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Code général des collectivités territoriales, art. L2223-34-1
Code général des collectivités territoriales
Toute clause d'un contrat prévoyant des prestations d'obsèques à l'avance sans que le contenu détaillé et personnalisé de ces prestations soit défini est réputée non écrite. Tout contrat prévoyant des prestations d'obsèques à l'avance précise les conditions d'affectation des bénéfices techniques et financiers, conformément à l'article L. 132-5 du code des assurances. Il lui est affecté chaque année, lorsqu'il est positif, un montant correspondant à une quote-part du solde créditeur du compte financier, au moins égale à 85 % de ce solde multiplié par le rapport entre les provisions mathématiques relatives à ce contrat et le total des provisions mathématiques, diminuée des intérêts crédités aux provisions mathématiques relatives à ce même contrat au cours de l'exercice. Il fait aussi l'objet d'une information annuelle conformément à l'article L. 132-22 du même code. Un arrêté précise les modalités de calcul et d'affectation de cette quote-part.
1,374,969,600,000
32,472,144,000,000
L2223-34-1
LEGIARTI000027783339
LEGIARTI000006390314
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
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Article
<p>Toute clause d'un contrat prévoyant des prestations d'obsèques à l'avance sans que le contenu détaillé et personnalisé de ces prestations soit défini est réputée non écrite. </p><p>Tout contrat prévoyant des prestations d'obsèques à l'avance précise les conditions d'affectation des bénéfices techniques et financiers, conformément à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073984&idArticle=LEGIARTI000006792939&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 132-5 </a>du code des assurances. Il lui est affecté chaque année, lorsqu'il est positif, un montant correspondant à une quote-part du solde créditeur du compte financier, au moins égale à 85 % de ce solde multiplié par le rapport entre les provisions mathématiques relatives à ce contrat et le total des provisions mathématiques, diminuée des intérêts crédités aux provisions mathématiques relatives à ce même contrat au cours de l'exercice. Il fait aussi l'objet d'une information annuelle conformément à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073984&idArticle=LEGIARTI000006793125&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 132-22</a> du même code. Un arrêté précise les modalités de calcul et d'affectation de cette quote-part.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000020625555
IG-20231124
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LEGIARTI000027783339
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192270
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Sous-section 2 : Réglementation de l'activité des opérateurs participant au service extérieur des pompes funèbres
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LEGISCTA000006192270
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 2 : Réglementation de l'activité des opérateurs participant au service extérieur des pompes funèbres
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Code général des collectivités territoriales, art. L2223-34-2
Code général des collectivités territoriales
Il est créé un fichier national destiné à centraliser les contrats prévoyant des prestations d'obsèques à l'avance souscrits par les particuliers auprès des entreprises visées à l'article L. 310-1 du code des assurances et des mutuelles et unions mentionnées à l'article L. 111-1 du code de la mutualité. Les modalités d'application du présent article, y compris la durée de conservation des informations enregistrées, sont déterminées par décret en Conseil d'Etat après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés.
1,242,259,200,000
32,472,144,000,000
L2223-34-2
LEGIARTI000020625551
LEGIARTI000019981751
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,849,196
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Article
<p>Il est créé un fichier national destiné à centraliser les contrats prévoyant des prestations d'obsèques à l'avance souscrits par les particuliers auprès des entreprises visées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073984&idArticle=LEGIARTI000006796289&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 310-1 </a>du code des assurances et des mutuelles et unions mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074067&idArticle=LEGIARTI000006792038&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 111-1</a> du code de la mutualité. </p><p>Les modalités d'application du présent article, y compris la durée de conservation des informations enregistrées, sont déterminées par décret en Conseil d'Etat après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000019983152
IG-20231124
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LEGIARTI000020625551
LEGI
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LEGISCTA000006192270
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Sous-section 2 : Réglementation de l'activité des opérateurs participant au service extérieur des pompes funèbres
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LEGISCTA000006192270
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 2 : Réglementation de l'activité des opérateurs participant au service extérieur des pompes funèbres
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Code général des collectivités territoriales, art. L2223-35
Code général des collectivités territoriales
Le fait de diriger en droit ou en fait une régie, une entreprise ou une association ou un établissement sans l'habilitation prévue aux articles L. 2223-23 , L. 2223-41 et L. 2223-43 ou lorsque celle-ci est suspendue ou retirée en application de l'article L. 2223-25 est puni d'une amende de 75 000 euros. La violation des dispositions des articles L. 2223-31 à L. 2223-34 est punie d'une amende de 75 000 euros. Est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende le fait de proposer, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques pour obtenir d'une personne qui, à l'occasion de son activité professionnelle, a connaissance d'un décès, qu'elle fasse connaître aux entreprises ou associations fournissant les prestations énumérées à l'article L. 2223-19 la survenance d'un décès ou qu'elle recommande aux familles les services d'une entreprise ou association déterminée. Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende le fait, par une personne qui, à l'occasion de l'exercice de son activité professionnelle, a connaissance d'un décès, de solliciter ou d'agréer, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques pour faire connaître aux entreprises ou associations fournissant les prestations énumérées à l'article L. 2223-19 la survenance d'un décès ou pour recommander aux familles les services d'une entreprise ou association déterminée. Les personnes physiques coupables de l'une des infractions prévues au présent article encourent également les peines complémentaires suivantes : 1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, suivant les modalités prévues par l'article 131-26 du code pénal ; 2° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus, d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise ; 3° L'affichage ou la diffusion de la décision prononcée, dans les conditions prévues à l'article 131-35 du code pénal.
1,009,843,200,000
32,472,144,000,000
L2223-35
LEGIARTI000006390317
LEGIARTI000006390316
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
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null
null
Article
<p></p>Le fait de diriger en droit ou en fait une régie, une entreprise ou une association ou un établissement sans l'habilitation prévue aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390299&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-23 (V)'>L. 2223-23</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390329&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-41 (V)'>L. 2223-41 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390333&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-43 (V)'>L. 2223-43 </a>ou lorsque celle-ci est suspendue ou retirée en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390302&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-25 (V)'>L. 2223-25</a> est puni d'une amende de 75 000 euros. <p></p><p></p>La violation des dispositions des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390310&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-31 (V)'>L. 2223-31 </a>à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390313&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-34 (V)'>L. 2223-34 </a>est punie d'une amende de 75 000 euros. <p></p><p></p>Est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende le fait de proposer, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques pour obtenir d'une personne qui, à l'occasion de son activité professionnelle, a connaissance d'un décès, qu'elle fasse connaître aux entreprises ou associations fournissant les prestations énumérées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390294&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-19 (V)'>L. 2223-19 </a>la survenance d'un décès ou qu'elle recommande aux familles les services d'une entreprise ou association déterminée. <p></p><p></p>Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende le fait, par une personne qui, à l'occasion de l'exercice de son activité professionnelle, a connaissance d'un décès, de solliciter ou d'agréer, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques pour faire connaître aux entreprises ou associations fournissant les prestations énumérées à l'article L. 2223-19 la survenance d'un décès ou pour recommander aux familles les services d'une entreprise ou association déterminée. <p></p><p></p>Les personnes physiques coupables de l'une des infractions prévues au présent article encourent également les peines complémentaires suivantes : <p></p><p></p>1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, suivant les modalités prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417290&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-26 (V)'>131-26 </a>du code pénal ; <p></p><p></p>2° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus, d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise ; <p></p><p></p>3° L'affichage ou la diffusion de la décision prononcée, dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417308&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-35 (V)'>131-35 </a>du code pénal.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390316
IG-20231129
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LEGIARTI000006390317
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192271
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Sous-section 3 : Sanctions pénales
null
null
LEGISCTA000006192271
null
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null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 3 : Sanctions pénales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-35-1
Code général des collectivités territoriales
Afin de garantir au contractant ou au souscripteur d'une formule de prestations d'obsèques à l'avance sa pleine et entière liberté de choix sa vie durant, qu'il s'agisse d'un contrat de forme individuelle ou d'adhésion à un contrat de groupe au sens de l'article L. 141-1 du code des assurances, le contrat doit prévoir explicitement la faculté pour le contractant ou le souscripteur de modifier la nature des obsèques, le mode de sépulture, le contenu des prestations et fournitures funéraires, l'opérateur habilité désigné pour exécuter les obsèques et, le cas échéant, le mandataire désigné pour veiller à la bonne exécution des volontés exprimées au sens de l'article 3 de la loi du 15 novembre 1887 sur la liberté des funérailles, le ou les changements effectués à fournitures et prestations équivalentes ne donnant droit à la perception que des seuls frais de gestion prévus par les conditions générales souscrites, sous peine, en cas de non-respect par une entreprise de cette liberté de modification ou de proposition par elle d'un contrat n'incluant pas cette faculté, d'une amende de 15 000 euros par infraction commise.
1,134,691,200,000
32,472,144,000,000
L2223-35-1
LEGIARTI000006390319
LEGIARTI000006390318
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p>Afin de garantir au contractant ou au souscripteur d'une formule de prestations d'obsèques à l'avance sa pleine et entière liberté de choix sa vie durant, qu'il s'agisse d'un contrat de forme individuelle ou d'adhésion à un contrat de groupe au sens de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073984&idArticle=LEGIARTI000006793513&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code des assurances - art. L141-1 (V)'>L. 141-1 </a>du code des assurances, le contrat doit prévoir explicitement la faculté pour le contractant ou le souscripteur de modifier la nature des obsèques, le mode de sépulture, le contenu des prestations et fournitures funéraires, l'opérateur habilité désigné pour exécuter les obsèques et, le cas échéant, le mandataire désigné pour veiller à la bonne exécution des volontés exprimées au sens de <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070672&idArticle=LEGIARTI000006399576&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi du 15 novembre 1887 - art. 3 (V)'>l'article 3 de la loi du 15 novembre 1887</a> sur la liberté des funérailles, le ou les changements effectués à fournitures et prestations équivalentes ne donnant droit à la perception que des seuls frais de gestion prévus par les conditions générales souscrites, sous peine, en cas de non-respect par une entreprise de cette liberté de modification ou de proposition par elle d'un contrat n'incluant pas cette faculté, d'une amende de 15 000 euros par infraction commise.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390318
IG-20231129
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LEGIARTI000006390319
LEGI
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LEGISCTA000006192271
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Sous-section 3 : Sanctions pénales
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null
LEGISCTA000006192271
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 3 : Sanctions pénales
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Code général des collectivités territoriales, art. L2223-36
Code général des collectivités territoriales
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2 du code pénal , des infractions définies à l'article L. 2223-35 encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38 du code pénal, les peines prévues par les 2° à 9° de l 'article 131-39 du même code. L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 du même code porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.
1,242,259,200,000
32,472,144,000,000
L2223-36
LEGIARTI000020631777
LEGIARTI000006390320
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417202&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 121-2 (V)'>l'article 121-2 du code pénal</a>, des infractions définies à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390316&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-35 (V)'>l'article L. 2223-35 </a>encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417333&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-38 (V)'>l'article 131-38 du code pénal, </a>les peines prévues par les 2° à 9° de l<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-39 (V)'>'article 131-39</a> du même code.</p><p>L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 du même code porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390320
IG-20231129
null
LEGIARTI000020631777
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192271
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Sous-section 3 : Sanctions pénales
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null
LEGISCTA000006192271
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 3 : Sanctions pénales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-37
Code général des collectivités territoriales
Les dispositions des articles L. 2223-35 et L. 2223-36 ne sont pas applicables aux autorités publiques qui, en application d'un texte législatif ou réglementaire, sont tenues soit d'assurer tout ou partie d'opérations funéraires, soit d'en assurer le financement.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2223-37
LEGIARTI000006390321
LEGIARTI000006390321
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p>Les dispositions des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390316&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-35 (V)'>L. 2223-35 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390320&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-36 (V)'>L. 2223-36</a> ne sont pas applicables aux autorités publiques qui, en application d'un texte législatif ou réglementaire, sont tenues soit d'assurer tout ou partie d'opérations funéraires, soit d'en assurer le financement.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390321
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192271
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Sous-section 3 : Sanctions pénales
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null
LEGISCTA000006192271
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 3 : Sanctions pénales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-38
Code général des collectivités territoriales
Les chambres funéraires ont pour objet de recevoir, avant l'inhumation ou la crémation, le corps des personnes décédées. Les locaux où l'entreprise ou l'association gestionnaire de la chambre funéraire offre les autres prestations énumérées à l'article L. 2223-19 doivent être distincts de ceux abritant la chambre funéraire. La violation des dispositions de l'alinéa précédent est punie d'une amende de 75 000 euros.
1,009,843,200,000
32,472,144,000,000
L2223-38
LEGIARTI000006390323
LEGIARTI000006390322
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p>Les chambres funéraires ont pour objet de recevoir, avant l'inhumation ou la crémation, le corps des personnes décédées. <p></p><p></p>Les locaux où l'entreprise ou l'association gestionnaire de la chambre funéraire offre les autres prestations énumérées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390294&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-19 (V)'>L. 2223-19</a> doivent être distincts de ceux abritant la chambre funéraire. <p></p><p></p>La violation des dispositions de l'alinéa précédent est punie d'une amende de 75 000 euros.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390322
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390323
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192272
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Sous-section 4 : Equipements funéraires
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null
LEGISCTA000006192272
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null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 4 : Equipements funéraires
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Code général des collectivités territoriales, art. L2223-39
Code général des collectivités territoriales
Les établissements de santé publics ou privés qui remplissent des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat doivent disposer d'une chambre mortuaire dans laquelle doit être déposé le corps des personnes qui y sont décédées. Toutefois, la chambre mortuaire peut accessoirement recevoir, à titre onéreux, les corps des personnes décédées hors de ces établissements en cas d'absence de chambre funéraire à sa proximité. Les dispositions de l'article L. 2223-38 ne sont pas applicables aux chambres mortuaires.
1,014,854,400,000
32,472,144,000,000
L2223-39
LEGIARTI000006390325
LEGIARTI000006390324
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p>Les établissements de santé publics ou privés qui remplissent des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat doivent disposer d'une chambre mortuaire dans laquelle doit être déposé le corps des personnes qui y sont décédées. Toutefois, la chambre mortuaire peut accessoirement recevoir, à titre onéreux, les corps des personnes décédées hors de ces établissements en cas d'absence de chambre funéraire à sa proximité. <p></p><p></p>Les dispositions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390322&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-38 (V)'>L. 2223-38</a> ne sont pas applicables aux chambres mortuaires.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390324
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390325
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192272
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Sous-section 4 : Equipements funéraires
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LEGISCTA000006192272
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 4 : Equipements funéraires
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Code général des collectivités territoriales, art. L2223-40
Code général des collectivités territoriales
Les communes et les établissements publics de coopération intercommunale sont seuls compétents pour créer et gérer les crématoriums et les sites cinéraires. Les crématoriums et les sites cinéraires qui leur sont contigus peuvent être gérés directement ou par voie de gestion déléguée. Les sites cinéraires inclus dans le périmètre d'un cimetière ou qui ne sont pas contigus à un crématorium doivent être gérés directement. Lorsqu'un site cinéraire contigu d'un crématorium fait l'objet d'une délégation de service public, le terrain sur lequel il est implanté et les équipements qu'il comporte font l'objet d'une clause de retour à la commune ou à l'établissement public de coopération intercommunale au terme de la délégation. Toute création ou extension de crématorium ne peut avoir lieu sans l'autorisation du représentant de l'Etat dans le département, accordée après une enquête publique réalisée conformément au chapitre III du titre II du livre Ier du code de l'environnement et un avis de la commission départementale compétente en matière d'environnement, de risques sanitaires et technologiques.
1,279,065,600,000
32,472,144,000,000
L2223-40
LEGIARTI000022483230
LEGIARTI000006390326
AUTONOME
VIGUEUR
Ces dispositions s'appliquent aux projets, plans, programmes ou autres documents de planification pour lesquels l'arrêté d'ouverture et d'organisation de l'enquête publique est publié à compter du premier jour du sixième mois après la publication du décret en Conseil d'Etat prévu à l'article L. 123-19 du code de l'environnement.
5.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Les communes et les établissements publics de coopération intercommunale sont seuls compétents pour créer et gérer les crématoriums et les sites cinéraires. Les crématoriums et les sites cinéraires qui leur sont contigus peuvent être gérés directement ou par voie de gestion déléguée. Les sites cinéraires inclus dans le périmètre d'un cimetière ou qui ne sont pas contigus à un crématorium doivent être gérés directement. </p><p>Lorsqu'un site cinéraire contigu d'un crématorium fait l'objet d'une délégation de service public, le terrain sur lequel il est implanté et les équipements qu'il comporte font l'objet d'une clause de retour à la commune ou à l'établissement public de coopération intercommunale au terme de la délégation. </p><p>Toute création ou extension de crématorium ne peut avoir lieu sans l'autorisation du représentant de l'Etat dans le département, accordée après une enquête publique réalisée conformément au chapitre III du titre II du livre Ier du code de l'environnement et un avis de la commission départementale compétente en matière d'environnement, de risques sanitaires et technologiques.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000019983180
IG-20231124
null
LEGIARTI000022483230
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192272
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Sous-section 4 : Equipements funéraires
null
null
LEGISCTA000006192272
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 4 : Equipements funéraires
<p>Ces dispositions s'appliquent aux projets, plans, programmes ou autres documents de planification pour lesquels l'arrêté d'ouverture et d'organisation de l'enquête publique est publié à compter du premier jour du sixième mois après la publication du décret en Conseil d'Etat prévu à l'article L. 123-19 du code de l'environnement.<br clear='none'/><br clear='none'/></p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-41
Code général des collectivités territoriales
Les régies, entreprises ou associations gestionnaires d'un crématorium conformément à l'article L. 2223-40 sont soumises à l'habilitation prévue à l'article L. 2223-23 . Les dispositions des articles L. 2223-26 et L. 2223-31 à L. 2223-34 leur sont applicables.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2223-41
LEGIARTI000006390329
LEGIARTI000006390329
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p>Les régies, entreprises ou associations gestionnaires d'un crématorium conformément à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390326&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-40 (V)'>L. 2223-40 </a>sont soumises à l'habilitation prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390299&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-23 (V)'>L. 2223-23</a>. <p></p><p></p>Les dispositions des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390304&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-26 (V)'>L. 2223-26 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390310&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-31 (V)'>L. 2223-31 à L. 2223-34</a> leur sont applicables.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390329
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192272
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Sous-section 4 : Equipements funéraires
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LEGISCTA000006192272
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 4 : Equipements funéraires
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Code général des collectivités territoriales, art. L2223-42
Code général des collectivités territoriales
L'autorisation de fermeture du cercueil ne peut être délivrée qu'au vu d'un certificat attestant le décès, établi par un médecin, en activité ou retraité, par un étudiant en cours de troisième cycle des études de médecine en France ou un praticien à diplôme étranger hors Union européenne autorisé à poursuivre un parcours de consolidation des compétences en médecine, dans des conditions fixées par décret pris après avis du Conseil national de l'ordre des médecins. Ce certificat, rédigé sur un modèle établi par le ministère chargé de la santé, précise la ou les causes de décès, aux fins de transmission à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale et aux organismes dont la liste est fixée par décret en Conseil d'Etat pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés et qui ont accès aux données relatives aux causes médicales de décès pour l'accomplissement de leurs missions. Ce même décret fixe le périmètre des accès ainsi que les modalités de cette transmission, notamment les conditions propres à garantir sa confidentialité. Ce décret détermine également les modalités d'établissement de ce certificat lorsqu'il est établi par des médecins retraités. Ces informations ne peuvent être utilisées que pour des motifs de santé publique : 1° A des fins de veille et d'alerte, par l'Etat, les agences régionales de santé et l'Agence nationale de santé publique ; 2° Pour l'établissement de la statistique nationale des causes de décès et pour la recherche en santé publique par l'Institut national de la santé et de la recherche médicale ; 3° Pour les traitements de données concernant la santé, dans les conditions fixées à l'article L. 1461-3 du code de la santé publique ; 4° Pour alimenter le système national des données de santé défini à l'article L. 1461-1 du même code ; 5° Pour l'établissement de statistiques dans le cadre de l' article 7 bis de la loi n° 51-711 du 7 juin 1951 sur l'obligation, la coordination et le secret en matière de statistiques, par l'Institut national de la statistique et des études économiques ou par les services statistiques du ministre chargé de la santé. Ces données doivent être conservées séparément des données du répertoire national d'identification des personnes physiques détenues par l'Institut national de la statistique et des études économiques. En outre, si lors de l'établissement de l'acte de décès mentionné à l' article 87 du code civil l'identité du défunt n'a pu être établie, l'autorisation de fermeture du cercueil ne peut être délivrée qu'après exécution, dans un délai compatible avec les délais régissant l'inhumation et la crémation, des réquisitions éventuellement prises par le procureur de la République aux fins de faire procéder aux constatations et opérations nécessaires en vue d'établir l'identité du défunt.
1,564,185,600,000
32,472,144,000,000
L2223-42
LEGIARTI000038886319
LEGIARTI000006390330
AUTONOME
VIGUEUR
8.0
386,541
null
null
null
Article
<p>L'autorisation de fermeture du cercueil ne peut être délivrée qu'au vu d'un certificat attestant le décès, établi par un médecin, en activité ou retraité, par un étudiant en cours de troisième cycle des études de médecine en France ou un praticien à diplôme étranger hors Union européenne autorisé à poursuivre un parcours de consolidation des compétences en médecine, dans des conditions fixées par décret pris après avis du Conseil national de l'ordre des médecins.</p><p>Ce certificat, rédigé sur un modèle établi par le ministère chargé de la santé, précise la ou les causes de décès, aux fins de transmission à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale et aux organismes dont la liste est fixée par décret en Conseil d'Etat pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés et qui ont accès aux données relatives aux causes médicales de décès pour l'accomplissement de leurs missions. Ce même décret fixe le périmètre des accès ainsi que les modalités de cette transmission, notamment les conditions propres à garantir sa confidentialité. Ce décret détermine également les modalités d'établissement de ce certificat lorsqu'il est établi par des médecins retraités.</p><p>Ces informations ne peuvent être utilisées que pour des motifs de santé publique :</p><p>1° A des fins de veille et d'alerte, par l'Etat, les agences régionales de santé et l'Agence nationale de santé publique ;</p><p>2° Pour l'établissement de la statistique nationale des causes de décès et pour la recherche en santé publique par l'Institut national de la santé et de la recherche médicale ;</p><p>3° Pour les traitements de données concernant la santé, dans les conditions fixées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000038886860&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de la santé publique - art. L1461-3 (V)'>L. 1461-3 </a>du code de la santé publique ;</p><p>4° Pour alimenter le système national des données de santé défini à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000038886868&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de la santé publique - art. L1461-1 (V)'>L. 1461-1</a> du même code ;</p><p>5° Pour l'établissement de statistiques dans le cadre de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000888573&idArticle=LEGIARTI000006528423&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 7 bis de la loi n° 51-711 du 7 juin 1951 </a>sur l'obligation, la coordination et le secret en matière de statistiques, par l'Institut national de la statistique et des études économiques ou par les services statistiques du ministre chargé de la santé. Ces données doivent être conservées séparément des données du répertoire national d'identification des personnes physiques détenues par l'Institut national de la statistique et des études économiques.</p><p>En outre, si lors de l'établissement de l'acte de décès mentionné à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006421325&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 87 du code civil </a>l'identité du défunt n'a pu être établie, l'autorisation de fermeture du cercueil ne peut être délivrée qu'après exécution, dans un délai compatible avec les délais régissant l'inhumation et la crémation, des réquisitions éventuellement prises par le procureur de la République aux fins de faire procéder aux constatations et opérations nécessaires en vue d'établir l'identité du défunt.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038888621
MD-20240709_200737_118_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038886319
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192272
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Sous-section 4 : Equipements funéraires
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null
LEGISCTA000006192272
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 4 : Equipements funéraires
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Code général des collectivités territoriales, art. L2223-42-1
Code général des collectivités territoriales
A la demande de la personne ayant qualité pour pourvoir aux funérailles et lorsque le corps du défunt a été placé, pour assurer son transport, dans un cercueil composé d'un matériau présentant un obstacle à la crémation, une autorisation de transfert du corps vers un cercueil adapté peut être délivrée par le maire. Cette autorisation ne peut être délivrée qu'en vue de la crémation du corps, qui s'opère sans délai après le changement de cercueil, et à condition que le défunt n'ait pas été atteint par l'une des infections transmissibles prescrivant ou interdisant certaines opérations funéraires, dont la liste est fixée par voie réglementaire. Un décret en Conseil d'Etat précise les conditions d'application du présent article.
1,645,574,400,000
32,472,144,000,000
L2223-42-1
LEGIARTI000045206561
LEGIARTI000045206561
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
450,964
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null
null
Article
<p>A la demande de la personne ayant qualité pour pourvoir aux funérailles et lorsque le corps du défunt a été placé, pour assurer son transport, dans un cercueil composé d'un matériau présentant un obstacle à la crémation, une autorisation de transfert du corps vers un cercueil adapté peut être délivrée par le maire.<br/><br/> Cette autorisation ne peut être délivrée qu'en vue de la crémation du corps, qui s'opère sans délai après le changement de cercueil, et à condition que le défunt n'ait pas été atteint par l'une des infections transmissibles prescrivant ou interdisant certaines opérations funéraires, dont la liste est fixée par voie réglementaire.<br/><br/> Un décret en Conseil d'Etat précise les conditions d'application du présent article.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000045206561
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192272
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Sous-section 4 : Equipements funéraires
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LEGISCTA000006192272
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 4 : Equipements funéraires
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-43
Code général des collectivités territoriales
Les établissements de santé publics ou privés qui assurent le transport de corps avant mise en bière et le transfert de corps dans une chambre funéraire doivent être titulaires de l'habilitation prévue à l'article L. 2223-23 au seul vu de la capacité professionnelle des agents et de la conformité des véhicules aux prescriptions fixées par les décrets visés aux 2° et 5° du même article. Cette habilitation peut être retirée dans les conditions prévues à l'article L. 2223-25 . Les dispositions des deux premiers alinéas du même article ne s'appliquent ni aux établissements de santé qui assurent le transport des corps de personnes décédées, en vue de prélèvements à des fins thérapeutiques, ni aux établissements de santé qui assurent le transport d'enfants décédés de cause médicalement inexpliquée, en vue de prélèvements à des fins diagnostiques et scientifiques, vers l'établissement de santé appelé à réaliser les prélèvements. Ces établissements ne peuvent exercer aucune autre mission relevant du service extérieur des pompes funèbres.
1,482,624,000,000
32,472,144,000,000
L2223-43
LEGIARTI000033714961
LEGIARTI000006390333
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
515,388
null
null
null
Article
<p>Les établissements de santé publics ou privés qui assurent le transport de corps avant mise en bière et le transfert de corps dans une chambre funéraire doivent être titulaires de l'habilitation prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390299&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-23 </a>au seul vu de la capacité professionnelle des agents et de la conformité des véhicules aux prescriptions fixées par les décrets visés aux 2° et 5° du même article. </p><p>Cette habilitation peut être retirée dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390302&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-25</a>. </p><p>Les dispositions des deux premiers alinéas du même article ne s'appliquent ni aux établissements de santé qui assurent le transport des corps de personnes décédées, en vue de prélèvements à des fins thérapeutiques, ni aux établissements de santé qui assurent le transport d'enfants décédés de cause médicalement inexpliquée, en vue de prélèvements à des fins diagnostiques et scientifiques, vers l'établissement de santé appelé à réaliser les prélèvements.</p><p>Ces établissements ne peuvent exercer aucune autre mission relevant du service extérieur des pompes funèbres.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000019983154
IG-20231129
null
LEGIARTI000033714961
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192272
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false
Sous-section 4 : Equipements funéraires
null
null
LEGISCTA000006192272
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 4 : Equipements funéraires
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-44
Code général des collectivités territoriales
Les régies communales et intercommunales de pompes funèbres existant au 9 janvier 1993, date de publication de la loi n° 93-23 du 8 janvier 1993 modifiant le titre VI du livre III du code des communes et relative à la législation dans le domaine funéraire, peuvent, durant une période qui ne saurait excéder cinq années à compter de cette date, assurer seules le service extérieur des pompes funèbres tel que défini par les dispositions légales précédemment en vigueur. Durant une période de trois ans, les contrats de concession, conclus avant la date visée à l'alinéa précédent, y compris ceux comportant une clause d'exclusivité, continuent à produire effet jusqu'à leur terme, sauf résiliation d'un commun accord. Nonobstant toute disposition contraire, les contrats comportant une clause d'exclusivité ne peuvent être prorogés ni renouvelés. Sans préjudice des indemnités qui pourraient être mises à leur charge, les communes ou les établissements de coopération intercommunale peuvent mettre fin à tout moment aux contrats en cours, dans les conditions de droit commun de résiliation unilatérale d'un contrat. Le fait de diriger en droit ou en fait une entreprise ou une association ou un établissement qui fournit des prestations de pompes funèbres en violation des droits d'exclusivité maintenus en application des deux premiers alinéas sera puni d'une amende de 75 000 euros. Par dérogation aux dispositions des deux premiers alinéas, lorsque la commune du lieu de mise en bière n'est pas celle du domicile du défunt ou du lieu d'inhumation ou de crémation, la régie ou le concessionnaire ou, en l'absence d'organisation du service, toute entreprise ou association de pompes funèbres de l'une ou l'autre de ces communes peut intervenir sur le territoire de celles-ci si la personne qui a qualité pour pourvoir aux funérailles ou son mandataire le décide. Les crématoriums qui auraient été construits et seraient exploités sous la seule responsabilité d'une entreprise privée ou d'une association devront, dans un délai de quatre ans à compter du 9 janvier 1993, date de la publication de la loi n° 93-23 du 8 janvier 1993 précitée, faire l'objet d'une convention avec la commune ou l'établissement public de coopération intercommunale qui a décidé d'exercer la compétence prévue à l'article L. 2223-40 . Si, dans ce délai, la convention n'est pas intervenue du fait de l'autorité compétente, le crématorium continue d'être exploité dans les conditions antérieures pour une durée de quatre ans.
