title
stringlengths
1
177
text
stringlengths
5
588k
Yoshihiro Tajiri
, ou tout simplement Tajiri, (né le à Yokohama) est un catcheur (lutteur professionnel) japonais. Il est principalement connu pour avoir travaillé aux États-Unis à l' (ECW) où il a détenu le championnat du monde télévision ainsi que le championnat du monde par équipe de l'ECW avec Mikey Whipwreck. À la suite de la faillite de l'ECW, il a rejoint la où il a été champion des poids-lourds léger, champion des poids-moyens. Carrière Débuts (1994-1998) Tajiri s'entraîne auprès de Kendo Nagasaki et commence sa carrière au Japon à l' (IWA Japan) le . En 1995, il part en tournée en Amérique où il a affronté Dan Severn pour le championnat du monde poids-lourds de la le mais il a perdu ce match. Il a aussi été au Mexique où il a travaillé au (CMLL) et son style de catch a été modifié à la suite de son passage, devenant un mélange du japonais et de mexicaine. De retour au Japon, il rejoint la (BJW), une fédération de catch hardcore, où il lutte en portant un masque sous le nom d'Aquarius. Il fait un bref passage aux États-Unis début avril où il participe à l'enregistrement de l'émission de la (WWF) RAW du où avec Ken Patterson il perd un match par équipe face aux Godwinns (Henry O. et Phineas I. Godwinn). Le , il devient champion des poids lourds-légers du CMLL après sa victoire sur Dr. Wagner Jr. au cours d'un spectacle de la BJW, ce règne prend fin huit jours plus tard dans un match revanche et cesse d'utiliser ce nom de ring. En , il participe au tournoi organisé par la où il remporte trois matchs dans la phase de groupe face à , Shinjirō Ōtani et . Le , il retourne à la WWF où il perd face à Taka Michinoku. Il fait ensuite équipe avec avec qui il devient champion par équipe de la BJW le et perdent ce titre le face à et Gedo. Entretemps, il est retourné à la WWF où il a perdu face à Brian Christopher le puis face à Taka Michinoku la semaine suivante. Le , il récupère avec Yamakawa le championnat par équipe de la BJW après leur victoire face à Jado et Gedo. Le , il devient le premier champion du monde poids-lourds junior de la BJW après avoir remporté un tournoi où il a affronté Gedo en finale. Avec Ryuji Yamakawa, ils perdent le championnat par équipe le ; Tajiri perd son titre de champion du monde poids-lourds junior le . À partir du mois d'avril, il part au Mexique où il travaille au CMLL. Extreme Championship Wrestling (1998-2001) En , il rejoint l' (ECW). Il y fait son premier match le qu'il remporte son match face à . Le à , il bat Super Crazy. Il commence alors une rivalité qui le voit perdre six jours plus tard à . Ceci s'est conclu le à par la victoire de Super Crazy dans un match qui a reçu un vive ovation du public présent ce soir là. Le , il perd face à Little Guido à . Le à il affronte le champion du monde poids-lourds de l'ECW Taz dans un match pour le titre et perd ce match tout comme celui qui est diffusé à ECW on TNN le . En fin d'année, il reprend sa rivalité avec Super Crazy et Little Guido et remporte un match à élimination les opposant tous les trois le à . Le à il fait équipe avec Super Crazy avec qui il remporte leur match par équipe face à Little Guido et Jerry Lynn. Mais cette victoire ensemble ne marque pas la fin de la rivalité et donne lieu à deux . Le premier a lieu le où Super Crazy obtient la victoire par tombé après avoir fait passer son adversaire à travers une table. Le second est lui remporté par Tajiri le . Il participe au tournoi pour désigner le champion du monde télévision de l'ECW où il est éliminé au cours d le au