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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-7
Code général des collectivités territoriales
Le temps d'absence prévu aux articles L. 2123-1 , L. 2123-2 et L. 2123-4 est assimilé à une durée de travail effective pour la détermination de la durée des congés payés ainsi qu'au regard de tous les droits découlant de l'ancienneté. Aucune modification de la durée et des horaires de travail prévus par le contrat de travail ne peut, en outre, être effectuée en raison des absences intervenues en application des dispositions prévues aux articles L. 2123-1, L. 2123-2 et L. 2123-4 sans l'accord de l'élu concerné.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-7
LEGIARTI000006389996
LEGIARTI000006389995
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
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Article
<p></p>Le temps d'absence prévu aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389982&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-1 (V)'>L. 2123-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389983&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-2 (V)'>L. 2123-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389989&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-4 (V)'>L. 2123-4</a> est assimilé à une durée de travail effective pour la détermination de la durée des congés payés ainsi qu'au regard de tous les droits découlant de l'ancienneté. <p></p><p></p>Aucune modification de la durée et des horaires de travail prévus par le contrat de travail ne peut, en outre, être effectuée en raison des absences intervenues en application des dispositions prévues aux articles L. 2123-1, L. 2123-2 et L. 2123-4 sans l'accord de l'élu concerné.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006389995
MD-20240322_202511_228_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006389996
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192259
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Sous-section 2 : Garanties accordées dans l'exercice d'une activité professionnelle
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LEGISCTA000006192259
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 1 : Garanties accordées aux titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Garanties accordées dans l'exercice d'une activité professionnelle
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-8
Code général des collectivités territoriales
Aucun licenciement ni déclassement professionnel, aucune sanction disciplinaire ne peuvent être prononcés en raison des absences résultant de l'application des dispositions des articles L. 2123-1 , L. 2123-2 et L. 2123-4 sous peine de nullité et de dommages et intérêts au profit de l'élu. La réintégration ou le reclassement dans l'emploi est de droit. Il est interdit à tout employeur de prendre en considération les absences visées à l'alinéa précédent pour arrêter ses décisions en ce qui concerne l'embauche, la formation professionnelle, l'avancement, la rémunération et l'octroi d'avantages sociaux.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-8
LEGIARTI000006389998
LEGIARTI000006389997
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
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null
Article
<p></p>Aucun licenciement ni déclassement professionnel, aucune sanction disciplinaire ne peuvent être prononcés en raison des absences résultant de l'application des dispositions des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389982&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-1 (V)'>L. 2123-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389983&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-2 (V)'>L. 2123-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389989&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-4 (V)'>L. 2123-4</a> sous peine de nullité et de dommages et intérêts au profit de l'élu. La réintégration ou le reclassement dans l'emploi est de droit. <p></p><p></p>Il est interdit à tout employeur de prendre en considération les absences visées à l'alinéa précédent pour arrêter ses décisions en ce qui concerne l'embauche, la formation professionnelle, l'avancement, la rémunération et l'octroi d'avantages sociaux.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006389997
IG-20231124
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LEGIARTI000006389998
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192259
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Sous-section 2 : Garanties accordées dans l'exercice d'une activité professionnelle
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LEGISCTA000006192259
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 1 : Garanties accordées aux titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Garanties accordées dans l'exercice d'une activité professionnelle
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-9
Code général des collectivités territoriales
Les maires, d'une part, ainsi que les adjoints au maire, d'autre part, qui, pour l'exercice de leur mandat, ont cessé d'exercer leur activité professionnelle, bénéficient, s'ils sont salariés, des dispositions des articles L. 3142-83 à L. 3142-87 du code du travail relatives aux droits des salariés élus membres de l'Assemblée nationale et du Sénat. Le droit à réintégration prévu à l'article L. 3142-84 du même code est maintenu aux élus mentionnés au premier alinéa du présent article jusqu'à l'expiration de deux mandats consécutifs. L'application de l' article L. 3142-85 du code du travail prend effet à compter du deuxième renouvellement du mandat.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2123-9
LEGIARTI000041411975
LEGIARTI000006389999
AUTONOME
VIGUEUR
6.0
257,694
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null
null
Article
<p>Les maires, d'une part, ainsi que les adjoints au maire, d'autre part, qui, pour l'exercice de leur mandat, ont cessé d'exercer leur activité professionnelle, bénéficient, s'ils sont salariés, des dispositions des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902753&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 3142-83 à L. 3142-87</a> du code du travail relatives aux droits des salariés élus membres de l'Assemblée nationale et du Sénat.</p><p>Le droit à réintégration prévu à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902754&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 3142-84 </a>du même code est maintenu aux élus mentionnés au premier alinéa du présent article jusqu'à l'expiration de deux mandats consécutifs.</p><p>L'application de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902755&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 3142-85 du code du travail </a>prend effet à compter du deuxième renouvellement du mandat.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000033022498
MD-20231228_211402_118_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000041411975
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192259
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Sous-section 2 : Garanties accordées dans l'exercice d'une activité professionnelle
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LEGISCTA000006192259
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 1 : Garanties accordées aux titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Garanties accordées dans l'exercice d'une activité professionnelle
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-10
Code général des collectivités territoriales
Les fonctionnaires régis par les titres I à IV du statut général de la fonction publique sont placés, sur leur demande, en position de détachement pour exercer l'un des mandats mentionnés à l'article L. 2123-9 .
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-10
LEGIARTI000006390002
LEGIARTI000006390001
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
343,592
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Article
<p></p>Les fonctionnaires régis par les titres I à IV du statut général de la fonction publique sont placés, sur leur demande, en position de détachement pour exercer l'un des mandats mentionnés à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389999&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-9 (V)'>L. 2123-9</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390001
IG-20231129
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LEGIARTI000006390002
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192259
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Sous-section 2 : Garanties accordées dans l'exercice d'une activité professionnelle
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LEGISCTA000006192259
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 1 : Garanties accordées aux titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Garanties accordées dans l'exercice d'une activité professionnelle
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-11
Code général des collectivités territoriales
A la fin de leur mandat, les élus visés à l'article L. 2123-9 bénéficient à leur demande d'un stage de remise à niveau organisé dans l'entreprise, compte tenu notamment de l'évolution de leur poste de travail ou de celle des techniques utilisées.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-11
LEGIARTI000006390004
LEGIARTI000006390003
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
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Article
<p></p>A la fin de leur mandat, les élus visés à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389999&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-9 (V)'>L. 2123-9</a> bénéficient à leur demande d'un stage de remise à niveau organisé dans l'entreprise, compte tenu notamment de l'évolution de leur poste de travail ou de celle des techniques utilisées.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390003
MD-20240521_185721_656_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006390004
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192260
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Sous-section 3 : Garanties accordées à l'issue du mandat
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LEGISCTA000006192260
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 1 : Garanties accordées aux titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Garanties accordées à l'issue du mandat
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-11-1
Code général des collectivités territoriales
A l'issue de son mandat, tout maire ou tout adjoint qui, pour l'exercice de son mandat, a cessé son activité professionnelle salariée a droit sur sa demande à une formation professionnelle et à un bilan de compétences dans les conditions fixées par la sixième partie du code du travail. Lorsque l'intéressé demande à bénéficier du congé de formation prévu par les articles L. 6322-1 à L. 6322-3 du même code, ainsi que du congé de bilan de compétences prévu par l'article L. 6322-42 du même code, le temps passé au titre du mandat local est assimilé aux durées d'activité exigées pour l'accès à ces congés.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2123-11-1
LEGIARTI000041412000
LEGIARTI000006390005
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
85,898
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null
null
Article
<p>A l'issue de son mandat, tout maire ou tout adjoint qui, pour l'exercice de son mandat, a cessé son activité professionnelle salariée a droit sur sa demande à une formation professionnelle et à un bilan de compétences dans les conditions fixées par la sixième partie du code du travail.</p><p>Lorsque l'intéressé demande à bénéficier du congé de formation prévu par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904159&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 6322-1 à L. 6322-3 </a>du même code, ainsi que du congé de bilan de compétences prévu par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904200&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 6322-42</a> du même code, le temps passé au titre du mandat local est assimilé aux durées d'activité exigées pour l'accès à ces congés.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000030426308
IG-20231124
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LEGIARTI000041412000
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192260
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Sous-section 3 : Garanties accordées à l'issue du mandat
null
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LEGISCTA000006192260
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 1 : Garanties accordées aux titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Garanties accordées à l'issue du mandat
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-11-2
Code général des collectivités territoriales
A l'occasion du renouvellement général des membres du conseil municipal, tout maire d'une commune de 1 000 habitants au moins ou tout adjoint dans une commune de 10 000 habitants au moins ayant reçu délégation de fonction de celui-ci qui, pour l'exercice de son mandat, avait cessé d'exercer son activité professionnelle perçoit, sur sa demande, une allocation différentielle de fin de mandat s'il se trouve dans l'une des situations suivantes : – être inscrit à l'institution mentionnée à l'article L. 5312-1 du code du travail conformément aux dispositions de l'article L. 5411-1 du même code ; – avoir repris une activité professionnelle lui procurant des revenus inférieurs aux indemnités de fonction qu'il percevait au titre de sa dernière fonction élective. Le montant mensuel de l'allocation est au plus égal à 80 % de la différence entre le montant de l'indemnité brute mensuelle que l'intéressé percevait pour l'exercice de ses fonctions, dans les conditions fixées aux articles L. 2123-23, L. 2123-24 , L. 2511-34 et L. 2511-34-1, et l'ensemble des ressources qu'il perçoit à l'issue du mandat. L'allocation est versée pendant une période d'un an au plus. Elle n'est pas cumulable avec celles prévues par les articles L. 3123-9-2 et L. 4135-9-2 . A compter du septième mois suivant le début du versement de l'allocation, le taux mentionné au quatrième alinéa est au plus égal à 40 %. Le financement de cette allocation est assuré dans les conditions prévues par l'article L. 1621-2 . Les modalités d'application du présent article sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.
1,546,300,800,000
32,472,144,000,000
L2123-11-2
LEGIARTI000034115712
LEGIARTI000006390006
AUTONOME
VIGUEUR
6.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p><p>A l'occasion du renouvellement général des membres du conseil municipal, tout maire d'une commune de 1 000 habitants au moins ou tout adjoint dans une commune de 10 000 habitants au moins ayant reçu délégation de fonction de celui-ci qui, pour l'exercice de son mandat, avait cessé d'exercer son activité professionnelle perçoit, sur sa demande, une allocation différentielle de fin de mandat s'il se trouve dans l'une des situations suivantes : </p><p></p><p></p><p>– être inscrit à l'institution mentionnée à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006903765&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 5312-1 </a>du code du travail conformément aux dispositions de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006903807&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 5411-1 </a>du même code ; </p><p></p><p></p><p>– avoir repris une activité professionnelle lui procurant des revenus inférieurs aux indemnités de fonction qu'il percevait au titre de sa dernière fonction élective. </p><p></p><p></p><p>Le montant mensuel de l'allocation est au plus égal à 80 % de la différence entre le montant de l'indemnité brute mensuelle que l'intéressé percevait pour l'exercice de ses fonctions, dans les conditions fixées aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390037&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 2123-23, L. 2123-24</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006391077&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2511-34 (VT)'>L. 2511-34 et L. 2511-34-1, </a>et l'ensemble des ressources qu'il perçoit à l'issue du mandat. </p><p></p><p></p><p>L'allocation est versée pendant une période d'un an au plus. Elle n'est pas cumulable avec celles prévues par les articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006391633&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L3123-9-2 (V)'>L. 3123-9-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006392214&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L4135-9-2 (V)'>L. 4135-9-2</a>. A compter du septième mois suivant le début du versement de l'allocation, le taux mentionné au quatrième alinéa est au plus égal à 40 %. </p><p></p><p></p><p>Le financement de cette allocation est assuré dans les conditions prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389701&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 1621-2</a>. </p><p></p><p></p><p>Les modalités d'application du présent article sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000030436924
MD-20240322_202508_053_BDJQUOT
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LEGISCTA000006192260
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Sous-section 3 : Garanties accordées à l'issue du mandat
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LEGISCTA000006192260
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 1 : Garanties accordées aux titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Garanties accordées à l'issue du mandat
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-12
Code général des collectivités territoriales
Les membres d'un conseil municipal ont droit à une formation adaptée à leurs fonctions. Une formation est obligatoirement organisée au cours de la première année de mandat pour les élus ayant reçu une délégation. Les élus qui reçoivent délégation en matière de prévention et de gestion des déchets ou d'économie circulaire ou en matière d'urbanisme, de construction ou d'habitat sont encouragés à suivre une formation en la matière. Dans les trois mois suivant son renouvellement, le conseil municipal délibère sur l'exercice du droit à la formation de ses membres. Il détermine les orientations et les crédits ouverts à ce titre. Le conseil municipal peut également délibérer sur sa participation au financement de formations dont peuvent bénéficier ses élus à leur initiative au titre de leur droit individuel à la formation mentionnée à l'article L. 2123-12-1. Cette délibération détermine notamment le champ des formations ouvrant droit à cette participation, qui doivent correspondre aux orientations déterminées en application de l'alinéa précédent. La délibération peut limiter cette participation à un montant maximal par formation ainsi qu'à un nombre maximal de formations par élu et par mandat. La part des frais pédagogiques de la formation financée par le fonds du droit individuel à la formation des élus locaux prévu à l'article L. 1621-3 ne peut être inférieure à un taux fixé par décret. Un tableau récapitulant les actions de formation des élus financées par la commune est annexé au compte administratif. Il donne lieu à un débat annuel sur la formation des membres du conseil municipal.
1,645,574,400,000
32,472,144,000,000
L2123-12
LEGIARTI000045211760
LEGIARTI000006390008
AUTONOME
VIGUEUR
7.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p><p>Les membres d'un conseil municipal ont droit à une formation adaptée à leurs fonctions. Une formation est obligatoirement organisée au cours de la première année de mandat pour les élus ayant reçu une délégation.</p><p>Les élus qui reçoivent délégation en matière de prévention et de gestion des déchets ou d'économie circulaire ou en matière d'urbanisme, de construction ou d'habitat sont encouragés à suivre une formation en la matière.</p><p>Dans les trois mois suivant son renouvellement, le conseil municipal délibère sur l'exercice du droit à la formation de ses membres. Il détermine les orientations et les crédits ouverts à ce titre.</p><p>Le conseil municipal peut également délibérer sur sa participation au financement de formations dont peuvent bénéficier ses élus à leur initiative au titre de leur droit individuel à la formation mentionnée à l'article L. 2123-12-1. Cette délibération détermine notamment le champ des formations ouvrant droit à cette participation, qui doivent correspondre aux orientations déterminées en application de l'alinéa précédent. La délibération peut limiter cette participation à un montant maximal par formation ainsi qu'à un nombre maximal de formations par élu et par mandat. La part des frais pédagogiques de la formation financée par le fonds du droit individuel à la formation des élus locaux prévu à l'article L. 1621-3 ne peut être inférieure à un taux fixé par décret.</p><p>Un tableau récapitulant les actions de formation des élus financées par la commune est annexé au compte administratif. Il donne lieu à un débat annuel sur la formation des membres du conseil municipal.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000043029315
IG-20231124
null
LEGIARTI000045211760
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180969
false
false
Section 2 : Droit à la formation
null
null
LEGISCTA000006180969
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 2 : Droit à la formation
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-12-1
Code général des collectivités territoriales
Les membres du conseil municipal bénéficient chaque année d'un droit individuel à la formation comptabilisé en euros, cumulable sur toute la durée du mandat dans la limite d'un plafond et dont le montant annuel est arrêté pour une période de trois ans. Il est financé par une cotisation obligatoire dont le taux ne peut être inférieur à 1 %, prélevée sur les indemnités de fonction perçues par les membres du conseil dans les conditions prévues à l'article L. 1621-3 . La mise en œuvre du droit individuel à la formation relève de l'initiative de chacun des élus et peut concerner des formations sans lien avec l'exercice du mandat. Ces formations peuvent notamment contribuer à l'acquisition des compétences nécessaires à la réinsertion professionnelle à l'issue du mandat lorsque l'élu n'a pas liquidé ses droits à pension au titre de son activité professionnelle. Pour assurer le financement d'une formation, le droit individuel à la formation peut être complété, à la demande de son titulaire, par des abondements en droits complémentaires qui peuvent être financés par les collectivités territoriales selon les modalités définies aux articles L. 2123-12, L. 3123-10, L. 4135-10, L. 7125-12 et L. 7227-12. Lorsqu'une formation contribue à sa réinsertion professionnelle, l'élu peut contribuer à son financement en mobilisant son compte personnel d'activité mentionné à l'article L. 5151-1 du code du travail et à l'article 22 ter de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, lorsqu'il dispose de droits monétisables. Il peut également contribuer à son financement par un apport personnel augmentant les sommes engagées au titre de son droit individuel à la formation. Ces abondements complémentaires n'entrent pas en compte dans les modes de calcul du montant du droit individuel à la formation des élus définis au premier alinéa du présent article. Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités de calcul, de plafonnement ainsi que de mise en œuvre du droit individuel à la formation.
1,672,531,200,000
32,472,144,000,000
L2123-12-1
LEGIARTI000043675927
LEGIARTI000030425059
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 6 de la loi n° 2021-771 du 17 juin 2021, ces dispositions entrent en vigueur à compter du 1er janvier 2023.
7.0
107,372
null
null
null
Article
<p></p><p>Les membres du conseil municipal bénéficient chaque année d'un droit individuel à la formation comptabilisé en euros, cumulable sur toute la durée du mandat dans la limite d'un plafond et dont le montant annuel est arrêté pour une période de trois ans. Il est financé par une cotisation obligatoire dont le taux ne peut être inférieur à 1 %, prélevée sur les indemnités de fonction perçues par les membres du conseil dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000032288571&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1621-3</a>.</p><p>La mise en œuvre du droit individuel à la formation relève de l'initiative de chacun des élus et peut concerner des formations sans lien avec l'exercice du mandat. Ces formations peuvent notamment contribuer à l'acquisition des compétences nécessaires à la réinsertion professionnelle à l'issue du mandat lorsque l'élu n'a pas liquidé ses droits à pension au titre de son activité professionnelle.</p><p>Pour assurer le financement d'une formation, le droit individuel à la formation peut être complété, à la demande de son titulaire, par des abondements en droits complémentaires qui peuvent être financés par les collectivités territoriales selon les modalités définies aux articles L. 2123-12, L. 3123-10, L. 4135-10, L. 7125-12 et L. 7227-12. Lorsqu'une formation contribue à sa réinsertion professionnelle, l'élu peut contribuer à son financement en mobilisant son compte personnel d'activité mentionné à l'article L. 5151-1 du code du travail et à l'article 22 ter de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, lorsqu'il dispose de droits monétisables. Il peut également contribuer à son financement par un apport personnel augmentant les sommes engagées au titre de son droit individuel à la formation. <font color='black'>Ces abondements complémentaires n'entrent pas en compte dans les modes de calcul du montant du droit individuel à la formation des élus définis au premier alinéa du présent article.</font></p><p>Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités de calcul, de plafonnement ainsi que de mise en œuvre du droit individuel à la formation.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000043048175
IG-20231124
null
LEGIARTI000043675927
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180969
false
false
Section 2 : Droit à la formation
null
null
LEGISCTA000006180969
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 2 : Droit à la formation
<p>Conformément à l'article 6 de la loi n° 2021-771 du 17 juin 2021, ces dispositions entrent en vigueur à compter du 1er janvier 2023.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-13
Code général des collectivités territoriales
Indépendamment des autorisations d'absence et du crédit d'heures prévus aux articles L. 2123-1 , L. 2123-2 et L. 2123-4 , les membres du conseil municipal qui ont la qualité de salarié ont droit à un congé de formation. Ce congé est fixé à dix-huit jours par élu pour la durée du mandat et quel que soit le nombre de mandats qu'il détient. Ce congé est renouvelable en cas de réélection. Les modalités d'application du présent article sont fixées par décret en Conseil d'Etat.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-13
LEGIARTI000006390012
LEGIARTI000006390010
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p>Indépendamment des autorisations d'absence et du crédit d'heures prévus aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389982&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-1 (V)'>L. 2123-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389983&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-2 (V)'>L. 2123-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389989&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-4 (V)'>L. 2123-4</a>, les membres du conseil municipal qui ont la qualité de salarié ont droit à un congé de formation. Ce congé est fixé à dix-huit jours par élu pour la durée du mandat et quel que soit le nombre de mandats qu'il détient. Ce congé est renouvelable en cas de réélection. <p></p><p></p>Les modalités d'application du présent article sont fixées par décret en Conseil d'Etat.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390011
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390012
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180969
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Section 2 : Droit à la formation
null
null
LEGISCTA000006180969
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 2 : Droit à la formation
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-14
Code général des collectivités territoriales
Les frais de déplacement, de séjour et d'enseignement donnent droit à remboursement. Les pertes de revenu subies par l'élu du fait de l'exercice de son droit à la formation prévu par la présente section sont compensées par la commune dans la limite de dix-huit jours par élu pour la durée du mandat et d'une fois et demie la valeur horaire du salaire minimum de croissance par heure. Le montant prévisionnel des dépenses de formation au titre de l'article L. 2123-12 ne peut être inférieur à 2 % du montant total des indemnités de fonction qui peuvent être allouées aux membres du conseil municipal en application des articles L. 2123-23, L. 2123-24, L. 2123-24-1 et , le cas échéant, L. 2123-22 . Le montant réel de ces dépenses de formation ne peut excéder 20 % du même montant. Les crédits relatifs aux dépenses de formation qui n'ont pas été consommés à la clôture de l'exercice au titre duquel ils ont été inscrits sont affectés en totalité au budget de l'exercice suivant. Ils ne peuvent être reportés au-delà de l'année au cours de laquelle intervient le renouvellement de l'assemblée délibérante. Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités d'application de ces dispositions.
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L2123-14
LEGIARTI000043029310
LEGIARTI000006390013
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 19 de l'ordonnance n° 2021-45 du 20 janvier 2021, ces dispositions entrent en vigueur à compter du 1er janvier 2022.
4.0
257,694
null
null
null
Article
<p>Les frais de déplacement, de séjour et d'enseignement donnent droit à remboursement.</p><p>Les pertes de revenu subies par l'élu du fait de l'exercice de son droit à la formation prévu par la présente section sont compensées par la commune dans la limite de dix-huit jours par élu pour la durée du mandat et d'une fois et demie la valeur horaire du salaire minimum de croissance par heure.</p><p>Le montant prévisionnel des dépenses de formation au titre de l'article L. 2123-12 ne peut être inférieur à 2 % du montant total des indemnités de fonction qui peuvent être allouées aux membres du conseil municipal en application des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390037&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 2123-23, L. 2123-24, L. 2123-24-1 et</a>, le cas échéant, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390033&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2123-22</a>. Le montant réel de ces dépenses de formation ne peut excéder 20 % du même montant. Les crédits relatifs aux dépenses de formation qui n'ont pas été consommés à la clôture de l'exercice au titre duquel ils ont été inscrits sont affectés en totalité au budget de l'exercice suivant. Ils ne peuvent être reportés au-delà de l'année au cours de laquelle intervient le renouvellement de l'assemblée délibérante.</p><p>Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités d'application de ces dispositions.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000030437015
IG-20231128
null
LEGIARTI000043029310
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180969
false
false
Section 2 : Droit à la formation
null
null
LEGISCTA000006180969
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 2 : Droit à la formation
<p>Conformément à l'article 19 de l'ordonnance n° 2021-45 du 20 janvier 2021, ces dispositions entrent en vigueur à compter du 1er janvier 2022.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-14-1
Code général des collectivités territoriales
I. - Les communes membres d'un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre peuvent délibérer pour confier à ce dernier, dans les conditions prévues par l'article L. 5211-17, la mise en œuvre des dispositions relatives à la formation des élus prévues aux trois derniers alinéas de l'article L. 2123-12. Elles se prononcent dans les six mois suivant l'installation du conseil municipal suivant chaque renouvellement général. Elles peuvent aussi délibérer à leur initiative à tout moment sur ce sujet. Le transfert entraîne de plein droit la prise en charge par le budget de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre des frais de formation visés à l'article L. 2123-14. Dans les neuf mois suivant l'arrêté du représentant de l'Etat prononçant le transfert en application du présent I, et dans les neuf mois suivant son installation après chaque renouvellement général des conseils municipaux, l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre délibère sur l'exercice du droit à la formation des élus des communes membres. Il détermine les orientations et les crédits ouverts à ce titre. Les dispositions du dernier alinéa de l'article L. 2123-12 sont applicables à compter du transfert. II. - Dans les six mois suivant son renouvellement, lorsqu'il n'a pas été fait application des dispositions prévues au I, l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre délibère sur l'opportunité de proposer des outils communs visant à développer la formation liée à l'exercice du mandat des élus des communes membres prévue à l'article L. 2123-12. Cette délibération précise, le cas échéant, les dispositifs envisagés. Elle peut notamment comprendre l'élaboration d'un plan de formation, les règles permettant d'en assurer le suivi, le financement et l'évaluation. Elle peut également autoriser la participation au financement de formations organisées soit à l'initiative des élus des communes membres au titre de leur droit individuel à la formation mentionné à l'article L. 2123-12-1, soit à l'initiative des communes membres, dans les conditions fixées à l'article L. 2123-12, lorsque ces formations sont liées à l'exercice du mandat. III. - Les dispositions du présent article s'appliquent sans préjudice des articles L. 5211-4-2, L. 5214-16-1, L. 5215-27, L. 5216-7-1 et L. 5217-7.
1,611,273,600,000
32,472,144,000,000
L2123-14-1
LEGIARTI000043029376
LEGIARTI000006390015
AUTONOME
VIGUEUR
Aux termes du II de l'article 7 de l'ordonnance n° 2021-45 du 20 janvier 2021, dans les six mois suivant la ratification de la présente ordonnance, les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre délibèrent en application du II de l'article L. 2123-14-1, sauf lorsqu'ils ont fait application du I du même article.