1,009,843,200,000
32,472,144,000,000
L2223-44
LEGIARTI000006390336
LEGIARTI000006390335
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p>Les régies communales et intercommunales de pompes funèbres existant au 9 janvier 1993, date de publication de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000541618&categorieLien=cid' title='Loi n°93-23 du 8 janvier 1993 (V)'>loi n° 93-23 du 8 janvier 1993 </a>modifiant le titre VI du livre III du code des communes et relative à la législation dans le domaine funéraire, peuvent, durant une période qui ne saurait excéder cinq années à compter de cette date, assurer seules le service extérieur des pompes funèbres tel que défini par les dispositions légales précédemment en vigueur. <p></p><p></p>Durant une période de trois ans, les contrats de concession, conclus avant la date visée à l'alinéa précédent, y compris ceux comportant une clause d'exclusivité, continuent à produire effet jusqu'à leur terme, sauf résiliation d'un commun accord. Nonobstant toute disposition contraire, les contrats comportant une clause d'exclusivité ne peuvent être prorogés ni renouvelés. Sans préjudice des indemnités qui pourraient être mises à leur charge, les communes ou les établissements de coopération intercommunale peuvent mettre fin à tout moment aux contrats en cours, dans les conditions de droit commun de résiliation unilatérale d'un contrat. <p></p><p></p>Le fait de diriger en droit ou en fait une entreprise ou une association ou un établissement qui fournit des prestations de pompes funèbres en violation des droits d'exclusivité maintenus en application des deux premiers alinéas sera puni d'une amende de 75 000 euros. <p></p><p></p>Par dérogation aux dispositions des deux premiers alinéas, lorsque la commune du lieu de mise en bière n'est pas celle du domicile du défunt ou du lieu d'inhumation ou de crémation, la régie ou le concessionnaire ou, en l'absence d'organisation du service, toute entreprise ou association de pompes funèbres de l'une ou l'autre de ces communes peut intervenir sur le territoire de celles-ci si la personne qui a qualité pour pourvoir aux funérailles ou son mandataire le décide. <p></p><p></p>Les crématoriums qui auraient été construits et seraient exploités sous la seule responsabilité d'une entreprise privée ou d'une association devront, dans un délai de quatre ans à compter du 9 janvier 1993, date de la publication de la loi n° 93-23 du 8 janvier 1993 précitée, faire l'objet d'une convention avec la commune ou l'établissement public de coopération intercommunale qui a décidé d'exercer la compétence prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390326&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-40 (V)'>L. 2223-40</a>. Si, dans ce délai, la convention n'est pas intervenue du fait de l'autorité compétente, le crématorium continue d'être exploité dans les conditions antérieures pour une durée de quatre ans.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390335
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390336
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192273
false
false
Sous-section 5 : Dispositions diverses et transitoires
null
null
LEGISCTA000006192273
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 5 : Dispositions diverses et transitoires
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-45
Code général des collectivités territoriales
Un décret prévoit les conditions dans lesquelles un diplôme national de thanatopracteur est délivré et est exigé des thanatopracteurs pour bénéficier de l'habilitation prévue à l'article L. 2223-23 .
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2223-45
LEGIARTI000006390337
LEGIARTI000006390337
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p>Un décret prévoit les conditions dans lesquelles un diplôme national de thanatopracteur est délivré et est exigé des thanatopracteurs pour bénéficier de l'habilitation prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390299&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-23 (V)'>L. 2223-23</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390337
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192273
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Sous-section 5 : Dispositions diverses et transitoires
null
null
LEGISCTA000006192273
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 5 : Dispositions diverses et transitoires
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-46
Code général des collectivités territoriales
Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions applicables aux divers modes de sépulture.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2223-46
LEGIARTI000006390338
LEGIARTI000006390338
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions applicables aux divers modes de sépulture.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390338
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192273
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Sous-section 5 : Dispositions diverses et transitoires
null
null
LEGISCTA000006192273
null
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 5 : Dispositions diverses et transitoires
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-47
Code général des collectivités territoriales
Les professionnels ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen peuvent exercer de façon temporaire et occasionnelle sur le territoire national tout ou partie de ces activités professionnelles mentionnées aux articles L. 2223-23 et L. 2223-41 sous réserve : 1° D'être légalement établis dans un Etat membre ou un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen pour exercer la même activité ; 2° Lorsque l'activité ou la formation y conduisant ne sont pas réglementées dans l'Etat d'établissement, d'avoir exercé celle-ci dans un ou plusieurs Etats membres pendant au moins une année à temps plein ou à temps partiel pendant une durée totale équivalente au cours des dix années qui précèdent la prestation ; 3° D'être titulaire de l'habilitation prévue à ces articles sans toutefois avoir à justifier du respect du 2° de l'article L. 2223-23 ; L'accès à une partie seulement des activités professionnelles s'effectue dans les conditions prévues par arrêté du ministre de l'intérieur.
1,451,606,400,000
32,472,144,000,000
L2223-47
LEGIARTI000031643378
LEGIARTI000018892913
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Les professionnels ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen peuvent exercer de façon temporaire et occasionnelle sur le territoire national tout ou partie de ces activités professionnelles mentionnées aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390299&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-23 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390329&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-41</a> sous réserve : </p><p>1° D'être légalement établis dans un Etat membre ou un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen pour exercer la même activité ; </p><p>2° Lorsque l'activité ou la formation y conduisant ne sont pas réglementées dans l'Etat d'établissement, d'avoir exercé celle-ci dans un ou plusieurs Etats membres pendant au moins une année à temps plein ou à temps partiel pendant une durée totale équivalente au cours des dix années qui précèdent la prestation ; </p><p>3° D'être titulaire de l'habilitation prévue à ces articles sans toutefois avoir à justifier du respect du 2° de l'article L. 2223-23 ;</p><p>L'accès à une partie seulement des activités professionnelles s'effectue dans les conditions prévues par arrêté du ministre de l'intérieur.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000018925480
IG-20231129
null
LEGIARTI000031643378
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000018925484
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false
Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
null
LEGISCTA000018892911
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-48
Code général des collectivités territoriales
Les ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen souhaitant s'établir en France pour exercertout ou partie des activités professionnelles mentionnées aux articles L. 2223-23 et L. 2223-41 doivent justifier : 1° D'une expérience professionnelle, en qualité de dirigeant au sens de l'article 3. 1. i de la directive 2005/36/CE du Parlement européen et du Conseil du 7 septembre 2005 relative à la reconnaissance des qualifications professionnelles ou en qualité d'indépendant pour l'activité considérée : – de trois années consécutives ; – ou de deux années consécutives si le demandeur justifie d'une formation préalable sanctionnée par une attestation reconnue par l'Etat où il a exercé, ou jugée pleinement valable par un organisme professionnel compétent de cet Etat ; – ou de deux années consécutives si le demandeur justifie de l'exercice, pendant trois années, à titre de salarié ; 2° Ou d'une expérience professionnelle de trois années consécutives en qualité de salarié dans l'une des fonctions mentionnées aux articles L. 2223-19 et L. 2223-41 et aux mesures prises pour leur application au titre de laquelle il souhaite s'établir, si le demandeur justifie d'une formation préalable sanctionnée par une attestation reconnue par l'Etat où il a exercé, ou jugée pleinement valable par un organisme professionnel compétent de ce même Etat. Dans tous les cas mentionnés au présent article, l'expérience professionnelle doit avoir été acquise dans un Etat membre de la Communauté européenne ou un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen pendant les dix années qui précèdent la demande de reconnaissance de qualifications professionnelles. L'accès à une partie seulement des activités professionnelles s'effectue dans les conditions prévues par arrêté du ministre de l'intérieur.
1,451,606,400,000
32,472,144,000,000
L2223-48
LEGIARTI000031643371
LEGIARTI000018892915
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>Les ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen souhaitant s'établir en France pour exercertout ou partie des activités professionnelles mentionnées aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390299&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-23 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390329&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-41 </a>doivent justifier :</p><p>1° D'une expérience professionnelle, en qualité de dirigeant au sens de l'article 3. 1. i de la directive 2005/36/CE du Parlement européen et du Conseil du 7 septembre 2005 relative à la reconnaissance des qualifications professionnelles ou en qualité d'indépendant pour l'activité considérée :</p><p>– de trois années consécutives ;</p><p>– ou de deux années consécutives si le demandeur justifie d'une formation préalable sanctionnée par une attestation reconnue par l'Etat où il a exercé, ou jugée pleinement valable par un organisme professionnel compétent de cet Etat ;</p><p>– ou de deux années consécutives si le demandeur justifie de l'exercice, pendant trois années, à titre de salarié ;</p><p>2° Ou d'une expérience professionnelle de trois années consécutives en qualité de salarié dans l'une des fonctions mentionnées aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390294&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-19</a> et L. 2223-41 et aux mesures prises pour leur application au titre de laquelle il souhaite s'établir, si le demandeur justifie d'une formation préalable sanctionnée par une attestation reconnue par l'Etat où il a exercé, ou jugée pleinement valable par un organisme professionnel compétent de ce même Etat.</p><p>Dans tous les cas mentionnés au présent article, l'expérience professionnelle doit avoir été acquise dans un Etat membre de la Communauté européenne ou un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen pendant les dix années qui précèdent la demande de reconnaissance de qualifications professionnelles.</p><p>L'accès à une partie seulement des activités professionnelles s'effectue dans les conditions prévues par arrêté du ministre de l'intérieur.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000018925474
IG-20231124
null
LEGIARTI000031643371
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000018925484
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false
Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
null
LEGISCTA000018892911
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-49
Code général des collectivités territoriales
I. - Lorsque le demandeur ne remplit pas les exigences visées à l'article L. 2223-48 , il doit justifier : 1° Si la demande de reconnaissance porte sur l'activité de thanatopraxie : a) D'un diplôme, certificat ou titre, qui est requis par un autre Etat membre pour accéder à cette activité sur son territoire ou l'y exercer, délivré par une autorité compétente lorsque cette activité est réglementée dans l'Etat dans lequel il a été délivré, d'un niveau équivalent ou immédiatement inférieur à celui prévu pour le diplôme national de thanatopracteur visé à l'article L. 2223-45 et sanctionnant une formation professionnelle acquise principalement dans la Communauté européenne ou l'Espace économique européen ; b) Ou de l'exercice à plein temps de l'activité de thanatopraxie pendant une année ou à temps partiel pendant une durée totale équivalente au cours des dix années précédentes dans un Etat membre de l'Union européenne ou un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen qui ne réglemente pas cette activité, à condition de justifier de la possession d'une ou plusieurs attestations de compétences ou preuves de titres de formation. Toutefois, cette condition d'une expérience professionnelle d'une année n'est pas requise lorsque le titre de formation détenu par le demandeur certifie une formation réglementée ; 2° Si la demande de reconnaissance porte sur une des fonctions, autre que celle de thanatopracteur, mentionnées aux articles L. 2223-19 et L. 2223-41 et aux mesures prises pour leur application : a) D'une attestation de compétence ou d'un titre de formation qui est requis par un autre Etat membre pour accéder à cette activité sur son territoire ou l'y exercer, et qui est délivré par une autorité compétente lorsque la fonction est réglementée dans l'Etat dans lequel il a été délivré ; b) Ou de l'exercice à plein temps de la fonction considérée pendant une année ou à temps partiel pendant une durée totale équivalente dans un Etat membre de l'Union européenne ou un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen qui ne réglemente pas cette activité à condition de justifier de la possession d'une ou plusieurs attestations de compétences ou preuves de titres de formation. Toutefois, cette condition d'une expérience professionnelle d'une année n'est pas requise lorsque l'attestation de compétence détenue par le demandeur certifie une formation réglementée. II. - Les attestations de compétences ou les titres de formation mentionnés au présent article remplissent les conditions suivantes : a) Etre délivrés par une autorité compétente dans un Etat membre, désignée conformément aux dispositions législatives, réglementaires ou administratives de cet Etat membre ; b) Attester la préparation du titulaire à l'exercice de la profession concernée.
1,451,606,400,000
32,472,144,000,000
L2223-49
LEGIARTI000031643364
LEGIARTI000018892917
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,879,048,191
null
null
null
Article
I. - Lorsque le demandeur ne remplit pas les exigences visées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000031643371&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-48 (VD)'>L. 2223-48</a>, il doit justifier : <p>1° Si la demande de reconnaissance porte sur l'activité de thanatopraxie : </p><p>a) D'un diplôme, certificat ou titre, qui est requis par un autre Etat membre pour accéder à cette activité sur son territoire ou l'y exercer, délivré par une autorité compétente lorsque cette activité est réglementée dans l'Etat dans lequel il a été délivré, d'un niveau équivalent ou immédiatement inférieur à celui prévu pour le diplôme national de thanatopracteur visé à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390337&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-45 </a>et sanctionnant une formation professionnelle acquise principalement dans la Communauté européenne ou l'Espace économique européen ; </p><p>b) Ou de l'exercice à plein temps de l'activité de thanatopraxie pendant une année ou à temps partiel pendant une durée totale équivalente au cours des dix années précédentes dans un Etat membre de l'Union européenne ou un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen qui ne réglemente pas cette activité, à condition de justifier de la possession d'une ou plusieurs attestations de compétences ou preuves de titres de formation. Toutefois, cette condition d'une expérience professionnelle d'une année n'est pas requise lorsque le titre de formation détenu par le demandeur certifie une formation réglementée ; </p><p>2° Si la demande de reconnaissance porte sur une des fonctions, autre que celle de thanatopracteur, mentionnées aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390294&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-19 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390329&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-41</a> et aux mesures prises pour leur application : </p><p>a) D'une attestation de compétence ou d'un titre de formation qui est requis par un autre Etat membre pour accéder à cette activité sur son territoire ou l'y exercer, et qui est délivré par une autorité compétente lorsque la fonction est réglementée dans l'Etat dans lequel il a été délivré ;</p><p>b) Ou de l'exercice à plein temps de la fonction considérée pendant une année ou à temps partiel pendant une durée totale équivalente dans un Etat membre de l'Union européenne ou un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen qui ne réglemente pas cette activité à condition de justifier de la possession d'une ou plusieurs attestations de compétences ou preuves de titres de formation. Toutefois, cette condition d'une expérience professionnelle d'une année n'est pas requise lorsque l'attestation de compétence détenue par le demandeur certifie une formation réglementée.</p><p>II. - Les attestations de compétences ou les titres de formation mentionnés au présent article remplissent les conditions suivantes :</p><p> a) Etre délivrés par une autorité compétente dans un Etat membre, désignée conformément aux dispositions législatives, réglementaires ou administratives de cet Etat membre ;</p><p> b) Attester la préparation du titulaire à l'exercice de la profession concernée. </p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000018925468
IG-20231124
null
LEGIARTI000031643364
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000018925484
false
false
Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
null
LEGISCTA000018892911
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-50
Code général des collectivités territoriales
Lorsqu'il est fait application des dispositions de l'article L. 2223-49 , l'autorité compétente peut exiger que le demandeur accomplisse, selon son choix, un stage d'adaptation ou se soumette à une épreuve d'aptitude préalablement à la reconnaissance de qualification, suivant des modalités fixées par décret en Conseil d'Etat : – lorsque la formation du demandeur porte sur des matières substantiellement différentes en termes de contenu par rapport aux matières exigées par la formation sur le territoire national et dont la connaissance est essentielle à son exercice ; – ou lorsque l'activité considérée n'est pas réglementée dans l'Etat d'origine du demandeur et que la formation requise en France porte sur des matières substantiellement différentes de celles couvertes par l'attestation de compétence ou le diplôme, certificat ou titre du demandeur. L'autorité compétente doit cependant vérifier au préalable si les connaissances, aptitudes et compétences acquises par le demandeur au cours de son expérience professionnelle ou de l'apprentissage tout au long de la vie et ayant fait l'objet à cette fin d'une validation en bonne et due forme par un organisme compétent sont de nature à couvrir, en tout ou partie, cette différence substantielle.
1,451,606,400,000
32,472,144,000,000
L2223-50
LEGIARTI000031643361
LEGIARTI000018892919
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,013,265,919
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'il est fait application des dispositions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000031643364&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2223-49 (VD)'>L. 2223-49</a>, l'autorité compétente peut exiger que le demandeur accomplisse, selon son choix, un stage d'adaptation ou se soumette à une épreuve d'aptitude préalablement à la reconnaissance de qualification, suivant des modalités fixées par décret en Conseil d'Etat :</p><p>– lorsque la formation du demandeur porte sur des matières substantiellement différentes en termes de contenu par rapport aux matières exigées par la formation sur le territoire national et dont la connaissance est essentielle à son exercice ;</p><p>– ou lorsque l'activité considérée n'est pas réglementée dans l'Etat d'origine du demandeur et que la formation requise en France porte sur des matières substantiellement différentes de celles couvertes par l'attestation de compétence ou le diplôme, certificat ou titre du demandeur.</p><p>L'autorité compétente doit cependant vérifier au préalable si les connaissances, aptitudes et compétences acquises par le demandeur au cours de son expérience professionnelle ou de l'apprentissage tout au long de la vie et ayant fait l'objet à cette fin d'une validation en bonne et due forme par un organisme compétent sont de nature à couvrir, en tout ou partie, cette différence substantielle.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000018925465
IG-20231124
null
LEGIARTI000031643361
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000018925484
false
false
Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
null
LEGISCTA000018892911
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2223-51
Code général des collectivités territoriales
La décision de reconnaissance des qualifications professionnelles du demandeur est prise dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, par l'autorité compétente pour la délivrance de l'habilitation prévue à l'article L. 2223-23 .
1,212,278,400,000
32,472,144,000,000
L2223-51
LEGIARTI000018925462
LEGIARTI000018892921
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,080,374,783
null
null
null
Article
La décision de reconnaissance des qualifications professionnelles du demandeur est prise dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, par l'autorité compétente pour la délivrance de l'habilitation prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390299&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2223-23</a>.
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000018925462
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000018925484
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false
Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
null
LEGISCTA000018892911
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE III : Cimetières et opérations funéraires &gt; Section 2 : Opérations funéraires &gt; Sous-section 6 : Reconnaissance des qualifications professionnelles des ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-1
Code général des collectivités territoriales
Les budgets des services publics à caractère industriel ou commercial exploités en régie, affermés ou concédés par les communes, doivent être équilibrés en recettes et en dépenses.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-1
LEGIARTI000006390339
LEGIARTI000006390339
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Les budgets des services publics à caractère industriel ou commercial exploités en régie, affermés ou concédés par les communes, doivent être équilibrés en recettes et en dépenses.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390339
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006180987
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Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180987
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-2
Code général des collectivités territoriales
Il est interdit aux communes de prendre en charge dans leur budget propre des dépenses au titre des services publics visés à l'article L. 2224-1 . Toutefois, le conseil municipal peut décider une telle prise en charge lorsque celle-ci est justifiée par l'une des raisons suivantes : 1° Lorsque les exigences du service public conduisent la collectivité à imposer des contraintes particulières de fonctionnement ; 2° Lorsque le fonctionnement du service public exige la réalisation d'investissements qui, en raison de leur importance et eu égard au nombre d'usagers, ne peuvent être financés sans augmentation excessive des tarifs ; 3° Lorsque, après la période de réglementation des prix, la suppression de toute prise en charge par le budget de la commune aurait pour conséquence une hausse excessive des tarifs. La décision du conseil municipal fait l'objet, à peine de nullité, d'une délibération motivée. Cette délibération fixe les règles de calcul et les modalités de versement des dépenses du service prises en charge par la commune, ainsi que le ou les exercices auxquels elles se rapportent. En aucun cas, cette prise en charge ne peut se traduire par la compensation pure et simple d'un déficit de fonctionnement. L'interdiction prévue au premier alinéa n'est pas applicable : 1° Dans les communes de moins de 3 000 habitants et les établissements publics de coopération intercommunale dont aucune commune membre n'a plus de 3 000 habitants, aux services de distribution d'eau et d'assainissement ; 1° bis Quelle que soit la population des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre compétents, aux services de distribution d'eau et d'assainissement des eaux usées, lorsque le fonctionnement du service public exige la réalisation d'investissements qui, en raison de leur importance, ne peuvent être financés sans augmentation excessive des tarifs ; 1° ter Quelle que soit la population des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre, aux services de distribution d'eau et d'assainissement des eaux usées, pendant la période d'harmonisation des tarifications de l'eau et de l'assainissement après la prise de compétence par l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre ; 2° Quelle que soit la population des communes et groupements de collectivités territoriales, aux services publics d'assainissement non collectif, lors de leur création et pour une durée limitée au maximum aux cinq premiers exercices. 3° Quelle que soit la population des communes et groupements de collectivités territoriales, aux services publics de gestion des déchets ménagers et assimilés, lors de l'institution de la redevance d'enlèvement des ordures ménagères et pour une durée limitée au maximum aux quatre premiers exercices. 4° Aux services de production d'électricité exploités dans les conditions prévues au dernier alinéa de l'article L. 1412-1. Lorsque le service a été délégué, la part prise en charge par le budget propre ne peut excéder le montant des sommes données au délégataire pour sujétions de service public et représenter une part substantielle de la rémunération de ce dernier.
1,678,579,200,000
32,472,144,000,000
L2224-2
LEGIARTI000047302101
LEGIARTI000006390340
AUTONOME
VIGUEUR
8.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p><p>Il est interdit aux communes de prendre en charge dans leur budget propre des dépenses au titre des services publics visés à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390339&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-1</a>.</p><p>Toutefois, le conseil municipal peut décider une telle prise en charge lorsque celle-ci est justifiée par l'une des raisons suivantes :</p><p>1° Lorsque les exigences du service public conduisent la collectivité à imposer des contraintes particulières de fonctionnement ;</p><p>2° Lorsque le fonctionnement du service public exige la réalisation d'investissements qui, en raison de leur importance et eu égard au nombre d'usagers, ne peuvent être financés sans augmentation excessive des tarifs ;</p><p>3° Lorsque, après la période de réglementation des prix, la suppression de toute prise en charge par le budget de la commune aurait pour conséquence une hausse excessive des tarifs.</p><p>La décision du conseil municipal fait l'objet, à peine de nullité, d'une délibération motivée. Cette délibération fixe les règles de calcul et les modalités de versement des dépenses du service prises en charge par la commune, ainsi que le ou les exercices auxquels elles se rapportent. En aucun cas, cette prise en charge ne peut se traduire par la compensation pure et simple d'un déficit de fonctionnement.</p><p>L'interdiction prévue au premier alinéa n'est pas applicable :</p><p>1° Dans les communes de moins de 3 000 habitants et les établissements publics de coopération intercommunale dont aucune commune membre n'a plus de 3 000 habitants, aux services de distribution d'eau et d'assainissement ;</p><p>1° bis Quelle que soit la population des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre compétents, aux services de distribution d'eau et d'assainissement des eaux usées, lorsque le fonctionnement du service public exige la réalisation d'investissements qui, en raison de leur importance, ne peuvent être financés sans augmentation excessive des tarifs ;</p><p>1° ter Quelle que soit la population des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre, aux services de distribution d'eau et d'assainissement des eaux usées, pendant la période d'harmonisation des tarifications de l'eau et de l'assainissement après la prise de compétence par l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre ;</p><p>2° Quelle que soit la population des communes et groupements de collectivités territoriales, aux services publics d'assainissement non collectif, lors de leur création et pour une durée limitée au maximum aux cinq premiers exercices.</p><p>3° Quelle que soit la population des communes et groupements de collectivités territoriales, aux services publics de gestion des déchets ménagers et assimilés, lors de l'institution de la redevance d'enlèvement des ordures ménagères et pour une durée limitée au maximum aux quatre premiers exercices.</p><p>4° Aux services de production d'électricité exploités dans les conditions prévues au dernier alinéa de l'article L. 1412-1.</p><p>Lorsque le service a été délégué, la part prise en charge par le budget propre ne peut excéder le montant des sommes données au délégataire pour sujétions de service public et représenter une part substantielle de la rémunération de ce dernier.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000045210460
IG-20231124
null
LEGIARTI000047302101
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006180987
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Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180987
null
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null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-3
Code général des collectivités territoriales
Sont réputées légales les délibérations ainsi que les clauses des traités ou cahiers des charges qui, antérieurement à la date d'entrée en vigueur de la loi n° 88-13 du 5 janvier 1988 d'amélioration de la décentralisation, ont prévu la prise en charge par les communes des dépenses répondant aux conditions de l'article L. 2224-2 . Sont également réputées légales les clauses des traités ou des cahiers des charges approuvés avant la date d'entrée en vigueur de la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, qui ont prévu la prise en charge par une commune de dépenses d'un service public industriel et commercial, même dans des cas autres que ceux mentionnés à l'article L. 2224-2.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-3
LEGIARTI000006390344
LEGIARTI000006390344
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p>Sont réputées légales les délibérations ainsi que les clauses des traités ou cahiers des charges qui, antérieurement à la date d'entrée en vigueur de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000875418&categorieLien=cid' title='Loi n°88-13 du 5 janvier 1988 (V)'>loi n° 88-13 du 5 janvier 1988 </a>d'amélioration de la décentralisation, ont prévu la prise en charge par les communes des dépenses répondant aux conditions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390340&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2224-2 (V)'>L. 2224-2</a>. <p></p><p></p>Sont également réputées légales les clauses des traités ou des cahiers des charges approuvés avant la date d'entrée en vigueur de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000880039&categorieLien=cid' title='Loi n°82-213 du 2 mars 1982 (V)'>loi n° 82-213 du 2 mars 1982 </a>relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, qui ont prévu la prise en charge par une commune de dépenses d'un service public industriel et commercial, même dans des cas autres que ceux mentionnés à l'article L. 2224-2.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390344
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180987
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Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180987
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-4
Code général des collectivités territoriales
Les délibérations ou décisions des conseils municipaux ou des autorités locales compétentes qui comportent augmentation des dépenses des services publics industriels ou commerciaux exploités en régie, affermés ou concédés, ne peuvent être mises en application lorsqu'elles ne sont pas accompagnées du vote de recettes correspondantes.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-4
LEGIARTI000006390347
LEGIARTI000006390347
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p> Les délibérations ou décisions des conseils municipaux ou des autorités locales compétentes qui comportent augmentation des dépenses des services publics industriels ou commerciaux exploités en régie, affermés ou concédés, ne peuvent être mises en application lorsqu'elles ne sont pas accompagnées du vote de recettes correspondantes.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390347
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180987
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Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180987
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-5
Code général des collectivités territoriales
Le maire présente au conseil municipal ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente à son assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable destiné notamment à l'information des usagers. Ce rapport est présenté au plus tard dans les neuf mois qui suivent la clôture de l'exercice concerné. Le maire y joint la note établie chaque année par l'agence de l'eau ou l'office de l'eau sur les redevances figurant sur la facture d'eau des abonnés et sur la réalisation de son programme pluriannuel d'intervention. Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante sont mis à la disposition du public dans les conditions prévues à l'article L. 1411-13 . Les données relatives à la qualité de l'eau, au prix, aux volumes consommés, à l'organisation du service public de distribution de l'eau potable et à la mise en œuvre des mesures favorisant l'accès à l'eau prévues à l'article L. 2224-7-2 et aux 2° à 4° de l'article L. 2224-7-3 sont transmises par la commune ou l'établissement public de coopération compétent, par voie électronique, au système d'information mentionné au 2° du I de l'article L. 131-9 du code de l'environnement. Un décret détermine les conditions d'application du présent article. Il précise notamment les indicateurs qui doivent figurer dans le rapport annuel et sont transmis au système d'information, ainsi que les modalités de transmission de ces données. Les services d'assainissement municipaux sont soumis aux dispositions du présent article.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-5
LEGIARTI000046783842
LEGIARTI000006390348
AUTONOME
VIGUEUR
6.0
343,592
null
null
null
Article
<p>Le maire présente au conseil municipal ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente à son assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable destiné notamment à l'information des usagers.</p><p>Ce rapport est présenté au plus tard dans les neuf mois qui suivent la clôture de l'exercice concerné.</p><p>Le maire y joint la note établie chaque année par l'agence de l'eau ou l'office de l'eau sur les redevances figurant sur la facture d'eau des abonnés et sur la réalisation de son programme pluriannuel d'intervention.</p><p>Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante sont mis à la disposition du public dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389243&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1411-13</a>.</p><p>Les données relatives à la qualité de l'eau, au prix, aux volumes consommés, à l'organisation du service public de distribution de l'eau potable et à la mise en œuvre des mesures favorisant l'accès à l'eau prévues à l'article L. 2224-7-2 et aux 2° à 4° de l'article L. 2224-7-3 sont transmises par la commune ou l'établissement public de coopération compétent, par voie électronique, au système d'information mentionné au 2° du I de l'article L. 131-9 du code de l'environnement.</p><p> Un décret détermine les conditions d'application du présent article. Il précise notamment les indicateurs qui doivent figurer dans le rapport annuel et sont transmis au système d'information, ainsi que les modalités de transmission de ces données.</p><p>Les services d'assainissement municipaux sont soumis aux dispositions du présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000033033912
MD-20240716_191942_566_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000046783842
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180987
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Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180987
null
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-6
Code général des collectivités territoriales
Les communes de moins de 3 000 habitants et les établissements publics de coopération intercommunale dont aucune commune membre n'a plus de 3 000 habitants peuvent établir un budget unique des services de distribution d'eau potable et d'assainissement si les deux services sont soumis aux mêmes règles d'assujettissement à la taxe sur la valeur ajoutée et si leur mode de gestion est identique. Le budget et les factures émises doivent faire apparaître la répartition entre les opérations relatives à la distribution d'eau potable et celles relatives à l'assainissement.
1,167,523,200,000
32,472,144,000,000
L2224-6
LEGIARTI000006390350
LEGIARTI000006390349
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p> Les communes de moins de 3 000 habitants et les établissements publics de coopération intercommunale dont aucune commune membre n'a plus de 3 000 habitants peuvent établir un budget unique des services de distribution d'eau potable et d'assainissement si les deux services sont soumis aux mêmes règles d'assujettissement à la taxe sur la valeur ajoutée et si leur mode de gestion est identique.<p></p><p></p> Le budget et les factures émises doivent faire apparaître la répartition entre les opérations relatives à la distribution d'eau potable et celles relatives à l'assainissement.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390349
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390350
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180987
false
false
Section 1 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006180987
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 1 : Dispositions générales
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-7
Code général des collectivités territoriales
I.-Tout service assurant tout ou partie de la production, du transport, du stockage et de la distribution d'eau destinée à la consommation humaine est un service d'eau potable. La production d'eau destinée à la consommation humaine comprend tout ou partie du prélèvement, de la protection du point de prélèvement ainsi que du traitement de l'eau brute. II.-Tout service assurant tout ou partie des missions définies à l'article L. 2224-8 est un service public d'assainissement.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-7
LEGIARTI000046783835
LEGIARTI000006390351
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
63,161,283
null
null
null
Article
<p>I.-Tout service assurant tout ou partie de la production, du transport, du stockage et de la distribution d'eau destinée à la consommation humaine est un service d'eau potable.</p><p> La production d'eau destinée à la consommation humaine comprend tout ou partie du prélèvement, de la protection du point de prélèvement ainsi que du traitement de l'eau brute.</p><p>II.-Tout service assurant tout ou partie des missions définies à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390353&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-8</a> est un service public d'assainissement.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000041412419
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000046783835
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192274
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false
Sous-section 1 : Dispositions générales.
null
null
LEGISCTA000006192274
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales.
