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Parlavà
Parlavà est une commune de la province de Gérone, en Catalogne, en Espagne, de la comarque de Baix Empordà Histoire Notes et références Annexes Articles connexes Liste des comarques de Catalogne Liens externes Commune en Catalogne Commune dans la province de Gérone
Ockholm
Ockholm (en danois: Okholm) est une commune de l'arrondissement de Frise-du-Nord, Land de Schleswig-Holstein. Géographie La commune se situe sur les côtes de la mer du Nord, au sein de marais maritimes. En plus d'Ockholm, la commune comprend aussi Schlüttsiel, Bongsiel et le sud de . Histoire Jusqu'à l'inondation de la Saint-Marcel en 1362, Ockholm appartient aux hundreds de Beltring. Il ne reste plus qu'une Hallig. Ockholm est mentionné pour la première fois en 1462. Son nom signifierait "île d'Ocke". Des chantiers archéologiques ont montré une activité agricole du au , jusqu'à l'inondation. En 1515, le hallig est entouré d'une digue et gagne du terrain. Une église est reconstruite. La presqu'île est souvent en danger lors de tempêtes. Les marais montrent les ruptures de digues et l'impossibilité de les relever. En 1579, des marchands de Flensbourg établissent un port après qu'on leur a refusé l'accès à celui de Husum. Il demeure marginal, n'est pas entretenu et donc détruit après des tempêtes. L'inondation de 1634 franchit les digues, submerge le polder, détruit l'église, tuant 400 personnes. En 1639, Christian IV de Danemark fait une priorité de reconstruire ce territoire. Les travaux sont finis en 1641. On baptise le nouveau terrain du nom de . En 1647, l'église est rebâtie. En 1735, le permet le drainage de dix polders. Après une tempête de 1962, une nouvelle série de digues est reconstruite, l'espace entre elles est classée zone humide. Durant le troisième Reich, la commune accueille un camp de travailleurs qui bâtissent des digues. En 1959, un port est bâti afin de permettre des liaisons en ferry vers les halligs et Amrum. Source, notes et références Commune au Schleswig-Holstein
Florent Marty
Florent Marty est un footballeur français né le à Lyon. Il est milieu de terrain au Louhans-Cuiseaux FC. En juillet 2014, il totalisait 145 matchs joués en Ligue 2 avec le FC Gueugnon et le CA Bastia. Carrière 2003-2004 : Olympique lyonnais 2004-2008 : FC Gueugnon 2008-2009 : AS Lyon-Duchère 2009-2010 : Amiens SC 2010-2011 : AS Vitré 2011-2015 : CA Bastia 2015-2016 : Borgo Football Club 2016-2017 : Louhans-Cuiseaux FC 2017- : AS Furiani/Agliani Notes et références Liens externes Naissance en mars 1984 Footballeur français Joueur du FC Gueugnon Joueur de l'Amiens SC Joueur de l'AS Vitré Joueur du Cercle athlétique bastiais Naissance à Lyon Joueur de Lyon-La Duchère
Fakir Musafar
Roland Loomis, dit Fakir Musafar, né le à Aberdeen (Dakota du Sud) et mort le à Menlo Park (Californie), est considéré comme le père du . Il a expérimenté sur son corps les techniques de modification corporelle telles que le piercing, le tightlacing, la scarification, le tatouage, la suspension corporelle et le bondage. Sa vie et son enseignement font de lui une icône de la culture alternative des milieux BDSM et fétichiste. Biographie À partir de 1948, il prend fait et cause pour les pratiques anciennes et les techniques modernes du piercing. En 1966 ou 1967, il réalise sur lui-même, avec l'aide de Davy Jones, une suspension « O-kee-pa », un rituel Mandan et Sioux dans lequel les participants se suspendent verticalement à l'aide de crochets plantés dans le haut du torse . Il qualifie ce rituel d'« expérience transformative ». Il fréquente alors le milieu homosexuel et le milieu fétichiste. Ses écrits et ses photographies sont diffusés dans leurs publications. Musafar montre et partage ses explorations dans ses écrits, ses interviews et son enseignement d'autres « jeux corporels ». En 1967, il invente l'expression « Modern Primitives », par analogie aux mœurs de modification corporelle des peuples autochtones. Selon lui, cette expression désigne « une personne non tribale qui répond à des besoins primaires liés au corps ». Il crée le magazine Body Play, regroupant toute une communauté qui diffuse ces pratiques, telles que la « ball dance », une danse extatique avec des poids accrochés sur toute la peau. Sa première apparition publique en tant que Fakir Musafar a lieu lors de la première Tattoo Convention de Reno au Nevada en 1977. En 1985, il participe à l'élaboration du film Dances Sacred and Profane et y apparaît lui-même. Au début des années 1990, Musafar apparaît dans les émissions de télévision grand public et devient un référent dans les documentaires sur les Primitifs Modernes. En février 1999, Fakir Musafar est invité à la conférence annuelle américaine de psychiatrie pour présenter son expérience de la modification corporelle et du chamanisme. Il intervient dans les lycées et universités américaines et des réunions pour parler du mouvement New Age. En 2005, il apparaît dans le documentaire Modify, réalisé par Jason Gary et Greg Jacobson. Après quarante ans d'expérience du piercing et du body art, il crée une école de perceurs en Amérique. Il continue ses performances à travers le monde avec sa partenaire Cléo Dubois. Sa femme Cléo Dubois a annoncé sur Facebook qu'il s'est éteint chez lui, le août 2018. Fakir Musafar avait annoncé le 5 mai de la même année qu'il souffrait d'un cancer du poumon. Publications Body Play: The Self-images of Fakir Musafar, 1982, Insight Books Fakir Musafar: Spirit + Flesh, Arena Editions, 2004, Notes et références Voir aussi Filmographie Fakir Musafar, documentaire diffusé lors de la Nuit du cyclone, émission spéciale de L'Œil du cyclone, le sur Canal + (troisième partie, à partir de ). Jason Gary et Greg Jacobson, Modify, 2005 (documentaire, fiche sur IMDb). Articles connexes Liens externes Naissance en août 1930 Naissance à Aberdeen (Dakota du Sud) Culture à San Francisco Modification corporelle Personnalité du BDSM Photographe américain Nom de scène Personnalité du chamanisme Décès à 87 ans Décès à Menlo Park Mort d'un cancer du poumon Mort d'un cancer aux États-Unis Décès en août 2018
Wizard101
est un jeu multijoueur en ligne (un MMORPG) créé par Kingsisle qui se déroule dans un monde magique, dans lequel le joueur collectionne des cartes magiques, participe à des duels de magie et explore des mondes lointains. Dans la peau d'un jeune apprenti sorcier, il doit sauver Sorcelleville tout en découvrant des cultures fascinantes et mystérieuses comme l'Egypte ancienne, le Londres victorien ou les royaumes aztèques. En , comptait 5 millions de joueurs. Alors qu'il était de type Free-to-play à sa sortie, Wizard101 passe "en mode prestige" en 2012, ce qui signifie qu'à l'exception des zones de départ, l'intégralité du jeu est à présent payant d'accès, nécessitant donc une adhésion renouvelable pour débloquer directement tout le jeu ou bien l'achat de monnaie virtuelle permettant de débloquer une à une les différentes zones. Système de jeu Le joueur contrôle un sorcier débutant venant de s'inscrire dans la célèbre École des arts magiques de Corbois. Tout en gagnant en puissance au fur et à mesure de ses aventures, il est amené à combattre des adeptes de Magie noire afin de sauvegarder (ou ramener, le cas échéant) la paix dans l'univers de la Spirale. Les principaux antagonistes de l'histoire sont l'ex-professeur de l'école de la mort Malistaire Drake et la sorcière Morgana. Création du personnage L'apparence du sorcier peut être personnalisée lors de sa création, notamment le genre, la coupe et la couleur de cheveux, le visage ainsi que la couleur de la peau. Il sera aussi possible de choisir la couleur des vêtements de base du personnage, bien que cela ne soit guère important étant donné que le joueur sera rapidement amené à équiper d'autres habits. Le prénom du sorcier sera définissable à partir d'une roulette de prénoms variés mise à disposition. Quant au nom de famille, il se compose généralement de deux parties que l'on peut également choisir au moyens de roulettes: un préfixe adjectif et un suffixe nom commun lié au champ lexical du merveilleux ou du fantastique. Le nom et le prénom ne seront plus modifiables après la création du sorcier. Au lieu des classes de personnages traditionnelles dans les Mmorpg, Wizard101 offre aux joueurs un choix parmi sept écoles de magie différentes, chacune offrant une approche différente du duel magique qui constitue la base du jeu. Parmi ces écoles de magie, on trouve : l'école du feu (spécialisée dans les dot) ; l'école des glaces (spécialisée dans les sorts de protections ainsi que les sorts d'entrave, prédispose donc au rôle de tank) ; l'école des tempêtes (spécialisée dans le DPS) ; l'école de la vie (spécialisée dans les sorts de soin, prédispose donc au rôle de healer) ; l'école des mythes (spécialisée dans l'invocation de laquais ainsi que les destructions de buff) ; l'école de la mort (spécialisée dans le debuff ainsi que les attaques alliant des dégâts à l'adversaire et des soins aux alliés) ; l'école de l'harmonie (polyvalente, spécialisée dans les buff, les soins et les attaques de zone). Système de combat Les combats magiques sont le centre du Gameplay du jeu. Ils reposent sur un système de tour-par-tour et peuvent aussi bien se pratiquer seul qu'à plusieurs. Il y a également une possibilité de pratiquer le PvP, c'est-à-dire des combats amicaux entre les joueurs eux-mêmes, plutôt que contre des adversaires du jeu contrôlés par une IA. Les combats prennent l'apparence d'une partie de carte (chaque sorts maîtrisé par un joueur étant incarné par une carte précise) permettant plusieurs actions: attaquer l'adversaire, se soigner, se protéger (ou protéger un allié) pour une future attaque, renforcer la puissance ou l'efficacité de son prochain sort, affaiblir l'adversaire ou même passer son tour. Chaque personnage (que ce soit les joueurs ou les monstres du jeu) possède une jauge de santé qu'il doit garder le plus possible intacte. Un combattant est vaincu lorsque sa santé tombe à zéro. le sorts d'attaques enlèvent à chaque fois un nombre spécifique de points de santé. Au fur et à mesure que le joueur avance dans le jeu, gagne en puissance et obtient de nouvelles cartes, la difficulté des combats se corse, ses derniers demandant de plus en plus de stratégie pour être remportés. Un élément important à noter est que les monstres présents dans le jeu utilisent chacun une magie d'une école spécifique. Or, à l'instar de la série de jeux vidéo Pokémon, chaque type d'école est particulièrement sensible aux attaques d'un type spécifique mais particulièrement résistant à celles de son propre type. Ainsi, certains combats peuvent nécessiter de plus grandes stratégies que d'autres (ou bien l'aide d'alliés) si l'adversaire se révèle être de la même école que le joueur. L'univers L'aventure de Wizard101 prend place au sein d'une galaxie fictive nommée "La Spirale" dans laquelle sont connectés différents mondes que le joueur sera amené à découvrir et à parcourir. Chacun de ses mondes possède une atmosphère qui lui est propre et la plupart d'entre eux sont directement inspirés d'endroits réels ou bien de lieux de légendes. Parmi les mondes disponibles, on trouve: -Sorcelleville (lieux de départ où se trouve l'école des arts magiques de Corbois) -Crocotopia (inspiré de l'Egypte antique) -Morlezos (inspiré de l'ambiance londonienne du XIXème siècle) -Grizzelheim et Hiverland (inspirés du folklore et de la mythologie viking) -Meushu (inspiré du Japon de l'époque d'Edo) -Wisteria (monde abritant une école de magie concurrente, l'académie de Porcitadelle) -Roc du Dragon (école de magie détruite abritant maintenant les fantômes des guerriers qui y habitaient jadis) -Célestia (monde aquatique pourvu de plusieurs références aux oeuvres de Jules Verne, notamment le roman Vingt Mille Lieues sous les mers) -Zafaria (inspiré de la savane africaine) -Avalon (inspiré de la Matière de Bretagne, notamment les légendes du Roi Arthur) -Aztéca (inspiré à la fois de la culture Aztèque et de l'époque du Crétacé) -Aquila (inspiré de la mythologie romaine) -Chrysialis (pourvu de nombreuses références à l'Entomologie) -Polaris (inspiré du folklore traditionnel russe) -Mirage (inspiré des mythes d'Extrême-Orient) à noter que de nouveaux mondes sont rajoutés au jeu au travers de mises à jour. Postérité En 2012, a sorti un autre jeu multijoueur en ligne (un MMORPG) issu du même univers : ; ce jeu est inédit dans tous les pays francophones. Notes et références Lien externe Jeu vidéo sorti en 2008 Jeu vidéo de fantasy Jeu de rôle en ligne massivement multijoueur Jeu vidéo développé aux États-Unis Jeu Windows Jeu Mac
Alacska
Alacska est un village et une commune du comitat de Borsod-Abaúj-Zemplén en Hongrie. Géographie Histoire Économie Transports en commun Personnages célèbres Enseignement Édifices et lieux d'intérêt Villes jumelées Ville et village dans le comitat de Borsod-Abaúj-Zemplén
Route magistrale 47 (Serbie)
La Route Magistrale 47 (en serbe : Државни пут IВ реда број 47, Državni put IB reda broj 47 ; Магистрала број 47, Magistrala broj 47) est la plus courte route nationale de Serbie avec ses qui relie entre elles les Routes Magistrales 10 et 13 dans le quartier de Krnjača dans la municipalité de Palilula (Belgrade) jusqu’au quartier de Bogoslovija de la capitale serbe Belgrade. Cette route nationale fait partie de la route européenne 70 sur toute la longueur. Dès la construction de la Voie Rapide 10 qui relira la capitale serbe Belgrade à la frontière serbo-roumaine (Poste-frontière Vatin), cette route nationale sera déclassée en boulevard urbain. Description du tracé Route Magistrale 47 ; De l'intersection Krnjača (Belgrade) à Bogoslovija (Belgrade) Route Européenne La Route Magistrale 47 est aussi : Ouvrages d'art Pont de Pančevo, , (Bogoslovija, Belgrade) Galerie d'images Liens externes Site officiel de l'entreprise publique "Routes de Serbie" (en serbe : "Putevi Srbije") Carte routière de Serbie AMSS Voir aussi Liste des autoroutes de la Serbie Routes de Serbie Références Route en Serbie
Rampage de Milwaukee
Le Rampage de Milwaukee (en anglais : Milwaukee Rampage) est un ancien club américain de soccer, basé à Milwaukee dans le Wisconsin, fondé en 1993 et disparu en 2002. Évoluant tout d'abord en troisième division, le Rampage intègre la seconde division, la A-League en 1997. Le Rampage s'est illustré par deux titres en A-League en 1997 puis en 2002. Histoire Fondé en 1993, le Rampage fait ses débuts lors d'une rencontre contre le KS Siarka Tarnobrzeg le . L'entraîneur aligne alors une équipe qui inclut Kris Kelderman, Joey Kirk et Steve Provan. Les joueurs du Rampage participent à six autres parties amicales au cours de l'été 1993. En 1994, la franchise est engagée dans la United States Interregional Soccer League où les joueurs terminent seconds de leur division avant d'échouer contre le Minnesota Thunder dans la finale de la division Midwest. Cette rencontre instaure une rivalité entre les deux équipes qui s'étendra jusqu'à la dissolution du Rampage en 2002. En 1995, la USISL se divise en deux ligues, une professionnelle et une semi-professionnelle. Milwaukee participe alors à la USISL Select League mais son parcours se termine une nouvelle fois contre le Thunder au cours du premier tour des séries éliminatoires. En 1996, la Select League et la A-League reçoivent toutes les deux le statut de seconde division par la FIFA. Cette situation amène, en 1997, à la fusion entre les deux ligues afin de former un nouveau championnat de A-League sous la responsabilité de la USISL. Le Milwaukee Rampage se joint à cette nouvelle ligue. Pour la première fois, le Thunder ne parvient pas à éliminer le Rampage qui atteint la finale du championnat, s'imposant aux tirs au but contre le Carolina Dynamo. En 2002, l'équipe récidive et remporte un nouveau titre de A-League en 2002. Malgré tout, des problèmes financiers forcent la dissolution du Rampage. Après la disparition de la franchise, une nouvelle formation de Milwaukee, le Milwaukee Wave United est créée et intègre la A-League. Palmarès Saisons Personnel Joueurs notables Entraîneurs Le premier entraîneur-chef de la franchise est Boro Sucevic. Celui-ci reste en place pour les deux premières saisons avant de laisser sa place à Carlos Cordoba en 1995. En 1996, Bob Gansler, sélectionneur de l'équipe américaine quelques années plus tôt, est nommé entraîneur et conserve son poste jusqu'à l'issue de la saison 1998. Carlos Cordoba fait son retour pour une seule saison à la tête de l'équipe en 1999. Pour la saison 2000, Boro Sucevic fait aussi son retour et demeure en place jusqu'à la dissolution de la franchise à la fin de l'année 2002. Stade Le Rampage a toujours évolué dans la même enceinte, celle du Uihlein Soccer Park de Milwaukee dans le Wisconsin. Annexes Notes Références Club de soccer disparu aux États-Unis Club de soccer au Wisconsin Club sportif à Milwaukee Club de football fondé en 1993 Club de football disparu en 2002
Véronique Ahoyo
Véronique Ahoyo, née Véronique Gbédjinon le 29 juin 1939, morte le , est une assistante sociale, puis une femme politique, une ministre, une ambassadrice et une militante des droits des femmes béninoise. Biographie Elle est née à cotonou, sur la côte atlantique, en juin 1939. Elle est la fille de François Gbédjinon, cuisinier, et de Justine Adjovi Kpehounton. Études et carrière professionnelle Elle effectue des études primaires et secondaires à Cotonou, et obtient son baccalauréat en , alors que le pays est indépendant depuis un an. Elle reçoit une formation en administration civile à Paris et Abidjan, et en services sociaux à Toulouse. Elle se marie également (en 1963). Elle commence à travailler à Toulouse, pendant toute l’année 1966, au Service social scolaire de la ville. De retour au Bénin, elle est assistante sociale de 1967 à 1970. Elle reprend ensuite des études, deux années, à l’université d'Abidjan où elle obtient une maîtrise ès sciences sociales appliquées, en 1972. Après sa formation, elle rejoint son ancien poste pendant trois ans, avant d’être promue directrice des Affaires sociales au ministère de la Fonction publique, du Travail et des Affaires sociales de 1975 à 1990. Parcours politique Elle quitte ce poste début 1990. Des changements politiques profonds interviennent à cette période, avec la fin d’un régime marxiste-léniniste, ou démocratie populaire mono-parti, la République populaire du Bénin dirigée par le général Kérékou, et une évolution vers un régime démocratique multi-partis. La transition, favorisée par les événements européens (la chute du mur de Berlin et des régimes communistes de l’Est en 1989), est pacifique, et fait suite à une conférence nationale organisée par Mathieu Kérékou lui-même. Un gouvernement de transition dirigé par Nicéphore Soglo est désigné, le temps de faire émerger des partis politiques et d’organiser des élections. Deux femmes sont nommées ministres en , dans ce gouvernement de transition, Véronique Lawson et Véronique Ahoyo, qui occupent respectivement le ministère de la Santé publique et celui des Affaires sociales, de l'Emploi et du Travail (le dernier gouvernement de la République populaire du Bénin comprenait déjà une femme, Rafiatou Karimou, ministre de la Santé publique). Véronique Ahoyo conserve son portefeuille après les élections de (des élections qui portent à la présidence de la nouvelle République du Bénin Nicéphore Soglo). Elle reste ministre d’ à . En 1994, elle devient ambassadrice du Bénin au Canada. Elle rentre au Bénin en 1996. Désormais à la retraite, elle s’implique dans les associations et mouvements de défense des droits de la femme. Elle est membre du Réseau des femmes africaines ministres et parlementaires (REFAMP). Elle œuvre notamment pour la scolarisation des jeunes filles. Elle meurt dans un accident de voiture, en , sur l'autoroute de Bassila, lorsque le chauffeur du minibus dans lequel elle voyage, roulant à vive allure, perd le contrôle du véhicule après l'éclatement d'un pneu. Quatre autres personnes sont également tuées et deux sont blessées. Parmi les blessées, se trouve l'ancienne ministre de la Santé publique, Rafiatou Karimou. Références Articles connexes Histoire des femmes au Bénin Liste des premières femmes par métier ou fonction au Bénin Claire Houngan Ayémona Ministre béninoise Ministre béninois des Affaires sociales Ministre béninois du Travail Femme diplomate Diplomate béninois Ambassadeur au Canada Étudiant de l'université Félix-Houphouët-Boigny Naissance en janvier 1940 Décès en décembre 2008 Décès à 68 ans
Rue de la Croix-Faubin
La rue de la Croix-Faubin est une voie du de Paris, en France. Situation et accès La rue de la Croix-Faubin est une voie publique située dans le de Paris. Elle débute aux 7-15, rue de la Folie-Regnault et se termine au 166 bis, rue de la Roquette. Origine du nom La croix Faubin, autour de laquelle s'était formé le hameau du même nom, était située dans le voisinage, au coin des rues de Charonne et des Boulets. Historique Cette rue est ouverte par le département de la Seine sur l'emplacement de l'ancien dépôt des condamnés à mort car les exécutions capitales avaient lieu à cet endroit précis au moyen de la guillotine. Cette machine entreposée au rue de la Folie-Régnault était transportée devant le portail de la Grande Roquette, devant le de l'actuelle rue de la Croix-Faubin. De 1851 à 1899, plus de deux cents personnes furent exécutés à cet emplacement dont les anarchistes Émile Henry et Auguste Vaillant. Entre 1902 et 1904, cette rue s'est dénommée « rue Charles-Garnier » avant de recevoir son nom actuel. On peut toujours voir les dalles de pierre qui soutenaient l'échafaud, au nombre de cinq, à l'extrémité du 16, rue de la Croix-Faubin et du 166 bis, rue de la Roquette. Elle prend sa dénomination actuelle par arrêté du . Références Annexes Articles connexes Liste des voies du 11e arrondissement de Paris Liens externes Rue de la Croix-Faubin (mairie de Paris) Croix-Faubin
Mumfu
Mumfu est un village du Cameroun situé dans l’arrondissement de Zhoa, dans le département de Menchum et dans la Région du Nord-Ouest. Localisation Mumfu est localisé à 6° 36' 39 N et 10° 15' 24 E à environ de distance de Bamenda, le chef lieu de la Région du Nord-Ouest et à de Yaoundé la capitale du Cameroun. Population Lors du recensement de 2005, on a dénombré 179 habitants, dont 96 hommes et 83 femmes. Éducation Il y a une école communautaire construite en 1996. Notes et références Liens externes Zhoa, sur le site Communes et villes unies du Cameroun (CVUC) Zhoa Council Development Plan, PNDP, February 2012, 153 p. Village dans la région du Nord-Ouest (Cameroun)
Frans Vera
Franciscus Wilhelmus Maria (Frans) Vera (né à Amsterdam, 4 juin 1949) est un biologiste et gestionnaire d'espaces naturels néerlandais. Oostvaardersplassen Il a piloté le projet natuurontwikkelingsprojecten, à la base notamment, de la création de la Réserve Naturelle de Oostvaardersplassen, dans la province du Flévoland, aux Pays-Bas Bibliographie Les principales publications de Frans Vera sont (disponibles en néerlandais uniquement) : 1979: 'Het Oostvaardersplassengebied; uniek oecologisch experiment.' In: Natuur en Milieu 3, p. 3-12. 1980: De Oostvaardersplassen. De mogelijkheden tot behoud en verdere ontwikkeling van de levensgemeenschap. Staatsbosbeheer 1980-1. 63 pgs.. 1981 (met J.L.J. Hendriks): De ontwikkeling van het Markiezaatsmeer als natuurgebied: een beheersvisie. [Utrecht] : Staatsbosbeheer.. 1985 (met J. Hancock, W.J. Wolff en W.G. Braakhekke): Waterland : waterrijke natuurgebieden in de wereld. Weert : M&P.. 1988: De Oostvaardersplassen : van spontane natuuruitbarsting tot gerichte natuurontwikkeling. Amsterdam : IVN. . Volgens Voous (1995, p. 514) “een meesterwerk van grondige waarneming en moedige beheersvisie”. 1997: Metaforen voor de Wildernis (proefschrift). (aangepaste Engelse versie: 2000: Grazing Ecology and Forest History.) . Biologiste néerlandais Naissance en juin 1949
Cadillac Urban Luxury Concept
La Cadillac Urban Luxury Concept (ULC) est un concept-car d'automobile hybride électrique 4 places de Cadillac dévoilé au Salon de l'automobile de Los Angeles 2010. Le véhicule est doté d'écrans tactiles et d'écrans projetés qui remplacent les jauges traditionnelles. Aperçu L'ULC est conçu pour un moteur trois cylindres turbocompressé de 1,0 litre avec une transmission à double embrayage et un système pour véhicule hybride qui utilise la technologie d'assistance électrique, le système d'arrêt-démarrage automatique du moteur et le freinage régénératif. Selon Cadillac, l'ULC pourrait atteindre 56 miles au gallon américain (4,2 L / 100 km; 67 mi / gal-imp) en ville et 65 miles au gallon américain (3,6 L / 100 km; 78 mi / gal-imp) sur l'autoroute . L'Urban Luxury Concept peut accueillir quatre adultes, avec un accès par une paire de portes à ciseaux. qui s'étendent vers l'extérieur et pivotent vers l'avant lorsqu'il est ouvert, ce qui permet d'accéder facilement aux quatre sièges. La Cadillac Urban Luxury Concepy est une berline a hayon 3 portes, 4 places (parfois appelé hayon 2 portes aux États-Unis). Galerie Références Urban Luxury Concept Automobile des années 2010 Automobile hybride
Théorème des répétitions maximales