3.0
343,592
null
null
null
Article
<p>I. - Les communes membres d'un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre peuvent délibérer pour confier à ce dernier, dans les conditions prévues par l'article L. 5211-17, la mise en œuvre des dispositions relatives à la formation des élus prévues aux trois derniers alinéas de l'article L. 2123-12. Elles se prononcent dans les six mois suivant l'installation du conseil municipal suivant chaque renouvellement général. Elles peuvent aussi délibérer à leur initiative à tout moment sur ce sujet.</p><p></p><p> Le transfert entraîne de plein droit la prise en charge par le budget de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre des frais de formation visés à l'article L. 2123-14.</p><p></p><p> Dans les neuf mois suivant l'arrêté du représentant de l'Etat prononçant le transfert en application du présent I, et dans les neuf mois suivant son installation après chaque renouvellement général des conseils municipaux, l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre délibère sur l'exercice du droit à la formation des élus des communes membres. Il détermine les orientations et les crédits ouverts à ce titre. Les dispositions du dernier alinéa de l'article L. 2123-12 sont applicables à compter du transfert.</p><p></p><p> II. - Dans les six mois suivant son renouvellement, lorsqu'il n'a pas été fait application des dispositions prévues au I, l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre délibère sur l'opportunité de proposer des outils communs visant à développer la formation liée à l'exercice du mandat des élus des communes membres prévue à l'article L. 2123-12.</p><p></p><p> Cette délibération précise, le cas échéant, les dispositifs envisagés. Elle peut notamment comprendre l'élaboration d'un plan de formation, les règles permettant d'en assurer le suivi, le financement et l'évaluation. Elle peut également autoriser la participation au financement de formations organisées soit à l'initiative des élus des communes membres au titre de leur droit individuel à la formation mentionné à l'article L. 2123-12-1, soit à l'initiative des communes membres, dans les conditions fixées à l'article L. 2123-12, lorsque ces formations sont liées à l'exercice du mandat.</p><p></p><p> III. - Les dispositions du présent article s'appliquent sans préjudice des articles L. 5211-4-2, L. 5214-16-1, L. 5215-27, L. 5216-7-1 et L. 5217-7.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000041599578
IG-20231128
null
LEGIARTI000043029376
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180969
false
false
Section 2 : Droit à la formation
null
null
LEGISCTA000006180969
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 2 : Droit à la formation
<p>Aux termes du II de l'article 7 de l'ordonnance n° 2021-45 du 20 janvier 2021, dans les six mois suivant la ratification de la présente ordonnance, les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre délibèrent en application du II de l'article L. 2123-14-1, sauf lorsqu'ils ont fait application du I du même article.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-15
Code général des collectivités territoriales
Les dispositions des articles L. 2123-12 à L. 2123-14 ne sont pas applicables aux voyages d'études des conseils municipaux. Les délibérations relatives à ces voyages précisent leur objet, qui doit avoir un lien direct avec l'intérêt de la commune, ainsi que leur coût prévisionnel.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2123-15
LEGIARTI000006390016
LEGIARTI000006390016
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p>Les dispositions des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390008&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-12 (V)'>articles L. 2123-12 à L. 2123-14</a> ne sont pas applicables aux voyages d'études des conseils municipaux. Les délibérations relatives à ces voyages précisent leur objet, qui doit avoir un lien direct avec l'intérêt de la commune, ainsi que leur coût prévisionnel.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390016
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180969
false
false
Section 2 : Droit à la formation
null
null
LEGISCTA000006180969
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 2 : Droit à la formation
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-16
Code général des collectivités territoriales
Les dispositions de la présente section ne s'appliquent que si l'organisme qui dispense la formation a fait l'objet d'un agrément délivré par le ministre chargé des collectivités territoriales dans les conditions fixées à l'article L. 1221-3.
1,611,273,600,000
32,472,144,000,000
L2123-16
LEGIARTI000043029487
LEGIARTI000006390017
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
429,490
null
null
null
Article
<p>Les dispositions de la présente section ne s'appliquent que si l'organisme qui dispense la formation a fait l'objet d'un agrément délivré par le ministre chargé des collectivités territoriales dans les conditions fixées à l'article L. 1221-3.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390017
IG-20231128
null
LEGIARTI000043029487
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180969
false
false
Section 2 : Droit à la formation
null
null
LEGISCTA000006180969
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 2 : Droit à la formation
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-17
Code général des collectivités territoriales
Sans préjudice des dispositions du présent chapitre, les fonctions de maire, d'adjoint et de conseiller municipal sont gratuites.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2123-17
LEGIARTI000006390018
LEGIARTI000006390018
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Sans préjudice des dispositions du présent chapitre, les fonctions de maire, d'adjoint et de conseiller municipal sont gratuites.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390018
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192261
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Sous-section 1 : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006192261
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-18
Code général des collectivités territoriales
Les fonctions de maire, d'adjoint, de conseiller municipal, de président et membre de délégation spéciale donnent droit au remboursement des frais que nécessite l'exécution des mandats spéciaux. Les frais ainsi exposés peuvent être remboursés forfaitairement dans la limite du montant des indemnités journalières allouées à cet effet aux fonctionnaires de l'Etat. Les dépenses de transport effectuées dans l'accomplissement de ces missions sont remboursées selon des modalités fixées par délibération du conseil municipal. Les autres dépenses liées à l'exercice d'un mandat spécial peuvent être remboursées par la commune sur présentation d'un état de frais et après délibération du conseil municipal. S'agissant des frais de garde d'enfants ou d'assistance aux personnes âgées, handicapées ou à celles qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, le remboursement ne peut excéder, par heure, le montant horaire du salaire minimum de croissance.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2123-18
LEGIARTI000041412176
LEGIARTI000006390019
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Les fonctions de maire, d'adjoint, de conseiller municipal, de président et membre de délégation spéciale donnent droit au remboursement des frais que nécessite l'exécution des mandats spéciaux.</p><p>Les frais ainsi exposés peuvent être remboursés forfaitairement dans la limite du montant des indemnités journalières allouées à cet effet aux fonctionnaires de l'Etat.</p><p>Les dépenses de transport effectuées dans l'accomplissement de ces missions sont remboursées selon des modalités fixées par délibération du conseil municipal.</p><p>Les autres dépenses liées à l'exercice d'un mandat spécial peuvent être remboursées par la commune sur présentation d'un état de frais et après délibération du conseil municipal. S'agissant des frais de garde d'enfants ou d'assistance aux personnes âgées, handicapées ou à celles qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, le remboursement ne peut excéder, par heure, le montant horaire du salaire minimum de croissance.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390020
IG-20231124
null
LEGIARTI000041412176
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192263
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Sous-section 2 : Remboursement de frais.
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LEGISCTA000006192263
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-18-1
Code général des collectivités territoriales
Les membres du conseil municipal peuvent bénéficier du remboursement des frais de transport et de séjour qu'ils ont engagés pour se rendre à des réunions dans des instances ou organismes où ils représentent leur commune ès qualités, lorsque la réunion a lieu hors du territoire de celle-ci. Lorsqu'ils sont en situation de handicap, ils peuvent également bénéficier du remboursement des frais spécifiques de déplacement, d'accompagnement et d'aide technique qu'ils ont engagés pour les situations visées à l'alinéa précédent, ainsi que pour prendre part aux séances du conseil municipal et aux réunions des commissions et des instances dont ils font partie ès qualités qui ont lieu sur le territoire de la commune. Ces dispositions s'appliquent aux membres de la délégation spéciale mentionnée à l'article L. 2121-35 . Les modalités d'application du présent article sont fixées par décret en Conseil d'Etat.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-18-1
LEGIARTI000006390023
LEGIARTI000006390023
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p>Les membres du conseil municipal peuvent bénéficier du remboursement des frais de transport et de séjour qu'ils ont engagés pour se rendre à des réunions dans des instances ou organismes où ils représentent leur commune ès qualités, lorsque la réunion a lieu hors du territoire de celle-ci. <p></p><p></p>Lorsqu'ils sont en situation de handicap, ils peuvent également bénéficier du remboursement des frais spécifiques de déplacement, d'accompagnement et d'aide technique qu'ils ont engagés pour les situations visées à l'alinéa précédent, ainsi que pour prendre part aux séances du conseil municipal et aux réunions des commissions et des instances dont ils font partie ès qualités qui ont lieu sur le territoire de la commune. <p></p><p></p>Ces dispositions s'appliquent aux membres de la délégation spéciale mentionnée à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389901&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2121-35 (V)'>L. 2121-35</a>. <p></p><p></p>Les modalités d'application du présent article sont fixées par décret en Conseil d'Etat.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390023
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192263
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Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
null
LEGISCTA000006192263
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-18-1-1
Code général des collectivités territoriales
Selon des conditions fixées par une délibération annuelle, le conseil municipal peut mettre un véhicule à disposition de ses membres ou des agents de la commune lorsque l'exercice de leurs mandats ou de leurs fonctions le justifie. Tout autre avantage en nature fait l'objet d'une délibération nominative, qui en précise les modalités d'usage.
1,381,622,400,000
32,472,144,000,000
L2123-18-1-1
LEGIARTI000028059422
LEGIARTI000028059422
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
107,372
null
null
null
Article
<p>Selon des conditions fixées par une délibération annuelle, le conseil municipal peut mettre un véhicule à disposition de ses membres ou des agents de la commune lorsque l'exercice de leurs mandats ou de leurs fonctions le justifie.</p><p>Tout autre avantage en nature fait l'objet d'une délibération nominative, qui en précise les modalités d'usage.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240726_185357_601_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000028059422
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192263
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Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
null
LEGISCTA000006192263
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-18-2
Code général des collectivités territoriales
Les membres du conseil municipal bénéficient d'un remboursement par la commune des frais de garde d'enfants ou d'assistance aux personnes âgées, handicapées ou ayant besoin d'une aide personnelle à leur domicile qu'ils ont engagés en raison de leur participation aux réunions mentionnées à l'article L. 2123-1. Ce remboursement ne peut excéder, par heure, le montant horaire du salaire minimum de croissance. Les modalités de remboursement sont fixées par délibération du conseil municipal. Dans les communes de moins de 3 500 habitants, le remboursement auquel a procédé la commune est compensé par l'Etat dans les conditions fixées à l'article L. 2335-1.
1,672,531,200,000
32,472,144,000,000
L2123-18-2
LEGIARTI000046874056
LEGIARTI000006390024
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Les membres du conseil municipal bénéficient d'un remboursement par la commune des frais de garde d'enfants ou d'assistance aux personnes âgées, handicapées ou ayant besoin d'une aide personnelle à leur domicile qu'ils ont engagés en raison de leur participation aux réunions mentionnées à l'article L. 2123-1. Ce remboursement ne peut excéder, par heure, le montant horaire du salaire minimum de croissance. Les modalités de remboursement sont fixées par délibération du conseil municipal.<br/><br/> Dans les communes de moins de 3 500 habitants, le remboursement auquel a procédé la commune est compensé par l'Etat dans les conditions fixées à l'article L. 2335-1.<br/></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000041412086
MD-20240429_185939_936_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000046874056
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192263
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Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
null
LEGISCTA000006192263
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-18-3
Code général des collectivités territoriales
Les dépenses exceptionnelles d'assistance et de secours engagées en cas d'urgence par le maire ou un adjoint sur leurs deniers personnels peuvent leur être remboursées par la commune sur justificatif, après délibération du conseil municipal.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-18-3
LEGIARTI000006390025
LEGIARTI000006390025
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> Les dépenses exceptionnelles d'assistance et de secours engagées en cas d'urgence par le maire ou un adjoint sur leurs deniers personnels peuvent leur être remboursées par la commune sur justificatif, après délibération du conseil municipal.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390025
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192263
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Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
null
LEGISCTA000006192263
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-18-4
Code général des collectivités territoriales
Lorsque les maires et les adjoints au maire utilisent le chèque emploi-service universel prévu par l'article L. 1271-1 du code du travail pour assurer la rémunération des salariés ou des associations ou entreprises agréées chargés soit de la garde des enfants, soit de l'assistance aux personnes âgées, handicapées ou à celles qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile ou d'une aide à la mobilité dans l'environnement de proximité favorisant leur maintien à domicile en application des articles L. 7231-1 et L. 7232-1 du même code, le conseil municipal peut accorder par délibération une aide financière en faveur des élus concernés, dans des conditions fixées par décret. Le bénéfice du présent article ne peut se cumuler avec celui du quatrième alinéa de l'article L. 2123-18 et de l'article L. 2123-18-2 .
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2123-18-4
LEGIARTI000041412072
LEGIARTI000006390026
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Lorsque les maires et les adjoints au maire utilisent le chèque emploi-service universel prévu par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006901387&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 1271-1 </a>du code du travail pour assurer la rémunération des salariés ou des associations ou entreprises agréées chargés soit de la garde des enfants, soit de l'assistance aux personnes âgées, handicapées ou à celles qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile ou d'une aide à la mobilité dans l'environnement de proximité favorisant leur maintien à domicile en application des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904693&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 7231-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904695&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 7232-1 </a>du même code, le conseil municipal peut accorder par délibération une aide financière en faveur des élus concernés, dans des conditions fixées par décret.</p><p>Le bénéfice du présent article ne peut se cumuler avec celui du quatrième alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390019&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2123-18 </a>et de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390024&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2123-18-2</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000021479369
MD-20240322_202508_053_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000041412072
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192263
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Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
null
LEGISCTA000006192263
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-19
Code général des collectivités territoriales
Le conseil municipal peut voter, sur les ressources ordinaires, des indemnités au maire pour frais de représentation.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-19
LEGIARTI000006390022
LEGIARTI000006390021
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p> Le conseil municipal peut voter, sur les ressources ordinaires, des indemnités au maire pour frais de représentation.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390021
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390022
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192263
false
false
Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
null
LEGISCTA000006192263
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 2 : Remboursement de frais.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-20
Code général des collectivités territoriales
I.-Les indemnités allouées au titre de l'exercice des fonctions de maire et de président de délégation spéciale et les indemnités maximales pour l'exercice effectif des fonctions d'adjoint au maire des communes, de conseiller municipal des communes de 100 000 habitants et plus ou de membre de délégations spéciales qui fait fonction d'adjoint sont fixées par référence au montant du traitement correspondant à l'indice brut terminal de l'échelle indiciaire de la fonction publique. II.-L'élu municipal titulaire d'autres mandats électoraux ou qui siège à ce titre au conseil d'administration d'un établissement public local, du centre national de la fonction publique territoriale, au conseil d'administration ou au conseil de surveillance d'une société ou qui préside une société ne peut percevoir, pour l'ensemble de ses fonctions, un montant total de rémunérations et d'indemnités de fonction supérieur à une fois et demie le montant de l'indemnité parlementaire telle qu'elle est définie à l'article 1er de l'ordonnance n° 58-1210 du 13 décembre 1958 portant loi organique relative à l'indemnité des membres du Parlement. Ce plafond s'entend déduction faite des cotisations sociales obligatoires. III.-Lorsqu'en application des dispositions du II, le montant total de rémunération et d'indemnité de fonction d'un conseiller municipal fait l'objet d'un écrêtement, la part écrêtée est reversée au budget de la personne publique au sein de laquelle le conseiller municipal exerce le plus récemment un mandat ou une fonction.
1,645,574,400,000
32,472,144,000,000
L2123-20
LEGIARTI000045214201
LEGIARTI000006390028
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
195,225,786
null
null
null
Article
<p></p><p>I.-Les indemnités allouées au titre de l'exercice des fonctions de maire et de président de délégation spéciale et les indemnités maximales pour l'exercice effectif des fonctions d'adjoint au maire des communes, de conseiller municipal des communes de 100 000 habitants et plus ou de membre de délégations spéciales qui fait fonction d'adjoint sont fixées par référence au montant du traitement correspondant à l'indice brut terminal de l'échelle indiciaire de la fonction publique.</p><p>II.-L'élu municipal titulaire d'autres mandats électoraux ou qui siège à ce titre au conseil d'administration d'un établissement public local, du centre national de la fonction publique territoriale, au conseil d'administration ou au conseil de surveillance d'une société ou qui préside une société ne peut percevoir, pour l'ensemble de ses fonctions, un montant total de rémunérations et d'indemnités de fonction supérieur à une fois et demie le montant de l'indemnité parlementaire telle qu'elle est définie à l'article 1er de <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000705195&categorieLien=cid'>l'ordonnance n° 58-1210 du 13 décembre 1958</a> portant loi organique relative à l'indemnité des membres du Parlement. Ce plafond s'entend déduction faite des cotisations sociales obligatoires.</p><p>III.-Lorsqu'en application des dispositions du II, le montant total de rémunération et d'indemnité de fonction d'un conseiller municipal fait l'objet d'un écrêtement, la part écrêtée est reversée au budget de la personne publique au sein de laquelle le conseiller municipal exerce le plus récemment un mandat ou une fonction.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000030436842
MD-20240322_202508_053_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000045214201
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192264
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false
Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
null
LEGISCTA000006192264
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-20-1
Code général des collectivités territoriales
I. – Lorsque le conseil municipal est renouvelé, les indemnités de ses membres, à l'exception de l'indemnité du maire, sont fixées par délibération. Cette délibération intervient dans les trois mois suivant l'installation du conseil municipal. II. – Sauf décision contraire de la délégation spéciale, ses membres qui font fonction d'adjoint perçoivent l'indemnité fixée par délibération du conseil municipal pour les adjoints. III. – Toute délibération du conseil municipal concernant les indemnités de fonction d'un ou de plusieurs de ses membres, à l'exception du maire, est accompagnée d'un tableau annexe récapitulant l'ensemble des indemnités allouées aux autres membres du conseil municipal.
1,451,606,400,000
32,472,144,000,000
L2123-20-1
LEGIARTI000030436839
LEGIARTI000006390030
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
390,451,572
null
null
null
Article
<p>I. – Lorsque le conseil municipal est renouvelé, les indemnités de ses membres, à l'exception de l'indemnité du maire, sont fixées par délibération. Cette délibération intervient dans les trois mois suivant l'installation du conseil municipal.</p><p>II. – Sauf décision contraire de la délégation spéciale, ses membres qui font fonction d'adjoint perçoivent l'indemnité fixée par délibération du conseil municipal pour les adjoints.</p><p>III. – Toute délibération du conseil municipal concernant les indemnités de fonction d'un ou de plusieurs de ses membres, à l'exception du maire, est accompagnée d'un tableau annexe récapitulant l'ensemble des indemnités allouées aux autres membres du conseil municipal.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390030
IG-20231124
null
LEGIARTI000030436839
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192264
false
false
Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
null
LEGISCTA000006192264
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-21
Code général des collectivités territoriales
Le maire délégué, visé à l'article L. 2113-13 , perçoit l'indemnité correspondant à l'exercice effectif des fonctions de maire, fixée conformément aux articles L. 2123-20 et L. 2123-23 en fonction de la population de la commune associée. Les adjoints au maire délégué perçoivent l'indemnité correspondant à l'exercice effectif des fonctions d'adjoint, fixée conformément au I de l'article L. 2123-24 en fonction de la population de la commune associée. Le deuxième alinéa du présent article est applicable aux maires délégués des communes issues d'une fusion de communes en application de la section 3 du chapitre III du titre Ier du présent livre, dans sa rédaction antérieure à la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales.
1,478,736,000,000
32,472,144,000,000
L2123-21
LEGIARTI000033360756
LEGIARTI000006390031
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
585,677,358
null
null
null
Article
<p>Le maire délégué, visé à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389835&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2113-13</a>, perçoit l'indemnité correspondant à l'exercice effectif des fonctions de maire, fixée conformément aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390028&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2123-20 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390037&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2123-23 </a>en fonction de la population de la commune associée. </p><p>Les adjoints au maire délégué perçoivent l'indemnité correspondant à l'exercice effectif des fonctions d'adjoint, fixée conformément au I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390042&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2123-24 </a>en fonction de la population de la commune associée. </p><p>Le deuxième alinéa du présent article est applicable aux maires délégués des communes issues d'une fusion de communes en application de la section 3 du chapitre III du titre Ier du présent livre, dans sa rédaction antérieure à la loi n° <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000023239624&categorieLien=cid'>2010-1563</a> du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390032
IG-20231129
null
LEGIARTI000033360756
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192264
false
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Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
null
LEGISCTA000006192264
null
null
null
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null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-22
Code général des collectivités territoriales
Peuvent voter des majorations d'indemnités de fonction par rapport à celles votées par le conseil municipal dans les limites prévues par l'article L. 2123-23 , par le I de l'article L. 2123-24 et par les I et III de l'article L. 2123-24-1, les conseils municipaux : 1° 1° Des communes chefs-lieux de département et d'arrondissement ainsi que des communes sièges du bureau centralisateur du canton ou qui avaient la qualité de chef-lieu de canton avant la modification des limites territoriales des cantons prévues en application de la loi n° 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral ; 2° Des communes sinistrées ; 3° Des communes classées stations de tourisme au sens de la sous-section 2 de la section 2 du chapitre III du titre III du livre Ier du code du tourisme ; 4° Des communes dont la population, depuis le dernier recensement, a augmenté à la suite de la mise en route de travaux publics d'intérêt national tels que les travaux d'électrification ; 5° Des communes qui, au cours de l'un au moins des trois exercices précédents, ont été attributaires de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale prévue aux articles L. 2334-15 à L. 2334-18-4 ou des communes de 5 000 habitants ou plus qui, au cours de l'un au moins des trois exercices précédents, ont été attributaires de l'enveloppe de la dotation d'aménagement des communes d'outre-mer prévue au 1° du II de l'article L. 2334-23-1. Pour l'application du présent 5°, la population à prendre en compte est celle définie à l'article L. 2334-2. L'application de majorations aux indemnités de fonction fait l'objet d'un vote distinct. Le conseil municipal vote, dans un premier temps, le montant des indemnités de fonction, dans le respect de l'enveloppe indemnitaire globale définie au II de l'article L. 2123-24. Dans un second temps, il se prononce sur les majorations prévues au premier alinéa du présent article, sur la base des indemnités votées après répartition de l'enveloppe. Ces deux décisions peuvent intervenir au cours de la même séance.