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-7-1
Code général des collectivités territoriales
Les communes sont compétentes en matière de distribution d'eau potable. Dans ce cadre, elles arrêtent un schéma de distribution d'eau potable déterminant les zones desservies par le réseau de distribution. Elles peuvent également assurer la production d'eau potable, ainsi que son transport et son stockage. Toutefois, les compétences en matière d'eau potable assurées à la date du 31 décembre 2006 par des départements ou des associations syndicales créées avant cette date ne peuvent être exercées par les communes sans l'accord des personnes concernées. Le schéma mentionné au premier alinéa comprend un descriptif détaillé et un diagnostic des ouvrages et équipements nécessaires à la distribution d'eau potable et, le cas échéant, à sa production, à son transport et à son stockage. Il comprend également un programme d'actions chiffrées et hiérarchisées visant à améliorer l'état et le fonctionnement de ces ouvrages et équipements. Ce schéma tient compte de l'évolution de la population et des ressources en eau disponibles. Lorsque le taux de perte en eau du réseau s'avère supérieur à un taux fixé par décret selon les caractéristiques du service et de la ressource, ce schéma est complété, avant la fin du second exercice suivant l'exercice pour lequel le dépassement a été constaté, par un plan d'actions comprenant, s'il y a lieu, un projet de programme pluriannuel de travaux d'amélioration du réseau. Le schéma de distribution d'eau potable est établi au plus tard le 31 décembre 2024 ou dans les deux années suivant la prise de compétence à titre obligatoire par la communauté de communes, si cette prise de compétence intervient après le 1er janvier 2023. Il est mis à jour selon une périodicité fixée par décret afin de prendre en compte l'évolution du taux de perte visé à l'alinéa précédent ainsi que les travaux réalisés sur ces ouvrages. Les schémas mentionnés au premier alinéa définissent des zones dans lesquelles il est pertinent d'installer des fontaines d'eau potable ou d'autres équipements nécessaires à la mise en œuvre des solutions mentionnées au 2° de l'article L. 2224-7-3.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-7-1
LEGIARTI000046783831
LEGIARTI000006390365
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
568,451,553
null
null
null
Article
<p>Les communes sont compétentes en matière de distribution d'eau potable. Dans ce cadre, elles arrêtent un schéma de distribution d'eau potable déterminant les zones desservies par le réseau de distribution. Elles peuvent également assurer la production d'eau potable, ainsi que son transport et son stockage. Toutefois, les compétences en matière d'eau potable assurées à la date du 31 décembre 2006 par des départements ou des associations syndicales créées avant cette date ne peuvent être exercées par les communes sans l'accord des personnes concernées.</p><p>Le schéma mentionné au premier alinéa comprend un descriptif détaillé et un diagnostic des ouvrages et équipements nécessaires à la distribution d'eau potable et, le cas échéant, à sa production, à son transport et à son stockage. Il comprend également un programme d'actions chiffrées et hiérarchisées visant à améliorer l'état et le fonctionnement de ces ouvrages et équipements. Ce schéma tient compte de l'évolution de la population et des ressources en eau disponibles. Lorsque le taux de perte en eau du réseau s'avère supérieur à un taux fixé par décret selon les caractéristiques du service et de la ressource, ce schéma est complété, avant la fin du second exercice suivant l'exercice pour lequel le dépassement a été constaté, par un plan d'actions comprenant, s'il y a lieu, un projet de programme pluriannuel de travaux d'amélioration du réseau.</p><p>Le schéma de distribution d'eau potable est établi au plus tard le 31 décembre 2024 ou dans les deux années suivant la prise de compétence à titre obligatoire par la communauté de communes, si cette prise de compétence intervient après le 1er janvier 2023. Il est mis à jour selon une périodicité fixée par décret afin de prendre en compte l'évolution du taux de perte visé à l'alinéa précédent ainsi que les travaux réalisés sur ces ouvrages.</p><p>Les schémas mentionnés au premier alinéa définissent des zones dans lesquelles il est pertinent d'installer des fontaines d'eau potable ou d'autres équipements nécessaires à la mise en œuvre des solutions mentionnées au 2° de l'article L. 2224-7-3.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000043975530
MD-20240724_185853_478_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000046783831
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000046782144
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Paragraphe 1 : Dispositions relatives à la distribution d'eau
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LEGISCTA000046782144
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 1 : Dispositions relatives à la distribution d'eau
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-7-2
Code général des collectivités territoriales
Pour mettre en œuvre les compétences énoncées à l'article L. 1321-1 B du code de la santé publique visant à satisfaire les besoins essentiels des personnes en eau destinée à la consommation humaine, les communes ou leurs établissements publics de coopération identifient sur leur territoire les personnes n'ayant pas accès, ou ayant un accès insuffisant, à l'eau potable ainsi que les raisons expliquant cette situation. Ce diagnostic territorial porte sur l'intégralité de la population présente sur leur territoire. Il fait l'objet d'une mise à jour régulière, au moins tous les six ans, qui tient compte des signalements de situations relatives à un accès inexistant ou insuffisant à l'eau potable. Les dépenses exposées par les communes ou leurs établissements publics de coopération dans le cadre de la réalisation du diagnostic territorial ne sont pas soumises à l'interdiction prévue au premier alinéa de l'article L. 2224-2.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-7-2
LEGIARTI000046782381
LEGIARTI000046782183
AUTONOME
VIGUEUR
Se reporter aux conditions d’application prévues à l’article 9 de l’ordonnance n° 2022-1611 du 22 décembre 2022.
1.0
1,136,903,107
null
null
null
Article
<p>Pour mettre en œuvre les compétences énoncées à l'article L. 1321-1 B du code de la santé publique visant à satisfaire les besoins essentiels des personnes en eau destinée à la consommation humaine, les communes ou leurs établissements publics de coopération identifient sur leur territoire les personnes n'ayant pas accès, ou ayant un accès insuffisant, à l'eau potable ainsi que les raisons expliquant cette situation.<br/><br/> Ce diagnostic territorial porte sur l'intégralité de la population présente sur leur territoire. Il fait l'objet d'une mise à jour régulière, au moins tous les six ans, qui tient compte des signalements de situations relatives à un accès inexistant ou insuffisant à l'eau potable.<br/><br/> Les dépenses exposées par les communes ou leurs établissements publics de coopération dans le cadre de la réalisation du diagnostic territorial ne sont pas soumises à l'interdiction prévue au premier alinéa de l'article L. 2224-2.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
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LEGIARTI000046782381
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782144
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Paragraphe 1 : Dispositions relatives à la distribution d'eau
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LEGISCTA000046782144
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 1 : Dispositions relatives à la distribution d'eau
<p>Se reporter aux conditions d’application prévues à l’article 9 de l’ordonnance n° 2022-1611 du 22 décembre 2022.</p>
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-7-3
Code général des collectivités territoriales
Au vu du diagnostic territorial établi en application de l'article L. 2224-7-2, les communes ou leurs établissements publics de coopération procèdent à : 1° L'identification et l'évaluation des possibilités d'améliorer l'accès à l'eau destinée à la consommation humaine des personnes et groupes de personnes n'y ayant pas accès, ou y ayant un accès insuffisant ; 2° La mise en œuvre, au plus tard trois ans après la réalisation du diagnostic territorial, des mesures techniquement réalisables et proportionnées à l'urgence de la situation permettant de garantir à toute personne, y compris à celles en situation de vulnérabilité liée à des facteurs sociaux, économiques ou environnementaux, l'accès à l'eau destinée à la consommation humaine, en application de l'article L. 1321-1 B du code de la santé publique ; 3° L'information des personnes n'ayant pas accès ou ayant un accès insuffisant à l'eau destinée à la consommation humaine, des possibilités de connexion à un réseau de distribution ou d'accès alternatifs à l'eau destinée à la consommation humaine ; 4° La mise en place et l'entretien des fontaines d'eau potable et des autres équipements prévus au dernier alinéa de l'article L. 2224-7-1 permettant d'accéder dans les lieux publics à l'eau destinée à la consommation humaine ; Les dépenses résultant des actions réalisées en application des 1°, 3° et 4° du présent article par les communes ou leurs établissements publics de coopération ne sont pas soumises à l'interdiction prévue au premier alinéa de l'article L. 2224-2.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-7-3
LEGIARTI000046782185
LEGIARTI000046782185
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,642,193,377
null
null
null
Article
<p>Au vu du diagnostic territorial établi en application de l'article L. 2224-7-2, les communes ou leurs établissements publics de coopération procèdent à :<br/><br/> 1° L'identification et l'évaluation des possibilités d'améliorer l'accès à l'eau destinée à la consommation humaine des personnes et groupes de personnes n'y ayant pas accès, ou y ayant un accès insuffisant ;<br/><br/> 2° La mise en œuvre, au plus tard trois ans après la réalisation du diagnostic territorial, des mesures techniquement réalisables et proportionnées à l'urgence de la situation permettant de garantir à toute personne, y compris à celles en situation de vulnérabilité liée à des facteurs sociaux, économiques ou environnementaux, l'accès à l'eau destinée à la consommation humaine, en application de l'article L. 1321-1 B du code de la santé publique ;<br/><br/> 3° L'information des personnes n'ayant pas accès ou ayant un accès insuffisant à l'eau destinée à la consommation humaine, des possibilités de connexion à un réseau de distribution ou d'accès alternatifs à l'eau destinée à la consommation humaine ;<br/><br/> 4° La mise en place et l'entretien des fontaines d'eau potable et des autres équipements prévus au dernier alinéa de l'article L. 2224-7-1 permettant d'accéder dans les lieux publics à l'eau destinée à la consommation humaine ;<br/><br/> Les dépenses résultant des actions réalisées en application des 1°, 3° et 4° du présent article par les communes ou leurs établissements publics de coopération ne sont pas soumises à l'interdiction prévue au premier alinéa de l'article L. 2224-2.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231128
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LEGIARTI000046782185
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782144
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Paragraphe 1 : Dispositions relatives à la distribution d'eau
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LEGISCTA000046782144
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 1 : Dispositions relatives à la distribution d'eau
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-7-4
Code général des collectivités territoriales
Les dispositions des articles L. 2224-7-2 et L. 2224-7-3 s'appliquent sans préjudice des dispositions prévues par l'article 2 de la loi n° 2000-614 du 5 juillet 2000 relative à l'accueil et à l'habitat des gens du voyage pour les personnes mentionnées à l'article 1er de la même loi dont l'habitat traditionnel est constitué de résidences mobiles installées sur des aires d'accueil ou des terrains prévus à cet effet. Les obligations précisées à l'article L. 2224-7-3 sont réputées satisfaites à leur égard dès lors que les communes ou leurs établissements publics de coopération ont exécuté les obligations en matière d'accès à l'eau prévues dans ces dispositions spécifiques. Les communes ou leurs établissements publics de coopération procèdent à la communication annuelle des informations relatives à la mise en œuvre de l'article L. 2224-7-2 et des 2° et 4° de l'article L. 2224-7-3 par le renseignement du système d'information sur les services publics d'eau et d'assainissement s'appuyant sur le rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable mentionné à l'article L. 2224-5. Un décret en Conseil d'Etat définit les modalités d'application du présent article et des articles L. 2224-7-2 et L. 2224-7-3.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-7-4
LEGIARTI000046782383
LEGIARTI000046782187
AUTONOME
VIGUEUR
Se reporter aux conditions d’application prévues à l’article 9 de l’ordonnance n° 2022-1611 du 22 décembre 2022.
1.0
1,894,838,512
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null
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Article
<p>Les dispositions des articles L. 2224-7-2 et L. 2224-7-3 s'appliquent sans préjudice des dispositions prévues par l'article 2 de la loi n° 2000-614 du 5 juillet 2000 relative à l'accueil et à l'habitat des gens du voyage pour les personnes mentionnées à l'article 1er de la même loi dont l'habitat traditionnel est constitué de résidences mobiles installées sur des aires d'accueil ou des terrains prévus à cet effet. Les obligations précisées à l'article L. 2224-7-3 sont réputées satisfaites à leur égard dès lors que les communes ou leurs établissements publics de coopération ont exécuté les obligations en matière d'accès à l'eau prévues dans ces dispositions spécifiques.<br/><br/> Les communes ou leurs établissements publics de coopération procèdent à la communication annuelle des informations relatives à la mise en œuvre de l'article L. 2224-7-2 et des 2° et 4° de l'article L. 2224-7-3 par le renseignement du système d'information sur les services publics d'eau et d'assainissement s'appuyant sur le rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable mentionné à l'article L. 2224-5.<br/><br/> Un décret en Conseil d'Etat définit les modalités d'application du présent article et des articles L. 2224-7-2 et L. 2224-7-3.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
null
LEGIARTI000046782383
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000046782144
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Paragraphe 1 : Dispositions relatives à la distribution d'eau
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LEGISCTA000046782144
null
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null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 1 : Dispositions relatives à la distribution d'eau
<p>Se reporter aux conditions d’application prévues à l’article 9 de l’ordonnance n° 2022-1611 du 22 décembre 2022.</p>
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-7-5
Code général des collectivités territoriales
Toute personne publique responsable de la production d'eau qui assure tout ou partie du prélèvement peut contribuer à la gestion et à la préservation de la ressource en eau. Cette contribution est obligatoire lorsque l'eau est produite en tout ou partie à partir d'un point de prélèvement sensible, au sens de l'article L. 211-11-1 du code de l'environnement.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-7-5
LEGIARTI000046782157
LEGIARTI000046782157
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
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null
null
Article
<p>Toute personne publique responsable de la production d'eau qui assure tout ou partie du prélèvement peut contribuer à la gestion et à la préservation de la ressource en eau.<br/><br/> Cette contribution est obligatoire lorsque l'eau est produite en tout ou partie à partir d'un point de prélèvement sensible, au sens de l'article L. 211-11-1 du code de l'environnement.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000046782157
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782155
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Paragraphe 2 : Dispositions relatives à la production d'eau
null
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LEGISCTA000046782155
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 2 : Dispositions relatives à la production d'eau
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-7-6
Code général des collectivités territoriales
La personne publique mentionnée à l'article L. 2224-7-5 qui contribue à la gestion et à la préservation de la ressource en eau élabore et met en œuvre un plan d'action visant à contribuer au maintien ou à l'amélioration de la qualité de la part de cette ressource utilisée pour la production d'eau destinée à la consommation humaine. Ce plan s'applique sur tout ou partie de l'aire d'alimentation des captages pendant la durée qu'il détermine. Il constitue le volet relatif à la maîtrise des risques liés aux pollutions sur les zones de captage du plan de gestion de la sécurité sanitaire de l'eau que la personne publique doit établir en application de l'article L. 1321-4 du code de la santé publique. La personne publique mentionnée au premier alinéa transmet au représentant de l'Etat dans le département le plan d'action qu'elle a établi ainsi qu'une proposition de délimitation de l'aire d'alimentation des captages d'eau potable correspondante. Un décret détermine, dans le cas mentionné au second alinéa de l'article L. 2224-7-5, le délai dans lequel cette transmission intervient à compter de la date à laquelle le point de prélèvement peut être qualifié de sensible, au sens de l'article L. 211-11-1 du code de l'environnement. Avant la fin de la période d'application du plan d'action, la personne publique responsable de la production d'eau procède à l'évaluation de sa mise en œuvre et décide de la prolongation ou de la modification des actions prévues par ce plan au vu des résultats de cette évaluation. Lorsque la contribution à la gestion et à la préservation de la ressource en eau est mise en œuvre dans un cadre mutualisé entre personnes publiques, elle fait l'objet d'une convention qui précise la ou les personnes en charge du pilotage du plan d'action ainsi que les modalités de son suivi.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-7-6
LEGIARTI000046782159
LEGIARTI000046782159
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>La personne publique mentionnée à l'article L. 2224-7-5 qui contribue à la gestion et à la préservation de la ressource en eau élabore et met en œuvre un plan d'action visant à contribuer au maintien ou à l'amélioration de la qualité de la part de cette ressource utilisée pour la production d'eau destinée à la consommation humaine.<br/><br/> Ce plan s'applique sur tout ou partie de l'aire d'alimentation des captages pendant la durée qu'il détermine. Il constitue le volet relatif à la maîtrise des risques liés aux pollutions sur les zones de captage du plan de gestion de la sécurité sanitaire de l'eau que la personne publique doit établir en application de l'article L. 1321-4 du code de la santé publique.<br/><br/> La personne publique mentionnée au premier alinéa transmet au représentant de l'Etat dans le département le plan d'action qu'elle a établi ainsi qu'une proposition de délimitation de l'aire d'alimentation des captages d'eau potable correspondante. Un décret détermine, dans le cas mentionné au second alinéa de l'article L. 2224-7-5, le délai dans lequel cette transmission intervient à compter de la date à laquelle le point de prélèvement peut être qualifié de sensible, au sens de l'article L. 211-11-1 du code de l'environnement.<br/><br/> Avant la fin de la période d'application du plan d'action, la personne publique responsable de la production d'eau procède à l'évaluation de sa mise en œuvre et décide de la prolongation ou de la modification des actions prévues par ce plan au vu des résultats de cette évaluation.<br/><br/> Lorsque la contribution à la gestion et à la préservation de la ressource en eau est mise en œuvre dans un cadre mutualisé entre personnes publiques, elle fait l'objet d'une convention qui précise la ou les personnes en charge du pilotage du plan d'action ainsi que les modalités de son suivi.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000046782159
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782155
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Paragraphe 2 : Dispositions relatives à la production d'eau
null
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LEGISCTA000046782155
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 2 : Dispositions relatives à la production d'eau
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-7-7
Code général des collectivités territoriales
Les mesures prévues par le plan d'action mentionné à l'article L. 2224-7-6 visent à éviter, réduire ou supprimer les pollutions de toute nature ou à limiter leur transfert vers la ressource en eau, sans préjudice des prescriptions arrêtées par le préfet dans les périmètres définis à l'article L. 1321-2 du code de la santé publique et des règles adoptées en application des dispositions des chapitres Ier et II du titre Ier du livre II de la partie législative du code de l'environnement. Elles sont définies en concertation avec les acteurs du territoire concernés par la protection de la ressource en eau ou dont les activités sont susceptibles d'en affecter la qualité. Ces mesures consistent notamment à : 1° Sensibiliser, informer et mobiliser les acteurs du territoire pour préserver la qualité de la ressource en eau et les accompagner dans la mise en œuvre d'actions contribuant à cet objectif ; 2° Réaliser toute étude nécessaire pour mettre en œuvre, compléter ou actualiser le plan d'action ; 3° Suivre la qualité de la ressource en eau ; 4° Soutenir et favoriser la transition agro-écologique ; 5° Assurer la maîtrise foncière pour la mise en œuvre d'actions destinées à protéger ou restaurer la ressource en eau ; 6° Mettre en place des aménagements limitant le transfert de pollutions vers la ressource en eau ; 7° Signer des conventions d'engagement avec les partenaires du plan ; 8° Suivre et évaluer l'efficacité de la démarche. Lorsque le plan d'action concerne un point de prélèvement sensible, au sens de l'article L. 211-11-1 du code de l'environnement, il contient également des propositions de mesures pouvant être rendues obligatoires dans le cadre d'un programme d'action établi en application du 7° de l'article L. 211-3 du même code.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-7-7
LEGIARTI000046782161
LEGIARTI000046782161
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,879,048,191
null
null
null
Article
<p>Les mesures prévues par le plan d'action mentionné à l'article L. 2224-7-6 visent à éviter, réduire ou supprimer les pollutions de toute nature ou à limiter leur transfert vers la ressource en eau, sans préjudice des prescriptions arrêtées par le préfet dans les périmètres définis à l'article L. 1321-2 du code de la santé publique et des règles adoptées en application des dispositions des chapitres Ier et II du titre Ier du livre II de la partie législative du code de l'environnement. Elles sont définies en concertation avec les acteurs du territoire concernés par la protection de la ressource en eau ou dont les activités sont susceptibles d'en affecter la qualité.<br/><br/> Ces mesures consistent notamment à :<br/><br/> 1° Sensibiliser, informer et mobiliser les acteurs du territoire pour préserver la qualité de la ressource en eau et les accompagner dans la mise en œuvre d'actions contribuant à cet objectif ;<br/><br/> 2° Réaliser toute étude nécessaire pour mettre en œuvre, compléter ou actualiser le plan d'action ;<br/><br/> 3° Suivre la qualité de la ressource en eau ;<br/><br/> 4° Soutenir et favoriser la transition agro-écologique ;<br/><br/> 5° Assurer la maîtrise foncière pour la mise en œuvre d'actions destinées à protéger ou restaurer la ressource en eau ;<br/><br/> 6° Mettre en place des aménagements limitant le transfert de pollutions vers la ressource en eau ;<br/><br/> 7° Signer des conventions d'engagement avec les partenaires du plan ;<br/><br/> 8° Suivre et évaluer l'efficacité de la démarche.<br/><br/> Lorsque le plan d'action concerne un point de prélèvement sensible, au sens de l'article L. 211-11-1 du code de l'environnement, il contient également des propositions de mesures pouvant être rendues obligatoires dans le cadre d'un programme d'action établi en application du 7° de l'article L. 211-3 du même code.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
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LEGIARTI000046782161
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782155
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Paragraphe 2 : Dispositions relatives à la production d'eau
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LEGISCTA000046782155
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 2 : Dispositions relatives à la production d'eau
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-8
Code général des collectivités territoriales
I. – Les communes sont compétentes en matière d'assainissement des eaux usées. Dans ce cadre, elles établissent un schéma d'assainissement collectif comprenant, avant la fin de l'année 2013, un descriptif détaillé des ouvrages de collecte et de transport des eaux usées. Ce descriptif est mis à jour selon une périodicité fixée par décret afin de prendre en compte les travaux réalisés sur ces ouvrages. II. – Les communes assurent le contrôle des raccordements au réseau public de collecte, la collecte, le transport et l'épuration des eaux usées, ainsi que l'élimination des boues produites. Elles peuvent également, à la demande des propriétaires, assurer les travaux de mise en conformité des ouvrages visés à l'article L. 1331-4 du code de la santé publique, depuis le bas des colonnes descendantes des constructions jusqu'à la partie publique du branchement, et les travaux de suppression ou d'obturation des fosses et autres installations de même nature à l'occasion du raccordement de l'immeuble. Le contrôle du raccordement est notamment réalisé pour tout nouveau raccordement d'un immeuble au réseau public de collecte des eaux usées conformément au premier alinéa de l'article L. 1331-1 du même code et lorsque les conditions de raccordement sont modifiées. A l'issue du contrôle de raccordement au réseau public, la commune établit et transmet au propriétaire de l'immeuble ou, en cas de copropriété, au syndicat des copropriétaires un document décrivant le contrôle réalisé et évaluant la conformité du raccordement au regard des prescriptions réglementaires. La durée de validité de ce document est de dix ans. Le contrôle effectué à la demande du propriétaire de l'immeuble ou du syndicat des copropriétaires est réalisé aux frais de ce dernier et la commune lui transmet ce document dans un délai fixé par décret en Conseil d'Etat. L'étendue des prestations afférentes aux services d'assainissement municipaux et les délais dans lesquels ces prestations doivent être effectivement assurées sont fixés par décret en Conseil d'Etat, en fonction des caractéristiques des communes et notamment de l'importance des populations totales agglomérées et saisonnières. III. – Pour les immeubles non raccordés au réseau public de collecte, la commune assure le contrôle des installations d'assainissement non collectif. Cette mission consiste : 1° Dans le cas des installations neuves ou à réhabiliter, en un examen préalable de la conception joint, s'il y a lieu, à tout dépôt de demande de permis de construire ou d'aménager et en une vérification de l'exécution. A l'issue du contrôle, la commune établit un document qui évalue la conformité de l'installation au regard des prescriptions réglementaires ; 2° Dans le cas des autres installations, en une vérification du fonctionnement et de l'entretien. A l'issue du contrôle, la commune établit un document précisant les travaux à réaliser pour éliminer les dangers pour la santé des personnes et les risques avérés de pollution de l'environnement. Les modalités d'exécution de la mission de contrôle, les critères d'évaluation de la conformité, les critères d'évaluation des dangers pour la santé et des risques de pollution de l'environnement, ainsi que le contenu du document remis au propriétaire à l'issue du contrôle sont définis par un arrêté des ministres chargés de l'intérieur, de la santé, de l'environnement et du logement. Les communes déterminent la date à laquelle elles procèdent au contrôle des installations d'assainissement non collectif ; elles effectuent ce contrôle au plus tard le 31 décembre 2012, puis selon une périodicité qui ne peut pas excéder dix ans. Elles peuvent assurer, avec l'accord écrit du propriétaire, l'entretien, les travaux de réalisation et les travaux de réhabilitation des installations d'assainissement non collectif prescrits dans le document de contrôle. Elles peuvent en outre assurer le traitement des matières de vidanges issues des installations d'assainissement non collectif. Elles peuvent fixer des prescriptions techniques, notamment pour l'étude des sols ou le choix de la filière, en vue de l'implantation ou de la réhabilitation de tout ou partie d'une installation d'assainissement non collectif. Les installations d'assainissement non collectif recevant des eaux usées domestiques ou assimilées au sens de l'article L. 214-2 du code de l'environnement et n'entrant pas dans la catégorie des installations avec traitement par le sol font l'objet d'un agrément délivré par un ou plusieurs organismes, notifiés par l'Etat à la Commission européenne au titre du règlement (UE) n° 305/2011 du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 2011 établissant des conditions harmonisées de commercialisation pour les produits de construction et abrogeant la directive 89/106/ CEE du Conseil, compétents dans le domaine des produits d'assainissement et désignés par arrêté des ministres chargés de l'environnement et de la santé. Les ministres chargés de l'environnement et de la santé peuvent, dans des conditions précisées par décret, demander à l'organisme notifié de procéder à une nouvelle évaluation d'une demande d'agrément que celui-ci a instruite.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-8
LEGIARTI000046783826
LEGIARTI000006390353
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au VII de l'article 63 de la loi n° 2021-1104, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2023 pour les territoires non concernés par le décret prévu au IV.
6.0
536,870,911
null
null
null
Article
<p>I. – Les communes sont compétentes en matière d'assainissement des eaux usées.</p><p>Dans ce cadre, elles établissent un schéma d'assainissement collectif comprenant, avant la fin de l'année 2013, un descriptif détaillé des ouvrages de collecte et de transport des eaux usées. Ce descriptif est mis à jour selon une périodicité fixée par décret afin de prendre en compte les travaux réalisés sur ces ouvrages.</p><p>II. – Les communes assurent le contrôle des raccordements au réseau public de collecte, la collecte, le transport et l'épuration des eaux usées, ainsi que l'élimination des boues produites. Elles peuvent également, à la demande des propriétaires, assurer les travaux de mise en conformité des ouvrages visés à l'article L. 1331-4 du code de la santé publique, depuis le bas des colonnes descendantes des constructions jusqu'à la partie publique du branchement, et les travaux de suppression ou d'obturation des fosses et autres installations de même nature à l'occasion du raccordement de l'immeuble.</p><p>Le contrôle du raccordement est notamment réalisé pour tout nouveau raccordement d'un immeuble au réseau public de collecte des eaux usées conformément au premier alinéa de l'article L. 1331-1 du même code et lorsque les conditions de raccordement sont modifiées. A l'issue du contrôle de raccordement au réseau public, la commune établit et transmet au propriétaire de l'immeuble ou, en cas de copropriété, au syndicat des copropriétaires un document décrivant le contrôle réalisé et évaluant la conformité du raccordement au regard des prescriptions réglementaires. La durée de validité de ce document est de dix ans. Le contrôle effectué à la demande du propriétaire de l'immeuble ou du syndicat des copropriétaires est réalisé aux frais de ce dernier et la commune lui transmet ce document dans un délai fixé par décret en Conseil d'Etat.</p><p>L'étendue des prestations afférentes aux services d'assainissement municipaux et les délais dans lesquels ces prestations doivent être effectivement assurées sont fixés par décret en Conseil d'Etat, en fonction des caractéristiques des communes et notamment de l'importance des populations totales agglomérées et saisonnières.</p><p>III. – Pour les immeubles non raccordés au réseau public de collecte, la commune assure le contrôle des installations d'assainissement non collectif. Cette mission consiste :</p><p>1° Dans le cas des installations neuves ou à réhabiliter, en un examen préalable de la conception joint, s'il y a lieu, à tout dépôt de demande de permis de construire ou d'aménager et en une vérification de l'exécution. A l'issue du contrôle, la commune établit un document qui évalue la conformité de l'installation au regard des prescriptions réglementaires ;</p><p>2° Dans le cas des autres installations, en une vérification du fonctionnement et de l'entretien. A l'issue du contrôle, la commune établit un document précisant les travaux à réaliser pour éliminer les dangers pour la santé des personnes et les risques avérés de pollution de l'environnement.</p><p>Les modalités d'exécution de la mission de contrôle, les critères d'évaluation de la conformité, les critères d'évaluation des dangers pour la santé et des risques de pollution de l'environnement, ainsi que le contenu du document remis au propriétaire à l'issue du contrôle sont définis par un arrêté des ministres chargés de l'intérieur, de la santé, de l'environnement et du logement.</p><p>Les communes déterminent la date à laquelle elles procèdent au contrôle des installations d'assainissement non collectif ; elles effectuent ce contrôle au plus tard le 31 décembre 2012, puis selon une périodicité qui ne peut pas excéder dix ans.</p><p>Elles peuvent assurer, avec l'accord écrit du propriétaire, l'entretien, les travaux de réalisation et les travaux de réhabilitation des installations d'assainissement non collectif prescrits dans le document de contrôle. Elles peuvent en outre assurer le traitement des matières de vidanges issues des installations d'assainissement non collectif.</p><p>Elles peuvent fixer des prescriptions techniques, notamment pour l'étude des sols ou le choix de la filière, en vue de l'implantation ou de la réhabilitation de tout ou partie d'une installation d'assainissement non collectif.</p><p>Les installations d'assainissement non collectif recevant des eaux usées domestiques ou assimilées au sens de l'article L. 214-2 du code de l'environnement et n'entrant pas dans la catégorie des installations avec traitement par le sol font l'objet d'un agrément délivré par un ou plusieurs organismes, notifiés par l'Etat à la Commission européenne au titre du règlement (UE) n° 305/2011 du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 2011 établissant des conditions harmonisées de commercialisation pour les produits de construction et abrogeant la directive 89/106/ CEE du Conseil, compétents dans le domaine des produits d'assainissement et désignés par arrêté des ministres chargés de l'environnement et de la santé.</p><p>Les ministres chargés de l'environnement et de la santé peuvent, dans des conditions précisées par décret, demander à l'organisme notifié de procéder à une nouvelle évaluation d'une demande d'agrément que celui-ci a instruite.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000044192365
MD-20240722_185133_796_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000046783826
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782163
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Paragraphe 3 : Dispositions relatives à l'assainissement
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LEGISCTA000046782163
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 3 : Dispositions relatives à l'assainissement
<p>Conformément au VII de l'article 63 de la loi n° 2021-1104, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2023 pour les territoires non concernés par le décret prévu au IV.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-9
Code général des collectivités territoriales
I. - Tout prélèvement, puits ou forage réalisé à des fins d'usage domestique de l'eau fait l'objet d'une déclaration auprès du maire de la commune concernée. Les entreprises doivent tenir un registre des forages d'eau qu'elles réalisent, quel qu'en soit l'usage, et doivent les déclarer pour le compte de leur client au maire de la commune concernée dans les trois mois suivant leur réalisation. Les informations relatives à cette déclaration sont tenues à disposition du représentant de l'Etat dans le département, du directeur général de l'agence régionale de santé et des agents des services publics d'eau potable et d'assainissement. Les prestations de travaux de création de puits ou de forage à des fins d'usage domestique de l'eau mentionnés au premier alinéa et les prestations de travaux de remise en état exécutées lors de l'arrêt des travaux d'exploitation sont conformes aux exigences techniques d'une certification délivrée dans des conditions prévues par décret en Conseil d'Etat. Sans préjudice des poursuites pénales qui peuvent être exercées, lorsque des prestations de travaux de forage sont réalisées sans disposer de la certification délivrée en application du présent article, l'autorité administrative compétente peut, dans les cas et les conditions fixés par décret en Conseil d'Etat et sans avoir procédé préalablement à une mise en demeure, ordonner le paiement d'une amende administrative. Cette amende administrative est au plus égale à 15 000 € par ouvrage. II. - Tout dispositif d'utilisation, à des fins domestiques, d'eau de pluie à l'intérieur d'un bâtiment alimenté par un réseau, public ou privé, d'eau destinée à la consommation humaine doit préalablement faire l'objet d'une déclaration auprès du maire de la commune concernée. Les informations relatives à cette déclaration sont tenues à disposition du représentant de l'Etat dans le département et transmises aux agents des services publics d'eau potable et de la collecte des eaux usées. La possibilité d'utiliser de l'eau de pluie pour l'alimentation des toilettes, le lavage des sols et le lavage du linge dans les bâtiments d'habitation ou assimilés est étendue aux établissements recevant du public. Cette utilisation fait l'objet d'une déclaration préalable au maire de la commune concernée. III. - Un décret en Conseil d'Etat définit les modalités d'application du présent article.