Le théorème des répétitions maximales (en anglais ) qui s’appelait, avant d'avoir été démontrée, la conjecture des répétitions maximales (en anglais ) est un résultat de combinatoire des mots. Il donne une majoration du nombre de répétitions maximales (ou "runs") que peut contenir un mot donné. Description informelle En informatique théorique et en combinatoire, et notamment en combinatoire des mots, une répétition est un mot qui est formé d'une consécution, au moins deux fois, d'un autre mot. Par exemple, ababa est une répétition d'exposant 5/2 du mot ab, car ab apparaît deux fois consécutivement, et une troisième fois, mais à moitié seulement. L'étude des répétitions dans les textes constitue un domaine fondamental en combinatoire des mots, à cause de ses applications importantes à toute la catégorie des algorithmes sur les chaînes de caractères, la compression de données, l'analyse musicale, l'analyse de séquences biologiques, etc. Un intérêt particulier a été porté à l'étude des répétitions maximales, appelées runs en anglais dans un mot donné : ce sont les répétitions qui ne peuvent être étendues. Une telle répétition peut être efficacement comprimée, et elle a aussi une signification biologique. Un résultat récent établit ce qui, pendant une quinzaine d'années, était appelée la conjecture des runs, à savoir que le nombre de runs dans un mot binaire est toujours inférieur à sa longueur; plus précisément : Le nombre de répétition maximales (de runs ) dans un mot de longueur est au plus . Avec la même technique et en utilisant des calculs en machine, ce résultat a été affiné : ce nombre est au plus (22/23)n <0.957n. Définitions Une répétition maximale, ou un run est un facteur (ou sous-intervalle) périodique maximal d'un mot. On entend par mot périodique un mot dont la longueur est au moins deux fois sa période minimale. Par exemple, pour le mot aababaababb, les répétitions maximales sont aa, bb, de période 1, ababa et ababa de période 2, abaaba de période 3, et enfin (abbab), de période 5. On a donc un nombre total de runs égal à 7, pour ce mot de longueur 11. Le nombre maximal de run dans un mot de longueur est noté . Théorème des runs. Le nombre maximal de runs dans un mot de longueur vérifie , avec l'amélioration asymptotique . Historique Crochemore et. al. et Bannai et. al. retracent l'historique de la conjecture : la conjecture a été formulée par Kolpakov et Kucherov en 1999; ces auteurs ont prouvé que mais n'ont pas donné de constante pour leur estimation. Depuis, de nombreux travaux ont été menés. La première constante donnée explicitement est de Rytter qui a montré que . Une des meilleures estimations précédant la démonstration finale donne . Une variante du théorème des runs final a été présenté par les mêmes auteurs en à la conférence SODA. Dans cet article, l'inégalité est . Résultats et discussion Le résultat est basé sur une nouvelle caractérisation des répétitions maximales à l'aide des mots de Lyndon. Cette caractérisation conduit à une preuve bien plus simple et différente des techniques des démonstrations précédentes ; de plus, un structure de données basée sur les arbres de Lyndon qui sont les arbres définis par la factorisation standard des mots de Lyndon, permet un calcul plus efficace parce qu'elle n'utilise pas la factorisation de Lempel-Ziv. Un autre démonstration du théorème des runs, indépendante des racines de Lyndon, a été donnée par Maxime Crochemore et Robert Mercaş Dans le même article, les auteurs prouvent que la somme, notée , des longueurs des répétitions maximales d'un mot binaire de longueur nest au plus 3n. De plus, la caractérisation donne un nouvel algorithme linéaire pour calculer toutes les répétitions maximales d'un mot. Une extension concerne le nombre, noté de répétitions maximales d'exposant au moins k et la somme des longueurs de ces répétitions. Là aussi, la nouvelle méthode permet d'obtenir des bornes meilleures, à savoir et . Pour k=3 par exemple, on obtient , meilleur que le résultat de Crochemore et. al.. Pour des alphabet de taille plus importante, les majorations sont , et même si , où est le nombre maximum de runs d'un mot de longueur n contenant exactement d symboles distincts. Les bornes inférieures ont aussi été considérées pour le nombre de répétitions maximales. Il s'agit alors de construire des mots qui contiennent beaucoup de répétitions maximales. La meilleure minoration est est . Ce qui donne l'encadrement : , la deuxième étant une approximation de 22/23. Éléments de démonstration La démonstration esquissée ci-dessous provient de l'exposé de Tomohiro I au colloque DLT 2018. Elle utilise de façon essentielle la notion de mot de Lyndon. On suppose l'alphabet sous-jacent totalement ordonnée. Un mot de Lyndon est un mot qui est strictement plus petit (pour un ordre lexicographique donné) que tous ses conjugués (ou permuté circulaires). Un mot de Lyndon est un mot sans bord car si un mot avait un bord , ce mot est un préfixe de , donc , et un suffixe de , donc parce qu'un mot de Lyndon est plus petit que ses suffixes. Racine de Lyndon Tout run de période contient en facteur un mot de Lyndon de longueur . Ce mot est la racine de Lyndon de la répétition. Par exemple, le run cbabacbabac contient la racine de Lyndon abacb qui est en effet le plus petit parmi les 5 mots cbaba, babac, abacb, bacba, acbab. La notion de racine de Lyndon (ou L-root) apparaît dans un article de Crochemore et al. de 2014. La racine de Lyndon d'une répétition est unique. Runs cubiques Un run cubique est une répétition d'exposant au moins 3. Un tel mot contient en facteur le carré (ou une puissance supérieure) de sa racine de Lyndon. Par exemple, le run cubique cbabacbabacbabac contient le facteur abacbabacb qui est le carré de sa racine de Lyndon abacb. Les deux occurrences de sa racine de Lyndon déterminent un point dans le run qui est appelé sa frontière et qu'on peut noter cbabacb·abacbabac Deux runs cubique n'ont pas de frontière commune : supposons au contraire que deux carrés de racines de Lyndon et ont la même frontière, et que est plus court que ; alors est suffixe de par la première occurrence et préfixe de par la deuxième occurrence, donc serait un bord de , ce qui contredit le fait qu'un mot de Lyndon est sans bord. Ainsi, chaque run cubique détermine donc une ou plusieurs frontières, et ces frontières sont propres au run. Il en résulte qu'un mot de longueur ne peut avoir plus de runs cubiques. En fait, on peut améliorer cette borne en ; en considérant non seulement un ordre lexicographique donné mais aussi son ordre opposé (avec si et seulement si ). Ainsi, le mot cbabacbabacbabac a pour le préfixe le cube de cbaba qui, pour l'ordre opposé , est un mot de Lyndon. Il définit donc deux autres frontières : cbaba·cbaba·cbabac Chaque run cubique définit alors au moins deux frontières, l'une pour chaque ordre, et ces frontières sont distincts parce qu'une racine de Lyndon pour un ordre n'est certainement pas un conjugué minimal de la racine pour l’ordre opposé. Tout run cubique détermine donc au moins deux frontières, et ses frontières ne se partagent pas, d'où la majoration en n/2. Case général Dans le cas général, où les runs ne sont pas cubiques, un raffinement de l'argument précédent doit être appliqué. Un tel run possède toujours une racine de Lyndon, mais il n'y en a pas nécessairement deux, donc pas de frontière. Si w[s,e] est la racine d'un run w[i,j], on peut vérifier que la racine est le plus long facteur de Lyndon de w commençant en position s, à condition que la lettre w[j+1] qui suit est plus petite que la lettre en position j+1-p (où p est la période) : par exemple, pour le run cbabacbabac, si la lettre suivante est un a, la racine de Lyndon est le facteur souligné dans cbabacbabaca pour a<b<c, et c'est bien le plus long facteur qui commence en position s et qui est un mot de Lyndon ; si la lettre qui suit est un c, alors, en opérant sur l'ordre opposé a>b>c, le facteur souligné cbabacbabacc est à nouveau le plus long facteur en position s qui est un mot de Lyndon. Ces racines sont indépendantes du run considéré, elles sont appelées racines globales. Pour tout run composé du facteur w[i,j] et de période p, on note l'ensemble des débuts des positions des racines de Lyndon globales, pour l'ordre < et son opposé, à l'exception de la position . On a alors les deux propriétés : et, si , alors . Il en résulte que le nombre de runs est au plus . Calcul des runs Le calcul de toutes les répétitions maximales remonte à un article de Main et Lorentz qui ont donné un algorithme en et ont montré que cette borne est optimale pour un alphabet non ordonné. La connexion entre runs et mots de Lyndon permet une autre approche du problème : il s'agit de calculer la table des mots de Lyndon maximaux commençant en toute position dans le mot. Un tel algorithme, en , où est l'inverse de la fonction d'Ackermann, al été donné par Crochemore et. al.. Notes et références Bibliographie . . . . Articles liés Algorithmique du texte Algorithme de recherche de sous-chaîne Répétitions Compression de données Combinatoire des mots Algorithme sur les chaînes de caractères
Sameer Al-Doumy
Sameer Al-Doumy est un photojournaliste indépendant syrien né le à Douma dans la Ghouta orientale en Syrie. Il est lauréat d’un World Press Photo Award, d’un Istanbul Photo Awards et de l’International Photography Awards en 2016, il travaille pour l’Agence France Presse. Biographie Sameer Al-Doumy est né le à Douma, dans la Ghouta orientale, aux portes de Damas. Il est le dernier d’une famille de onze enfants. Avant le début de la guerre, il poursuit ses études à Douma et rêve de devenir médecin. Il est à peine âgé de treize ans quand il assiste avec ses grands-frères aux premières manifestations pour l’égalité et la liberté en Syrie contre le régime de Bachar el-Assad. En première ligne, il se prend « au jeu » des images et aide ses frères à diffuser leurs films et photos réalisés avec des téléphones portables sur les réseaux sociaux. Il a quinze ans quand . En 2014, il se forme la photographie à l’aide de tutoriels trouvés sur internet, et commence à travailler comme stringer avec |’Agence France-Presse sous un pseudonyme pour se protéger et protéger les membres de sa famille. il documente pendant sept années le conflit syrien, mais il est contraint de fuir son pays clandestinement pour la Turquie. Il finit par trouver refuge en France où il est accueilli par la Maison des Journalistes à Paris. Après quelques mois il obtient le statut de réfugié et s’inscrit dans un institut de langue pour apprendre le français. Sa couverture de la crise syrienne est récompensé par de nombreux prix : World Press Photo Award, Istanbul Photo Awards, International Photography Awards. Depuis son arrivée en France, Sameer Al-Doumy travaille comme photographe indépendant pour l’Agence France-Presse d’abord à Paris, puis à Caen en Normandie. Il couvre entre autres le mouvement des Gilets jaunes et la crise des migrants à Calais. Il est encore récompensé en 2021 par le Hamdan International Photo Award pour une photo de migrants tentant de traverser la Manche vers l’Angleterre. Exposition 2021 : « Rétrospective : 10 ans de guerre en Syrie», exposition collective, Festival international de photojournalisme Visa pour l’Image, Perpignan Prix et récompenses 2016 : World Press Photo Award prix dans la catégorie « Spot News, Stories » pour « Aftermath of Airstrikes in Syria » 2016 : Istanbul Photo Awards, prix dans la catégorie « Single News » 2016 : International Photography Awards, prix dans la catégorie « Editorial/War/Conflict » pour sa photo « War on Syria » 2019 : Felix Schoeller Photo Award, prix Allemand de la Paix pour la photographie pour sa série « Peace is .. » 2021 : Prix international de photographie Hamdan (HIPA), prix de la catégorie « Général – Couleur » pour une photo de migrants tentant de traverser la Manche vers l’Angleterre. 2021 : AFP Pictures of the Year, pour une photo de migrant à Calais Notes et références Naissance en 1998 Naissance en Syrie Photojournaliste Photographe syrien Journaliste syrien Guerre civile syrienne Réfugié de la guerre civile syrienne Réfugié en France Journalisme citoyen
Congrès universels pour la paix
Les Congrès universels pour la Paix sont des rassemblements pacifistes internationaux organisés en Europe vers la fin du et au . Dans l'optique d'un pacifisme libéral, ces congrès rassemblent des groupes religieux, des organisations syndicales, des fonctionnaires et des auteurs. Lors des premiers congrès, l'accent est mis sur la construction des principes du pacifisme et sur sa transmission, ainsi que le droit international. Les Congrès sont interrompus pendant la Première Guerre mondiale et celui prévu à Vienne en septembre 1914 est annulé, bien que déjà prêt. Pendant l'entre-deux-guerres, ces initiatives reprennent. A noter le congrès de 1936 qui réunit plus de 5000 participants au stade Heysel de Bruxelles. Cet évènement sert entre autres comme modèle pour les Congrès mondiaux de la paix de l'après-guerre. Lors de ce congrès, le Rassemblement universel pour la paix (RUP) est créé à l'initiative des kominterniens Louis Dolivet et Willi Münzenberg. Il est codirigé par Lord Robert Cecil, président de la League of Nations Union et Pierre Cot, ministre du Front populaire, et comptera dans les années qui suivront plusieurs millions d'adhérents à travers des mouvements de la société civile qui rejoindront le RUP. Le RUP aura une grande influence jusqu'en 1939, en mettant en place le Monument de la Paix à l'Exposition universelle de 1937 et en prenant position contre la politique expansionniste de l'Italie (Seconde guerre italo-éthiopienne), du Japon (Seconde guerre sino-japonaise) et de l'Allemagne (Annexion de l'Autriche et Accords de Munich). Louis Dolivet et Willi Münzenberg rompront en 1938-39 avec le stalinisme et réussissent à garder une certaine indépendance du RUP, qui continue ses évènements de masse, vis-à-vis de Moscou. Lieux 1889 : Paris 1890 : Londres 1891 : Rome 1892 : Berne 1893 : Chicago 1893 : Anvers 1896 : Budapest 1897 : Hambourg 1900 : Paris 1901 : Glasgow 1902 : Monaco 1903 : Rouen 1904 : Boston 1905 : Lucerne 1906 : Milan 1907 : Munich 1908 : Londres 1910 : Stockholm 1912 : Genève 1913 : La Haye 1921 : Luxembourg 1922 : Londres 1924 : Berlin 1925 : Paris 1926 : Genève 1928 : Warsaw 1929 : Athènes 1931 : Bruxelles 1932 : Vienne 1934 : Lucerne 1936 : Bruxelles 1939 : Cardiff 1937 : Paris 1939 : Zurich Références Rencontre pacifiste
Rossberg (chaume saint Dié)
Le Rossberg est une montagne aux formes aplanies sur la ligne de crête vosgienne, culminant à d'altitude au nord du col du Bonhomme. Géographie Ce replat granitique faiblement érodé, sur lequel se trouvent encore des amas gréseux, est le plus haut sommet sur la ligne de crête principale des Vosges au nord du col du Bonhomme, les Petit et Grand Brézouard, ainsi que le Hirzberg, au-delà du col des Bagenelles, étant placés sur une ligne de crête secondaire. Dénudé en chaume il y a moins de deux siècles, il est aujourd'hui recouvert d'un manteau forestier, la hêtraie-sapinière. Sa partie lorraine occidentale, la plus vaste, appartient essentiellement à la commune de La Croix-aux-Mines, une fraction méridionale sous l'ancien nom désuet de Gazon Cadar est rattaché au territoire communal de Fraize. Sa frange orientale, alsacienne, est sur le canton de Lapoutroie, territoire communal du Bonhomme. Une chaume autrefois Le Rossberg était une vaste chaume sur le versant lorrain ; le versant granitique alsacien, en pente raide au-dessus du cours de la Béchine, était forestier. Il compte parmi les trois grands pâturages au nord du col du Bonhomme appartenant en indivision aux seigneurs de Taintrux, aux ducs de Lorraine et à l'abbaye de Moyenmoutier, à savoir : le prey de Rosperg ; Barbelimprey (espace herbeux groupant le pré du Bois aux Vieux Gazons sur les cartes actuelles) ; le Prey de Raves (au niveau du col du Pré de Raves et en aval dans la haute vallée du ruisseau homonyme). Même après son partage sous la Restauration entre les communes vosgiennes sus-citées, l'activité pastorale est restée. En 1910, sur la commune de Fraize, en contrebas du gazon Cadar où existe encore une marcairerie-métairie du Rossberg au milieu d'une petite chaume, la haute vallée des Ponséz ou du Scarupt est jalonnée de fermes et de chaumes aujourd'hui disparues : la ferme de la Capitaine à 150 mètres de la métairie du Rossberg ; le Rond-Chaxel avec sa ferme, un finage isolé surplombant la vallée du Scarupt à sur le versant au soleil ; la chaume des Caluches, sur le versant au soleil entre le Rond-Chaxel et la métairie du Rossberg. Il correspond approximativement aujourd'hui au canton forestier de Chalnavée ; la ferme du Bouxerand sur le chemin du Tracé qui longe le revers de Scarupt jusqu'au Fer-à-Cheval, à la limite entre Fraize et Plainfaing à la partie terminale du massif du Hangochet ; le Pré Jallé qui en fond de vallée s'étendait jusqu'en contrebas du Rond-Chaxel, déjà enclavé par la forêt de l'adroit. Toutefois, le sommet est déjà très boisé, d'où l'installation d'un observatoire-mirador en 1896 à proximité du point culminant, reconstruit par nécessité à environ 12 mètres de hauteur en 1907. Une immense part du panorama lorrain, en particulier les sommets jouxtant la vallée de la Meurthe, peut être contemplée. Il était même possible de reconnaître, en direction nord-ouest selon Jean Cordier, à l'œil nu des maisons de la ville de Saint-Dié-des-Vosges. Les principaux contreforts de la chaîne des Vosges, du Donon au Hohneck, sont alors aussi visibles depuis ce mirador. Le côté alsacien s'ouvre toujours au regard plus facilement : au nord-est apparaît le Haut-Kœnigsbourg ; à l'est le Bressoir ou Brézouard de couleur brunâtre et les autres sommets bleutés de sa crête, au sud-est ; au sud-est, la Tête des Faux, les Immerlins, le Violu, le cirque du lac Blanc et la vallée montagneuse de la Weiss. Plus loin, au-delà des monts d'Aubure, se distinguent la plaine alsacienne, le Rhin et la Forêt-Noire. Un lieu légendaire Le Rossberg, relief dominant le col du Bonhomme et offrant une remarquable vue sur l'ensemble du bassin de Saint-Dié, est une étape surplombant le « vieux chemin saint Dié ». Du col du Bonhomme, ce chemin mérovingien rejoignait le haut versant au soleil de la vallée de Scarupt jusqu'au col de la Séboue, avant de se diriger vers la Tête de la Behouille. Le bonhomme Déodatus, alias saint Dié, après avoir marché sans discontinuer depuis Hunawihr, parvient assoiffé et exténué à 100 mètres du sommet de la chaume. Il plante son bâton et une source jaillit de la pointe qui est, disent les conteurs, à l'origine de la fontaine saint Dié. Il s'y repose, s'endort mais se réveille perdu dans un profond brouillard né des effets de la source devenue surpuissante. Il prie le Seigneur lumineux de le faire sortir des limbes épaisses de plus en plus froides. Il essaie de partir mais, perplexe, le saint homme est contraint de revenir sur ces pas près d'un bloc de grès massif pour ne pas s'égarer. La faim le tenaille. Mais sa prière ardente a été entendue : deux corbeaux lui apportent une saine nourriture. Les aliments, vite avalés, réchauffent le saint frigorifié. Restauré, l'esprit clair, il lance sa hache-marteau qui fend le météore jusqu'au pied septentrional du Kemberg, sous les rochers de la Côte saint Martin où il fonde son premier monastère. Sports d'été et d'hiver Certains gazons ou chaumes aplanies étaient le lieu idéal de course à pied ou à cheval. Le toponyme Rossberg, dont la racine indo-européenne ross est relative à la course, peut s'expliquer aussi comme la montagne de la course solaire. Les observatoires y semblent communs depuis l'Antiquité. Depuis l'entre-deux-guerres, un ancien circuit de ski nordique s'étend sur , et propose aux fondeurs vosgiens des dénivelés entre et d'altitude. Le départ est situé traditionnellement au col des Bagenelles. Bibliographie Jean Cordier, Un coin des Vosges, Fraize et ses environs, Librairie Adolphe Weick, 1913, 108 pages. Notes et références Sommet du massif des Vosges Sommet dans le Haut-Rhin Sommet dans le département des Vosges
Brind
Bill Brind, producteur, monteur et réalisateur canadien. Smylla Brind, actrice américaine. Stephanie Brind, joueuse professionnelle de squash britannique. Patronyme anglais
Loi Ollivier
Sous l'impulsion de Napoléon III, la loi Ollivier a été proposée par l’homme politique libéral Émile Ollivier et votée le . Modifiant les articles 414, 415, 416,417, 418, 419, 420 et 421 du code pénal, elle abolit le délit de coalition. Elle est ainsi souvent présentée comme une loi d'abrogation de la loi Le Chapelier du . Elle maintient toutefois le délit d'entrave à la liberté du travail et donc les "abus". L'article 144 révisé mentionne : « Sera puni d'un emprisonnement de six jours à trois ans et d'une amende de 16 fr. à , ou de l'une de ces deux peines seulement, quiconque, à l'aide de violences, voies de fait, manœuvres frauduleuses, aura amené ou maintenu, tenté d'amener ou de maintenir une cessation concertée de travail, dans le but de forcer la hausse ou la baisse des salaires ou de porter atteinte au libre exercice de l'industrie ou du travail. » Sous respect de conditions, la grève devient possible. Cette loi, comme le financement du déplacement d'une délégation d'ouvriers à l'Exposition universelle de 1862 à Londres, manifeste d'une volonté de Napoléon III de créer un lien entre le régime et les ouvriers. La loi fut très vivement combattue par la droite et une bonne partie des républicains ne l'accepta pas. Étape majeure dans l'essor du syndicalisme, elle devra néanmoins être complétée en 1884 par la loi Waldeck-Rousseau sur le droit d'association accordé aux syndicats professionnels. Le Front populaire réaffirmera le droit syndical en 1936. Articles connexes Loi Le Chapelier Lien externe Syndicalisme en France Loi française de 1864 Ollivier
Russom
Gavin Russom (née en 1974), artiste américaine Leon Russom (né en 1941), acteur américain Meron Russom (né en 1987) coureur cycliste érythréen
Obélisque de Portosalvo
L'obélisque de Portosalvo est un obélisque de Naples, situé via Alcide De Gasperi, à côté de l'église de Santa Maria di Portosalvo. Il est l'un des derniers obélisques érigés dans la ville. Notes historiques Il a été érigé en 1799, sur la piazza Portosalvo, après la fin de l'expérience jacobine de la république parthénopéenne, en l'honneur de la victoire remportée par l'armée de la Sainte Foi, et donc de la Restauration des Bourbons à Naples. Au , il a subi un léger changement de position du notamment au changement urbain de la zone portuaire. Il a également perdu une partie de la décoration qui l'embellissait. Dans les premières années du , en raison de graves problèmes statiques et en vue d'une restauration jamais entamée, la structure était enfermée dans un support métallique. En 2016, l'édifice était concerné par le projet de restauration Monumentando promu par la Municipalité de Naples, et après un travail minutieux sur la structure, il a été restitué aux habitants le de la même année. Architecture L'obélisque, en piperno et à quatre côtés, culmine en forme pyramidale surmonté d'une croix. Sur chaque côté il comprend des éléments décoratifs en bas-relief, en marbre, exécutés par le sculpteur Angelo Viva. L'obélisque a été érigé en l'antithèse de l'arbre de la Liberté révolutionnaire, dont les modèles, dispersés dans toute la ville, ont été détruits après l'entrée victorieuse de l'armée du cardinal Ruffo. En particulier, on peut noter la présence de saints, tels que San Gennaro et Saint-Antoine de Padoue. Références Voir aussi Obélisques de Naples Bibliographie Carlo Celano, édité par Giovanni Battista Chiarini, Notizie del bello, dell'antico e del curioso della città di Napoli, 1856 Monument à Naples
Johan Jacobsen
Johan Jacobsen est un réalisateur danois né le et mort le . Biographie Les parents de Johan Jacobsen sont Jacob Jørgen Jacobsen (1865-1955), un agent artistique, et Christel Holch (1886-1968), une actrice. Lors de ses études secondaires, Johan Jacobsen bénéficie d'un programme d'échanges pour effectuer un séjour en Amérique. Il travaille ensuite comme assistant chez First National et Warner Bros., dirigé par John Olsen. À partir de 1932, il travaille à la traduction de films américains, anglais et français à la société de distribution Teatrenes Films-Kontor. Il assiste Lau Lauritzen sur le tournage de la comédie Med fuld musik à la société cinématographique Palladium en 1933. Il est assistant et monteur sur 5 raske piger (1933) et 7-9-13 (1934) de Anders Sandberg. Il est membre du jury présidé par Robert Aldrich à la Berlinale 1959. Au cours des dernières années, il a écrit des romans publiés par les magazines hebdomadaires. À partir de 1971 et jusqu'à sa mort, il est directeur général du Bremen Teater de Simon Spies de Copenhague. Filmographie partielle 1940 : I de gode, gamle dage 1947 : Soldaten og Jenny 1959 : L'étranger frappe à la porte (En fremmed banker på) 1963 : Dronningens vagtmester Liens externes Réalisateur danois Naissance en mars 1912 Décès en juillet 1972 Décès à 60 ans Naissance à Aarhus Décès à Copenhague
Beep
Beep peut faire référence à : beep, une méthode d'organisation dans les tournois de certains jeux de société ; Beep Media Player, un lecteur multimédia libre ; Beep, une chanson des Pussycat Dolls ; . Voir aussi Beeper
Zvonko Petričević
Zvonimir « Zvonko » Petričević, né le , à Prizren, en Yougoslavie, est un ancien joueur yougoslave de basket-ball. Il évolue durant sa carrière au poste de pivot. Biographie Palmarès Finaliste du championnat du monde 1963 Finaliste du championnat d'Europe 1961, 1965 du championnat d'Europe 1963 Vainqueur des Jeux méditerranéens de 1959 Notes et références Liens externes Statistiques olympiques www.sports-reference.com Joueur yougoslave de basket-ball Joueur du Cibona Zagreb Joueur de basket-ball aux Jeux olympiques d'été de 1960 Joueur de basket-ball aux Jeux olympiques d'été de 1964 Naissance en juillet 1940 Naissance au Kosovo Décès en janvier 2009 Décès à Zagreb Décès à 68 ans
Archidiocèse de Delhi
L'Archidiocèse de Delhi est une circonscription ecclésiastique de l’Église catholique en Inde. Séparé de l’archidiocèse d'Agra en 1937, le ‘diocèse de Delhi-Simla’ devient ‘archidiocèse de Delhi’ le 4 juin 1959. Il comprend aujourd’hui le territoire de Delhi, avec New-Delhi et quelques districts voisins, dans le Punjab et l’Haryana. New-Delhi étant la capitale de l’Inde et une ville largement administrative, les catholiques de l’archidiocèse forment une mosaïque de toutes les communautés catholiques du pays. De par sa situation l’archevêque de Delhi a également une visibilité politique et médiatique plus grande. Histoire Au , lors de la mission des jésuites auprès des empereurs Moghol un ‘Vicariat du Grand Moghol’ est créé qui couvre toute l’Inde du nord. Lorsque la hiérarchie catholique est érigée en Inde (1886) par Léon XIII Agra devient un archidiocèse. En 1910 Simla est créé comme siège métropolitain, bientôt renommé (en 1937) ‘Archidiocèse de Delhi-Simla’. En 1959, l’archidiocèse de Delhi est séparé de Simla. Archevêques Archevêques de Simla Anselm Kenealy, OFM Cap.. (1910-1936) Anselm Kenealy, OFM Cap., Administrateur apostolique (1936-1937) Archevêques de Delhi et Simla Silvester Patrick Mulligan, O.F.M. Cap. (1937-1950) John Burke, Administrateur apostolique (1950-1951) Joseph A. Fernandes (1951-1959) Archevêques de Delhi Joseph A. Fernandes (1959-1967) Angelo Fernandes (1967-1990) Alan de Lastic (1990-2000) Vincent Concessao (7 septembre 2000 - 30 novembre 2012) Anil J. Couto depuis le 30 novembre 2012 Sources Fiche sur catholic-hierarchy Notes et références Delhi Archidiocèse Delhi
Ramskapelle
Ramskapelle est une section de la commune belge de Knokke-Heist Ramskapelle est une section de la ville belge de Nieuport Homonymie de localités
Jean-Marie Delarue
Jean-Marie Delarue, né le à Paris, est un haut fonctionnaire français, conseiller d'État, Contrôleur général des lieux de privation de liberté de 2008 à 2014 et président de la Commission nationale consultative des droits de l'homme du au . Biographie Ancien élève de l'École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud, agrégé d'histoire, ancien élève de l'École nationale d'administration et conseiller d'État (1977), Jean-Marie Delarue est un ancien conseiller de Jacques Delors et Michel Delebarre. Il occupe ensuite les fonctions de délégué interministériel à la ville (1991-1994) et de directeur des libertés publiques et des affaires juridiques au ministère de l'intérieur jusqu'en 2001. Au printemps 2008, il est nommé contrôleur général des lieux de privation de liberté par le gouvernement Fillon, étant ainsi le premier à occuper cette fonction créée en 2007. Il est remplacé à ce poste par Adeline Hazan en juillet 2014. Il est nommé membre du Comité consultatif national d'éthique en septembre 2013 et président de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité en juin 2014. Le 15 septembre 2015, il est annoncé que Jean-Marie Delarue a été écarté par le gouvernement de la présidence de la nouvelle Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNTR). Nommé Président de la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) en avril 2019, il quitte ses fonctions en novembre de la même année, en désaccord avec l'organisation et les méthodes de travail de la commission. Prises de position A propos de la réalité carcérale, il rappelle que le problème de la prison réside dans le fait qu'elle ait des « effets désocialisants », qu'elle soit « surpeuplée » et qu'elle accélère les « ruptures ». Lors de son passage de quelques mois à la présidence de la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH), il estime en avril 2019 que les libertés fondamentales sont en très mauvais état en France et met en garde contre l'inflation de lois nouvelles, depuis la loi « sécurité et libertés » de 1981, porteuse de restrictions aux libertés publiques justifiées par un but de sécurité. Il estime ainsi que la loi « anticasseurs » du 10 avril 2019 et la loi sur la sécurité intérieure de 2017, qu’il qualifie d’ installent . Il considère que la garde à vue du journaliste Gaspard Glanz, interpellé pour participation à un groupement en vue de commettre des violences ou dégradations et pour outrage à personne dépositaire de l’autorité publique dans le cadre d’une manifestation de « gilets jaunes » le 20 avril 2019, s’inscrirait dans un contexte plus général de restriction des libertés fondamentales en France. Décorations (décret du , chevalier depuis le ) (décret du , officier depuis le ) (2021) Notes et références Voir aussi Liens externes Site officiel du CGLPL Officier de la Légion d'honneur Emprisonnement et détention en France Conseiller d'État français Élève de l'École nationale d'administration (France) Élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud Agrégé d'histoire Naissance en janvier 1945 Naissance à Paris
Roberta Gregory
Roberta Gregory, née à Los Angeles en 1953, est une auteure de comics des États-Unis d'Amérique. Biographie Son père, Robert Gregory, travaillait chez Disney comme scénariste des histoires de Donald Duck. En 1971, elle entre à l'université de CSU Long Beach, où elle crée le comic Feminist Funnies en 1974. Elle poursuit sa carrière en publiant dans l'underground féministe (Wimmen's Comix, ). Elle crée ensuite la série Winging It, puis les personnages Sheila and the Unicorn. Elle quitte la Californie pour Seattle en 1989, et publie dans la revue Naughty Bit. C'est là qu'elle crée Midge McCracken alias Bitchy Bitch, son héroïne la plus connue, agressive, toujours de mauvaise humeur, râleuse aux terribles colères. Elle crée aussi sa contrepartie lesbienne, Bitchy Butch. Albums Dynamite Damsels, 1976. Winging It, 1988, 1999. Sheila and the Unicorn Real Cat Toons Artistic Licentiousness Participation à : , prix Eisner de la meilleure anthologie 2020 traduit en français par Samuel Todd sous le titre Balance ta bulle : 62 dessinatrices témoignent du harcèlement et de la violence sexuelle, Massot Éditions, 2020 Bitchy Bitch Fantagraphics Books Bitch Is Born, 1997. As Naughty As She Wants to Be, 1997. At Work and Play with Bitchy Bitch, 1997. Bitchy's college Daze, 1998. Bitchy Butch: World's Angriest Dyke, 1999. Burn, Bitchy, Burn, 2004. Life's A Bitch, 2005. Bitchy Strips Traductions françaises Bitchy Bitch, Bethy, 1998. Bitchy Bitch en vacances, Vertige Graphic, 2001. Bitchy Bitch 3 : les rudes études de Roberta, Vertige Graphic, 2004. Prix et distinctions 2003 : Prix Haxtur de l'humour pour Bitchy Bitch, t. 1 : A Bitch is Born 2006 : Temple de la renommée des auteures de bande dessinée. Références Annexes Bibliographie . Jean-Noël et Nathalie Lafargue, « Roberta Gregory : Naughty bits », dans L'Indispensable n°1, , p. 40-41. Liens externes Site officiel Pastis Entretien Auteur américain de bande dessinée Dessinatrice de comics Auteur de bande dessinée underground Naissance en mai 1953 Étudiant de l'université d'État de Californie à Long Beach Membre du temple de la renommée des auteures de bande dessinée Lauréat du prix Haxtur de l'humour Personnalité ayant fait son coming out Naissance à Los Angeles
