id
: Nonepush_to_hub_organization
: Nonemp_parameters
:auto_find_batch_size
: Falsefull_determinism
: Falsetorchdynamo
: Noneray_scope
: lastddp_timeout
: 1800torch_compile
: Falsetorch_compile_backend
: Nonetorch_compile_mode
: Nonedispatch_batches
: Nonesplit_batches
: Noneinclude_tokens_per_second
: Falseinclude_num_input_tokens_seen
: Falseneftune_noise_alpha
: Noneoptim_target_modules
: Nonebatch_eval_metrics
: Falseeval_on_start
: Falsebatch_sampler
: no_duplicatesmulti_dataset_batch_sampler
: round_robin
Training Logs
Epoch | Step | cosine_map@100 |
---|---|---|
0.1774 | 10 | 0.5951 |
0.3548 | 20 | 0.6117 |
0.5322 | 30 | 0.6312 |
0.7095 | 40 | 0.6493 |
0.8869 | 50 | 0.6639 |
0.9933 | 56 | 0.6686 |
1.0643 | 60 | 0.6739 |
1.2417 | 70 | 0.6840 |
1.4191 | 80 | 0.6881 |
1.5965 | 90 | 0.6900 |
1.7738 | 100 | 0.6910 |
1.9512 | 110 | 0.6960 |
1.9867 | 112 | 0.6985 |
2.1286 | 120 | 0.7020 |
2.3060 | 130 | 0.7056 |
2.4834 | 140 | 0.6988 |
2.6608 | 150 | 0.7051 |
2.8381 | 160 | 0.6994 |
2.9978 | 169 | 0.6999 |
3.0155 | 170 | 0.7004 |
3.1929 | 180 | 0.7058 |
3.3703 | 190 | 0.7030 |
3.5477 | 200 | 0.7042 |
3.7251 | 210 | 0.6989 |
3.9024 | 220 | 0.6970 |
3.9911 | 225 | 0.6960 |
4.0798 | 230 | 0.6968 |
4.2572 | 240 | 0.7067 |
4.4346 | 250 | 0.7158 |
Framework Versions
- Python: 3.10.13
- Sentence Transformers: 3.0.1
- Transformers: 4.42.3
- PyTorch: 2.5.0.dev20240704+cu124
- Accelerate: 0.32.1
- Datasets: 2.20.0
- Tokenizers: 0.19.1
Citation
BibTeX
Sentence Transformers
@inproceedings{reimers-2019-sentence-bert,
title = "Sentence-BERT: Sentence Embeddings using Siamese BERT-Networks",
author = "Reimers, Nils and Gurevych, Iryna",
booktitle = "Proceedings of the 2019 Conference on Empirical Methods in Natural Language Processing",
month = "11",
year = "2019",
publisher = "Association for Computational Linguistics",
url = "https://arxiv.org/abs/1908.10084",
}
MultipleNegativesRankingLoss
@misc{henderson2017efficient,
title={Efficient Natural Language Response Suggestion for Smart Reply},
author={Matthew Henderson and Rami Al-Rfou and Brian Strope and Yun-hsuan Sung and Laszlo Lukacs and Ruiqi Guo and Sanjiv Kumar and Balint Miklos and Ray Kurzweil},
year={2017},
eprint={1705.00652},
archivePrefix={arXiv},
primaryClass={cs.CL}
}