1,678,579,200,000
32,472,144,000,000
L2224-9
LEGIARTI000047303736
LEGIARTI000006390355
AUTONOME
VIGUEUR
6.0
1,073,741,822
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null
null
Article
<p>I. - Tout prélèvement, puits ou forage réalisé à des fins d'usage domestique de l'eau fait l'objet d'une déclaration auprès du maire de la commune concernée. Les entreprises doivent tenir un registre des forages d'eau qu'elles réalisent, quel qu'en soit l'usage, et doivent les déclarer pour le compte de leur client au maire de la commune concernée dans les trois mois suivant leur réalisation. Les informations relatives à cette déclaration sont tenues à disposition du représentant de l'Etat dans le département, du directeur général de l'agence régionale de santé et des agents des services publics d'eau potable et d'assainissement.</p><p>Les prestations de travaux de création de puits ou de forage à des fins d'usage domestique de l'eau mentionnés au premier alinéa et les prestations de travaux de remise en état exécutées lors de l'arrêt des travaux d'exploitation sont conformes aux exigences techniques d'une certification délivrée dans des conditions prévues par décret en Conseil d'Etat.</p><p>Sans préjudice des poursuites pénales qui peuvent être exercées, lorsque des prestations de travaux de forage sont réalisées sans disposer de la certification délivrée en application du présent article, l'autorité administrative compétente peut, dans les cas et les conditions fixés par décret en Conseil d'Etat et sans avoir procédé préalablement à une mise en demeure, ordonner le paiement d'une amende administrative. Cette amende administrative est au plus égale à 15 000 € par ouvrage.</p><p>II. - Tout dispositif d'utilisation, à des fins domestiques, d'eau de pluie à l'intérieur d'un bâtiment alimenté par un réseau, public ou privé, d'eau destinée à la consommation humaine doit préalablement faire l'objet d'une déclaration auprès du maire de la commune concernée. Les informations relatives à cette déclaration sont tenues à disposition du représentant de l'Etat dans le département et transmises aux agents des services publics d'eau potable et de la collecte des eaux usées.</p><p>La possibilité d'utiliser de l'eau de pluie pour l'alimentation des toilettes, le lavage des sols et le lavage du linge dans les bâtiments d'habitation ou assimilés est étendue aux établissements recevant du public. Cette utilisation fait l'objet d'une déclaration préalable au maire de la commune concernée.</p><p>III. - Un décret en Conseil d'Etat définit les modalités d'application du présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000046783823
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047303736
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782163
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Paragraphe 3 : Dispositions relatives à l'assainissement
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LEGISCTA000046782163
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 3 : Dispositions relatives à l'assainissement
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-10
Code général des collectivités territoriales
Les communes ou leurs établissements publics de coopération délimitent, après enquête publique réalisée conformément au chapitre III du titre II du livre Ier du code de l'environnement : 1° Les zones d'assainissement collectif où elles sont tenues d'assurer la collecte des eaux usées domestiques et le stockage, l'épuration et le rejet ou la réutilisation de l'ensemble des eaux collectées ; 2° Les zones relevant de l'assainissement non collectif où elles sont tenues d'assurer le contrôle de ces installations et, si elles le décident, le traitement des matières de vidange et, à la demande des propriétaires, l'entretien et les travaux de réalisation et de réhabilitation des installations d'assainissement non collectif ; 3° Les zones où des mesures doivent être prises pour limiter l'imperméabilisation des sols et pour assurer la maîtrise du débit et de l'écoulement des eaux pluviales et de ruissellement ; 4° Les zones où il est nécessaire de prévoir des installations pour assurer la collecte, le stockage éventuel et, en tant que de besoin, le traitement des eaux pluviales et de ruissellement lorsque la pollution qu'elles apportent au milieu aquatique risque de nuire gravement à l'efficacité des dispositifs d'assainissement.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-10
LEGIARTI000046783819
LEGIARTI000006390357
AUTONOME
VIGUEUR
Ces dispositions s'appliquent aux projets, plans, programmes ou autres documents de planification pour lesquels l'arrêté d'ouverture et d'organisation de l'enquête publique est publié à compter du premier jour du sixième mois après la publication du décret en Conseil d'Etat prévu à l'article L. 123-19 du code de l'environnement.
3.0
1,610,612,733
null
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null
Article
<p></p>Les communes ou leurs établissements publics de coopération délimitent, après enquête publique réalisée conformément au chapitre III du titre II du livre Ier du code de l'environnement : <p></p><p></p>1° Les zones d'assainissement collectif où elles sont tenues d'assurer la collecte des eaux usées domestiques et le stockage, l'épuration et le rejet ou la réutilisation de l'ensemble des eaux collectées ; <p></p><p></p>2° Les zones relevant de l'assainissement non collectif où elles sont tenues d'assurer le contrôle de ces installations et, si elles le décident, le traitement des matières de vidange et, à la demande des propriétaires, l'entretien et les travaux de réalisation et de réhabilitation des installations d'assainissement non collectif ; <p></p><p></p>3° Les zones où des mesures doivent être prises pour limiter l'imperméabilisation des sols et pour assurer la maîtrise du débit et de l'écoulement des eaux pluviales et de ruissellement ; <p></p><p></p>4° Les zones où il est nécessaire de prévoir des installations pour assurer la collecte, le stockage éventuel et, en tant que de besoin, le traitement des eaux pluviales et de ruissellement lorsque la pollution qu'elles apportent au milieu aquatique risque de nuire gravement à l'efficacité des dispositifs d'assainissement.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022483286
MD-20240722_185133_796_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000046783819
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782163
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Paragraphe 3 : Dispositions relatives à l'assainissement
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LEGISCTA000046782163
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 3 : Dispositions relatives à l'assainissement
<p>Ces dispositions s'appliquent aux projets, plans, programmes ou autres documents de planification pour lesquels l'arrêté d'ouverture et d'organisation de l'enquête publique est publié à compter du premier jour du sixième mois après la publication du décret en Conseil d'Etat prévu à l'article L. 123-19 du code de l'environnement.<br clear='none'/><br clear='none'/></p>
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-11
Code général des collectivités territoriales
Les services publics d'eau et d'assainissement sont financièrement gérés comme des services à caractère industriel et commercial.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-11
LEGIARTI000046783813
LEGIARTI000006390359
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
306,783,378
null
null
null
Article
<p></p> Les services publics d'eau et d'assainissement sont financièrement gérés comme des services à caractère industriel et commercial.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390360
IG-20231128
null
LEGIARTI000046783813
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782165
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Paragraphe 4 : Dispositions communes
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LEGISCTA000046782165
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 4 : Dispositions communes
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-11-1
Code général des collectivités territoriales
La section d'investissement du budget de la commune peut être votée en excédent afin de permettre les travaux d'extension ou d'amélioration des services prévus par le conseil municipal dans le cadre d'une programmation pluriannuelle.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-11-1
LEGIARTI000046783808
LEGIARTI000006390366
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
613,566,756
null
null
null
Article
<p></p> La section d'investissement du budget de la commune peut être votée en excédent afin de permettre les travaux d'extension ou d'amélioration des services prévus par le conseil municipal dans le cadre d'une programmation pluriannuelle.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390366
IG-20231124
null
LEGIARTI000046783808
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782165
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Paragraphe 4 : Dispositions communes
null
null
LEGISCTA000046782165
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 4 : Dispositions communes
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-11-2
Code général des collectivités territoriales
Le régime des redevances susceptibles d'être perçues par les communes, les départements ou les régions en raison de l'occupation de leur domaine public par des ouvrages de distribution d'eau et d'assainissement est fixé par décret en Conseil d'Etat.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-11-2
LEGIARTI000046783803
LEGIARTI000006390367
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
920,350,134
null
null
null
Article
<p></p> Le régime des redevances susceptibles d'être perçues par les communes, les départements ou les régions en raison de l'occupation de leur domaine public par des ouvrages de distribution d'eau et d'assainissement est fixé par décret en Conseil d'Etat.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390367
IG-20231128
null
LEGIARTI000046783803
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000046782165
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Paragraphe 4 : Dispositions communes
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null
LEGISCTA000046782165
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 4 : Dispositions communes
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-11-3
Code général des collectivités territoriales
Lorsque le contrat de délégation d'un service public d'eau ou d'assainissement met à la charge du délégataire des renouvellements et des grosses réparations à caractère patrimonial, un programme prévisionnel de travaux lui est annexé. Ce programme comporte une estimation des dépenses. Le délégataire rend compte chaque année de son exécution dans le rapport prévu à l'article L. 1411-3 .
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-11-3
LEGIARTI000046783795
LEGIARTI000006390368
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,227,133,512
null
null
null
Article
<p></p>Lorsque le contrat de délégation d'un service public d'eau ou d'assainissement met à la charge du délégataire des renouvellements et des grosses réparations à caractère patrimonial, un programme prévisionnel de travaux lui est annexé. Ce programme comporte une estimation des dépenses. Le délégataire rend compte chaque année de son exécution dans le rapport prévu à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389215&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1411-3</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390368
IG-20231124
null
LEGIARTI000046783795
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000046782165
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Paragraphe 4 : Dispositions communes
null
null
LEGISCTA000046782165
null
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 4 : Dispositions communes
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-11-4
Code général des collectivités territoriales
Le contrat de délégation de service public d'eau ou d'assainissement impose au délégataire, d'une part, l'établissement en fin de contrat d'un inventaire détaillé du patrimoine du délégant, d'autre part, sans préjudice des autres sanctions prévues au contrat, le versement au budget de l'eau potable ou de l'assainissement du délégant d'une somme correspondant au montant des travaux stipulés au programme prévisionnel mentionné à l'article L. 2224-11-3 et non exécutés. Le fichier des abonnés, constitué des données à caractère personnel pour la facturation de l'eau et de l'assainissement, ainsi que les caractéristiques des compteurs et les plans des réseaux mis à jour sont remis par le délégataire au délégant au moins six mois avant l'échéance du contrat ou, pour les contrats arrivant à échéance dans les six mois suivant la date de promulgation de la loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l'environnement, à la date d'expiration du contrat et au plus tard dans un délai de six mois à compter de cette date de promulgation. Un décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, définit les modalités d'application du présent alinéa, en fixant notamment les modalités de transmission des données à caractère personnel au délégant, de traitement et de conservation de ces données par celui-ci, et de transmission de ces données au service chargé de la facturation.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-11-4
LEGIARTI000046783788
LEGIARTI000006390369
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,533,916,890
null
null
null
Article
<p>Le contrat de délégation de service public d'eau ou d'assainissement impose au délégataire, d'une part, l'établissement en fin de contrat d'un inventaire détaillé du patrimoine du délégant, d'autre part, sans préjudice des autres sanctions prévues au contrat, le versement au budget de l'eau potable ou de l'assainissement du délégant d'une somme correspondant au montant des travaux stipulés au programme prévisionnel mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000046783795&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2224-11-3 (V)'>L. 2224-11-3 </a>et non exécutés.</p><p> Le fichier des abonnés, constitué des données à caractère personnel pour la facturation de l'eau et de l'assainissement, ainsi que les caractéristiques des compteurs et les plans des réseaux mis à jour sont remis par le délégataire au délégant au moins six mois avant l'échéance du contrat ou, pour les contrats arrivant à échéance dans les six mois suivant la date de promulgation de la loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l'environnement, à la date d'expiration du contrat et au plus tard dans un délai de six mois à compter de cette date de promulgation. Un décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, définit les modalités d'application du présent alinéa, en fixant notamment les modalités de transmission des données à caractère personnel au délégant, de traitement et de conservation de ces données par celui-ci, et de transmission de ces données au service chargé de la facturation. </p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022494729
IG-20231124
null
LEGIARTI000046783788
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000046782165
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Paragraphe 4 : Dispositions communes
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LEGISCTA000046782165
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 4 : Dispositions communes
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-11-6
Code général des collectivités territoriales
Les communes et leurs établissements publics de coopération exerçant la compétence en matière d'eau potable ou d'assainissement peuvent également assurer, accessoirement à cette compétence, dans le cadre d'une même opération et en complément à la réalisation de travaux relatifs aux réseaux de distribution d'eau potable ou d'assainissement collectif, la maîtrise d'ouvrage et l'entretien d'infrastructures de génie civil destinées au passage de réseaux de communications électroniques, incluant les fourreaux et les chambres de tirage, sous réserve, lorsque les compétences mentionnées à l'article L. 1425-1 sont exercées par une autre collectivité territoriale ou un autre établissement public de coopération, de la passation avec cette collectivité ou cet établissement d'une convention déterminant les zones dans lesquelles ces ouvrages pourront être réalisés. La pose de câbles dans lesdites infrastructures par une collectivité territoriale ou un établissement public de coopération exerçant les attributions définies à l'article L. 1425-1, ou par un opérateur de communications électroniques, est subordonnée à la perception, par l'autorité organisatrice du service d'eau potable ou d'assainissement concernée, de loyers, de participations ou de subventions. Cette autorité organisatrice ouvre un budget annexe permettant de constater le respect du principe d'équilibre prévu à l'article L. 2224-1 . L'intervention des collectivités territoriales et de leurs établissements publics de coopération garantit l'utilisation partagée des infrastructures établies ou acquises en application du présent article et respecte le principe d'égalité et de libre concurrence sur les marchés des communications électroniques. Les interventions des collectivités et de leurs établissements publics de coopération s'effectuent dans des conditions objectives, transparentes, non discriminatoires et proportionnées. Les communes et leurs établissements publics de coopération exerçant la compétence de distribution d'eau potable ou d'assainissement, maîtres d'ouvrage des infrastructures de génie civil susmentionnées, bénéficient pour la réalisation d'éléments nécessaires au passage de réseaux souterrains de communication des dispositions prévues aux deuxième et troisième alinéas de l'article L. 332-11-1 du code de l'urbanisme dans sa rédaction antérieure à la loi n° 2014-1655 du 29 décembre 2014 de finances rectificative pour 2014.
1,671,840,000,000
32,472,144,000,000
L2224-11-6
LEGIARTI000046783779
LEGIARTI000019297372
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,840,700,268
null
null
null
Article
<p>Les communes et leurs établissements publics de coopération exerçant la compétence en matière d'eau potable ou d'assainissement peuvent également assurer, accessoirement à cette compétence, dans le cadre d'une même opération et en complément à la réalisation de travaux relatifs aux réseaux de distribution d'eau potable ou d'assainissement collectif, la maîtrise d'ouvrage et l'entretien d'infrastructures de génie civil destinées au passage de réseaux de communications électroniques, incluant les fourreaux et les chambres de tirage, sous réserve, lorsque les compétences mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389450&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1425-1 </a>sont exercées par une autre collectivité territoriale ou un autre établissement public de coopération, de la passation avec cette collectivité ou cet établissement d'une convention déterminant les zones dans lesquelles ces ouvrages pourront être réalisés. </p><p>La pose de câbles dans lesdites infrastructures par une collectivité territoriale ou un établissement public de coopération exerçant les attributions définies à l'article L. 1425-1, ou par un opérateur de communications électroniques, est subordonnée à la perception, par l'autorité organisatrice du service d'eau potable ou d'assainissement concernée, de loyers, de participations ou de subventions. Cette autorité organisatrice ouvre un budget annexe permettant de constater le respect du principe d'équilibre prévu à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390339&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-1</a>.</p><p>L'intervention des collectivités territoriales et de leurs établissements publics de coopération garantit l'utilisation partagée des infrastructures établies ou acquises en application du présent article et respecte le principe d'égalité et de libre concurrence sur les marchés des communications électroniques. Les interventions des collectivités et de leurs établissements publics de coopération s'effectuent dans des conditions objectives, transparentes, non discriminatoires et proportionnées. </p><p>Les communes et leurs établissements publics de coopération exerçant la compétence de distribution d'eau potable ou d'assainissement, maîtres d'ouvrage des infrastructures de génie civil susmentionnées, bénéficient pour la réalisation d'éléments nécessaires au passage de réseaux souterrains de communication des dispositions prévues aux deuxième et troisième alinéas de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074075&idArticle=LEGIARTI000006815364&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 332-11-1 du code de l'urbanisme</a> dans sa rédaction antérieure à la loi n° 2014-1655 du 29 décembre 2014 de finances rectificative pour 2014. </p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000030060913
IG-20231128
null
LEGIARTI000046783779
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000046782165
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Paragraphe 4 : Dispositions communes
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LEGISCTA000046782165
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 1 : Dispositions générales. &gt; Paragraphe 4 : Dispositions communes
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-12
Code général des collectivités territoriales
Les communes et les groupements de collectivités territoriales, après avis de la commission consultative des services publics locaux, établissent, pour chaque service d'eau ou d'assainissement dont ils sont responsables, un règlement de service définissant, en fonction des conditions locales, les prestations assurées par le service ainsi que les obligations respectives de l'exploitant, des abonnés, des usagers et des propriétaires. L'exploitant remet à chaque abonné le règlement de service ou le lui adresse par courrier postal ou électronique. Le paiement de la première facture suivant la diffusion du règlement de service ou de sa mise à jour vaut accusé de réception par l'abonné. Le règlement est tenu à la disposition des usagers. L'exploitant rend compte au maire ou au président du groupement de collectivités territoriales des modalités et de l'effectivité de la diffusion du règlement de service. En cas d'utilisation d'une autre ressource en eau par l'abonné, le règlement de service prévoit la possibilité pour les agents du service d'eau potable d'accéder aux propriétés privées pour procéder au contrôle des installations intérieures de distribution d'eau potable et des ouvrages de prélèvement, puits et forages. Les frais de contrôle sont mis à la charge de l'abonné. En cas de risque de contamination de l'eau provenant du réseau public de distribution par des eaux provenant d'une autre source, le service enjoint à l'abonné de mettre en oeuvre les mesures de protection nécessaires. En l'absence de mise en oeuvre de ces mesures, le service peut procéder à la fermeture du branchement d'eau. Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités d'accès aux propriétés privées et de contrôle des installations prévues par le présent article. Les usagers des services d'eau potable peuvent présenter à tout moment une demande de résiliation de leur contrat d'abonnement. Ce contrat prend fin dans les conditions fixées par le règlement de chaque service, dans un délai qui ne peut excéder quinze jours à compter de la date de présentation de la demande.
1,167,523,200,000
32,472,144,000,000
L2224-12
LEGIARTI000006390363
LEGIARTI000006390361
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
42,949
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null
null
Article
<p></p> Les communes et les groupements de collectivités territoriales, après avis de la commission consultative des services publics locaux, établissent, pour chaque service d'eau ou d'assainissement dont ils sont responsables, un règlement de service définissant, en fonction des conditions locales, les prestations assurées par le service ainsi que les obligations respectives de l'exploitant, des abonnés, des usagers et des propriétaires.<p></p><p></p> L'exploitant remet à chaque abonné le règlement de service ou le lui adresse par courrier postal ou électronique. Le paiement de la première facture suivant la diffusion du règlement de service ou de sa mise à jour vaut accusé de réception par l'abonné. Le règlement est tenu à la disposition des usagers.<p></p><p></p> L'exploitant rend compte au maire ou au président du groupement de collectivités territoriales des modalités et de l'effectivité de la diffusion du règlement de service.<p></p><p></p> En cas d'utilisation d'une autre ressource en eau par l'abonné, le règlement de service prévoit la possibilité pour les agents du service d'eau potable d'accéder aux propriétés privées pour procéder au contrôle des installations intérieures de distribution d'eau potable et des ouvrages de prélèvement, puits et forages. Les frais de contrôle sont mis à la charge de l'abonné. En cas de risque de contamination de l'eau provenant du réseau public de distribution par des eaux provenant d'une autre source, le service enjoint à l'abonné de mettre en oeuvre les mesures de protection nécessaires. En l'absence de mise en oeuvre de ces mesures, le service peut procéder à la fermeture du branchement d'eau. Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités d'accès aux propriétés privées et de contrôle des installations prévues par le présent article.<p></p><p></p> Les usagers des services d'eau potable peuvent présenter à tout moment une demande de résiliation de leur contrat d'abonnement. Ce contrat prend fin dans les conditions fixées par le règlement de chaque service, dans un délai qui ne peut excéder quinze jours à compter de la date de présentation de la demande.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390362
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390363
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192275
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Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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LEGISCTA000006192275
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-12-1
Code général des collectivités territoriales
Toute fourniture d'eau potable, quel qu'en soit le bénéficiaire, fait l'objet d'une facturation au tarif applicable à la catégorie d'usagers correspondante, les ménages, occupants d'immeubles à usage principal d'habitation, pouvant constituer une catégorie d'usagers. Les collectivités mentionnées à l'article L. 2224-12 sont tenues de mettre fin, avant le 1er janvier 2008, à toute disposition ou stipulation contraire. Le présent article n'est pas applicable aux consommations d'eau des bouches et poteaux d'incendie placés sur le domaine public.
1,366,156,800,000
32,472,144,000,000
L2224-12-1
LEGIARTI000027319802
LEGIARTI000006390371
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Toute fourniture d'eau potable, quel qu'en soit le bénéficiaire, fait l'objet d'une facturation au tarif applicable à la catégorie d'usagers correspondante, les ménages, occupants d'immeubles à usage principal d'habitation, pouvant constituer une catégorie d'usagers. Les collectivités mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390361&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-12</a> sont tenues de mettre fin, avant le 1er janvier 2008, à toute disposition ou stipulation contraire. Le présent article n'est pas applicable aux consommations d'eau des bouches et poteaux d'incendie placés sur le domaine public.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390371
MD-20240710_193919_286_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000027319802
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192275
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Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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LEGISCTA000006192275
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-12-1-1
Code général des collectivités territoriales
Les services publics d'eau et d'assainissement sont autorisés à mettre en œuvre des mesures sociales visant à rendre effectif le droit d'accéder à l'eau potable et à l'assainissement dans des conditions économiquement acceptables par tous, tel que prévu à l'article L. 210-1 du code de l'environnement. Ces mesures peuvent inclure la définition de tarifs tenant compte de la composition ou des revenus du foyer, l'attribution d'une aide au paiement des factures d'eau, une aide à l'accès à l'eau ou un accompagnement et des mesures favorisant les économies d'eau. Ces mesures peuvent également inclure la définition de tarifs incitatifs définis en fonction de la quantité d'eau consommée. La part incitative s'ajoute à une part fixe déterminée selon les modalités de tarification classique. Par dérogation au premier alinéa de l'article L. 2224-2 du présent code, les communes et leurs groupements mettant en œuvre ces mesures peuvent contribuer à leur financement en prenant en charge dans leur budget propre tout ou partie du montant des dépenses prévues à cet effet par les services publics d'eau et d'assainissement, dans la limite de 2 % des montants hors taxes des redevances d'eau ou d'assainissement perçues, y compris les dépenses liées à l'attribution d'une subvention au fonds de solidarité pour le logement prévue à l'article L. 2224-12-3-1. Un versement peut être réalisé à ce titre aux centres communaux ou intercommunaux d'action sociale. Dans le cadre de la définition de tarifs ou de l'attribution d'une aide au paiement des factures d'eau tenant compte des difficultés particulières du foyer, si le bénéficiaire des mesures sociales en faveur de l'accès à l'eau ne reçoit pas directement de facture d'eau à son nom, les bailleurs et syndicats de copropriété établissent une convention pour définir les modalités de perception de l'aide. Les organismes de sécurité sociale et ceux chargés de gérer l'aide au logement et l'aide sociale fournissent aux services chargés de la mise en œuvre de ces mesures les données nécessaires pour identifier les foyers bénéficiaires des mesures sociales visant à rendre effectif le droit d'accéder à l'eau potable et à l'assainissement, la Commission nationale de l'informatique et des libertés étant préalablement consultée en application de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2224-12-1-1
LEGIARTI000039776611
LEGIARTI000039776611
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
107,372
null
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null
Article
<p>Les services publics d'eau et d'assainissement sont autorisés à mettre en œuvre des mesures sociales visant à rendre effectif le droit d'accéder à l'eau potable et à l'assainissement dans des conditions économiquement acceptables par tous, tel que prévu à l'article L. 210-1 du code de l'environnement. Ces mesures peuvent inclure la définition de tarifs tenant compte de la composition ou des revenus du foyer, l'attribution d'une aide au paiement des factures d'eau, une aide à l'accès à l'eau ou un accompagnement et des mesures favorisant les économies d'eau. Ces mesures peuvent également inclure la définition de tarifs incitatifs définis en fonction de la quantité d'eau consommée. La part incitative s'ajoute à une part fixe déterminée selon les modalités de tarification classique.<br/><br/> Par dérogation au premier alinéa de l'article L. 2224-2 du présent code, les communes et leurs groupements mettant en œuvre ces mesures peuvent contribuer à leur financement en prenant en charge dans leur budget propre tout ou partie du montant des dépenses prévues à cet effet par les services publics d'eau et d'assainissement, dans la limite de 2 % des montants hors taxes des redevances d'eau ou d'assainissement perçues, y compris les dépenses liées à l'attribution d'une subvention au fonds de solidarité pour le logement prévue à l'article L. 2224-12-3-1. Un versement peut être réalisé à ce titre aux centres communaux ou intercommunaux d'action sociale.<br/><br/> Dans le cadre de la définition de tarifs ou de l'attribution d'une aide au paiement des factures d'eau tenant compte des difficultés particulières du foyer, si le bénéficiaire des mesures sociales en faveur de l'accès à l'eau ne reçoit pas directement de facture d'eau à son nom, les bailleurs et syndicats de copropriété établissent une convention pour définir les modalités de perception de l'aide.<br/><br/> Les organismes de sécurité sociale et ceux chargés de gérer l'aide au logement et l'aide sociale fournissent aux services chargés de la mise en œuvre de ces mesures les données nécessaires pour identifier les foyers bénéficiaires des mesures sociales visant à rendre effectif le droit d'accéder à l'eau potable et à l'assainissement, la Commission nationale de l'informatique et des libertés étant préalablement consultée en application de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000039776611
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192275
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Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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LEGISCTA000006192275
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-12-2
Code général des collectivités territoriales
Dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, les règles relatives aux redevances d'eau potable et d'assainissement et aux sommes prévues par les articles L. 1331-1 à L. 1331-10 du code de la santé publique sont établies par délibération du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales. Lorsque les communes prennent en charge les travaux mentionnés à la deuxième phrase du premier alinéa du II et à la première phrase du sixième alinéa du III de l'article L. 2224-8 , elles se font rembourser intégralement par les propriétaires les frais de toute nature entraînés par ces travaux, y compris les frais de gestion, diminués des subventions éventuellement obtenues. L'interdiction prévue au premier alinéa de l'article L. 511-5 du code monétaire et financier ne fait pas obstacle à ce que les communes puissent échelonner les remboursements dus par les propriétaires en vertu du précédent alinéa. Ces sommes sont perçues au profit du budget du service d'assainissement et recouvrées comme les redevances dues par les usagers du service d'assainissement.
1,279,065,600,000
32,472,144,000,000
L2224-12-2
LEGIARTI000022495934
LEGIARTI000006390373
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, les règles relatives aux redevances d'eau potable et d'assainissement et aux sommes prévues par les articles L. 1331-1 à L. 1331-10 du code de la santé publique sont établies par délibération du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales. </p><p>Lorsque les communes prennent en charge les travaux mentionnés à la deuxième phrase du premier alinéa du II et à la première phrase du sixième alinéa du III de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390353&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-8</a>, elles se font rembourser intégralement par les propriétaires les frais de toute nature entraînés par ces travaux, y compris les frais de gestion, diminués des subventions éventuellement obtenues. </p><p>L'interdiction prévue au premier alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072026&idArticle=LEGIARTI000006654299&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 511-5 </a>du code monétaire et financier ne fait pas obstacle à ce que les communes puissent échelonner les remboursements dus par les propriétaires en vertu du précédent alinéa. </p><p>Ces sommes sont perçues au profit du budget du service d'assainissement et recouvrées comme les redevances dues par les usagers du service d'assainissement.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390373
MD-20240711_194307_042_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000022495934
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192275
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Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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LEGISCTA000006192275
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-12-2-1
Code général des collectivités territoriales
Aucuns frais liés au rejet de paiement ne peuvent être imputés par les services d'eau potable et d'assainissement aux personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels qui ont obtenu, pour la facture ayant généré des frais de rejet de paiement par la banque ou dans les douze mois précédant la date limite de paiement de ladite facture, une aide accordée pour le paiement de la fourniture d'eau par le Fonds de solidarité pour le logement ou le centre communal d'action sociale ou qui bénéficient, le cas échéant, d'un tarif social mis en place par le service public d'eau potable ou d'assainissement. Les modalités de mise en œuvre du présent article sont précisées par arrêté conjoint des ministres chargés de la consommation et des affaires sociales.
1,395,187,200,000
32,472,144,000,000
L2224-12-2-1
LEGIARTI000028742200
LEGIARTI000028742195
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
150,321
null
null
null
Article
<p>Aucuns frais liés au rejet de paiement ne peuvent être imputés par les services d'eau potable et d'assainissement aux personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels qui ont obtenu, pour la facture ayant généré des frais de rejet de paiement par la banque ou dans les douze mois précédant la date limite de paiement de ladite facture, une aide accordée pour le paiement de la fourniture d'eau par le Fonds de solidarité pour le logement ou le centre communal d'action sociale ou qui bénéficient, le cas échéant, d'un tarif social mis en place par le service public d'eau potable ou d'assainissement. Les modalités de mise en œuvre du présent article sont précisées par arrêté conjoint des ministres chargés de la consommation et des affaires sociales. </p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000028742200
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192275
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Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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LEGISCTA000006192275
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-12-3
Code général des collectivités territoriales
Les redevances d'eau potable et d'assainissement couvrent les charges consécutives aux investissements, au fonctionnement et aux renouvellements nécessaires à la fourniture des services, ainsi que les charges et les impositions de toute nature afférentes à leur exécution. Pour les abonnés domestiques, les demandes de caution ou de versement d'un dépôt de garantie sont interdites. Le remboursement des sommes perçues au titre des dépôts de garantie intervient dans un délai maximum fixé à trois ans à compter de la promulgation de la loi n° 2006-1772 du 30 décembre 2006 sur l'eau et les milieux aquatiques.