premier tour par le . Super Crazy remporte ce tournoi face à Rhino et cela malgré l'intervention de Tajiri au cours de la finale à . Le , Super Crazy défend son titre avec succès face à Tajiri dans un après l'avoir fait passer à travers une table. Il remporte finalement le titre le dans un où il a éliminé ses deux adversaires. Son règne prend fin le après sa défaite face à Rhino. Le , il a un match revanche où Rhino conserve son titre. Il commence ensuite une rivalité avec Steve Corino avec avoir vaincu ce dernier le à . Le , les deux hommes s'affrontent à nouveau avec Jerry Lynn comme arbitre et ce dernier aide Corino à prendre sa revanche en refusant de donner la victoire à Tajiri par soumission, Corino l'emportant par tombé juste après. Le , l'ECW enregistre les émissions où a lieu le tournoi pour désigner les nouveaux champions du monde par équipe où Tajiri fait équipe avec Mikey Whipwreck et ont comme manager. Ils remportent le tournoi et le titre en éliminant Guido Maritato et Tony Mamaluke puis EZ Money et Julio DiNero et enfin bat Jerry Lynn et Tommy Dreamer ainsi que Johnny Swinger et Simon Diamond dans un match à trois à élimination en finale. Leur règne ne dure qu'une journée après leur défaite face à Guido Maritato et Tony Mamaluke au cours de l'enregistrement de l'émission du . World Wrestling Federation/Entertainment (2001-2005) Après la faillite de la ECW, Tajiri fut engagé par la World Wrestling Federation. Il a débuté en tant que face avec une gimmick d'assistant au commissaire de la WWF, William Regal. Après que Regal ait tourné heel en joignant The Alliance, Tajiri a eu une rivalité avec lui vers la fin 2001. Au même moment, il a commencé une relation à l'écran avec Torrie Wilson et a battu Chris Kanyon pour le titre U.S de la WWE. Il a perdu la ceinture en septembre contre Rhyno à Unforgiven. En 2002, la World Wrestling Federation a été renommée World Wrestling Entertainment et le roster s'est divisé en deux divisions, RAW et SmackDown. Tajiri, avec Torrie Wilson, a été repêché à SmackDown!. Il a viré heel en forcant Torrie à s'habiller comme une geisha contre sa volonté. Elle l'a ensuite abandonné et s'est allié avec le rival de Tajiri, Maven. Jaloux, Tajiri voulait se venger de Torrie en essayant de draguer Trish Stratus, mais celle-ci l'envoie balader. Durant les semaines suivantes, il perd contre Maven à cause de multiples interventions de Torrie. À Bad Blood 2002, il perd contre Maven, où Torrie Wilson était en jeu. Il ne laisse pas tomber et s'allie avec Tara contre Torrie et Maven. Il remporte deux Tag Team de suites contre Torrie et Maven mais à SummerSlam ils perdent contre Torrie et Maven à cause de Tara qui a giflé Tajiri et l'a laissé tomber en plein match. Tajiri a gagné le championnat poids-léger de la WWE à deux reprises en 2002 et 2003 et a formé un clan pendant peu de temps avec Akio et Sakoda nommé Kyo Dai. Peu de temps après, il fait un Face Turn et remporte les ceintures par équipe avec Eddie Guerrero en battant la Team Angle dans un Ladder match à Judgement Day 2003. Ils perdront le titre deux semaines plus tard dans un épisode de SmackDown. Lors du Draft de 2004, Tajiri est envoyé à RAW. Il rivalise avec l'Evolution, Eric Bischoff et Vince McMahon, entre autres. Le , il participe au Royal Rumble 2004. Il fut éliminé par Rhyno alors qu'il portait sa Tarantula à Mark Henry. Le , il gagne les titres par équipe avec William Regal en battant La Résistance Au Japon. Après avoir battu plusieurs fois La Résistance, Tajiri et Regal lancent un défi à « n'importe quelle équipe dans le monde ». La semaine suivante lors de RAW, ils ont défendu avec succès dans un match contre les Heart Throbs qui débutaient. Leur règne s'est terminé le , à Backlash, quand ils ont été éliminés d'un tag team turmoil match par La Résistance. À l'occasion du PPV One Night Stand, William Regal se joint à la faction ECW au détriment de Tajiri qui y participera en perdant un Tree-Way Dance contre Super Crazy et Little Guido. Fin 2005, Tajiri a formé une équipe avec Eugene avant de quitter la WWE en décembre. Son dernier match sera une défaite face à Gregory Helms à Heat. Tajiri a fait une apparition à One Night Stand 2006 en perdant un match en équipe avec Super Crazy contre les FBI. Japon (2007-présent) Depuis 2007, il travaille pour HUSTLE. Le , il bat Hikaru Sato et remporte le AJPW World Junior Heavyweight Championship. Total Nonstop Action Wrestling (2014) La Total Nonstop Action Wrestling annonce les débuts de Tajiri le lors d'un NYC Gold Rush Tournament en battant Robbie E. Le à Impact, il perd un fatal-5 Way match impliquant Abyss, Mr. Anderson, MVP et Austin Aries au profit de ce dernier. Lors de Bound for Glory 2014, il gagne avec The Great Muta contre James Storm et The Great Sanada. Wrestle-1 (2014-2016) Le , il bat Minoru Tanaka et remporte le EWP Intercontinental Championship. Une semaine plus tard, il perd contre Minoru Tanaka et ne remporte pas le Wrestle-1 Cruiser Division Championship. Le , il perd le EWP Intercontinental Championship contre Minoru Tanaka dans un match ou le Wrestle-1 Cruiser Division Championship était également en jeu. Après le match, les Desperado se retournent contre lui et l'expulsent du groupe. Le , lui, Kaz Hayashi et Minoru Tanaka battent Jackets (Jiro Kuroshio, Seiki Yoshioka et Yasufumi Nakanoue) et remportent les vacants UWA World Trios Championship. Le , ils perdent les titres contre Andy Wu, Daiki Inaba et Seiki Yoshioka. Retour à la World Wrestling Entertainment (2016-2017) Cruiserweight Division et départ (2016-2017) Le , Tajiri annonce sa participation au WWE Cruiserweight Classic. Le , il bat Damian Slater et se qualifie pour le second tour du tournoi. Le , Tajiri se fait éliminer du tournoi par Gran Metalik. Il fait son retour le à NXT en équipe avec Akira Tozawa en perdant contre #DIY (Johnny Gargano et Tommaso Ciampa) et ils ne remportent pas les NXT Tag Team Championship. Le à 205 Live, il bat Sean Maluta et s'attaque a The Brian Kendrick. Le en dark match de NXT, il gagne avec Shinsuke Nakamura contre Samoa Joe et Bobby Roode. En , Tajiri se blesse au genoux et est écarté des rings. Le à 205 Live, il attaque The Brian Kendrick. En , les fans attende un retour sur le ring, retour qui ne se fera jamais car le , Tajiri annonce a ces fans sur Twitter que la WWE a décidé de le libéré de son contrat. A 46 ans, la WWE a considéré qu'il était trop risqué qu'il remonte sur le ring. Ayant été libéré de son contrat plus tôt que prévu, Tajiri mentionne qu'il pouvait être coach a NXT. Ayant aucun regret il déclare qu'il préfère retourner au Japon en tant que catcheur. Il remercie Triple H de lui avoir donné une deuxième chance à la WWE. Retour à la All Japan Pro Wrestling (2017-...) Le , il bat Jun Akiyama et remporte le Gaora TV Championship. Le 26 juin, lui, Hokuto Omori et Yusuke Kodama battent Black Menso~re, Carbell Ito et Takao Omori et remportent les AJPW TV Six Man Tag Team Championship. Caractéristiques Prise de finition Buzzsaw Kick Brainbuster(ECW) Prise favorites Superkick Spinning heel-Kick Tarantula (Rope hung Boston crab) (créateur) Green Mist Handspring Back Elbow