1,645,574,400,000
32,472,144,000,000
L2123-22
LEGIARTI000045213516
LEGIARTI000006390033
AUTONOME
VIGUEUR
8.0
780,903,144
null
null
null
Article
<p>Peuvent voter des majorations d'indemnités de fonction par rapport à celles votées par le conseil municipal dans les limites prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390037&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2123-23</a>, par le I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390042&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2123-24 </a>et par les I et III de l'article L. 2123-24-1, les conseils municipaux :</p><p>1° 1° Des communes chefs-lieux de département et d'arrondissement ainsi que des communes sièges du bureau centralisateur du canton ou qui avaient la qualité de chef-lieu de canton avant la modification des limites territoriales des cantons prévues en application de la loi n° 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral ;</p><p>2° Des communes sinistrées ;</p><p>3° Des communes classées stations de tourisme au sens de la <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006074073&idSectionTA=LEGISCTA000006175575&dateTexte=&categorieLien=cid'>sous-section 2</a> de la section 2 du chapitre III du titre III du livre Ier du code du tourisme ;</p><p>4° Des communes dont la population, depuis le dernier recensement, a augmenté à la suite de la mise en route de travaux publics d'intérêt national tels que les travaux d'électrification ;</p><p>5° Des communes qui, au cours de l'un au moins des trois exercices précédents, ont été attributaires de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale prévue aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390840&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 2334-15 à L. 2334-18-4</a> ou des communes de 5 000 habitants ou plus qui, au cours de l'un au moins des trois exercices précédents, ont été attributaires de l'enveloppe de la dotation d'aménagement des communes d'outre-mer prévue au 1° du II de l'article L. 2334-23-1. Pour l'application du présent 5°, la population à prendre en compte est celle définie à l'article L. 2334-2.</p><p>L'application de majorations aux indemnités de fonction fait l'objet d'un vote distinct. Le conseil municipal vote, dans un premier temps, le montant des indemnités de fonction, dans le respect de l'enveloppe indemnitaire globale définie au II de l'article L. 2123-24. Dans un second temps, il se prononce sur les majorations prévues au premier alinéa du présent article, sur la base des indemnités votées après répartition de l'enveloppe. Ces deux décisions peuvent intervenir au cours de la même séance.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000041412106
IG-20231124
null
LEGIARTI000045213516
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192264
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Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
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LEGISCTA000006192264
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-23
Code général des collectivités territoriales
Les maires des communes ou les présidents de délégations spéciales perçoivent une indemnité de fonction fixée en appliquant au terme de référence mentionné à l'article L. 2123-20 le barème suivant : Population (habitants) Taux (en % de l'indice) Moins de 500 25,5 De 500 à 999 40,3 De 1 000 à 3 499 51,6 De 3 500 à 9 999 55 De 10 000 à 19 999 65 De 20 000 à 49 999 90 De 50 000 à 99 999 110 100 000 et plus 145 Le conseil municipal peut, par délibération, fixer une indemnité de fonction inférieure au barème ci-dessus, à la demande du maire. L'indemnité de fonction versée aux maires des communes de 100 000 habitants et plus peut être majorée de 40 % du barème prévu au deuxième alinéa, à condition que ne soit pas dépassé le montant total des indemnités maximales susceptibles d'être allouées aux membres du conseil municipal hors prise en compte de ladite majoration.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2123-23
LEGIARTI000041412100
LEGIARTI000006390037
AUTONOME
VIGUEUR
9.0
976,128,930
null
null
null
Article
<p align='left'>Les maires des communes ou les présidents de délégations spéciales perçoivent une indemnité de fonction fixée en appliquant au terme de référence mentionné à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390028&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 2123-20</a> le barème suivant :</p><p></p><center><table border='1'><tbody><tr><th><br/> Population<br/><br/> (habitants)</th><th><br/> Taux<br/><br/> (en % de l'indice)</th></tr><tr><td align='justify'><br/> Moins de 500</td><td align='right'><br/> 25,5</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 500 à 999</td><td align='right'><br/> 40,3</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 1 000 à 3 499</td><td align='right'><br/> 51,6</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 3 500 à 9 999</td><td align='right'><br/> 55</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 10 000 à 19 999</td><td align='right'><br/> 65</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 20 000 à 49 999</td><td align='right'><br/> 90</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 50 000 à 99 999</td><td align='right'><br/> 110</td></tr><tr><td align='justify'><br/> 100 000 et plus</td><td align='right'><br/> 145</td></tr></tbody></table></center><p></p><p></p><p></p><p></p><p></p><p align='left'>Le conseil municipal peut, par délibération, fixer une indemnité de fonction inférieure au barème ci-dessus, à la demande du maire.</p><p align='left'>L'indemnité de fonction versée aux maires des communes de 100 000 habitants et plus peut être majorée de 40 % du barème prévu au deuxième alinéa, à condition que ne soit pas dépassé le montant total des indemnités maximales susceptibles d'être allouées aux membres du conseil municipal hors prise en compte de ladite majoration.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000036432208
IG-20231129
null
LEGIARTI000041412100
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192264
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Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
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null
LEGISCTA000006192264
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-24
Code général des collectivités territoriales
I. – Les indemnités votées par les conseils municipaux pour l'exercice effectif des fonctions d'adjoint au maire et de membre de délégation spéciale faisant fonction d'adjoint au maire sont déterminées en appliquant au terme de référence mentionné à l'article L. 2123-20 le barème suivant : Population (habitants) Taux maximal (en % de l'indice) Moins de 500 9,9 De 500 à 999 10,7 De 1 000 à 3 499 19,8 De 3 500 à 9 999 22 De 10 000 à 19 999 27,5 De 20 000 à 49 999 33 De 50 000 à 99 999 44 De 100 000 à 200 000 66 Plus de 200 000 72,5 II. – L'indemnité versée à un adjoint peut dépasser le maximum prévu au I, à condition que le montant total des indemnités maximales susceptibles d'être allouées au maire et aux adjoints ne soit pas dépassé. III. – Lorsqu'un adjoint supplée le maire dans les conditions prévues par l'article L. 2122-17 , il peut percevoir, pendant la durée de la suppléance et après délibération du conseil municipal, l'indemnité fixée pour le maire par l'article L. 2123-23 , éventuellement majorée comme le prévoit l'article L. 2123-22 . Cette indemnité peut être versée à compter de la date à laquelle la suppléance est effective. IV. – En aucun cas l'indemnité versée à un adjoint ne peut dépasser l'indemnité fixée pour le maire en application des articles L. 2123-22 et L. 2123-23. V. – Par dérogation au I, dans les communes de 20 000 habitants au moins, lorsqu'un adjoint a interrompu toute activité professionnelle pour exercer son mandat et que le maire lui retire les délégations de fonctions qu'il lui avait accordées, la commune continue de lui verser, dans les cas où il ne retrouve pas d'activité professionnelle et pendant trois mois au maximum, l'indemnité de fonction qu'il percevait avant le retrait de la délégation.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2123-24
LEGIARTI000041412092
LEGIARTI000006390042
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
1,366,580,502
null
null
null
Article
<p>I. – Les indemnités votées par les conseils municipaux pour l'exercice effectif des fonctions d'adjoint au maire et de membre de délégation spéciale faisant fonction d'adjoint au maire sont déterminées en appliquant au terme de référence mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390028&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2123-20 </a>le barème suivant :</p><center><table border='1'><tbody><tr><th><br/> Population<br/><br/> (habitants)</th><th><br/> Taux maximal<br/><br/> (en % de l'indice)</th></tr><tr><td align='justify'><br/> Moins de 500</td><td align='right'><br/> 9,9</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 500 à 999</td><td align='right'><br/> 10,7</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 1 000 à 3 499</td><td align='right'><br/> 19,8</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 3 500 à 9 999</td><td align='right'><br/> 22</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 10 000 à 19 999</td><td align='right'><br/> 27,5</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 20 000 à 49 999</td><td align='right'><br/> 33</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 50 000 à 99 999</td><td align='right'><br/> 44</td></tr><tr><td align='justify'><br/> De 100 000 à 200 000</td><td align='right'><br/> 66</td></tr><tr><td align='justify'><br/> Plus de 200 000</td><td align='right'><br/> 72,5</td></tr></tbody></table></center><p></p><p></p><p></p><p></p><p></p><p>II. – L'indemnité versée à un adjoint peut dépasser le maximum prévu au I, à condition que le montant total des indemnités maximales susceptibles d'être allouées au maire et aux adjoints ne soit pas dépassé.</p><p>III. – Lorsqu'un adjoint supplée le maire dans les conditions prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389936&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2122-17</a>, il peut percevoir, pendant la durée de la suppléance et après délibération du conseil municipal, l'indemnité fixée pour le maire par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000041412100&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-23 (V)'>L. 2123-23</a>, éventuellement majorée comme le prévoit l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000041412106&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-22 (M)'>L. 2123-22</a>. Cette indemnité peut être versée à compter de la date à laquelle la suppléance est effective.</p><p>IV. – En aucun cas l'indemnité versée à un adjoint ne peut dépasser l'indemnité fixée pour le maire en application des articles L. 2123-22 et L. 2123-23.</p><p>V. – Par dérogation au I, dans les communes de 20 000 habitants au moins, lorsqu'un adjoint a interrompu toute activité professionnelle pour exercer son mandat et que le maire lui retire les délégations de fonctions qu'il lui avait accordées, la commune continue de lui verser, dans les cas où il ne retrouve pas d'activité professionnelle et pendant trois mois au maximum, l'indemnité de fonction qu'il percevait avant le retrait de la délégation.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000030436797
IG-20231124
null
LEGIARTI000041412092
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192264
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Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
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null
LEGISCTA000006192264
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null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-24-1
Code général des collectivités territoriales
I. – Les indemnités votées par les conseils municipaux des communes de 100 000 habitants au moins pour l'exercice effectif des fonctions de conseiller municipal sont au maximum égales à 6 % du terme de référence mentionné au I de l'article L. 2123-20. II. – Dans les communes de moins de 100 000 habitants, il peut être versé une indemnité pour l'exercice effectif des fonctions de conseiller municipal dans les limites prévues par le II de l'article L. 2123-24. Cette indemnité est au maximum égale à 6 % du terme de référence mentionné au I de l'article L. 2123-20. III. – Les conseillers municipaux auxquels le maire délègue une partie de ses fonctions en application des articles L. 2122-18 et L. 2122-20 peuvent percevoir une indemnité allouée par le conseil municipal dans les limites prévues par le II de l'article L. 2123-24. Cette indemnité n'est pas cumulable avec celle prévue par le II du présent article. IV. – Lorsqu'un conseiller municipal supplée le maire dans les conditions prévues par l'article L. 2122-17 , il peut percevoir, pendant la durée de la suppléance et après délibération du conseil municipal, l'indemnité fixée pour le maire par l'article L. 2123-23, éventuellement majorée comme le prévoit l'article L. 2123-22. Cette indemnité peut être versée à compter de la date à laquelle la suppléance est effective. V. – En aucun cas l'indemnité versée à un conseiller municipal ne peut dépasser l'indemnité fixée pour le maire de la commune en application des articles L. 2123-22 et L. 2123-23.
1,451,606,400,000
32,472,144,000,000
L2123-24-1
LEGIARTI000030436805
LEGIARTI000006390044
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,561,806,288
null
null
null
Article
<p>I. – Les indemnités votées par les conseils municipaux des communes de 100 000 habitants au moins pour l'exercice effectif des fonctions de conseiller municipal sont au maximum égales à 6 % du terme de référence mentionné au I de l'article L. 2123-20. </p><p>II. – Dans les communes de moins de 100 000 habitants, il peut être versé une indemnité pour l'exercice effectif des fonctions de conseiller municipal dans les limites prévues par le II de l'article L. 2123-24. Cette indemnité est au maximum égale à 6 % du terme de référence mentionné au I de l'article L. 2123-20. </p><p>III. – Les conseillers municipaux auxquels le maire délègue une partie de ses fonctions en application des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389938&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2122-18 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389946&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2122-20 (V)'>L. 2122-20</a> peuvent percevoir une indemnité allouée par le conseil municipal dans les limites prévues par le II de l'article L. 2123-24. Cette indemnité n'est pas cumulable avec celle prévue par le II du présent article. </p><p>IV. – Lorsqu'un conseiller municipal supplée le maire dans les conditions prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389936&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2122-17</a>, il peut percevoir, pendant la durée de la suppléance et après délibération du conseil municipal, l'indemnité fixée pour le maire par l'article L. 2123-23, éventuellement majorée comme le prévoit l'article L. 2123-22. Cette indemnité peut être versée à compter de la date à laquelle la suppléance est effective. </p><p>V. – En aucun cas l'indemnité versée à un conseiller municipal ne peut dépasser l'indemnité fixée pour le maire de la commune en application des articles L. 2123-22 et L. 2123-23.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390044
MD-20240322_202511_228_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000030436805
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192264
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Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
null
LEGISCTA000006192264
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-24-1-1
Code général des collectivités territoriales
Chaque année, les communes établissent un état présentant l'ensemble des indemnités de toute nature, libellées en euros, dont bénéficient les élus siégeant au conseil municipal, au titre de tout mandat et de toutes fonctions exercés en leur sein et au sein de tout syndicat au sens des livres VII et VIII de la cinquième partie ou de toute société mentionnée au livre V de la première partie ou filiale d'une de ces sociétés. Cet état est communiqué chaque année aux conseillers municipaux avant l'examen du budget de la commune.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2123-24-1-1
LEGIARTI000039799565
LEGIARTI000039799560
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,952,257,860
null
null
null
Article
<p>Chaque année, les communes établissent un état présentant l'ensemble des indemnités de toute nature, libellées en euros, dont bénéficient les élus siégeant au conseil municipal, au titre de tout mandat et de toutes fonctions exercés en leur sein et au sein de tout syndicat au sens des livres VII et VIII de la cinquième partie ou de toute société mentionnée au livre V de la première partie ou filiale d'une de ces sociétés. Cet état est communiqué chaque année aux conseillers municipaux avant l'examen du budget de la commune.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000039799565
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192264
false
false
Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
null
LEGISCTA000006192264
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-24-2
Code général des collectivités territoriales
Dans des conditions fixées par leur règlement intérieur, le montant des indemnités de fonction que le conseil municipal alloue à ses membres peut être modulé en fonction de leur participation effective aux séances plénières et aux réunions des commissions dont ils sont membres. La réduction éventuelle de ce montant ne peut dépasser, pour chacun des membres, la moitié de l'indemnité pouvant lui être allouée.
1,717,718,400,000
32,472,144,000,000
L2123-24-2
LEGIARTI000049671459
LEGIARTI000039799582
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,049,870,753
null
null
null
Article
<p>Dans des conditions fixées par leur règlement intérieur, le montant des indemnités de fonction que le conseil municipal alloue à ses membres peut être modulé en fonction de leur participation effective aux séances plénières et aux réunions des commissions dont ils sont membres. La réduction éventuelle de ce montant ne peut dépasser, pour chacun des membres, la moitié de l'indemnité pouvant lui être allouée.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000041403753
MD-20240607_191448_149_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049671459
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192264
false
false
Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
null
LEGISCTA000006192264
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 3 : Indemnités des titulaires de mandats municipaux &gt; Sous-section 3 : Indemnités de fonction.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-25
Code général des collectivités territoriales
Le temps d'absence prévu aux articles L. 2123-1 , L. 2123-2 et L. 2123-4 est assimilé à une durée de travail effective pour la détermination du droit aux prestations sociales.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-25
LEGIARTI000006390046
LEGIARTI000006390045
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p>Le temps d'absence prévu aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389982&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-1 (V)'>L. 2123-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389983&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-2 (V)'>L. 2123-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389989&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-4 (V)'>L. 2123-4</a> est assimilé à une durée de travail effective pour la détermination du droit aux prestations sociales.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390045
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390046
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192265
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false
Sous-section 1 : Sécurité sociale.
null
null
LEGISCTA000006192265
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 4 : Protection sociale &gt; Sous-section 1 : Sécurité sociale.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-25-1
Code général des collectivités territoriales
Lorsqu'un élu qui perçoit une indemnité de fonction et qui n'a pas interrompu toute activité professionnelle ne peut exercer effectivement ses fonctions en cas de maladie, maternité, paternité ou accident, le montant de l'indemnité de fonction qui lui est versée est au plus égal à la différence entre l'indemnité qui lui était allouée antérieurement et les indemnités journalières versées par son régime de protection sociale. Les conditions d'application du présent article sont fixées par décret.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-25-1
LEGIARTI000006390047
LEGIARTI000006390047
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Lorsqu'un élu qui perçoit une indemnité de fonction et qui n'a pas interrompu toute activité professionnelle ne peut exercer effectivement ses fonctions en cas de maladie, maternité, paternité ou accident, le montant de l'indemnité de fonction qui lui est versée est au plus égal à la différence entre l'indemnité qui lui était allouée antérieurement et les indemnités journalières versées par son régime de protection sociale.<p></p><p></p> Les conditions d'application du présent article sont fixées par décret.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390047
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192265
false
false
Sous-section 1 : Sécurité sociale.
null
null
LEGISCTA000006192265
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 4 : Protection sociale &gt; Sous-section 1 : Sécurité sociale.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-25-2
Code général des collectivités territoriales
Les élus municipaux sont affiliés au régime général de sécurité sociale dans les conditions définies à l' article L. 382-31 du code de la sécurité sociale . Les cotisations des communes et celles de l'élu sont calculées sur le montant des indemnités effectivement perçues par ce dernier en application des dispositions du présent code. Un décret fixe les conditions d'application du présent article.
1,356,998,400,000
32,472,144,000,000
L2123-25-2
LEGIARTI000026798580
LEGIARTI000006390048
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p> Les élus municipaux sont affiliés au régime général de sécurité sociale dans les conditions définies à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000026790815&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 382-31 du code de la sécurité sociale</a>. </p><p></p><p> Les cotisations des communes et celles de l'élu sont calculées sur le montant des indemnités effectivement perçues par ce dernier en application des dispositions du présent code.</p><p></p><p> Un décret fixe les conditions d'application du présent article.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390048
MD-20240322_202511_228_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000026798580
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192265
false
false
Sous-section 1 : Sécurité sociale.
null
null
LEGISCTA000006192265
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 4 : Protection sociale &gt; Sous-section 1 : Sécurité sociale.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-27
Code général des collectivités territoriales
Les élus qui perçoivent une indemnité de fonction en application des dispositions du présent code ou de toute autre disposition régissant l'indemnisation de leurs fonctions peuvent constituer une retraite par rente à la gestion de laquelle doivent participer les élus affiliés. La constitution de cette rente incombe pour moitié à l'élu et pour moitié à la commune. Un décret en Conseil d'Etat fixe le plafond des taux de cotisation.
1,356,998,400,000
32,472,144,000,000
L2123-27
LEGIARTI000026798584
LEGIARTI000006390051
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p>Les élus qui perçoivent une indemnité de fonction en application des dispositions du présent code ou de toute autre disposition régissant l'indemnisation de leurs fonctions peuvent constituer une retraite par rente à la gestion de laquelle doivent participer les élus affiliés. <p></p><p></p>La constitution de cette rente incombe pour moitié à l'élu et pour moitié à la commune. <p></p><p></p>Un décret en Conseil d'Etat fixe le plafond des taux de cotisation.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390052
MD-20240322_202508_053_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000026798584
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192266
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false
Sous-section 2 : Retraite.
null
null
LEGISCTA000006192266
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 4 : Protection sociale &gt; Sous-section 2 : Retraite.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-28
Code général des collectivités territoriales
Les élus qui perçoivent une indemnité de fonction en application des dispositions du présent code ou de toute autre disposition régissant l'indemnisation de leurs fonctions sont affiliés au régime complémentaire de retraite institué au profit des agents non titulaires des collectivités publiques. Les pensions versées en exécution du présent article sont cumulables sans limitation avec toutes autres pensions ou retraites. Un décret fixe les conditions dans lesquelles sont pris en compte les services rendus par les maires et adjoints.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2123-28
LEGIARTI000006390053
LEGIARTI000006390053
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> Les élus qui perçoivent une indemnité de fonction en application des dispositions du présent code ou de toute autre disposition régissant l'indemnisation de leurs fonctions sont affiliés au régime complémentaire de retraite institué au profit des agents non titulaires des collectivités publiques.<p></p><p></p> Les pensions versées en exécution du présent article sont cumulables sans limitation avec toutes autres pensions ou retraites.<p></p><p></p> Un décret fixe les conditions dans lesquelles sont pris en compte les services rendus par les maires et adjoints.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390053
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192266
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false
Sous-section 2 : Retraite.
null
null
LEGISCTA000006192266
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 4 : Protection sociale &gt; Sous-section 2 : Retraite.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-29
Code général des collectivités territoriales
Les cotisations des communes et celles de leurs élus résultant de l'application des articles L. 2123-27 et L. 2123-28 sont calculées sur le montant des indemnités effectivement perçues par ces derniers en application des dispositions du présent code ou de toute autre disposition régissant l'indemnisation de leurs fonctions. Les cotisations des élus ont un caractère personnel et obligatoire.
1,356,998,400,000
32,472,144,000,000
L2123-29
LEGIARTI000026798577
LEGIARTI000006390054
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p>Les cotisations des communes et celles de leurs élus résultant de l'application des articles L. 2123-27 et L. 2123-28 sont calculées sur le montant des indemnités effectivement perçues par ces derniers en application des dispositions du présent code ou de toute autre disposition régissant l'indemnisation de leurs fonctions. <p></p><p></p>Les cotisations des élus ont un caractère personnel et obligatoire.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390054
IG-20231128
null
LEGIARTI000026798577
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192266
false
false
Sous-section 2 : Retraite.
null
null
LEGISCTA000006192266
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 4 : Protection sociale &gt; Sous-section 2 : Retraite.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-30
Code général des collectivités territoriales
Les pensions de retraite déjà liquidées et les droits acquis avant le 30 mars 1992 des élus communaux continuent d'être honorés par les institutions et organismes auprès desquels ils ont été constitués ou auprès desquels ils ont été transférés. Les charges correspondantes sont notamment couvertes, le cas échéant, par une subvention d'équilibre versée par les collectivités concernées. Les élus mentionnés à l'alinéa précédent, en fonction ou ayant acquis des droits à une pension de retraite avant le 30 mars 1992, peuvent continuer à cotiser à ces institutions et organismes. La commune au sein de laquelle l'élu exerce son mandat contribue dans la limite prévue à l'article L. 2123-27 .
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2123-30
LEGIARTI000006390055
LEGIARTI000006390055
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p>Les pensions de retraite déjà liquidées et les droits acquis avant le 30 mars 1992 des élus communaux continuent d'être honorés par les institutions et organismes auprès desquels ils ont été constitués ou auprès desquels ils ont été transférés. Les charges correspondantes sont notamment couvertes, le cas échéant, par une subvention d'équilibre versée par les collectivités concernées. <p></p><p></p>Les élus mentionnés à l'alinéa précédent, en fonction ou ayant acquis des droits à une pension de retraite avant le 30 mars 1992, peuvent continuer à cotiser à ces institutions et organismes. <p></p><p></p>La commune au sein de laquelle l'élu exerce son mandat contribue dans la limite prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390051&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-27 (V)'>L. 2123-27</a>.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390055
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192266
false
false
Sous-section 2 : Retraite.
null
null
LEGISCTA000006192266
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 4 : Protection sociale &gt; Sous-section 2 : Retraite.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-31
Code général des collectivités territoriales
Les communes sont responsables des dommages résultant des accidents subis par les maires, les adjoints et les présidents de délégation spéciale dans l'exercice de leurs fonctions.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2123-31
LEGIARTI000006390057
LEGIARTI000006390057
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Les communes sont responsables des dommages résultant des accidents subis par les maires, les adjoints et les présidents de délégation spéciale dans l'exercice de leurs fonctions.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390057
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180972
false
false
Section 5 : Responsabilité des communes en cas d'accident
null
null
LEGISCTA000006180972
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 5 : Responsabilité des communes en cas d'accident
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-32
Code général des collectivités territoriales
Lorsque les élus locaux mentionnés aux articles L. 2123-31 et L. 2123-33 sont victimes d'un accident survenu dans l'exercice de leurs fonctions, les collectivités publiques concernées versent directement aux praticiens, pharmaciens, auxiliaires médicaux, fournisseurs ainsi qu'aux établissements le montant des prestations afférentes à cet accident calculé selon les tarifs appliqués en matière d'assurance maladie.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2123-32
LEGIARTI000006390059
LEGIARTI000006390058
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p>Lorsque les élus locaux mentionnés aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390057&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-31 (V)'>L. 2123-31 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390060&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2123-33 (V)'>L. 2123-33</a> sont victimes d'un accident survenu dans l'exercice de leurs fonctions, les collectivités publiques concernées versent directement aux praticiens, pharmaciens, auxiliaires médicaux, fournisseurs ainsi qu'aux établissements le montant des prestations afférentes à cet accident calculé selon les tarifs appliqués en matière d'assurance maladie.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390058
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390059
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180972
false
false
Section 5 : Responsabilité des communes en cas d'accident
null
null
LEGISCTA000006180972
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 5 : Responsabilité des communes en cas d'accident
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-33
Code général des collectivités territoriales
Les communes sont responsables des dommages subis par les conseillers municipaux et les délégués spéciaux lorsqu'ils sont victimes d'accidents survenus soit à l'occasion de séances des conseils municipaux ou de réunions de commissions et des conseils d'administration des centres communaux d'action sociale dont ils sont membres, soit au cours de l'exécution d'un mandat spécial.
1,109,203,200,000
32,472,144,000,000
L2123-33
LEGIARTI000006390061
LEGIARTI000006390060
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> Les communes sont responsables des dommages subis par les conseillers municipaux et les délégués spéciaux lorsqu'ils sont victimes d'accidents survenus soit à l'occasion de séances des conseils municipaux ou de réunions de commissions et des conseils d'administration des centres communaux d'action sociale dont ils sont membres, soit au cours de l'exécution d'un mandat spécial.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390060
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390061
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180972
false
false
Section 5 : Responsabilité des communes en cas d'accident
null
null
LEGISCTA000006180972
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 5 : Responsabilité des communes en cas d'accident
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2123-34
Code général des collectivités territoriales
Sous réserve des dispositions du quatrième alinéa de l'article 121-3 du code pénal, le maire ou un élu municipal le suppléant ou ayant reçu une délégation ne peut être condamné sur le fondement du troisième alinéa de ce même article pour des faits non intentionnels commis dans l'exercice de ses fonctions que s'il est établi qu'il n'a pas accompli les diligences normales compte tenu de ses compétences, du pouvoir et des moyens dont il disposait ainsi que des difficultés propres aux missions que la loi lui confie. La commune est tenue d'accorder sa protection au maire, à l'élu municipal le suppléant ou ayant reçu une délégation ou à l'un de ces élus ayant cessé ses fonctions lorsque celui-ci fait l'objet de poursuites pénales à l'occasion de faits qui n'ont pas le caractère de faute détachable de l'exercice de ses fonctions. La commune est tenue de souscrire, dans un contrat d'assurance, une garantie visant à couvrir le conseil juridique, l'assistance psychologique et les coûts qui résultent de l'obligation de protection à l'égard du maire et des élus mentionnés au deuxième alinéa du présent article. Dans les communes de moins de 10 000 habitants, le montant payé par la commune au titre de cette souscription fait l'objet d'une compensation par l'Etat dans les conditions fixées à l'article L. 2335-1 du présent code. Lorsque le maire ou un élu municipal le suppléant ou ayant reçu une délégation agit en qualité d'agent de l'Etat, il bénéficie, de la part de l'Etat, de la protection prévue aux articles L. 134-1 à L. 134-12 du code général de la fonction publique .
1,711,152,000,000
32,472,144,000,000
L2123-34
LEGIARTI000049312917
LEGIARTI000006390062
AUTONOME
VIGUEUR
7.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Sous réserve des dispositions du quatrième alinéa de l'article 121-3 du code pénal, le maire ou un élu municipal le suppléant ou ayant reçu une délégation ne peut être condamné sur le fondement du troisième alinéa de ce même article pour des faits non intentionnels commis dans l'exercice de ses fonctions que s'il est établi qu'il n'a pas accompli les diligences normales compte tenu de ses compétences, du pouvoir et des moyens dont il disposait ainsi que des difficultés propres aux missions que la loi lui confie. </p><p>La commune est tenue d'accorder sa protection au maire, à l'élu municipal le suppléant ou ayant reçu une délégation ou à l'un de ces élus ayant cessé ses fonctions lorsque celui-ci fait l'objet de poursuites pénales à l'occasion de faits qui n'ont pas le caractère de faute détachable de l'exercice de ses fonctions. </p><p>La commune est tenue de souscrire, dans un contrat d'assurance, une garantie visant à couvrir le conseil juridique, l'assistance psychologique et les coûts qui résultent de l'obligation de protection à l'égard du maire et des élus mentionnés au deuxième alinéa du présent article. Dans les communes de moins de 10 000 habitants, le montant payé par la commune au titre de cette souscription fait l'objet d'une compensation par l'Etat dans les conditions fixées à l'article L. 2335-1 du présent code. </p><p>Lorsque le maire ou un élu municipal le suppléant ou ayant reçu une délégation agit en qualité d'agent de l'Etat, il bénéficie, de la part de l'Etat, de la protection prévue aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000044416551&idArticle=LEGIARTI000044420963&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 134-1 à L. 134-12 du code général de la fonction publique</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000048839264
MD-20241012_184949_133_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180974
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Section 6 : Responsabilité et protection des élus
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LEGISCTA000006180974
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 6 : Responsabilité et protection des élus
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Code général des collectivités territoriales, art. L2123-35
Code général des collectivités territoriales
Le maire ou les élus municipaux le suppléant ou ayant reçu délégation bénéficient, à l'occasion de leurs fonctions, d'une protection organisée par la commune conformément aux règles fixées par le code pénal , les lois spéciales et le présent code. La commune accorde sa protection au maire, aux élus municipaux le suppléant ou ayant reçu délégation ou à l'un de ces élus ayant cessé ses fonctions lorsqu'ils sont victimes de violences, de menaces ou d'outrages à l'occasion ou du fait de leurs fonctions. Elle répare, le cas échéant, l'intégralité du préjudice qui en a résulté. L'élu adresse une demande de protection au maire, ce dernier adressant sa propre demande à tout élu le suppléant ou ayant reçu délégation. Il en est accusé réception. L'élu bénéficie de la protection de la commune à l'expiration d'un délai de cinq jours francs à compter de la réception de sa demande par la commune s'il a été procédé, dans ce délai, à la transmission de la demande au représentant de l'Etat dans le département ou à son délégué dans l'arrondissement, selon les modalités prévues au II de l' article L. 2131-2 , ainsi qu'à l'information des membres du conseil municipal. Cette information est portée à l'ordre du jour de la séance suivante du conseil municipal. A défaut de respect de ce délai, l'élu bénéficie de la protection fonctionnelle à compter de la date d'accomplissement de ces obligations de transmission et d'information. Le conseil municipal peut retirer ou abroger la décision de protection accordée à l'élu par une délibération motivée prise dans un délai de quatre mois à compter de la date à laquelle l'élu bénéficie de la protection de la commune, dans les conditions prévues aux articles L. 242-1 à L. 242-5 du code des relations entre le public et l'administration . Par dérogation à l' article L. 2121-9 du présent code , à la demande d'un ou de plusieurs de ses membres, le maire est tenu de convoquer le conseil municipal dans ce même délai. La convocation est accompagnée d'une note de synthèse. La protection prévue aux premier à cinquième alinéas est étendue aux conjoints, enfants et ascendants directs des maires ou des élus municipaux les suppléant ou ayant reçu délégation lorsque, du fait des fonctions de ces derniers, ils sont victimes de menaces, violences, voies de fait, injures, diffamations ou outrages. Elle peut être accordée, sur leur demande, aux conjoints, enfants et ascendants directs des maires ou des élus municipaux les suppléant ou ayant reçu délégation, décédés dans l'exercice de leurs fonctions ou du fait de leurs fonctions, à raison des faits à l'origine du décès ou pour des faits commis postérieurement au décès mais du fait des fonctions qu'exerçait l'élu décédé. La commune est subrogée aux droits de la victime pour obtenir des auteurs de ces infractions la restitution des sommes versées à l'élu intéressé. Elle dispose en outre aux mêmes fins d'une action directe qu'elle peut exercer, au besoin par voie de constitution de partie civile, devant la juridiction pénale. La protection mentionnée aux mêmes premier à cinquième alinéas implique notamment la prise en charge par la commune de tout ou partie du reste à charge ou des dépassements d'honoraires résultant des dépenses liées aux soins médicaux et à l'assistance psychologique engagées par les bénéficiaires de cette protection pour les faits mentionnés auxdits premier à cinquième alinéas. La commune est tenue de souscrire, dans un contrat d'assurance, une garantie visant à couvrir le conseil juridique, l'assistance psychologique et les coûts qui résultent de l'obligation de protection à l'égard du maire et des élus mentionnés au deuxième alinéa du présent article. Dans les communes de moins de 10 000 habitants, le montant payé par la commune au titre de cette souscription fait l'objet d'une compensation par l'Etat dans les conditions fixées à l' article L. 2335-1 du présent code . Lorsque le maire ou un élu municipal le suppléant ou ayant reçu une délégation agit en qualité d'agent de l'Etat, il bénéficie, de la part de l'Etat, de la protection prévue aux articles L. 134-1 à L. 134-12 du code général de la fonction publique . Il adresse sa demande de protection au représentant de l'Etat dans le département.