Spider-Man (homonymie)
Spider-Man est un terme anglais qui signifie « homme-araignée ». Il peut renvoyer à : Spider-Man, un super-héros de Marvel Comics ; L'Araignée, une série télévisée animée (1967 à 1970) ; Spider-Man, une série télévisée japonaise (1978-79) ; Spider-Man (série télévisée d'animation, 1981) ; Spider-Man, un jeu vidéo inspiré par ce personnage et sorti en 1982 ; Spide-Man, jeu vidéo de Adventure International sorti en 1984 ; Spider-Man, l'homme-araignée, une série télévisée animée des années 1990 ; Spider-Man, un comic-book des années 1990-2000 ; Spider-Man, un magazine de bande dessinée américaine publié depuis ; Spider-Man, un jeu vidéo de type sorti en 2000 ; Spider-Man, une page traitant des films cinématographiques de l'homme-araignée ; Spider-Man, le premier film (2002) appartenant à une trilogie réalisée par Sam Raimi ; Spider-Man, un album dérivé de la bande originale, distribué par Columbia Records, du film fantastique américain réalisé par Sam Raimi, Spider-Man, sorti en 2002 ; Spider-Man, l'album de la bande originale, distribué par Columbia Records, du film fantastique américain réalisé par Sam Raimi, Spider-Man, sorti en 2002 ; Spider-Man, un dérivé du film en jeu vidéo sorti en 2002 ; Spider-Man (Miles Morales), personnage de fiction alternatif au Spider-Man originel, appartenant à l'univers de Marvel Comics ; Spider-Man, une série télévisée d'animation américaine diffusée depuis ; Marvel's Spider-Man, jeu vidéo d'Insomniac Games sorti en 2018 ; Spiderman, une bande dessinée britannique connue sous le titre original de The Spider. Voir aussi
Phlégon
Phlégon de Tralles, affranchi de l'empereur Hadrien, est un écrivain et historien du Ier-IIe siècle de langue grecque. Œuvres Phlégon est l'auteur des Olympiades, dans lequel il recense en 16 livres les vainqueurs des épreuves et les évènements de l'époque (des premiers aux 229 jeux, soit de 776 av. J.-C. à 137 ). Phlégon donne des indications sur les fondateurs des jeux différentes de la tradition de Pindare. Cette œuvre n'est connue que par fragments. Il est aussi l'auteur de deux autres livres : Records de longévité, liste des Italiens dépassant l'âge de 100 ans, d'après le recensement romain. Le livre des merveilles, histoires de fantômes, dont le texte n'est connu que par un seul manuscrit, le Codex Palatinus graecus 398. Postérité Le Livre des merveilles est une source d'inspiration pour le récit La Fiancée de Corinthe () de Goethe (1797) et la nouvelle La morte amoureuse écrite en 1836 par Théophile Gautier. Références Bibliographie Œuvres Karl Müller, Fragmenta historicorum graecorum, éd. grecque et trad. latine par Karl et Theodor Müller puis Victor Langlois, Paris, 1841-1870, 5 vol. rééditions 1875-1885, 1928-1938 ; repr. Frankfurt am Main, 1975. (Les fragments de Phlégon sont rassemblés dans le volume 3.) Le livre des merveilles, chap. I, trad. Catherine Schneider, Paranormale Antiquité, Les Belles Lettres, 2001. Le livre des merveilles, chap. II-III, trad. Luc Brisson, Le sexe incertain. Androgynie et hermaphrodisme dans l'Antiquité gréco-romaine, Les Belles Lettres, 1997. Études William Hansen, trad., commentaires et intro. à Phlegon of Tralles, Book of Marvels, University of Exeter Press, 1996. . Lien externe Fragments de Phlégon, traduits en anglais Affranchi Phlégon Écrivain de langue grecque d'époque romaine
Onésime contre Onésime
Onésime contre Onésime est un film muet français réalisé par Jean Durand et sorti en 1912. Synopsis Onésime est confronté à son double qui est mauvais. Il sème le trouble dans les relations avec sa fiancée, lutte d'influence dans un restaurant, poursuites permanentes...L'un des deux doit disparaitre. Fiche technique Réalisation : Jean Durand Opérateur : Paul Castanet Décors : Robert-Jules Garnier Production : Gaumont Pays d'origine : France Format : muet - noir et blanc - 1,33:1 - 35 mm Genre : comédie Editions : CCL Programme : 4054 Durée : 233 mètres (ou 183) pour une version en DVD de 8 minutes : Distribution Ernest Bourbon : Onésime (dans un double rôle : le bon et le mauvais) Édouard Grisollet : Un client du restaurant Gaston Modot: Un client du restaurant Clément Mégé : Un client du restaurant (?) : La belle fiancée d'Onésime (?) : La cuisinière (?) : Le maître d'hôtel Liens externes Film français sorti en 1912 Film réalisé par Jean Durand Film muet français Film français en noir et blanc
Libertaire Rutigliano
Libertaire Rutigliano, né le au Caire en Égypte, mort le déporté au camp de Dachau, est un résistant français, membre du Parti communiste français. Biographie Libertaire est le fils de Nicolas Rutigliano, un Italien né lui-même au Caire en 1888 de parents émigrés. Nicolas Rutigliano adhère au mouvement communiste après la Première Guerre mondiale ; en 1926, la famille est expulsée d'Égypte vers l'Italie, à Naples. Nicolas vient en France, à Paris, où il est rejoint par sa femme et son fils. Il travaille ensuite à Nice, puis aux chantiers navals de Saint-Nazaire ; la famille s'installe à Nantes en 1935. Libertaire fait ses études secondaires à Nice et à Saint-Nazaire, puis au lycée Clemenceau à Nantes ; il y est élève de classe préparatoire et est reçu à l'École centrale des arts et manufactures en . Lors de la Seconde Guerre mondiale, il adhère au Front national, organisation de masse du Parti communiste français. Il devient responsable du Front pour les étudiants parisiens. Libertaire Rutigliano abandonne ses études et revient à Nantes en 1943 ; il y fonde le premier groupe universitaire de résistance. Il collecte des fonds, notamment pour permettre l'édition de journaux, comme Front créé en 1942. En 1943, il représente le Front national au sein du Comité départemental de libération de la Loire-Inférieure, nouvellement mis en place. Au début de 1944, il devient responsable interdépartemental des Forces unies de la Jeunesse patriotique de l'Ouest et s'installe un moment à Parthenay (Deux-Sèvres). Il rentre à Nantes en mars, alors que la police (le SRMAN) est en train de démanteler les réseaux du Front national. Le , il est arrêté au domicile de son père par sept agents de la Gestapo, qui les emmènent tous les deux dans leurs locaux de Nantes, place Maréchal-Foch, où ils sont interrogés et torturés, puis à la prison de Nantes, rue Descartes. Ils sont ensuite transférés au camp de Compiègne et de là, déportés en Allemagne au camp de concentration de Dachau. Libertaire y organise des collectes de pain parmi les prisonniers. Le , six jours après la libération du camp, il meurt, âgé de 23 ans, d'une infection tuberculeuse contractée durant sa détention. En 1948, son père, qui a pu voir son fils peu avant sa mort, réalise un buste de lui et le place sur la tombe de la mère de Libertaire, au cimetière de la Gaudinière. En 1999, les éléments naturels l'ayant endommagé, la mairie de Nantes et l'association nationale des anciens combattants de la résistance décident de faire réaliser un nouveau buste. Hommages En est créé à Nantes le Comité Rutigliano, proche du Front national, avec Jean Philippot, professeur au lycée Clemenceau, alors maire de Nantes. En 1946, le Comité, dont le président est Paul Le Rolland, publie à sa mémoire une brochure intitulée Sacrifice, qui a été rééditée en 1989. En 1948, Nicolas Rutigliano réalise un buste de son fils, qu'il place sur la tombe de son épouse. Il figure un homme au crane rasé et portant l'uniforme des déportés, fortement inspiré de la dernière image qu’il gardait de son fils peu avant sa mort. Un nouveau buste de Libertaire est réalisé en 1999 par le sculpteur nantais Jean Guitteny. Il représente un jeune homme en bonne santé, d'après les photographies prises avant son arrestation. Cette statue de est taillée dans une pierre blanche de Lavoux. En 1980, le collège du Port-Boyer à Nantes (60, rue de l'Éraudière) est baptisé Libertaire-Rutigliano. Un buste de Libertaire Rutigliano est placé dans l'enceinte du collège en 1984. Voir aussi Bibliographie Alain Croix dir., Nantais venus d'ailleurs, Histoire des étrangers à Nantes des origines à nos jours, Nantes-Histoire/Presses universitaires de Rennes, 2007, page 314-315. Jean Guiffan, Joël Barreau et Jean-Louis Liters dir., Le Lycée Clemenceau. 200 ans d'histoire ; Nantes, éditions Coiffard, 2008. Notice page 450. Marie-Hélène Prouteau, La ville aux maisons qui penchent, Suites nantaises, chapitre «La tristesse du magnolia», La Chambre d'échos, 2017. Liens externes Biographie sur le site du collège Libertaire Rutigliano : Articles connexes Histoire du Parti communiste français Résistance en France Camp de concentration de Dachau Références Naissance en décembre 1921 Naissance au Caire Décès en mai 1945 Résistant communiste français Déporté résistant Décès à Dachau Décès à 23 ans Personnalité inhumée à Nantes
Abdelmalek Sellal
Abdelmalek Sellal (en arabe : عبد الـمالك سلال), né le à Constantine, en Algérie (alors départements français), est un homme d'État algérien. Il est Premier ministre du au puis du au . Haut fonctionnaire, Abdelmalek Sellal a été successivement ministre de l'Intérieur de 1998 à 1999, ministre de la Jeunesse et des Sports de 1999 à 2001, ministre des Travaux Publics de 2001 à 2002, ministre des Transports de 2002 à 2004, et ministre des Ressources en eaux de 2004 à 2009 puis de 2009 à 2012. Dans le contexte des manifestations de 2019 en Algérie, il est arrêté pour corruption, présenté devant la Cour suprême et incarcéré à la prison d'El-Harrach, dans la banlieue d'Alger. Il est condamné à un total de 56 ans d'emprisonnement. Biographie Enfance et éducation Issu d’une famille modeste originaire d'Ighil Ali dans la Wilaya de Béjaïa qui est venue s'installer à Constantine, Abdelmalek Sellal habitait le quartier de Sidi Mabrouk. Fils d’un boulanger, Moussa, il est issu d’une fratrie de 12 frères et sœurs. Il obtient son baccalauréat au lycée Réda Houhou de Constantine. Il commence ses études supérieures à la faculté de médecine de Constantine, qu'il abandonne pour postuler aux épreuves de l’École nationale d'administration. Après quatre années d’études, Abdelmalek Sellal décroche le diplôme de l’ENA en diplomatie de la promotion Mohamed Aslaoui de 1974. Carrière professionnelle Abdelmalek Sellal est militant du FLN depuis 1968. En 1974, il rejoint le wilaya de Guelma, d’abord en qualité d’administrateur, puis au poste de chef de cabinet. En 1976, il devient conseiller du ministre de l’Enseignement primaire et secondaire. En 1977, il quitte les cabinets ministériels pour occuper le poste de chef de daïra de Tamanrasset. Dans les années qui suivent, il est affecté à la daïra d'Arzew, puis comme wali à Adrar, Sidi Bel Abbes, Oran et Laghouat. En 1989, il est rappelé au gouvernement, en tant que wali hors-cadre au ministère de l'Intérieur. En 1994, il rejoint le ministère des Affaires étrangères en qualité de directeur général des ressources et chef de cabinet. En 1996, il est nommé ambassadeur d’Algérie à Budapest. Parcours politique Ministre À l’automne 1998, Liamine Zéroual, président de la République, annonce sa décision d’écourter son mandat et d’organiser une élection présidentielle anticipée. Sellal intègre le gouvernement Hamdani au poste de ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Environnement. Il organise l'élection présidentielle d’avril 1999 qui aboutit à l’élection d’Abdelaziz Bouteflika à la magistrature suprême. Il participe également à la mise en œuvre de la démarche de concorde civile portée par le président Bouteflika. Le , à la suite de l’élection présidentielle, Abdelmalek Sellal est nommé ministre de la Jeunesse et des Sports. En , lors de la formation du gouvernement Benflis II, il est nommé ministre des Travaux publics. Puis en , lors de la formation du gouvernement Benflis III, il est nommé ministre des Transports. Alors aux transports, il relance les grands projets autoroutiers comme la Transaharienne et l’autoroute Est-Ouest. En 2004, Abdelmalek Sellal est appelé par le président Bouteflika à diriger sa campagne présidentielle. À la suite de la nouvelle victoire de Bouteflika à l’élection présidentielle, Abdelmalek Sellal est nommé ministre des Ressources en eau à la place de Mohamed Douihasni. Il met en place le code des eaux, un système de lois qui donne une valeur sociale et commerciale à l’eau en vue d’une privatisation du secteur. Le , il signe avec le ministre français de l’Économie et des Finances, Thierry Breton, un protocole d’accord entre Suez Environnement et les autorités algériennes en vue d’assainir les eaux d’Alger. Il visite ou inaugure différents projets, comme le complexe hydraulique Béni Haroun, le système Mostaganem/Arzew/Oran, le système Taksebt, le complexe des hautes plaines Sétifiennes et le transfert d’eau In Salah Tamanrasset sur . En 2009, il dirige la campagne de réélection d’Abdelaziz Bouteflika pour la seconde fois. Fin , à la suite de la réélection du président Bouteflika, il est reconduit au poste de ministre des Ressources en eau. En , Abdelmalek Sellal signe un memorandum de coopération dans le domaine de l’hydraulique avec son homologue sud-coréen Lee Maanee en vue de diversifier la nationalité des partenaires environnementaux de l’Algérie. Abdelmalek Sellal affirme en 2011 que le problème de l'eau, ayant atteint un point critique au début des années 2000, a été « définitivement réglé », notamment grâce au dessalement de l'eau de mer. Il refuse cependant d’augmenter le prix de l’eau pour amortir les investissements consentis. Premier ministre Le , Abdelmalek Sellal est nommé Premier ministre par le président Abdelaziz Bouteflika, à la suite de la démission d'Ahmed Ouyahia, avec pour objectif d’assurer la stabilité sociale au lendemain du printemps arabe, et de débarrasser l’économie algérienne de sa dépendance aux hydrocarbures. Le , Sellal forme un nouveau gouvernement. À la suite de la déclaration d’Alger sur l’amitié et la coopération, il co-préside le comité intergouvernemental de haut niveau algéro-français en , puis une nouvelle fois en . Nommé directeur de campagne d'Abdelaziz Bouteflika, candidat à sa réélection pour l'élection présidentielle algérienne de 2014, il démissionne du poste de Premier ministre le ; le poste de Premier ministre par intérim est assuré par Youcef Yousfi. Après la victoire du président Bouteflika, il est de nouveau nommé au poste de Premier ministre. Il est investi le lendemain après la démission de son prédécesseur. Le , il est reçu à la Maison-Blanche en compagnie de son épouse par le couple Obama. Début , Sellal inaugure la nouvelle usine de Renault à Oran en présence des ministres français Laurent Fabius et Emmanuel Macron. En , face aux contestations sociales des populations du sud de l’Algérie concernant l’exploitation du gaz de schiste dans leur région, Abdelmalek Sellal déclare que la production de gaz de schiste n’est pas sur la feuille de route du gouvernement, que les ressources en eau du pays sont plus importantes que ses ressources en gaz. En , il se rend en Chine sur invitation du Premier ministre chinois Li Keqiang et encadre la signature de 15 protocoles d‘accord qui s’inscrivent dans l’accord de partenariat stratégique global signé entre les deux pays en . Le , il rencontre son homologue italien Matteo Renzi pour officialiser la relance de la construction de GALSI, un gazoduc reliant directement l’Algérie et l’Italie. En , l'émission El Djazairia Week-end annonce l'interruption de son émission par une décision interne émanant de la direction de la chaîne. Selon Abdou Semmar, chroniqueur de l'émission, cette interruption fait suite à l'évocation dans leurs programmes du livre Alger-Paris : une histoire passionnelle (de Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet), et notamment l'achat d'un appartement onéreux à Paris par Rym, la fille d'Abdelmalek Sellal, mariée à un homme d’affaires libanais et citée plus tard dans l'affaire des Panama Papers, ce qui a poussé les autorités à exercer de « fortes pressions » provoquant la suspension de l'émission puis sa suppression. Selon Abdou Semmar, le Premier ministre aurait lui-même appelé le directeur de la chaîne El Djazaïra. Ce dernier et le directeur de l'ARAV (autorité de régulation) affirment par la suite qu'il n'en est rien. Pour le président de l'ARAV, l'émission utilise « le sarcasme et le persiflage à l’encontre de personnes dont des symboles de l’État et de hauts responsables de différentes institutions de l’État », notamment « un des animateurs de l’émission qui a brandi le portrait du président de la République et qui a dit de lui des propos graves ». En , après les législatives, après avoir mené des tractations pour former un nouveau gouvernement sans avoir été mandaté par la présidence, il est remplacé par Abdelmadjid Tebboune. Après le gouvernement Le , il est limogé de son poste de directeur de campagne de Bouteflika pour l'élection présidentielle algérienne de 2019 et remplacé par Abdelghani Zaalane. Procès Le , dans le contexte des manifestations de 2019 en Algérie, il est renvoyé devant la Cour suprême. Le , il est arrêté pour corruption. Son procès dans l'affaire des usines de montage automobile débute le 2 décembre 2019. Il est ajourné au 4 décembre. Il est condamné à 12 ans de prison ferme le 10 décembre. Sa condamnation est confirmée en appel le 25 mars. Le 13 juin, dans le cadre du procès de l’affaire de l’homme d’affaires Ali Haddad, il est placé en détention provisoire. Au cours de sa comparution devant le tribunal le 26 juin 2020, il affirme que le président Bouteflika ne dirigeait plus le pays en 2013 à la suite d’un accident vasculaire cérébral. À cette époque, c'est donc lui qui assurait de fait la direction politique de l'Algérie. Il a été condamné par le tribunal de Sidi M'Hamed à douze ans de réclusion criminelle pour corruption dans l'affaire Haddad, peine réduite en appel à huit ans le 3 novembre 2020. Dans l'affaire Takhout, il est condamné à dix ans d'emprisonnement, peine ramenée à cinq ans en appel puis portée à sept ans de prison lors d'un nouveau jugement le 12 décembre 2021. En prison, il est atteint de la Covid-19, dont il guérit. Le 30 novembre 2020, il est condamné à cinq ans de prison pour . En novembre 2021, Abdelmalek Sellal est jugé dans le cadre d'une affaire de corruption et d’octroi d’avantages indus concernant sa signature, en décembre 2015, d'une dérogation autorisant la reprise des travaux d’un hôtel de luxe dans le centre-ville de Béjaïa. Il est acquitté le 29 novembre 2021. En janvier 2022, il est condamné à quatre ans de prison pour corruption dans l'affaire dite puis, le 24 janvier 2022, à cinq ans de prison dans l'affaire dite . En février 2022, Abdelmalek Sellal est hospitalisé au CHU Mustapha-Pacha d’Alger pour raison de contamination au variant Omicron du covid-19 et a des problème de santé lié à ce dernier.. Vie privée Il épouse Farida en 1976. Le couple Sellal a trois enfants. Farida Sellal est ingénieur en télécommunication de formation. Elle a exercé son métier durant plusieurs années au sein de l'administration des postes et télécommunications dans le sud du pays, elle crée et préside l’association « Sauver l’Imzad » qui œuvre pour la préservation du patrimoine culturel du Hoggar et la promotion des arts traditionnels ancestraux. Sa sœur meurt le . Polémiques Le , le mouvement des chômeurs du sud (CNDDC) organise une grande manifestation à Ouargla. Elle rassemble entre à manifestants, entre autres pour répondre aux déclarations insultantes du premier ministre Abdelmalek Sellal qui avait traité les jeunes chômeurs de « chirdhima » et de groupuscule terroriste. En , il fait une erreur de langue, prononçant « fakakir » au lieu de « foukara » (pauvres). Le rappeur Lotfi Double Kanon en fait alors une chanson. En , il déclare : « Dieu nous surveille un à un avec des jumelles et tient la comptabilité ». Il a utilisé l’expression « rouh nenek » (« elle s'en ira ta grand-mère »), pour affirmer que le président Bouteflika n’a nullement l’intention de quitter le pouvoir. En , lors d’une visite officielle dans la wilaya d’El Tarf où il inspectait un chantier public de réalisation d’un hôpital avec l’entreprise chinoise China State Construction Engineering Corporation (CSCEC), il plaisante avec la responsable chinoise du projet : « Salam Alikoum ya Batata » (« Bonjour, hé patate ! ») . En , dans le contexte de la présidentielle d'avril, il déclare « Nous à Constantine, quand on veut parler des Chaouis, on dit hacha razk rabbi », une formule algérienne pour désigner une chose sale ou répugnante. Cela se terminera par un dépôt de plainte de la part d'une ancienne juge. Toujours en , en meeting à Alger il annonce : « Nous avons de l’insecticide pour éradiquer ce moustique de Printemps arabe. » Le , en campagne à Tizi-Ouzou, il affirme que les prêts accordés par l'État (ANSEJ) pour ouvrir des petites entreprises peuvent être utilisés par les jeunes pour se marier. Le sociologue Nordine Hakiki affirme que « nos dirigeants manquent tellement de ressources intellectuelles qu’il est très facile de les tourner en dérision ». Le politologue Rachid Grim ajoute : « contrairement à l’humour populaire utilisé souvent comme cache-misère, l’humour dont fait preuve — parfois à tort et à travers — Abdelmalek Sellal, n’a pas cette fonction de baume sur les blessures populaires. Il est consubstantiel de la personne même de l’actuel Premier ministre, connu depuis toujours pour son humour potache qui est devenu sa deuxième nature ». Pour l’expert en sciences du langage, Abderezak Dourari, le Premier ministre est presque « drôle malgré lui et par défaut ». « Souvent, les politiques ont recours à l’humour pour faire passer leurs messages. Dans le cas du président français, François Hollande, l’humour est mis au service d’un contenu. Chez Sellal, le contenu est sacrifié au profit de l’humour. C’est à mon sens tout simplement parce qu’il a un défaut linguistique, il ne maîtrise assez bien ni l’arabe ni le français, il fait donc appel au parler populaire mais sans défendre un contenu. » Détail des mandats et fonctions Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste des walis des wilayas algériennes Ambassadeurs d'Algérie Liste des chefs du gouvernement algérien Liste des gouvernements algériens Lien externe Site officiel Naissance en août 1948 Naissance à Constantine Élève de l'École nationale d'administration (Algérie) Membre du Front de libération nationale (Algérie) Personnalité politique algérienne Premier ministre d'Algérie Sellal Ministre algérien des Transports Ministre de la Jeunesse et des Sports Ministre algérien de l'Intérieur Diplomate algérien Ambassadeur d'Algérie en Hongrie Wali algérien
Ricardo Peláez
Ricardo Peláez Linares est un footballeur mexicain, né à Mexico, le . Biographie En tant qu'attaquant, il fut international mexicain à 49 reprises (1989-1999) pour 16 buts. Il participa à la Gold Cup 1996. Il inscrit un doublé contre Saint-Vincent-et-les-Grenadines. Il participa à la finale contre le Brésil et remporta la Gold Cup 1996. Sa dernière compétition internationale avec le Mexique fut la Coupe du monde de football 1998, en France. Il joue 3 matchs sur 4 (Allemagne, Corée du Sud et Pays-Bas), les 3 en tant que remplaçant. Il reçoit un carton jaune contre les Pays-Bas. Dans cette coupe du monde, il inscrit deux buts : un contre la Corée du Sud (3-1, but à la ) et un contre les Pays-Bas (2-2, but à la ). Il joua dans 3 clubs mexicains (Club América, Club Necaxa et Chivas de Guadalajara), remportant 3 championnat du Mexique, une Coupe du Mexique et une supercoupe du Mexique. Il fut finaliste de la Ligue des champions de la CONCACAF en 1996. Il est l'un des dix meilleurs buteurs du championnat du Mexique de football (184 buts en 167 matchs). Clubs 1985-1986 : Club América 1986-1997 : Club Necaxa 1997-1998 : Club América 1998-2000 : Chivas de Guadalajara Palmarès Ligue des champions de la CONCACAF Finaliste en 1996 Supercoupe du Mexique de football Vainqueur en 1995 Coupe du Mexique de football Vainqueur en 1995 Championnat du Mexique de football Champion en 1986, en 1995 et en 1996 Vice-champion en 1996 (invierno) Gold Cup (CONCACAF) Vainqueur en 1996 Liens externes Naissance en mars 1963 Naissance à Mexico Footballeur international mexicain Joueur du Club América Joueur du Club Necaxa Joueur vainqueur de la Gold Cup
Capbis
Capbis est une ancienne commune française du département des Pyrénées-Atlantiques. Le , la commune fusionne avec Bruges et Mifaget pour former la nouvelle commune de Bruges-Capbis-Mifaget, sous l'égide de la loi Marcellin. Géographie Le village est situé à l'est du département, à vingt-sept kilomètres au sud-est de Pau et à quatre kilomètres au sud de Bruges. Toponymie Le toponyme Capbis provient de Cap deü Béez (tête du Béez en gascon) et apparaît sous les formes Cabbis (, d'après Pierre de Marca), Grangia Capbisii (1235, réformation de Béarn), L'espitau de Capbiis (1385, censier de Béarn) et La cappere et grange apperat de Nostre Dame de Capbiis (1536, réformation de Béarn). On peut rapprocher Capbis à d'autres toponymes du sud ouest comme Cabestany (Pyrénées-Orientales, de Cabestagnio 927), Caplong (Gironde), Capbreton (landes) et ailleurs, comme Cap-d'Ail (Alpes-Maritimes, Cabo d'Ail 1259). On constate comme dans Cabpis, une alternance de formes anciennes écrites Capb- et d'autres en Cab-, dont les secondes s'expliquent, soit par une assimilation de [p] à [b], soit par une variante dialectale cab- pour cap-. D'ailleurs, que ce soit en gascon ou en français local, le p graphique de Capbis n'est jamais prononcé : on dit « cabbis ». Histoire En 1127, Gaston IV le Croisé, vicomte du Béarn, fonde l’abbaye de Sauvelade entre Orthez et Navarrenx. L’abbaye, installée dans les forêts, est placée sous l’ordre monastique des Bénédictins et dispose de petits territoires dispersés dans la contrée sur lesquels sont implantées des « granges » où travaillent et vivent des paysans sous la conduite d’un « grangier » : « Chaque grange est une entité autonome du temporel : elle reçoit pour elle les dons en terres cultivables et boisées et surtout un grand nombre de droits d’usage, de paître et de passage » (Hommes et animaux dans la vie quotidienne de la Gascogne romane de V. Labarrière) L’une de ces « granges » est établie sur le chemin menant d'Oloron à Lourdes, près d’un lieu nommé alors Cap deü Béez (tête du Béez) qui deviendra plus tard Capbis. La rivière Béez naît dans ce lieu en apparaissant au pied de la montagne sous la forme d’une résurgence assez importante, connue de nos jours sous le nom de  « Oueil de Béez ». Le territoire de la grange est prélevé sur le territoire d’Asson (350 arpents soit environ 133 ha) En 1195, une donation vicomtale fixe les droits de la « grange du Cap deü Béez » sur les montagnes proches et les limite au col de Hourna et au ruisseau du Bazest en accordant des droits de coupe (soutrage) et de pacage sur des « herms » d’Asson et de Louvie. Les « herms » étaient des terres communes dont l’usage  était organisé selon un droit coutumier. En 1357, Gaston X Fébus, vicomte de Foix-Béarn, fonde la bastide de Bruges dont la Charte de création donne des droits aux nouveaux habitants sur les montagnes d’Asson de Louvie Juzon et de Castet et, de ce fait, sur les « herms » dont dispose la « grange  de Sauvelade » Les cisterciens de Sauvelade (qui ont succédé en 1286 aux bénédictins) usent alors avec prudence de leurs droits sur les « herms » en évitant les conflits avec les communautés voisines d’Asson, Bruges et Louvie. En 1385, on dénombre trois feux, c’est-à-dire trois familles vivant dans trois maisons proches de la « grange de Sauvelade »  nommée aussi « l’espitaü de Capbius », ce qui peut laisser supposer qu’elle sert de refuge aux pèlerins cheminant sur la voie du piémont pyrénéen vers Saint-Jacques de Compostelle. De 1569 à 1599, pendant la Réforme, la « grange de Capbis » est vendue et ses droits sur les « herms » sont récupérés par les communautés voisines d’Asson, Bruges et Louvie. En 1651, l’Abbé Commendataire de Sauvelade Jacques de Boyer, chanoine de Saint Etienne de Toulouse, à qui Louis XIII a attribué l’abbaye de Sauvelade, choisit de résider dans la « grange de Capbis ». Il entreprend de valoriser le terroir de Capbis, provoquant ainsi la résistance des communautés voisines qui y pratiquaient sans entrave leurs activités pastorales depuis la Réforme. En 1663, l’abbé de Sauvelade Jacques de Boyer et son aumônier Barboutan sont assassinés avec une rare violence par seize spadassins locaux mandatés par les communautés voisines de Bruges, Asson et Louvie.(Référence : « Le Crime des Seize – La « Mourt de l’Abbé de Sauvelade » de Christian Desplat aux éditions Cairn) En 1768, l’ancienne « grange de Capbis » retrouve tous ses droits immémoriaux, devient une communauté et obtient la fondation d’une église paroissiale sous le nom de « Notre Dame de l’Assomption ». En 1973, la commune de Capbis fusionne par association avec les communes voisines de Bruges et de Mifaget pour former la nouvelle commune  de  Bruges-Capbis-Mifaget En 2014, Capbis est un village d’environ 80 habitants, à la fois résidentiel et agricole, tourné vers le proche village de Bruges pour l’accès aux services de proximité (secrétariat de mairie, agence postale, écoles, commerces, installations sportives, etc.) Administration Démographie Culture locale et patrimoine Patrimoine religieux L'église Notre-Dame, possède des éléments provenant du . Notes et références Pour approfondir Article connexe Liste des anciennes communes des Pyrénées-Atlantiques Lien externe Ancienne commune dans les Pyrénées-Atlantiques Ancienne commune du Béarn Commune associée dans les Pyrénées-Atlantiques