Smash Managers Cyrus William Regal The Sinister Minister Torrie Wilson Jack Victory Akio Sakoda Steve Corino Banzai Chie Équipes et Clans Kaientai DX (1996-1998) Network (1999-2000) The Unholy Alliance (2000-2001) Mikey Whipwreck et Yoshihiro Tajiri (2000-2001) Tajiri et William Regal (2001-2005) Kyo Dai (2003-2004) Desperado (2013-2015) Total Eclipse (2021-...) Surnoms "The Japanese Buzzsaw" "Hustle Buzzsaw" Thèmes Musicaux Palmarès 1 fois Gaora TV Championship 1 fois AJPW TV Six Man Tag Team Championship avec Hokuto Omori et Yusuke Kodama 2 fois AJPW World Junior Heavyweight Championship Jr. Tag Battle of Glory (2018) avec Koji Iwamoto Big Japan Pro Wrestling 1 fois BJW World Junior Heavyweight Championship 2 fois BJW World Tag Team Championship avec Ryuji Yamakawa Combat Zone Wrestling 1 fois CZW World Heavyweight Championship Consejo Mundial de Lucha Libre 1 fois CMLL World Light Heavyweight Championship European Wrestling Association 1 fois EWA Intercontinental Championship (actuel) Extreme Championship Wrestling 1 fois ECW World Television Championship 1 fois ECW Tag Team Championship avec Mikey Whipwreck Fight Club Finland 2 fois FCF Finnish Heavyweight Championship International Wrestling Association 1 fois IWA Hardcore Championship World Wrestling Entertainment 1 fois WCW United States Champion 3 fois WWE Cruiserweight Champion 1 fois WWE Light Heavyweight Champion 1 fois WWE Tag Team Champion avec Eddie Guerrero 1 fois World Tag Team Champion avec William Regal Wrestle-1 1 fois EWP Intercontinental Championship 1 fois UWA World Trios Championship avec Kaz Hayashi et Minoru Tanaka Wrestling New Classic 1 fois WNC Championship Jeux Vidéos Tajiri est apparu dans 16 jeux vidéos tout au long de sa carrière, et sera dans le roster du jeu The Wrestling Code. Il est apparu dans : WWE With Authority Wrestle Kingdom 2 Fire Pro Wrestling 2 WWE Wrestlemania X8 WWE Wrestlemania XIX ECW Hardcore Revolution ECW Anarchy Rulz WWE Raw WWE Raw 2 WWE Day of Reckoning 2 WWE Wrestlemania 21 WWF SmackDown : Just Bring It WWE SmackDown : Shut Your Mouth WWE SmackDown : Here Comes The Pain WWE SmackDown vs Raw WWE SmackDown vs Raw 2006 Récompenses des magazines Notes et références Notes Références Liens externes Catcheur japonais Naissance en septembre 1970 Naissance à Yokohama Promoteur de catch Catcheur hardcore Catcheur de l'Extreme Championship Wrestling Catcheur de la World Wrestling Federation Catcheur de la World Wrestling Entertainment Catcheur de la Combat Zone Wrestling
Équipe de Suisse de football en 1951
Cet article présente les résultats de l'équipe de Suisse de football lors de l'année 1951. En novembre, elle dispute son premier match à Lugano. Bilan Matchs et résultats Liens externes Statistiques de l'équipe de suisse de football Bibliographie 1951 Équipe nationale de football en 1951 Suisse
Jean Thomas (football)
Jean Thomas est un footballeur français né le à Toulouse et mort le à Avignon. Biographie Il évolue dans les années 1950 à Montpellier, puis à Troyes, et enfin à Limoges, où il est capitaine. Il est par la suite entraîneur, notamment de l'équipe de Chambéry (en étant champion de France amateur en 1962) et de l'Association Sportive de Muret. Après la fin de sa carrière de footballeur, il exerce, assisté de son épouse, la profession de kinésithérapeute à Toulouse jusqu'à l'âge de la retraite. En parallèle de cette seconde carrière, qu'il mène avec la même rigueur et la méme passion que celle de footballeur, il continue à œuvrer comme entraîneur notamment au sein de l'U.S. Colomiers Football et de l'AS Muret. Jean Thomas décède le à l'âge de 88 ans. Palmarès Finaliste de la Coupe de France en 1956 avec Troyes Champion de France amateur en 1962 avec Chambéry (comme entraîneur) Liens externes Notes et références Footballeur français Joueur du Limoges Football Club Joueur du Montpellier HSC Joueur de l'ES Troyes AC Entraîneur français de football Naissance en juin 1929 Naissance à Toulouse Décès en janvier 2018 Décès à Avignon Décès à 88 ans