1,167,523,200,000
1,735,689,600,000
L2224-12-3
LEGIARTI000006390374
LEGIARTI000006390374
AUTONOME
ABROGE_DIFF
1.0
171,796
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null
null
Article
<p></p>Les redevances d'eau potable et d'assainissement couvrent les charges consécutives aux investissements, au fonctionnement et aux renouvellements nécessaires à la fourniture des services, ainsi que les charges et les impositions de toute nature afférentes à leur exécution. <p></p><p></p>Pour les abonnés domestiques, les demandes de caution ou de versement d'un dépôt de garantie sont interdites. Le remboursement des sommes perçues au titre des dépôts de garantie intervient dans un délai maximum fixé à trois ans à compter de la promulgation de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000649171&categorieLien=cid' title='Loi n°2006-1772 du 30 décembre 2006 (V)'>loi n° 2006-1772 du 30 décembre 2006</a> sur l'eau et les milieux aquatiques.<p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240711_194307_042_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006390374
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192275
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Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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LEGISCTA000006192275
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-12-3-1
Code général des collectivités territoriales
Les services publics d'eau et d'assainissement peuvent attribuer une subvention au fonds de solidarité pour le logement afin de contribuer au financement des aides relatives au paiement des fournitures d'eau ou des charges collectives afférentes mentionnées à l'article 6 de la loi n° 90-449 du 31 mai 1990 visant à la mise en œuvre du droit au logement. Une convention passée avec le gestionnaire du fonds de solidarité pour le logement détermine les règles de calcul ainsi que les modalités d'attribution et de versement de cette subvention, dont le montant ne peut excéder 2 % des montants hors taxes des redevances d'eau ou d'assainissement perçues.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2224-12-3-1
LEGIARTI000041410398
LEGIARTI000023557792
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
193,270
null
null
null
Article
<p>Les services publics d'eau et d'assainissement peuvent attribuer une subvention au fonds de solidarité pour le logement afin de contribuer au financement des aides relatives au paiement des fournitures d'eau ou des charges collectives afférentes mentionnées à l'article <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000159413&idArticle=LEGIARTI000006351274&dateTexte=&categorieLien=cid'>6 de la loi n° 90-449 du 31 mai 1990</a> visant à la mise en œuvre du droit au logement.</p><p>Une convention passée avec le gestionnaire du fonds de solidarité pour le logement détermine les règles de calcul ainsi que les modalités d'attribution et de versement de cette subvention, dont le montant ne peut excéder 2 % des montants hors taxes des redevances d'eau ou d'assainissement perçues.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000023557854
IG-20231129
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LEGIARTI000041410398
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192275
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Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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LEGISCTA000006192275
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-12-4
Code général des collectivités territoriales
I. – Toute facture d'eau comprend un montant calculé en fonction du volume réellement consommé par l'abonné et peut, en outre, comprendre un montant calculé indépendamment de ce volume en fonction des charges fixes du service et des caractéristiques du branchement, notamment du nombre de logements desservis. Ce montant ne peut excéder un plafond dont les modalités de calcul sont définies par arrêté des ministres chargés de l'intérieur, de l'environnement et de la consommation, après avis du Comité national de l'eau et du Conseil national de la consommation. Le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales modifie, s'il y a lieu, la tarification dans un délai de deux ans suivant la date de publication de cet arrêté. Le présent alinéa n'est pas applicable aux communes touristiques visées à l'article L. 133-11 du code du tourisme. Toutefois, à titre exceptionnel, lorsque la ressource en eau est abondante et qu'un nombre limité d'usagers est raccordé au réseau, le représentant de l'Etat dans le département peut, dans des conditions prévues par décret en Conseil d'Etat, à la demande du maire ou du président du groupement de collectivités territoriales compétent pour assurer la distribution d'eau, autoriser une tarification ne comportant pas de terme proportionnel au volume d'eau consommé. La tarification de l'eau potable aux abonnés domestiques peut tenir compte du caractère indispensable de l'eau potable et de l'assainissement pour les abonnés en situation particulière de vulnérabilité en prévoyant un tarif progressif pouvant inclure une première tranche de consommation gratuite. La progressivité du tarif peut être modulée pour tenir compte des revenus et du nombre de personnes composant le foyer, le prix au mètre cube de la tranche de consommation supérieure ne pouvant toutefois excéder le double du prix moyen au mètre cube pour une consommation de référence fixée par arrêté des ministres chargés de l'environnement et de la consommation. ; II. – Lorsque plus de 30 % de la ressource en eau utilisée pour la distribution fait l'objet de règles de répartition des eaux en application de l'article L. 211-2 du code de l'environnement, le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales procède, dans un délai de deux ans à compter de la date du classement en zone de répartition des eaux, à un réexamen des modalités de tarification en vue d'inciter les usagers à une meilleure utilisation de la ressource. III. – A compter du 1er janvier 2010 et sous réserve du deuxième alinéa du I, le montant de la facture d'eau calculé en fonction du volume réellement consommé peut être établi soit sur la base d'un tarif uniforme au mètre cube, soit sur la base d'un tarif progressif. Cette facture fait apparaître le prix du litre d'eau. Toutefois, un tarif dégressif peut être établi si plus de 70 % du prélèvement d'eau ne fait pas l'objet de règles de répartition des eaux en application de l'article L. 211-2 du code de l'environnement. Le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales modifie, s'il y a lieu, la tarification dans un délai de deux ans à compter du 1er janvier 2008 pour les zones de répartition des eaux créées à cette date et, pour les autres zones, à compter de la date de leur classement en zone de répartition des eaux. Lorsque le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales définit un tarif progressif ou dégressif en fonction des consommations d'eau, il peut définir, pour les immeubles collectifs d'habitation, un barème particulier tenant compte du nombre de logements. Lorsque l'aide au paiement des factures d'eau concerne la distribution d'eau potable et l'assainissement, une convention précisant les modalités de versement de l'aide est passée entre le service assurant la facturation de l'eau, les gestionnaires de services et les collectivités territoriales dont le service perçoit les redevances. III bis. – Dès que le service d'eau potable constate une augmentation anormale du volume d'eau consommé par l'occupant d'un local d'habitation susceptible d'être causée par la fuite d'une canalisation, il en informe sans délai l'abonné. Une augmentation du volume d'eau consommé est anormale si le volume d'eau consommé depuis le dernier relevé excède le double du volume d'eau moyen consommé par l'abonné ou par un ou plusieurs abonnés ayant occupé le local d'habitation pendant une période équivalente au cours des trois années précédentes ou, à défaut, le volume d'eau moyen consommé dans la zone géographique de l'abonné dans des locaux d'habitation de taille et de caractéristiques comparables. L'abonné n'est pas tenu au paiement de la part de la consommation excédant le double de la consommation moyenne s'il présente au service d'eau potable, dans le délai d'un mois à compter de l'information prévue au premier alinéa du présent III bis, une attestation d'une entreprise de plomberie indiquant qu'il a fait procéder à la réparation d'une fuite sur ses canalisations. L'abonné peut demander, dans le même délai d'un mois, au service d'eau potable de vérifier le bon fonctionnement du compteur. L'abonné n'est alors tenu au paiement de la part de la consommation excédant le double de la consommation moyenne qu'à compter de la notification par le service d'eau potable, et après enquête, que cette augmentation n'est pas imputable à un défaut de fonctionnement du compteur. A défaut de l'information mentionnée au premier alinéa du présent III bis, l'abonné n'est pas tenu au paiement de la part de la consommation excédant le double de la consommation moyenne. Les redevances et sommes prévues par le premier alinéa de l'article L. 2224-12-2 sont calculées en tenant compte de la consommation facturée. Un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent III bis. IV. – Dans les communes où l'équilibre entre la ressource et la consommation d'eau est menacé de façon saisonnière, le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales peut définir des tarifs différents selon les périodes de l'année.
1,577,577,600,000
32,472,144,000,000
L2224-12-4
LEGIARTI000041410387
LEGIARTI000006390375
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
214,745
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null
null
Article
<p>I. – Toute facture d'eau comprend un montant calculé en fonction du volume réellement consommé par l'abonné et peut, en outre, comprendre un montant calculé indépendamment de ce volume en fonction des charges fixes du service et des caractéristiques du branchement, notamment du nombre de logements desservis.</p><p>Ce montant ne peut excéder un plafond dont les modalités de calcul sont définies par arrêté des ministres chargés de l'intérieur, de l'environnement et de la consommation, après avis du Comité national de l'eau et du Conseil national de la consommation. Le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales modifie, s'il y a lieu, la tarification dans un délai de deux ans suivant la date de publication de cet arrêté. Le présent alinéa n'est pas applicable aux communes touristiques visées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074073&idArticle=LEGIARTI000006812594&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 133-11 </a>du code du tourisme.</p><p>Toutefois, à titre exceptionnel, lorsque la ressource en eau est abondante et qu'un nombre limité d'usagers est raccordé au réseau, le représentant de l'Etat dans le département peut, dans des conditions prévues par décret en Conseil d'Etat, à la demande du maire ou du président du groupement de collectivités territoriales compétent pour assurer la distribution d'eau, autoriser une tarification ne comportant pas de terme proportionnel au volume d'eau consommé.</p><p>La tarification de l'eau potable aux abonnés domestiques peut tenir compte du caractère indispensable de l'eau potable et de l'assainissement pour les abonnés en situation particulière de vulnérabilité en prévoyant un tarif progressif pouvant inclure une première tranche de consommation gratuite.<br/><br/> La progressivité du tarif peut être modulée pour tenir compte des revenus et du nombre de personnes composant le foyer, le prix au mètre cube de la tranche de consommation supérieure ne pouvant toutefois excéder le double du prix moyen au mètre cube pour une consommation de référence fixée par arrêté des ministres chargés de l'environnement et de la consommation. ;</p><p>II. – Lorsque plus de 30 % de la ressource en eau utilisée pour la distribution fait l'objet de règles de répartition des eaux en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000006832984&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 211-2 </a>du code de l'environnement, le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales procède, dans un délai de deux ans à compter de la date du classement en zone de répartition des eaux, à un réexamen des modalités de tarification en vue d'inciter les usagers à une meilleure utilisation de la ressource.</p><p>III. – A compter du 1er janvier 2010 et sous réserve du deuxième alinéa du I, le montant de la facture d'eau calculé en fonction du volume réellement consommé peut être établi soit sur la base d'un tarif uniforme au mètre cube, soit sur la base d'un tarif progressif. Cette facture fait apparaître le prix du litre d'eau.</p><p>Toutefois, un tarif dégressif peut être établi si plus de 70 % du prélèvement d'eau ne fait pas l'objet de règles de répartition des eaux en application de l'article L. 211-2 du code de l'environnement.</p><p>Le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales modifie, s'il y a lieu, la tarification dans un délai de deux ans à compter du 1er janvier 2008 pour les zones de répartition des eaux créées à cette date et, pour les autres zones, à compter de la date de leur classement en zone de répartition des eaux.</p><p>Lorsque le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales définit un tarif progressif ou dégressif en fonction des consommations d'eau, il peut définir, pour les immeubles collectifs d'habitation, un barème particulier tenant compte du nombre de logements.</p><p>Lorsque l'aide au paiement des factures d'eau concerne la distribution d'eau potable et l'assainissement, une convention précisant les modalités de versement de l'aide est passée entre le service assurant la facturation de l'eau, les gestionnaires de services et les collectivités territoriales dont le service perçoit les redevances.</p><p>III bis. – Dès que le service d'eau potable constate une augmentation anormale du volume d'eau consommé par l'occupant d'un local d'habitation susceptible d'être causée par la fuite d'une canalisation, il en informe sans délai l'abonné. Une augmentation du volume d'eau consommé est anormale si le volume d'eau consommé depuis le dernier relevé excède le double du volume d'eau moyen consommé par l'abonné ou par un ou plusieurs abonnés ayant occupé le local d'habitation pendant une période équivalente au cours des trois années précédentes ou, à défaut, le volume d'eau moyen consommé dans la zone géographique de l'abonné dans des locaux d'habitation de taille et de caractéristiques comparables.</p><p>L'abonné n'est pas tenu au paiement de la part de la consommation excédant le double de la consommation moyenne s'il présente au service d'eau potable, dans le délai d'un mois à compter de l'information prévue au premier alinéa du présent III bis, une attestation d'une entreprise de plomberie indiquant qu'il a fait procéder à la réparation d'une fuite sur ses canalisations.</p><p>L'abonné peut demander, dans le même délai d'un mois, au service d'eau potable de vérifier le bon fonctionnement du compteur. L'abonné n'est alors tenu au paiement de la part de la consommation excédant le double de la consommation moyenne qu'à compter de la notification par le service d'eau potable, et après enquête, que cette augmentation n'est pas imputable à un défaut de fonctionnement du compteur.</p><p>A défaut de l'information mentionnée au premier alinéa du présent III bis, l'abonné n'est pas tenu au paiement de la part de la consommation excédant le double de la consommation moyenne.</p><p>Les redevances et sommes prévues par le premier alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390373&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 2224-12-2</a> sont calculées en tenant compte de la consommation facturée.</p><p>Un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent III bis.</p><p>IV. – Dans les communes où l'équilibre entre la ressource et la consommation d'eau est menacé de façon saisonnière, le conseil municipal ou l'assemblée délibérante du groupement de collectivités territoriales peut définir des tarifs différents selon les périodes de l'année.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000024025788
MD-20240711_194307_042_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000041410387
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192275
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Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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LEGISCTA000006192275
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-12-5
Code général des collectivités territoriales
Un décret fixe les conditions dans lesquelles il est fait obligation aux usagers raccordés ou raccordables au réseau d'assainissement d'installer un dispositif de comptage de l'eau qu'ils prélèvent sur des sources autres que le réseau de distribution. Il fixe également les conditions dans lesquelles la consommation d'eau constatée au moyen de ce dispositif est prise en compte dans le calcul de la redevance d'assainissement due par les usagers.
1,167,523,200,000
32,472,144,000,000
L2224-12-5
LEGIARTI000006390376
LEGIARTI000006390376
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
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Article
<p></p> Un décret fixe les conditions dans lesquelles il est fait obligation aux usagers raccordés ou raccordables au réseau d'assainissement d'installer un dispositif de comptage de l'eau qu'ils prélèvent sur des sources autres que le réseau de distribution. Il fixe également les conditions dans lesquelles la consommation d'eau constatée au moyen de ce dispositif est prise en compte dans le calcul de la redevance d'assainissement due par les usagers.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240104_212428_965_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006390376
LEGI
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LEGISCTA000006192275
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Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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LEGISCTA000006192275
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 2 : Eau et assainissement &gt; Sous-section 2 : Règlements des services et tarification
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-13
Code général des collectivités territoriales
Les communes, la métropole de Lyon ou les établissements publics de coopération intercommunale assurent, éventuellement en liaison avec les départements et les régions, la collecte et le traitement des déchets des ménages. Les communes peuvent transférer à un établissement public de coopération intercommunale ou à un syndicat mixte soit l'ensemble de la compétence de collecte et de traitement des déchets des ménages, soit la partie de cette compétence comprenant le traitement, ainsi que les opérations de transport qui s'y rapportent. Les opérations de transport, de transit ou de regroupement qui se situent à la jonction de la collecte et du traitement peuvent être intégrées à l'une ou l'autre de ces deux missions. A la demande des communes et des établissements publics de coopération intercommunale qui le souhaitent, le département peut se voir confier la responsabilité du traitement et des opérations de transport qui s'y rapportent. Les opérations de transport, de transit ou de regroupement qui se situent à la jonction de la collecte et du traitement peuvent être intégrées à l'une ou l'autre de ces deux missions. Le département et la commune ou l'établissement public de coopération intercommunale déterminent par convention les modalités, notamment financières, de transfert des biens nécessaires à l'exercice de la partie du service confiée au département et précisent les équipements pour lesquels la maîtrise d'ouvrage est confiée au département. Les collectivités territoriales et leurs groupements compétents pour la collecte et le traitement des déchets des ménages ont l'obligation de permettre, par contrat ou par convention, aux personnes morales relevant de l'économie sociale, solidaire et circulaire qui en font la demande d'utiliser les déchetteries communales comme lieux de récupération ponctuelle et de retraitement d'objets en bon état ou réparables. Les déchetteries sont tenues de prévoir une zone de dépôt destinée aux produits pouvant être réemployés.
1,581,465,600,000
32,472,144,000,000
L2224-13
LEGIARTI000041598995
LEGIARTI000006390377
AUTONOME
VIGUEUR
7.0
85,898
null
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Article
<p>Les communes, la métropole de Lyon ou les établissements publics de coopération intercommunale assurent, éventuellement en liaison avec les départements et les régions, la collecte et le traitement des déchets des ménages.</p><p>Les communes peuvent transférer à un établissement public de coopération intercommunale ou à un syndicat mixte soit l'ensemble de la compétence de collecte et de traitement des déchets des ménages, soit la partie de cette compétence comprenant le traitement, ainsi que les opérations de transport qui s'y rapportent. Les opérations de transport, de transit ou de regroupement qui se situent à la jonction de la collecte et du traitement peuvent être intégrées à l'une ou l'autre de ces deux missions.</p><p>A la demande des communes et des établissements publics de coopération intercommunale qui le souhaitent, le département peut se voir confier la responsabilité du traitement et des opérations de transport qui s'y rapportent. Les opérations de transport, de transit ou de regroupement qui se situent à la jonction de la collecte et du traitement peuvent être intégrées à l'une ou l'autre de ces deux missions. Le département et la commune ou l'établissement public de coopération intercommunale déterminent par convention les modalités, notamment financières, de transfert des biens nécessaires à l'exercice de la partie du service confiée au département et précisent les équipements pour lesquels la maîtrise d'ouvrage est confiée au département.</p><p>Les collectivités territoriales et leurs groupements compétents pour la collecte et le traitement des déchets des ménages ont l'obligation de permettre, par contrat ou par convention, aux personnes morales relevant de l'économie sociale, solidaire et circulaire qui en font la demande d'utiliser les déchetteries communales comme lieux de récupération ponctuelle et de retraitement d'objets en bon état ou réparables. Les déchetteries sont tenues de prévoir une zone de dépôt destinée aux produits pouvant être réemployés.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000028538385
MD-20240620_194606_005_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000041598995
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180990
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Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-14
Code général des collectivités territoriales
Les collectivités visées à l'article L. 2224-13 assurent la collecte et le traitement des autres déchets définis par décret, qu'elles peuvent, eu égard à leurs caractéristiques et aux quantités produites, collecter et traiter sans sujétions techniques particulières.
1,292,716,800,000
32,472,144,000,000
L2224-14
LEGIARTI000023268857
LEGIARTI000006390381
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
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Article
<p>Les collectivités visées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390377&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-13</a> assurent la collecte et le traitement des autres déchets définis par décret, qu'elles peuvent, eu égard à leurs caractéristiques et aux quantités produites, collecter et traiter sans sujétions techniques particulières.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390381
IG-20231124
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LEGIARTI000023268857
LEGI
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LEGISCTA000006180990
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Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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LEGISCTA000006180990
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-15
Code général des collectivités territoriales
L'étendue des prestations afférentes aux services prévus aux articles L. 2224-13 et L. 2224-14 est fixée par les communes ou leurs groupements dans le cadre des plans de prévention et de gestion des déchets prévus à la sous-section 1 de la section 3 du chapitre Ier du titre IV du livre V du code de l'environnement. Un décret en Conseil d'Etat précise les conditions minimales d'exécution de ces services notamment quant aux fréquences de collecte, en fonction des caractéristiques démographiques et géographiques des communes. Ce même décret détermine les conditions dans lesquelles le représentant de l'Etat dans le département, après avis des conseils municipaux intéressés, peut accorder des dérogations temporaires.
1,292,716,800,000
32,472,144,000,000
L2224-15
LEGIARTI000023268861
LEGIARTI000006390382
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
257,694
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Article
<p>L'étendue des prestations afférentes aux services prévus aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390377&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-13 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390381&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-14 </a>est fixée par les communes ou leurs groupements dans le cadre des plans de prévention et de gestion des déchets prévus à la <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idSectionTA=LEGISCTA000006188452&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'environnement - Sous-section 1 : Plans de prévention et de gest... (V)'>sous-section 1</a> de la section 3 du chapitre Ier du titre IV du livre V du code de l'environnement. </p><p>Un décret en Conseil d'Etat précise les conditions minimales d'exécution de ces services notamment quant aux fréquences de collecte, en fonction des caractéristiques démographiques et géographiques des communes. Ce même décret détermine les conditions dans lesquelles le représentant de l'Etat dans le département, après avis des conseils municipaux intéressés, peut accorder des dérogations temporaires.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390383
IG-20231129
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LEGIARTI000023268861
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180990
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Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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LEGISCTA000006180990
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-16
Code général des collectivités territoriales
Le maire définit les règles relatives à la collecte des déchets collectés en application des articles L. 2224-13 et L. 2224-14 en fonction de leurs caractéristiques. Il impose les modalités de collecte séparée, y compris le cas échéant la présentation et le lieu de collecte, au minimum pour les déchets suivants : 1° Les déchets de papier, de verre, de métal et de plastique ; 2° Les déchets de fractions minérales, de bois et de plâtre pour les déchets de construction et de démolition ; 3° Les déchets de textiles et les déchets dangereux, à compter du 1er janvier 2025. Il impose également les modalités de collecte séparée, y compris le cas échéant la présentation et le lieu de collecte, pour les biodéchets remis au service public local, conformément à l'article L. 541-21-1 du code de l'environnement. Le service communal et, le cas échéant, les personnes dûment autorisées peuvent seuls recevoir ces déchets. La gestion de ces déchets par la personne qui les produit peut être réglementée.
1,596,153,600,000
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L2224-16
LEGIARTI000042176177
LEGIARTI000006390384
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
343,592
null
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null
Article
<p>Le maire définit les règles relatives à la collecte des déchets collectés en application des articles L. 2224-13 et L. 2224-14 en fonction de leurs caractéristiques. Il impose les modalités de collecte séparée, y compris le cas échéant la présentation et le lieu de collecte, au minimum pour les déchets suivants :<br/><br/> 1° Les déchets de papier, de verre, de métal et de plastique ;<br/><br/> 2° Les déchets de fractions minérales, de bois et de plâtre pour les déchets de construction et de démolition ;<br/><br/> 3° Les déchets de textiles et les déchets dangereux, à compter du 1er janvier 2025.<br/><br/> Il impose également les modalités de collecte séparée, y compris le cas échéant la présentation et le lieu de collecte, pour les biodéchets remis au service public local, conformément à l'article L. 541-21-1 du code de l'environnement.</p><p>Le service communal et, le cas échéant, les personnes dûment autorisées peuvent seuls recevoir ces déchets.</p><p>La gestion de ces déchets par la personne qui les produit peut être réglementée.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000023268866
MD-20240104_212434_466_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042176177
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180990
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Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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LEGISCTA000006180990
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null
null
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null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-17
Code général des collectivités territoriales
L'obligation générale d'entretien à laquelle sont soumis les propriétaires et affectataires du domaine public comporte celle d'assurer ou de faire assurer la gestion des déchets qui s'y trouvent.
1,292,716,800,000
32,472,144,000,000
L2224-17
LEGIARTI000023268869
LEGIARTI000006390385
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
386,541
null
null
null
Article
<p>L'obligation générale d'entretien à laquelle sont soumis les propriétaires et affectataires du domaine public comporte celle d'assurer ou de faire assurer la gestion des déchets qui s'y trouvent.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390385
IG-20231129
null
LEGIARTI000023268869
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006180990
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Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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LEGISCTA000006180990
null
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-17-1
Code général des collectivités territoriales
Le service public de prévention et de gestion des déchets fait l'objet d'une comptabilité analytique. Le maire ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente, respectivement, au conseil municipal ou à l'assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public de prévention et de gestion des déchets, destiné notamment à l'information des usagers. Le rapport rend compte de la situation de la collectivité territoriale par rapport à l'atteinte des objectifs de prévention et de gestion des déchets fixés au niveau national. Il présente notamment la performance du service en termes de quantités d'ordures ménagères résiduelles et sa chronique d'évolution dans le temps. Le rapport présente les recettes et les dépenses du service public de gestion des déchets par flux de déchets et par étape technique. Le rapport précise, le cas échéant, la performance énergétique des installations au regard de la directive 2008/98/CE du Parlement européen et du Conseil, du 19 novembre 2008, relative aux déchets et abrogeant certaines directives. Ce rapport est présenté au plus tard dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice concerné. Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante sont mis à la disposition du public, dans les conditions prévues à l'article L. 1411-13 et sur le site internet de la collectivité ou, à défaut, du syndicat de collecte. Un décret précise les conditions d'application du présent article. Il fixe notamment les indicateurs techniques et financiers, fondés sur la comptabilité analytique dont fait l'objet le service public de prévention et de gestion des déchets, devant figurer dans le rapport.
1,439,942,400,000
32,472,144,000,000
L2224-17-1
LEGIARTI000031053352
LEGIARTI000031053346
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,935,094
null
null
null
Article
<p>Le service public de prévention et de gestion des déchets fait l'objet d'une comptabilité analytique.</p><p>Le maire ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente, respectivement, au conseil municipal ou à l'assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public de prévention et de gestion des déchets, destiné notamment à l'information des usagers.</p><p>Le rapport rend compte de la situation de la collectivité territoriale par rapport à l'atteinte des objectifs de prévention et de gestion des déchets fixés au niveau national. Il présente notamment la performance du service en termes de quantités d'ordures ménagères résiduelles et sa chronique d'évolution dans le temps.</p><p>Le rapport présente les recettes et les dépenses du service public de gestion des déchets par flux de déchets et par étape technique.</p><p>Le rapport précise, le cas échéant, la performance énergétique des installations au regard de la directive 2008/98/CE du Parlement européen et du Conseil, du 19 novembre 2008, relative aux déchets et abrogeant certaines directives.</p><p>Ce rapport est présenté au plus tard dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice concerné.</p><p>Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante sont mis à la disposition du public, dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389243&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L1411-13 (V)'>L. 1411-13</a> et sur le site internet de la collectivité ou, à défaut, du syndicat de collecte.</p><p>Un décret précise les conditions d'application du présent article. Il fixe notamment les indicateurs techniques et financiers, fondés sur la comptabilité analytique dont fait l'objet le service public de prévention et de gestion des déchets, devant figurer dans le rapport.</p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000031053352
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006180990
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Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
null
null
LEGISCTA000006180990
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 3 : Ordures ménagères et autres déchets
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-18
Code général des collectivités territoriales
Les délibérations du conseil municipal relatives à la création, au transfert ou à la suppression de halles ou de marchés communaux sont prises après consultation des organisations professionnelles intéressées qui disposent d'un délai d'un mois pour émettre un avis. Le régime des droits de place et de stationnement sur les halles et les marchés est défini conformément aux dispositions d'un cahier des charges ou d'un règlement établi par l'autorité municipale après consultation des organisations professionnelles intéressées.
836,611,200,000
32,472,144,000,000
L2224-18
LEGIARTI000006390388
LEGIARTI000006390387
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Les délibérations du conseil municipal relatives à la création, au transfert ou à la suppression de halles ou de marchés communaux sont prises après consultation des organisations professionnelles intéressées qui disposent d'un délai d'un mois pour émettre un avis.<p></p><p></p> Le régime des droits de place et de stationnement sur les halles et les marchés est défini conformément aux dispositions d'un cahier des charges ou d'un règlement établi par l'autorité municipale après consultation des organisations professionnelles intéressées.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390387
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390388
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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LEGISCTA000006180991
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-18-1
Code général des collectivités territoriales
Sous réserve d'exercer son act ivité dans une halle ou un marché depuis une durée fixée par délibération du conseil municipal dans la limite de trois ans, le titulaire d'une autorisation d'occupation peut présenter au maire une personne comme successeur, en cas de cession de son fonds. Cette personne, qui doit être immatriculée au registre du commerce et des sociétés, est, en cas d'acceptation par le maire, subrogée dans ses droits et ses obligations. En cas de décès, d'incapacité ou de retraite du titulaire, le droit de présentation est transmis à ses ayants droit qui peuvent en faire usage au bénéfice de l'un d'eux. A défaut d'exercice dans un délai de six mois à compter du fait générateur, le droit de présentation est caduc. En cas de reprise de l'activité par le conjoint du titulaire initial, celui-ci en conserve l'ancienneté pour faire valoir son droit de présentation. La décision du maire est notifiée au titulaire du droit de présentation et au successeur présenté dans un délai de deux mois à compter de la réception de la demande. Toute décision de refus doit être motivée.
1,403,222,400,000
32,472,144,000,000
L2224-18-1
LEGIARTI000029107567
LEGIARTI000029107562
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
107,372
null
null
null
Article
<p>Sous réserve d'exercer son act ivité dans une halle ou un marché depuis une durée fixée par délibération du conseil municipal dans la limite de trois ans, le titulaire d'une autorisation d'occupation peut présenter au maire une personne comme successeur, en cas de cession de son fonds. Cette personne, qui doit être immatriculée au registre du commerce et des sociétés, est, en cas d'acceptation par le maire, subrogée dans ses droits et ses obligations. </p><p> En cas de décès, d'incapacité ou de retraite du titulaire, le droit de présentation est transmis à ses ayants droit qui peuvent en faire usage au bénéfice de l'un d'eux. A défaut d'exercice dans un délai de six mois à compter du fait générateur, le droit de présentation est caduc. En cas de reprise de l'activité par le conjoint du titulaire initial, celui-ci en conserve l'ancienneté pour faire valoir son droit de présentation. </p><p> La décision du maire est notifiée au titulaire du droit de présentation et au successeur présenté dans un délai de deux mois à compter de la réception de la demande. Toute décision de refus doit être motivée.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000029107567
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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LEGISCTA000006180991
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-19
Code général des collectivités territoriales
L'établissement, la suppression et les changements des dates et des lieux des marchés à bestiaux, ainsi que toutes les modifications à leur fonctionnement, sont autorisés par délibération du conseil municipal.