1,711,152,000,000
32,472,144,000,000
L2123-35
LEGIARTI000049312767
LEGIARTI000006390065
AUTONOME
VIGUEUR
6.0
85,898
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Article
<p></p><p>Le maire ou les élus municipaux le suppléant ou ayant reçu délégation bénéficient, à l'occasion de leurs fonctions, d'une protection organisée par la commune conformément aux règles fixées par le <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte=&categorieLien=cid'>code pénal</a>, les lois spéciales et le présent code.</p><p>La commune accorde sa protection au maire, aux élus municipaux le suppléant ou ayant reçu délégation ou à l'un de ces élus ayant cessé ses fonctions lorsqu'ils sont victimes de violences, de menaces ou d'outrages à l'occasion ou du fait de leurs fonctions. Elle répare, le cas échéant, l'intégralité du préjudice qui en a résulté.<br/><br/> L'élu adresse une demande de protection au maire, ce dernier adressant sa propre demande à tout élu le suppléant ou ayant reçu délégation. Il en est accusé réception. L'élu bénéficie de la protection de la commune à l'expiration d'un délai de cinq jours francs à compter de la réception de sa demande par la commune s'il a été procédé, dans ce délai, à la transmission de la demande au représentant de l'Etat dans le département ou à son délégué dans l'arrondissement, selon les modalités prévues au II de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390078&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 2131-2</a>, ainsi qu'à l'information des membres du conseil municipal. Cette information est portée à l'ordre du jour de la séance suivante du conseil municipal. A défaut de respect de ce délai, l'élu bénéficie de la protection fonctionnelle à compter de la date d'accomplissement de ces obligations de transmission et d'information.<br/><br/> Le conseil municipal peut retirer ou abroger la décision de protection accordée à l'élu par une délibération motivée prise dans un délai de quatre mois à compter de la date à laquelle l'élu bénéficie de la protection de la commune, dans les conditions prévues aux <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000031366350&idSectionTA=LEGISCTA000031367653&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 242-1 à L. 242-5 du code des relations entre le public et l'administration</a>.<br/><br/> Par dérogation à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389864&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 2121-9 du présent code</a>, à la demande d'un ou de plusieurs de ses membres, le maire est tenu de convoquer le conseil municipal dans ce même délai. La convocation est accompagnée d'une note de synthèse.</p><p>La protection prévue aux premier à cinquième alinéas est étendue aux conjoints, enfants et ascendants directs des maires ou des élus municipaux les suppléant ou ayant reçu délégation lorsque, du fait des fonctions de ces derniers, ils sont victimes de menaces, violences, voies de fait, injures, diffamations ou outrages.</p><p>Elle peut être accordée, sur leur demande, aux conjoints, enfants et ascendants directs des maires ou des élus municipaux les suppléant ou ayant reçu délégation, décédés dans l'exercice de leurs fonctions ou du fait de leurs fonctions, à raison des faits à l'origine du décès ou pour des faits commis postérieurement au décès mais du fait des fonctions qu'exerçait l'élu décédé.</p><p>La commune est subrogée aux droits de la victime pour obtenir des auteurs de ces infractions la restitution des sommes versées à l'élu intéressé. Elle dispose en outre aux mêmes fins d'une action directe qu'elle peut exercer, au besoin par voie de constitution de partie civile, devant la juridiction pénale.</p><p>La protection mentionnée aux mêmes premier à cinquième alinéas implique notamment la prise en charge par la commune de tout ou partie du reste à charge ou des dépassements d'honoraires résultant des dépenses liées aux soins médicaux et à l'assistance psychologique engagées par les bénéficiaires de cette protection pour les faits mentionnés auxdits premier à cinquième alinéas.</p><p>La commune est tenue de souscrire, dans un contrat d'assurance, une garantie visant à couvrir le conseil juridique, l'assistance psychologique et les coûts qui résultent de l'obligation de protection à l'égard du maire et des élus mentionnés au deuxième alinéa du présent article. Dans les communes de moins de 10 000 habitants, le montant payé par la commune au titre de cette souscription fait l'objet d'une compensation par l'Etat dans les conditions fixées à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000049312851&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2335-1 (V)'>article L. 2335-1 du présent code</a>.</p><p>Lorsque le maire ou un élu municipal le suppléant ou ayant reçu une délégation agit en qualité d'agent de l'Etat, il bénéficie, de la part de l'Etat, de la protection prévue aux <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000044416551&idSectionTA=LEGISCTA000044420961&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 134-1 à L. 134-12 du code général de la fonction publique</a>. Il adresse sa demande de protection au représentant de l'Etat dans le département.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000048839258
MD-20240429_185938_102_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049312767
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180974
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Section 6 : Responsabilité et protection des élus
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LEGISCTA000006180974
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Conditions d'exercice des mandats municipaux &gt; Section 6 : Responsabilité et protection des élus
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Code général des collectivités territoriales, art. L2124-1
Code général des collectivités territoriales
En cas de mobilisation générale, le conseil municipal délibère valablement après une seule convocation lorsque la moitié de ses membres non mobilisés assiste à la séance. Lorsque le conseil municipal est réduit au tiers de ses membres en exercice du fait de la mobilisation générale, les délibérations par lesquelles il statue définitivement ne sont exécutoires que si, dans le délai d'un mois à partir de leur transmission au représentant de l'Etat dans le département, celui-ci n'en a pas suspendu l'exécution par une décision motivée. En cas d'urgence, l'exécution immédiate peut être autorisée par le représentant de l'Etat dans le département.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2124-1
LEGIARTI000006390067
LEGIARTI000006390067
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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null
null
Article
<p></p> En cas de mobilisation générale, le conseil municipal délibère valablement après une seule convocation lorsque la moitié de ses membres non mobilisés assiste à la séance.<p></p><p></p> Lorsque le conseil municipal est réduit au tiers de ses membres en exercice du fait de la mobilisation générale, les délibérations par lesquelles il statue définitivement ne sont exécutoires que si, dans le délai d'un mois à partir de leur transmission au représentant de l'Etat dans le département, celui-ci n'en a pas suspendu l'exécution par une décision motivée. En cas d'urgence, l'exécution immédiate peut être autorisée par le représentant de l'Etat dans le département.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006390067
LEGI
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LEGISCTA000006164547
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CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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LEGISCTA000006164547
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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Code général des collectivités territoriales, art. L2124-2
Code général des collectivités territoriales
En cas de mobilisation générale, lorsque les élections au conseil municipal ont été ajournées, la délégation spéciale prévue à l'article L. 2121-35 est habilitée à prendre les mêmes décisions que le conseil municipal.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2124-2
LEGIARTI000006390068
LEGIARTI000006390068
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
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null
Article
<p></p>En cas de mobilisation générale, lorsque les élections au conseil municipal ont été ajournées, la délégation spéciale prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389901&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2121-35 (V)'>L. 2121-35</a> est habilitée à prendre les mêmes décisions que le conseil municipal.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006390068
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164547
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CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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LEGISCTA000006164547
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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Code général des collectivités territoriales, art. L2124-3
Code général des collectivités territoriales
En temps de guerre, le représentant de l'Etat dans le département peut, par lui-même ou par un délégué spécial, prendre une mesure d'intérêt communal en se substituant au maire qui, malgré une mise en demeure, a négligé ou refusé de la prendre. Lorsque la mesure à prendre présente un intérêt intercommunal, le représentant de l'Etat dans le département peut se substituer dans les mêmes conditions aux maires des communes intéressées ou, si la mesure rentre par son objet dans les attributions d'un établissement public de coopération intercommunale, au président de cet établissement.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2124-3
LEGIARTI000006390070
LEGIARTI000006390070
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
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null
Article
<p></p> En temps de guerre, le représentant de l'Etat dans le département peut, par lui-même ou par un délégué spécial, prendre une mesure d'intérêt communal en se substituant au maire qui, malgré une mise en demeure, a négligé ou refusé de la prendre.<p></p><p></p> Lorsque la mesure à prendre présente un intérêt intercommunal, le représentant de l'Etat dans le département peut se substituer dans les mêmes conditions aux maires des communes intéressées ou, si la mesure rentre par son objet dans les attributions d'un établissement public de coopération intercommunale, au président de cet établissement.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006390070
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164547
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CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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LEGISCTA000006164547
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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Code général des collectivités territoriales, art. L2124-4
Code général des collectivités territoriales
La mise en demeure prévue à l'article L. 2124-3 doit indiquer le délai imparti au maire ou au président de l'établissement public de coopération intercommunale pour répondre au représentant de l'Etat dans le département. Le défaut de réponse dans ce délai équivaut à un refus.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2124-4
LEGIARTI000006390071
LEGIARTI000006390071
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
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Article
<p></p>La mise en demeure prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390070&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2124-3 (V)'>L. 2124-3</a> doit indiquer le délai imparti au maire ou au président de l'établissement public de coopération intercommunale pour répondre au représentant de l'Etat dans le département. <p></p><p></p>Le défaut de réponse dans ce délai équivaut à un refus.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006390071
LEGI
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LEGISCTA000006164547
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CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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LEGISCTA000006164547
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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Code général des collectivités territoriales, art. L2124-5
Code général des collectivités territoriales
En temps de guerre, tout membre d'un conseil municipal, y compris le maire, peut être suspendu par décret pour des motifs d'ordre public ou d'intérêt général jusqu'à la cessation des hostilités. L'élu ainsi suspendu n'est pas remplacé numériquement pendant la durée normale du mandat de l'assemblée. Si la mesure de suspension a pour effet de réduire d'un quart au moins le nombre des membres de l'assemblée, le décret l'ordonnant constitue une délégation spéciale qui est habilitée à prendre les mêmes décisions que l'assemblée.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2124-5
LEGIARTI000006390072
LEGIARTI000006390072
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
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null
Article
<p></p> En temps de guerre, tout membre d'un conseil municipal, y compris le maire, peut être suspendu par décret pour des motifs d'ordre public ou d'intérêt général jusqu'à la cessation des hostilités.<p></p><p></p> L'élu ainsi suspendu n'est pas remplacé numériquement pendant la durée normale du mandat de l'assemblée.<p></p><p></p> Si la mesure de suspension a pour effet de réduire d'un quart au moins le nombre des membres de l'assemblée, le décret l'ordonnant constitue une délégation spéciale qui est habilitée à prendre les mêmes décisions que l'assemblée.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006390072
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164547
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CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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LEGISCTA000006164547
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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Code général des collectivités territoriales, art. L2124-6
Code général des collectivités territoriales
En temps de guerre, en cas d'absence, de suspension, de révocation ou de tout autre empêchement du maire, le représentant de l'Etat dans le département peut désigner, pour le remplacer dans la plénitude de ses fonctions, un délégué choisi parmi les membres du conseil municipal.
825,120,000,000
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L2124-6
LEGIARTI000006390073
LEGIARTI000006390073
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
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null
Article
<p></p> En temps de guerre, en cas d'absence, de suspension, de révocation ou de tout autre empêchement du maire, le représentant de l'Etat dans le département peut désigner, pour le remplacer dans la plénitude de ses fonctions, un délégué choisi parmi les membres du conseil municipal.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006390073
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164547
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CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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LEGISCTA000006164547
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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Code général des collectivités territoriales, art. L2124-7
Code général des collectivités territoriales
En temps de guerre, le conseil municipal d'une commune ou l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale peut être suspendu par décret, pour des motifs d'ordre public ou d'intérêt général, jusqu'à la cessation des hostilités. Le même décret constitue une délégation spéciale habilitée à prendre les mêmes décisions que le conseil municipal ou l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2124-7
LEGIARTI000006390074
LEGIARTI000006390074
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p> En temps de guerre, le conseil municipal d'une commune ou l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale peut être suspendu par décret, pour des motifs d'ordre public ou d'intérêt général, jusqu'à la cessation des hostilités.<p></p><p></p> Le même décret constitue une délégation spéciale habilitée à prendre les mêmes décisions que le conseil municipal ou l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale.<p></p>
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IG-20231124
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LEGIARTI000006390074
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LEGISCTA000006164547
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CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
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LEGISCTA000006164547
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null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE II : ORGANES DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE IV : Dispositions applicables en période de mobilisation générale et en temps de guerre
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-1
Code général des collectivités territoriales
I.-Les actes pris par les autorités communales sont exécutoires de plein droit dès qu'ils ont été portés à la connaissance des intéressés dans les conditions prévues au présent article et, pour les actes mentionnés à l'article L. 2131-2, qu'il a été procédé à la transmission au représentant de l'Etat dans le département ou à son délégué dans l'arrondissement prévue par cet article. Le maire peut, sous sa responsabilité, certifier le caractère exécutoire d'un acte. II.-Les décisions individuelles prises par les autorités communales sont notifiées aux personnes qui en font l'objet. III.-Les actes réglementaires et les décisions ne présentant ni un caractère réglementaire, ni un caractère individuel font l'objet d'une publication sous forme électronique, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, de nature à garantir leur authenticité et à assurer leur mise à disposition du public de manière permanente et gratuite. IV.-Par dérogation aux dispositions du III, dans les communes de moins de 3 500 habitants, les actes réglementaires et les décisions ni réglementaires, ni individuelles sont rendus publics : 1° Soit par affichage ; 2° Soit par publication sur papier, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat ; 3° Soit par publication sous forme électronique, dans les conditions prévues au III. Le conseil municipal choisit le mode de publicité applicable dans la commune. Il peut modifier ce choix à tout moment. A défaut de délibération sur ce point, les dispositions du III sont applicables. En cas de création d'une commune de 3 500 habitants ou plus par fusion de communes dont aucune ne dépassait ce seuil, le conseil municipal de la commune nouvelle dispose de la faculté de choix prévue au présent IV pendant une période de six mois à compter de la publication de l'arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle. Au terme de ce délai, les dispositions du III s'appliquent. V.-En cas d'urgence, un acte devant, en vertu des dispositions du III ou du IV, faire l'objet d'une publication par voie électronique ou sur papier entre en vigueur dès qu'il a été procédé à son affichage et, s'il est soumis aux dispositions de l'article L. 2131-2, à sa transmission au représentant de l'Etat dans le département ou à son délégué dans l'arrondissement. Il est néanmoins procédé dans les meilleurs délais à la publication normalement requise, qui peut seule faire courir le délai de recours contentieux. VI.-Lorsqu'une personne demande à obtenir sur papier un acte publié sous forme électronique, le maire le lui communique. Il n'est pas tenu de donner suite aux demandes abusives, en particulier par leur nombre ou par leur caractère répétitif ou systématique.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-1
LEGIARTI000044190563
LEGIARTI000006390075
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 40 de l'ordonnance n° 2021-1310 du 7 octobre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er juillet 2022.
5.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>I.-Les actes pris par les autorités communales sont exécutoires de plein droit dès qu'ils ont été portés à la connaissance des intéressés dans les conditions prévues au présent article et, pour les actes mentionnés à l'article L. 2131-2, qu'il a été procédé à la transmission au représentant de l'Etat dans le département ou à son délégué dans l'arrondissement prévue par cet article.<br/><br/> Le maire peut, sous sa responsabilité, certifier le caractère exécutoire d'un acte.<br/><br/> II.-Les décisions individuelles prises par les autorités communales sont notifiées aux personnes qui en font l'objet.<br/><br/> III.-Les actes réglementaires et les décisions ne présentant ni un caractère réglementaire, ni un caractère individuel font l'objet d'une publication sous forme électronique, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, de nature à garantir leur authenticité et à assurer leur mise à disposition du public de manière permanente et gratuite.<br/><br/> IV.-Par dérogation aux dispositions du III, dans les communes de moins de 3 500 habitants, les actes réglementaires et les décisions ni réglementaires, ni individuelles sont rendus publics :<br/><br/> 1° Soit par affichage ;<br/><br/> 2° Soit par publication sur papier, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat ;<br/><br/> 3° Soit par publication sous forme électronique, dans les conditions prévues au III.<br/><br/> Le conseil municipal choisit le mode de publicité applicable dans la commune. Il peut modifier ce choix à tout moment. A défaut de délibération sur ce point, les dispositions du III sont applicables.<br/><br/> En cas de création d'une commune de 3 500 habitants ou plus par fusion de communes dont aucune ne dépassait ce seuil, le conseil municipal de la commune nouvelle dispose de la faculté de choix prévue au présent IV pendant une période de six mois à compter de la publication de l'arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle. Au terme de ce délai, les dispositions du III s'appliquent.<br/><br/> V.-En cas d'urgence, un acte devant, en vertu des dispositions du III ou du IV, faire l'objet d'une publication par voie électronique ou sur papier entre en vigueur dès qu'il a été procédé à son affichage et, s'il est soumis aux dispositions de l'article L. 2131-2, à sa transmission au représentant de l'Etat dans le département ou à son délégué dans l'arrondissement.<br/><br/> Il est néanmoins procédé dans les meilleurs délais à la publication normalement requise, qui peut seule faire courir le délai de recours contentieux.<br/><br/> VI.-Lorsqu'une personne demande à obtenir sur papier un acte publié sous forme électronique, le maire le lui communique. Il n'est pas tenu de donner suite aux demandes abusives, en particulier par leur nombre ou par leur caractère répétitif ou systématique.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000031039480
MD-20240708_195128_543_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000044190563
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000044185084
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Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
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LEGISCTA000044184820
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
<p>Conformément à l'article 40 de l'ordonnance n° 2021-1310 du 7 octobre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er juillet 2022.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-2
Code général des collectivités territoriales
I.-Sont transmis au représentant de l'Etat dans le département ou à son délégué dans l'arrondissement, dans les conditions prévues au II : 1° Les délibérations du conseil municipal ou les décisions prises par délégation du conseil municipal en application de l'article L. 2122-22 à l'exception : a) Des délibérations relatives aux tarifs des droits de voirie et de stationnement, au classement, au déclassement, à l'établissement des plans d'alignement et de nivellement, à l'ouverture, au redressement et à l'élargissement des voies communales ; b) Des délibérations relatives aux taux de promotion pour l'avancement de grade des fonctionnaires, à l'affiliation ou à la désaffiliation aux centres de gestion ainsi qu'aux conventions portant sur les missions supplémentaires à caractère facultatif confiées aux centres de gestion. 2° Les décisions réglementaires et individuelles prises par le maire dans l'exercice de son pouvoir de police. En sont toutefois exclues : -celles relatives à la circulation et au stationnement, à l'exception des sanctions prises en application de l'article L. 2212-2-1 ; -celles relatives à l'exploitation, par les associations, de débits de boissons pour la durée des manifestations publiques qu'elles organisent ; 3° Les actes à caractère réglementaire pris par les autorités communales dans tous les autres domaines qui relèvent de leur compétence en application de la loi ; 4° Les conventions relatives aux emprunts, les marchés et les accords-cadres d'un montant au moins égal à un seuil défini par décret, les marchés de partenariat ainsi que les contrats de concession, dont les délégations de service public, et les concessions d'aménagement ; 5° Les décisions individuelles relatives à la nomination, au recrutement, y compris le contrat d'engagement, et au licenciement des agents non titulaires, à l'exception de celles prises pour faire face à un besoin lié à un accroissement temporaire ou saisonnier d'activité, en application de l' article L. 332-23 du code général de la fonction publique ; 6° Le permis de construire et les autres autorisations d'utilisation du sol et le certificat d'urbanisme délivrés par le maire ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale, lorsqu'il a reçu compétence dans les conditions prévues aux articles L. 422-1 et L. 422-3 du code de l'urbanisme ; 7° Les ordres de réquisition du comptable pris par le maire ; 8° Les décisions relevant de l'exercice de prérogatives de puissance publique, prises par les sociétés d'économie mixte locales pour le compte d'une commune ou d'un établissement public de coopération intercommunale. II.-La transmission prévue au I peut s'effectuer par voie électronique, selon des modalités fixées par décret en Conseil d'Etat. Pour les communes de plus de 50 000 habitants, cette transmission est réalisée selon ces modalités. La transmission des décisions individuelles intervient dans un délai de quinze jours à compter de leur signature. La preuve de la réception des actes par le représentant de l'Etat dans le département ou son délégué dans l'arrondissement peut être apportée par tout moyen. L'accusé de réception, qui est immédiatement délivré, peut être utilisé à cet effet mais n'est pas une condition du caractère exécutoire des actes.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-2
LEGIARTI000044190560
LEGIARTI000006390078
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 40 de l'ordonnance n° 2021-1310 du 7 octobre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er juillet 2022.
12.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>I.-Sont transmis au représentant de l'Etat dans le département ou à son délégué dans l'arrondissement, dans les conditions prévues au II : </p><p>1° Les délibérations du conseil municipal ou les décisions prises par délégation du conseil municipal en application de l'article L. 2122-22 à l'exception : </p><p>a) Des délibérations relatives aux tarifs des droits de voirie et de stationnement, au classement, au déclassement, à l'établissement des plans d'alignement et de nivellement, à l'ouverture, au redressement et à l'élargissement des voies communales ; </p><p>b) Des délibérations relatives aux taux de promotion pour l'avancement de grade des fonctionnaires, à l'affiliation ou à la désaffiliation aux centres de gestion ainsi qu'aux conventions portant sur les missions supplémentaires à caractère facultatif confiées aux centres de gestion. </p><p>2° Les décisions réglementaires et individuelles prises par le maire dans l'exercice de son pouvoir de police. En sont toutefois exclues :</p><p>-celles relatives à la circulation et au stationnement, à l'exception des sanctions prises en application de l'article L. 2212-2-1 ;</p><p>-celles relatives à l'exploitation, par les associations, de débits de boissons pour la durée des manifestations publiques qu'elles organisent ; </p><p>3° Les actes à caractère réglementaire pris par les autorités communales dans tous les autres domaines qui relèvent de leur compétence en application de la loi ; </p><p>4° Les conventions relatives aux emprunts, les marchés et les accords-cadres d'un montant au moins égal à un seuil défini par décret, les marchés de partenariat ainsi que les contrats de concession, dont les délégations de service public, et les concessions d'aménagement ; </p><p>5° Les décisions individuelles relatives à la nomination, au recrutement, y compris le contrat d'engagement, et au licenciement des agents non titulaires, à l'exception de celles prises pour faire face à un besoin lié à un accroissement temporaire ou saisonnier d'activité, en application de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000044416551&idArticle=LEGIARTI000044421930&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général de la fonction publique - art. L332-23 (V)'>article L. 332-23 du code général de la fonction publique</a> ; </p><p>6° Le permis de construire et les autres autorisations d'utilisation du sol et le certificat d'urbanisme délivrés par le maire ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale, lorsqu'il a reçu compétence dans les conditions prévues aux articles L. 422-1 et L. 422-3 du code de l'urbanisme ; </p><p>7° Les ordres de réquisition du comptable pris par le maire ; </p><p>8° Les décisions relevant de l'exercice de prérogatives de puissance publique, prises par les sociétés d'économie mixte locales pour le compte d'une commune ou d'un établissement public de coopération intercommunale. </p><p>II.-La transmission prévue au I peut s'effectuer par voie électronique, selon des modalités fixées par décret en Conseil d'Etat. Pour les communes de plus de 50 000 habitants, cette transmission est réalisée selon ces modalités. La transmission des décisions individuelles intervient dans un délai de quinze jours à compter de leur signature. <br/><br/>La preuve de la réception des actes par le représentant de l'Etat dans le département ou son délégué dans l'arrondissement peut être apportée par tout moyen. L'accusé de réception, qui est immédiatement délivré, peut être utilisé à cet effet mais n'est pas une condition du caractère exécutoire des actes.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000041411348
MD-20240322_202508_053_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000044190560
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000044185084
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Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
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LEGISCTA000044184820
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
<p>Conformément à l'article 40 de l'ordonnance n° 2021-1310 du 7 octobre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er juillet 2022.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-3
Code général des collectivités territoriales
Le représentant de l'Etat peut, à tout moment, demander communication des actes pris au nom de la commune qui ne sont pas mentionnés à l'article L. 2131-2. Il ne peut les déférer au tribunal administratif, dans un délai de deux mois à compter de leur communication, que si sa demande a été présentée dans le délai de deux mois à compter de la date à laquelle les actes sont devenus exécutoires.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-3
LEGIARTI000044190556
LEGIARTI000006390083
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 40 de l'ordonnance n° 2021-1310 du 7 octobre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er juillet 2022.