Maison Yversen
La Maison Yversen est un monument historique de Gaillac, dans le département français du Tarn. Historique Cette maison fut la résidence de Jean d'Yversen, chargé d’affaires d’Henri II à Raguse puis à Constantinople auprès de Soliman le Magnifique (1557-1558). Premier consul de Gaillac et Capitaine de la Tour de Couffouleux, il joua un rôle de conciliateur durant les guerres de religion à Gaillac. Le bâtiment, très transformé au , a conservé quelques ouvertures de la Renaissance sur la façade de la rue de Foulcraud. Sa porte a été inscrite à l'inventaire des Monuments historiques en 1927. Notes et références Voir aussi Liste des monuments historiques du Tarn Gaillac Monument historique dans le Tarn Monument historique inscrit en 1927 Maison monument historique (France)
Viviane Madeleine Ondoua Biwolé
Viviane Madeleine Ondoua Biwolé, née le , est une universitaire et entrepreneuse camerounaise, experte des questions de gouvernance et de développement sur lesquelles elle a écrit plusieurs ouvrages. Biographie Viviane Madeleine Ondoua Biwolé, épouse Eloundou, est née le novembre 1971 à Bandjoun dans la région de l'Ouest au Cameroun. Elle passe son enfance dans différentes villes du Cameroun. Son père, militaire de profession et originaire de la région de l'Est, décède alors qu'elle est âgée de et élève en classe de cours moyen 2 à l'école du centre administratif de Yaoundé. Sa mère restée veuve, bénéficie de l'appui des affaires sociales du pays et, grâce à l'ancienne ministre Tsanga Delphine, obtient un emploi, un terrain communal à la communauté urbaine de Yaoundé et un crédit au Crédit foncier du Cameroun (CFC). Viviane Madeleine Ondoua Biwolé est mariée et mère d'une fille. Formation Viviane Ondoua Biwolé fait ses études secondaires et universitaires au Cameroun jusqu'à l'obtention de son doctorat. En 1995, elle obtient sa maîtrise en Sciences de gestion à l'Université de Yaoundé II. En 1996, elle obtient son DEA en finance à l' Université de Yaoundé II Soa. Elle soutient une thèse en sciences de gestion le 8 mai 2004 à l’Université de Ngaoundéré, sur le thème : Une évaluation des aides publiques à l’entrepreneuriat au Cameroun (1970-2000). En 2006, elle bénéficie d'une bourse de l'Agence universitaire de la francophonie, qui lui permet de faire un an à l'étranger pour préparer l'apprentissage à la publication des articles, des ouvrages... Elle devient professeur le 29 décembre 2017. Elle est promue au grade de Maître de conférences à la suite d'un changement de grade proposé par le Comité consultatif des institutions universitaires (CCIU) du Cameroun. Carrière professionnelle Viviane Ondoua Biwolé est enseignante à l’Université de Yaoundé II à Soa depuis 1998. Elle est ensuite recrutée en 1999 à l’ISMP (Institut Supérieur de Management Public), à la suite d'un concours spécifiquement féminin. Elle y enseigne pendant , de 1999 à 2019. En 2001, elle passe de professeur consultant stagiaire à professeur consultant, après une formation à l'École nationale d'administration publique de Québec. De 2007 à 2010, elle est inspectrice et inspectrice générale du ministère de la Fonction