1,080,345,600,000
32,472,144,000,000
L2224-19
LEGIARTI000006390390
LEGIARTI000006390389
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> L'établissement, la suppression et les changements des dates et des lieux des marchés à bestiaux, ainsi que toutes les modifications à leur fonctionnement, sont autorisés par délibération du conseil municipal.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390389
IG-20231129
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LEGIARTI000006390390
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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LEGISCTA000006180991
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null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-20
Code général des collectivités territoriales
Il ne peut être institué aucune foire, ni aucun marché, même de simple approvisionnement, sur un emplacement compris, en tout ou partie, dans les emprises d'une route nationale classée comme route à grande circulation.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-20
LEGIARTI000006390391
LEGIARTI000006390391
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> Il ne peut être institué aucune foire, ni aucun marché, même de simple approvisionnement, sur un emplacement compris, en tout ou partie, dans les emprises d'une route nationale classée comme route à grande circulation.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390391
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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LEGISCTA000006180991
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null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-21
Code général des collectivités territoriales
Lorsqu'il est constaté qu'une foire ou un marché, même de simple approvisionnement, constitue, en raison de sa tenue sur un emplacement compris en tout ou partie dans les emprises d'une route à grande circulation, une cause de trouble grave pour la circulation générale, le représentant de l'Etat dans le département met la commune en demeure de transférer, dans le délai d'un an à partir de la notification de cette mise en demeure, cette foire ou ce marché sur un autre emplacement, ou d'en limiter l'emplacement par une ligne déterminée de manière à supprimer tout empiétement sur les emprises de la route à grande circulation. Après l'expiration du délai d'un an, est de plein droit interdite toute installation ou occupation de terrain qui est faite à l'occasion de cette foire ou de ce marché et ne tient pas compte de la décision du représentant de l'Etat dans le département.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-21
LEGIARTI000006390392
LEGIARTI000006390392
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> Lorsqu'il est constaté qu'une foire ou un marché, même de simple approvisionnement, constitue, en raison de sa tenue sur un emplacement compris en tout ou partie dans les emprises d'une route à grande circulation, une cause de trouble grave pour la circulation générale, le représentant de l'Etat dans le département met la commune en demeure de transférer, dans le délai d'un an à partir de la notification de cette mise en demeure, cette foire ou ce marché sur un autre emplacement, ou d'en limiter l'emplacement par une ligne déterminée de manière à supprimer tout empiétement sur les emprises de la route à grande circulation.<p></p><p></p> Après l'expiration du délai d'un an, est de plein droit interdite toute installation ou occupation de terrain qui est faite à l'occasion de cette foire ou de ce marché et ne tient pas compte de la décision du représentant de l'Etat dans le département.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390392
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
null
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LEGISCTA000006180991
null
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-22
Code général des collectivités territoriales
L'application des dispositions des articles L. 2224-20 et L. 2224-21 peut être étendue par décret aux déviations construites ou à construire pour le contournement d'agglomérations par des routes nationales qui ne sont pas classées comme routes à grande circulation.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-22
LEGIARTI000006390393
LEGIARTI000006390393
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p>L'application des dispositions des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390391&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2224-20 (V)'>L. 2224-20 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390392&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2224-21 (V)'>L. 2224-21</a> peut être étendue par décret aux déviations construites ou à construire pour le contournement d'agglomérations par des routes nationales qui ne sont pas classées comme routes à grande circulation.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390393
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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LEGISCTA000006180991
null
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-23
Code général des collectivités territoriales
Les communes peuvent instituer les bureaux de pesage, de mesurage et de jaugeage publics où chacun peut faire peser et jauger ses marchandises moyennant le payement d'un droit. Le recours à ces bureaux n'est obligatoire qu'en cas de contestation.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-23
LEGIARTI000006390394
LEGIARTI000006390394
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p> Les communes peuvent instituer les bureaux de pesage, de mesurage et de jaugeage publics où chacun peut faire peser et jauger ses marchandises moyennant le payement d'un droit.<p></p><p></p> Le recours à ces bureaux n'est obligatoire qu'en cas de contestation.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390394
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
null
null
LEGISCTA000006180991
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-24
Code général des collectivités territoriales
Nul ne peut exercer les fonctions de peseur, mesureur et jaugeur sans avoir prêté serment. Le serment est reçu par le président du tribunal de commerce ou le juge du tribunal judiciaire.
1,577,836,800,000
32,472,144,000,000
L2224-24
LEGIARTI000039281006
LEGIARTI000006390395
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.
2.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p>Nul ne peut exercer les fonctions de peseur, mesureur et jaugeur sans avoir prêté serment. <p></p><p></p>Le serment est reçu par le président du tribunal de commerce ou le juge du tribunal judiciaire.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390395
IG-20231129
null
LEGIARTI000039281006
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
null
null
LEGISCTA000006180991
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
<p>Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.</p>
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-25
Code général des collectivités territoriales
Dans les localités où il n'est pas nécessaire d'établir des poids publics, les fonctions de peseur, mesureur et jaugeur peuvent être confiées par le représentant de l'Etat dans le département à des citoyens d'une probité et d'une capacité reconnues, lesquels prêtent serment.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-25
LEGIARTI000006390396
LEGIARTI000006390396
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
429,490
null
null
null
Article
<p></p> Dans les localités où il n'est pas nécessaire d'établir des poids publics, les fonctions de peseur, mesureur et jaugeur peuvent être confiées par le représentant de l'Etat dans le département à des citoyens d'une probité et d'une capacité reconnues, lesquels prêtent serment.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390396
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
null
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LEGISCTA000006180991
null
null
null
null
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
null
Code général des collectivités territoriales, art. L2224-26
Code général des collectivités territoriales
Aucune personne autre que ces employés ou préposés ne peut exercer, dans l'enceinte des marchés, halles et ports, la profession de peseur, mesureur et jaugeur, à peine de confiscation des instruments destinés au mesurage. L'enceinte de ces marchés, halles et ports est déterminée et désignée d'une manière apparente par le maire.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-26
LEGIARTI000006390397
LEGIARTI000006390397
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
472,439
null
null
null
Article
<p></p> Aucune personne autre que ces employés ou préposés ne peut exercer, dans l'enceinte des marchés, halles et ports, la profession de peseur, mesureur et jaugeur, à peine de confiscation des instruments destinés au mesurage.<p></p><p></p> L'enceinte de ces marchés, halles et ports est déterminée et désignée d'une manière apparente par le maire.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006390397
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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LEGISCTA000006180991
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-27
Code général des collectivités territoriales
Ceux à qui les bureaux ou les fonctions de peseur ou mesureur public sont confiés sont obligés de tenir les marchés, halles et ports garnis d'instruments nécessaires à l'exercice de leurs fonctions et de disposer d'employés en nombre suffisant. A défaut, il y est pourvu à leurs frais par la police et ils sont destitués.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-27
LEGIARTI000006390398
LEGIARTI000006390398
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
515,388
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null
null
Article
<p></p> Ceux à qui les bureaux ou les fonctions de peseur ou mesureur public sont confiés sont obligés de tenir les marchés, halles et ports garnis d'instruments nécessaires à l'exercice de leurs fonctions et de disposer d'employés en nombre suffisant. A défaut, il y est pourvu à leurs frais par la police et ils sont destitués.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390398
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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LEGISCTA000006180991
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-28
Code général des collectivités territoriales
Les peseurs et mesureurs publics délivrent à ceux qui le demandent un bulletin constatant le résultat de leur opération.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-28
LEGIARTI000006390399
LEGIARTI000006390399
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
558,337
null
null
null
Article
<p></p> Les peseurs et mesureurs publics délivrent à ceux qui le demandent un bulletin constatant le résultat de leur opération.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
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LEGIARTI000006390399
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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LEGISCTA000006180991
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-29
Code général des collectivités territoriales
L'infidélité dans les poids employés au pesage public est sanctionnée des peines prévues par l'article L. 213-4 du code de la consommation.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2224-29
LEGIARTI000006390400
LEGIARTI000006390400
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
601,286
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null
null
Article
<p></p>L'infidélité dans les poids employés au pesage public est sanctionnée des peines prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006069565&idArticle=LEGIARTI000006292234&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la consommation - art. L213-4 (V)'>L. 213-4</a> du code de la consommation.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006390400
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006180991
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Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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LEGISCTA000006180991
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 4 : Halles, marchés et poids publics
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-31
Code général des collectivités territoriales
I.-Sans préjudice des dispositions de l'article L. 111-54 du code de l'énergie , les collectivités territoriales ou leurs établissements publics de coopération, en tant qu'autorités concédantes de la distribution publique d'électricité et de gaz en application des articles L. 321-1 , L. 322-1 , L. 322-2 , L. 324-2 et L. 432-1 du code de l'énergie et des articles L. 322-6 et L. 432-5 du code de l'énergie, négocient et concluent les contrats de concession, et exercent le contrôle du bon accomplissement des missions de service public fixées, pour ce qui concerne les autorités concédantes, par les cahiers des charges de ces concessions. Les autorités concédantes précitées assurent le contrôle des réseaux publics de distribution d'électricité et de gaz. A cette fin, elles désignent un agent du contrôle distinct du gestionnaire du réseau public de distribution. Chaque organisme de distribution d'électricité et de gaz tient à la disposition de chacune des autorités concédantes précitées dont il dépend les informations d'ordre économique, commercial, industriel, financier ou technique utiles à l'exercice des compétences de celle-ci, dans les conditions prévues aux articles L. 111-73 , L. 111-77 , L. 111-81 et L. 111-82 du code de l'énergie. En outre, il communique, à une échelle permettant le contrôle prévu au deuxième alinéa du présent I, ces informations aux autorités concédantes dont il dépend, sous la forme d'un compte rendu annuel qui comporte, notamment, la valeur brute ainsi que la valeur nette comptables, la valeur de remplacement des ouvrages concédés pour la distribution d'électricité et la valeur nette réévaluée des ouvrages pour la distribution de gaz naturel. Un inventaire détaillé et localisé de ces ouvrages est également mis, à leur demande, à la disposition de chacune des autorités concédantes précitées, pour ce qui concerne la distribution d'électricité. Cet inventaire distingue les biens de retour, les biens de reprise et les biens propres. Un décret fixe le contenu de ces documents ainsi que les délais impartis aux gestionnaires de réseaux pour établir des inventaires détaillés. Ces informations comprennent également, dans des conditions fixées par décret, les données de consommation et de production prévues aux articles L. 111-73 et L. 111-77 du code de l'énergie et dont il assure la gestion, et les données permettant d'élaborer et d'évaluer les schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie et les plans climat-air-énergie territoriaux prévus par les articles L. 222-1 à L. 222-3 , L. 229-25 et L. 229-26 du code de l'environnement ainsi qu'un bilan détaillé de la contribution du concessionnaire aux plans climat-air-énergie territoriaux qui le concernent. Chaque organisme de distribution d'électricité et de gaz transmet à chacune des autorités concédantes précitées un compte rendu de la politique d'investissement et de développement des réseaux prévue aux articles L. 111-57 , L. 322-8 , L. 322-10 , L. 322-11 , L. 432-8 , L. 432-9 et L. 432-10 du code de l'énergie. Sur la base de ce compte rendu, les autorités organisatrices établissent un bilan détaillé de la mise en œuvre du programme prévisionnel de tous les investissements envisagés sur le réseau de distribution. Ce programme prévisionnel, qui précise notamment le montant et la localisation des travaux, est élaboré à l'occasion d'une conférence départementale réunie sous l'égide du préfet et transmis à chacune des autorités concédantes. Des fonctionnaires et agents parmi ceux qui sont chargés des missions de contrôle visées aux alinéas précédents sont habilités à cet effet par le maire ou par le président de l'établissement public de coopération et assermentés dans les conditions prévues par l' article 43 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée pour les fonctionnaires et agents habilités par le ministre chargé de l'énergie et pour les agents de la Commission de régulation de l'énergie habilités par son président. Ils encourent une amende de 15 000 euros en cas de révélation des informations prévues aux articles L. 111-81 et L. 111-82 du code de l'énergie. L'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité et de gaz peut exercer des missions de conciliation en vue du règlement de différends relatifs à la fourniture d'électricité de secours mentionnée à l'article L. 333-3 du même code ou à la fourniture de gaz de secours ou de dernier recours mentionnées à l'article L. 121-32 dudit code, qui lui seraient soumis par les consommateurs éligibles raccordés à son réseau ou leurs fournisseurs. En application des dispositions du quatrième alinéa des articles L. 322-6 et L. 432-5 du code de l'énergie, les collectivités et établissements précités peuvent assurer la maîtrise d'ouvrage des travaux de développement des réseaux publics de distribution d'électricité et de gaz. Le même droit est accordé aux collectivités territoriales et aux établissements publics de coopération compétents en matière de distribution publique d'électricité et de gaz ayant constitué un organisme de distribution mentionné à l'article L. 111-54 du code de l'énergie ou du III du présent article. L'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité mentionnée au IV peut recevoir des aides pour le financement d'une partie du coût des travaux visés à l' article L. 322-6 du code de l'énergie dont elle assure la maîtrise d'ouvrage en application du sixième alinéa sur les ouvrages ruraux de ce réseau, notamment lorsque ces travaux visent à faciliter l'insertion des énergies renouvelables sur le réseau et le développement de services de flexibilité. Les actions relatives aux économies d'énergie des consommateurs finals de gaz ou d'électricité basse tension que peuvent réaliser ou faire réaliser les autorités organisatrices d'un réseau public de distribution d'électricité ou de gaz doivent avoir pour objet ou pour effet d'éviter ou de différer l'extension ou le renforcement des réseaux publics de distribution relevant de leur compétence. Dans les mêmes conditions, l'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité peut recevoir ces aides pour la réalisation, dans les communes rurales, d'opérations de maîtrise de la demande d'électricité, de production d'électricité par des énergies renouvelables et d'autres actions concourant à l'atteinte des objectifs de la politique énergétique mentionnés aux articles L. 100-1 à L. 100-4 du code de l'énergie , en particulier au 4° du I de l'article L. 100-4 du même code, ainsi que, dans les zones non interconnectées au réseau métropolitain continental, pour la réalisation des installations de production de proximité mentionnées à l'article L. 2224-33 du présent code, lorsque ces différentes opérations permettent d'éviter directement ou indirectement des extensions ou des renforcements de réseaux. L'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité peut également recevoir ces aides pour la réalisation d'opérations exceptionnelles en lien avec le réseau public de distribution d'électricité qui concourent à la transition énergétique, présentent un caractère innovant et répondent à un besoin local spécifique. La répartition annuelle des aides est arrêtée par le ministre chargé de l'énergie, après avis d'un conseil composé notamment, dans la proportion des deux cinquièmes au moins, de représentants des collectivités territoriales et des établissements publics maîtres d'ouvrage de travaux et présidé par un membre pris parmi ces représentants, en tenant compte de l'inventaire des besoins recensés tous les deux ans dans chaque département auprès des maîtres d'ouvrage des travaux mentionnés à l' article L. 322-6 du code de l'énergie . Lorsque l'inventaire de ces besoins est effectué à l'aide d'une méthode statistique, le gestionnaire du réseau public de distribution d'électricité soumet préalablement les résultats de son estimation à l'approbation des maîtres d'ouvrage mentionnés à la première phrase du présent alinéa, qui complètent le cas échéant ces résultats afin de prendre en compte les besoins supplémentaires résultant des mesures réelles effectuées sur le terrain pour contrôler le respect des niveaux de qualité mentionnés à l' article L. 322-12 du code de l'énergie . Un décret en Conseil d'Etat, pris après avis du conseil prévu à l'avant-dernier alinéa du présent I, précise la notion de communes rurales bénéficiaires de ces aides en fonction, notamment, de la densité de population ainsi que les catégories de travaux mentionnés aux septième à neuvième alinéas du présent I et fixe les règles d'attribution des aides ainsi que leurs modalités de gestion. I bis.-Pour le financement des aides aux collectivités pour l'électrification rurale, il est dû par les gestionnaires des réseaux publics de distribution une contribution, assise sur le nombre de kilowattheures distribués à partir des ouvrages exploités en basse tension l'année précédant celle du versement de la contribution. Le taux de cette contribution est fixé annuellement au début de l'exercice concerné par arrêté des ministres chargés du budget et de l'énergie après consultation du conseil mentionné à l'avant-dernier alinéa du I. Ce taux est compris : a) Entre 0,03 et 0,05 centime d'euro par kilowattheure pour les communes dont la population est inférieure à 2 000 habitants ; b) Entre 0,15 et 0,25 centime d'euro par kilowattheure pour les autres communes. Le taux fixé au b doit être au moins égal à cinq fois le taux fixé au a. Les gestionnaires des réseaux publics de distribution acquittent leur contribution auprès des comptables de la direction générale des finances publiques comme en matière de taxes sur le chiffre d'affaires. Le retard à verser la contribution expose aux pénalités de retard prévues à l' article 1727 du code général des impôts . II.-Pour assurer le respect des principes et conditions énoncés à l' article 1er de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée et à l' article 16 de la loi n° 2003-8 du 3 janvier 2003 précitée des décrets en Conseil d'Etat fixent en tant que de besoin : -les procédures et prescriptions particulières applicables aux cahiers des charges des concessions et aux règlements de service des régies ; -les règles et les indicateurs de performances techniques destinés à répondre aux objectifs de sécurité et de qualité de l'électricité et du gaz livrés ; -les normes relatives à l'intégration visuelle et à la protection de l'environnement applicables aux réseaux publics de distribution ; -les conditions dans lesquelles les collectivités concédantes peuvent faire prendre en charge par leur concessionnaire des opérations de maîtrise de la demande d'électricité ou d'énergies de réseau ; -les conditions financières des concessions en matière de redevance et de pénalités. III.-Les communes, leurs établissements publics de coopération intercommunale ou leurs syndicats mixtes qui ne disposent pas d'un réseau public de distribution de gaz naturel ou dont les travaux de desserte ne sont pas en cours de réalisation peuvent concéder la distribution publique de gaz à toute entreprise agréée à cet effet par le ministre chargé de l'énergie, dans les conditions précisées à l' article 25-1 de la loi n° 2003-8 du 3 janvier 2003 précitée . Ces communes et ces établissements peuvent créer une régie agréée par le ministre chargé de l'énergie, avoir recours à un établissement de ce type existant ou participer à une société d'économie mixte existante. IV.-Un réseau public de distribution d'électricité a pour fonction de desservir les consommateurs finals et les producteurs d'électricité raccordés en moyenne et basse tension. L'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution, exploité en régie ou concédé, est la commune ou l'établissement public de coopération auquel elle a transféré cette compétence, ou le département s'il exerce cette compétence à la date de publication de la loi n° 2004-803 du 9 août 2004 relative au service public de l'électricité et du gaz et aux entreprises électriques et gazières. Toutefois, lorsque les attributions prévues par le présent article ne sont, pour les réseaux publics de distribution d'électricité, exercées ni par le département ni, au terme d'un délai d'un an suivant la date de publication de la loi n° 2006-1537 du 7 décembre 2006 relative au secteur de l'énergie, par un unique syndicat de communes ou syndicat mixte sur l'ensemble du territoire départemental ou sur un ensemble de territoires départementaux contigus ni par un groupement de collectivités territoriales dont la population est au moins égale à un million d'habitants, le ou les représentants de l'Etat dans le ou les départements engagent, dans le cadre des dispositions prévues au 2° du I de l'article L. 5211-5 ou à l' article 61 de la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales, la procédure de création d'un syndicat de communes ou d'un syndicat mixte pour l'exercice de ces compétences sur l'ensemble du territoire départemental ou sur un ensemble de territoires départementaux contigus. A défaut d'autorité organisatrice unique sur le territoire départemental, l'évaluation de la qualité de l'électricité réalisée en application de l' article 21-1 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée est transmise par le ou les gestionnaires de réseaux publics concernés à une conférence, lorsque celle-ci a été constituée entre l'ensemble des autorités organisatrices du département dans les conditions prévues par l'article L. 5221-2. Sous réserve des dispositions des articles 12 et 24 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée et de l' article 10 de la loi n° 2004-803 du 9 août 2004 précitée et de l' article L. 324-1 du code de l'énergie , un réseau public de distribution est constitué par les ouvrages de tension inférieure à 50 kV situés sur le territoire de l'autorité organisatrice de la distribution d'électricité ainsi que par les ouvrages de tension supérieure existant, sur le territoire métropolitain continental, à la date de publication de la loi n° 2004-803 du 9 août 2004 précitée et non exploités par Electricité de France en tant que gestionnaire du réseau public de transport à cette même date. Un décret en Conseil d'Etat définit, en particulier pour les postes de transformation, les conditions de l'appartenance des ouvrages ou parties d'ouvrages aux réseaux publics de distribution, notamment en ce qui concerne leurs caractéristiques, leurs fonctions ou la date de leur mise en service. V.-Lorsque, dans des communes fusionnées préalablement à la publication de la loi n° 2004-803 du 9 août 2004 précitée , la distribution d'électricité ou de gaz est assurée par des organismes de distribution distincts, l'autorité organisatrice de la distribution peut, nonobstant toutes dispositions contraires, confier à l'un de ces organismes la distribution sur tout le territoire de la commune à la date de son choix. Si la compétence d'autorité organisatrice de la distribution d'électricité ou de gaz a été transférée, dans une de ces communes, à un établissement public de coopération intercommunale avant la publication de la loi n° 2004-803 du 9 août 2004 précitée , cette commune peut, nonobstant toutes dispositions contraires, être autorisée par le représentant de l'Etat dans le département, après avis de la commission départementale de la coopération intercommunale réunie dans la formation prévue au second alinéa de l'article L. 5211-45 , à se retirer de l'établissement public de coopération intercommunale lorsque cet établissement ne décide pas d'exercer le droit prévu au premier alinéa du présent V. VI.-Dans le cadre de ses missions de distribution publique de l'électricité et de gaz, l'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité et de gaz peut concourir au déploiement des installations de production d'hydrogène renouvelable ou bas-carbone, au sens de l' article L. 811-1 du code de l'énergie , implantées sur son territoire.
1,678,579,200,000
32,472,144,000,000
L2224-31
LEGIARTI000047303463
LEGIARTI000006390402
AUTONOME
VIGUEUR
16.0
128,847
null
null
null
Article
<p>I.-Sans préjudice des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985377&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-54 (M)'>dispositions de l'article L. 111-54 du code de l'énergie</a>, les collectivités territoriales ou leurs établissements publics de coopération, en tant qu'autorités concédantes de la distribution publique d'électricité et de gaz en application des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986442&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L321-1 (V)'>L. 321-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986493&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-1 (V)'>L. 322-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986496&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-2 (V)'>L. 322-2</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986575&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L324-2 (V)'>L. 324-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986890&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L432-1 (V)'>L. 432-1 </a>du code de l'énergie et des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986505&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-6 (V)'>L. 322-6 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986900&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L432-5 (V)'>L. 432-5 </a>du code de l'énergie, négocient et concluent les contrats de concession, et exercent le contrôle du bon accomplissement des missions de service public fixées, pour ce qui concerne les autorités concédantes, par les cahiers des charges de ces concessions. </p><p>Les autorités concédantes précitées assurent le contrôle des réseaux publics de distribution d'électricité et de gaz. A cette fin, elles désignent un agent du contrôle distinct du gestionnaire du réseau public de distribution. </p><p>Chaque organisme de distribution d'électricité et de gaz tient à la disposition de chacune des autorités concédantes précitées dont il dépend les informations d'ordre économique, commercial, industriel, financier ou technique utiles à l'exercice des compétences de celle-ci, dans les conditions prévues aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985436&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-73 (M)'>L. 111-73</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985446&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-77 (V)'>L. 111-77</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985458&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-81 (V)'>L. 111-81 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985461&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-82 (V)'>L. 111-82 </a>du code de l'énergie. En outre, il communique, à une échelle permettant le contrôle prévu au deuxième alinéa du présent I, ces informations aux autorités concédantes dont il dépend, sous la forme d'un compte rendu annuel qui comporte, notamment, la valeur brute ainsi que la valeur nette comptables, la valeur de remplacement des ouvrages concédés pour la distribution d'électricité et la valeur nette réévaluée des ouvrages pour la distribution de gaz naturel. Un inventaire détaillé et localisé de ces ouvrages est également mis, à leur demande, à la disposition de chacune des autorités concédantes précitées, pour ce qui concerne la distribution d'électricité. Cet inventaire distingue les biens de retour, les biens de reprise et les biens propres. Un décret fixe le contenu de ces documents ainsi que les délais impartis aux gestionnaires de réseaux pour établir des inventaires détaillés. Ces informations comprennent également, dans des conditions fixées par décret, les données de consommation et de production prévues aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985436&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-73 (M)'>L. 111-73 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985446&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-77 (V)'>L. 111-77 </a>du code de l'énergie et dont il assure la gestion, et les données permettant d'élaborer et d'évaluer les schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie et les plans climat-air-énergie territoriaux prévus par les articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000006833382&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'environnement - art. L222-1 (V)'>L. 222-1 à L. 222-3</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000022476852&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'environnement - art. L229-25 (M)'>L. 229-25 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000022476854&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'environnement - art. L229-26 (M)'>L. 229-26 </a>du code de l'environnement ainsi qu'un bilan détaillé de la contribution du concessionnaire aux plans climat-air-énergie territoriaux qui le concernent. Chaque organisme de distribution d'électricité et de gaz transmet à chacune des autorités concédantes précitées un compte rendu de la politique d'investissement et de développement des réseaux prévue aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985388&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-57 (V)'>L. 111-57</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986513&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-8 (M)'>L. 322-8</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986518&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-10 (V)'>L. 322-10</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986521&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-11 (V)'>L. 322-11</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986909&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L432-8 (M)'>L. 432-8</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986912&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L432-9 (V)'>L. 432-9 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986915&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L432-10 (Ab)'>L. 432-10 </a>du code de l'énergie. Sur la base de ce compte rendu, les autorités organisatrices établissent un bilan détaillé de la mise en œuvre du programme prévisionnel de tous les investissements envisagés sur le réseau de distribution. Ce programme prévisionnel, qui précise notamment le montant et la localisation des travaux, est élaboré à l'occasion d'une conférence départementale réunie sous l'égide du préfet et transmis à chacune des autorités concédantes. </p><p>Des fonctionnaires et agents parmi ceux qui sont chargés des missions de contrôle visées aux alinéas précédents sont habilités à cet effet par le maire ou par le président de l'établissement public de coopération et assermentés dans les conditions prévues par l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000750321&idArticle=LEGIARTI000006628264&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n° 2000-108 du 10 février 2000 - art. 43 (M)'>article 43 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée </a>pour les fonctionnaires et agents habilités par le ministre chargé de l'énergie et pour les agents de la Commission de régulation de l'énergie habilités par son président. Ils encourent une amende de 15 000 euros en cas de révélation des informations prévues aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985458&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-81 (V)'>L. 111-81 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985461&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L111-82 (V)'>L. 111-82 </a>du code de l'énergie. </p><p>L'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité et de gaz peut exercer des missions de conciliation en vue du règlement de différends relatifs à la fourniture d'électricité de secours mentionnée à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986614&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L333-3 (V)'>L. 333-3 </a>du même code ou à la fourniture de gaz de secours ou de dernier recours mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985629&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L121-32 (V)'>L. 121-32 </a>dudit code, qui lui seraient soumis par les consommateurs éligibles raccordés à son réseau ou leurs fournisseurs. </p><p>En application des dispositions du quatrième alinéa des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986505&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-6 (V)'>L. 322-6 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986900&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L432-5 (V)'>L. 432-5 </a>du code de l'énergie, les collectivités et établissements précités peuvent assurer la maîtrise d'ouvrage des travaux de développement des réseaux publics de distribution d'électricité et de gaz. Le même droit est accordé aux collectivités territoriales et aux établissements publics de coopération compétents en matière de distribution publique d'électricité et de gaz ayant constitué un organisme de distribution mentionné à l'article L. 111-54 du code de l'énergie ou du III du présent article. </p><p>L'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité mentionnée au IV peut recevoir des aides pour le financement d'une partie du coût des travaux visés à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986505&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-6 (V)'>article L. 322-6 du code de l'énergie </a>dont elle assure la maîtrise d'ouvrage en application du sixième alinéa sur les ouvrages ruraux de ce réseau, notamment lorsque ces travaux visent à faciliter l'insertion des énergies renouvelables sur le réseau et le développement de services de flexibilité. </p><p>Les actions relatives aux économies d'énergie des consommateurs finals de gaz ou d'électricité basse tension que peuvent réaliser ou faire réaliser les autorités organisatrices d'un réseau public de distribution d'électricité ou de gaz doivent avoir pour objet ou pour effet d'éviter ou de différer l'extension ou le renforcement des réseaux publics de distribution relevant de leur compétence. </p><p>Dans les mêmes conditions, l'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité peut recevoir ces aides pour la réalisation, dans les communes rurales, d'opérations de maîtrise de la demande d'électricité, de production d'électricité par des énergies renouvelables et d'autres actions concourant à l'atteinte des objectifs de la politique énergétique mentionnés aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985176&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L100-1 (V)'>articles L. 100-1 à L. 100-4 du code de l'énergie</a>, en particulier au 4° du I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023985182&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L100-4 (V)'>L. 100-4 </a>du même code, ainsi que, dans les zones non interconnectées au réseau métropolitain continental, pour la réalisation des installations de production de proximité mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390410&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2224-33 (V)'>L. 2224-33 </a>du présent code, lorsque ces différentes opérations permettent d'éviter directement ou indirectement des extensions ou des renforcements de réseaux. L'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité peut également recevoir ces aides pour la réalisation d'opérations exceptionnelles en lien avec le réseau public de distribution d'électricité qui concourent à la transition énergétique, présentent un caractère innovant et répondent à un besoin local spécifique. </p><p>La répartition annuelle des aides est arrêtée par le ministre chargé de l'énergie, après avis d'un conseil composé notamment, dans la proportion des deux cinquièmes au moins, de représentants des collectivités territoriales et des établissements publics maîtres d'ouvrage de travaux et présidé par un membre pris parmi ces représentants, en tenant compte de l'inventaire des besoins recensés tous les deux ans dans chaque département auprès des maîtres d'ouvrage des travaux mentionnés à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986505&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-6 (V)'>article L. 322-6 du code de l'énergie</a>. Lorsque l'inventaire de ces besoins est effectué à l'aide d'une méthode statistique, le gestionnaire du réseau public de distribution d'électricité soumet préalablement les résultats de son estimation à l'approbation des maîtres d'ouvrage mentionnés à la première phrase du présent alinéa, qui complètent le cas échéant ces résultats afin de prendre en compte les besoins supplémentaires résultant des mesures réelles effectuées sur le terrain pour contrôler le respect des niveaux de qualité mentionnés à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986525&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L322-12 (M)'>article L. 322-12 du code de l'énergie</a>. </p><p>Un décret en Conseil d'Etat, pris après avis du conseil prévu à l'avant-dernier alinéa du présent I, précise la notion de communes rurales bénéficiaires de ces aides en fonction, notamment, de la densité de population ainsi que les catégories de travaux mentionnés aux septième à neuvième alinéas du présent I et fixe les règles d'attribution des aides ainsi que leurs modalités de gestion. </p><p>I bis.-Pour le financement des aides aux collectivités pour l'électrification rurale, il est dû par les gestionnaires des réseaux publics de distribution une contribution, assise sur le nombre de kilowattheures distribués à partir des ouvrages exploités en basse tension l'année précédant celle du versement de la contribution. Le taux de cette contribution est fixé annuellement au début de l'exercice concerné par arrêté des ministres chargés du budget et de l'énergie après consultation du conseil mentionné à l'avant-dernier alinéa du I. Ce taux est compris : </p><p>a) Entre 0,03 et 0,05 centime d'euro par kilowattheure pour les communes dont la population est inférieure à 2 000 habitants ; </p><p>b) Entre 0,15 et 0,25 centime d'euro par kilowattheure pour les autres communes. </p><p>Le taux fixé au b doit être au moins égal à cinq fois le taux fixé au a. </p><p>Les gestionnaires des réseaux publics de distribution acquittent leur contribution auprès des comptables de la direction générale des finances publiques comme en matière de taxes sur le chiffre d'affaires. Le retard à verser la contribution expose aux pénalités de retard prévues à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006069577&idArticle=LEGIARTI000006312875&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des impôts, CGI. - art. 1727 (M)'>article 1727 du code général des impôts</a>. </p><p>II.-Pour assurer le respect des principes et conditions énoncés à l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000750321&idArticle=LEGIARTI000006628123&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n° 2000-108 du 10 février 2000 - art. 1 (Ab)'>article 1er de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée </a>et à l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000776748&idArticle=LEGIARTI000006628390&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n° 2003-8 du 3 janvier 2003 - art. 16 (M)'>article 16 de la loi n° 2003-8 du 3 janvier 2003 précitée </a>des décrets en Conseil d'Etat fixent en tant que de besoin :</p><p>-les procédures et prescriptions particulières applicables aux cahiers des charges des concessions et aux règlements de service des régies ;</p><p>-les règles et les indicateurs de performances techniques destinés à répondre aux objectifs de sécurité et de qualité de l'électricité et du gaz livrés ;</p><p>-les normes relatives à l'intégration visuelle et à la protection de l'environnement applicables aux réseaux publics de distribution ;</p><p>-les conditions dans lesquelles les collectivités concédantes peuvent faire prendre en charge par leur concessionnaire des opérations de maîtrise de la demande d'électricité ou d'énergies de réseau ;</p><p>-les conditions financières des concessions en matière de redevance et de pénalités. </p><p>III.-Les communes, leurs établissements publics de coopération intercommunale ou leurs syndicats mixtes qui ne disposent pas d'un réseau public de distribution de gaz naturel ou dont les travaux de desserte ne sont pas en cours de réalisation peuvent concéder la distribution publique de gaz à toute entreprise agréée à cet effet par le ministre chargé de l'énergie, dans les conditions précisées à l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000776748&idArticle=LEGIARTI000006628407&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n° 2003-8 du 3 janvier 2003 - art. 25-1 (Ab)'>article 25-1 de la loi n° 2003-8 du 3 janvier 2003 précitée</a>. Ces communes et ces établissements peuvent créer une régie agréée par le ministre chargé de l'énergie, avoir recours à un établissement de ce type existant ou participer à une société d'économie mixte existante. </p><p>IV.-Un réseau public de distribution d'électricité a pour fonction de desservir les consommateurs finals et les producteurs d'électricité raccordés en moyenne et basse tension. </p><p>L'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution, exploité en régie ou concédé, est la commune ou l'établissement public de coopération auquel elle a transféré cette compétence, ou le département s'il exerce cette compétence à la date de publication de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000787077&categorieLien=cid' title='Loi n° 2004-803 du 9 août 2004 (V)'>loi n° 2004-803 du 9 août 2004 </a>relative au service public de l'électricité et du gaz et aux entreprises électriques et gazières. Toutefois, lorsque les attributions prévues par le présent article ne sont, pour les réseaux publics de distribution d'électricité, exercées ni par le département ni, au terme d'un délai d'un an suivant la date de publication de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000462914&categorieLien=cid' title='Loi n°2006-1537 du 7 décembre 2006 (Ab)'>loi n° 2006-1537 du 7 décembre 2006 </a>relative au secteur de l'énergie, par un unique syndicat de communes ou syndicat mixte sur l'ensemble du territoire départemental ou sur un ensemble de territoires départementaux contigus ni par un groupement de collectivités territoriales dont la population est au moins égale à un million d'habitants, le ou les représentants de l'Etat dans le ou les départements engagent, dans le cadre des dispositions prévues au 2° du I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006392792&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L5211-5 (V)'>L. 5211-5 </a>ou à l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000023239624&idArticle=JORFARTI000023239716&categorieLien=cid' title='LOI n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 - art. 61 (Ab)'>article 61 de la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 </a>de réforme des collectivités territoriales, la procédure de création d'un syndicat de communes ou d'un syndicat mixte pour l'exercice de ces compétences sur l'ensemble du territoire départemental ou sur un ensemble de territoires départementaux contigus. A défaut d'autorité organisatrice unique sur le territoire départemental, l'évaluation de la qualité de l'électricité réalisée en application de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000750321&idArticle=LEGIARTI000006628197&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n° 2000-108 du 10 février 2000 - art. 21-1 (VT)'>article 21-1 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée </a>est transmise par le ou les gestionnaires de réseaux publics concernés à une conférence, lorsque celle-ci a été constituée entre l'ensemble des autorités organisatrices du département dans les conditions prévues par l'article L. 5221-2. </p><p>Sous réserve des dispositions des articles <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000750321&idArticle=LEGIARTI000006628167&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n° 2000-108 du 10 février 2000 - art. 12 (M)'>12 </a>et <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000750321&idArticle=LEGIARTI000006628207&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n° 2000-108 du 10 février 2000 - art. 24 (M)'>24 </a>de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée et de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000787077&idArticle=LEGIARTI000006628454&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n° 2004-803 du 9 août 2004 - art. 10 (V)'>article 10 de la loi n° 2004-803 du 9 août 2004 précitée </a>et de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023986573&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L324-1 (V)'>article L. 324-1 du code de l'énergie</a>, un réseau public de distribution est constitué par les ouvrages de tension inférieure à 50 kV situés sur le territoire de l'autorité organisatrice de la distribution d'électricité ainsi que par les ouvrages de tension supérieure existant, sur le territoire métropolitain continental, à la date de publication de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000787077&categorieLien=cid' title='Loi n° 2004-803 du 9 août 2004 (V)'>loi n° 2004-803 du 9 août 2004 précitée </a>et non exploités par Electricité de France en tant que gestionnaire du réseau public de transport à cette même date. Un décret en Conseil d'Etat définit, en particulier pour les postes de transformation, les conditions de l'appartenance des ouvrages ou parties d'ouvrages aux réseaux publics de distribution, notamment en ce qui concerne leurs caractéristiques, leurs fonctions ou la date de leur mise en service. </p><p>V.-Lorsque, dans des communes fusionnées préalablement à la publication de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000787077&categorieLien=cid' title='Loi n° 2004-803 du 9 août 2004 (V)'>loi n° 2004-803 du 9 août 2004 précitée</a>, la distribution d'électricité ou de gaz est assurée par des organismes de distribution distincts, l'autorité organisatrice de la distribution peut, nonobstant toutes dispositions contraires, confier à l'un de ces organismes la distribution sur tout le territoire de la commune à la date de son choix. </p><p>Si la compétence d'autorité organisatrice de la distribution d'électricité ou de gaz a été transférée, dans une de ces communes, à un établissement public de coopération intercommunale avant la publication de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000787077&categorieLien=cid' title='Loi n° 2004-803 du 9 août 2004 (V)'>loi n° 2004-803 du 9 août 2004 précitée</a>, cette commune peut, nonobstant toutes dispositions contraires, être autorisée par le représentant de l'Etat dans le département, après avis de la commission départementale de la coopération intercommunale réunie dans la formation prévue au second alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006392942&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L5211-45 (V)'>L. 5211-45</a>, à se retirer de l'établissement public de coopération intercommunale lorsque cet établissement ne décide pas d'exercer le droit prévu au premier alinéa du présent V. </p><p>VI.-Dans le cadre de ses missions de distribution publique de l'électricité et de gaz, l'autorité organisatrice d'un réseau public de distribution d'électricité et de gaz peut concourir au déploiement des installations de production d'hydrogène renouvelable ou bas-carbone, au sens de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000043154073&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L811-1 (M)'>article L. 811-1 du code de l'énergie</a>, implantées sur son territoire.</p>
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Section 6 : Energie
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 6 : Energie
<p></p><p></p><p></p>
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-32
Code général des collectivités territoriales
Sous réserve de l'autorisation prévue à l'article 7 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée, les communes, sur leur territoire, et les établissements publics de coopération, sur le territoire des communes qui en sont membres, peuvent, outre les possibilités ouvertes par les douzième et treizième alinéas de l'article 8 de la loi n° 46-628 du 8 avril 1946 précitée, aménager, exploiter, faire aménager et faire exploiter dans les conditions prévues par le présent code toute nouvelle installation hydroélectrique, toute nouvelle installation utilisant les autres énergies renouvelables définies notamment à l'article L. 211-2 du code de l'énergie, toute nouvelle installation de valorisation énergétique des déchets ménagers ou assimilés mentionnés aux articles L. 2224-13 et L. 2224-14 du présent code, ou toute nouvelle installation de production d'hydrogène renouvelable ou bas-carbone définis à l'article L. 811-1 du code de l'énergie, de cogénération ou de récupération d'énergie provenant d'installations visant l'alimentation d'un réseau de chaleur dans les conditions fixées par le dixième alinéa (6°) de l'article 8 de la loi n° 46-628 du 8 avril 1946 précitée lorsque ces nouvelles installations se traduisent par une économie d'énergie et une réduction des pollutions atmosphériques. Les dispositions de l'alinéa précédent s'appliquent sans préjudice du maintien des activités de production existantes à la date de publication de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée, en application notamment de l' article L. 511-11 du code de l'énergie . Pour les installations mentionnées au présent article entrant dans le champ d'application de l'article 10 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée, les communes et les établissements publics de coopération dont elles sont membres bénéficient, à leur demande, de l'obligation d'achat de l'électricité produite dans les conditions prévues à cet article.