4.0
1,879,048,191
null
null
null
Article
<p>Le représentant de l'Etat peut, à tout moment, demander communication des actes pris au nom de la commune qui ne sont pas mentionnés à l'article L. 2131-2.<br/><br/> Il ne peut les déférer au tribunal administratif, dans un délai de deux mois à compter de leur communication, que si sa demande a été présentée dans le délai de deux mois à compter de la date à laquelle les actes sont devenus exécutoires.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390085
IG-20231128
null
LEGIARTI000044190556
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000044185084
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Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
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null
LEGISCTA000044184820
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
<p>Conformément à l'article 40 de l'ordonnance n° 2021-1310 du 7 octobre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er juillet 2022.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-4
Code général des collectivités territoriales
Les actes pris par les autorités communales au nom de l'Etat ainsi que les actes relevant du droit privé ne sont pas soumis aux dispositions du présent chapitre et demeurent régis par les dispositions qui leur sont propres.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-4
LEGIARTI000044190553
LEGIARTI000006390087
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,013,265,919
null
null
null
Article
<p>Les actes pris par les autorités communales au nom de l'Etat ainsi que les actes relevant du droit privé ne sont pas soumis aux dispositions du présent chapitre et demeurent régis par les dispositions qui leur sont propres.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390087
IG-20231128
null
LEGIARTI000044190553
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000044185084
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Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
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LEGISCTA000044184820
null
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-5
Code général des collectivités territoriales
Les dispositions des articles L. 2131-1 à L. 2131-4 ne font pas obstacle à l'exercice, par le représentant de l'Etat dans le département, du pouvoir de substitution qu'il tient, notamment en matière de police, des articles L. 2215-1 et L. 2215-5 , ni à celui de son pouvoir hiérarchique sur les actes du maire lorsque celui-ci, en application des articles L. 2122-27 et L. 2122-34 , agit comme agent de l'Etat dans la commune.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-5
LEGIARTI000044190545
LEGIARTI000006390088
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,080,374,783
null
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Article
<p>Les dispositions des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390075&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 2131-1 à L. 2131-4</a> ne font pas obstacle à l'exercice, par le représentant de l'Etat dans le département, du pouvoir de substitution qu'il tient, notamment en matière de police, des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390225&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2215-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390233&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2215-5</a>, ni à celui de son pouvoir hiérarchique sur les actes du maire lorsque celui-ci, en application des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389970&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2122-27 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389979&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2122-34</a>, agit comme agent de l'Etat dans la commune.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390088
IG-20231124
null
LEGIARTI000044190545
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000044185084
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Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
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LEGISCTA000044184820
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 1 : Publicité et entrée en vigueur
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-6
Code général des collectivités territoriales
Le représentant de l'Etat dans le département défère au tribunal administratif les actes mentionnés à l'article L. 2131-2 qu'il estime contraires à la légalité dans les deux mois suivant leur transmission. Sur demande du maire, le représentant de l'Etat dans le département l'informe de son intention de ne pas déférer au tribunal administratif un acte des autorités communales qui lui a été transmis en application des articles L. 2131-1 à L. 2131-5 . Lorsque le représentant de l'Etat dans le département défère un acte au tribunal administratif, il en informe sans délai l'autorité communale et lui communique toutes précisions sur les illégalités invoquées à l'encontre de l'acte concerné. Le représentant de l'Etat peut assortir son recours d'une demande de suspension. Il est fait droit à cette demande si l'un des moyens invoqués paraît, en l'état de l'instruction, propre à créer un doute sérieux quant à la légalité de l'acte attaqué. Il est statué dans un délai d'un mois. Jusqu'à ce que le président du tribunal administratif ou le magistrat délégué par lui ait statué, la demande de suspension en matière d'urbanisme, de marchés et de délégation de service public formulée par le représentant de l'Etat dans les dix jours à compter de la réception de l'acte entraîne la suspension de celui-ci. Au terme d'un délai d'un mois à compter de la réception, si le juge des référés n'a pas statué, l'acte redevient exécutoire. Lorsque l'acte attaqué est de nature à compromettre l'exercice d'une liberté publique ou individuelle, ou à porter gravement atteinte aux principes de laïcité et de neutralité des services publics, le président du tribunal administratif ou le magistrat délégué à cet effet en prononce la suspension dans les quarante-huit heures. La décision relative à la suspension est susceptible d'appel devant le Conseil d'Etat dans la quinzaine de la notification. En ce cas, le président de la section du contentieux du Conseil d'Etat ou un conseiller d'Etat délégué à cet effet statue dans un délai de quarante-huit heures. L'appel des jugements du tribunal administratif ainsi que des décisions relatives aux demandes de suspension prévues aux alinéas précédents, rendus sur recours du représentant de l'Etat, est présenté par celui-ci.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-6
LEGIARTI000044190539
LEGIARTI000006390089
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Le représentant de l'Etat dans le département défère au tribunal administratif les actes mentionnés à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390078&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2131-2 </a>qu'il estime contraires à la légalité dans les deux mois suivant leur transmission.</p><p>Sur demande du maire, le représentant de l'Etat dans le département l'informe de son intention de ne pas déférer au tribunal administratif un acte des autorités communales qui lui a été transmis en application des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390075&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2131-1 à L. 2131-5</a>. Lorsque le représentant de l'Etat dans le département défère un acte au tribunal administratif, il en informe sans délai l'autorité communale et lui communique toutes précisions sur les illégalités invoquées à l'encontre de l'acte concerné.</p><p>Le représentant de l'Etat peut assortir son recours d'une demande de suspension. Il est fait droit à cette demande si l'un des moyens invoqués paraît, en l'état de l'instruction, propre à créer un doute sérieux quant à la légalité de l'acte attaqué. Il est statué dans un délai d'un mois.</p><p>Jusqu'à ce que le président du tribunal administratif ou le magistrat délégué par lui ait statué, la demande de suspension en matière d'urbanisme, de marchés et de délégation de service public formulée par le représentant de l'Etat dans les dix jours à compter de la réception de l'acte entraîne la suspension de celui-ci. Au terme d'un délai d'un mois à compter de la réception, si le juge des référés n'a pas statué, l'acte redevient exécutoire.</p><p>Lorsque l'acte attaqué est de nature à compromettre l'exercice d'une liberté publique ou individuelle, ou à porter gravement atteinte aux principes de laïcité et de neutralité des services publics, le président du tribunal administratif ou le magistrat délégué à cet effet en prononce la suspension dans les quarante-huit heures. La décision relative à la suspension est susceptible d'appel devant le Conseil d'Etat dans la quinzaine de la notification. En ce cas, le président de la section du contentieux du Conseil d'Etat ou un conseiller d'Etat délégué à cet effet statue dans un délai de quarante-huit heures.</p><p>L'appel des jugements du tribunal administratif ainsi que des décisions relatives aux demandes de suspension prévues aux alinéas précédents, rendus sur recours du représentant de l'Etat, est présenté par celui-ci.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000043982077
IG-20231128
null
LEGIARTI000044190539
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000044185086
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Section 2 : Contrôle de légalité
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null
LEGISCTA000044184822
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 2 : Contrôle de légalité
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-7
Code général des collectivités territoriales
Le Gouvernement soumet tous les trois ans, avant le 1er juin, au Parlement, un rapport sur le contrôle a posteriori exercé à l'égard des actes des communes par les représentants de l'Etat dans les départements.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-7
LEGIARTI000044190536
LEGIARTI000006390091
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>Le Gouvernement soumet tous les trois ans, avant le 1er juin, au Parlement, un rapport sur le contrôle a posteriori exercé à l'égard des actes des communes par les représentants de l'Etat dans les départements.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390092
IG-20231124
null
LEGIARTI000044190536
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000044185086
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Section 2 : Contrôle de légalité
null
null
LEGISCTA000044184822
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 2 : Contrôle de légalité
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-8
Code général des collectivités territoriales
Sans préjudice du recours direct dont elle dispose, si une personne physique ou morale est lésée par un acte mentionné aux articles L. 2131-2 et L. 2131-3 , elle peut, dans le délai de deux mois à compter de la date à laquelle l'acte est devenu exécutoire, demander au représentant de l'Etat dans le département de mettre en oeuvre la procédure prévue à l'article L. 2131-6. Pour les actes mentionnés à l'article L. 2131-2, cette demande ne peut avoir pour effet de prolonger le délai de recours contentieux dont dispose le représentant de l'Etat dans le département en application de l'article L. 2131-6 . Lorsque la demande concerne un acte mentionné à l'article L. 2131-3, le représentant de l'Etat dans le département peut déférer l'acte en cause au tribunal administratif dans les deux mois suivant sa saisine par la personne physique ou morale lésée.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-8
LEGIARTI000044190530
LEGIARTI000006390093
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,879,048,191
null
null
null
Article
<p>Sans préjudice du recours direct dont elle dispose, si une personne physique ou morale est lésée par un acte mentionné aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000044190560&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2131-2 (VD)'>L. 2131-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000044190556&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2131-3 (VD)'>L. 2131-3</a>, elle peut, dans le délai de deux mois à compter de la date à laquelle l'acte est devenu exécutoire, demander au représentant de l'Etat dans le département de mettre en oeuvre la procédure prévue à l'article L. 2131-6. </p><p>Pour les actes mentionnés à l'article L. 2131-2, cette demande ne peut avoir pour effet de prolonger le délai de recours contentieux dont dispose le représentant de l'Etat dans le département en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000044190539&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2131-6 (VD)'>L. 2131-6</a>. </p><p>Lorsque la demande concerne un acte mentionné à l'article L. 2131-3, le représentant de l'Etat dans le département peut déférer l'acte en cause au tribunal administratif dans les deux mois suivant sa saisine par la personne physique ou morale lésée.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390093
IG-20231128
null
LEGIARTI000044190530
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000044185086
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Section 2 : Contrôle de légalité
null
null
LEGISCTA000044184822
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null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 2 : Contrôle de légalité
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-9
Code général des collectivités territoriales
Si un citoyen croit être personnellement lésé par un acte d'une autorité communale, il peut en demander l'annulation au tribunal administratif.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-9
LEGIARTI000044190527
LEGIARTI000006390094
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,013,265,919
null
null
null
Article
<p>Si un citoyen croit être personnellement lésé par un acte d'une autorité communale, il peut en demander l'annulation au tribunal administratif.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390094
IG-20231128
null
LEGIARTI000044190527
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000044185086
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Section 2 : Contrôle de légalité
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LEGISCTA000044184822
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 2 : Contrôle de légalité
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-10
Code général des collectivités territoriales
Sont illégales les décisions et délibérations par lesquelles les communes renoncent soit directement, soit par une clause contractuelle, à exercer toute action en responsabilité à l'égard de toute personne physique ou morale qu'elles rémunèrent sous quelque forme que ce soit.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-10
LEGIARTI000044190524
LEGIARTI000006390095
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,080,374,783
null
null
null
Article
<p>Sont illégales les décisions et délibérations par lesquelles les communes renoncent soit directement, soit par une clause contractuelle, à exercer toute action en responsabilité à l'égard de toute personne physique ou morale qu'elles rémunèrent sous quelque forme que ce soit.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390095
IG-20231128
null
LEGIARTI000044190524
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000044185086
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Section 2 : Contrôle de légalité
null
null
LEGISCTA000044184822
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 2 : Contrôle de légalité
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-11
Code général des collectivités territoriales
Sont illégales les délibérations auxquelles ont pris part un ou plusieurs membres du conseil intéressés à l'affaire qui en fait l'objet, soit en leur nom personnel, soit comme mandataires. En application du II de l'article L. 1111-6, les représentants des collectivités territoriales ou des groupements de collectivités territoriales mentionnés au I du même article L. 1111-6 ne sont pas comptabilisés, pour le calcul du quorum, parmi les membres en exercice du conseil municipal.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-11
LEGIARTI000044190521
LEGIARTI000006390096
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
2,113,929,215
null
null
null
Article
<p>Sont illégales les délibérations auxquelles ont pris part un ou plusieurs membres du conseil intéressés à l'affaire qui en fait l'objet, soit en leur nom personnel, soit comme mandataires. En application du II de l'article L. 1111-6, les représentants des collectivités territoriales ou des groupements de collectivités territoriales mentionnés au I du même article L. 1111-6 ne sont pas comptabilisés, pour le calcul du quorum, parmi les membres en exercice du conseil municipal.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000045214143
IG-20231124
null
LEGIARTI000044190521
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000044185086
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Section 2 : Contrôle de légalité
null
null
LEGISCTA000044184822
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 2 : Contrôle de légalité
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-12
Code général des collectivités territoriales
Les dispositions des articles L. 2131-1 à L. 2131-11 sont applicables aux établissements publics communaux.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-12
LEGIARTI000044190517
LEGIARTI000006390097
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,130,706,431
null
null
null
Article
<p>Les dispositions des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000044190563&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2131-1 (VD)'>articles L. 2131-1 à L. 2131-11</a> sont applicables aux établissements publics communaux.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390097
MD-20240708_195124_437_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000044190517
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000044185086
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Section 2 : Contrôle de légalité
null
null
LEGISCTA000044184822
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 2 : Contrôle de légalité
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2131-13
Code général des collectivités territoriales
Les dispositions de l'article L. 1411-9 sont applicables aux marchés passés par les communes et les établissements publics communaux.
1,656,633,600,000
32,472,144,000,000
L2131-13
LEGIARTI000044190513
LEGIARTI000006390098
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,139,095,039
null
null
null
Article
<p>Les dispositions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389232&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1411-9</a> sont applicables aux marchés passés par les communes et les établissements publics communaux.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390098
IG-20231124
null
LEGIARTI000044190513
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000044185086
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Section 2 : Contrôle de légalité
null
null
LEGISCTA000044184822
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE Ier : Régime juridique des actes pris par les autorités communales &gt; Section 2 : Contrôle de légalité
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2132-1
Code général des collectivités territoriales
Sous réserve des dispositions du 16° de l'article L. 2122-22 , le conseil municipal délibère sur les actions à intenter au nom de la commune.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2132-1
LEGIARTI000006390100
LEGIARTI000006390100
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Sous réserve des dispositions du 16° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389953&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2122-22 (V)'>L. 2122-22</a>, le conseil municipal délibère sur les actions à intenter au nom de la commune.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390100
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180975
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Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180975
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE II : Actions contentieuses de la commune &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2132-2
Code général des collectivités territoriales
Le maire, en vertu de la délibération du conseil municipal, représente la commune en justice.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2132-2
LEGIARTI000006390101
LEGIARTI000006390101
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le maire, en vertu de la délibération du conseil municipal, représente la commune en justice.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390101
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180975
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Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180975
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE II : Actions contentieuses de la commune &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2132-3
Code général des collectivités territoriales
Le maire peut toujours, sans autorisation préalable du conseil municipal, faire tous actes conservatoires ou interruptifs des déchéances.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2132-3
LEGIARTI000006390102
LEGIARTI000006390102
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Le maire peut toujours, sans autorisation préalable du conseil municipal, faire tous actes conservatoires ou interruptifs des déchéances.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390102
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180975
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Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180975
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE II : Actions contentieuses de la commune &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2132-4
Code général des collectivités territoriales
Toute partie qui a obtenu une condamnation contre la commune n'est pas passible des charges ou contributions imposées pour l'acquittement des frais et dommages-intérêts qui résultent du procès.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2132-4
LEGIARTI000006390103
LEGIARTI000006390103
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Toute partie qui a obtenu une condamnation contre la commune n'est pas passible des charges ou contributions imposées pour l'acquittement des frais et dommages-intérêts qui résultent du procès.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390103
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180975
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Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180975
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE II : Actions contentieuses de la commune &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2132-5
Code général des collectivités territoriales
Tout contribuable inscrit au rôle de la commune a le droit d'exercer, tant en demande qu'en défense, à ses frais et risques, avec l'autorisation du tribunal administratif, les actions qu'il croit appartenir à la commune, et que celle-ci, préalablement appelée à en délibérer, a refusé ou négligé d'exercer.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2132-5
LEGIARTI000006390104
LEGIARTI000006390104
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Tout contribuable inscrit au rôle de la commune a le droit d'exercer, tant en demande qu'en défense, à ses frais et risques, avec l'autorisation du tribunal administratif, les actions qu'il croit appartenir à la commune, et que celle-ci, préalablement appelée à en délibérer, a refusé ou négligé d'exercer.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390104
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180976
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Section 2 : Exercice par un contribuable des actions appartenant à la commune
null
null
LEGISCTA000006180976
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE II : Actions contentieuses de la commune &gt; Section 2 : Exercice par un contribuable des actions appartenant à la commune
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2132-6
Code général des collectivités territoriales
Le contribuable adresse au tribunal administratif un mémoire détaillé. Le maire soumet ce mémoire au conseil municipal lors de la plus proche réunion tenue en application des articles L. 2121-7 et L. 2121-9 .
963,014,400,000
32,472,144,000,000
L2132-6
LEGIARTI000006390106
LEGIARTI000006390105
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p>Le contribuable adresse au tribunal administratif un mémoire détaillé. <p></p><p></p>Le maire soumet ce mémoire au conseil municipal lors de la plus proche réunion tenue en application des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389862&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2121-7 (V)'>L. 2121-7 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389864&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2121-9 (V)'>L. 2121-9</a>.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390105
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390106
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180976
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false
Section 2 : Exercice par un contribuable des actions appartenant à la commune
null
null
LEGISCTA000006180976
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE II : Actions contentieuses de la commune &gt; Section 2 : Exercice par un contribuable des actions appartenant à la commune
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2132-7
Code général des collectivités territoriales
Lorsqu'un jugement est intervenu, le contribuable ne peut se pourvoir en appel ou en cassation qu'en vertu d'une nouvelle autorisation.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2132-7
LEGIARTI000006390107
LEGIARTI000006390107
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'un jugement est intervenu, le contribuable ne peut se pourvoir en appel ou en cassation qu'en vertu d'une nouvelle autorisation.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390107
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180976
false
false
Section 2 : Exercice par un contribuable des actions appartenant à la commune
null
null
LEGISCTA000006180976
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE III : ACTES DES AUTORITÉS COMMUNALES ET ACTIONS CONTENTIEUSES &gt; CHAPITRE II : Actions contentieuses de la commune &gt; Section 2 : Exercice par un contribuable des actions appartenant à la commune
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2141-1
Code général des collectivités territoriales
Le droit des habitants de la commune à être informés des affaires de celle-ci et à être consultés sur les décisions qui les concernent, indissociable de la libre administration des collectivités territoriales, est un principe essentiel de la démocratie locale. Il s'exerce sans préjudice des dispositions en vigueur relatives notamment à la publicité des actes des autorités territoriales ainsi qu'à la liberté d'accès aux documents administratifs.
1,104,537,600,000
32,472,144,000,000
L2141-1
LEGIARTI000006390110
LEGIARTI000006390109
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le droit des habitants de la commune à être informés des affaires de celle-ci et à être consultés sur les décisions qui les concernent, indissociable de la libre administration des collectivités territoriales, est un principe essentiel de la démocratie locale. Il s'exerce sans préjudice des dispositions en vigueur relatives notamment à la publicité des actes des autorités territoriales ainsi qu'à la liberté d'accès aux documents administratifs.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390109
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390110
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000006164550
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CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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LEGISCTA000006164550
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null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE IV : INFORMATION ET PARTICIPATION DES HABITANTS &gt; CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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Code général des collectivités territoriales, art. L2143-1
Code général des collectivités territoriales
Dans les communes de 80 000 habitants et plus, le conseil municipal fixe le périmètre de chacun des quartiers constituant la commune. Chacun d'eux est doté d'un conseil de quartier dont le conseil municipal fixe la dénomination, la composition et les modalités de fonctionnement. Les conseils de quartier peuvent être consultés par le maire et peuvent lui faire des propositions sur toute question concernant le quartier ou la ville. Le maire peut les associer à l'élaboration, à la mise en oeuvre et à l'évaluation des actions intéressant le quartier, en particulier celles menées au titre de la politique de la ville. Le conseil municipal peut affecter aux conseils de quartier un local et leur allouer chaque année des crédits pour leur fonctionnement. Les communes dont la population est comprise entre 20 000 et 79 999 habitants peuvent appliquer les présentes dispositions. Dans ce cas, les articles L. 2122-2-1 et L. 2122-18-1 s'appliquent. Dans chaque commune soumise à l'obligation de création d'un conseil de quartier, le maire peut décider que le conseil citoyen prévu à l'article 7 de la loi n° 2014-173 du 21 février 2014 de programmation pour la ville et la cohésion urbaine se substitue au conseil de quartier.
1,393,113,600,000
32,472,144,000,000
L2143-1
LEGIARTI000028640661
LEGIARTI000006390128
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
536,870,911
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null
Article
<p>Dans les communes de 80 000 habitants et plus, le conseil municipal fixe le périmètre de chacun des quartiers constituant la commune. </p><p>Chacun d'eux est doté d'un conseil de quartier dont le conseil municipal fixe la dénomination, la composition et les modalités de fonctionnement. </p><p>Les conseils de quartier peuvent être consultés par le maire et peuvent lui faire des propositions sur toute question concernant le quartier ou la ville. Le maire peut les associer à l'élaboration, à la mise en oeuvre et à l'évaluation des actions intéressant le quartier, en particulier celles menées au titre de la politique de la ville. </p><p>Le conseil municipal peut affecter aux conseils de quartier un local et leur allouer chaque année des crédits pour leur fonctionnement. </p><p>Les communes dont la population est comprise entre 20 000 et 79 999 habitants peuvent appliquer les présentes dispositions. Dans ce cas, les articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389911&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2122-2-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389943&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2122-18-1 </a>s'appliquent. </p><p>Dans chaque commune soumise à l'obligation de création d'un conseil de quartier, le maire peut décider que le conseil citoyen prévu à l'article <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000028636804&idArticle=JORFARTI000028637026&categorieLien=cid'>7 de la loi n° 2014-173</a> du 21 février 2014 de programmation pour la ville et la cohésion urbaine se substitue au conseil de quartier.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390129
IG-20231128
null
LEGIARTI000028640661
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164885
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CHAPITRE III : Participation des habitants à la vie locale
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LEGISCTA000006164885
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE IV : INFORMATION ET PARTICIPATION DES HABITANTS &gt; CHAPITRE III : Participation des habitants à la vie locale
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Code général des collectivités territoriales, art. L2143-2
Code général des collectivités territoriales
Le conseil municipal peut créer des comités consultatifs sur tout problème d'intérêt communal concernant tout ou partie du territoire de la commune. Ces comités comprennent des personnes qui peuvent ne pas appartenir au conseil, notamment des représentants des associations locales. Sur proposition du maire, il en fixe la composition pour une durée qui ne peut excéder celle du mandat municipal en cours. Chaque comité est présidé par un membre du conseil municipal, désigné par le maire. Les comités peuvent être consultés par le maire sur toute question ou projet intéressant les services publics et équipements de proximité et entrant dans le domaine d'activité des associations membres du comité. Ils peuvent par ailleurs transmettre au maire toute proposition concernant tout problème d'intérêt communal pour lequel ils ont été institués.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2143-2
LEGIARTI000006390132
LEGIARTI000006390130
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
1,073,741,822
null
null
null
Article
<p></p> Le conseil municipal peut créer des comités consultatifs sur tout problème d'intérêt communal concernant tout ou partie du territoire de la commune. Ces comités comprennent des personnes qui peuvent ne pas appartenir au conseil, notamment des représentants des associations locales.<p></p><p></p> Sur proposition du maire, il en fixe la composition pour une durée qui ne peut excéder celle du mandat municipal en cours.<p></p><p></p> Chaque comité est présidé par un membre du conseil municipal, désigné par le maire.<p></p><p></p> Les comités peuvent être consultés par le maire sur toute question ou projet intéressant les services publics et équipements de proximité et entrant dans le domaine d'activité des associations membres du comité. Ils peuvent par ailleurs transmettre au maire toute proposition concernant tout problème d'intérêt communal pour lequel ils ont été institués.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390131
IG-20231124
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LEGIARTI000006390132
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164885
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CHAPITRE III : Participation des habitants à la vie locale
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LEGISCTA000006164885
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE IV : INFORMATION ET PARTICIPATION DES HABITANTS &gt; CHAPITRE III : Participation des habitants à la vie locale
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Code général des collectivités territoriales, art. L2143-3
Code général des collectivités territoriales
Dans les communes de 5 000 habitants et plus, il est créé une commission communale pour l'accessibilité composée notamment des représentants de la commune, d'associations ou organismes représentant les personnes handicapées pour tous les types de handicap, notamment physique, sensoriel, cognitif, mental ou psychique, d'associations ou organismes représentant les personnes âgées, de représentants des acteurs économiques ainsi que de représentants d'autres usagers de la ville. Cette commission dresse le constat de l'état d'accessibilité du cadre bâti existant, de la voirie, des espaces publics et des transports. Elle détaille l'accessibilité aux personnes handicapées ou à mobilité réduite, en fonction du type de handicap, des principaux itinéraires et cheminements dans un rayon de deux cents mètres autour des points d'arrêt prioritaires au sens de l'article L. 1112-1 du code des transports. Elle établit un rapport annuel présenté en conseil municipal et fait toutes propositions utiles de nature à améliorer la mise en accessibilité de l'existant. Elle est destinataire des projets d'agendas d'accessibilité programmée prévus à l'article L. 165-1 du code de la construction et de l'habitation concernant des établissements recevant du public situés sur le territoire communal. Elle est également destinataire des documents de suivi définis par le décret prévu à l'article L. 165-5 du code de la construction et de l'habitation et de l'attestation d'achèvement des travaux prévus dans l'agenda d'accessibilité programmée mentionnée au même article quand l'agenda d'accessibilité programmée concerne un établissement recevant du public situé sur le territoire communal. Pour les services de transport ferroviaire, la commission est destinataire des schémas directeurs d'accessibilité-agendas d'accessibilité programmée prévus à l' article L. 1112-2-1 du code des transports quand ils comportent un ou plusieurs établissements recevant du public situés sur le territoire communal ainsi que des bilans des travaux correspondant à ces schémas directeurs d'accessibilité-agendas d'accessibilité programmée prévus au I de l'article L. 1112-2-4 du même code. La commission communale et la commission intercommunale pour l'accessibilité tiennent à jour, par voie électronique, la liste des établissements recevant du public situés sur le territoire communal ou intercommunal qui ont élaboré un agenda d'accessibilité programmée et la liste des établissements accessibles aux personnes handicapées et aux personnes âgées. Le rapport de la commission communale pour l'accessibilité est présenté au conseil municipal et est transmis au représentant de l'Etat dans le département, au président du conseil départemental, au conseil départemental de la citoyenneté et de l'autonomie, ainsi qu'à tous les responsables des bâtiments, installations et lieux de travail concernés par le rapport. Le maire préside la commission et arrête la liste de ses membres. Cette commission organise également un système de recensement de l'offre de logements accessibles aux personnes handicapées et aux personnes âgées. La création d'une commission intercommunale pour l'accessibilité est obligatoire pour les établissements publics de coopération intercommunale compétents en matière de transports ou d'aménagement de l'espace, dès lors qu'ils regroupent 5 000 habitants et plus. Elle est alors présidée par le président de cet établissement. Elle exerce ses missions dans la limite des compétences transférées au groupement. Les communes membres de l'établissement peuvent également, au travers d'une convention passée avec ce groupement, confier à la commission intercommunale tout ou partie des missions d'une commission communale, même si elles ne s'inscrivent pas dans le cadre des compétences de l'établissement public de coopération intercommunale. Lorsqu'elles coexistent, les commissions communales et intercommunales veillent à la cohérence des constats qu'elles dressent, chacune dans leur domaine de compétences, concernant l'accessibilité du cadre bâti existant, de la voirie, des espaces publics et des transports. Les établissements publics de coopération intercommunale de moins de 5 000 habitants peuvent créer une commission intercommunale pour l'accessibilité. Présidée par le président de cet établissement, elle exerce ses missions dans la limite des compétences transférées au groupement. Les communes membres de l'établissement peuvent également, au travers d'une convention passée avec ce groupement, confier à la commission intercommunale tout ou partie des missions d'une commission communale, même si elles ne s'inscrivent pas dans le cadre des compétences de l'établissement public de coopération intercommunale. Les communes peuvent créer librement une commission intercommunale pour l'accessibilité. Celle-ci exerce, pour l'ensemble des communes volontaires, les missions d'une commission communale, dans la limite des compétences transférées, le cas échéant, par l'une ou plusieurs d'entre elles à un établissement public de coopération intercommunale. Elle est alors présidée par l'un des maires des communes concernées, ces derniers arrêtant conjointement la liste de ses membres.