Jerry Lorenzo
Jerry Lorenzo (né le ) est un créateur de mode et de baskets américain. Il est le fondateur de la marque américaine de streetwear . Il est également le fils de l'ancien joueur, entraîneur et manager de la Ligue majeure de baseball (MLB) Jerry Manuel. Lorenzo a créé cinq looks personnalisés pour Justin Bieber à porter sur scène lors de sa tournée Purpose World. Il a également aidé à concevoir la marchandise de la tournée. Des célébrités telles que Kanye West et Kendall Jenner sont des fans connus de la marque. Lorenzo a fondé sa marque signature en 2012, bien qu'il n'ait aucune formation en mode et qu'il soit inconnu dans le monde du streetwear. Références Liens externes Naissance en 1976 Styliste américain
Outre
Une outre (du latin ) est un sac en peau de bouc, de chèvre, de cochon, de bœuf ou de veau, cousu par un bout et dont toutes les coutures sont soigneusement bouchées avec de la poix, afin de pouvoir y renfermer des liquides, ou le gonfler d’air. Il s’agit d’une des premières formes de récipient. Il est utilisé durant la préhistoire et l'Antiquité, essentiellement pour transporter des liquides (eau, vin, posca, hydromel, huile d’olive…) ; souvent, les pattes constituent les poignées et le cou, le déversoir… L’outre en peau peut avoir d’autres fonctions (transports de marchandises pour franchir les cours d’eau ou tout type de plan d’eau, divertissements…). L’outre à vin () Durant la Haute Antiquité, l'outre sert surtout à transporter en grandes quantités du vin d’un endroit à un autre. On apporte le vin dans une outre jusque dans la salle à manger et c’est avec l’outre que l’on remplit les coupes. Sur une fresque découverte à Pompéi, on peut voir une femme versant d’une outre du vin dans un tenu par Silène. Les Grecs pratiquent durant les Dionysies rurales attiques, le second jour des fêtes de Bacchus appelé ascolia () ou askôliasmos, un concours dont le but était de rester le plus longtemps en équilibre sur une outre en peau emplie de vin et huilée. L’outre pour fabriquer le fromage Au moment où naît le fromage à l’époque néolithique, l’excédent de lait de chèvre ou de brebis est conservé dans une outre faite de panse de veau encore fraîche. Le choix de la peau est motivé par le fait que l’estomac des jeunes bovins, non sevrés, contient naturellement une présure favorisant le caillage du lait. L’outre gonflée d’air () Durant l’antiquité, l'outre gonflée d'air permet de franchir des cours d’eau ou des plans d’eau sans risque. Durant l’antiquité, des corporations de portefaix, les « utriculaires », après avoir fixé les marchandises débarquées des navires sur des radeaux renforcés par des outres gonflées d’air (du latin d’où le nom d’utriculaire), doivent les apporter des îles vers les côtes, ou d’une rive à celle opposée. La cornemuse est un instrument de musique à vent composé d’une outre et de tuyaux à anches. Utilisation sportive Les Romains ont diffusé en Europe l’, un jeu dont le but est de déposer une outre remplie de sable, de chiffons, de paille ou de son dans le camp adverse. Les joueurs divisés en deux camps doivent s’en saisir et le porter dans le camp opposé. Les Romains apprennent ce jeu des Grecs (àrpastòn), lors des campagnes de conquête du avant notre ère, puis le répandent dans les pays qu'ils conquirent. Il fait partie de la formation des gladiateurs et est joué principalement par les légions placées aux frontières. Des matches fréquents y sont organisés entre les Romains et les peuples autochtones. Les légions romaines introduisent ce jeu en Grande-Bretagne, le match le plus célèbre a été joué en 276 et les barbares l'emportent par un score de 1-0. Il existe peu de sources écrites sur l'Harpastum. Dans le premier livre des Deipnosophistai, Athénée de Naucratis affirme que c'est son jeu préféré et le décrit en citant un fragment du dramaturge grec Antiphane : . Le Jeu de l'Outre est pratiqué depuis la plus haute Antiquité dans le pourtour du bassin méditerranéen. Les Grecs s'y adonnent durant les Dionysies rurales attiques, le second jour des fêtes de Dionysos appelées Ascolia (). L’askôliasmos est un concours dont le but est de rester le plus longtemps en équilibre sur une outre en peau de bouc emplie de vin et enduite de suif. En Italie, ce jeu est pratiqué lors des Consualia, fête donnée en l'honneur de Consus, divinité italique et chtonienne, identifiée ensuite à Neptune-Poséidon. Virgile mentionne ce jeu dans ses Géorgiques (II, 384). Les joueurs doivent faire trois sauts sur l'outre en frappant à chaque fois des mains. C'est ce que montre une mosaïque provenant d'Ostie et conservée dans les collections du Berliner Museum. De jeunes athlètes nus sont observés par les femmes et les dieux. Un a déjà chuté, l'autre se prépare à sa tentative. Ce jeu est implanté en Provence lors de la colonisation romaine et reste populaire jusqu'à l'époque moderne. Connu sous le nom d'« ouire boudenfla » ou « saut du bouc », il est cité dans Mireio par Frédéric Mistral qui fait dérouler ce concours dans les Arènes de Nîmes. Il est attesté aussi à Velaux, à Avignon, lors de la Fête de la Paix qui se déroule le 17 brumaire, an IX, à Caderousse, et à Auriol où il a lieu lors des festivités de Saint-Pierre en 1844. Le vainqueur gagne l'outre pleine de vin. Notes et références Voir aussi Zahato Récipient à usage alimentaire refermable et transportable Accessoire à vin
France(s) territoire liquide
France(s) territoire liquide est un projet collectif regroupant 43 photographes (dont 2 duos) dans le but de poursuivre ensemble une recherche photographique sur le nouveau paysage français. Cette mission photographique est initiée en 2010 par Jérôme Brézillon, Frédéric Delangle, Cédric Delsaux et Patrick Messina sous le nom de "We Are French", et prendra le nom de France(s) territoire liquide en 2012. Elle est clôturée en 2014, et l'intégralité des photographes est exposée pour la première fois au Tri Postal de Lille lors des Transphotographiques de 2014. Photographes Le projet regroupe plusieurs photographes, dont: Guillaume Amat Brigitte Bauer Emmanuelle Blanc Guillaume Bonnel Aglaé Bory Michel Bousquet Jérôme Brézillon Elina Brotherus Thibault Brunet Jean-Philippe Carré-Mattei Julien Chapsal Florence Chevallier Gilles Coulon Geoffroy De Boismenu Yann De fareins François Deladerrière Léo Delafontaine Frédéric Delangle Cédric Delsaux Bertrand Desprez Anne Favret (en duo avec Patrick Manez) Olivia Froudkine Marion Gambin Sophie Hatier Claudia Imbert Julien Magre Patrick Manez (en duo avec Anne Favret) Guillaume Martial Geoffroy Mathieu (en duo avec Bertrand Stofleth) Patrick Messina Albin Millot Olivier Nord Antoine Picard Joffrey Pleignet Bernard Plossu Aude Sirvain Marie Sommer Bertrand Stofleth (en duo avec Geoffroy Mathieu) Ambroise Tézenas Laure Vasconi Émilie Vialet Beatrix Von Conta Pierre Witt Annexes Bibliographie Articles connexes Paysage en France Photographie de paysage Photographie d'architecture Photographie documentaire Mission héliographique Farm Security Administration Mission photographique de la DATAR Atlas des Régions Naturelles Liens externes Collectif ou groupe de photographes
Robert S. Johnson
Robert Samuel Johnson est un as de l'aviation américain de la Seconde Guerre mondiale né le à Lawton et mort le à Tulsa. Liens externes Naissance en février 1920 Naissance dans le comté de Comanche (Oklahoma) Décès en décembre 1998 Décès à Tulsa As des Forces armées des États-Unis Aviateur américain Militaire américain de la Seconde Guerre mondiale Récipiendaire de la Distinguished Flying Cross (États-Unis) Récipiendaire de la Distinguished Service Cross (États-Unis) Récipiendaire de la Silver Star Récipiendaire de l'Air Medal Lieutenant-colonel de l'United States Air Force Décès à 78 ans
Davit Bakradze
Davit Bakradze (en géorgien : დავით ბაქრაძე, phonétiquement davite bakradzé), aussi traduit David Bakradze, né le à Tbilissi, est un homme politique géorgien, président du Parlement de 2008 à 2012. Biographie Études Il est diplômé de l'université d'État de Tbilissi en sciences physiques et en mathématiques. Fonctionnaire (1997-2003) Après avoir travaillé au ministère des Affaires étrangères de 1997 à 2002, il rejoint le Conseil national de sécurité. Parlementaire (2004 à 2008) Le , Davit Bakradze est élu député au Parlement de Géorgie sous l'étiquette du Mouvement national uni (MNU) -parti du président Saakachvili qui remporte 135 sièges sur 150-. Ministre (2008) Il exerce brièvement les fonctions de ministre des Affaires étrangères du 31 janvier au en remplacement de Guéla Béjouachvili. Président du Parlement (2008 à 2012) À l'issue des élections législatives géorgiennes du émaillées d'incidents, il est appelé à la présidence du parlement le afin de remplacer Nino Bourdjanadzé qui a pris ses distances par rapport à la majorité présidentielle, fonction qu'il occupe jusqu'au , date de la défaite de son parti aux élections législatives géorgiennes de 2012. Candidat à la présidentielle (2013) Davit Bakradze est désigné par le Mouvement national uni candidat à l'élection présidentielle du , Mikheil Saakachvili ne pouvant se représenter ayant exercé deux mandats successifs. Dans un contexte difficile -la coalition du Rêve géorgien du Premier ministre Bidzina Ivanichvili ayant déjà obtenu la majorité législatives en 2012, il recueille 22 % des voix et son adversaire Guiorgui Margvelachvili est élu avec 62 % des suffrages. Parlementaire (depuis 2012) Il devient le chef de l'opposition dans la législature de 2012 à 2016, ainsi qu'au début de la législature suivante avant la scission au sein du Mouvement national uni. Notes et références Notes Références Liens externes Président du Parlement de Géorgie Ministre géorgien des Affaires étrangères Parlementaire géorgien Ambassadeur de Géorgie aux États-Unis Étudiant de l'université d'État de Tbilissi Commandeur de l'ordre du Mérite de la république de Pologne Naissance le 1er juillet 1972 Naissance à Tbilissi Naissance en RSS de Géorgie
Eupleridae
Les Eupléridés (Eupleridae) sont une famille de carnivores féliformes endémique de Madagascar. À la suite d'une étude de 2003, les espèces de la sous-famille des euplérinés ont été regroupées avec une ancienne sous-famille des herpestidés, les galidinés, au sein de cette famille. Taxinomie Selon ITIS et MSW : sous-famille Euplerinae genre Cryptoprocta Bennett, 1833 Cryptoprocta ferox - Fossa genre Eupleres Doyere, 1835 Eupleres goudotii - Euplère de Goudot genre Fossa Gray, 1865 Fossa fossana - Civette malgache sous-famille Galidiinae genre Galidia I. Geoffroy Saint-Hilaire, 1837 Galidia elegans - Galidie à queue annelée genre Galidictis I. Geoffroy Saint-Hilaire, 1839 Galidictis fasciata - Galidie à bandes Galidictis grandidieri - Galidie de Grandidier genre Mungotictis Pocock, 1915 Mungotictis decemlineata - Galidie à bandes étroites genre Salanoia Gray, 1865 Salanoia concolor - Galidie unicolore Salanoia durrelli'' - Galidie de Durrell (non reconnue par MSW) Voir aussi Références externes Notes et références Mammifère (nom scientifique)
East Lancashire derby
L'East Lancashire derby (également appelé Cotton Mill derby) est le nom donné au derby entre les clubs du Blackburn Rovers F.C. et du Burnley F.C.. Cette rivalité se réfère à l'antagonisme entre les principaux clubs de football du Sud-Est du Lancashire, en Angleterre. Le bilan des confrontations est à l'avantage de Burnley qui a gagné 48 matchs, contre 45 pour Blackburn. Blackburn a remporté 13 titres dans des compétitions nationales, alors que Burnley en a remporté 10 dans des compétitions nationales. Depuis quelques années, des arrestations ont régulièrement lieu pendant ou après les matchs. Histoire Statistiques Général Pre-League Friendlies sont inclus dans les matches du championnat. Palmarès FA Cup League Cup Records Plus grand nombre de buts en un match: 11 (Blackburn-Burnley: 8-3) Plus grande victoire de Blackburn: 7-1 Plus grande victoire de Burnley: 6-0 D'un club à l'autre Notes et références Articles connexes Blackburn Rovers Football Club Burnley Football Club Championnat d'Angleterre de football D2 Rivalités dans le football anglais Football en Angleterre Blackburn Rovers FC
Michel Verjux
Michel Verjux est un artiste visuo-spatial contemporain, poète et théoricien de l'art français, né en 1956 à Chalon-sur-Saône. Biographie Michel Verjux vit à Paris depuis 1984. Sa compagne est l'écrivaine Isabelle Lartault. De 1976 à 1979, il pratique le théâtre, non seulement en tant qu'acteur, mais également en tant que metteur en scène et éclairagiste (au Théâtre universitaire international de Dijon). De 1979 à 1983, il réalise des performances et des installations vidéo et multimédia. En 1982 il est diplômé de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Dijon (atelier de Jaume Xifra). C'est à partir de 1983 qu'il réalise les éclairages que l'on identifie désormais à son travail. Il est le cofondateur du lieu d'artistes « À la limite », et du centre d'art contemporain Le Consortium, tous deux situés à Dijon, ayant respectivement ouvert en 1981 et 1983. Michel Verjux est maître de conférence en arts et sciences de l'art à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne depuis 1996. Par ailleurs, il est membre du Conseil scientifique de la recherche en arts plastiques, Délégation aux arts plastiques, pour le Ministère de la Culture français, de 1997 à 2000, et membre du Conseil d’administration de l’École nationale supérieure d'arts de Cergy-Pontoise depuis 2003. Démarche artistique De Michel Verjux, on connaît depuis les années 1980, ses projections de lumière blanche dans les espaces d’expositions. L’artiste s’inscrit dans la pratique contemporaine de l’installation. Cette pratique questionne en particulier le statut de l'objet d'art, l’espace qui l'entoure et le rôle du spectateur. Avec la lumière comme outil quasi exclusif, l’artiste met en scène l’espace par des données lumineuses, comme Dan Flavin le dématérialisait avec ses néons, Michel Verjux le découpe avec ses « éclairages ». Son œuvre est généralement in situ. En effet les œuvres de Verjux n'existent que dans un espace et dans un temps donnés. Ses éclairages sont induits et définis par le lieu qui est un élément indissociable de l’œuvre. Michel Verjux fonde son travail à partir du constat que l'art construit un rapport au monde (c'est-à-dire un système de représentations) par un dispositif de monstration, lequel permet d'envisager de nouveaux rapports, de nouvelles structures, au sein des manifestations du réel. L'important n'est donc pas plus dans ce que l'on montre que dans la manière dont on le montre et pourquoi on le montre. Les éclairages qu'il met en place (à partir de 1983) sont donc à appréhender de multiples façons : • le caractère métaphorique qu'il y a à « éclairer » quelque chose. • les qualités plastiques les plus concrètes des dispositifs qu'il met en place. Qu’il s’agisse de la qualité de la lumière en elle-même — température, intensité, diffusion, etc. Mais aussi de toutes les qualités matérielles de ce vers quoi elle porte notre attention comme les formes produites. Des formes géométriques simples, frontales et efficaces. Cette efficacité formelle, empreinte du mouvement moderne, ramène à des choses rationnelles et suffisantes pour permettre une simple compréhension de ce qu’elles sont dans un premier temps. • la manière dont les éclairages altèrent l'espace. En s’installant dans des espaces construits l’artiste propose de révéler leur architecture par un éclairage partiel qui décide d’en laisser disparaître ou d’en montrer des parties. • la façon dont ces installations introduisent un rapport au corps, au regard, à la spiritualité, ou bien leur caractère intentionnel voire fictionnel. Ses ‘’mises en lumière’’ mettent le spectateur en étroite relation avec l’œuvre, étant donné que le champ visuel est cadré, on se rend compte qu’on est en train de regarder. Peu à peu le spectateur est « en train de prendre la place de l’objet manquant ». L’œuvre nous fait prendre conscience de nous même, de notre place à ce moment précis, comme si on fixait notre être face au lieu et au temps. L’artiste nous invite par cela à méditer sur notre existence. L’architecte Tadao Ando disait d’ailleurs : « un mur devrait encourager les gens à penser ». Michel Verjux introduit donc dans ses travaux un ensemble complexe de relations non seulement au sein des constituants de l'œuvre mais également au sein des différents niveaux d'appréhension. Son travail entretient des rapports étroits avec la philosophie, qui le nourrit et dont, en retour, elle semble s'enrichir des concepts indicibles qu'il parvient à produire. Chronologie Dès ses travaux à l'École nationale supérieure des beaux-arts, Michel Verjux s’inscrivait déjà dans une pratique artistique de l’ordre de la performance et l’installation. Une performance universitaire a été marquante, puisqu'elle fut le déclic duquel découlera sa démarche artistique. Nommée FM 104, cette performance consistait à éclairer, comme il l’explique ; « une partie du sol et du mur avec un projecteur de diapositives, le tout selon un axe qui me semble important pour le spectateur. Éclairer, pour moi, était déjà un acte artistique. Ensuite je repeignais avec application en blanc la zone éclairée. C’était assez long. […] Une fois l’action de peindre achevée […] une image de ciel apparaissait sur le mur. À ce moment-là, les grandes références pour moi étaient Dan Graham, Jochen Gerz et Bruce Nauman ». Dès lors, les pratiques de Michel Verjux s’établissent selon un protocole décliné au cours de chaque exposition. Son travail se construit et se développe tel un langage sans cesse en évolution, autour de la mise en place d’un procédé fait de lumière. La première étape qu’il appela « ombre et lumière » s’exprima de 1983 à 1985. À ce moment-là, l’artiste mettait en œuvre ses éclairages à l’aide de projecteur de diapositives, et dans des lieux d’exposition qui avaient besoin d’être obscurcis. Par la mise en scène d’objets (fils à plomb, tables superposées …), s’installant entre la source lumineuse et le fond (mur), l’artiste découpe des formes et renvoi le spectateur à se questionner sur la morphologie de l’environnement, autant que sur la lumière projetée elle-même. Ces objets intermédiaires, Michel Verjux les appellera des « détours poétiques ». L’exposition Lumière à Montréal en 1986, marque un nouveau pas dans la démarche. En effet, Michel Verjux comprend alors que la projection peut se suffire à elle-même. A l’aide de projecteurs posés directement au sol, et d’une lumière rasante, l’artiste se détache de l’objet-obstacle. Cette évolution dans son langage artistique est d’autant plus marquante qu’elle s’attaque directement à la mise en forme matérielle de l’œuvre. Par la pièce exposée à Montréal Hommage au sol et au mur, que l’artiste requalifiera comme un « hommage à l’ici et maintenant », l’intérêt change de finalité et se porte désormais sur le processus qui génère les choses et les relations qui s’établissent entre elles plus que dans l’aspect formel ou concret de celles-ci. Dès lors, Michel Verjux développe son langage autour de ce procédé sans objet, où l’éclairage est la seule matérialité de l’œuvre. La phase suivante d’évolution notable, se joue cette fois dans l’utilisation des éclairages. C’est à l'occasion d’une commande publique que la question de l’appareil d'éclairage surgit. Prévue pour une maternelle, l'installation doit être visible pendant la journée, Michel Verjux doit donc composer son œuvre avec la lumière ambiante. C’est à ce moment qu'il s’approprie le projecteur à découpe comme nouvel outil. Ce dispositif n’est plus un matériel technique de projection d’images, comme l’est le projecteur de diapositives, mais une source de lumière directe. De plus il s'agit d’une technique d’éclairage de spectacle utilisée notamment pour le cinéma, le théâtre, la danse… L'utilisation du projecteur à découpe marque une intensification de la lumière. L’artiste justifie cette évolution technique en expliquant que « le changement est d’autant plus décisif qu’il nous apporte plusieurs gains simultanés ». À partir de là, les œuvres s’inscrivent dans ce Verjuxappelle : « la lumière dans la lumière ». 1991, Michel Verjux fait ses premiers travaux en extérieur. Nouvelle phase significative puisque cette fois ci c’est l’espace d’exposition qui évolue et s’étend. À L'extérieur, l’œuvre s’efface le jour pour laisser place au soleil et réapparait la nuit. L’artiste précise : « on ne remplace pas le soleil, on prend juste son relais, modestement et pour une durée limitée». En extérieur, le statut de l'éclairage peut être modifié alors modifiée : il s’inscrit tout autant dans une dynamique d’éclairage artistique que d’éclairage public. Depuis une dizaine d'années Michel Verjux intervient de plus en plus dans l’espace public. Expositions, commandes publiques et assimilées Expositions personnelles récentes (sélection) 2008 : Zip, (en parallèle à l’exposition d’Olivier Mosset), espace Black Box, Art & Co, Bruxelles, 10 oct.-15 nov. Philippe Daney & Michel Verjux à Granville, Granville gallery, 11 oct.-30 nov. et Musée d’art moderne Richard Anacréon, 11 oct.-31 déc. Ni une ni deux, Cécile Bart & Michel Verjux, galerie Georges Verney-Carron, Lyon, 19 sept.-20 déc. Vor unseren Augen, Galerie Dorothea van der Koelen, Mayence, Allemagne, 16 févr.-. 2009 : Notte bianca Milano, Galeria d'arte moderna di Milano, 20 fév. À plein tube sur la lumière et la couleur, Galerie Guy Ledune, Bruxelles, 25 avr.-11 juil. Avant toute chose, Galerie Galerie Catherine Issert, Saint-Paul, 11 sept.-31 oct. (En collaboration avec Isabelle Lartault) Prima di tutte le cose, Galleria A arte Studio Invernizzi, Milano, 24 sep.-13 nov. Recommencements, Art Image, Chalon-sur-Saône, Chapelle du Carmel, 27 oct.- 5 déc. 2010 : Cercle et carré, Galerie Jean Brolly, Paris, 9 jan.- 20 fév. Sous le plafond (sur le sol, exactement), Villa Arson, Centre national d’art contemporain, Nice, France (installation permanente depuis 1988, restaurée et réinaugurée le 4 févr. 2010, en parallèle à l’exposition collective Double Bind). Poursuite à la façade, galerie Catherine Issert, Saint-Paul-de-Vence, France, installation permanente depuis l’automne 2009 (réinaugurée le 5 févr. 2010, en parallèle à l’exposition personnelle de Pascal Broccolichi). Le mur, l'espace, l'œil, Musée national Fernand Léger, Biot, 5 fév.- . Biennale für Internationale Lichtkunst - Ruhr 2010 (Open Light in Private Spaces), Haus Kneissel, Hamm, -. Tout le reste est dans l’ombre, avec Isabelle Lartault, Nuit Blanche, France, Paris, Tour Montparnasse, 2-. xavierlaboulbenne (avec une performance de Dölsie, le 2 oct.), Berlin, Allemagne, 2-. 2011 : Breathe, Walk and Look, Dallas Contemporary Art Center, Dallas, TX, U.S.A., 12 févr.-. Expositions collectives récentes (sélection) 2008 : John Armleder, Michel Verjux et Banks Viollette, Point Éphémère, Paris, 25 oct.-23 nov. Le projet de la presse Bliss, Maison du développement culturel, Gennevilliers, 11 sept. Moi et les autres, galerie Catherine Issert, Saint-Paul de Vence, 18 juill.-. XXL, Summer group exhibition, espace Black Box, Art & Co, Bruxelles, -13 sept. + de réalité, Hangar à bananes, Groupe de recherche sur les abstractions, E.R.B.A., Nantes, France, -. Art Karlsruhe (galerie Dorothea van der Koelen), Halle Karlsruhe, Allemagne, 27 févr.-. Artefiera (galerie Jean Brolly, Paris), Bologne, Italie, 24-28 janv. 2009 : Vide et Plénitude, Espaces Commines, Centre Culturel Coréen, 7-25 avr. MiArt 2009, (galerie A arte Studio Invernizzi, Milan), Milan, Italie, 17-. Art Brussels, (galerie Jean Brolly, Paris), Bruxelles, Belgique, 24-. À plein tube sur la lumière et la couleur, espace Black Box, Art & Co, galerie Guy Ledune, Bruxelles, Belgique, -11 juill. Double détente, L’orangerie, parc municipal, Mairie, Fontenay le Comte, France, -. When Ideas become Form, La Galeria, Galerie Dorothea van der Koelen, Venise, Italie, -23 nov. Projet/Projection#7.0, Biennale de l’Estuaire 2009, École nationale supérieure d’architecture, en collaboration avec l’École supérieure des beaux-arts du Mans, Nantes, France, 15-. Nous ne vieillirons pas ensemble, Galerie Odile Ouizeman, Paris, France, -. FIAC 2009 (galerie A arte Studio Invernizzi, Milan), Grand Palais, Paris, France, 22-25 oct. 2010 : MiArt 2010, (galerie A arte Studio Invernizzi, Milan), Milan, Italie, 25 -. Internationale Biennale der Lichtkunst Ruhr 2010 - Open Light in Private Spaces, Hamm, Allemagne, Haus Kneißel, -… Nous ne viellirons pas ensemble, galerie des multiples, Paris, France, -. Rund. Form, Grenze, Körper, Erscheinung, Gesellschaft fuer Kunst und Gestaltung, Bonn, Allemagne, –. Light Show, Buchmann Galerie, Lugano, Suisse, -… François Morellet, François Perrodin, Felice Varini, Michel Verjux, galerie Mark Müller, Zürich, Suisse, – . Art/41/Basel, (galerie Mark Müller, Zürich), Bâle, Suisse, 16-. Prendre la porte et faire le mur, F.R.A.C. Provence-Alpes-Côtes d’Azur, Marseille, France, 11 sept.-11 déc. Art, Architecture, Design, galerie Verney-Carron, Lyon, France, 11 sept.–20 nov. Arte Natura Poesia. Interventi a Morterone, Morterone, Italie, 12 sept-5 déc. FIAC 2010 (galerie A arte Studio Invernizzi, Milan), Grand Palais, Paris, France, 21-24 oct. Plus de lumière, Kunstraum Alexander Bürkle, Freiburg im Breisgau, Allemagne, 23 oct. 2010 - . 2011 : Galerie Mark Müller, Zürich, Suisse, 15 janv. – . Quelques commandes publiques permanentes (et assimilées) Sept poursuites pour un plan d’eau, Port de Bruxelles et Fondation du roi Baudouin, Belgique, 2004 (conception 1999). Suite de trois fragments de lumière, Musée national de Préhistoire Les Eyzies de Tayac, France, 2004 (conception 2000). Cônes de lumière dans un cône de matière, Société du Métro de l’Agglomération Toulousaine (station Saint-Michel – Marcel-Langer de la ligne B du métro de Toulouse), France, 2007 (conception 2002). Synoptique, Saline royale, Institut Claude-Nicolas Ledoux, Arc et Senans, France, 2007-2008. Le site de la presse Bliss (l’ancienne usine Chausson), en collaboration avec Philippe Daney, Gennevilliers, France, 2008. Deux incises de lumière projetée, Bibliothèque municipale de Vignate (Milan), Italie, 2008. Sous le plafond (sur le sol exactement), 1988-2010 (restaurée), Villa Arson, Centre national d'art contemporain, Nice, à nouveau visible à partir du . « 11 colonnes de lumière pour un horizon nocturne » Pont Royal Clamerey 1994 Bibliographie (sélection) Catalogues monographiques Michel Verjux. Notes, éclairages, Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou, Paris, 1987. Michel Verjux, Sept ans de réflexion et Au milieu, Villa Arson, Centre national d’art contemporain, Nice et Musée d’art moderne de la ville de Paris, 1992. Michel Verjux, Westfälischer Kunstverein Münster, Neues Museum Weserburg Bremen, Förderkreis der Leipziger Galerie et Kunstverein St Gallen, éd. Cantz, 1993 (catal. commun). Michel Verjux, Il buon uso della luce nella luce, A arte studio Invernizzi, Milan, 2001. Michel Verjux, Synoptique, Saline royale, Ministère de la culture et de la communication et Institut Claude-Nicolas Ledoux, Arc et Senans, 2009. Michel Verjux, Notes numérotées à mon nombre de jours de vie, Atelier du Paire Lachaise, Paris, 2010. Entretiens Entretien avec Jean Brolly, catalogue Valses nobles et sentimentales, Musées de la ville de Strasbourg, 1991, p. 56-64. Entretien d’Isabelle Lartault avec Cécile Bart, Felice Varini et Michel Verjux, « Autour du tour », catalogue Bart, Varini, Verjux – Le tour, galerie Georges Verney-Carron, Villeurbanne, 1995. Entretien avec Patrick Bougelet et Denis-Laurent Bouyer, « Michel Verjux : éclairages », revue Sans titre, n°39, Lille, avril-, p. 1-2, rééd. dans Sans titre, Un mobile home dans le désert, La lettre volée, Bruxelles, 1998, p. 199-205. « Le mur, l’espace, l’œil », entretien entre Michel Verjux et Ariane Coulondre, catalogue en ligne, à l’occasion de l’exposition personnelle de l’artiste au Musée national Fernand Léger, Biot, . Articles Bertrand Lavier, « Michel Verjux », catalogue Été 84, Le nouveau musée, Villeurbanne, 1984, p. 51. Christian Besson, « Michel Verjux en éclaireur », catalogue Michel Verjux, Le consortium, Succès du bedac n°7, Association pour la diffusion de l’art contemporain en Bourgogne, Dijon, 1984. Claude Gintz, « Sur l’origine du sens dans le travail de Michel Verjux », catalogue Michel Verjux, Galerie Claire Burrus, Paris et Maison de la culture et de la communication, Saint-Etienne, 1986. René Denizot, « Identification d’une œuvre », revue Galerie magazine, n°34, Paris, déc. 1989-janv. 1990, p. 82-83 et 136. Bernard Marcadé, « Nao se mostra o invisivel » (trad. en portugais de « On ne montre pas l’invisible »), catalogue L’excès & le retrait, XXIe Biennale de Sao Paolo, A.F.A.A., Paris, 1991. Heinz Liesbrock, « Die Sprache des Lichts », catalogue Michel Verjux, Westfälischer Kunstverein Münster, Neues Museum Weserburg Bremen, Förderkreis der Leipziger Galerie et Kunstverein St Gallen, éd. Cantz, 1993, p. 17-19. Marc Mayer, « Michel Verjux : Light connection », catalogue Michel Verjux, Albright-Knox Art Gallery, Buffalo, 1997. Francesca Pola, « Situazione luce/Situation Light », catalogue Michel Verjux, Il buon uso della luce nella luce, A arte studio Invernizzi, Milan, 2001, p. 5-8 et 11-14. Isabelle Lartault, «Des étapes éclairantes le long du trajet», article publié dans le catalogue Michel Verjux (avec une traduction en japonais par Misao Harada), inséré dans le coffret Tranquility (Miyajima, Nordman, Sugimoto, Toroni, Verjux), Chiba, Chiba city museum of art, 1996, p. 2-23. Damien Sausset, «Michel Verjux, l'éclairage comme langage», revue Connaissance des arts, n°609, Paris, oct. 2003, P.51-55. Notes et références Voir aussi Article connexe Art contemporain Liens externes Artiste contemporain français Poète français du XXe siècle Poète français du XXIe siècle Théoricien de l'art Enseignant à l'université Paris I Panthéon Sorbonne Naissance en 1956 Naissance à Chalon-sur-Saône