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L2224-32
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Article
<p>Sous réserve de l'autorisation prévue à <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000750321&idArticle=LEGIARTI000006628150&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 7 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 </a>précitée, les communes, sur leur territoire, et les établissements publics de coopération, sur le territoire des communes qui en sont membres, peuvent, outre les possibilités ouvertes par les douzième et treizième alinéas de l'article 8 de la loi n° <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000868448&idArticle=LEGIARTI000006628038&dateTexte=&categorieLien=cid'>46-628 </a>du 8 avril 1946 précitée, aménager, exploiter, faire aménager et faire exploiter dans les conditions prévues par le présent code toute nouvelle installation hydroélectrique, toute nouvelle installation utilisant les autres énergies renouvelables définies notamment à l'article L. 211-2 du code de l'énergie, toute nouvelle installation de valorisation énergétique des déchets ménagers ou assimilés mentionnés aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390377&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-13 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390381&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-14 </a>du présent code, ou toute nouvelle installation de production d'hydrogène renouvelable ou bas-carbone définis à l'article L. 811-1 du code de l'énergie, de cogénération ou de récupération d'énergie provenant d'installations visant l'alimentation d'un réseau de chaleur dans les conditions fixées par le dixième alinéa (6°) de l'article 8 de la loi n° 46-628 du 8 avril 1946 précitée lorsque ces nouvelles installations se traduisent par une économie d'énergie et une réduction des pollutions atmosphériques. </p><p>Les dispositions de l'alinéa précédent s'appliquent sans préjudice du maintien des activités de production existantes à la date de publication de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée, en application notamment de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idArticle=LEGIARTI000023987178&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'énergie - art. L511-11 (V)'>article L. 511-11 du code de l'énergie</a>. </p><p>Pour les installations mentionnées au présent article entrant dans le champ d'application de <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000750321&idArticle=LEGIARTI000006628157&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 10 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 </a>précitée, les communes et les établissements publics de coopération dont elles sont membres bénéficient, à leur demande, de l'obligation d'achat de l'électricité produite dans les conditions prévues à cet article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000031068504
MD-20231212_201127_236_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000043976399
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000031069806
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Section 6 : Energie
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LEGISCTA000006180994
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 6 : Energie
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-33
Code général des collectivités territoriales
Dans le cadre de la distribution publique d'électricité, et sous réserve de l'autorisation prévue à l'article 7 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 précitée, les autorités concédantes de la distribution d'électricité visées au I de l'article L. 2224-31 peuvent aménager, exploiter directement ou faire exploiter par leur concessionnaire de la distribution d'électricité toute installation de production d'électricité de proximité d'une puissance inférieure à un seuil fixé par décret, lorsque cette installation est de nature à éviter, dans de bonnes conditions économiques, de qualité, de sécurité et de sûreté de l'alimentation électrique, l'extension ou le renforcement des réseaux publics de distribution d'électricité relevant de leur compétence.
1,041,638,400,000
32,472,144,000,000
L2224-33
LEGIARTI000006390411
LEGIARTI000006390410
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
300,643
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Article
<p></p>Dans le cadre de la distribution publique d'électricité, et sous réserve de l'autorisation prévue à l'article 7 de la loi n° <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000787077&idArticle=LEGIARTI000006628448&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n°2004-803 du 9 août 2004 - art. 7 (V)'>2000-108</a> du 10 février 2000 précitée, les autorités concédantes de la distribution d'électricité visées au I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390402&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2224-31 (V)'>L. 2224-31 </a>peuvent aménager, exploiter directement ou faire exploiter par leur concessionnaire de la distribution d'électricité toute installation de production d'électricité de proximité d'une puissance inférieure à un seuil fixé par décret, lorsque cette installation est de nature à éviter, dans de bonnes conditions économiques, de qualité, de sécurité et de sûreté de l'alimentation électrique, l'extension ou le renforcement des réseaux publics de distribution d'électricité relevant de leur compétence.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390410
MD-20231212_201131_239_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006390411
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000031069806
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Section 6 : Energie
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LEGISCTA000006180994
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 6 : Electricité et gaz
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-34
Code général des collectivités territoriales
Les établissements publics de coopération intercommunale et la métropole de Lyon, lorsqu'ils ont adopté le plan climat-air-énergie territorial mentionné à l'article L. 229-26 du code de l'environnement, sont les coordinateurs de la transition énergétique. Ils animent et coordonnent, sur leur territoire, des actions dans le domaine de l'énergie en cohérence avec les objectifs du plan climat-air-énergie territorial et avec le schéma régional du climat, de l'air et de l'énergie, ou le schéma régional en tenant lieu, en s'adaptant aux caractéristiques de leur territoire. Afin de répondre aux objectifs fixés au titre préliminaire et au titre II du livre Ier du code de l'énergie, les personnes publiques mentionnées au premier alinéa du présent article, les autres établissements publics de coopération intercommunale qui ont adopté le plan mentionné au même premier alinéa à titre facultatif et les syndicats exerçant la compétence mentionnée au deuxième alinéa du IV de l'article L. 2224-31 peuvent notamment réaliser des actions tendant à maîtriser la demande d'énergie de réseau des consommateurs finals desservis en gaz, en chaleur ou en basse tension pour l'électricité et accompagner des actions tendant à maîtriser la demande d'énergie sur leur territoire. Ces actions peuvent également tendre à maîtriser la demande d'énergie des consommateurs en situation de précarité énergétique. Les personnes publiques mentionnées au deuxième alinéa du présent article peuvent notamment proposer des aides à ces consommateurs en prenant en charge, en tout ou partie, des travaux d'isolation, de régulation thermique ou de régulation de la consommation d'énergie ou l'acquisition d'équipements domestiques à faible consommation. Ces aides font l'objet de conventions avec les bénéficiaires. Les personnes publiques mentionnées au présent article peuvent prendre en charge, pour le compte de leurs membres, des études et tout ou partie des travaux nécessaires pour améliorer la performance énergétique des bâtiments dont ces membres sont propriétaires. Elles peuvent assurer le financement de ces études et de ces travaux. A cette fin, des conventions sont conclues avec les membres bénéficiaires.
1,680,307,200,000
32,472,144,000,000
L2224-34
LEGIARTI000047381053
LEGIARTI000006390412
AUTONOME
VIGUEUR
9.0
386,541
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null
null
Article
<p>Les établissements publics de coopération intercommunale et la métropole de Lyon, lorsqu'ils ont adopté le plan climat-air-énergie territorial mentionné à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000022476854&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 229-26 </a>du code de l'environnement, sont les coordinateurs de la transition énergétique. Ils animent et coordonnent, sur leur territoire, des actions dans le domaine de l'énergie en cohérence avec les objectifs du plan climat-air-énergie territorial et avec le schéma régional du climat, de l'air et de l'énergie, ou le schéma régional en tenant lieu, en s'adaptant aux caractéristiques de leur territoire.</p><p>Afin de répondre aux objectifs fixés au <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000023983208&idSectionTA=LEGISCTA000023985174&dateTexte=&categorieLien=cid'>titre préliminaire</a> et au titre II du livre Ier du code de l'énergie, les personnes publiques mentionnées au premier alinéa du présent article, les autres établissements publics de coopération intercommunale qui ont adopté le plan mentionné au même premier alinéa à titre facultatif et les syndicats exerçant la compétence mentionnée au deuxième alinéa du IV de l'article L. 2224-31 peuvent notamment réaliser des actions tendant à maîtriser la demande d'énergie de réseau des consommateurs finals desservis en gaz, en chaleur ou en basse tension pour l'électricité et accompagner des actions tendant à maîtriser la demande d'énergie sur leur territoire.</p><p>Ces actions peuvent également tendre à maîtriser la demande d'énergie des consommateurs en situation de précarité énergétique. Les personnes publiques mentionnées au deuxième alinéa du présent article peuvent notamment proposer des aides à ces consommateurs en prenant en charge, en tout ou partie, des travaux d'isolation, de régulation thermique ou de régulation de la consommation d'énergie ou l'acquisition d'équipements domestiques à faible consommation. Ces aides font l'objet de conventions avec les bénéficiaires.</p><p>Les personnes publiques mentionnées au présent article peuvent prendre en charge, pour le compte de leurs membres, des études et tout ou partie des travaux nécessaires pour améliorer la performance énergétique des bâtiments dont ces membres sont propriétaires. Elles peuvent assurer le financement de ces études et de ces travaux. A cette fin, des conventions sont conclues avec les membres bénéficiaires.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000039369531
IG-20231124
null
LEGIARTI000047381053
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000031069806
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Section 6 : Energie
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LEGISCTA000006180994
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 6 : Energie
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-35
Code général des collectivités territoriales
Tout opérateur de communications électroniques autorisé par une collectivité territoriale, par un établissement public de coopération compétent pour la distribution publique d'électricité, ou par un gestionnaire de réseau public de distribution d'électricité à installer un ouvrage aérien non radioélectrique sur un support de ligne aérienne d'un réseau public de distribution d'électricité procède, en cas de remplacement de cette ligne aérienne par une ligne souterraine à l'initiative de la collectivité ou de l'établissement précité, au remplacement de la totalité de sa ligne aérienne en utilisant la partie aménagée à cet effet dans l'ouvrage souterrain construit en remplacement de l'ouvrage aérien commun. Les infrastructures communes de génie civil créées par la collectivité territoriale ou l'établissement public de coopération leur appartiennent. L'opérateur de communications électroniques prend à sa charge les coûts de dépose, de réinstallation en souterrain et de remplacement des équipements de communications électroniques incluant en particulier les câbles et les coûts d'études et d'ingénierie correspondants. Il prend à sa charge l'entretien de ses équipements. Un arrêté des ministres chargés des communications électroniques et de l'énergie détermine la proportion des coûts de terrassement pris en charge par l'opérateur de communications électroniques. Les infrastructures d'accueil, d'équipement de communications électroniques, en particulier les fourreaux et les chambres de tirage, peuvent faire l'objet d'une prise en charge financière partielle ou complète par la collectivité ou par l'établissement public de coopération, qui dispose alors d'un droit d'usage ou de la propriété de ces infrastructures dans des conditions fixées par la convention prévue au dernier alinéa. Dans le cas où la collectivité est propriétaire des infrastructures, l'opérateur dispose alors d'un droit d'usage pour rétablir ses lignes existantes. Une convention conclue entre la collectivité ou l'établissement public de coopération et l'opérateur de communications électroniques fixe les modalités de réalisation et, le cas échéant, d'occupation de l'ouvrage partagé, notamment les responsabilités et la participation financière de chaque partie, sur la base des principes énoncés ci-dessus, et indique le montant de la redevance qu'il doit éventuellement verser au titre de l'occupation du domaine public.
1,261,180,800,000
32,472,144,000,000
L2224-35
LEGIARTI000021493646
LEGIARTI000006390415
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
429,490
null
null
null
Article
<p>Tout opérateur de communications électroniques autorisé par une collectivité territoriale, par un établissement public de coopération compétent pour la distribution publique d'électricité, ou par un gestionnaire de réseau public de distribution d'électricité à installer un ouvrage aérien non radioélectrique sur un support de ligne aérienne d'un réseau public de distribution d'électricité procède, en cas de remplacement de cette ligne aérienne par une ligne souterraine à l'initiative de la collectivité ou de l'établissement précité, au remplacement de la totalité de sa ligne aérienne en utilisant la partie aménagée à cet effet dans l'ouvrage souterrain construit en remplacement de l'ouvrage aérien commun. Les infrastructures communes de génie civil créées par la collectivité territoriale ou l'établissement public de coopération leur appartiennent.</p><p>L'opérateur de communications électroniques prend à sa charge les coûts de dépose, de réinstallation en souterrain et de remplacement des équipements de communications électroniques incluant en particulier les câbles et les coûts d'études et d'ingénierie correspondants. Il prend à sa charge l'entretien de ses équipements. Un arrêté des ministres chargés des communications électroniques et de l'énergie détermine la proportion des coûts de terrassement pris en charge par l'opérateur de communications électroniques.</p><p>Les infrastructures d'accueil, d'équipement de communications électroniques, en particulier les fourreaux et les chambres de tirage, peuvent faire l'objet d'une prise en charge financière partielle ou complète par la collectivité ou par l'établissement public de coopération, qui dispose alors d'un droit d'usage ou de la propriété de ces infrastructures dans des conditions fixées par la convention prévue au dernier alinéa. Dans le cas où la collectivité est propriétaire des infrastructures, l'opérateur dispose alors d'un droit d'usage pour rétablir ses lignes existantes. </p><p>Une convention conclue entre la collectivité ou l'établissement public de coopération et l'opérateur de communications électroniques fixe les modalités de réalisation et, le cas échéant, d'occupation de l'ouvrage partagé, notamment les responsabilités et la participation financière de chaque partie, sur la base des principes énoncés ci-dessus, et indique le montant de la redevance qu'il doit éventuellement verser au titre de l'occupation du domaine public.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390417
IG-20231129
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LEGIARTI000021493646
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000031069806
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Section 6 : Energie
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LEGISCTA000006180994
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 6 : Electricité et gaz
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-36
Code général des collectivités territoriales
Les collectivités territoriales et leurs établissements publics de coopération exerçant la compétence d'autorité organisatrice de réseaux publics de distribution d'électricité peuvent également assurer, accessoirement à cette compétence, dans le cadre d'une même opération et en complément à la réalisation de travaux relatifs aux réseaux de distribution électrique, la maîtrise d'ouvrage et l'entretien d'infrastructures de génie civil destinées au passage de réseaux de communications électroniques, incluant les fourreaux et les chambres de tirage, sous réserve, lorsque les compétences mentionnées à l'article L. 1425-1 sont exercées par une autre collectivité territoriale ou un autre établissement public de coopération, de la passation avec cette collectivité ou cet établissement d'une convention déterminant les zones dans lesquelles ces ouvrages pourront être réalisés. La pose de câbles dans lesdites infrastructures par une collectivité territoriale ou un établissement public de coopération exerçant les attributions définies à l'article L. 1425-1, ou par un opérateur de communications électroniques, est subordonnée à la perception, par l'autorité organisatrice de la distribution d'électricité concernée, de loyers, participations ou subventions. Cette autorité organisatrice ouvre un budget annexe permettant de constater le respect du principe d'équilibre prévu à l'article L. 2224-1 . L'intervention des collectivités territoriales et de leurs établissements publics de coopération garantit l'utilisation partagée des infrastructures établies ou acquises en application du présent article et respecte le principe d'égalité et de libre concurrence sur les marchés des communications électroniques. Les interventions des collectivités et de leurs établissements publics de coopération s'effectuent dans des conditions objectives, transparentes, non discriminatoires et proportionnées. L'autorité organisatrice de la distribution publique d'électricité maître d'ouvrage des infrastructures de génie civil susmentionnées bénéficie, pour la réalisation d'éléments nécessaires au passage de réseaux souterrains de communication, des dispositions prévues aux deuxième et troisième alinéas de l'article L. 332-11-1 du code de l'urbanisme dans sa rédaction antérieure à la loi n° 2014-1655 du 29 décembre 2014 de finances rectificative pour 2014.
1,419,897,600,000
32,472,144,000,000
L2224-36
LEGIARTI000030060903
LEGIARTI000019297240
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,956,568
null
null
null
Article
<p>Les collectivités territoriales et leurs établissements publics de coopération exerçant la compétence d'autorité organisatrice de réseaux publics de distribution d'électricité peuvent également assurer, accessoirement à cette compétence, dans le cadre d'une même opération et en complément à la réalisation de travaux relatifs aux réseaux de distribution électrique, la maîtrise d'ouvrage et l'entretien d'infrastructures de génie civil destinées au passage de réseaux de communications électroniques, incluant les fourreaux et les chambres de tirage, sous réserve, lorsque les compétences mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389450&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1425-1 </a>sont exercées par une autre collectivité territoriale ou un autre établissement public de coopération, de la passation avec cette collectivité ou cet établissement d'une convention déterminant les zones dans lesquelles ces ouvrages pourront être réalisés. </p><p>La pose de câbles dans lesdites infrastructures par une collectivité territoriale ou un établissement public de coopération exerçant les attributions définies à l'article L. 1425-1, ou par un opérateur de communications électroniques, est subordonnée à la perception, par l'autorité organisatrice de la distribution d'électricité concernée, de loyers, participations ou subventions. Cette autorité organisatrice ouvre un budget annexe permettant de constater le respect du principe d'équilibre prévu à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390339&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2224-1</a>.</p><p>L'intervention des collectivités territoriales et de leurs établissements publics de coopération garantit l'utilisation partagée des infrastructures établies ou acquises en application du présent article et respecte le principe d'égalité et de libre concurrence sur les marchés des communications électroniques. Les interventions des collectivités et de leurs établissements publics de coopération s'effectuent dans des conditions objectives, transparentes, non discriminatoires et proportionnées.</p><p>L'autorité organisatrice de la distribution publique d'électricité maître d'ouvrage des infrastructures de génie civil susmentionnées bénéficie, pour la réalisation d'éléments nécessaires au passage de réseaux souterrains de communication, des dispositions prévues aux deuxième et troisième alinéas de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074075&idArticle=LEGIARTI000006815364&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 332-11-1 du code de l'urbanisme</a> dans sa rédaction antérieure à la loi n° 2014-1655 du 29 décembre 2014 de finances rectificative pour 2014. </p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000019298012
IG-20231124
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LEGIARTI000030060903
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000031069806
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Section 6 : Energie
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LEGISCTA000006180994
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 6 : Electricité et gaz
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-37
Code général des collectivités territoriales
Sous réserve d'une offre inexistante, insuffisante ou inadéquate sur leur territoire, les communes peuvent créer et entretenir des infrastructures de charge nécessaires à l'usage de véhicules électriques ou hybrides rechargeables ou de navires à quai, ainsi que des points de ravitaillement en gaz ou en hydrogène pour véhicules ou pour navires, ou mettre en place un service comprenant la création, l'entretien et l'exploitation de telles infrastructures ou points de ravitaillement. L'exploitation peut comprendre l'achat d'électricité, de gaz ou d'hydrogène nécessaire à l'alimentation des véhicules ou des navires. Elles peuvent transférer cette compétence aux établissements publics de coopération intercommunale exerçant les compétences en matière d'aménagement, de soutien aux actions de maîtrise de la demande d'énergie ou de réduction des émissions polluantes ou de gaz à effet de serre, aux autorités organisatrices d'un réseau public de distribution d'électricité visées à l'article L. 2224-31, aux autorités organisatrices de la mobilité mentionnées au titre III du livre II de la première partie du code des transports et, en Ile-de-France, à Ile-de-France Mobilités. Sans préjudice des consultations prévues par d'autres législations, l'autorité organisatrice du réseau public de distribution d'électricité ou de gaz et le gestionnaire du réseau public de distribution d'électricité ou de gaz émettent un avis sur le projet de création d'infrastructures de charge ou de points de ravitaillement en gaz soumis à délibération de l'organe délibérant en application du présent article. Sur la voirie communale, lorsque des places de stationnement sont matérialisées sur le domaine public et équipées de dispositifs de recharge pour véhicules électriques, un pourcentage minimal de l'ensemble de ces places, arrondi à l'unité supérieure, est accessible aux personnes à mobilité réduite, sans que cette ou ces places leur soient réservées. Le pré-équipement de places de stationnement pour la recharge de véhicules électriques tient compte de cette obligation. Le pourcentage de places accessibles est défini par arrêté ministériel. Lorsque la compétence mentionnée au premier alinéa a été transférée aux établissements publics de coopération intercommunale exerçant les compétences en matière d'aménagement, de soutien aux actions de maîtrise de la demande d'énergie ou de réduction des émissions polluantes ou de gaz à effet de serre ou aux autorités organisatrices d'un réseau public de distribution d'électricité mentionnées à l'article L. 2224-31 ou aux autorités organisatrices de la mobilité mentionnées à l'article L. 1231-1 du code des transports ou, en Ile-de-France, à l'autorité mentionnée à l'article L. 1241-1 du même code, son titulaire peut élaborer un schéma directeur de développement des infrastructures de recharge ouvertes au public pour les véhicules électriques et les véhicules hybrides rechargeables dans le cadre prévu à l'article L. 353-5 du code de l'énergie.
1,614,902,400,000
32,472,144,000,000
L2224-37
LEGIARTI000043215028
LEGIARTI000022476362
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l’article 19 de la loi n° 2019-1428 du 24 décembre 2019, ces dispositions s'appliquent aux places pré-équipées ou équipées en borne de recharge électrique créées à compter de la date de publication de la présente loi. Elles s'appliquent également aux points d'avitaillement en hydrogène et en gaz naturel pour véhicules.