1,625,097,600,000
32,472,144,000,000
L2143-3
LEGIARTI000041587038
LEGIARTI000006390133
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 8 de l'ordonnance 2020-71 du 29 janvier 2020, ces dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret en Conseil d'Etat, et au plus tard le 1er juillet 2021.
9.0
1,610,612,733
null
null
null
Article
<p>Dans les communes de 5 000 habitants et plus, il est créé une commission communale pour l'accessibilité composée notamment des représentants de la commune, d'associations ou organismes représentant les personnes handicapées pour tous les types de handicap, notamment physique, sensoriel, cognitif, mental ou psychique, d'associations ou organismes représentant les personnes âgées, de représentants des acteurs économiques ainsi que de représentants d'autres usagers de la ville.</p><p>Cette commission dresse le constat de l'état d'accessibilité du cadre bâti existant, de la voirie, des espaces publics et des transports. Elle détaille l'accessibilité aux personnes handicapées ou à mobilité réduite, en fonction du type de handicap, des principaux itinéraires et cheminements dans un rayon de deux cents mètres autour des points d'arrêt prioritaires au sens de l'article L. 1112-1 du code des transports. Elle établit un rapport annuel présenté en conseil municipal et fait toutes propositions utiles de nature à améliorer la mise en accessibilité de l'existant.</p><p>Elle est destinataire des projets d'agendas d'accessibilité programmée prévus à l'article L. 165-1 du code de la construction et de l'habitation concernant des établissements recevant du public situés sur le territoire communal.</p><p>Elle est également destinataire des documents de suivi définis par le décret prévu à l'article L. 165-5 du code de la construction et de l'habitation et de l'attestation d'achèvement des travaux prévus dans l'agenda d'accessibilité programmée mentionnée au même article quand l'agenda d'accessibilité programmée concerne un établissement recevant du public situé sur le territoire communal.</p><p>Pour les services de transport ferroviaire, la commission est destinataire des schémas directeurs d'accessibilité-agendas d'accessibilité programmée prévus à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023086525&idArticle=LEGIARTI000041587140&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code des transports - art. L1112-2-1 (VD)'>article L. 1112-2-1 du code des transports </a>quand ils comportent un ou plusieurs établissements recevant du public situés sur le territoire communal ainsi que des bilans des travaux correspondant à ces schémas directeurs d'accessibilité-agendas d'accessibilité programmée prévus au I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023086525&idArticle=LEGIARTI000029507769&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1112-2-4</a> du même code.</p><p>La commission communale et la commission intercommunale pour l'accessibilité tiennent à jour, par voie électronique, la liste des établissements recevant du public situés sur le territoire communal ou intercommunal qui ont élaboré un agenda d'accessibilité programmée et la liste des établissements accessibles aux personnes handicapées et aux personnes âgées.</p><p>Le rapport de la commission communale pour l'accessibilité est présenté au conseil municipal et est transmis au représentant de l'Etat dans le département, au président du conseil départemental, au conseil départemental de la citoyenneté et de l'autonomie, ainsi qu'à tous les responsables des bâtiments, installations et lieux de travail concernés par le rapport.</p><p>Le maire préside la commission et arrête la liste de ses membres.</p><p>Cette commission organise également un système de recensement de l'offre de logements accessibles aux personnes handicapées et aux personnes âgées.</p><p>La création d'une commission intercommunale pour l'accessibilité est obligatoire pour les établissements publics de coopération intercommunale compétents en matière de transports ou d'aménagement de l'espace, dès lors qu'ils regroupent 5 000 habitants et plus. Elle est alors présidée par le président de cet établissement. Elle exerce ses missions dans la limite des compétences transférées au groupement. Les communes membres de l'établissement peuvent également, au travers d'une convention passée avec ce groupement, confier à la commission intercommunale tout ou partie des missions d'une commission communale, même si elles ne s'inscrivent pas dans le cadre des compétences de l'établissement public de coopération intercommunale. Lorsqu'elles coexistent, les commissions communales et intercommunales veillent à la cohérence des constats qu'elles dressent, chacune dans leur domaine de compétences, concernant l'accessibilité du cadre bâti existant, de la voirie, des espaces publics et des transports.</p><p>Les établissements publics de coopération intercommunale de moins de 5 000 habitants peuvent créer une commission intercommunale pour l'accessibilité. Présidée par le président de cet établissement, elle exerce ses missions dans la limite des compétences transférées au groupement. Les communes membres de l'établissement peuvent également, au travers d'une convention passée avec ce groupement, confier à la commission intercommunale tout ou partie des missions d'une commission communale, même si elles ne s'inscrivent pas dans le cadre des compétences de l'établissement public de coopération intercommunale.</p><p>Les communes peuvent créer librement une commission intercommunale pour l'accessibilité. Celle-ci exerce, pour l'ensemble des communes volontaires, les missions d'une commission communale, dans la limite des compétences transférées, le cas échéant, par l'une ou plusieurs d'entre elles à un établissement public de coopération intercommunale. Elle est alors présidée par l'un des maires des communes concernées, ces derniers arrêtant conjointement la liste de ses membres.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000039784305
MD-20240604_190624_829_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000041587038
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164885
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CHAPITRE III : Participation des habitants à la vie locale
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null
LEGISCTA000006164885
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE IV : INFORMATION ET PARTICIPATION DES HABITANTS &gt; CHAPITRE III : Participation des habitants à la vie locale
<p>Conformément à l'article 8 de l'ordonnance 2020-71 du 29 janvier 2020, ces dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret en Conseil d'Etat, et au plus tard le 1er juillet 2021.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2143-4
Code général des collectivités territoriales
Dans les communes de moins de 3 500 habitants, chaque bourg, hameau ou groupement de hameaux peut être doté par le conseil municipal, sur demande de ses habitants, d'un conseil consultatif. Le conseil municipal, après avoir consulté les habitants selon les modalités qu'il détermine, en fixe alors la dénomination, la composition et les modalités de fonctionnement. Le conseil consultatif ainsi créé peut être consulté par le maire sur toute question. Il est informé de toute décision concernant la partie du territoire communal qu'il couvre.
1,577,491,200,000
32,472,144,000,000
L2143-4
LEGIARTI000041411048
LEGIARTI000006390135
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,879,048,190
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null
null
Article
<p>Dans les communes de moins de 3 500 habitants, chaque bourg, hameau ou groupement de hameaux peut être doté par le conseil municipal, sur demande de ses habitants, d'un conseil consultatif. Le conseil municipal, après avoir consulté les habitants selon les modalités qu'il détermine, en fixe alors la dénomination, la composition et les modalités de fonctionnement.<br/><br/> Le conseil consultatif ainsi créé peut être consulté par le maire sur toute question. Il est informé de toute décision concernant la partie du territoire communal qu'il couvre.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390135
IG-20231129
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LEGIARTI000041411048
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006164885
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CHAPITRE III : Participation des habitants à la vie locale
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null
LEGISCTA000006164885
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null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE IV : INFORMATION ET PARTICIPATION DES HABITANTS &gt; CHAPITRE III : Participation des habitants à la vie locale
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Code général des collectivités territoriales, art. L2144-1
Code général des collectivités territoriales
Certains services municipaux peuvent être mis à la disposition de la population dans des annexes mobiles de la mairie. Toutefois, aucune opération d'état civil impliquant le déplacement des registres d'état civil ne peut être réalisée dans ces annexes mobiles.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2144-1
LEGIARTI000006390136
LEGIARTI000006390136
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Certains services municipaux peuvent être mis à la disposition de la population dans des annexes mobiles de la mairie.<p></p><p></p> Toutefois, aucune opération d'état civil impliquant le déplacement des registres d'état civil ne peut être réalisée dans ces annexes mobiles.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
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LEGIARTI000006390136
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164553
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CHAPITRE IV : Services de proximité
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LEGISCTA000006164553
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE IV : INFORMATION ET PARTICIPATION DES HABITANTS &gt; CHAPITRE IV : Services de proximité
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Code général des collectivités territoriales, art. L2144-2
Code général des collectivités territoriales
Les annexes de la mairie créées par les communes peuvent être communes à plusieurs quartiers. Dans ces annexes, des services municipaux de proximité sont mis à la disposition des habitants. Les dispositions de l'article L. 2144-1 sont applicables à ces annexes.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2144-2
LEGIARTI000041411821
LEGIARTI000006390137
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Les annexes de la mairie créées par les communes peuvent être communes à plusieurs quartiers. Dans ces annexes, des services municipaux de proximité sont mis à la disposition des habitants. Les dispositions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390136&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2144-1</a> sont applicables à ces annexes.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390137
IG-20231129
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LEGIARTI000041411821
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164553
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CHAPITRE IV : Services de proximité
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LEGISCTA000006164553
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null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE IV : INFORMATION ET PARTICIPATION DES HABITANTS &gt; CHAPITRE IV : Services de proximité
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Code général des collectivités territoriales, art. L2144-3
Code général des collectivités territoriales
Des locaux communaux peuvent être utilisés par les associations ou partis politiques qui en font la demande. Le maire détermine les conditions dans lesquelles ces locaux peuvent être utilisés, compte tenu des nécessités de l'administration des propriétés communales, du fonctionnement des services et du maintien de l'ordre public. Le conseil municipal fixe, en tant que de besoin, la contribution due à raison de cette utilisation. Les locaux communaux peuvent également être mis à la disposition des organisations syndicales, dans les conditions prévues à l'article L. 1311-18 .
1,470,787,200,000
32,472,144,000,000
L2144-3
LEGIARTI000033023248
LEGIARTI000006390138
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Des locaux communaux peuvent être utilisés par les associations ou partis politiques qui en font la demande. </p><p>Le maire détermine les conditions dans lesquelles ces locaux peuvent être utilisés, compte tenu des nécessités de l'administration des propriétés communales, du fonctionnement des services et du maintien de l'ordre public. </p><p>Le conseil municipal fixe, en tant que de besoin, la contribution due à raison de cette utilisation. </p><p>Les locaux communaux peuvent également être mis à la disposition des organisations syndicales, dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000033006562&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L1311-18 (V)'>L. 1311-18</a>.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390138
IG-20231124
null
LEGIARTI000033023248
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164553
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CHAPITRE IV : Services de proximité
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LEGISCTA000006164553
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE Ier : ORGANISATION DE LA COMMUNE &gt; TITRE IV : INFORMATION ET PARTICIPATION DES HABITANTS &gt; CHAPITRE IV : Services de proximité
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Code général des collectivités territoriales, art. L2211-1
Code général des collectivités territoriales
Le maire concourt à la politique de prévention de la délinquance dans les conditions prévues à la section 1 du chapitre II du titre III du livre Ier du code de la sécurité intérieure.
1,335,830,400,000
32,472,144,000,000
L2211-1
LEGIARTI000025543332
LEGIARTI000006390139
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
42,949
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null
Article
<p>Le maire concourt à la politique de prévention de la délinquance dans les conditions prévues à la <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idSectionTA=LEGISCTA000025504997&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la sécurité intérieure - Section 1 : Rôle du maire (V)'>section 1</a> du chapitre II du titre III du livre Ier du code de la sécurité intérieure.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390141
MD-20240822_190558_461_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000025543332
LEGI
32,472,144,000,000
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CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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Code général des collectivités territoriales, art. L2212-1
Code général des collectivités territoriales
Le maire est chargé, sous le contrôle administratif du représentant de l'Etat dans le département, de la police municipale, de la police rurale et de l'exécution des actes de l'Etat qui y sont relatifs.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2212-1
LEGIARTI000006390149
LEGIARTI000006390149
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Le maire est chargé, sous le contrôle administratif du représentant de l'Etat dans le département, de la police municipale, de la police rurale et de l'exécution des actes de l'Etat qui y sont relatifs.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
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LEGIARTI000006390149
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164555
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CHAPITRE II : Police municipale
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LEGISCTA000006164555
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE II : Police municipale
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Code général des collectivités territoriales, art. L2212-2
Code général des collectivités territoriales
La police municipale a pour objet d'assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques. Elle comprend notamment : 1° Tout ce qui intéresse la sûreté et la commodité du passage dans les rues, quais, places et voies publiques, ce qui comprend le nettoiement, l'éclairage, l'enlèvement des encombrements, la démolition ou la réparation des édifices et monuments funéraires menaçant ruine, l'interdiction de rien exposer aux fenêtres ou autres parties des édifices qui puisse nuire par sa chute ou celle de rien jeter qui puisse endommager les passants ou causer des exhalaisons nuisibles ainsi que le soin de réprimer les dépôts, déversements, déjections, projections de toute matière ou objet de nature à nuire, en quelque manière que ce soit, à la sûreté ou à la commodité du passage ou à la propreté des voies susmentionnées ; 2° Le soin de réprimer les atteintes à la tranquillité publique telles que les rixes et disputes accompagnées d'ameutement dans les rues, le tumulte excité dans les lieux d'assemblée publique, les attroupements, les bruits, les troubles de voisinage, les rassemblements nocturnes qui troublent le repos des habitants et tous actes de nature à compromettre la tranquillité publique ; 3° Le maintien du bon ordre dans les endroits où il se fait de grands rassemblements d'hommes, tels que les foires, marchés, réjouissances et cérémonies publiques, spectacles, jeux, cafés, églises et autres lieux publics ; 4° L'inspection sur la fidélité du débit des denrées qui se vendent au poids ou à la mesure et sur la salubrité des comestibles exposés en vue de la vente ; 5° Le soin de prévenir, par des précautions convenables, et de faire cesser, par la distribution des secours nécessaires, les accidents et les fléaux calamiteux ainsi que les pollutions de toute nature, tels que les incendies, les inondations, les ruptures de digues, les éboulements de terre ou de rochers, les avalanches ou autres accidents naturels, les maladies épidémiques ou contagieuses, les épizooties, de pourvoir d'urgence à toutes les mesures d'assistance et de secours et, s'il y a lieu, de provoquer l'intervention de l'administration supérieure ; 6° Le soin de prendre provisoirement les mesures nécessaires contre les personnes atteintes de troubles mentaux dont l'état pourrait compromettre la morale publique, la sécurité des personnes ou la conservation des propriétés ; 7° Le soin d'obvier ou de remédier aux événements fâcheux qui pourraient être occasionnés par la divagation des animaux malfaisants ou féroces.
1,419,206,400,000
32,472,144,000,000
L2212-2
LEGIARTI000029946370
LEGIARTI000006390150
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
171,796
null
null
null
Article
<p>La police municipale a pour objet d'assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques. Elle comprend notamment : </p><p>1° Tout ce qui intéresse la sûreté et la commodité du passage dans les rues, quais, places et voies publiques, ce qui comprend le nettoiement, l'éclairage, l'enlèvement des encombrements, la démolition ou la réparation des édifices et monuments funéraires menaçant ruine, l'interdiction de rien exposer aux fenêtres ou autres parties des édifices qui puisse nuire par sa chute ou celle de rien jeter qui puisse endommager les passants ou causer des exhalaisons nuisibles ainsi que le soin de réprimer les dépôts, déversements, déjections, projections de toute matière ou objet de nature à nuire, en quelque manière que ce soit, à la sûreté ou à la commodité du passage ou à la propreté des voies susmentionnées ; </p><p>2° Le soin de réprimer les atteintes à la tranquillité publique telles que les rixes et disputes accompagnées d'ameutement dans les rues, le tumulte excité dans les lieux d'assemblée publique, les attroupements, les bruits, les troubles de voisinage, les rassemblements nocturnes qui troublent le repos des habitants et tous actes de nature à compromettre la tranquillité publique ; </p><p>3° Le maintien du bon ordre dans les endroits où il se fait de grands rassemblements d'hommes, tels que les foires, marchés, réjouissances et cérémonies publiques, spectacles, jeux, cafés, églises et autres lieux publics ; </p><p>4° L'inspection sur la fidélité du débit des denrées qui se vendent au poids ou à la mesure et sur la salubrité des comestibles exposés en vue de la vente ; </p><p>5° Le soin de prévenir, par des précautions convenables, et de faire cesser, par la distribution des secours nécessaires, les accidents et les fléaux calamiteux ainsi que les pollutions de toute nature, tels que les incendies, les inondations, les ruptures de digues, les éboulements de terre ou de rochers, les avalanches ou autres accidents naturels, les maladies épidémiques ou contagieuses, les épizooties, de pourvoir d'urgence à toutes les mesures d'assistance et de secours et, s'il y a lieu, de provoquer l'intervention de l'administration supérieure ; </p><p>6° Le soin de prendre provisoirement les mesures nécessaires contre les personnes atteintes de troubles mentaux dont l'état pourrait compromettre la morale publique, la sécurité des personnes ou la conservation des propriétés ; </p><p>7° Le soin d'obvier ou de remédier aux événements fâcheux qui pourraient être occasionnés par la divagation des animaux malfaisants ou féroces. </p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000019983190
MD-20240822_190554_954_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029946370
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164555
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CHAPITRE II : Police municipale
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LEGISCTA000006164555
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE II : Police municipale
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Code général des collectivités territoriales, art. L2212-2-1
Code général des collectivités territoriales
I.-Dans les conditions prévues au II, peut donner lieu à une amende administrative d'un montant maximal de 500 € tout manquement à un arrêté du maire présentant un risque pour la sécurité des personnes et ayant un caractère répétitif ou continu : 1° En matière d'élagage et d'entretien des arbres et des haies donnant sur la voie ou le domaine public ; 2° Ayant pour effet de bloquer ou d'entraver la voie ou le domaine public, en y installant ou en y laissant sans nécessité ou sans autorisation tout matériel ou objet, ou en y déversant toute substance ; 3° Consistant, au moyen d'un bien mobilier, à occuper à des fins commerciales la voie ou le domaine public soit sans droit ni titre, lorsque celui-ci est requis en application de l'article L. 2122-1 du code général de la propriété des personnes publiques, soit de façon non conforme au titre délivré en application du même article L. 2122-1, lorsque cette occupation constitue un usage privatif de ce domaine public excédant le droit d'usage appartenant à tous ; 4° En matière de non-respect d'un arrêté de restrictions horaires pour la vente d'alcool à emporter sur le territoire de la commune, pris en application de l'article L. 3332-13 du code de la santé publique. II.-Le manquement mentionné au I du présent article est constaté par procès-verbal d'un officier de police judiciaire, d'un agent de police judiciaire ou d'un agent de police judiciaire adjoint. Le maire notifie par écrit à la personne intéressée les faits qui lui sont reprochés, les mesures nécessaires pour faire cesser le manquement ainsi que les sanctions encourues. Cette notification mentionne la possibilité de présenter des observations, écrites ou orales, dans un délai de dix jours, le cas échéant assisté par un conseil ou représenté par un mandataire de son choix. A l'expiration de ce délai de dix jours, si la personne n'a pas pris les mesures nécessaires pour faire cesser le manquement, le maire la met en demeure de se conformer à la réglementation dans un nouveau délai de dix jours. A l'issue de ce second délai et à défaut d'exécution des mesures prescrites, le maire peut, par une décision motivée qui indique les voies et délais de recours, prononcer l'amende administrative prévue au premier alinéa du I. Le montant de l'amende est fixé en fonction de la gravité des faits reprochés. La décision du maire prononçant l'amende est notifiée par écrit à la personne intéressée. Elle mentionne les modalités et le délai de paiement de l'amende. Cette décision est soumise aux dispositions de l'article L. 2131-1. Le recours formé contre la décision prononçant l'amende est un recours de pleine juridiction. L'amende administrative est recouvrée au bénéfice de la commune dans les conditions prévues par les dispositions relatives aux produits communaux. Le délai de prescription de l'action du maire pour la sanction d'un manquement mentionné au premier alinéa du I est d'un an révolu à compter du jour où le premier manquement a été commis. Ne peut faire l'objet de l'amende administrative prévue au premier alinéa du I le fait pour toute personne d'avoir installé sur la voie ou le domaine public les objets nécessaires à la satisfaction de ses besoins élémentaires. III.-Après avoir prononcé l'amende mentionnée au I, le maire peut, par une décision motivée qui indique les voies et délais de recours, faire procéder d'office, en lieu et place de la personne mise en demeure et à ses frais, à l'exécution des mesures prescrites mentionnées au quatrième alinéa du II.
1,581,465,600,000
32,472,144,000,000
L2212-2-1
LEGIARTI000041599292
LEGIARTI000006390153
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
214,745
null
null
null
Article
<p>I.-Dans les conditions prévues au II, peut donner lieu à une amende administrative d'un montant maximal de 500 € tout manquement à un arrêté du maire présentant un risque pour la sécurité des personnes et ayant un caractère répétitif ou continu :<br/><br/> 1° En matière d'élagage et d'entretien des arbres et des haies donnant sur la voie ou le domaine public ;<br/><br/> 2° Ayant pour effet de bloquer ou d'entraver la voie ou le domaine public, en y installant ou en y laissant sans nécessité ou sans autorisation tout matériel ou objet, ou en y déversant toute substance ;<br/><br/> 3° Consistant, au moyen d'un bien mobilier, à occuper à des fins commerciales la voie ou le domaine public soit sans droit ni titre, lorsque celui-ci est requis en application de l'article L. 2122-1 du code général de la propriété des personnes publiques, soit de façon non conforme au titre délivré en application du même article L. 2122-1, lorsque cette occupation constitue un usage privatif de ce domaine public excédant le droit d'usage appartenant à tous ;<br/><br/> 4° En matière de non-respect d'un arrêté de restrictions horaires pour la vente d'alcool à emporter sur le territoire de la commune, pris en application de l'article L. 3332-13 du code de la santé publique.<br/><br/> II.-Le manquement mentionné au I du présent article est constaté par procès-verbal d'un officier de police judiciaire, d'un agent de police judiciaire ou d'un agent de police judiciaire adjoint.<br/><br/> Le maire notifie par écrit à la personne intéressée les faits qui lui sont reprochés, les mesures nécessaires pour faire cesser le manquement ainsi que les sanctions encourues. Cette notification mentionne la possibilité de présenter des observations, écrites ou orales, dans un délai de dix jours, le cas échéant assisté par un conseil ou représenté par un mandataire de son choix.<br/><br/> A l'expiration de ce délai de dix jours, si la personne n'a pas pris les mesures nécessaires pour faire cesser le manquement, le maire la met en demeure de se conformer à la réglementation dans un nouveau délai de dix jours.<br/><br/> A l'issue de ce second délai et à défaut d'exécution des mesures prescrites, le maire peut, par une décision motivée qui indique les voies et délais de recours, prononcer l'amende administrative prévue au premier alinéa du I. Le montant de l'amende est fixé en fonction de la gravité des faits reprochés.<br/><br/> La décision du maire prononçant l'amende est notifiée par écrit à la personne intéressée. Elle mentionne les modalités et le délai de paiement de l'amende. Cette décision est soumise aux dispositions de l'article L. 2131-1.<br/><br/> Le recours formé contre la décision prononçant l'amende est un recours de pleine juridiction.<br/><br/> L'amende administrative est recouvrée au bénéfice de la commune dans les conditions prévues par les dispositions relatives aux produits communaux.<br/><br/> Le délai de prescription de l'action du maire pour la sanction d'un manquement mentionné au premier alinéa du I est d'un an révolu à compter du jour où le premier manquement a été commis.<br/><br/> Ne peut faire l'objet de l'amende administrative prévue au premier alinéa du I le fait pour toute personne d'avoir installé sur la voie ou le domaine public les objets nécessaires à la satisfaction de ses besoins élémentaires.</p><p>III.-Après avoir prononcé l'amende mentionnée au I, le maire peut, par une décision motivée qui indique les voies et délais de recours, faire procéder d'office, en lieu et place de la personne mise en demeure et à ses frais, à l'exécution des mesures prescrites mentionnées au quatrième alinéa du II.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000041411356
IG-20231124
null
LEGIARTI000041599292
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006164555
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CHAPITRE II : Police municipale
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LEGISCTA000006164555
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE II : Police municipale
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Code général des collectivités territoriales, art. L2212-2-2
Code général des collectivités territoriales
Dans l'hypothèse où, après mise en demeure sans résultat, le maire procéderait à l'exécution forcée des travaux d'élagage destinés à mettre fin à l'avance des plantations privées sur l'emprise des voies sur lesquelles il exerce la police de la circulation en application de l'article L. 2213-1 afin de garantir la sûreté et la commodité du passage, les frais afférents aux opérations sont mis à la charge des propriétaires négligents.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2212-2-2
LEGIARTI000041411324
LEGIARTI000024026499
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
236,219
null
null
null
Article
<p>Dans l'hypothèse où, après mise en demeure sans résultat, le maire procéderait à l'exécution forcée des travaux d'élagage destinés à mettre fin à l'avance des plantations privées sur l'emprise des voies sur lesquelles il exerce la police de la circulation en application de l'article L. 2213-1 afin de garantir la sûreté et la commodité du passage, les frais afférents aux opérations sont mis à la charge des propriétaires négligents.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000024026499
IG-20231129
null
LEGIARTI000041411324
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006164555
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CHAPITRE II : Police municipale
null
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LEGISCTA000006164555
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE II : Police municipale
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Code général des collectivités territoriales, art. L2212-3
Code général des collectivités territoriales
La police municipale des communes riveraines de la mer s'exerce sur le rivage de la mer jusqu'à la limite des eaux.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2212-3
LEGIARTI000006390154
LEGIARTI000006390154
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> La police municipale des communes riveraines de la mer s'exerce sur le rivage de la mer jusqu'à la limite des eaux.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390154
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006164555
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CHAPITRE II : Police municipale
null
null
LEGISCTA000006164555
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE II : Police municipale
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Code général des collectivités territoriales, art. L2212-4
Code général des collectivités territoriales
En cas de danger grave ou imminent, tel que les accidents naturels prévus au 5° de l'article L. 2212-2 , le maire prescrit l'exécution des mesures de sûreté exigées par les circonstances. Il informe d'urgence le représentant de l'Etat dans le département et lui fait connaître les mesures qu'il a prescrites.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2212-4
LEGIARTI000006390155
LEGIARTI000006390155
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p>En cas de danger grave ou imminent, tel que les accidents naturels prévus au 5° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390150&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2212-2 (V)'>L. 2212-2</a>, le maire prescrit l'exécution des mesures de sûreté exigées par les circonstances. <p></p><p></p>Il informe d'urgence le représentant de l'Etat dans le département et lui fait connaître les mesures qu'il a prescrites.<p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240104_212428_965_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006390155
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164555
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CHAPITRE II : Police municipale
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LEGISCTA000006164555
null
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null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE II : Police municipale
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2212-5
Code général des collectivités territoriales
Les missions des agents de police municipale et l'organisation des services de police municipale sont régies par les dispositions du titre Ier du livre V du code de la sécurité intérieure.