Aufseßhöflein (Bamberg)
L'Aufseßhöflein à Bamberg, une ville bavaroise de Haute-Franconie, a été construit entre 1723 et 1728. L'ancien palais des plaisirs (folie) est un monument architectural protégé. Histoire Le jardin baroque a été construit par Johann Dientzenhofer pour Philipp Friedrich von Aufseß (1691-1743) sur le site d'un bâtiment précédent qui était alors encore entouré de lacs. Un intérieur coûteux de style rococo a créé des problèmes financiers, qui ont entraîné un déclin progressif à partir de 1760 environ. Initialement loué à d'anciens serviteurs des Aufseß et dévasté lors des guerres napoléoniennes, il fut vendu à une famille de jardiniers en 1839. La propriété a été utilisée pour l'agriculture, les étangs ont été asséchés, le hall au fenil et le poulailler. Au 19ème siècle, des voies ferrées ont été tracées à proximité de la propriété, et vers 1941 un projet de démolition en faveur de l'extension de la ligne a suscité des protestations parmi la population. Lorsqu'il a été inscrit sur la liste des monuments protégés en 1953, le bien n'était plus "à sauvegarder comme monument sans une mise de fonds très importante (...)". Vers l'an 2000, le dernier descendant du jardinier dut quitter le bâtiment, laissé à l'abandon depuis des décennies. Une sauvegarde d'urgence a suivi et plusieurs tentatives de sauvetage infructueuses avant que la propriété ne soit restaurée de manière exemplaire par de nouveaux propriétaires entre 2012 et 2015. Le 30 novembre 2015, le Premier ministre bavarois Horst Seehofer a décerné à la famille propriétaire le prix spécial du Prix fédéral de l'artisanat pour la préservation des monuments . Le palais est ouvert au public depuis sa rénovation. Des événements culturels et des mariages ont lieu régulièrement dans la salle de bal. Description La structure du toit en mansarde de deux étages s'élève au-dessus d'un sous-sol avec des fenêtres rondes. Les chambres splendides sont stuquées dans le style rococo avec des bandes et des motifs d'oiseaux au plafond et aux murs. Avec la restauration, un escalier extérieur représentatif à deux volées a été ajouté. Littérature Annette Faber : L'Aufseßhöflein aux portes de la ville du patrimoine mondial de Bamberg. Dans : Monument Preservation Information n° 163, mars 2016, p. 14-18 ( édition en ligne). Liens web www.aufsesshoeflein.de - Présence Internet mise en place par les propriétaires Bamberg Bamberg Monument historique à Bamberg
Basse-Soule
La Basse-Soule ou La Barhoue, ou Pettarra en basque, est un pays historique de la province basque de la Soule, dans le département des Pyrénées-Atlantiques. Régions limitrophes le Béarn au nord Amikuze (Basse-Navarre) à l'ouest Basabürüa à l'est Arbaille au sud Communes Pays historiques de la Soule Arbaille (Arbaila) Basse-Soule ou La Barhoue ou (Pettarra) Haute-Soule (Basabürüa) Références Pays historique du Pays basque Pays historique des Pyrénées-Atlantiques Soule
Lakavitsa (Gostivar)
Lakavitsa (en macédonien Лакавица ; en albanais Llakavica) est un village du nord-ouest de la Macédoine du Nord, situé dans la municipalité de Gostivar. Le village comptait 994 habitants en 2002. Il est majoritairement albanais. Démographie Lors du recensement de 2002, le village comptait : Albanais : 990 Autres : 4 Voir aussi Gostivar Références Village de Gostivar
Blagny (Ardennes)
Blagny est une commune française située dans le département des Ardennes, en région Grand Est. Géographie Le village de Blagny, traversé par la Chiers, est contigu à la ville de Carignan. Il est situé au pied d'une colline de , le Mont Tilleul. La commune se compose de deux parties distinctes : l'ancien village et les anciennes cités de l'usine des Hauts Fourneaux de la Chiers, construites au début du . Urbanisme Typologie Blagny est une commune rurale. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Elle appartient à l'unité urbaine de Carignan, une agglomération intra-départementale regroupant et en 2017, dont elle est la banlieue. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carignan, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire, qui regroupe , est catégorisée dans les aires de moins de . Histoire Blagny est sans doute d'origine gallo-romaine. Des sarcophages mérovingiens y ont été trouvés vers 1880. L'église, consacrée à saint Rémy, plaide aussi en faveur d'une grande ancienneté de la commune. Le collateur était le chapitre collégial d'Yvois. Le village est cité dans une charte de l'abbaye d'Orval en 1124. Blagny est mis à la loi de Beaumont par le comte de Chiny avant 1276. La localité, proche d'Yvois, est ruinée par trois fois au cours des guerres du . On y trouvait alors un moulin. Au , les Reumont sont seigneurs de Blagny et à la même époque le maréchal Fabert fait construire une redoute sur la Chiers. Les abbayes d'Orval, de Saint-Pierre de Bèze, et de Saint-Hubert ont possédé des biens à Blagny. En 1791, le curé Forgeot refuse la constitution civile du clergé. Le village s'est développé après 1824, date de la transformation du moulin en usine métallurgique. La population a augmenté de 336 % en un siècle. À partir de 1928, l'usine de Blagny appartient à la Société de Hauts Fourneaux de la Chiers de Longwy. Elle produisait des tôles de carrosserie et des tôles galvanisées. La fermeture de l'usine avec la perte de centaines d'emplois entraîne une forte dépopulation. Une tentative de fusion de Blagny et Carignan échoue en 1966 mais il existe un SIVOM qui traite des problèmes entre les deux communes. Héraldique Politique et administration Tendances politiques et résultats Liste des maires Démographie Lieux et monuments L'église Saint-Rémy possède un porche daté de 1700. C'est un édifice très simple qui abrite une Vierge à l'Enfant du type dit de Notre-Dame d'Orval. Devant l'église se trouvent deux grands et gros marronniers qui passent pour avoir été plantés en 1598 afin de célébrer la paix de Vervins. Ils ont sans doute été replantés vers le . Cependant vers la fin de 2018, un des deux marronniers est coupé car celui-ci était malade, ne restait au pied de l'église qu'un seul marronnier à côté de la Souche de son camarade de 422 ans. Deux ans après, dans la nuit du 19 au 20 juillet 2020, une partie du dernier marronnier restant se casse dû à la maladie pour s'écraser quelques mètres plus bas, détruisant barrières et lignes électriques tout en coupant la route et en évitant de peu la chute sur plusieurs habitations. Personnalités liées à la commune Notes et références Notes Références Articles connexes Liste des communes des Ardennes Duché de Carignan Liens externes Blagny sur le site de l'Institut géographique national Blagny
Gueorgui Abramov
Gueorgui Andreievitch Abramov (en ) est un baryton soviétique. Il a été nommé artiste émérite de la RSS de Russie en 1944. Biographie Gueorgui Abramov naît à Moscou le ( en calendrier julien). Après avoir travaillé dix ans comme serrurier (de 1918 à 1928), il intègre en 1931 le conservatoire de Moscou. Il chantera dès lors, comme soliste, dans le chœur de la radio soviétique. Cependant, il chante aussi avec d'autres ensembles, comme les Chœurs de l'armée rouge. Il donne de nombreux concerts, où il interprète notamment des chansons de compositeurs soviétiques, mais aussi des airs d'opéras classique. Il est employé de l'Institut pédagogique de musique de Moscou entre 1954 et 1958. En 1959, il fait une grande tournée en Pologne, Roumanie, Hongrie et RDA. Il meurt en 1966, à 63 ans. Quelques chansons Ah, les Chemins... (chanson dont il fut le premier interprète) Berceuse Chanson du vieux vétéran De belles fleurs dans le jardin (chanson dont il fut le premier interprète) De la Volga au Don Hymne de la jeunesse démocratique (chanson dont il fut le premier interprète) L'accordéon solitaire La forêt de Briansk Le bruissement des pins Le joyeux tankiste Nous étions quatre amis Récompenses Médaille pour la Défense de Moscou Médaille pour son travail lors de la Seconde Guerre mondiale Médaille « en mémoire du huitième centenaire de Moscou » Notes et références Liens externes Chansons de Gueorgui Abramov Gueorgui Abramov chante à la radio Biographie complète Igor Abrossimov : Советская Россия: 1917-1991 - государство, политика, экономика, наука, культура, литература, искусство. proza.ru, 2009 Naissance à Moscou Naissance en avril 1903 Chanteur classique russe Baryton Chanteur soviétique Titulaire de la médaille pour la Défense de Moscou Titulaire de la médaille « Pour le Travail Vaillant dans la Grande Guerre patriotique 1941-1945 » Décès en novembre 1966 Décès à 63 ans Décès à Moscou Décès en RSFS de Russie Naissance dans le gouvernement de Moscou
Jenna Laurenzo
Jenna Laurenzo est une actrice, scénariste, productrice et réalisatrice américaine. Biographie En 2018, elle réalise son premier long métrage, Lez Bomb. Vie privée Jenna Laurenzo est ouvertement lesbienne. Filmographie Comme actrice 2008 : The New Twenty : la fille qui court 2010 : Mourning on Charlotte Street (court métrage) : Marie 2011 : I Love You (court métrage) 2011 : Parker & Maggie (série télévisée) : Maggie (10 épisodes) 2011 : Caseload (court métrage) : Ashley 2012 : Things I Don't Understand : Daisy 2012 : Frog Kissers (téléfilm) : Jessica 2012 : Cowboy Spirit : Tori 2012 : The Pleasure People (court métrage) : Astrid 2012 : Hey There Stranger (téléfilm) : Signy 2013 : The Happy Mommy Hustle (série télévisée) : J.J. (2 épisodes) 2014 : Coffee to Go (court métrage) : Barista 2014 : Snafu (série télévisée) : Emily 2014 : Two Pints Lighter : Maureen 2013-2014 : Water with Lemon (série télévisée) : Autumn (6 épisodes) 2014 : Half Brother : Katie 2015 : Girl Night Stand (court métrage) : Katie 2015 : Shift Into Gear Web Series (série télévisée) : Meghan Donovan 2017 : She's Marrying Steve (court métrage) : Lauren 2018 : Green Book : Fran Venere 2018 : Lez Bomb : Lauren Comme scénariste 2011 : Parker & Maggie (série télévisée) (10 épisodes) 2012 : The Pleasure People (court métrage) 2013 : Water with Lemon (série télévisée) 2014 : Coffee to Go (court métrage) 2015 : Girl Night Stand (court métrage) 2018 : Lez Bomb Comme productrice 2011 : Parker & Maggie (série télévisée) (10 épisodes) 2013 : Water with Lemon (série télévisée) 2014 : Coffee to Go (court métrage) 2015 : Girl Night Stand (court métrage) 2018 : Lez Bomb Comme réalisatrice 2015 : Girl Night Stand (court métrage) 2018 : Lez Bomb Notes et références Liens externes Actrice américaine Scénariste américaine de cinéma Productrice américaine Réalisatrice américaine Réalisatrice américaine dont l'œuvre est marquée par les thèmes LGBT Date de naissance non renseignée (XXe siècle) Lieu de naissance inconnu Personnalité ayant fait son coming out
Grande Mosquée de Dosso
La Grande Mosquée de Dosso est une mosquée située dans la ville de Dosso, au Niger. Historique La première mosquée est une paillotte. En 1917, elle est remplacée par un édifice en argile à la demande du Zarmakoye, le souverain traditionnel de Dosso. Le nouveau bâtiment est construit par des maçons haoussas de Sokoto. En dépit de son importance architecturale, l'édifice est rasé en 1978 et remplacé par une nouvelle mosquée l'année suivante. En 2015 s'achèvent d'importants travaux de rénovation d'un coût de 250 millions de francs CFA. Description La Grande Mosquée se trouve dans le centre-ville de Dosso, en face du palais du Zarmakoye. Elle possède une façade blanche et verte. Son unique minaret, qui repose sur une base carrée et s'amincit en hauteur, est surmonté d'un hilal vert. Il s'agit d'un des rares minarets inspirés de celui de la grande mosquée d'Agadez. La Grande Mosquée de Dosso renferme le tombeau d'Alboury Ndiaye, le dernier roi du Djolof. Notes et références Dosso mosquée, Dosso, grande mosquée, grande
Enzen (Eifel)
Enzen est une municipalité allemande située dans le land de Rhénanie-Palatinat et l'arrondissement d'Eifel-Bitburg-Prüm. Commune en Rhénanie-Palatinat
Głuszyca (gmina)
Głuszyca est une gmina mixte du powiat de Wałbrzych, Basse-Silésie, dans le sud-ouest de la Pologne, sur la frontière avec la République tchèque. Son siège est la ville de Głuszyca, qui se situe environ au sud-est de Wałbrzych, et au sud-ouest de la capitale régionale Wrocław. La gmina couvre une superficie de pour une population de . Géographie La gmina est bordée par la ville de Jedlina-Zdrój et les gminy de Mieroszów, Nowa Ruda et Walim. Elle est également frontalière de la République tchèque. Outre Głuszyca, on compte plusieurs villages dont : Głuszyca Górna, Grzmiąca, Kolce, Łomnica et Sierpnica Annexes Liens internes Liste des gminy de Basse-Silésie Références Gmina dans la voïvodie de Basse-Silésie Powiat de Wałbrzych
Château de Crassy
Le château de Crassy (anciennement Crassier) est un château situé dans la commune de Divonne-les-Bains (hameau de Vésenex-Crassy) dans le département de l'Ain et la région Auvergne-Rhône-Alpes en France. Histoire Le château a été bâti au cœur d'un domaine de 63 hectares, traversé par le Boiron qui se jette dans le lac Léman à Nyon (Suisse), dont une quarantaine de parcelles agricoles, par la famille de Prez. Originaires du canton de Fribourg en Suisse, les Prez se sont installés dans le Pays de Gex au début du . C'est le qu'Urbain de Prez devint seigneur de Crassier (aujourd'hui commune suisse du canton de Vaud) où ses descendants demeurèrent jusqu'en 1874. C'est dans ce château que naît en 1733 le général Jean Étienne Philibert de Prez de Crassier. Le domaine est vendu en 1874 par le baron Edouard de Prez de Crassier (1818 Crassier-1888 Céligny), petit-neveu de Jean Étienne Philibert, à Alfred André, banquier à Paris et député à l'Assemblée Nationale. Description Cette propriété familiale s'élève sur trois niveaux. Ses et abritent 21 pièces de maître, des pièces d'angles ronds, dans ses deux tours, une bibliothèque sans oublier un jardin d'hiver-véranda, des serres, une orangerie, un étang, une ferme et ses dépendances. Propriétaires successifs Famille de Prez, de la construction jusqu'en 1874. Edouard, baron de Prez de Crassier, a été le dernier membre de cette famille propriétaire du château de Crassy. Alfred André de 1874 à 1893 Alice Joly de Bammeville, Vve Andrée, de 1893 à 1913 Isabelle Monnier, filleule d'Alice Joly, épouse d'Emmanuel Schlumberger, de 1913 à 1952 Alice Jenny Emmanuelle Schlumberger, fille d'Isabelle Monnier et Emmanuel Schlumberger, petite-cousine des Frères Schlumberger, épouse d'Emile Sihol, de 1952 à 1986, puis famille Sihol, de 1986 à 2000 Depuis le début des années 2000, le château est la propriété de la famille Al-Muhaisen, originaire d'Arabie saoudite. Personnalités ayant séjourné au château de Crassy Gustave Schlumberger (Guebwiller, 1844 – Paris, 1929), historien, byzantiniste et numismate français, spécialisé dans l'histoire des Croisades et de l'Empire byzantin. Gerard Jakob de Geer (1858 – 1943) en juillet 1932. Voir aussi Bibliographie Raymond Grosgurin, Divonne au fil des siècles., Bourg-en-Bresse : Ateliers Graphique Bressan, 1986. Françoise Vignier, Dictionnaire des châteaux de France: Ain, Doubs, Haute-Saône, Jura. Franche-Comté, pays de l'Ain, Berger-Levrault, 1979 Articles connexes Famille de Prez Notes et références Crassy Divonne-les-Bains Famille André
Moglica
Moglicë en albanais et Moglica en serbe latin (en serbe cyrillique : ) est une localité du Kosovo située dans la commune/municipalité de Gjakovë/Đakovica, district de Gjakovë/Đakovica (Kosovo) ou de Pejë/Peć (Serbie). Selon le recensement kosovar de 2011, elle compte habitants, tous albanais. Géographie Histoire Sur le territoire du village se trouve un tumulus qui remonte à la Préhistoire, proposé pour une inscription sur la liste des monuments culturels du Kosovo. Démographie Évolution historique de la population dans la localité Économie Notes et références Voir aussi Articles connexes Localités du Kosovo Monuments culturels du Kosovo Lien externe Moglicë/Moglica sur fallingrain.com Localité dans la municipalité de Gjakovë/Đakovica
Liolaemus sitesi
Liolaemus sitesi est une espèce de sauriens de la famille des Liolaemidae. Répartition Cette espèce est endémique de la province de Neuquén en Argentine. Elle se rencontre sur le Cerro Aucá Mahuida. Étymologie Cette espèce est nommée en l'honneur de Jack Walter Sites Jr.. Publication originale Avila, Olave, Fulvio-Perez, Perez & Morando, 2013 : Molecular phylogenetic relationships of the Liolaemus rothi complex and a new species of lizard from Auca Mahuida Volcano (Squamata: Liolaemini). Zootaxa, , . Liens externes Notes et références Saurien (nom scientifique) Liolaemidae Faune endémique d'Argentine
The White Angel
est un film américain réalisé par William Dieterle et sorti en 1936. Synopsis Fiche technique Titre original : Réalisation : William Dieterle Scénario : Mordaunt Shairp d'après un poème Santa Filomena (The Lady With the Lamp) d'Henry Wadsworth Longfellow Direction artistique : Anton Grot Costumes : Orry-Kelly Photographie : Tony Gaudio Montage : Warren Low Musique : Heinz Roemheld (non crédité) Société de production et de distribution : Columbia Pictures Pays : américain Langue : anglais Genre : Film dramatique, Film biographique Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - Son : Mono Durée : 92 minutes Dates de sortie : : (New York), (sortie nationale) Distribution Kay Francis : Florence « Flo » Nightingale Ian Hunter : Fuller, journaliste du London Times Donald Woods : Charles Cooper Nigel Bruce : West Donald Crisp : Hunt Henry O'Neill : Scott Billy Mauch : Tommy « Tom » Charles Croker-King : Nightingale Phoebe Foster : Elizabeth Herbert George Curzon : Sidney Herbert Georgia Caine : Nightingale Ara Gerald : Ella Stephens Halliwell Hobbes : Lord Raglan Eily Malyon : Sœur Colomba Montagu Love : Bullock Ferdinand Munier : Alexis Soyer Lillian Kemble-Cooper : Parthenope « Parthe » Nightingale Egon Brecher : Pasteur Fliedner Tempe Pigott : Waters Barbara Leonard : Minna Frank Conroy : Le Froy Acteurs non crédités Harry Allen : un soldat importuné par les rats Houseley Stevenson : un chirurgien Voir aussi Liens externes Film américain sorti en 1936 Film biographique américain Film réalisé par William Dieterle Adaptation d'un poème au cinéma Film sur la guerre de Crimée Film américain en noir et blanc Film de Warner Bros
Steppenwolf (homonymie)
Steppenwolf peut faire référence à : Steppenwolf, un groupe de rock canadien ; Steppenwolf Live (1970), Steppenwolf 7 (1970), Early Steppenwolf (1969), quelques-uns de leurs albums ; Steppenwolf, un personnage fictif et un super-vilain de l'univers DC Comics ; Le Loup des steppes (en anglais : Steppenwolf, en allemand Der Steppenwolf), un film franco-italo-helvético-britannico-américain sorti en 1974 ; Le Loup des steppes (titre original : Der Steppenwolf), un roman de Hermann Hesse, publié en 1927 ; , une compagnie théâtrale à Chicago. Voir aussi
Bataille de Cedar Creek (1876)
La bataille de Cedar Creek est un affrontement de la guerre des Black Hills qui opposa le des troupes de la United States Army à une force de Sioux Lakotas dans le Territoire du Montana. La bataille a éclaté après l'échec de pourparlers entre le colonel Nelson A. Miles et le chef amérindien Sitting Bull et a abouti à la reddition d'une partie des Amérindiens six jours plus tard, tandis que Sitting Bull et certains de ses partisans sont partis chercher refuge au Canada. Annexes Bibliographie . . . Bataille de la guerre des Black Hills Bataille de 1876 1876 aux États-Unis Octobre 1876
(15880) 1997 AM7
est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes de de diamètre découvert en 1997. Description a été découvert le à l'observatoire astronomique d'Ōizumi, situé à Ōizumi, dans la préfecture de Gunma, au Japon, par Takao Kobayashi. Caractéristiques orbitales L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de , un périhélie de , une excentricité de 0,09 et une inclinaison de 3,47° par rapport à l'écliptique. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe compris entre 2 et et un périhélie supérieur à , il est classé, selon la , comme objet de la ceinture principale d'astéroïdes. Caractéristiques physiques a une magnitude absolue (H) de 15,2 et un albédo estimé à 0,093, ce qui permet de calculer un diamètre de . Ces résultats ont été obtenus grâce aux observations du Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE), un télescope spatial américain mis en orbite en 2009 et observant l'ensemble du ciel dans l'infrarouge, et publiés en 2012 dans un article présentant les résultats concernant de la ceinture principale. Voir aussi Articles connexes Liste des planètes mineures (14001-15000) Ceinture d'astéroïdes Références Objet céleste découvert en 1997 Objet céleste nommé par sa désignation provisoire Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par Takao Kobayashi Objet céleste découvert à l'observatoire astronomique d'Ōizumi
Dorothea Veit
Dorothea Friederike Veit, née Brendel Mendelssohn le à Berlin et morte le à Francfort-sur-le-Main, est une intellectuelle, traductrice et femme de lettres prussienne, fille du philosophe Moses Mendelssohn. Biographie Elle épouse en 1783 le banquier Simon Veit, avec qui elle a quatre enfants, dont Johannes et Philipp Veit. Elle rencontre Friedrich Schlegel dans le salon d'Henriette Herz en . Elle divorce le . Avec Schlegel, elle fait partie du Cercle d'Iéna. Née juive, elle se convertit au protestantisme en 1804 lors de son mariage avec Schlegel, puis en même temps que lui au catholicisme en 1808. Après la mort de Schlegel en 1829, elle s'installe à Francfort, où elle meurt en 1839 et où elle est enterrée au cimetière principal. Œuvres Florentin, Lübeck et Leipzig 1801 Gespräch über die neueren Romane der Französinnen, in Europa (revue publiée par Friedrich Schlegel) Geschichte des Zauberers Merlin, Leipzig 1804 Bibliographie Bertha Badt-Strauß: Moses Mendelssohns Tochter Dorothea. In: Der Morgen, Jg. 1929/1930, Heft 3 (), 244–248 Heike Brandstädter, Katharina Jeorgakopulos: Dorothea Schlegel, Florentin. Lektüre eines vergessenen Textes. Argument, Hambourg 2001, Michael Brenner, Stefi Jersch-Wenzel, Michael A.Meyer:Deutsch-jüdische Geschichte in der Neuzeit. Zweiter Band, 1780-1871. Beck, Munich, 1996, , 189f. Gisela Horn: Romantische Frauen. Caroline Michaelis-Böhmer-Schlegel-Schelling, Dorothea Mendelssohn-Veit-Schlegel, Sophie Schubart-Mereau-Brentano. Hain, Rudolstadt 1996, Elke Steiner: Die anderen Mendelssohns. Dorothea Schlegel, Arnold Mendelssohn. Reprodukt, Berlin 2004, Carola Stern: „Ich möchte mir Flügel wünschen“. Das Leben der Dorothea Schlegel. Rowohlt, Reinbek 1991, Margarete Susman: Frauen der Romantik. Insel, Francfort-sur-le-Main et Leipzig 1996, Liens externes Écrivain allemand du XIXe siècle Traductrice allemande Traducteur depuis le français vers l'allemand Traducteur depuis l'anglais Naissance en octobre 1764 Naissance à Berlin Naissance dans la marche de Brandebourg Décès en août 1839 Décès à Francfort-sur-le-Main Décès dans la ville libre de Francfort Décès à 74 ans Personnalité inhumée au cimetière principal de Francfort
Usine du Bouchet