Publique. Puis de 2010 à 2019, elle occupe les fonctions de Directeur général adjoint de l’ISMP. Au bout de neuf années, elle démissionne de ce poste, conformément à la loi en vigueur au Cameroun. Viviane Ondoua Biwolé est la fondatrice du cabinet de formation et de recherche en management OBIV Solutions et fait de la recherche dans les domaines de l’entrepreneuriat, la gouvernance publique et la gestion des ressources humaines. Elle est également reconnue comme une experte et consultante en questions de gouvernance. En tant que maître de conférences, elle enseigne dans des universités camerounaises et est également professeur associée à l’Université de Yale (programme Epilamp). Elle est représentante de l' Afrique Centrale dans le groupe AGSA, du Fonds Monétaire International. Ouvrages La PME camerounaise et développement durable : défis-fondements et stratégie. Yaoundé, Editions CLE, 2012, «Au secours je suis patron » : que faire aux premières heures de la nomination? Yaoundé, Editions CLE, 2014 La budgétisation par programme en Afrique subsaharienne. Entre balbutiement et résistances. Yaoundé, Éditions CLE et NENA, 2015 Lois sur les établissements et entreprises publics au Cameroun. Innovations et reculades. Yaoundé, Afrédit, Africaine d'Edition, 2018. SCANDALES. Éléments de casuistique pour une viabilité organisationnelle au Cameroun. Yaoundé, Editions CLE, 2019. 100 Femmes de l'émergence du Cameroun: troublantes analyses. Yaoundé, Editions CLE. Publications scientifiques Impact de la pandémie du Covid-19 sur l'emploi au Cameroun (IPEC). Regard sur la situation de la femme et l'action syndicale. Yaoundé, 2020 Entrepreneuriat et développement durable: une comparaison canadienne, camerounaise et tunisienne, in G. Hénault and G. Lemoine (eds), dans Entrepreneuriat et développement durable et Francophonie aux Editions des archives contemporaines, collection Savoirs Francophones de l’AUF, Paris (2008), A Framework of SMEs’ Strategic Involvement in Sustainable. aux éditions Cheltenham, UK (2007). «Une évaluation des aides publiques à l’entrepreneuriat au Cameroun (1970-2000)», Thèse de Doctorat/Ph.D à l’Université de Ngaoundéré (2004). Notes et références Voir aussi Articles connexes Donatienne Moskolai Doumagay Liens externes Site officiel Naissance en novembre 1971 Naissance au Cameroun Personnalité féminine camerounaise Étudiant de l'université de Yaoundé II Étudiant de l'université de Ngaoundéré
Don Verdean
Don Verdean est une comédie américaine réalisée par Jared Hess, écrite par Jared et Jerusha Hess et sortie en 2015. Résumé Don Verdean, un archéologue, est engagé par un pasteur afin de trouver des reliques sacrées pour renouer le lien entre l'Église et les habitants. Devant la difficulté à trouver ces reliques qui sont très rares, Don Verdan se voit obligé d'improviser dans sa recherche. Fiche technique Titre original : Don Verdean Réalisation : Jared Hess Scénario : Jared et Jerusha Hess Production : Brandt Andersen, Jason Hatfield et Dave Hunter Production exécutive : Rick Lehman et Sam Rockwell Distributeur : Lionsgate Pays d'origine : Langue originale : anglais Genre : comédie Durée : 90 minutes Sortie : au Sundance Film Festival ; en VOD Distribution Sam Rockwell : Don Verdean Amy Ryan : Carol Jensen Will Forte : Pasteur Fontaine Danny McBride : Tony Lazarus Jemaine Clement : Boaz Steve Park : Poon-Yen Leslie Bibb : Joylinda Lazarus Sky Elobar : P.J. Boudousqué : Gary Yaniv Moyal : officier de police israélien Jared Shipley : technicien de laboratoire Logan Rogan : touriste Michael Flynn : représentant