1,335,830,400,000
32,472,144,000,000
L2212-5
LEGIARTI000025543324
LEGIARTI000006390156
AUTONOME
VIGUEUR
8.0
558,337
null
null
null
Article
Les missions des agents de police municipale et l'organisation des services de police municipale sont régies par les dispositions du titre Ier du livre V du code de la sécurité intérieure.
32,472,144,000,000
LEGIARTI000020629483
MD-20240502_192708_307_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000025543324
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000006164555
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CHAPITRE II : Police municipale
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LEGISCTA000006164555
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE II : Police municipale
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Code général des collectivités territoriales, art. L2212-5-1
Code général des collectivités territoriales
Les communes et groupements de communes qui ont créé une régie de recettes pour percevoir le produit des contraventions en application des articles L. 511-1 et L. 512-2 du code de la sécurité intérieure et de l'article L. 130-4 du code de la route, et le produit des consignations prévues par l'article L. 121-4 du code de la route , versent, au nom et pour le compte de l'Etat, l'indemnité de maniement de fonds due aux régisseurs de ces régies au vu de la décision du représentant de l'Etat dans le département. Ce versement fait l'objet d'un remboursement par l'Etat dans des conditions prévues par voie réglementaire.
1,672,531,200,000
32,472,144,000,000
L2212-5-1
LEGIARTI000045404613
LEGIARTI000006390162
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au I de l’article 29 de l’ordonnance n° 2022-408 du 23 mars 2022, ces dispositions sont applicables à compter du 1er janvier 2023. Se reporter aux modalités d’application prévues au II dudit article.
3.0
601,286
null
null
null
Article
<p>Les communes et groupements de communes qui ont créé une régie de recettes pour percevoir le produit des contraventions en application des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506025&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 511-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506060&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 512-2</a> du code de la sécurité intérieure et de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006840884&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 130-4 </a>du code de la route, et le produit des consignations prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006840875&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 121-4 du code de la route</a>, versent, au nom et pour le compte de l'Etat, l'indemnité de maniement de fonds due aux régisseurs de ces régies au vu de la décision du représentant de l'Etat dans le département.</p><p>Ce versement fait l'objet d'un remboursement par l'Etat dans des conditions prévues par voie réglementaire.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000025543286
IG-20231128
null
LEGIARTI000045404613
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006164555
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CHAPITRE II : Police municipale
null
null
LEGISCTA000006164555
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE II : Police municipale
<p>Conformément au I de l’article 29 de l’ordonnance n° 2022-408 du 23 mars 2022, ces dispositions sont applicables à compter du 1er janvier 2023. Se reporter aux modalités d’application prévues au II dudit article.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2213-1
Code général des collectivités territoriales
Le maire exerce la police de la circulation sur les routes nationales, les routes départementales et l'ensemble des voies publiques ou privées ouvertes à la circulation publique à l'intérieur des agglomérations, sous réserve des pouvoirs dévolus au représentant de l'Etat dans le département sur les routes à grande circulation. A l'extérieur des agglomérations, le maire exerce également la police de la circulation sur les voies du domaine public routier communal et du domaine public routier intercommunal, sous réserve des pouvoirs dévolus au représentant de l'Etat dans le département sur les routes à grande circulation. Les conditions dans lesquelles le maire exerce la police de la circulation sur les routes à grande circulation sont fixées par décret en Conseil d'Etat. Par dérogation aux dispositions des deux alinéas précédents et à celles des articles L. 2213-2 et L. 2213-3 , des décrets peuvent transférer, dans les attributions du représentant de l'Etat dans le département, la police de la circulation sur certaines sections des routes à grande circulation.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2213-1
LEGIARTI000041411328
LEGIARTI000006390169
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Le maire exerce la police de la circulation sur les routes nationales, les routes départementales et l'ensemble des voies publiques ou privées ouvertes à la circulation publique à l'intérieur des agglomérations, sous réserve des pouvoirs dévolus au représentant de l'Etat dans le département sur les routes à grande circulation. A l'extérieur des agglomérations, le maire exerce également la police de la circulation sur les voies du domaine public routier communal et du domaine public routier intercommunal, sous réserve des pouvoirs dévolus au représentant de l'Etat dans le département sur les routes à grande circulation.</p><p>Les conditions dans lesquelles le maire exerce la police de la circulation sur les routes à grande circulation sont fixées par décret en Conseil d'Etat.</p><p>Par dérogation aux dispositions des deux alinéas précédents et à celles des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390170&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2213-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390177&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2213-3</a>, des décrets peuvent transférer, dans les attributions du représentant de l'Etat dans le département, la police de la circulation sur certaines sections des routes à grande circulation.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000028538342
MD-20240820_190350_879_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000041411328
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180977
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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LEGISCTA000006180977
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-1-1
Code général des collectivités territoriales
Sans préjudice de l'article L. 2213-1 , le maire peut, par arrêté motivé, fixer pour tout ou partie des voies de l'agglomération ouvertes à la circulation publique une vitesse maximale autorisée inférieure à celle prévue par le code de la route, eu égard à une nécessité de sécurité et de circulation routières, de mobilité ou de protection de l'environnement. Le maire peut également, par arrêté motivé, fixer des règles dérogatoires à celles prévues par le code de la route pour la circulation des engins de déplacement personnel sur tout ou partie des voies sur lesquelles il exerce son pouvoir de police ainsi que sur leurs dépendances, dans des conditions fixées par décret.
1,577,404,800,000
32,472,144,000,000
L2213-1-1
LEGIARTI000039784591
LEGIARTI000031051211
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
64,423
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Article
<p>Sans préjudice de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390169&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2213-1</a>, le maire peut, par arrêté motivé, fixer pour tout ou partie des voies de l'agglomération ouvertes à la circulation publique une vitesse maximale autorisée inférieure à celle prévue par le code de la route, eu égard à une nécessité de sécurité et de circulation routières, de mobilité ou de protection de l'environnement.</p><p>Le maire peut également, par arrêté motivé, fixer des règles dérogatoires à celles prévues par le code de la route pour la circulation des engins de déplacement personnel sur tout ou partie des voies sur lesquelles il exerce son pouvoir de police ainsi que sur leurs dépendances, dans des conditions fixées par décret.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000031051216
IG-20231124
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LEGIARTI000039784591
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180977
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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LEGISCTA000006180977
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-2
Code général des collectivités territoriales
Le maire peut, par arrêté motivé, eu égard aux nécessités de la circulation et de la protection de l'environnement : 1° Interdire à certaines heures l'accès de certaines voies de l'agglomération ou de certaines portions de voie ou réserver cet accès, à certaines heures ou de manière permanente, à diverses catégories d'usagers ou de véhicules ; 2° Réglementer l'arrêt et le stationnement des véhicules ou de certaines catégories d'entre eux, ainsi que la desserte des immeubles riverains ; 3° Réserver sur la voie publique ou dans tout autre lieu de stationnement ouvert au public des emplacements de stationnement aménagés aux véhicules utilisés par les personnes titulaires de la carte “mobilité inclusion” portant la mention “stationnement pour personnes handicapées” mentionnée à l' article L. 241-3 du code de l'action sociale et des familles , aux véhicules bénéficiant d'un label “ auto-partage ”, aux véhicules bénéficiant d'un signe distinctif de covoiturage, aux véhicules des usagers des transports publics de personnes ou aux véhicules à très faibles émissions au sens de l'article L. 318-1 du code de la route.
1,629,849,600,000
32,472,144,000,000
L2213-2
LEGIARTI000043976727
LEGIARTI000006390170
AUTONOME
VIGUEUR
12.0
85,898
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null
Article
<p>Le maire peut, par arrêté motivé, eu égard aux nécessités de la circulation et de la protection de l'environnement :</p><p>1° Interdire à certaines heures l'accès de certaines voies de l'agglomération ou de certaines portions de voie ou réserver cet accès, à certaines heures ou de manière permanente, à diverses catégories d'usagers ou de véhicules ;</p><p>2° Réglementer l'arrêt et le stationnement des véhicules ou de certaines catégories d'entre eux, ainsi que la desserte des immeubles riverains ;</p><p>3° Réserver sur la voie publique ou dans tout autre lieu de stationnement ouvert au public des emplacements de stationnement aménagés aux véhicules utilisés par les personnes titulaires de la carte “mobilité inclusion” portant la mention “stationnement pour personnes handicapées” mentionnée à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006797041&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 241-3 du code de l'action sociale et des familles</a>, aux véhicules bénéficiant d'un label “ auto-partage ”, aux véhicules bénéficiant d'un signe distinctif de covoiturage, aux véhicules des usagers des transports publics de personnes ou aux véhicules à très faibles émissions au sens de l'article L. 318-1 du code de la route.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000039787455
MD-20241018_193940_149_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000043976727
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180977
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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LEGISCTA000006180977
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-3
Code général des collectivités territoriales
Le maire peut, par arrêté motivé : 1° Instituer, à titre permanent ou provisoire, pour les véhicules affectés à un service public et pour les besoins exclusifs de ce service et, dans le cadre de leurs missions, pour les véhicules de transport de fonds, de bijoux ou de métaux précieux, des stationnements réservés sur les voies publiques de l'agglomération ; 2° Réserver des emplacements sur ces mêmes voies pour faciliter la circulation et le stationnement des transports publics de voyageurs et des taxis ainsi que des véhicules de transport de fonds, de bijoux ou de métaux précieux, dans le cadre de leurs missions, et l'arrêt des véhicules effectuant un chargement ou un déchargement de marchandises ; 3° Réserver des emplacements sur la voie publique, de façon permanente ou à certaines heures, pour faciliter la circulation des véhicules de transport en commun, des taxis, des véhicules transportant un nombre minimal d'occupants notamment dans le cadre du covoiturage au sens de l'article L. 3132-1 du code des transports ou des véhicules à très faibles émissions au sens de l'article L. 318-1 du code de la route. Pour des raisons liées aux conditions de circulation et à la sécurité routière, le maire peut ne pas autoriser la circulation sur ces emplacements réservés des véhicules de transport de marchandises de plus de 3,5 tonnes même s'ils répondent aux conditions du premier alinéa du présent 3°.
1,577,404,800,000
32,472,144,000,000
L2213-3
LEGIARTI000039787448
LEGIARTI000006390177
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
429,490
null
null
null
Article
<p>Le maire peut, par arrêté motivé :</p><p>1° Instituer, à titre permanent ou provisoire, pour les véhicules affectés à un service public et pour les besoins exclusifs de ce service et, dans le cadre de leurs missions, pour les véhicules de transport de fonds, de bijoux ou de métaux précieux, des stationnements réservés sur les voies publiques de l'agglomération ;</p><p>2° Réserver des emplacements sur ces mêmes voies pour faciliter la circulation et le stationnement des transports publics de voyageurs et des taxis ainsi que des véhicules de transport de fonds, de bijoux ou de métaux précieux, dans le cadre de leurs missions, et l'arrêt des véhicules effectuant un chargement ou un déchargement de marchandises ;</p><p>3° Réserver des emplacements sur la voie publique, de façon permanente ou à certaines heures, pour faciliter la circulation des véhicules de transport en commun, des taxis, des véhicules transportant un nombre minimal d'occupants notamment dans le cadre du covoiturage au sens de l'article L. 3132-1 du code des transports ou des véhicules à très faibles émissions au sens de l'article L. 318-1 du code de la route.<br/><br/> Pour des raisons liées aux conditions de circulation et à la sécurité routière, le maire peut ne pas autoriser la circulation sur ces emplacements réservés des véhicules de transport de marchandises de plus de 3,5 tonnes même s'ils répondent aux conditions du premier alinéa du présent 3°.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390179
MD-20240505_184853_802_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000039787448
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180977
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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LEGISCTA000006180977
null
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null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-3-1
Code général des collectivités territoriales
Lorsqu'une commune est membre d'une métropole, d'une communauté urbaine ou d'une communauté d'agglomération compétente en matière de voirie dont le territoire est couvert par un plan de mobilité, ou d'une communauté de communes compétente en matière de voirie dont le territoire est couvert par un plan de mobilité, le stationnement des véhicules à moteur est soit interdit, soit réservé à des catégories particulières de véhicules, ou limité dans le temps, ou soumis à paiement, sur les voies publiques supportant la circulation de véhicules assurant un service régulier de transport public et sur les trottoirs adjacents à ces voies lorsque ces mesures sont nécessaires pour faciliter la circulation de ces véhicules ou l'accès des usagers au service.
1,609,459,200,000
32,472,144,000,000
L2213-3-1
LEGIARTI000039783966
LEGIARTI000022475900
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XI de l'article 16 de la loi n° 2019-1428 du 24 décembre 2019, les présentes dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2021.
3.0
472,439
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'une commune est membre d'une métropole, d'une communauté urbaine ou d'une communauté d'agglomération compétente en matière de voirie dont le territoire est couvert par un plan de mobilité, ou d'une communauté de communes compétente en matière de voirie dont le territoire est couvert par un plan de mobilité, le stationnement des véhicules à moteur est soit interdit, soit réservé à des catégories particulières de véhicules, ou limité dans le temps, ou soumis à paiement, sur les voies publiques supportant la circulation de véhicules assurant un service régulier de transport public et sur les trottoirs adjacents à ces voies lorsque ces mesures sont nécessaires pour faciliter la circulation de ces véhicules ou l'accès des usagers au service.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000023259718
IG-20231124
null
LEGIARTI000039783966
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180977
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
null
null
LEGISCTA000006180977
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
<p>Conformément au XI de l'article 16 de la loi n° 2019-1428 du 24 décembre 2019, les présentes dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2021.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2213-4
Code général des collectivités territoriales
Le maire peut, par arrêté motivé, interdire l'accès de certaines voies ou de certaines portions de voies ou de certains secteurs de la commune aux véhicules dont la circulation sur ces voies ou dans ces secteurs est de nature à compromettre soit la tranquillité publique, soit la qualité de l'air, soit la protection des espèces animales ou végétales, soit la protection des espaces naturels, des paysages ou des sites ou leur mise en valeur à des fins esthétiques, écologiques, agricoles, forestières ou touristiques. Dans ces secteurs, le maire peut, en outre, par arrêté motivé, soumettre à des prescriptions particulières relatives aux conditions d'horaires et d'accès à certains lieux et aux niveaux sonores admissibles les activités s'exerçant sur la voie publique, à l'exception de celles qui relèvent d'une mission de service public. Ces dispositions ne s'appliquent pas aux véhicules utilisés pour assurer une mission de service public et ne peuvent s'appliquer d'une façon permanente aux véhicules utilisés à des fins professionnelles de recherche, d'exploitation ou d'entretien des espaces naturels. Dans les îles mono-communales, l'interdiction mentionnée au premier alinéa peut couvrir l'ensemble du territoire de la commune.
1,577,404,800,000
32,472,144,000,000
L2213-4
LEGIARTI000039783412
LEGIARTI000006390180
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
515,388
null
null
null
Article
<p>Le maire peut, par arrêté motivé, interdire l'accès de certaines voies ou de certaines portions de voies ou de certains secteurs de la commune aux véhicules dont la circulation sur ces voies ou dans ces secteurs est de nature à compromettre soit la tranquillité publique, soit la qualité de l'air, soit la protection des espèces animales ou végétales, soit la protection des espaces naturels, des paysages ou des sites ou leur mise en valeur à des fins esthétiques, écologiques, agricoles, forestières ou touristiques.</p><p>Dans ces secteurs, le maire peut, en outre, par arrêté motivé, soumettre à des prescriptions particulières relatives aux conditions d'horaires et d'accès à certains lieux et aux niveaux sonores admissibles les activités s'exerçant sur la voie publique, à l'exception de celles qui relèvent d'une mission de service public.</p><p>Ces dispositions ne s'appliquent pas aux véhicules utilisés pour assurer une mission de service public et ne peuvent s'appliquer d'une façon permanente aux véhicules utilisés à des fins professionnelles de recherche, d'exploitation ou d'entretien des espaces naturels.</p><p>Dans les îles mono-communales, l'interdiction mentionnée au premier alinéa peut couvrir l'ensemble du territoire de la commune.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390181
MD-20240820_190347_802_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000039783412
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006180977
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
null
null
LEGISCTA000006180977
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2213-4-1
Code général des collectivités territoriales
I. – Pour lutter contre la pollution atmosphérique, des zones à faibles émissions mobilité peuvent être créées dans les agglomérations et dans les zones pour lesquelles un plan de protection de l'atmosphère est adopté, en cours d'élaboration ou en cours de révision en application de l'article L. 222-4 du code de l'environnement , par le maire ou par le président d'un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre lorsque celui-ci dispose du pouvoir de police de la circulation, sur tout ou partie du territoire de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale. L'instauration d'une zone à faibles émissions mobilité est obligatoire avant le 31 décembre 2020 lorsque les normes de qualité de l'air mentionnées à l'article L. 221-1 du même code ne sont, au regard de critères définis par voie réglementaire, pas respectées de manière régulière sur le territoire de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre compétent. A compter du 1er janvier 2021, l'instauration d'une zone à faibles émissions mobilité est également obligatoire, dans un délai de deux ans, lorsque les normes de qualité de l'air mentionnées au même article L. 221-1 ne sont pas respectées de manière régulière, au regard de critères définis par voie réglementaire, sur le territoire de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre compétent et que les transports terrestres sont à l'origine d'une part prépondérante des dépassements. Un décret précise les conditions d'application du présent alinéa, en particulier les modalités de dérogation à cette obligation, compte tenu de la faible proportion de population exposée aux dépassements des normes de qualité de l'air ou des actions alternatives mises en place afin de respecter ces normes dans des délais plus courts que ceux procédant de la mise en place d'une zone à faibles émissions mobilité. L'instauration d'une zone à faibles émissions mobilité est obligatoire avant le 31 décembre 2024 dans toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants situées sur le territoire métropolitain. Pour l'application du troisième alinéa du présent I, la liste des communes incluses dans ces agglomérations est fixée par arrêté conjoint des ministres chargés de l'environnement et des transports. Cette liste est actualisée au moins tous les cinq ans. L'obligation d'instaurer une zone à faibles émissions mobilité en application du même troisième alinéa est satisfaite sur le territoire de l'agglomération lorsque, le cas échéant, le président de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre dont la population est la plus importante au sein de l'agglomération a créé une zone à faibles émissions mobilité couvrant la majeure partie de la population de l'établissement public. Un décret précise les conditions d'application dudit troisième alinéa, en particulier les modalités de dérogation aux obligations pour des motifs légitimes ou en cas d'actions alternatives mises en place et conduisant à des effets similaires à ceux de la création d'une zone à faibles émissions mobilité. II. – Les zones à faibles émissions mobilité sont délimitées par un arrêté qui fixe les mesures de restriction de circulation applicables, détermine les catégories de véhicules concernés et précise les motifs légitimes pour lesquels des dérogations individuelles peuvent être accordées. L'inclusion de voies du domaine public routier national ou de voies du domaine public routier départemental situées hors agglomération dans les zones à faibles émissions mobilité est subordonnée à l'accord, respectivement, du représentant de l'Etat dans le département et du président du conseil départemental sur les mesures de restriction qu'il est prévu d'y appliquer. Les véhicules circulant dans une zone à faibles émissions mobilité font l'objet de l'identification fondée sur leur contribution à la limitation de la pollution atmosphérique prévue à l' article L. 318-1 du code de la route . L'arrêté précise la durée pour laquelle les zones à faibles émissions mobilité sont créées. Les mesures de restriction fixées par l'arrêté sont cohérentes avec les objectifs de diminution des émissions fixés par le plan de protection de l'atmosphère défini à l' article L. 222-4 du code de l'environnement . III. – Le projet d'arrêté, accompagné d'une étude présentant l'objet des mesures de restriction, justifiant leur nécessité et exposant les bénéfices environnementaux et sanitaires attendus de leur mise en œuvre, notamment en termes d'amélioration de la qualité de l'air et de diminution de l'exposition de la population à la pollution atmosphérique, ainsi que les impacts socio-économiques attendus à l'échelle de la zone urbaine, est mis à la disposition du public dans les conditions prévues à l' article L. 123-19-1 du code de l'environnement et soumis pour avis, par l'autorité compétente, aux autorités organisatrices de la mobilité dans les zones et dans leurs abords, aux conseils municipaux des communes limitrophes, aux gestionnaires de voirie, ainsi qu'aux chambres consulaires concernées. A l'expiration d'un délai fixé par le décret prévu au V du présent article, cet avis est réputé favorable. Lorsqu'un projet de zone à faibles émissions mobilité couvre le territoire de plusieurs collectivités territoriales, ce projet peut faire l'objet d'une étude unique et d'une seule procédure de participation du public. L'étude réalisée préalablement à l'institution d'une zone à faibles émissions mobilité peut être reprise lorsqu'il est envisagé d'étendre les mesures arrêtées à tout ou partie du territoire d'une autre commune ou collectivité territoriale limitrophe, en y apportant les éléments justifiant cette extension et, le cas échéant, ceux nécessaires à l'actualisation de l'étude initiale. Les dispositions du présent III ne sont toutefois pas applicables lorsque l'institution d'une zone à faibles émissions mobilité constitue l'une des mesures du plan d'action pour la réduction des émissions de polluants atmosphériques du plan climat-air-énergie territorial prévu au 3° du II de l'article L. 229-26 du code de l'environnement et que les restrictions envisagées ont, pour l'essentiel, fait l'objet de l'étude prévue au deuxième alinéa du même 3°. La création d'une zone à faibles émissions mobilité est accompagnée d'une campagne d'information locale, d'une durée minimale de trois mois. Cette campagne porte à la connaissance du public le périmètre contrôlé ainsi que les restrictions de circulation mises en œuvre. Elle expose également les alternatives à l'usage individuel de la voiture au sein du périmètre contrôlé, notamment l'offre de transport public, dont le transport à la demande. IV. – L'autorité compétente pour prendre l'arrêté en évalue de façon régulière, au moins tous les trois ans, l'efficacité au regard des bénéfices attendus et peut le modifier en suivant la procédure prévue au III du présent article. V. – Après consultation des représentants des catégories professionnelles concernées, un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent article, notamment les catégories de véhicules, y compris de transport collectif de personnes, dont la circulation dans une zone à faibles émissions mobilité ne peut être interdite, ainsi que les modalités selon lesquelles des dérogations individuelles aux mesures de restriction peuvent être accordées. VI.-Dans les zones à faibles émissions mobilité rendues obligatoires en application du deuxième alinéa du I, l'autorité compétente prend des mesures de restriction de la circulation des véhicules automobiles construits pour le transport de personnes ou de marchandises dont le poids total autorisé en charge est inférieur ou égal à 3,5 tonnes et disposant d'au moins quatre roues. En application du premier alinéa du présent VI, lorsque les normes de qualité de l'air mentionnées à l'article L. 221-1 du code de l'environnement ne sont pas respectées dans ces zones de manière régulière au regard des critères mentionnés au deuxième alinéa du I du présent article, les mesures de restriction interdisent la circulation des véhicules automobiles construits pour le transport de personnes dont le poids total autorisé en charge est inférieur ou égal à 3,5 tonnes et disposant d'au moins quatre roues suivants : 1° Au plus tard le 1er janvier 2023, les véhicules diesel et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 2000 ainsi que les véhicules essence et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 1996 ; 2° Au plus tard le 1er janvier 2024, les véhicules diesel et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 2005 ; 3° Au plus tard le 1er janvier 2025, les véhicules diesel et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 2010 ainsi que les véhicules essence et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 2005. Pour l'application du présent article, les mots : “ véhicules diesel et assimilés ” désignent les véhicules ayant une motorisation au gazole ainsi que les véhicules combinant une motorisation électrique et une motorisation au gazole. Les mots : “ véhicules essence et assimilés ” désignent les véhicules ayant une motorisation à l'essence ainsi que les véhicules combinant une motorisation électrique et à l'essence. Les mesures de restriction rendues obligatoires en application du présent VI ne s'appliquent pas aux véhicules dont l'autonomie équivalente en mode tout électrique en ville est supérieure à cinquante kilomètres. VII.-Dans les zones à faibles émissions mobilité rendues obligatoires en application du deuxième alinéa du I ou dans les agglomérations ou dans les zones mentionnées au premier ou au troisième alinéas du même I ou concernées par les dépassements mentionnés au deuxième alinéa dudit I, l'autorité compétente s'assure du déploiement et de l'installation des infrastructures de recharge pour véhicules électriques nécessaires au respect des normes de circulation. L'autorité compétente a notamment la charge de concevoir, en concertation avec l'ensemble des parties prenantes, un schéma directeur de développement des infrastructures de recharge prévu à l' article L. 353-5 du code de l'énergie . Ce schéma directeur tient compte des spécificités techniques de chaque borne et, le cas échéant, de la compensation financière des difficultés techniques qui y sont liées.