L'usine du Bouchet est la première usine française de traitement de minerai d'uranium, de raffinage et conversion de l’uranium, ainsi que de traitement du combustible nucléaire usé, exploitée de 1946 à 1971. Le site est installé dans une enclave, à l’origine de , de la poudrerie du Bouchet, située à Vert-le-Petit dans le département de l'Essonne, à une quarantaine de kilomètres au sud de Paris, et qui fut également à partir des années 1920 un centre d'études des armements chimiques et biologiques. Historique 1914 : Production de munitions En 1914, un important centre militaire constituant la Poudrerie nationale s'installe à Vert-le-Petit. Durant la Première Guerre mondiale, ce furent , autant femmes qu’hommes, qui produisirent, au Bouchet, des quantités énormes de poudre et de munitions pour les besoins du front. De 1920 à 1940, sans pour autant interrompre totalement la fabrication de munitions classiques, l’établissement orienta une grande partie de son activité vers de nouvelles technologies liées à l’hypothèse d’un conflit où seraient mis en œuvre des procédés chimiques, biologiques et bactériologiques. Pendant cette période, l’emprise des terrains utilisés pour les besoins de la poudrerie et de la station d’essais atteignit . 1948 : Production du combustible pour la pile atomique Zoé En 1948, le commissariat à l'Énergie atomique (CEA) décide de produire au Bouchet le combustible nucléaire de la pile Zoé, puis de l'uranium métal sous forme de lingots. Les premières fabrications utilisent des stocks de sels d'uranium rassemblés par Frédéric Joliot-Curie à la veille de la Seconde Guerre mondiale et cachés au Maroc pendant l'occupation allemande. En 1948, 8 tonnes d’oxyde d’uranium et 9 tonnes d’uranate de soude d’origine belge ont été épurées pour produire le combustible oxyde d'uranium de la pile Zoé. 1949 : Extraction du plutonium du combustible usé de Zoé L'usine retraite également le combustible irradié de la pile Zoé et permet en l'extraction des premiers milligrammes de plutonium, étape essentielle pour la fabrication de la bombe atomique française. Les responsables de cette séparation sont Bertrand Goldschmidt et ses collaborateurs, Pierre Regnaut, Jean Sauteron et André Chesne. Fort de cette première expérience de traitement des combustibles usés, le CEA met en service en 1954 au Fort de Châtillon un petit pilote industriel utilisant le procédé PUREX, puis lance en 1958 la première usine de production de plutonium (UP1) de Marcoule, pour extraire le plutonium des réacteurs G1, G2 et G3. Années 1950 : Production du combustible pour tous les réacteurs français L'usine du Bouchet produit sa première tonne d'uranium métal en 1949. L'usine emploie alors une centaine de personnes, pour la plupart des novices. Jusqu'en 1959, l'usine assure la production du combustible nécessaire aux piles du Fort de Châtillon (pile Zoé, réacteurs Minerve, Triton et Néréide), Saclay (EL2, Aquilon, EL3 et Proserpine) et Marcoule (G1, G2 et G3). Dans les années 1950, la production d'uranium métal augmente progressivement. 51 tonnes d'uranium métal sont livrées à l’usine du Bouchet du début de l’année à la fin . Le maximum annuel de 500 tonnes est atteint en 1956, année pendant laquelle est construit à quelques kilomètres le site du CEA de Bruyères-le-Châtel pour concevoir l'arme atomique française. Cette même année, le CEA prend la décision de construire une usine à Malvési pour le raffinage de l'uranium, avec une production limitée dans un premier temps à tonnes par an. En 1955, la Société alsacienne de constructions mécaniques (SACM) démarre la fabrication de combustible nucléaire sur un site industriel d'Annecy qui deviendra la Société industrielle du combustible nucléaire (SICN). En 1957 est créée la Compagnie pour l'étude et la réalisation de combustibles atomiques (Cerca) pour la fabrication à Romans et Pierrelatte du combustible utilisé dans les réacteurs de recherche. Années 1960 : Expérimentation de nouveaux procédés Après la mise en service de l'usine de Malvési en 1959, l'usine du Bouchet reste une usine pilote en ce qui concerne le développement de nouveaux procédés chimiques de traitement de l'uranium. Le Bouchet produit plus de tonnes d'uranium métal, notamment pour les réacteurs de recherche et les réacteurs à uranium naturel graphite gaz. En 1961, l’usine du Bouchet, devenue le centre du Bouchet, est dirigée par Jacques Mabile. L'usine fabrique également du tétrafluorure d'uranium pour la conversion en hexafluorure d'uranium et enrichissement à l'usine militaire de Pierrelatte. Le , l'administrateur général du CEA annonce la décision de la fermeture de l'usine du Bouchet, arguant que les besoins en uranium métallique ont considérablement diminué, ainsi que des considérations liées aux facilités de reclassement plus grandes dans la région parisienne Le , 5 syndicats organisent une grève de protestation contre les licenciements au CEA, 370 emplois sont alors menacés à l'usine du Bouchet. 1971 : Fermeture du centre du Bouchet En 1971, le centre du Bouchet est définitivement fermé et le raffinage de l'uranium est désormais assuré en France par la société Comurhex à l'usine de Malvési (Narbonne, Aude). De 1971 à 1979, le centre du Bouchet fait l'objet d'un démantèlement nucléaire conduit par le Centre d'étude nucléaire de Saclay. L'annexe du site du Bouchet, situé à proximité à Itteville dans une ancienne décharge, est utilisée par le CEA entre 1948 et 1971 comme bassin de décantation et aire de stockage. Se conformant à un arrêté préfectoral, le CEA recouvre le site en 1993 d'argile compactée, de gravier et de terre arable. Le centre CEA de Saclay et l’association « Essonne Nature Environnement » (ENE) conviennent de surveiller l’air, le sol et l'eau sur le site du Bouchet. Notes et références Articles connexes Industrie nucléaire en France Histoire du programme nucléaire militaire de la France Histoire du programme nucléaire civil de la France Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives Usine liée au domaine nucléaire Industrie nucléaire en France Histoire du nucléaire en France Arme nucléaire de la France
Klaus Kynde
Klaus Kynde Nielsen (né le à Aarhus) est un coureur cycliste danois. Spécialiste de la poursuite par équipes, il a notamment été médaillé de bronze de la discipline aux Jeux olympiques de 1992 à Barcelone avec Ken Frost, Jimmi Madsen et Jan Bo Petersen. Biographie Palmarès sur piste Jeux olympiques Barcelone 1992 Médaillé de bronze de la poursuite par équipes (avec Ken Frost, Jimmi Madsen et Jan Bo Petersen) Championnats du monde Hamar 1993 Médaillé de bronze de la poursuite par équipes Championnats du monde juniors 1983 Champion du monde de poursuite par équipes juniors (avec Lars Otto Olsen, Mark Kubach et Kenneth Røpke) 1984 Médaillé de bronze de la poursuite par équipes juniors Championnats des Pays nordiques Champion des Pays nordiques de poursuite par équipes : 1993 (avec Jimmi Madsen, Lars Otto Olsen, Michael Sandstød et Jan Bo Petersen) et 1994 (avec Michael Steen Nielsen, Jakob Piil et Rud Jacobsson) Championnats du Danemark Champion du Danemark de course aux points amateurs : 1992 Champion du Danemark de poursuite par équipes amateurs : 1994 (avec Jesper Verdi, Jakob Piil, Pascal Carrara et Rud Jacobsson) Palmarès sur route 1993 du championnat du Danemark sur route amateurs 1994 a et b étapes du Tour de Bavière du Cinturón a Mallorca Liens externes Coureur cycliste danois Coureur cycliste sur piste Coureur cycliste aux Jeux olympiques d'été de 1992 Médaillé de bronze olympique danois Naissance en avril 1966 Naissance à Aarhus
Motihari
Motihari (hindî : मोतिहारी) est une ville de l'État du Bihar en Inde. Économie Histoire Lieux et monuments Personnalités liées à la ville George Orwell est né à Motihari le . Son père était un fonctionnaire de l'administration des Indes, chargé de la régie de l'opium. Ravish Kumar, journaliste né à Motihari. Anant Kumar (1969-), écrivain allemand d’origine indienne, né à Motihari. Noel Irwin, né à Motihari. lieutenant général. Ville au Bihar
Daniel Thiaw
Mame Alassane Djigueul Thiaw dit Daniel Thiaw, né le et mort le à Pantin, est un athlète et pilote automobile sénégalais. Carrière Daniel Thiaw participe au relais 4 × 400 mètres des Jeux olympiques d'été de 1964 à Tokyo sans atteindre la finale. Il remporte la médaille d'or du relais 4 × 400 mètres aux Jeux africains de 1965 à Brazzaville. En sport automobile, il remporte plusieurs fois le rallye des 6 heures du Dakar avant de devenir le premier Africain à se présenter aux 24 Heures du Mans, mais il sera finalement non-partant. Notes et références Liens externes Sprinteur sénégalais Relayeur (athlétisme) Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1964 Médaillé d'or aux Jeux africains Pilote automobile sénégalais Pilote des 24 Heures du Mans Naissance en avril 1937 Décès en novembre 2018 Décès à Pantin Décès à 81 ans
Bochaganj
Bochaganj (en bengali : বোচাগঞ্জ) est une upazila du Bangladesh dans le district de Dinajpur. En 1991, on y dénombrait habitants. Upazila de Dinajpur
Couvent des Visitandines de Chaillot
Le couvent des Visitandines de Chaillot est un couvent de l'ordre de la Visitation qui se trouvait à l'ouest de Paris, à Chaillot, dans l'actuel 16 arrondissement. Consacrés en 1651, les lieux ont été détruits en 1794. Histoire En 1583, la reine Catherine de Médicis achète et transforme un ermitage situé sur la colline de Chaillot, renommé « Catherinemont » ; l'architecte Étienne Dupérac est chargé des travaux et réalise une villa « en U » avec des jardins en terrasse et une cour en forme d'hippodrome. La souveraine n'en profite toutefois pas longtemps : le chantier commence en 1588 et elle meurt l'année suivante. En 1613, ce château surplombant la rive droite de la Seine est acheté par Pierre Jeannin, premier président du parlement de Paris, puis, en 1630, par le marquis de Bassompierre. La propriété est achetée le juillet 1651 dans une vente par adjudication des biens des héritiers du maréchal de Bassompierre par les Visitandines à l'initiative d'Henriette-Marie de France, fille d'Henri IV et veuve de Charles I d'Angleterre, qui y établit une communauté. Il s'agit de la troisième communauté de l'ordre, après celles de la rue Saint-Jacques fondée en 1626 et de la rue Saint-Antoine fondée en 1632, qui en est la maison-mère. Après avoir fui l'Angleterre révoltée, Henriette-Marie commande à l'architecte François Mansart la construction d'une chapelle et y fait venir une partie de sa Cour en exil. Mademoiselle de La Fayette (en religion mère Angélique), confidente de Louis XIII, y accueillit sœur Anne de Sainte-Eugénie (Madame de Saint-Ange), qui figura au nombre des douze religieuses exilées de l'abbaye de Port-Royal par l'archevêque en août 1664. Marie Mancini, la nièce de Mazarin, se retire ainsi un moment au couvent des Visitandines tandis que Mademoiselle de La Vallière, fuyant la cour, s'y réfugie deux fois avant d'entrer au Carmel. Jacques-Bénigne Bossuet prononce d'ailleurs en 1669 sa célèbre oraison funèbre pour Henriette-Marie, reine d'Angleterre dans la chapelle de Mansart. Le couvent accueille par la suite plusieurs Stuarts : Henriette d'Angleterre, futur duchesse d'Orléans, y est élevée, le roi Jacques II, tandis que le corps de la reine Marie-Béatrice d'Angleterre, veuve de Jacques II, y est inhumé en 1718. L'ordre de la Visitation achète toute la seigneurie de Chaillot en 1686. Le monastère était compris entre la barrière Sainte-Marie, en vis-à-vis des rues Vineuse et des Minimes, le quai des Bonshommes et la rue des Batailles. Cette dernière rejoignait le quai par la ruelle d'Hérivault et le couvent par la ruelle Sainte-Marie. En 1790, le couvent abrite 22 religieuses de chœur, 9 converses, 2 tourières, une demoiselle agrégée, deux sacristains, dix filles de service ou encore deux charretiers. Les lieux sont déjà désaffectés depuis le début de la Révolution, quand, le , l'explosion de la poudrerie de Grenelle, sur l'autre rive de la Seine, détruit une partie du couvent. Le site est ensuite déblayé par les pouvoirs publics. Supérieures du couvent Hélène Angélique Lhuillier, décédée en 1655, première supérieure Mademoiselle de La Fayette (en religion mère Angélique), 1655 à 1665 ; Madame Croiset, 1689-1690 ; Anne Charlotte Bochard de Saron, mai 1715 au 31 mars 1721 ; Jeanne Françoise Le Vayer, avril 1721 au 31 décembre 1724; Louise de Lorge, 17 mai 1749 au 9 mai 1755 ; avril 1758 au 23 décembre 1763 ; Marie Damiette, 10 mai 1755 à avril 1758; décembre 1763 au 25 mai 1770 ; Anne Madeleine Chalmette, 26 mai 1770 au 17 mai 1776 ; Marie Gabrielle Roslin, 18 mai 1776 à mai 1782 ; en 1790 ; Jeanne Adélaïde Pichon, en 1787. Notes et références Voir aussi Article connexe Ordre de la Visitation Château de Chaillot Bibliographie . . . 16e arrondissement de Paris Visitandines de Chaillot Fondation en 1651 Ordre de la Visitation
Allégorie de l'Amour (Goya)
L’Allégorie de l'Amour - Cupidon et Psyché est un tableau de Francisco de Goya peint entre 1798 et 1805 et qui fait partie de la collection permanente du musée national d'Art de Catalogne. Description La scène est tirée de la légende de Cupidon et de Psyché immortalisée dans les Métamorphoses, où le dieu tombe amoureux de Psyché et vient la visiter de nuit pour cacher son identité. C’est une allégorie de l’amour érotique qui suit le même schéma que le tableau Tarquin et Lucrèce du Titien, qui faisait partie des collections royales espagnoles en 1571 et qui est aujourd’hui conservée à Cambridge. On note également le parallélisme entre le modèle qui a posé pour Psyché et celui des deux majas de Goya, ainsi qu’avec María Gabriela Palafox y Portocarrero, marquise de Lazán, peinte par Goya en 1804. Références Bibliographie Liens externes Œuvre conservée au musée national d'Art de Catalogne Allégorie Tableau de Francisco de Goya
Project Kaisei
Project Kaisei (de 海星, kaisei , "océan planète" en japonais) est une mission scientifique et commerciale pour étudier et nettoyer le Vortex de déchets du Pacifique nord, un grand corps de débris flottants piégés dans l' océan Pacifique par les courants du Gyre subtropical du Pacifique nord. Découvert par la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), le patch est estimé contenir 20 fois la densité des débris flottants par rapport à la moyenne mondiale. Le projet vise à étudier l'étendue et la nature des débris en vue de capturer, détoxifier et recycler le matériel, et est organisé par l' Ocean Voyages Institute, une organisation à but non lucratif 501c3 basée en Californie qui s'occupe de la préservation marine. Le projet est basé à San Francisco et Hong Kong. Historique Le projet Kaisei a été lancé à la fin de 2008 par trois cofondateurs de la baie de San Francisco, tous avec de nombreuses années d'intendance des océans et d'activités derrière eux. En tant qu'amateurs de l'océan, Mary étant une navigatrice de longue date, George un surfeur et un expert en conception de planches de surf, et Doug avec ses courses de natation et de pagaie en eau libre, chacun avait des contacts et des capacités différents pour contribuer au groupe. Doug résidant à Hong Kong, le groupe a mis en place deux points d’opération de part et d’autre du Pacifique ( San Francisco et Hong Kong) pour aider à amener toutes les parties à la table pour endiguer le flux de déchets plastiques et marins dans notre océan . Objectifs du projet Le projet a été lancé le , avec des plans pour une première phase d'étude scientifique des débris plastiques dans le Gyre du Pacifique Nord et une étude de faisabilité des technologies de récupération et de recyclage. L'objectif est d'instaurer une collaboration mondiale de la science, de la technologie et des solutions, pour aider à éliminer une partie des déchets flottants. De nouvelles méthodes de capture des débris sont à l'étude, qui auraient un faible apport énergétique et une faible perte de vie marine. Des technologies d'assainissement ou de recyclage sont en cours d'évaluation, afin de créer potentiellement des produits secondaires à partir des déchets, ce qui pourrait à son tour contribuer à subventionner un nettoyage à plus grande échelle . Le projet a achevé deux expéditions, une à l'été 2009 et une en 2010. De nouvelles données sur la question ont été recueillies, et davantage de recherches et de planification doivent être effectuées afin de comprendre les paramètres et les coûts associés à une plus grande échelle pour un effort de nettoyage. La planification est en cours pour de futures recherches et expéditions qui permettraient de tester de nouvelles technologies et de nouveaux équipements de capture, ainsi que la démonstration de certaines des technologies d'assainissement ou de recyclage qui pourraient être utilisées. Voyage initial En , la phase initiale d'étude et de faisabilité du projet Kaisei a commencé, menée par deux navires, le navire de recherche RV New Horizon , et le navire amiral du projet, le brick-goélette STS Kaisei. Le New Horizon, propriété de l'Institut d'océanographie Scripps, avait quitté San Diego le pour le Scripps Environmental Accumulation of Plastic Expedition (SEAPLEX), qui a duré jusqu'au . L'expédition SEAPLEX a été financée par l'Université de Californie à San Diego, la Fondation nationale pour la science (NSF] avec un financement supplémentaire du Projet Kaisei. Deux jours plus tard, le Kaisei appartenant à l'Ocean Voyages Institute, a quitté San Francisco le et a entrepris un voyage de 30 jours pour enquêter sur la taille et la concentration du champ de débris, et explorer des méthodes de récupération, tandis que le New Horizon l'a rejoint pour étudier l'effet du champ de débris sur la vie marine. Collecte de fonds et reconnaissance Ocean Voyages Institute a recueilli 500.000 $ pour les premiers voyages du projet Kaisei. L'expédition SEAPLEX a coûté 387.000 $ et a été également associé au département californien de contrôle des substances toxiques(DTSC) . Le groupe a depuis été reconnu par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) en 2009 en tant que héros du climat, par Google en tant que héros Google Earth pour son travail avec un système de suivi de voyage par blogging vidéo, et il a récemment fait partie de la Clinton Global Initiative. en . Voir aussi Notes et références Liens internes Déchet en mer Plastisphère Valorisation des déchets en matière plastique Plastiki The Ocean Cleanup Liens externes Project Kaisei - Capturing the plastic vortex Ocean Voyages Institut Seaplex - Site Scripps Institut Biologie marine Pollution de l'eau Océanographie Océan Pacifique Université de Californie à San Diego Organisme fondé en 2009
Cochon de mer
Le terme cochon de mer peut désigner différents animaux marins dont : les marsouins (mammifères marins) voire les cétacés dans leur ensemble (en Écosse); les balistes (poissons). les Scotoplanes (genre de concombres de mer des abysses)
Diaspora grecque en Égypte
La présence de la diaspora grecque en Égypte remonte à l'Antiquité. Alexandrie notamment, fondation hellénistique, était une ville à majorité grecque jusqu'au . Alexandrie sera prise par les Arabes sur l'Empire byzantin, vers 642, et à l'époque, si une partie des Grecs partirent vers des zones encore aux mains des Byzantins, surtout des Grecs aisés, la majorité restera, et avec le temps, isolée du monde hellénique, cette communauté sera assimilée avec le reste de la population égyptienne, pour disparaître complétement vers le . À partir du , une nouvelle vague de Grecs va s'installer principalement à Alexandrie, composée surtout de commerçants, de négociants, et de marins, favorisés par l'essor économique de l'Empire ottoman. Cette communauté a presque totalement émigré hors d'Égypte après la crise du canal de Suez de 1956 qui a provoqué un mouvement anti-chrétien violent dans la population égyptienne et se traduit par l'exode de la majorité des Grecs et des ressortissants étrangers. Seul subsiste, dans le désert du Sinaï, le monastère byzantin Ste-Catherine, dépendant du Patriarcat orthodoxe de Jérusalem. Il resterait à Alexandrie environ 200 Grecs de nationalité égyptienne en 2018. Notes et références Annexes Bibliographie Groupe ethnique en Égypte Diaspora grecque Relations entre l'Égypte et la Grèce
Wladimir Sidorenko
Wladimir Sidorenko est un boxeur ukrainien né le 23 septembre 1976 à Enerhodar. Carrière Médaillé de bronze aux Jeux olympiques de Sydney en 2000 dans la catégorie poids mouches, il remporte également au cours de sa carrière amateur 2 titres européens à Minsk en 1998 et à Tampere en 2000 ainsi que la médaille de bronze aux championnats du monde de Belfast en 2001. Il passe professionnel en 2001 et s'empare du titre mondial WBA des poids coqs le en battant aux points Julio Zarate. Sidorenko conserve ce titre à 6 reprises puis s'incline face au panaméen Anselmo Moreno le . Parcours aux Jeux olympiques Jeux olympiques d'été de 2000 à Sydney (poids mouches) : Bat Daniel Ponce de Leon (Mexique) 16-8 Bat Omar Andrés Narváez (Argentine) 16-10 Bat Andrzej Rzany (Pologne) par arrêt de l'arbitre au Perd contre Wijan Ponlid (Thaïlande) 11-14 Notes et références Lien externe Boxeur ukrainien Boxeur aux Jeux olympiques d'été de 2000 Champion du monde de boxe WBA Naissance en septembre 1976 Médaillé de bronze olympique ukrainien Jumeaux aux Jeux olympiques
Faustulus
Selon la mythologie romaine, Faustulus était berger et gardait les troupeaux d'Amulius, roi usurpateur d'Alba Longa, lorsqu'il recueillit les jumeaux Romulus et Rémus, après qu'une louve les eut allaités, puis les éleva en compagnie de son épouse Acca Larentia. Ces deux jumeaux, petits-neveux d'Amulius, étaient les enfants de Rhéa Silvia et du dieu Mars (comme le prétendait leur mère, elle-même fille du roi déchu : Numitor). Faustulus les recueillit sur les bords du Tibre. Notes et références Personnalité des origines de Rome Berger Mythologie romaine
Lumi Cavazos
Lumi Cavazos est une actrice mexicaine, née le à Monterrey (Mexique). Biographie Elle grandit à Guadalajara. À l'âge de 15 ans, elle s'intéresse à la comédie et entre dans une troupe de théâtre pendant ses études. Elle étudie le métier d'acteur à l'Université nationale de Mexico où ses professeurs sont Luis de Tavira, Jose Caballero et Ludvik Margules. Pendant sa dernière année universitaire, elle obtient le rôle de Tita dans Les Épices de la passion d'Alfonso Arau, film qui lui apportera le prix de la meilleure actrice au Festival international du film de Tōkyō. Cela la conduit à abandonner un peu le théâtre au profit d'une carrière au cinéma, notamment dans des films indépendants américains tels que Bottle Rocket de Wes Anderson ou Sugar Town de Allison Anders. Par la suite, elle reprend sa carrière d'actrice dramatique à Mexico. Vie personnelle Elle a vécu avec Marco Leonardi de (1991-1999) puis se maria avec José Alfredo Rangel Arroyo en Juillet 1999, avec lequel elle aura deux filles, ils divorcèrent en 2006. Filmographie 1987 : En un bosque de la China 1988 : El Secreto de Romelia : Blanca 1992 : Mi primer año 1992 : Les Épices de la passion (Como agua para chocolate) : Tita 1992 : Serpientes y escaleras : Rebeca 1993 : Tres destinos (série télévisée) : Cristina 1994 : Del otro lado del mar 1995 : Viva San Isidro : Antonia 1995 : Banditi 1995 : Manhattan Merengue! : Rosita 1996 : El Vuelo del águila (série télévisée) : Amada Díaz 1996 : Land of Milk and Honey : Rosie 1996 : Bottle Rocket : Inez 1997 : Sistole Diastole : La Nena 1997 : Last Stand at Saber River (TV) : Luz 1998 : Fibra óptica : María Ponce 1999 : The Keening : Wood Nymph 1999 : Entre la tarde y la noche 1999 : Sugar Town : Rosio 1999 : Mascara : Laura 2000 : L'Élue (Bless the Child) : Sister Rosa 2001 : In the Time of the Butterflies (TV) : Patria Mirabal 2001 : Atlético San Pancho : Rebeca 2002 : Obras de Teatro (série télévisée) 2003 : Entre dos 2003 : Exposed : Laura Silvera 2004 : Tan infinito como el desierto (feuilleton TV) 2005 : La Ley del silencio (feuilleton TV) : Clemencia 2005 : 7 días : Sra. Garza 2005 : Hijas de su madre: Las Buenrostro 2006 : Proyecto panorama : Nico 2006 : The Black Pimpernel : Ana Contreras 2007 : El Brassier de Emma : Dra. Ortega Liens externes Naissance en décembre 1968 Naissance à Monterrey Actrice mexicaine Actrice mexicaine de cinéma
(8289) An-Eefje
(8289) An-Eefje est un astéroïde de la ceinture principale découvert le à l'observatoire européen austral par l'astronome belge Henri Debehogne (1928-2007). Sa désignation provisoire était . Il a été nommé en la mémoire de An Marchal et Eefje Lambrecks (voir : affaire Dutroux). Voir aussi Liens internes Liste des planètes mineures (8001-9000) Ceinture d'astéroïdes (8298) Loubna (8308) Julie-Mélissa Lien externe Références Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert en 1992
WCW vs. nWo: World Tour
est un jeu vidéo de catch professionnel commercialisé en 1997 sur console Nintendo 64. Il s'agit du premier jeu de catch développé par THQ sur Nintendo 64, et est une sorte de suite du très connu sur PlayStation. Il est considéré comme similaire au jeu vidéo et le second jeu le plus vendu sur console Nintendo 64. Généralités Asmik Ace et AKI Corporation développent ensemble un jeu vidéo de style puroresu et de combat. Le jeu est bien accueilli de par son système de jeu, particulièrement comparé à celui du jeu développé par Acclaim, WWF War Zone. L'intrigue de jeu par rapport à la WCW de l'époque pourrait correspondre à une large partie de l'année 1997; après , étant donné Wrath (dernier catcheur arrivé à la WCW parmi ceux présents dans le jeu) fait partie du roster. Système de jeu est le premier jeu de catch entièrement en 3D. Choisir de taper sur un bouton ou un autre aura de lourde ou faible conséquence une fois le mouvement effectué, alors qu'un système similaire est utilisé pour les coups. Le jeu s'est globalement très bien vendu. À l'inverse des jeux de catch actuels, n'avait pas de mode pour créer un catcheur, pas de mode de jeu et un nombre assez limiter de catcheurs. Asmik Ace et THQ ont inclus un nombre de catcheurs dans le jeu, qui sont des catcheurs japonais apparaissant dans la version nipponne du jeu, , et qui apparaissent en Amérique du Nord avec des noms changés à cause de licences. nombre d'entre eux sont des stars de la FMW comme Hayabusa, qui a été renommé , et Atsushi Onita, qui a été renommé , tout comme des futurs stars de la WWF comme Taka Michinoku, appelé ici . Personnages Assez spécial, le roster complet est réparti en 4 ligues. En plus du roster WCW de l'époque, il y a des catcheurs "fictifs" (inspirés de vraix catcheurs Japonais). Les catcheurs WCW sont répartis dans les ligues WCW et nWo, et il y a 2 autres ligues nommées "Independant Union" et "Dead or Alive" où sont regroupés les lutteurs "fictifs". Il s'agit en fait des lutteurs japonais renommés par manque de droits (un peu comme le fait la série Fire Pro). On débloque aussi une autre ligue appelée la "Whole World Wrestling" (WWW) mais qui ne contient que . Ca fait que l'on dispose de 24 catcheurs du roster WCW (en comptant Eric Bishoff). Et qu'on peut en plus jouer avec Hakushi qu'on voyait performer à la WWF à peine auparavant, ainsi qu'avec Taka Michinoku, qui était nul autre que le champion Lightweight de la WWF à l'époque. Par ailleurs, Gedo a brièvement lutté à la WCW en 1997 (il affrontait Chris Jericho à Halloween Havoc, et ils auraient été rivaux au Japon). Et après s'être informés, on constate qu'on peut jouer des vedettes du Japon comme Hayabusa, Great Sasuke ou encore Onita. WCW Lex Luger Sting The Giant (Big Show) Scott Steiner Rick Steiner Ric Flair Ultimo Dragon Dean Malenko Eddie Guerrero Rey Mysterio Jr. Chris Benoit Steven Regal (William Regal) Diamond Dallas Page (à débloquer) nWo "Hollywood" Hulk Hogan Le faux Sting Buff Bagwell Eric Bischoff Scott Norton Kevin Nash Scott Hall Syxx (X-Pac) "Macho Man" Randy Savage (à débloquer) Dead or Alive (ligue fictive) Sumo Jo (clone de Genichiro Tenryu) Kim Chee (clone de Koji Kitao) Blackheart (clone de Tarzan Goto) Puchteca (clone d'Atsushi Onita) Hannibal (clone de Hayabusa) Powder Keg (clone de Samson Fuyuki) Dim Sum (clones de Gedo et Jado) Saladin (clone d'Abdullah The Butcher) Ali Baba (clone de Tiger Jeet Singh) Wrath (à débloquer, catcheur existant à la WCW) Independent Union (ligue fictive) Black Ninja (clone de The Great Sasuke) Shaolin (clone de Jinsei Shinzaki) (Hakushi dans la WWF en 1995) The Unknown (clone de Super Delfin) The Claw (clone de Gran Naniwa) Black Belt (clone de TAKA Michinoku) Paco Loco (clones des membres de Kaientaï, Dick Togo et Men's Teioh) Shaman (clone de Wellington Wilkens Jr.) Master Fuji (clone de Gran Hamada) Glacier (à déloquer, c'était aussi un catcheur de la WCW qui voulait avoir sa propre version de Sub-Zero de Mortal Kombat) Whole World Wrestling (ligue fictive) Joe Bruiser (clone de Joe Frazier, logiquement donc incapable de faire des prises) Black Widow (clone de Manami Toyota) Accueil a été bien accueilli par l'ensemble des critiques et rédactions. GameFAQs lui attribue un 10 sur 10. GamePro lui attribue un 4,5 sur 5. Sur GameSpot, il est noté 3 sur 5 et sur IGN avec 7,5 sur 10. est l'un des meilleurs succès de la société THQ, qui a été récompensé du par l'Academy of Interactive Arts & Sciences. Il gagne le statut de avec un million d'exemplaires vendus. a été finalement vendu à 1,3 million d'exemplaires aux États-Unis, marquant sa place de deuxième jeu de catch le plus vendu sur console Nintendo 64, et classé comme l'un des titres les plus vendus sur console. Références Jeu vidéo de catch Jeu vidéo de la WCW Jeu vidéo sorti en 1997 Jeu Nintendo 64 Jeu vidéo développé au Japon Jeu Asmik Ace Jeu THQ Jeu Syn Sophia
Équipe d'Égypte féminine de squash
L'équipe d'Égypte féminine de squash représente l'Égypte dans les compétitions internationales de squash. Elle est dirigée par la fédération égyptienne de squash. Depuis 1994, l'Égypte a remporté quatre championnats du monde par équipes. Le plus récent titre est acquis lors du championnat du monde 2016. Lors de cette édition, l'équipe d'Égypte aligne les trois joueuses classées en tête du classement individuel. Équipe actuelle Nour El Sherbini Raneem El Weleily Nour El Tayeb Nouran Gohar Palmarès championnats du monde par équipe de squash Références Voir aussi Articles connexes Championnats du monde de squash par équipes Équipe d'Égypte masculine de squash Équipe nationale féminine de squash Squash en Égypte Squash Sport féminin en Égypte
Estouy