5.0
1,610,720,107
null
null
null
Article
<p></p><p>Sous réserve d'une offre inexistante, insuffisante ou inadéquate sur leur territoire, les communes peuvent créer et entretenir des infrastructures de charge nécessaires à l'usage de véhicules électriques ou hybrides rechargeables ou de navires à quai, ainsi que des points de ravitaillement en gaz ou en hydrogène pour véhicules ou pour navires, ou mettre en place un service comprenant la création, l'entretien et l'exploitation de telles infrastructures ou points de ravitaillement. L'exploitation peut comprendre l'achat d'électricité, de gaz ou d'hydrogène nécessaire à l'alimentation des véhicules ou des navires.</p><p>Elles peuvent transférer cette compétence aux établissements publics de coopération intercommunale exerçant les compétences en matière d'aménagement, de soutien aux actions de maîtrise de la demande d'énergie ou de réduction des émissions polluantes ou de gaz à effet de serre, aux autorités organisatrices d'un réseau public de distribution d'électricité visées à l'article L. 2224-31, aux autorités organisatrices de la mobilité mentionnées au titre III du livre II de la première partie du code des transports et, en Ile-de-France, à Ile-de-France Mobilités.</p><p>Sans préjudice des consultations prévues par d'autres législations, l'autorité organisatrice du réseau public de distribution d'électricité ou de gaz et le gestionnaire du réseau public de distribution d'électricité ou de gaz émettent un avis sur le projet de création d'infrastructures de charge ou de points de ravitaillement en gaz soumis à délibération de l'organe délibérant en application du présent article.</p><p>Sur la voirie communale, lorsque des places de stationnement sont matérialisées sur le domaine public et équipées de dispositifs de recharge pour véhicules électriques, un pourcentage minimal de l'ensemble de ces places, arrondi à l'unité supérieure, est accessible aux personnes à mobilité réduite, sans que cette ou ces places leur soient réservées. Le pré-équipement de places de stationnement pour la recharge de véhicules électriques tient compte de cette obligation. Le pourcentage de places accessibles est défini par arrêté ministériel.</p><p>Lorsque la compétence mentionnée au premier alinéa a été transférée aux établissements publics de coopération intercommunale exerçant les compétences en matière d'aménagement, de soutien aux actions de maîtrise de la demande d'énergie ou de réduction des émissions polluantes ou de gaz à effet de serre ou aux autorités organisatrices d'un réseau public de distribution d'électricité mentionnées à l'article L. 2224-31 ou aux autorités organisatrices de la mobilité mentionnées à l'article L. 1231-1 du code des transports ou, en Ile-de-France, à l'autorité mentionnée à l'article L. 1241-1 du même code, son titulaire peut élaborer un schéma directeur de développement des infrastructures de recharge ouvertes au public pour les véhicules électriques et les véhicules hybrides rechargeables dans le cadre prévu à l'article L. 353-5 du code de l'énergie.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000039784133
IG-20231128
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LEGIARTI000043215028
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000031069806
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Section 6 : Energie
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LEGISCTA000006180994
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 6 : Energie
<p>Conformément au IV de l’article 19 de la loi n° 2019-1428 du 24 décembre 2019, ces dispositions s'appliquent aux places pré-équipées ou équipées en borne de recharge électrique créées à compter de la date de publication de la présente loi. Elles s'appliquent également aux points d'avitaillement en hydrogène et en gaz naturel pour véhicules.</p>
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-37-1
Code général des collectivités territoriales
Une commission consultative est créée entre tout syndicat exerçant la compétence mentionnée au deuxième alinéa du IV de l'article L. 2224-31 et l'ensemble des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre totalement ou partiellement inclus dans le périmètre du syndicat. Cette commission coordonne l'action de ses membres dans le domaine de l'énergie, met en cohérence leurs politiques d'investissement et facilite l'échange de données. La commission comprend un nombre égal de délégués du syndicat et de représentants des établissements publics de coopération intercommunale. Chacun de ces établissements dispose d'au moins un représentant. Elle est présidée par le président du syndicat ou son représentant et se réunit au moins une fois par an, à l'initiative de son président ou de la moitié au moins de ses membres. Un membre de la commission consultative, nommé parmi les représentants des établissements publics de coopération intercommunale, est associé à la représentation du syndicat à la conférence départementale mentionnée au troisième alinéa du I du même article L. 2224-31. Après la création de la commission, le syndicat peut assurer, à la demande et pour le compte d'un ou de plusieurs établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre qui en sont membres, l'élaboration du plan climat-air-énergie territorial mentionné à l'article L. 229-26 du code de l'environnement, ainsi que la réalisation d'actions dans le domaine de l'efficacité énergétique.
1,439,942,400,000
32,472,144,000,000
L2224-37-1
LEGIARTI000031057526
LEGIARTI000031057521
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,879,101,877
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null
null
Article
<p>Une commission consultative est créée entre tout syndicat exerçant la compétence mentionnée au deuxième alinéa du IV de l'article L. 2224-31 et l'ensemble des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre totalement ou partiellement inclus dans le périmètre du syndicat. Cette commission coordonne l'action de ses membres dans le domaine de l'énergie, met en cohérence leurs politiques d'investissement et facilite l'échange de données. </p><p>La commission comprend un nombre égal de délégués du syndicat et de représentants des établissements publics de coopération intercommunale. Chacun de ces établissements dispose d'au moins un représentant. </p><p>Elle est présidée par le président du syndicat ou son représentant et se réunit au moins une fois par an, à l'initiative de son président ou de la moitié au moins de ses membres. </p><p>Un membre de la commission consultative, nommé parmi les représentants des établissements publics de coopération intercommunale, est associé à la représentation du syndicat à la conférence départementale mentionnée au troisième alinéa du I du même article L. 2224-31. </p><p>Après la création de la commission, le syndicat peut assurer, à la demande et pour le compte d'un ou de plusieurs établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre qui en sont membres, l'élaboration du plan climat-air-énergie territorial mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000022476854&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'environnement - art. L229-26 (V)'>L. 229-26</a> du code de l'environnement, ainsi que la réalisation d'actions dans le domaine de l'efficacité énergétique.</p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000031057526
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000031069806
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Section 6 : Energie
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LEGISCTA000006180994
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 6 : Energie
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Code général des collectivités territoriales, art. L2224-38
Code général des collectivités territoriales
I.-Les communes sont compétentes en matière de création et d'exploitation d'un réseau public de chaleur ou de froid. Cette activité constitue un service public industriel et commercial, géré selon les modalités définies à la section 1 du présent chapitre. Cette compétence peut être transférée par la commune à un établissement public dont elle fait partie. Cet établissement public peut faire assurer la maîtrise d'ouvrage de ce réseau par un autre établissement public. II.-Les collectivités territoriales chargées d'un service public de distribution de chaleur ou de froid réalisent un schéma directeur de leur réseau de chaleur ou de froid. Ce schéma directeur concourt à la réalisation de l'objectif d'une alimentation des réseaux de chaleur ou de froid à partir d'énergies renouvelables et de récupération. Il inclut une évaluation de la qualité du service fourni et des possibilités de densification et d'extension de ce réseau et d'interconnexion de ce dernier avec les autres réseaux situés à proximité, ainsi qu'une évaluation des possibilités de développement de la part des énergies renouvelables et de récupération dans l'approvisionnement du réseau, et une évaluation de l'opportunité de créer un service public de distribution de froid. Il est élaboré au plus tard cinq ans après la mise en service du réseau, et révisé tous les dix ans. Pour les réseaux mis en service entre le 1er janvier 2009 et le 31 décembre 2019, le schéma directeur mentionné au présent II est réalisé avant le 31 décembre 2021. III.-Les collectivités territoriales chargées d'un service public de distribution de chaleur ou de froid délimitent, conformément au chapitre II du titre Ier du livre VII du code de l'énergie, les zones de développement prioritaires des réseaux de chaleur et de froid classés au sein desquelles le raccordement est obligatoire. Un décret en Conseil d'Etat définit la zone de développement prioritaire qui s'applique en l'absence de telle décision.
1,629,849,600,000
32,472,144,000,000
L2224-38
LEGIARTI000043977674
LEGIARTI000031057490
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
1,073,741,823
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Article
<p>I.-Les communes sont compétentes en matière de création et d'exploitation d'un réseau public de chaleur ou de froid. Cette activité constitue un service public industriel et commercial, géré selon les modalités définies à la section 1 du présent chapitre. Cette compétence peut être transférée par la commune à un établissement public dont elle fait partie. Cet établissement public peut faire assurer la maîtrise d'ouvrage de ce réseau par un autre établissement public.</p><p>II.-Les collectivités territoriales chargées d'un service public de distribution de chaleur ou de froid réalisent un schéma directeur de leur réseau de chaleur ou de froid. Ce schéma directeur concourt à la réalisation de l'objectif d'une alimentation des réseaux de chaleur ou de froid à partir d'énergies renouvelables et de récupération. Il inclut une évaluation de la qualité du service fourni et des possibilités de densification et d'extension de ce réseau et d'interconnexion de ce dernier avec les autres réseaux situés à proximité, ainsi qu'une évaluation des possibilités de développement de la part des énergies renouvelables et de récupération dans l'approvisionnement du réseau, et une évaluation de l'opportunité de créer un service public de distribution de froid. Il est élaboré au plus tard cinq ans après la mise en service du réseau, et révisé tous les dix ans. Pour les réseaux mis en service entre le 1er janvier 2009 et le 31 décembre 2019, le schéma directeur mentionné au présent II est réalisé avant le 31 décembre 2021.</p><p>III.-Les collectivités territoriales chargées d'un service public de distribution de chaleur ou de froid délimitent, conformément au chapitre II du titre Ier du livre VII du code de l'énergie, les zones de développement prioritaires des réseaux de chaleur et de froid classés au sein desquelles le raccordement est obligatoire. Un décret en Conseil d'Etat définit la zone de développement prioritaire qui s'applique en l'absence de telle décision.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000039369547
MD-20240110_203337_071_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000043977674
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000031057488
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Section 7 : Distribution de chaleur et de froid
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LEGISCTA000031057485
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE IV : Services publics industriels et commerciaux &gt; Section 7 : Distribution de chaleur et de froid
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Code général des collectivités territoriales, art. L2225-1
Code général des collectivités territoriales
La défense extérieure contre l'incendie a pour objet d'assurer, en fonction des besoins résultant des risques à prendre en compte, l'alimentation en eau des moyens des services d'incendie et de secours par l'intermédiaire de points d'eau identifiés à cette fin. Elle est placée sous l'autorité du maire conformément à l'article L. 2213-32 .
1,305,763,200,000
32,472,144,000,000
L2225-1
LEGIARTI000024026484
LEGIARTI000024026484
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
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null
Article
La défense extérieure contre l'incendie a pour objet d'assurer, en fonction des besoins résultant des risques à prendre en compte, l'alimentation en eau des moyens des services d'incendie et de secours par l'intermédiaire de points d'eau identifiés à cette fin. Elle est placée sous l'autorité du maire conformément à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000024026432&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 2213-32</a>.
32,472,144,000,000
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IG-20231124
null
LEGIARTI000024026484
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000024026482
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CHAPITRE V : Défense extérieure contre l'incendie
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LEGISCTA000024026482
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE V : Défense extérieure contre l'incendie
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Code général des collectivités territoriales, art. L2225-2
Code général des collectivités territoriales
-Les communes sont chargées du service public de défense extérieure contre l'incendie et sont compétentes à ce titre pour la création, l'aménagement et la gestion des points d'eau nécessaires à l'alimentation en eau des moyens des services d'incendie et de secours. Elles peuvent également intervenir en amont de ces points d'eau pour garantir leur approvisionnement.
1,305,763,200,000
32,472,144,000,000
L2225-2
LEGIARTI000024026486
LEGIARTI000024026486
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
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null
Article
-Les communes sont chargées du service public de défense extérieure contre l'incendie et sont compétentes à ce titre pour la création, l'aménagement et la gestion des points d'eau nécessaires à l'alimentation en eau des moyens des services d'incendie et de secours. Elles peuvent également intervenir en amont de ces points d'eau pour garantir leur approvisionnement.
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000024026486
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000024026482
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CHAPITRE V : Défense extérieure contre l'incendie
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LEGISCTA000024026482
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE V : Défense extérieure contre l'incendie
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Code général des collectivités territoriales, art. L2225-3
Code général des collectivités territoriales
Lorsque l'approvisionnement des points d'eau visés aux articles L. 2225-1 et L. 2225-2 fait appel à un réseau de transport ou de distribution d'eau, les investissements afférents demandés à la personne publique ou privée responsable de ce réseau sont pris en charge par le service public de défense extérieure contre l'incendie.
1,305,763,200,000
32,472,144,000,000
L2225-3
LEGIARTI000024026488
LEGIARTI000024026488
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,879,048,191
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Article
Lorsque l'approvisionnement des points d'eau visés aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000024026484&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 2225-1 et L. 2225-2</a> fait appel à un réseau de transport ou de distribution d'eau, les investissements afférents demandés à la personne publique ou privée responsable de ce réseau sont pris en charge par le service public de défense extérieure contre l'incendie.
32,472,144,000,000
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IG-20231129
null
LEGIARTI000024026488
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000024026482
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CHAPITRE V : Défense extérieure contre l'incendie
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LEGISCTA000024026482
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE V : Défense extérieure contre l'incendie
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Code général des collectivités territoriales, art. L2225-4
Code général des collectivités territoriales
Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'application du présent chapitre.
1,305,763,200,000
32,472,144,000,000
L2225-4
LEGIARTI000024026490
LEGIARTI000024026490
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,013,265,919
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Article
Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'application du présent chapitre.
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000024026490
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000024026482
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CHAPITRE V : Défense extérieure contre l'incendie
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LEGISCTA000024026482
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE V : Défense extérieure contre l'incendie
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Code général des collectivités territoriales, art. L2226-1
Code général des collectivités territoriales
La gestion des eaux pluviales urbaines correspondant à la collecte, au transport, au stockage et au traitement des eaux pluviales des aires urbaines constitue un service public administratif relevant des communes, dénommé service public de gestion des eaux pluviales urbaines. Le service de gestion des eaux pluviales urbaines assure le contrôle du raccordement des immeubles au réseau public de collecte des eaux pluviales urbaines et du respect des prescriptions fixées en application du dernier alinéa de l'article L. 1331-1 du code de la santé publique et par le zonage défini aux 3° et 4° de l'article L. 2224-10 du présent code ainsi que par les règlements en vigueur. Les modalités d'exécution de ce contrôle sont précisées par délibération du conseil municipal. Un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent article.
1,645,574,400,000
32,472,144,000,000
L2226-1
LEGIARTI000045213959
LEGIARTI000029997399
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>La gestion des eaux pluviales urbaines correspondant à la collecte, au transport, au stockage et au traitement des eaux pluviales des aires urbaines constitue un service public administratif relevant des communes, dénommé service public de gestion des eaux pluviales urbaines.</p><p>Le service de gestion des eaux pluviales urbaines assure le contrôle du raccordement des immeubles au réseau public de collecte des eaux pluviales urbaines et du respect des prescriptions fixées en application du dernier alinéa de l'article L. 1331-1 du code de la santé publique et par le zonage défini aux 3° et 4° de l'article L. 2224-10 du présent code ainsi que par les règlements en vigueur. Les modalités d'exécution de ce contrôle sont précisées par délibération du conseil municipal.</p><p>Un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029997399
IG-20231124
null
LEGIARTI000045213959
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029997397
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CHAPITRE VI : Gestion des eaux pluviales urbaines
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LEGISCTA000029997397
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE VI : Gestion des eaux pluviales urbaines
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Code général des collectivités territoriales, art. L2226-2
Code général des collectivités territoriales
L'article L. 2226-1 est applicable aux départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne ainsi qu'à l'institution interdépartementale qu'ils ont créée entre eux lorsque, en application de l'article L. 3451-1 , ils assurent tout ou partie des missions de gestion des eaux pluviales urbaines.
1,439,078,400,000
32,472,144,000,000
L2226-2
LEGIARTI000031018249
LEGIARTI000031018249
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<div align='left'>L'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000029997399&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2226-1 (V)'>L. 2226-1 </a>est applicable aux départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne ainsi qu'à l'institution interdépartementale qu'ils ont créée entre eux lorsque, en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006391962&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L3451-1 (V)'>L. 3451-1</a>, ils assurent tout ou partie des missions de gestion des eaux pluviales urbaines.</div>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000031018249
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029997397
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CHAPITRE VI : Gestion des eaux pluviales urbaines
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LEGISCTA000029997397
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE II : SERVICES COMMUNAUX &gt; CHAPITRE VI : Gestion des eaux pluviales urbaines
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Code général des collectivités territoriales, art. L2231-1
Code général des collectivités territoriales
Le maire d'une commune ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale doté d'un plan local d'urbanisme, d'un document d'urbanisme en tenant lieu ou d'une carte communale présente au conseil municipal ou à l'assemblée délibérante, au moins une fois tous les trois ans, un rapport relatif à l'artificialisation des sols sur son territoire au cours des années civiles précédentes. Le rapport rend compte de la mesure dans laquelle les objectifs de lutte contre l'artificialisation des sols sont atteints. Le rapport donne lieu à un débat au sein du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante. Le débat est suivi d'un vote. Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante font l'objet d'une publication dans les conditions prévues au dernier alinéa de l'article L. 2131-1. Dans un délai de quinze jours à compter de leur publication, ils sont transmis aux représentants de l'Etat dans la région et dans le département, au président du conseil régional ainsi que, selon le cas, au président de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre dont la commune est membre ou aux maires des communes membres de l'établissement public de coopération intercommunale compétent ainsi qu'au président de l'établissement public mentionné à l'article L. 143-16 du code de l'urbanisme. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'application du présent article. Il précise notamment les indicateurs et les données qui doivent figurer dans le rapport ainsi que les conditions dans lesquelles l'Etat met à la disposition des collectivités concernées les données de l'observatoire de l'artificialisation.
1,629,849,600,000
32,472,144,000,000
L2231-1
LEGIARTI000043977988
LEGIARTI000006390418
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
21,474
null
null
null
Article
<p>Le maire d'une commune ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale doté d'un plan local d'urbanisme, d'un document d'urbanisme en tenant lieu ou d'une carte communale présente au conseil municipal ou à l'assemblée délibérante, au moins une fois tous les trois ans, un rapport relatif à l'artificialisation des sols sur son territoire au cours des années civiles précédentes.<br/> Le rapport rend compte de la mesure dans laquelle les objectifs de lutte contre l'artificialisation des sols sont atteints.<br/> Le rapport donne lieu à un débat au sein du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante. Le débat est suivi d'un vote.<br/> Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante font l'objet d'une publication dans les conditions prévues au dernier alinéa de l'article L. 2131-1.<br/> Dans un délai de quinze jours à compter de leur publication, ils sont transmis aux représentants de l'Etat dans la région et dans le département, au président du conseil régional ainsi que, selon le cas, au président de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre dont la commune est membre ou aux maires des communes membres de l'établissement public de coopération intercommunale compétent ainsi qu'au président de l'établissement public mentionné à l'article L. 143-16 du code de l'urbanisme.<br/> Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'application du présent article. Il précise notamment les indicateurs et les données qui doivent figurer dans le rapport ainsi que les conditions dans lesquelles l'Etat met à la disposition des collectivités concernées les données de l'observatoire de l'artificialisation.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390419
MD-20231128_200937_191_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000043977988
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000043977998
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CHAPITRE unique
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LEGISCTA000006164886
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE III : ARTIFICIALISATION DES SOLS &gt; CHAPITRE unique
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Code général des collectivités territoriales, art. L2241-1
Code général des collectivités territoriales
Le conseil municipal délibère sur la gestion des biens et les opérations immobilières effectuées par la commune, sous réserve, s'il s'agit de biens appartenant à une section de commune, des dispositions des articles L. 2411-1 à L. 2411-19 . Le bilan des acquisitions et cessions opérées sur le territoire d'une commune de plus de 2 000 habitants par celle-ci, ou par une personne publique ou privée agissant dans le cadre d'une convention avec cette commune, donne lieu chaque année à une délibération du conseil municipal. Ce bilan est annexé au compte administratif de la commune. Toute cession d'immeubles ou de droits réels immobiliers par une commune de plus de 2 000 habitants donne lieu à délibération motivée du conseil municipal portant sur les conditions de la vente et ses caractéristiques essentielles. Le conseil municipal délibère au vu de l'avis de l'autorité compétente de l'Etat. Cet avis est réputé donné à l'issue d'un délai d'un mois à compter de la saisine de cette autorité.
1,242,259,200,000
32,472,144,000,000
L2241-1
LEGIARTI000020629575
LEGIARTI000006390457
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le conseil municipal délibère sur la gestion des biens et les opérations immobilières effectuées par la commune, sous réserve, s'il s'agit de biens appartenant à une section de commune, des dispositions des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390954&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code général des collectivités territoriales - art. L2411-1 (V)'>articles L. 2411-1 à L. 2411-19</a>. </p><p>Le bilan des acquisitions et cessions opérées sur le territoire d'une commune de plus de 2 000 habitants par celle-ci, ou par une personne publique ou privée agissant dans le cadre d'une convention avec cette commune, donne lieu chaque année à une délibération du conseil municipal. Ce bilan est annexé au compte administratif de la commune. </p><p>Toute cession d'immeubles ou de droits réels immobiliers par une commune de plus de 2 000 habitants donne lieu à délibération motivée du conseil municipal portant sur les conditions de la vente et ses caractéristiques essentielles. Le conseil municipal délibère au vu de l'avis de l'autorité compétente de l'Etat. Cet avis est réputé donné à l'issue d'un délai d'un mois à compter de la saisine de cette autorité.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390458
MD-20240104_212434_466_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000020629575
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164565
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CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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LEGISCTA000006164565
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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Code général des collectivités territoriales, art. L2241-3
Code général des collectivités territoriales
Lorsque les communes et leurs établissements publics procèdent à des acquisitions immobilières à l'amiable suivant les règles du droit civil, ou lorsque l'acquisition a lieu sur licitation, le notaire rédacteur de l'acte procède s'il y a lieu, sous sa responsabilité, à la purge de tous privilèges et hypothèques. Les fonds qui lui sont remis sont alors considérés comme reçus en raison de ses fonctions.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2241-3
LEGIARTI000006390460
LEGIARTI000006390460
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
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null
null
Article
<p></p> Lorsque les communes et leurs établissements publics procèdent à des acquisitions immobilières à l'amiable suivant les règles du droit civil, ou lorsque l'acquisition a lieu sur licitation, le notaire rédacteur de l'acte procède s'il y a lieu, sous sa responsabilité, à la purge de tous privilèges et hypothèques.<p></p><p></p> Les fonds qui lui sont remis sont alors considérés comme reçus en raison de ses fonctions.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006390460
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164565
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CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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LEGISCTA000006164565
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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Code général des collectivités territoriales, art. L2241-4
Code général des collectivités territoriales
Les communes sont, sur proposition des vendeurs, autorisées à acquérir, moyennant le paiement d'une rente viagère, les immeubles qui leur sont nécessaires pour des opérations de restauration immobilière, d'aménagement ou d'équipement. Lorsqu'un immeuble ainsi aliéné est occupé en tout ou partie par le vendeur, le contrat de vente viagère doit comporter à son profit et à celui de son conjoint habitant avec lui, à la date de l'acte de vente, la réserve d'un droit d'habiter totalement ou partiellement ledit immeuble leur vie durant.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2241-4
LEGIARTI000006390461
LEGIARTI000006390461
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> Les communes sont, sur proposition des vendeurs, autorisées à acquérir, moyennant le paiement d'une rente viagère, les immeubles qui leur sont nécessaires pour des opérations de restauration immobilière, d'aménagement ou d'équipement.<p></p><p></p> Lorsqu'un immeuble ainsi aliéné est occupé en tout ou partie par le vendeur, le contrat de vente viagère doit comporter à son profit et à celui de son conjoint habitant avec lui, à la date de l'acte de vente, la réserve d'un droit d'habiter totalement ou partiellement ledit immeuble leur vie durant.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006390461
LEGI
32,472,144,000,000
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CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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LEGISCTA000006164565
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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Code général des collectivités territoriales, art. L2241-5
Code général des collectivités territoriales
Les délibérations par lesquelles les commissions administratives chargées de la gestion des établissements publics communaux changent en totalité ou en partie l'affectation des locaux ou objets immobiliers ou mobiliers appartenant à ces établissements, dans l'intérêt d'un service public ou privé quelconque, ou mettent ces locaux et objets à la disposition, soit d'un autre établissement public ou privé, soit d'un particulier, ne sont exécutoires qu'après accord du conseil municipal. Les délibérations par lesquelles les conseils d'administration des établissements publics communaux d'hébergement des personnes âgées se prononcent sur l'affectation des immeubles sont régies par l'article L. 315-12 du code de l'action sociale et des familles.
1,267,142,400,000
32,472,144,000,000
L2241-5
LEGIARTI000021873438
LEGIARTI000006390462
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
257,694
null
null
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Article
<p>Les délibérations par lesquelles les commissions administratives chargées de la gestion des établissements publics communaux changent en totalité ou en partie l'affectation des locaux ou objets immobiliers ou mobiliers appartenant à ces établissements, dans l'intérêt d'un service public ou privé quelconque, ou mettent ces locaux et objets à la disposition, soit d'un autre établissement public ou privé, soit d'un particulier, ne sont exécutoires qu'après accord du conseil municipal. </p><p>Les délibérations par lesquelles les conseils d'administration des établissements publics communaux d'hébergement des personnes âgées se prononcent sur l'affectation des immeubles sont régies par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006797588&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 315-12</a> du code de l'action sociale et des familles.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390463
IG-20231129
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LEGIARTI000021873438
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164565
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CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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LEGISCTA000006164565
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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Code général des collectivités territoriales, art. L2241-6
Code général des collectivités territoriales
Lorsque le maire procède à une adjudication publique pour le compte de la commune, il est assisté de deux membres du conseil municipal désignés d'avance par le conseil ou, à défaut de cette désignation, appelés dans l'ordre du tableau. Le receveur municipal est appelé à toutes les adjudications. Toutes les difficultés qui peuvent s'élever sur les opérations préparatoires de l'adjudication sont résolues, séance tenante, par le maire et les deux assistants, à la majorité des voix, sauf le recours de droit.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2241-6
LEGIARTI000006390464
LEGIARTI000006390464
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p> Lorsque le maire procède à une adjudication publique pour le compte de la commune, il est assisté de deux membres du conseil municipal désignés d'avance par le conseil ou, à défaut de cette désignation, appelés dans l'ordre du tableau.<p></p><p></p> Le receveur municipal est appelé à toutes les adjudications.<p></p><p></p> Toutes les difficultés qui peuvent s'élever sur les opérations préparatoires de l'adjudication sont résolues, séance tenante, par le maire et les deux assistants, à la majorité des voix, sauf le recours de droit.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
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LEGIARTI000006390464
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164565
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CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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LEGISCTA000006164565
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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Code général des collectivités territoriales, art. L2241-7
Code général des collectivités territoriales
Lorsque l'adjudication a lieu pour le compte d'un centre communal d'action sociale, le président du conseil d'administration y procède, assisté de deux membres du conseil désignés par celui-ci ou, à défaut de cette désignation, appelés par ordre d'ancienneté. Le receveur de l'établissement est appelé à l'adjudication.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2241-7
LEGIARTI000006390465
LEGIARTI000006390465
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p> Lorsque l'adjudication a lieu pour le compte d'un centre communal d'action sociale, le président du conseil d'administration y procède, assisté de deux membres du conseil désignés par celui-ci ou, à défaut de cette désignation, appelés par ordre d'ancienneté.<p></p><p></p> Le receveur de l'établissement est appelé à l'adjudication.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006390465
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164565
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CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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LEGISCTA000006164565
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE Ier : Dispositions générales
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Code général des collectivités territoriales, art. L2242-1
Code général des collectivités territoriales
Le conseil municipal statue sur l'acceptation des dons et legs faits à la commune.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2242-1
LEGIARTI000006390466
LEGIARTI000006390466
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Le conseil municipal statue sur l'acceptation des dons et legs faits à la commune.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
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LEGIARTI000006390466
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164566
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CHAPITRE II : Dons et legs
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LEGISCTA000006164566
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE II : Dons et legs
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Code général des collectivités territoriales, art. L2242-2
Code général des collectivités territoriales
Lorsqu'un don ou un legs est fait à un hameau ou à un quartier qui ne constitue pas une section de commune, le conseil municipal statue sur l'acceptation de cette libéralité. En cas d'acceptation, la commune gère le bien dans l'intérêt du hameau ou du quartier concerné.
1,369,785,600,000
32,472,144,000,000
L2242-2
LEGIARTI000027469641
LEGIARTI000006390467
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'un don ou un legs est fait à un hameau ou à un quartier qui ne constitue pas une section de commune, le conseil municipal statue sur l'acceptation de cette libéralité.</p><p></p><p> En cas d'acceptation, la commune gère le bien dans l'intérêt du hameau ou du quartier concerné.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006390467
IG-20231124
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LEGIARTI000027469641
LEGI
32,472,144,000,000
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CHAPITRE II : Dons et legs
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LEGISCTA000006164566
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE II : Dons et legs
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Code général des collectivités territoriales, art. L2242-3
Code général des collectivités territoriales
Les établissements publics communaux acceptent et refusent les dons et legs qui leur sont faits.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2242-3
LEGIARTI000006390468
LEGIARTI000006390468
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Les établissements publics communaux acceptent et refusent les dons et legs qui leur sont faits.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006390468
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164566
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CHAPITRE II : Dons et legs
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LEGISCTA000006164566
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE II : Dons et legs
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Code général des collectivités territoriales, art. L2242-4
Code général des collectivités territoriales
Le maire peut toujours, à titre conservatoire, accepter les dons et legs et former, avant l'autorisation, toute demande en délivrance. Les établissements publics communaux peuvent également, sans autorisation préalable, accepter provisoirement ou à titre conservatoire les legs qui leur sont faits. La délibération du conseil municipal ou de la commission administrative, qui intervient ultérieurement, a effet du jour de cette acceptation.
825,120,000,000
32,472,144,000,000
L2242-4
LEGIARTI000006390469
LEGIARTI000006390469
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> Le maire peut toujours, à titre conservatoire, accepter les dons et legs et former, avant l'autorisation, toute demande en délivrance.<p></p><p></p> Les établissements publics communaux peuvent également, sans autorisation préalable, accepter provisoirement ou à titre conservatoire les legs qui leur sont faits.<p></p><p></p> La délibération du conseil municipal ou de la commission administrative, qui intervient ultérieurement, a effet du jour de cette acceptation.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006390469
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164566
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CHAPITRE II : Dons et legs
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LEGISCTA000006164566
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE II : Dons et legs
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Code général des collectivités territoriales, art. L2243-1
Code général des collectivités territoriales
Lorsque, dans une commune, des immeubles, parties d'immeubles, voies privées assorties d'une servitude de passage public, installations et terrains sans occupant à titre habituel ne sont manifestement plus entretenus, le maire engage la procédure de déclaration de la parcelle concernée en état d'abandon manifeste.
1,645,574,400,000
32,472,144,000,000
L2243-1
LEGIARTI000045211932
LEGIARTI000006390473
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Lorsque, dans une commune, des immeubles, parties d'immeubles, voies privées assorties d'une servitude de passage public, installations et terrains sans occupant à titre habituel ne sont manifestement plus entretenus, le maire engage la procédure de déclaration de la parcelle concernée en état d'abandon manifeste.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000031039494
MD-20240326_195855_980_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000045211932
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164567
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CHAPITRE III : Déclaration de parcelle en état d'abandon
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LEGISCTA000006164567
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Déclaration de parcelle en état d'abandon
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Code général des collectivités territoriales, art. L2243-1-1
Code général des collectivités territoriales
Dans le périmètre d'une opération de revitalisation de territoire mentionnée à l'article L. 303-2 du code de la construction et de l'habitation ou d'une grande opération d'urbanisme mentionnée à l'article L. 312-3 du code de l'urbanisme, l'abandon manifeste d'une partie d'immeuble est constaté dès lors que des travaux ont condamné l'accès à cette partie. La procédure prévue aux articles L. 2243-2 à L. 2243-4 est applicable.
1,698,192,000,000
32,472,144,000,000
L2243-1-1
LEGIARTI000048250558
LEGIARTI000037652939
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
107,372
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null
null
Article
<p>Dans le périmètre d'une opération de revitalisation de territoire mentionnée à l'article L. 303-2 du code de la construction et de l'habitation ou d'une grande opération d'urbanisme mentionnée à l'article L. 312-3 du code de l'urbanisme, l'abandon manifeste d'une partie d'immeuble est constaté dès lors que des travaux ont condamné l'accès à cette partie. La procédure prévue aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390475&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2243-2 </a>à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006390478&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2243-4</a> est applicable.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000037652984
IG-20231124
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LEGIARTI000048250558
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006164567
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CHAPITRE III : Déclaration de parcelle en état d'abandon
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LEGISCTA000006164567
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Partie législative &gt; DEUXIÈME PARTIE : LA COMMUNE &gt; LIVRE II : ADMINISTRATION ET SERVICES COMMUNAUX &gt; TITRE IV : BIENS DE LA COMMUNE &gt; CHAPITRE III : Déclaration de parcelle en état d'abandon
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