1,629,849,600,000
32,472,144,000,000
L2213-4-1
LEGIARTI000043976834
LEGIARTI000031051221
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
558,337
null
null
null
Article
<p>I. – Pour lutter contre la pollution atmosphérique, des zones à faibles émissions mobilité peuvent être créées dans les agglomérations et dans les zones pour lesquelles un plan de protection de l'atmosphère est adopté, en cours d'élaboration ou en cours de révision en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000006833392&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'environnement - art. L222-4 (V)'>L. 222-4 du code de l'environnement</a>, par le maire ou par le président d'un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre lorsque celui-ci dispose du pouvoir de police de la circulation, sur tout ou partie du territoire de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale. </p><p>L'instauration d'une zone à faibles émissions mobilité est obligatoire avant le 31 décembre 2020 lorsque les normes de qualité de l'air mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000006833372&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'environnement - art. L221-1 (V)'>L. 221-1 </a>du même code ne sont, au regard de critères définis par voie réglementaire, pas respectées de manière régulière sur le territoire de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre compétent. A compter du 1er janvier 2021, l'instauration d'une zone à faibles émissions mobilité est également obligatoire, dans un délai de deux ans, lorsque les normes de qualité de l'air mentionnées au même article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000006833372&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'environnement - art. L221-1 (V)'>L. 221-1</a> ne sont pas respectées de manière régulière, au regard de critères définis par voie réglementaire, sur le territoire de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre compétent et que les transports terrestres sont à l'origine d'une part prépondérante des dépassements. Un décret précise les conditions d'application du présent alinéa, en particulier les modalités de dérogation à cette obligation, compte tenu de la faible proportion de population exposée aux dépassements des normes de qualité de l'air ou des actions alternatives mises en place afin de respecter ces normes dans des délais plus courts que ceux procédant de la mise en place d'une zone à faibles émissions mobilité. </p><p>L'instauration d'une zone à faibles émissions mobilité est obligatoire avant le 31 décembre 2024 dans toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants situées sur le territoire métropolitain. <br/><br/>Pour l'application du troisième alinéa du présent I, la liste des communes incluses dans ces agglomérations est fixée par arrêté conjoint des ministres chargés de l'environnement et des transports. Cette liste est actualisée au moins tous les cinq ans. <br/><br/>L'obligation d'instaurer une zone à faibles émissions mobilité en application du même troisième alinéa est satisfaite sur le territoire de l'agglomération lorsque, le cas échéant, le président de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre dont la population est la plus importante au sein de l'agglomération a créé une zone à faibles émissions mobilité couvrant la majeure partie de la population de l'établissement public. <br/><br/>Un décret précise les conditions d'application dudit troisième alinéa, en particulier les modalités de dérogation aux obligations pour des motifs légitimes ou en cas d'actions alternatives mises en place et conduisant à des effets similaires à ceux de la création d'une zone à faibles émissions mobilité. </p><p>II. – Les zones à faibles émissions mobilité sont délimitées par un arrêté qui fixe les mesures de restriction de circulation applicables, détermine les catégories de véhicules concernés et précise les motifs légitimes pour lesquels des dérogations individuelles peuvent être accordées. L'inclusion de voies du domaine public routier national ou de voies du domaine public routier départemental situées hors agglomération dans les zones à faibles émissions mobilité est subordonnée à l'accord, respectivement, du représentant de l'Etat dans le département et du président du conseil départemental sur les mesures de restriction qu'il est prévu d'y appliquer. Les véhicules circulant dans une zone à faibles émissions mobilité font l'objet de l'identification fondée sur leur contribution à la limitation de la pollution atmosphérique prévue à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841115&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 318-1 du code de la route</a>. </p><p>L'arrêté précise la durée pour laquelle les zones à faibles émissions mobilité sont créées. </p><p>Les mesures de restriction fixées par l'arrêté sont cohérentes avec les objectifs de diminution des émissions fixés par le plan de protection de l'atmosphère défini à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000006833392&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 222-4 du code de l'environnement</a>. </p><p>III. – Le projet d'arrêté, accompagné d'une étude présentant l'objet des mesures de restriction, justifiant leur nécessité et exposant les bénéfices environnementaux et sanitaires attendus de leur mise en œuvre, notamment en termes d'amélioration de la qualité de l'air et de diminution de l'exposition de la population à la pollution atmosphérique, ainsi que les impacts socio-économiques attendus à l'échelle de la zone urbaine, est mis à la disposition du public dans les conditions prévues à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000032975869&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 123-19-1 du code de l'environnement </a>et soumis pour avis, par l'autorité compétente, aux autorités organisatrices de la mobilité dans les zones et dans leurs abords, aux conseils municipaux des communes limitrophes, aux gestionnaires de voirie, ainsi qu'aux chambres consulaires concernées. A l'expiration d'un délai fixé par le décret prévu au V du présent article, cet avis est réputé favorable. </p><p>Lorsqu'un projet de zone à faibles émissions mobilité couvre le territoire de plusieurs collectivités territoriales, ce projet peut faire l'objet d'une étude unique et d'une seule procédure de participation du public. <br/><br/>L'étude réalisée préalablement à l'institution d'une zone à faibles émissions mobilité peut être reprise lorsqu'il est envisagé d'étendre les mesures arrêtées à tout ou partie du territoire d'une autre commune ou collectivité territoriale limitrophe, en y apportant les éléments justifiant cette extension et, le cas échéant, ceux nécessaires à l'actualisation de l'étude initiale. <br/><br/>Les dispositions du présent III ne sont toutefois pas applicables lorsque l'institution d'une zone à faibles émissions mobilité constitue l'une des mesures du plan d'action pour la réduction des émissions de polluants atmosphériques du plan climat-air-énergie territorial prévu au <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000022476854&dateTexte=&categorieLien=cid'>3° du II de l'article L. 229-26 du code de l'environnement </a>et que les restrictions envisagées ont, pour l'essentiel, fait l'objet de l'étude prévue au deuxième alinéa du même 3°. <br/><br/>La création d'une zone à faibles émissions mobilité est accompagnée d'une campagne d'information locale, d'une durée minimale de trois mois. Cette campagne porte à la connaissance du public le périmètre contrôlé ainsi que les restrictions de circulation mises en œuvre. Elle expose également les alternatives à l'usage individuel de la voiture au sein du périmètre contrôlé, notamment l'offre de transport public, dont le transport à la demande. </p><p>IV. – L'autorité compétente pour prendre l'arrêté en évalue de façon régulière, au moins tous les trois ans, l'efficacité au regard des bénéfices attendus et peut le modifier en suivant la procédure prévue au III du présent article. </p><p>V. – Après consultation des représentants des catégories professionnelles concernées, un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent article, notamment les catégories de véhicules, y compris de transport collectif de personnes, dont la circulation dans une zone à faibles émissions mobilité ne peut être interdite, ainsi que les modalités selon lesquelles des dérogations individuelles aux mesures de restriction peuvent être accordées. </p><p>VI.-Dans les zones à faibles émissions mobilité rendues obligatoires en application du deuxième alinéa du I, l'autorité compétente prend des mesures de restriction de la circulation des véhicules automobiles construits pour le transport de personnes ou de marchandises dont le poids total autorisé en charge est inférieur ou égal à 3,5 tonnes et disposant d'au moins quatre roues. <br/><br/>En application du premier alinéa du présent VI, lorsque les normes de qualité de l'air mentionnées à l'article L. 221-1 du code de l'environnement ne sont pas respectées dans ces zones de manière régulière au regard des critères mentionnés au deuxième alinéa du I du présent article, les mesures de restriction interdisent la circulation des véhicules automobiles construits pour le transport de personnes dont le poids total autorisé en charge est inférieur ou égal à 3,5 tonnes et disposant d'au moins quatre roues suivants : <br/><br/>1° Au plus tard le 1er janvier 2023, les véhicules diesel et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 2000 ainsi que les véhicules essence et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 1996 ; <br/><br/>2° Au plus tard le 1er janvier 2024, les véhicules diesel et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 2005 ; <br/><br/>3° Au plus tard le 1er janvier 2025, les véhicules diesel et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 2010 ainsi que les véhicules essence et assimilés dont la date de première immatriculation est antérieure au 31 décembre 2005. <br/><br/>Pour l'application du présent article, les mots : “ véhicules diesel et assimilés ” désignent les véhicules ayant une motorisation au gazole ainsi que les véhicules combinant une motorisation électrique et une motorisation au gazole. Les mots : “ véhicules essence et assimilés ” désignent les véhicules ayant une motorisation à l'essence ainsi que les véhicules combinant une motorisation électrique et à l'essence. <br/><br/>Les mesures de restriction rendues obligatoires en application du présent VI ne s'appliquent pas aux véhicules dont l'autonomie équivalente en mode tout électrique en ville est supérieure à cinquante kilomètres. <br/><br/>VII.-Dans les zones à faibles émissions mobilité rendues obligatoires en application du deuxième alinéa du I ou dans les agglomérations ou dans les zones mentionnées au premier ou au troisième alinéas du même I ou concernées par les dépassements mentionnés au deuxième alinéa dudit I, l'autorité compétente s'assure du déploiement et de l'installation des infrastructures de recharge pour véhicules électriques nécessaires au respect des normes de circulation. <br/><br/>L'autorité compétente a notamment la charge de concevoir, en concertation avec l'ensemble des parties prenantes, un schéma directeur de développement des infrastructures de recharge prévu à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000043212086&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 353-5 du code de l'énergie</a>. Ce schéma directeur tient compte des spécificités techniques de chaque borne et, le cas échéant, de la compensation financière des difficultés techniques qui y sont liées.</p>
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-4-2
Code général des collectivités territoriales
I.-Afin de faciliter la constatation des infractions aux règles de circulation arrêtées en application de l'article L. 2213-4-1 et de permettre le rassemblement des preuves de ces infractions ainsi que la recherche de leurs auteurs, des dispositifs fixes ou mobiles de contrôle automatisé des données signalétiques des véhicules peuvent être mis en œuvre par les services de police et de gendarmerie nationales ou par les services de police municipale des communes sur le territoire desquelles a été instituée une zone à faibles émissions mobilité ou, pour la zone instaurée à Paris, par le service dont relèvent les agents de surveillance de Paris. II.-La mise en œuvre des dispositifs de contrôle est autorisée par arrêté du représentant de l'Etat dans le département et, à Paris, du préfet de police. Les lieux d'implantation des dispositifs fixes sont déterminés en tenant compte notamment des niveaux de pollution atmosphérique observés sur les voies de circulation concernées. L'autorisation ne peut être délivrée que si : 1° Les modalités de contrôle ne conduisent pas à contrôler chaque jour plus de 15 % du nombre moyen journalier de véhicules circulant au sein de la zone ; 2° Le rapport entre le nombre de dispositifs de contrôle permettant les traitements automatisés des données signalétiques des véhicules mentionnés au III du présent article mis en œuvre au cours d'une même journée au sein de la zone à faibles émissions mobilité et la longueur totale de la voirie publique mesurée en kilomètres n'excède pas 0,025 ; 3° Les lieux de déploiement retenus n'ont pas pour effet de permettre un contrôle de l'ensemble des véhicules entrant dans la zone à faibles émissions mobilité ou dans un espace continu au sein de cette zone. Les conditions prévues pour la délivrance de l'autorisation doivent être respectées lorsque des dispositifs mobiles de contrôle sont ajoutés. La demande d'autorisation est accompagnée d'une étude de la circulation et de la pollution au sein de la zone à faibles émissions mobilité permettant d'apprécier le respect des conditions fixées aux 1° à 3° du présent II. Le taux mentionné au 1° du présent II est le rapport entre le nombre de véhicules ayant donné lieu aux traitements automatisés mentionnés au deuxième alinéa du III et le nombre moyen de véhicules ayant circulé dans la zone. Les huitième et avant-dernier alinéas et les conditions mentionnées aux 1° et 2° du présent II ne sont pas applicables lorsque les dispositifs mis en œuvre pour les finalités mentionnées au I permettent de s'assurer du respect par un véhicule des règles de circulation mentionnées au même I sans que soient mis en œuvre les traitements automatisés mentionnés au deuxième alinéa du III. III.-Les données à caractère personnel collectées au moyen des dispositifs mentionnés au I peuvent, pour les finalités prévues au même I, faire l'objet de traitements automatisés dans les conditions prévues par la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés. Ces traitements automatisés peuvent comporter la consultation du fichier des véhicules pour lesquels une identification fondée sur leur contribution à la limitation de la pollution atmosphérique a été délivrée en application de l'article L. 318-1 du code de la route, ainsi que des fichiers des véhicules autorisés à circuler sur les voies et espaces concernés. Dans les seuls cas où ces consultations ne permettent pas de procéder à une telle vérification, ils peuvent également comporter une consultation du système d'immatriculation des véhicules prévu à l'article L. 330-1 du même code. Ces consultations, qui ont lieu immédiatement après la collecte des données signalétiques, ne portent que sur les données relatives aux caractéristiques du véhicule et à sa contribution à la limitation de la pollution atmosphérique et ne peuvent avoir pour objet d'identifier le titulaire du certificat d'immatriculation du véhicule. Dès que la consultation de l'un de ces fichiers a permis de s'assurer du respect par un véhicule des règles de circulation mentionnées au I du présent article, les données collectées relatives à ce véhicule sont détruites immédiatement. Les données relatives aux autres véhicules font immédiatement l'objet d'un traitement destiné à masquer les images permettant l'identification des occupants du véhicule, de façon irréversible s'agissant des tiers et des passagers du véhicule. Elles peuvent être enregistrées et conservées pour une durée qui ne peut excéder huit jours ouvrés à compter de leur collecte, sous réserve des besoins d'une procédure pénale. Sur demande du titulaire du certificat d'immatriculation ou de l'une des personnes mentionnées aux trois derniers alinéas de l'article L. 121-2 du code de la route, destinataire de l'avis d'amende forfaitaire, ou de l'officier du ministère public en cas de requêtes ou de réclamations, le responsable du traitement communique les données permettant l'identification du conducteur du véhicule. Seuls les agents de police municipale intervenant dans les communes sur le territoire desquelles une zone à faibles émissions mobilité a été instituée en application de l'article L. 2213-4-1 du présent code et, pour la zone instaurée à Paris, les agents de surveillance de Paris ont accès aux données issues des traitements prévus au premier alinéa du présent III. Lorsque les dispositifs et traitements mentionnés au présent article sont mis en œuvre par l'Etat, les agents de police municipale intervenant dans les communes concernées et, à Paris, les agents de surveillance de Paris peuvent être rendus destinataires des données caractérisant l'infraction pour les besoins du constat qu'ils ont compétence pour opérer. IV.-Lorsque les dispositifs et les traitements automatisés prévus au présent article sont mis en œuvre par l'Etat à la demande d'une collectivité territoriale ou d'un établissement public de coopération intercommunale qui a créé une zone à faibles émissions mobilité, une convention entre l'Etat et la collectivité ou l'établissement concerné définit les modalités de cette mise en œuvre et, le cas échéant, la contribution de la collectivité ou de l'établissement à son financement.
1,577,404,800,000
32,472,144,000,000
L2213-4-2
LEGIARTI000039686676
LEGIARTI000039686676
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
579,811
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Article
<p>I.-Afin de faciliter la constatation des infractions aux règles de circulation arrêtées en application de l'article L. 2213-4-1 et de permettre le rassemblement des preuves de ces infractions ainsi que la recherche de leurs auteurs, des dispositifs fixes ou mobiles de contrôle automatisé des données signalétiques des véhicules peuvent être mis en œuvre par les services de police et de gendarmerie nationales ou par les services de police municipale des communes sur le territoire desquelles a été instituée une zone à faibles émissions mobilité ou, pour la zone instaurée à Paris, par le service dont relèvent les agents de surveillance de Paris.<br/><br/> II.-La mise en œuvre des dispositifs de contrôle est autorisée par arrêté du représentant de l'Etat dans le département et, à Paris, du préfet de police.<br/><br/> Les lieux d'implantation des dispositifs fixes sont déterminés en tenant compte notamment des niveaux de pollution atmosphérique observés sur les voies de circulation concernées.<br/><br/> L'autorisation ne peut être délivrée que si :<br/><br/> 1° Les modalités de contrôle ne conduisent pas à contrôler chaque jour plus de 15 % du nombre moyen journalier de véhicules circulant au sein de la zone ;<br/><br/> 2° Le rapport entre le nombre de dispositifs de contrôle permettant les traitements automatisés des données signalétiques des véhicules mentionnés au III du présent article mis en œuvre au cours d'une même journée au sein de la zone à faibles émissions mobilité et la longueur totale de la voirie publique mesurée en kilomètres n'excède pas 0,025 ;<br/><br/> 3° Les lieux de déploiement retenus n'ont pas pour effet de permettre un contrôle de l'ensemble des véhicules entrant dans la zone à faibles émissions mobilité ou dans un espace continu au sein de cette zone.<br/><br/> Les conditions prévues pour la délivrance de l'autorisation doivent être respectées lorsque des dispositifs mobiles de contrôle sont ajoutés.<br/><br/> La demande d'autorisation est accompagnée d'une étude de la circulation et de la pollution au sein de la zone à faibles émissions mobilité permettant d'apprécier le respect des conditions fixées aux 1° à 3° du présent II.<br/><br/> Le taux mentionné au 1° du présent II est le rapport entre le nombre de véhicules ayant donné lieu aux traitements automatisés mentionnés au deuxième alinéa du III et le nombre moyen de véhicules ayant circulé dans la zone.<br/><br/> Les huitième et avant-dernier alinéas et les conditions mentionnées aux 1° et 2° du présent II ne sont pas applicables lorsque les dispositifs mis en œuvre pour les finalités mentionnées au I permettent de s'assurer du respect par un véhicule des règles de circulation mentionnées au même I sans que soient mis en œuvre les traitements automatisés mentionnés au deuxième alinéa du III.<br/><br/> III.-Les données à caractère personnel collectées au moyen des dispositifs mentionnés au I peuvent, pour les finalités prévues au même I, faire l'objet de traitements automatisés dans les conditions prévues par la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.<br/><br/> Ces traitements automatisés peuvent comporter la consultation du fichier des véhicules pour lesquels une identification fondée sur leur contribution à la limitation de la pollution atmosphérique a été délivrée en application de l'article L. 318-1 du code de la route, ainsi que des fichiers des véhicules autorisés à circuler sur les voies et espaces concernés. Dans les seuls cas où ces consultations ne permettent pas de procéder à une telle vérification, ils peuvent également comporter une consultation du système d'immatriculation des véhicules prévu à l'article L. 330-1 du même code. Ces consultations, qui ont lieu immédiatement après la collecte des données signalétiques, ne portent que sur les données relatives aux caractéristiques du véhicule et à sa contribution à la limitation de la pollution atmosphérique et ne peuvent avoir pour objet d'identifier le titulaire du certificat d'immatriculation du véhicule.<br/><br/> Dès que la consultation de l'un de ces fichiers a permis de s'assurer du respect par un véhicule des règles de circulation mentionnées au I du présent article, les données collectées relatives à ce véhicule sont détruites immédiatement.<br/><br/> Les données relatives aux autres véhicules font immédiatement l'objet d'un traitement destiné à masquer les images permettant l'identification des occupants du véhicule, de façon irréversible s'agissant des tiers et des passagers du véhicule. Elles peuvent être enregistrées et conservées pour une durée qui ne peut excéder huit jours ouvrés à compter de leur collecte, sous réserve des besoins d'une procédure pénale.<br/><br/> Sur demande du titulaire du certificat d'immatriculation ou de l'une des personnes mentionnées aux trois derniers alinéas de l'article L. 121-2 du code de la route, destinataire de l'avis d'amende forfaitaire, ou de l'officier du ministère public en cas de requêtes ou de réclamations, le responsable du traitement communique les données permettant l'identification du conducteur du véhicule.<br/><br/> Seuls les agents de police municipale intervenant dans les communes sur le territoire desquelles une zone à faibles émissions mobilité a été instituée en application de l'article L. 2213-4-1 du présent code et, pour la zone instaurée à Paris, les agents de surveillance de Paris ont accès aux données issues des traitements prévus au premier alinéa du présent III.<br/><br/> Lorsque les dispositifs et traitements mentionnés au présent article sont mis en œuvre par l'Etat, les agents de police municipale intervenant dans les communes concernées et, à Paris, les agents de surveillance de Paris peuvent être rendus destinataires des données caractérisant l'infraction pour les besoins du constat qu'ils ont compétence pour opérer.<br/><br/> IV.-Lorsque les dispositifs et les traitements automatisés prévus au présent article sont mis en œuvre par l'Etat à la demande d'une collectivité territoriale ou d'un établissement public de coopération intercommunale qui a créé une zone à faibles émissions mobilité, une convention entre l'Etat et la collectivité ou l'établissement concerné définit les modalités de cette mise en œuvre et, le cas échéant, la contribution de la collectivité ou de l'établissement à son financement.</p>
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IG-20231124
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-5
Code général des collectivités territoriales
Le maire peut, par arrêté motivé, interdire l'accès de certaines voies ou de certaines portions de voies aux véhicules de transport de matières dangereuses visées par la directive 82/501 du Conseil du 24 juin 1982 concernant les risques d'accidents majeurs de certaines activités industrielles et de nature à compromettre la sécurité publique.
825,120,000,000
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L2213-5
LEGIARTI000006390182
LEGIARTI000006390182
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Article
<p></p> Le maire peut, par arrêté motivé, interdire l'accès de certaines voies ou de certaines portions de voies aux véhicules de transport de matières dangereuses visées par la directive 82/501 du Conseil du 24 juin 1982 concernant les risques d'accidents majeurs de certaines activités industrielles et de nature à compromettre la sécurité publique.<p></p><p></p>
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IG-20231124
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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LEGISCTA000006180977
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-6
Code général des collectivités territoriales
Le maire peut, moyennant le paiement de droits fixés par un tarif dûment établi, donner des permis de stationnement ou de dépôt temporaire sur la voie publique et autres lieux publics, sous réserve que cette autorisation n'entraîne aucune gêne pour la circulation et la liberté du commerce. Les modalités de la tarification et la gestion matérielle du stationnement des véhicules sur la voie publique sont régies par l'article L. 2333-87.
1,514,764,800,000
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L2213-6
LEGIARTI000028534369
LEGIARTI000006390183
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au V de l'article 63 de la loi n° 2014-58 du 27 janvier 2014, modifié par l'article 77 de la loi n° 2015-991 du 7 août 2015 et par l'article 45 de la loi n° 2015-1785 du 29 décembre 2015, ces dispositions entrent en vigueur à compter du 1er janvier 2018.
3.0
687,184
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null
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Article
<p> Le maire peut, moyennant le paiement de droits fixés par un tarif dûment établi, donner des permis de stationnement ou de dépôt temporaire sur la voie publique et autres lieux publics, sous réserve que cette autorisation n'entraîne aucune gêne pour la circulation et la liberté du commerce. Les modalités de la tarification et la gestion matérielle du stationnement des véhicules sur la voie publique sont régies par l'article L. 2333-87. </p><p></p><p></p>
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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LEGISCTA000006180977
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
<p>Conformément au V de l'article 63 de la loi n° 2014-58 du 27 janvier 2014, modifié par l'article 77 de la loi n° 2015-991 du 7 août 2015 et par l'article 45 de la loi n° 2015-1785 du 29 décembre 2015, ces dispositions entrent en vigueur à compter du 1er janvier 2018.</p>
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-6-1
Code général des collectivités territoriales
Le maire peut, dans la limite de deux fois par an, soumettre au paiement d'un droit l'accès des personnes à certaines voies ou à certaines portions de voies ou à certains secteurs de la commune à l'occasion de manifestations culturelles organisées sur la voie publique, sous réserve de la desserte des immeubles riverains.
1,242,259,200,000
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L2213-6-1
LEGIARTI000020630479
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VIGUEUR
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1,074,085,415
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Article
<p>Le maire peut, dans la limite de deux fois par an, soumettre au paiement d'un droit l'accès des personnes à certaines voies ou à certaines portions de voies ou à certains secteurs de la commune à l'occasion de manifestations culturelles organisées sur la voie publique, sous réserve de la desserte des immeubles riverains.</p>
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IG-20231129
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Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 1 : Police de la circulation et du stationnement
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-7
Code général des collectivités territoriales
Le maire ou, à défaut, le représentant de l'Etat dans le département pourvoit d'urgence à ce que toute personne décédée soit ensevelie et inhumée décemment sans distinction de culte ni de croyance
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2213-7
LEGIARTI000006390186
LEGIARTI000006390186
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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Article
<p></p> Le maire ou, à défaut, le représentant de l'Etat dans le département pourvoit d'urgence à ce que toute personne décédée soit ensevelie et inhumée décemment sans distinction de culte ni de croyance<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006390186
LEGI
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Section 2 : Police des funérailles et des lieux de sépulture
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 2 : Police des funérailles et des lieux de sépulture
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Code général des collectivités territoriales, art. L2213-8
Code général des collectivités territoriales
Le maire assure la police des funérailles et des cimetières.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2213-8
LEGIARTI000006390187
LEGIARTI000006390187
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
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Article
<p></p> Le maire assure la police des funérailles et des cimetières.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006390187
LEGI
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Section 2 : Police des funérailles et des lieux de sépulture
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE Ier : POLICE &gt; CHAPITRE III : Pouvoirs de police portant sur des objets particuliers &gt; Section 2 : Police des funérailles et des lieux de sépulture
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