Estouy est une commune française située dans le département du Loiret, en région Centre-Val de Loire. Le nom de la commune se prononce étoui. Géographie Localisation La commune d'Estouy se trouve dans la quadrant nord du département du Loiret, dans la région agricole de la Beauce riche. À vol d'oiseau, elle se situe à d'Orléans, préfecture du département, à de Pithiviers, sous-préfecture, et à de Pithiviers, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Pithiviers. Les communes les plus proches sont : La Neuville-sur-Essonne (), Bondaroy (), Aulnay-la-Rivière (), Yèvre-la-Ville (), Ramoulu (), Marsainvilliers (), Dadonville (), Givraines (), Pithiviers () et Manchecourt (). Lieux-dits et écarts Les Vaux. Hydrographie La commune est traversée par l'Essonne (). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de , comprend un autre cours d'eau notable, la Rimarde (), et divers petits cours d'eau dont plusieurs bras de l'Essonne, le cours d'eau 01 de Courcelette (), la Noue Chaude () et le canal 01 de la Commune d'Estouy (). L'Essonne, d'une longueur totale de , prend sa source dans la commune de Chilleurs-aux-Bois et se jette dans la Seine à Corbeil-Essonnes, après avoir traversé . Sur le plan piscicole, l'Essonne est classé en deuxième catégorie piscicole. L'espèce biologique dominante est constituée essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche). La Rimarde, d'une longueur totale de , prend sa source dans la commune de Nibelle et se jette dans la Essonne à La Neuville-sur-Essonne, après avoir traversé . Sur le plan piscicole, la Rimarde est également classée en deuxième catégorie piscicole. Milieux naturels et biodiversité Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal d'Estouy comprend deux ZNIEFF. La ZNIEFF, de deuxième génération et de , dénommée , d'une superficie de , s'étend sur , dont Estouy, et traverse la commune dans sa partie centrale, le long de l'Essonne. Son altitude varie entre 90 et 140 m. Les coteaux de l'Essonne et de la Rimarde sont un des espaces les plus intéressants du Loiret sur le plan biologique et écologique et géologique, tant pour les habitats naturels et les espèces d'intérêt patrimonial qu'ils abritent que pour le rôle fonctionnel qu'ils jouent. Les éléments singuliers et typiques de la flore sont notamment l'aster amelle (station très localisée), le carex de Haller, le lin de Léon, la violette des rochers ou encore le petit pigamon. La ZNIEFF, de deuxième génération et de , dénommée , d'une superficie de , est composée de trois secteurs distincts. Le premier, au sud, correspond à un long coteau récemment rouvert et orienté vers l'ouest, d'une superficie d'environ . Le second secteur, qui est un coteau de taille plus modérée (0.25 ha), est localisé au nord du précédent et est orienté vers le sud. Ces deux secteurs sont principalement composés de pelouses du Mesobromion erecti. Le dernier secteur est orienté vers le sud-ouest et comprend une zone ouverte occupée par des pelouses du Xerobromion erecti et une zone plus fermée colonisée par des fourrés calcicoles (environ 1 ha). Son altitude varie entre 100 et 120 m. Ce site abrite dix espèces déterminantes dont une protégée en région Centre, la cardoncelle (Carduncellus mitissimus). Zone Natura 2000 La commune d'Estouy est intégrée depuis 2004 au réseau Natura 2000. Le site , qui concerne 19 communes du Loiret, est en effet déclaré site d'importance communautaire (SIC) au titre de la directive directive habitats (92/43/CEE) le 7 décembre 2004 puis zone spéciale de conservation (ZSC) le 29 novembre 2011. Le site, très éclaté, se compose d’une multitude d’îlots plus ou moins isolés, qui se répartissent sur une surface de plus de , entre la vallée de la Juine à l’ouest et la vallée de l’Essonne à l’est, dans la petite région naturelle du Pithiverais. Le site lui-même ne couvre qu’une surface de . Il s’agit d’un ensemble formé par les coteaux et les vallées qui constituent l’entité la plus étendue et la plus remarquable du Loiret au titre de la flore calcicole. On recense plusieurs espèces végétales en limite de leur aire de répartition (cardoncelle douce, baguenaudier). Les fonds de vallée de la ZSC renferment plusieurs vastes mégaphorbiaies et stations marécageuses. Outre les espèces thermophiles des pelouses, sont intégrées au site des espèces est-européennes également en limite d’aire de répartition comme l’inule hérissée et les pétasites. De manière complémentaire dans l’intérêt floristique, un très important cortège mycologiques, lichenique et entomologique a été identifié. Selon le FSD (Formulaire Standard des Données), le site Natura 2000 est occupé par une diversité d'habitats inscrits à l'annexe 1, dont on retiendra tout particulièrement les pelouses sèches seminaturelles et faciès d’embroussaillement sur calcaire. La présence de populations d'espèces d'insectes inscrites à l’annexe II de la directive 92/43/CEE comme le lucane cerf-volant (Lucanus cervus) ou l'écaille chinée (Euplagia quadripunctaria) et de poissons comme le chabot commun (Cottus gobio), la bouvière (Rhodeus amarus ) ou la lamproie de Planer (Lampetra planeri) caractérisent le site. Le secteur d'Estouy comprend plusieurs noyaux du site Natura 2000 situés dans la vallée de l'Essonne, entre les bourgs de Bondaroy et d'Estouy, où sont présents des éléments de forêt à aulne glutineux et frêne. Histoire Urbanisme Typologie Estouy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pithiviers, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe , est catégorisée dans les aires de moins de . L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,9 %), forêts (12,8 %), zones urbanisées (1,3 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Voies de communication et transports Risques naturels et technologiques La commune d'Estouy est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses. Entre 1989 et 2019, deux arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune pour des inondations et coulées de boues. Risques naturels Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités. Par ailleurs,le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une petite partie du territoire de la commune, dont le bourg, est soumise à un aléa face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible. Risques technologiques La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'un gazoduc. Politique et administration Découpage territorial Bloc communal : Commune et intercommunalités La paroisse d'Estouy acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II (). Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central. Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création. La commune est membre de la Communauté de communes de Beauce et du Gâtinais depuis sa création le jusqu'au , date à partir de laquelle elle fait partie de la communauté de communes du Pithiverais. La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe), visant une réduction du nombre d'intercommunalités en France, fait en effet passer le seuil démographique minimal de à , sauf exceptions, et a un impact sur les périmètres des différentes intercommunalités. Le schéma départemental de coopération intercommunale du Loiret est arrêté sur ces bases le et le nombre d'établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre passe dans le département du Loiret de 28 (2 communautés d'agglomération et 26 communautés de communes) à 16 (deux communautés d'agglomération et de communes dont une interdépartementale). Les communautés de communes de Beauce et du Gâtinais, du Cœur du Pithiverais et du Plateau Beauceron fusionnent ainsi à compter du en une seule entité : la communauté de communes du Pithiverais, dont le siège est à Pithiviers. Cette nouvelle intercommunalité comprend dont Estouy. Circonscriptions de rattachement Sous l'Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse d'Estouy était rattachée sur le plan ecclésiastique à l'ancien diocèse d'Orléans, sur le plan judiciaire au bailliage royal de Yèvre-le-Châtel, sur le plan militaire au gouvernement d'Orléans et sur le plan administratif à la généralité d'Orléans, élection de Pithiviers. La loi du divise le pays en découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune d'Estouy est alors incluse dans le canton de Pithiviers, le district de Pithiviers et le département du Loiret. La recherche d'un équilibre entre la volonté d'organiser une administration dont les cadres permettent l'exécution et le contrôle des lois d'une part, et la volonté d'accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d'autre part, s'étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L' intervient en 2003-2006, puis l'acte III en 2012-2015. Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune d'Estouy aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires. Collectivités de rattachement La commune d'Estouy est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales. Politique et administration municipales Conseil municipal et maire Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal d'Estouy, commune de moins de , est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, les électeurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul, pour un mandat de six ans renouvelable. Il est composé de 15 membres. L'exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. Équipements et services Environnement Gestion des déchets Au 31 décembre 2016, la commune est membre du SITOMAP de la région Pithiviers, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire. Un réseau de huit déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche de la commune est située sur la commune de Pithiviers. L'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées dans l'outil de traitement appelé BEGEVAL, installé à Pithiviers et géré par le syndicat de traitement Beauce Gâtinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composé d’un centre de valorisation matière qui trie les emballages issus de la collecte sélective, les journaux-magazines et les cartons de déchèteries, et d’un centre de valorisation énergétique qui incinère les ordures ménagères résiduelles et le tout-venant incinérable des déchèteries ainsi que les refus du centre de tri. Depuis le , la ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes du Pithiverais en application de la loi NOTRe du . Production et distribution d'eau Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production de l'eau potable sur le territoire communal est assurée par le SI PEP BEGY, un syndicat créé en 2007 desservant quatre communes 5Boynes, Estouy, Givraines, Yèvre-la-Ville°, et la distribution par la commune elle-même. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l'exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes. Assainissement La commune est raccordée à une station d'épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de , soit . Cet équipement utilise un procédé d'épuration biologique dit « à boues activées ». L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. La Communauté de communes de Beauce et du Gâtinais a créé en 1999 un service public d'assainissement non collectif (SPANC) qui a pour missions la vérification de la conception et de l’exécution des ouvrages pour les installations neuves ou réhabilitées et la vérification périodique du bon fonctionnement et de l’entretien des installations existantes. Depuis le , c'est la communauté de communes du Pithiverais qui assure ce service, à la suite de la fusion des communautés de communes de Beauce et du Gâtinais, du Cœur du Pithiverais et du Plateau Beauceron. Population et société Démographie Culture locale et patrimoine Lieux et monuments L'église Saint-Martin des . Personnalités liées à la commune La comédienne Odette Joyeux (1914-2000), marié au réalisateur Philippe Agostini, y possèda une maison. Claude Brasseur, fils de la première, y fit plusieurs séjours. Héraldique Enseignement Le groupe scolaire Paul-Masson a été ouvert en 2013 pour accueillir les enfants des communes de Bondaroy, Marsainvilliers et Estouy. Notes et références Notes et cartes Notes Cartes Références Voir aussi Bibliographie . . Articles connexes Liste des communes du Loiret Liens externes Commune dans le Loiret Commune dans le canton de Pithiviers Commune traversée par le méridien de Paris dans le Loiret
Garde nationale portugaise
La Garde nationale est un corps de milice portugais créé, en 1823, par le gouvernement libéral issu des Cortes extraordinaires de 1820. Dissoute après la Vilafrancada et remplacée par un Corps de volontaires royalistes, la Garde nationale est recréée après la guerre civile portugaise, en 1834. Elle est cependant définitivement dissoute en 1847. Forces armées du Portugal
Koussala
Koussala est une commune rurale située dans le département de Toécé de la province du Bazèga dans la région du Centre-Sud au Burkina Faso. Géographie Histoire Économie Santé et éducation Le centre de soins le plus proche de Koussala est le centre de santé et de promotion sociale (CSPS) de Bonsrima. La commune accueille un collège d'enseignement général (CEG). Culture Annexes Notes et références Liens externes Articles connexes Ville dans le département de Toécé
Avenue Secrétan
L’avenue Secrétan est située dans le de Paris, entre la rue Manin et le boulevard de la Villette. Situation et accès Plantée de robiniers et bordée de nombreux commerces, dont le marché Secrétan (couvert), près de la station du métro de Paris Bolivar, c'est une des voies les plus pittoresques de l'arrondissement. Ce site est desservi par la station de métro Bolivar. Origine du nom Elle porte depuis 1880 le nom de Joseph Secrétan (1773-1837), baron d'Empire, colonel-major du 8 puis du de voltigeurs de la Garde impériale. Au moment où Napoléon essayait de reconquérir la France, en 1815, il défendit le quartier contre les adversaires de l'Empereur et fut blessé. Historique Cette voie résulte de la fusion en 1880 : de la partie de la rue de Puebla (antérieurement dénommée « rue Drouin-Quintaine »), située entre le boulevard de la Villette et la rue de Meaux, de la partie de la rue Fessart, située entre les rues de Meaux et Manin, dénommée « rue Secrétant » en 1868. Décret du 10 août 1868 Le 4 novembre 1880, elle devient la « rue Secrétan », puis le 21 mars 1911, l'« avenue Secrétan ». Bâtiments remarquables et lieux de mémoire Dans la chanson Lily de Pierre Perret, il est question d'un hôtelier rue Secrétan. C'est aussi l'adresse du Roi du Café-Tabac dans la chanson du même nom, de Serge Lama, sur l'album La Vie Lilas, en 1975. Au , Jean-Marcel Poyer membre de la bande à Bonnot y habite en 1912. : École Lucien-de-Hirsch, installée depuis 1901. Notes et références Voir aussi Articles connexes Réseau viaire de Paris Liste des voies du 19e arrondissement de Paris Secretan, rue
Les Deux Cultures
Les Deux Cultures (en anglais, The Two Cultures) constitue la première partie d'une conférence prononcée en 1959 par le scientifique C. P. Snow dans le cadre des conférences Rede (Rede Lectures). Le Britannique avance que « la vie intellectuelle de l'ensemble de la société occidentale » (the intellectual life of the whole of western society) se divise essentiellement en deux cultures : des sciences et des humanities. Cette division serait un obstacle majeur à la recherche de solutions pour notre monde. Conférence Le discours est prononcé le au Senate House à Cambridge ; il sera publié dans l'ouvrage The Two Cultures and the Scientific Revolution. Le discours et l'ouvrage s'inspirent d'un article de Snow publié dans le magazine New Statesman le (également intitulé The Two Cultures). Dès que le livre est publié, la position de Snow est lue et critiquée des deux côtés de l'Atlantique, ce qui l'amène à rédiger une suite parue en 1963 : The Two Cultures: And a Second Look: An Expanded Version of The Two Cultures and the Scientific Revolution. L'opinion de Snow peut se résumer par une citation tirée du livre et régulièrement reprise : En 2008, The Times Literary Supplement inclut The Two Cultures and the Scientific Revolution sur sa liste des qui ont le plus influencé le discours public de l'Occident depuis la Seconde Guerre mondiale. Le discours de Snow condamne le système éducatif au Royaume-Uni qui, depuis l'ère victorienne, récompense exagérément les humanities (surtout le latin et le grec) au détriment de l'éducation scientifique et du génie, même si la victoire des Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale leur est largement due. Dans les faits, les élites britanniques (en politique, dans l'administration et l'industrie) ont été privées d'une formation utile dans un monde dominé par la science moderne. Au contraire, les écoles américaines et allemandes ont cherché à former leurs citoyens tant dans les sciences que dans les humanities. Une meilleure maîtrise scientifique a permis aux meneurs de ces pays d'être plus compétitifs à l'ère scientifique. Les analyses ultérieures de sa position ont en partie omis les différences notées par Snow entre les approches britanniques (pour les écoles et les classes sociales) et les pays compétiteurs. Influence Le critique littéraire F. R. Leavis a qualifié Snow d'« homme de relations publiques » pour l'establishment des sciences dans l'article Two Cultures?: The Significance of C. P. Snow, publié dans The Spectator. Plusieurs lecteurs se sont plaints de la position de Leavis. Snow, dans son livre de 1963, a emprunté une position plus optimiste sur une possibilité de médiation des deux cultures. En 1995, John Brockman a repris cette thèse dans son ouvrage The Third Culture : Beyond the Scientific Revolution. Dans la préface d'une réédition de l'ouvrage The Two Cultures publié en 1993, Stefan Collini avance que le temps a réduit la largeur du fossé culturel que Snow a observé, sans toutefois l'éliminer. Stephen Jay Gould avance, dans son ouvrage The Hedgehog, the Fox, and the Magister's Pox, que le concept de deux cultures de Snow, selon une perspective dialectique, est à la fois hors propos, destructeur et restrictif. Simon Critchley, dans Continental Philosophy: A Very Short Introduction, écrit : « [Snow] a diagnostiqué la perte d'une culture partagée et l'apparition de deux cultures distinctes : celle des scientifiques d'une part et celle qu'il a appelé "intellectuels littéraires" d'autre part. Si les premiers sont en faveur de réformes sociales et de progrès grâce à la science, la technologie et l'industrie, alors les intellectuels sont ce que Snow appelle les "luddites naturels" à cause de leur compréhension et de leur sympathie envers les sociétés industrielles modernes. Dans le jargon de Mill, ils sont partagés entre les benthamites et les coleridgiens. » Critchley avance que Snow reprend une discussion s'étant déroulée vers le milieu du . Toujours selon lui, les critiques de Leavis constituent une attaque ad hominem envers Snow. Il affirme aussi que Snow participe à un débat courant dans l'histoire de l'Angleterre . Dans le discours d'ouverture de la Conférence de Munich sur la sécurité en , le président estonien Toomas Hendrik Ilves a affirmé que les problèmes actuels de sécurité et de liberté sont la culmination d'une absence de dialogue entre « les deux cultures » : « Aujourd'hui, privés de la compréhension à la fois des enjeux et des écrits soutenant la démocratie libérale, les geeks informatiques conçoivent de meilleurs outils pour observer les gens... parce qu'ils le peuvent et que c'est cool. Les humanistes, eux, ne comprennent par la technologie sous-jacente et croient, par exemple, que la connaissance des méta-donnés suffit au gouvernement pour lire leurs courriels. ». L'essayiste William Marx critique la conférence, y voyant un alignement de poncifs et pointe les autres déclarations de Snow, dans une période proche, où il est nettement plus hostile envers les sciences humaines ; Snow affirme que la science est « supérieure » car dans le réel, démontre une marque de virilité et indique que bon nombre d'auteurs de lettres ont théorisé les mouvements belliqueux et fascistes du . Notes et références Voir aussi Bibliographie The Two Cultures, trad. fr. Claude Noël, Les Deux Cultures, suivies de Supplément aux Deux Cultures, Jean-Jacques Pauvert, 159 p., 1968 ; rééd. Les Belles Lettres, coll. "Le goût des idées", avec, en supplément, une traduction d'Etat de siège, 160 p., 2021 Liens externes Melvyn Bragg, The Two Cultures, BBC Radio 4 Timothy Ferris, The World of the Intellectual vs. The World of the Engineer, Wired, Phillip Griffiths, 'Two Cultures' Today, Richard David Precht, Natural Sciences and Humanities: Genesis of two Worlds, YouTube, 2013 Are We Beyond the Two Cultures?, Seed, Livre paru en 1959 Culture britannique Science au Royaume-Uni Études sur la science Révolution scientifique
Graham Windeatt
Graham Windeatt (né le ) est un nageur australien spécialiste de la course longue distance. Il participe aux Jeux olympiques d'été de 1972 et remporte la médaille d'argent dans l'épreuve du 1500 mètres. Palmarès Jeux olympiques Jeux olympiques de 1972 à Munich, Médaille d'argent. Notes et références Liens externes Naissance en août 1954 Nageur aux Jeux olympiques d'été de 1972 Nageur australien Médaillé d'argent olympique australien
Natalia Gousseva (actrice)
Natalia Evguenievna Mourachkevitch (en ), née Natalia Gousseva () à Moscou le , est une actrice soviétique. Elle est devenue célèbre à l'âge de douze ans après la sortie du feuilleton télévisé L'Invitée du futur (1984). Biographie Natalia Gousseva est née le à Moscou. Son père, Evgueni Aleksandrovitch Goussev, est ouvrier, et sa mère, Galina Makarovna Gousseva, est médecin-thérapeute. Natalia est scolarisée à l'école n° 692 de Moscou depuis 1979. Sa première apparition à l'écran a lieu sous la direction de Viktor Volkov, dans le rôle d'écolière dans le court métrage éducatif pour enfants Opasnye pustiaki (1983), destiné à familiariser les tout petits avec le code de la route. Sur le doublage de son rôle au Studio Gorki, Natalia attire l'attention de l'un des assistants de Pavel Arsenov, qui cherchait une fille pour le rôle d'Alice Selezneva pour son téléfilm L'Invitée du futur adapté du cycle de science fiction de Kir Boulitchev Les Aventures d'Alice. L'interprétation du personnage d'Alice a rendu Natalia extrêmement populaire. Ensuite, elle a participé à trois autres films : La Course du siècle (1986), Le Globe couleur lilas (1987) et Volonté de l'Univers (1988), qui sont passés complètement inaperçus au box-office. Après avoir terminé ses études secondaires en 1989, Natalia entre à l'université technologique de Moscou au département de biotechnologie, dont elle sort diplômée en 1994. Elle travaille comme chercheuse à l'Institut de recherche Gamaleïa d'épidémiologie et de microbiologie et devient l'un des chefs du département de diagnostic dans le domaine des maladies infectieuses. En 2007, sur la chaîne NTV l'un des épisodes de l'émission Le Personnage principal, présenté par Anton Khrekhov, est consacré à la série La Visiteuse du futur et aux destins des enfants acteurs y ayant joué. En 2009, Natalia renoue brièvement avec le cinéma et la télévision, prêtant sa voix au personnage de dessin animé L'Anniversaire d'Alice et en incarnant une présentatrice dans la série télévisée Fonderie (épisode de la saison Face). Vie privée En 1993, elle a épousé Denis Anatolievitch Mourachkevich, dont elle a divorcé en 2001. Elle a une fille, Alessia (), née le . Le 18 juillet 2013, elle épouse Sergey Lvovich Ambinder (né le 6 avril 1975), designer, directeur artistique de la fondation caritative Rusfond, dirigée par son père, Lev Sergeyevich Ambinder. Leur fille, Sofia Ambinder, naît en février 2013. Filmographie 1983 : Les Bagatelles dangereuses (Opasnye pustiaki) de Viktor Volkov : l'écolière 1985 : L'Invitée du futur (Gostya iz budushchego) de Pavel Arsyonov : Alice Selezneva 1986 : La Course du siècle (Gonka veka) de Nikita Orlov : Rachel Crowhurst 1987 : Le Globe lilas (Lilovyy shar) de Pavel Arsyonov : Alice Seleznyova 1988 : La Volonté de l'univers (Volya vselennoy) de Dmitri Mikhleyev : Lena Lukashevich 2009 : La Fonderie (série télévisée, épisode Face) : Irina, présentatrice de télévision. Notes et références Liens externes Страница Наташи Гусевой (Мурашкевич) на сайте rusactors.ru. Подробная биография. Неофициальная страница Наташи Гусевой «Официальный сайт сериала Гостья из будущего. Гостиная Алисы.» Actrice russe Actrice soviétique Enfant acteur russe Actrice russe de télévision Biochimiste russe Naissance en RSFS de Russie Naissance à Moscou Naissance en février 1972
N'Klabe
N'Klabe est un groupe portoricain de salsa formé en 2004 par Héctor José Torres Donato, Félix Javier Torres et Johnny Maldonado Díaz, remplacé ensuite par Ricardo Porrata. Biographie N'Klabe a été fondé en 2003 par Félix Javier "Felo" Torres. Ils ont sorti plusieurs albums, y compris leur premier album, Salsa Contra Viento y Marea en 2004. Dans leur album La Nueva Escuela le groupe rend hommage aux vétérans de Salsa comme Lalo Rodriguez, Jerry Rivera, Luis Enrique, Eddie Santiago et d'autres. Entre 2008 et 2009 Ricky et Héctor ont quitté le groupe. En Anthon Ibañez a rejoint Felo. Puis, ils ont décidé de sélectionner leur troisième membre parmi les finalistes de la sixième saison du show Objectivo Fama. Discographie Albums 2007 : 2012 : Membres Fondateurs Héctor José Torres Donato (né le ) Félix Javier Torres (né le ) Johnny Maldonado Díaz (né le à Brooklyn) Autres Luis Marin : piano Pedro Perez : basse Markitos Lopez : timbales Sammy Garcia : congas et percussions mineures Jan Duclerk, Piro Rodriguez, Angie Machado : trompettes Jorge Diaz : trombone Ernesto Sanchez, Victor "Yuka" Maldonado : saxophone baryton Gino Ramirez, Luisito Carrion, Dalver Garcia, Primi Cruz, Hector Torres, Felix J. Torres, Ricky Porata, Canito de Sabana Seca : chœurs Notes et références Liens externes Groupe portoricain de salsa Groupe musical des années 2000 Groupe musical formé en 2004
56e méridien ouest
En géographie, le ouest est le méridien joignant les points de la surface de la Terre dont la longitude est égale à 56° ouest. Géographie Dimensions Comme tous les autres méridiens, la longueur du correspond à une demi-circonférence terrestre, soit . Au niveau de l'équateur, il est distant du méridien de Greenwich de . Avec le est, il forme un grand cercle passant par les pôles géographiques terrestres. Régions traversées En commençant par le pôle Nord et descendant vers le sud au pôle Sud, Le ouest passe par : {| class="wikitable plainrowheaders" ! scope="col" width="125" | Coordonnées ! scope="col" | Pays, territoire ou mer ! scope="col" | Notes |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Océan Arctique | style="background:#b0e0e6;" | |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Mer de Lincoln | style="background:#b0e0e6;" | |- | ! scope="row" | | |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Mer de Baffin | style="background:#b0e0e6;" | |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Détroit de Davis | style="background:#b0e0e6;" | |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Océan Atlantique | style="background:#b0e0e6;" | Mer du Labrador |- | ! scope="row" | | Terre-Neuve-et-Labrador — Labrador |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Détroit de Belle Isle | style="background:#b0e0e6;" | |-valign="top" | ! scope="row" | | Terre-Neuve-et-Labrador — Grande Péninsule du Nord sur l'île de Terre-Neuve |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Océan Atlantique | style="background:#b0e0e6;" | |-valign="top" | ! scope="row" | | Terre-Neuve-et-Labrador — île de Terre-Neuve |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Baie Fortune | style="background:#b0e0e6;" | Passe juste à l'ouest de Île Brunette, Terre-Neuve-et-Labrador, (à ) |-valign="top" | ! scope="row" | | Terre-Neuve-et-Labrador — la pointe de la Péninsule de Burin sur l'île de Terre-Neuve |-valign="top" | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Océan Atlantique | style="background:#b0e0e6;" | Passe juste à l'est de l'île de Saint-Pierre, (à ) |- | ! scope="row" | | |- | ! scope="row" | | Pará |- | ! scope="row" | | |-valign="top" | ! scope="row" | | Pará Mato Grosso — from Mato Grosso do Sul — from |- | ! scope="row" | | |- | ! scope="row" | | |- | ! scope="row" | | Rio Grande do Sul |- | ! scope="row" | | Passe juste à l'est de Montevideo (at ) |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Océan Atlantique | style="background:#b0e0e6;" | |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Océan Austral | style="background:#b0e0e6;" | |-valign="top" | ! scope="row" | Antarctique | l'Île Joinville et l'Île Dundee — Liste des territoires par l', le et le |- | style="background:#b0e0e6;" | ! scope="row" style="background:#b0e0e6;" | Océan Austral | style="background:#b0e0e6;" | Mer de Weddell |-valign="top" | ! scope="row" | Antarctique | Territoire Liste des territoires par l', le et le |- |} Notes et références Voir aussi Liens internes Méridien est ouest ouest Liens externes Longitude
Conservatoire de musique de Trois-Rivières
Le Conservatoire de musique de Trois-Rivières est une école publique dispensant un enseignement professionnel de la musique, situé à Trois-Rivières au Québec (Canada). Il fait partie du réseau des Conservatoire de musique et d'art dramatique du Québec regroupant neuf établissements. Fondé par le pianiste Czeslaw Kaczynski (1918-2002) en 1964, il constitue le troisième conservatoire à voir le jour au Québec suite à ceux de Montréal en 1942 et de Québec en 1944. Histoire Le conservatoire qui fut initialement situé sur la rue Laviolette, puis sur la rue Niverville, emménage à son emplacement actuel sur la rue Radisson en octobre 1978. Il était à l'origine une école préparatoire, créée par Kaczynski le avril 1964. Précisément trois ans plus tard jour pour jour, l'école est devenue un conservatoire à part entière. Kaczynski a continué à diriger l'école jusqu'en 1970, à la tête d'un personnel dont les membres comprenaient Gaston Arel (théorie musicale), Otto Armin (violon), Hervé Baillargeon (flûte), Raymond Daveluy (harmonie/contrepoint), Réal Gagnier (hautbois), Stephen Kondaks (alto), Rafael Masella (clarinette), Élisabeth Miquel (piano et accompagnement au piano), Bernard Piché (orgue et matières théoriques), Antoine Reboulot (piano) et Charles Reiner (piano et accompagnement au piano). À l'origine, le conservatoire proposait uniquement de la musique instrumentale, avec notamment Jean Deslauriers comme premier chef d'orchestre de l'école. Raymond Daveluy a succédé à Kaczynski comme directeur de l'école de 1970 jusqu'à 1974, quand il a été remplacé par Armando Santiago. Cependant, Daveluy est resté membre de la faculté plusieurs années après avoir quitté son poste de directeur. Un programme de musique vocale avec des cours de chant a été créé en 1974 par Jacqueline Martel avec par la suite de plus en plus d'études sur l'opéra et la musique chorale. Une partie du personnel enseignant nommé à l'école dans les années 1970 inclut le clarinettiste Jean Laurendeau, le corniste Joseph Masella, le hautboïste Bernard Jean, l'organiste Noëlla Genest; les pianistes Michel Dussault, Christiane Sénart, Nadia Strycek et Denise Trudel-Bellemare, le saxophoniste Jacques Larocque, et le tromboniste Joseph Zuskin. Michelle Quintal a enseigné les matières théoriques à l'école et Gilles Bellemare était l'instructeur principal de l'école en harmonie et contrepoint. Élèves réputés Antoine Bareil, violoniste Suzanne Beaubien, pianiste Pierre Beaudry, tromboniste Marie Bédard, violoniste Pierre-Michel Bédard, organiste et compositeur Gilles Bellemare, chef d'orchestre et compositeur Marie-Andrée Benny, flûtiste Michel Bettez, bassoniste Jean-Michel Blais, pianiste Danièle Bourget, flûtiste Murielle Bruneau, contrebassiste Gilles Carpentier, clarinettiste Claudine Côté, chanteur d'opéra Sébastien Deshaies, guitariste Marie Gélinas, violoncelliste Claude Grenier, harmonie et contrepoint Sylvie Lambert, violoncelliste Valérie Milot, harpiste Louise Pellerin, hautboïste Denise Trudel, pianiste Louise Trudel, violoncelliste Notes et références Annexes Articles connexes Conservatoire de musique et d'art dramatique du Québec Liste des établissements scolaires de Trois-Rivières Orchestre symphonique de Trois-Rivières Lien externe École de musique au Québec Organisme fondé en 1964 Bâtiment à Trois-Rivières École gouvernementale du Québec Établissement d'enseignement collégial relevant d'un ministère ou d'une université Culture à Trois-Rivières Éducation à Trois-Rivières
Léon Poussigue
Léon Poussigue, né à Sommières le et mort le à Meschers-sur-Gironde est élève à l'école des mines de Saint-Étienne, puis exerce la fonction de directeur des mines de Bélmez dans les années 1880. Il demande le poste de directeur des mines de Ronchamp à l'âge de 32 ans, en 1891. Il est le créateur du puits Arthur-de-Buyer, premier puits de mine à avoir dépassé les de profondeur en France et en partie de la centrale thermique de Ronchamp. Il est également Chevalier de la Légion d'honneur. Biographie Léon Poussigue est né le à Sommières dans le département du Gard en région Occitanie. Il réalise ses études à l'école des mines de Saint-Étienne entre 1876 et 1878 où il est classé premier à l'entrée et à la sortie. Il devient ingénieur des mines de Roche-la-Molière et Firminy dans le bassin houiller de la Loire en 1880, puis ingénieur divisionnaire des établissements Schneider entre 1881 et 1887, puis ingénieur divisionnaire de la compagnie des mines d'Anzin pendant un an et enfin ingénieur-directeur des mines de Bélmez en 1887. Il devient ensuite ingénieur-directeur des houillères de Ronchamp entre 1891 et 1919 puis ingénieur conseil. Le , il est nommé Chevalier de la Légion d'honneur par le ministre des travaux publics, des postes et des télégraphes. Léon Poussigue est également l’inventeur d'un appareil permettant d'analyser l'air des chantiers miniers et d'en connaitre la teneur en grisou. Il meurt le dans la ville Meschers-sur-Gironde âgé de 81 ans. Houillères de Ronchamp Directeur-ingénieur Arrivé à la direction des houillères de Ronchamp en 1891, il se voit offrir un salaire de par an avec une prime de puis sur les bénéfices de l'entreprise. Il est logé au château de la Houillère et il lui est attaché un jardinier et un cocher, puis un chauffeur qui conduit la première automobile de l'entreprise en 1900, une Peugeot Victoria. Il participe à la conception de la centrale thermique de Ronchamp mais il est surtout le créateur du puits Arthur-de-Buyer, premier puits à avoir dépassé la profondeur de en France, il en est l'unique concepteur, c'est lui qui dessine les bâtiments, dirige les travaux de creusement et décide de l'installation des différentes machines. Dans sa fonction de directeur, il influera sur la décision d’investir de grosses sommes au puits . Léon Poussigue possède un caractère plus souple et une autorité plus compréhensive que son prédécesseur Monsieur de Goumoens. Il a . Ainsi en 1905, il accorde des augmentations de salaire avant toute revendication, . Il sait malgré tout rester intransigeant et défendre les intérêts de la société, les 65 jours de grève de 1910, ne le font pas fléchir et il reçoit les félicitations du conseil d'administration. Ingénieur-conseil Il devient ingénieur-conseil des houillères de Ronchamp en 1919, ce qui lui permet de continuer à participer au fonctionnement de la société des houillères. À sa mort en 1941, le conseil d'administration accorde une pension de retraite à sa veuve et une allocation renouvelable chaque année. Récompenses Au cours de sa carrière, Léon Poussigue a obtenu plusieurs récompenses: diplôme d'honneur et médaille vermeil offerts par le préfet de la Haute-Saône en 1897 ; médaille d'or à l'exposition universelle de 1900 ; médaille d'or décernée par la société d'industrie minérale en 1904 ; Légion d'honneur en 1909. Œuvre technique et mémoires Léon Poussigue et l'auteur de trois ouvrages publiés par la société des houillères de Ronchamp: Fonçage et installation du premier puits de plus de en France (1900) ; Mesurage du courant d'air et du grisou (1903) ; Notes historiques sur les houillères de Ronchamp (1924). Références Voir aussi Articles connexes Houillères de Ronchamp Centrale thermique de Ronchamp Puits Arthur-de-Buyer Arthur de Buyer Liens externes Bibliographie Houillères de Ronchamp Ingénieur industriel Chevalier de la Légion d'honneur Élève de l'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne Naissance en juin 1859 Décès en janvier 1941 Décès à 81 ans
Żebry-Sławki
Żebry-Sławki (prononciation : ) est un village polonais de la gmina d'Olszewo-Borki dans le powiat d'Ostrołęka de la voïvodie de Mazovie dans le centre-est de la Pologne. Il se situe à environ au sud-ouest d'Ostrołęka (siège du powiat) et à au nord de Varsovie (capitale de la Pologne). Histoire De 1975 à 1998, le village appartenait administrativement à la voïvodie d'Ostrołęka. Références Village dans la voïvodie de Mazovie Powiat d'Ostrołęka
Renault TRM 500
Le Renault TRM 500 ou Saviem TRM 500 est un véhicule léger tout terrain à quatre roues motrices proposé par Renault en mars 1978 pour répondre à l'appel d'offres lancé par l'armée française pour assurer le remplacement des très anciennes Jeep Willys que l'armée française avait récupérées après la libération des surplus américains. Ce véhicule est basé sur la Fiat Nuova Campagnola présentée en 1974 et qui équipait plusieurs armées dans le monde. Caractéristiques techniques De conception très moderne, la Campagnola 2 / Renault TRM 500 était dotée d'une carrosserie autoporteuse avec 4 roues indépendantes avec des barres de torsion. La ligne de carrosserie semble taillée à la serpe. La principale différence avec la Fiat est que le TRM500 est équipé d'un moteur Renault tiré de la Renault 20ts, donc un 4 cylindres 2l alimenté par un carburateur Weber. Il dispose d'une boîte de vitesses à 4 rapports avec une boîte de transfert à 2 rapports. Références Voir aussi Fiat Nuova Campagnola Liens externes Article sur Zoom Autoblog sur la Fiat Campagnola 2 et le Renault TRM 500 Article en anglais sur les 3 véhicules en lice pour l'armée française en 1981 : Peugeot P4 - Renault Saviem TRM 500 et Citroën C44 Article en anglais sur l'Europa Jeep et les 3 véhicules proposés à l'armée française en 1981 Véhicule à transmission intégrale Véhicule tout-terrain TRM 500 Véhicule militaire français Véhicule militaire léger Automobile des années 1980
Église Saint-Élie de Ražanj
Léglise Saint-Élie de Ražanj (en serbe cyrillique : ; en serbe latin : ) est une église orthodoxe serbe qui se trouve à Ražanj, dans le district de Nišava, en Serbie. Elle est inscrite sur la liste des monuments culturels protégés de la République de Serbie (identifiant SK 2059). Présentation L'église a été construite en 1841 et restaurée dans les années 1930-1932. Par son architecture, elle représente un exemple caractéristique de l'architecture sacrée en Serbie de l'époque du prince Miloš Obrenović, rarement rencontré dans cette zone frontalière. Elle est composée d'une nef unique avec une voûte en berceau prolongée par une abside en triconque. Les façades sont animées par deux portails cintrés encadrés de pierres avec une décoration en relief de feuilles de vigne et une croix au centre ; les fenêtres, elles aussi cintrées, sont légèrement profilées. L'intérieur est divisé en trois parties par trois paires de pilastres : la zone de l'autel, le chœur et la nef, dont le mur ouest est couvert par une galerie en bois. Les murs ont été peints en 1940 par Dragoljub Stojković d'Aleksinac. L'iconostase en bois a été installée en 1930 et des icônes, réalisées selon la technique de la tempera sur bois et datant du milieu du , y ont été insérées. Références Article connexe Monuments culturels du district de Nišava Elie Razanj Monument culturel protégé en Serbie Razanj
Torii Hunter
Torii Kedar Hunter (né le à Pine Bluff, Arkansas, États-Unis) est un voltigeur de baseball qui évolue dans les Ligues majeures de 1997 à 2015 pour les Twins du Minnesota, les Angels de Los Angeles et les Tigers de Détroit. Il compte cinq sélections au match des étoiles de la Ligue majeure de baseball (2002, 2007, 2009, 2010,2013), a remporté neuf Gants dorés consécutifs (2001-2009) pour son excellence en défensive au champ extérieur et reçoit en 2009 et 2013 un Bâton d'argent. Carrière Twins du Minnesota Hunter est drafté par les Twins du Minnesota à leur premier tour de sélection en 1993. Il jour pour la première fois en tant que coureur suppléant contre Baltimore, le . À partir de 1999, il commence à jouer régulièrement : 135 matchs sur 162. Il ne commettra qu'une seule erreur sur 292 possibles. À partir de cette saison, Hunter poursuit sa progression. En 2002, il est récompensé en étant sélectionné pour le match des étoiles. Il ira jusqu'aux séries éliminatoires cette année-là avec les Twins, battus par son futur club, les Angels de Los Angeles d'Anaheim lors de la finale de la Ligue américaine. Angels de Los Angeles Après des blessures à répétition en 2003 et 2005, Hunter signe en 2007 avec les Angels de Los Angeles d'Anaheim. Il remplace alors Gary Matthews, Jr. quotidiennement au champ centre et s'impose comme un des leaders de l'équipe. En 2009, il est à nouveau sélectionné au match des étoiles, mais n'y participera pas, se blessant quelques jours avant le match. Hunter aida les Angels à aller jusqu'aux séries éliminatoires en 2008 et 2009. Il frappe trois circuits contre les Padres de San Diego le . En 2009, il a une moyenne de ,299 avec 23 circuits et 90 points produits. Cette même année, Hunter a remporté le Prix Branch Rickey pour ses contributions humanitaires. À partir de 2010, Hunter est déplacé progressivement du champ centre au champ droit, ce qui est confirmé par l'émergence en 2012 du jeune voltigeur de centre Mike Trout qui lui est supérieur défensivement. Le vétéran connaît en 2012 l'une de ses meilleures saisons depuis plusieurs années et il affiche sa meilleure moyenne au bâton en carrière : ,313 en 140 parties jouées. Il frappe 12 circuits, produit 92 points et réussit 167 coups sûrs, son plus haut total depuis 2007. Il devient agent libre après cette cinquième saison pour les Angels. Tigers de Détroit Le , Hunter signe un contrat de deux saisons avec les Tigers de Détroit. Il est invité au match des étoiles 2013, sa en carrière. Il termine sa première saison à Détroit avec 17 circuits et 84 points produits, le haut total de l'équipe. Il mène avec 37 doubles un club ayant beaucoup de force en offensive et est des Tigers pour les coups sûrs (184) et la moyenne de puissance (,465) et avec une moyenne au bâton de ,304. Sa moyenne au bâton chute à ,286 et sa moyenne de puissance perd quelques points pour se chiffrer à ,446 en 2014 mais, à 39 ans, Hunter ajoute 157 coups sûrs, 33 doubles, 7 circuits et produit 83 points. Retour au Minnesota Le , Hunter retourne chez les Twins du Minnesota, de qui il accepte un contrat d'une saison à 10,5 millions de dollars. Hunter est suspendu pour deux matchs et mis à l'amende par la ligue après un incident survenu le lors d'un match contre Kansas City : expulsé du match par l'arbitre Mark Ripperger après avoir critiqué la zone des prises, Hunter s'emporte, retire sa chemise et la lance sur le terrain. Il frappe 22 circuits et produit 81 points malgré une moyenne au bâton en baisse à ,240 en 139 matchs joués des Twins en 2015, sa dernière saison. Controverses Hunter suscite une controverse en 2010 lorsqu'il qualifie d'« imposteurs » les joueurs latino-américains qui, selon lui, se prétendent Africains-Américains pour être rémunérés plus cher car, dit-il, les Dominicains sont payés l'équivalent d'un « sac de chips ». Hunter dit par la suite regretter son choix de mots, en particulier le terme « imposteur ». En 2012, Hunter déclare au Los Angeles Times qu'il serait pour lui « difficile et inconfortable » de jouer avec un coéquipier homosexuel. En , il enregistre un message publicitaire radiophonique pour promouvoir la candidature d'Asa Hutchinson au poste de gouverneur de l'Arkansas, en raison de l'opposition de celui-ci au mariage homosexuel. Notes et références Liens externes Fiche de Torii Hunter, sur le site officiel de la MLB. Statistiques de Torii Hunter, sur baseball-reference.com. Statistiques de Torii Hunter, sur thebaseballcube.com. Joueur américain de baseball Joueur des Twins du Minnesota Joueur des Angels d'Anaheim Joueur des Angels de Los Angeles Joueur des Tigers de Détroit Naissance en juillet 1975 Naissance à Pine Bluff Voltigeur des ligues majeures de baseball
Mascotte (homonymie)
Le mot mascotte peut désigner : une mascotte, le symbole d'un groupe ; La Mascotte (1880), un opéra-comique en trois actes d'Edmond Audran, La Mascotte du régiment (1937), un film de John Ford. La Mascotte, le premier album de bande dessinée de la série des Rantanplan, en 1987 ; également un jeu vidéo de Coktel Vision du même nom. Toponyme Mascotte, une ville située en Floride.
Nianiara
Nianiara est une localité située dans le département de Nako de la province du Poni dans la région Sud-Ouest au Burkina Faso. Géographie Histoire Économie Santé et éducation Le centre de soins le plus proche de Nianiara est le centre de santé et de promotion sociale (CSPS) de Nako tandis que le centre hospitalier régional (CHR) de la province se trouve à Gaoua. Notes et références Ville dans le département de Nako
Strophaeus kochi
Strophaeus kochi est une espèce d'araignées mygalomorphes de la famille des Barychelidae. Distribution Cette espèce est endémique du Pérou. Publication originale O. Pickard-Cambridge, 1870 : Monograph of the genus Idiops, including descriptions of several species new to science. Proceedings of the Zoological Society of London, , (texte intégral). Liens externes Notes et références Barychelidae Espèce d'araignées (nom scientifique) Faune endémique du Pérou
Orbus
Orbus SA était une société holding française créée le . Il est détenu à 19 % par le Crédit agricole, à 20 % par Ardian, à 40 % par la famille d'un particulier et à 21 % par Pierre Bellanger, le fondateur de Skyrock. Historique En 2005, Orbus contrôle les radios Skyrock et Chante France, ainsi que la société Telefun. En 2006, il a réalisé un résultat net de 4,6 millions d'euros. Depuis 2007, il est contrôlé par la holding Nakama. En 2010, la station Chante France est cédée au groupe HPI (également propriétaire de Évasion FM) Avec Skyrock, Orbus couvre une population entre 30 et 40 millions d’habitants en 2010/2012 ; Le la société Orbus est dissoute. Notes et références Entreprise fondée en 1999 Entreprise du secteur des médias ayant son siège en France Entreprise ayant son siège à Paris Entreprise disparue
Pierre Fourmanoir
Pierre Fourmanoir, né le à Paris et mort le à Bry-sur-Marne, est un ingénieur agronome et ichtyologiste français. Biographie Pierre Fourmanoir est issu de l'école d'ingénieur agronome de Grignon, certifié en zoologie. En 1948, il est recruté par l'Office de la recherche scientifique et technique outre-mer (ORSTOM). Titularisé en 1950, il est envoyé à Madagascar où il restera jusqu'en 1963. Durant cette période, il participe activement aux recherches et à l'étude du Cœlacanthe autour de l'archipel des Comores, dans l'équipe scientifique du professeur Jacques Millot. En 1959, lors des nombreuses recherches effectuées sur les récifs coralliens de l'océan Indien, Pierre Fourmanoir nomme une nouvelle espèce de poisson Lutjanus Guilcheri, (entrant dans le genre Lutjanus), en l'honneur de son collègue André Guilcher. En 1963, il est envoyé en mission scientifique au Vietnam jusqu'en 1964. En 1966, il repart pour une nouvelle mission en Guyane française jusqu'en 1967. En 1969, il est affecté au centre de l'ORSTOM de Nouméa. Il restera en Nouvelle-Calédonie jusqu'en 1981. Il étudia la faune ichtyologique et inventoria 61 espèces nouvelles qu'il décrivit dans près de deux cents publications. En 1984, il part à la retraite. Il est décédé en 2007. Bibliographie Pierre Fourmanoir et R. Roux-Estèven, Poissons capturés par la mission de la "Calypso" en mer rouge, éditions Masson, Paris, 1955 Pierre Fourmanoir, Poissons Teleosteens des eaux malgaches du canal de Mozambique, Institut scientifique de Madagascar, Tananarive, 1957 Pierre Fourmanoir, André Guilcher, Léopold Berthois et René Battistini, Les récifs coralliens des îles Radama et de la baie Ramanetaka (côte nord-ouest de Madagascar), Mémoires de l'Institut Scientifique de Madagascar. Série F : Océanographie, 1958 Pierre Fourmanoir et Pierre Laboute, Poissons de Nouvelle-Calédonie et des Nouvelles-Hébrides, Les éditions du Pacifique, Papeete, Polynésie française, 1976. Pierre Fourmanoir, Jacques Rivaton, M. Kulbiki et Philippe Bourret, Catalogue des poissons de Nouvelle-Calédonie, ORSTOM, éditions du Muséum, Paris, 1989 Notes et références Liens externes Résultats des campagnes scientifiques effectuées au Vietnam, ORSTOM, éditions du Muséum, Paris, 1981 Liste et description de cinq espèces nouvelles, Mémoires du Muséum national d'histoire naturelle, Volume 2, ORSTOM, éditions du Muséum, Paris, 1985 Françoise Ozanne-Rivierre, Le nyelâyu de Balade, Nouvelle-Calédonie, éditions Peeters, Louvain-Paris, 1998 Ichtyologiste français Ingénieur agronome Zoologiste français Zoologiste du XXe siècle Naissance en octobre 1924 Décès en mai 2007 Naissance à Paris Décès à Bry-sur-Marne Décès à 82 ans
Albert Johnson (criminel)
Albert Johnson, plus connu sous le nom du Mad Trapper of Rat River (Le trappeur fou de la rivière Rat), fut un fugitif, objet d'une immense chasse à l'homme dans les Territoires du Nord-Ouest au Canada. L'événement devint un cirque médiatique lorsque Johnson échappa à l'équipe de la Gendarmerie royale du Canada envoyée pour le mettre en garde à vue, à la suite des plaintes d'autres trappeurs. C’est le que les agents de la GRC repèrent finalement Albert Johnson, près de Eagle River (Yukon). Une longue chasse à l’homme, qui durera quatre jours, vient de commencer. Après , la chasse à pied s'acheva par une fusillade où Johnson fut tué, atteint par 17 projectiles. On retrouvera sur lui une somme d’argent de 2410$, des dents en or et de nombreuses armes. Cependant, les policiers ne trouvèrent aucun document pouvant prouver l’identité du tueur fou de Rat River. On sait peu de choses sur Johnson. On ne connaît pas son véritable nom. On ignore d'où lui venait sa capacité de survie en milieu hostile, par des températures de l'ordre de . Son aventure inspira de nombreuses théories et de nombreuses œuvres, dont le film Chasse à mort (1981) de Peter Hunt avec Charles Bronson et Lee Marvin. L'histoire est également racontée dans la chanson The Ballad of Trapper John de Devon Coyote, un groupe musical folklorique de la Colombie Britannique. Bibliographie Rudy Wiebe, The Mad Trapper, 1980, Jackpine House Ltd., 186 p. Thomas York, Trapper, 1981, Avon Books, 476 p. The Death of Albert Johnson Mad Trapper of Rat River, 1986, Heritage House Publishing Company Ltd., 94 p. Dick North, The Mad Trapper of Rat River, 2003, The Lyons Press, 338 p. Hélèna Katz, The Mad Trapper, 2004, Altitude Publishing Canada Ltd., 133 p. Dick North, The Man Who Didn't Fit In, 2005, The Lyons Press, 259 p. Fremmerlid Mark, What Became of Sigvald Anyway? Was He The Mad Trapper of Rat River? 66 p. Notes et références Liens externes Personnalité canadienne condamnée pour meurtre Folklore canadien Date de naissance non renseignée (XIXe siècle) Décès en février 1932 Mort abattu par la police canadienne
Jorge Sobisch
Jorge Omar Sobisch (né le à Buenos Aires), membre du Mouvement populaire de Neuquén (MPN), a été gouverneur de la province de Neuquén, l'une des plus riches du pays, de 1991 à 1995, sous Carlos Menem, et de 1999 à 2007. Il fut ensuite candidat de droite à l'élection présidentielle de 2007, arrivant avec 1,56 % des voix ( suffrages) avec comme colistier l'écrivain . Cet échec le poussa à se retirer de la scène politique neuquinienne. Études et début de carrière Fils d'un militaire installé dans la province patagonienne et venant d'une famille d'immigrés allemands, Jorge Sobisch est né à l'Hôpital militaire de Buenos Aires, six mois avant le coup d'État du Groupe des Officiers Unis (GOU). Ayant fait l'école primaire à Neuquén, il part à Buenos Aires pour le collège puis effectue son service militaire à Colonia Sarmiento. En 1971, il se marie à Liliana Planas, institutrice elle-même fille de pionniers s'étant installés dans la province de Neuquén. Ses beaux-parents furent compagnons d'université d'Héctor José Cámpora, le président péroniste de gauche élu en 1973 et qui deviendra l'une des références du kirchnérisme . Sa femme, Liliana, décède en 2009 par défenestration, la police concluant à un suicide. Il fonde une entreprise de graphisme et devient président d'un club de football local. Devenu sous-officier, son père, Carlos Sobisch, sera péroniste et l'un des fondateurs du , parti provincial important. Dès 17 ans, Jorge lui-même milita au sein du MPN. Ascension politique En 1991, il gagne les primaires au sein du . Il est ainsi élu gouverneur de Neuquén, succédant au caudillo du MPN . Bon ami du patron de Zanon, une fabrique de tuiles en céramique, il soutient économiquement celle-ci via des aides de Neuquén. Après la crise de 2001, Zanon, renommé FaSinPat (Usine sans patrons), deviendra l'un des emblèmes du mouvement des entreprises autogérées. Aux élections de 1995, il battu par l'un des fondateurs du MPN, , qui devient pour la cinquième fois gouverneur de la province. La gouvernance de Neuquén et le conflit social de 2007 Réélu en 1999, il gouverne la province jusqu'en 2007 ayant été triomphalement réélu en 2003 avec 57 % des voix. Ces succès lui permettent d'obtenir la présidence du MPN et d'écarter ses rivaux. Il s'appuie également sur son succès aux législatives de 2005 pour devenir, en , président de l'Assemblée constituante régionale, chargée de réformer la Constitution de Neuquén. À Buenos Aires, il s'adjoint les soutiens de Mauricio Silva, Hugo Melgar et Gabriel Melgar en créant le Mouvement des provinces unies (MPU, conservateur). En 2007, une grève éclate dans la province, revendiquant la revalorisation des salaires. Le , la mort d'un professeur syndicaliste, , lors d'un blocage de la nationale 22, le fragilise: on l'accuse d'être le responsable politique de cette bavure policière. Sobisch prit la responsabilité de l'évacuation de force des grévistes, rejetant toutefois celle de la bavure sur la police. La mort du syndicaliste provoqua un immense mouvement de mobilisation dans la province, durant lequel le MPN refusa de siéger à l'Assemblée régionale, provoquant sa fermeture de facto. Le policier responsable du décès fut inculpé d'homicide. Au bout de près de deux mois, les professeurs cessèrent de faire grève, ayant obtenu une hausse des salaires tandis que la famille de la victime obtint une indemnisation. Lorsque l'Assemblée régionale se réunit à nouveau pour siéger, la demande de l'opposition de mettre en œuvre une procédure de jugement politique à l'égard de Sobisch fut enterrée par la majorité, contrôlée par le MPN. Outre cette bavure, il est également critiqué pour ses rapports tendus avec les journalistes, notamment avec ceux du . Il est accusé tant par les organismes de défense des droits de l'homme que le syndicat local des journalistes ou que l'Association de la presse interaméricaine d'intimider ses critiques et de favoriser ses amis. À la tête d'une province déjà riche, il bénéficie aussi du succès de la politique nationale menée par son adversaire, Nestor Kirchner, ainsi que du soutien financier accordé par l'État à la province (330 millions de pesos). Avec le rétablissement progressif du tissu économique de l'Argentine, dévasté par la crise de 2001, le chômage baisse de façon importante à Neuquén sous son mandat (de 22 à 6 % en 2005 selon ses dires). Cela ne l'empêchait pas de soutenir l'ex-président et ministre de l'Économie Eduardo Duhalde, tenu pour beaucoup pour l'un des responsables - avec notamment le président Carlos Menem - de la crise de 2001. La campagne électorale nationale de 2007 Lors de la campagne pour les élections générales de 2007, Jorge Sobisch soutenait l'aile dissidente du péronisme, située à droite, et s'opposant à Nestor Kirchner, candidat du Front pour la victoire-Parti justicialiste (centre-gauche), qu'il n'hésitait pas à comparer à Evo Morales. Il était ainsi en contact étroit avec l'ex-président Carlos Menem, le cacique Adolfo Rodríguez Saá ou son frère Alberto Rodríguez Saá. Cependant, il ne réussit pas à obtenir leur soutien pour une candidature dissidente, Alberto Rodríguez Saá se présentant sous les couleurs du Frente Justicia, Unión y Libertad. Sobisch présenta alors une candidature indépendante, avec comme colistier, pour la vice-présidence, l'écrivain . Il est isolé sur la scène politique, son ex-allié contre Kirchner, le candidat de droite Mauricio Macri, s'étant éloigné de lui depuis la mort de Carlos Fuentealba et ayant décidé de s'allier avec Ricardo López Murphy (Recréer pour la croissance). Depuis 2002, il avait un différend avec Murphy, un des députés de Recréer pour la croissance l'ayant accusé de corruption. Il n'obtint comme seul soutien politique que celui de l'entrepreneur populiste , qui défendait à Buenos Aires un programme sécuritaire à la suite de l'enlèvement tragique de son fils. Ne représentant ainsi qu'une candidature parmi d'autres à droite, rivalisé notamment par Menem et Ricardo López Murphy, voire Roberto Lavagna soutenu par l'Union civique radicale (UCR, centre-droit), la formule Sobisch-Asís n'obtint ainsi qu'un succès d'estime, y compris dans la province de Neuquén. Jorge Sobisch arriva ainsi avec 1,56 % des voix ( suffrages). Cet échec le pousse à ne pas se représenter à l'élection à la gouvernance, au cours duquel son rival fut à nouveau élu. Références Source principale Personnalité politique argentine Gouverneur de Neuquén Naissance en janvier 1943
Wader Study Group Bulletin
est une publication à comité de lecture de l'. La revue publie des articles sur tous les aspects de la biologie des limicoles. Autres liens International Wader Study Group SORA : Bulletin of the International Wader Study Group. L'intégralité des volumes 1 à 105 (de 1970 à 2000) est accessible gratuitement en format PDF ou DejaVu. Revue ornithologique
Saki
Zoologie Les sakis ou saquis sont des singes du Nouveau Monde de la famille de Pitheciidae. Noms Saki est le pseudonyme sous lequel est connu l'écrivain et journaliste britannique Hector Hugh Munro (1870–1916). Bande dessinée Saki est un manga japonais adapté en anime, basée sur le thème du mah-jong. Saki (histoire 1) et Saki (histoire 2) sont des histoires de la série Saki et Zunie sorties en 1958. Télévision , est une série télévisée britannique sortie en 1962. Cinéma , est un film japonais sorti en 2017. Toponymes Saki, village de la voïvodie de Podlachie en Pologne. Saki ou Saky, ville de Crimée.