de l'église Pete Rockwell : propriétaire de magasin d'antiquités Harry Bonner : Vigile Mitch Hall : père Jake Van Wagoner : officier de police Brent Hunsaker : reporter Nicea DeGering : reporter Angel Martinez : Justin Chapman : pilote d'hélicoptère Stelios Xanthos : Shem Johnny Ahn : garde du corps asiatique Griffin Bonacci : patron d'église Harris Chandler : reporter Jeremy James : membre d'église Rex Jensen : patron d'église Brett Pendleton : visiteur d'église Tiffany Quilter : femme d'église Sortie Don Verdean a d'abord été projeté au Festival du film de Sundance le , puis il a été disponible en VOD le aux États-Unis. En France, c'est le que le film est sorti en VOD. Sources et liens externes Film de Lionsgate Comédie américaine Film critique envers la religion Film américain sorti en 2015
Réservoir Vartry
Le réservoir Vartry () est un lac de barrage à Roundwood dans le comté de Wicklow en Irlande situé sur le cours du fleuve Vartry. Il alimente l'agglomération de Dublin en eau courante et est géré par les autorités locales de la ville. Un premier réservoir est achevé en 1863 puis complété en 1924 par un second, en amont, pour accroître sa capacité. Vartry Vartry
RCN Novelas
RCN Novelas, anciennement RCN Telenovelas, est une chaîne de télévision payante latino-américaine d'origine colombienne, appartient au groupe RCN International et transmet son signal depuis le . Sa programmation est basée sur des feuilletons, des séries, des divertissements familiaux et des émissions dramatiques produites par RCN Televisión, années en cours et précédentes. En 2015, cette chaîne avait plus de quatre millions d'abonnés en Colombie et en Amérique latine. RCN Novelas est l'une des trois chaînes internationales de RCN avec signal en Amérique latine, avec NTN24 et Nuestra Tele Internacional. En , la commission nationale des télécommunications du Venezuela a censuré la diffusion de plusieurs chaînes colombiennes dont RCN Novelas. Le groupe RCN dénoncera de . Logotypes Références RCN Televisión Chaîne de télévision en Colombie
Matthew Holmes (cyclisme)
Matthew “Matt” Holmes, né le à Wigan en Angleterre, est un coureur cycliste britannique, membre de l'équipe Lotto-Soudal. Biographie Fin , il est présélectionné pour représenter son pays aux championnats d'Europe de cyclisme sur route. En 2020, il est sélectionné pour représenter son pays aux championnats d'Europe de cyclisme sur route organisés à Plouay dans le Morbihan. Il se classe vingt-cinquième de la course en ligne. Palmarès 2016 Totnes Vire Two Day 2017 du Lincoln Grand Prix 2018 Danum Trophy 2019 National Road Series Britain Richard James Taylor Road Race : Classement général (contre-la-montre) Manx International Stage Race : Classement général (contre-la-montre) et 2020 du Tour Down Under Résultats sur les grands tours Tour d'Italie 1 participation 2020 : Tour d'Espagne 1 participation 2021 : hors-délai () Classements mondiaux Notes et références Liens externes Coureur cycliste anglais Naissance en décembre 1993 Naissance à Wigan
Rue de l'Opale
Plusieurs villes ou communes possèdent une avenue ou une rue de l'Opale : Belgique Avenue de l'Opale à Bruxelles Canada Rue de l'Opale à Québec France Rue de l'Opale à Castelnau-le-Lez Rue de l'Opale à Joué-lès-Tours Rue de l'Opale à Montpellier Voir aussi Opale
Chef de police
Chef de police, en , est le titre donné à un fonctionnaire nommé ou élu dans la chaîne de commandement d'un service de police, en particulier en Amérique du Nord. Un chef de police peut également être connu sous le nom de ou parfois simplement de chief, alors que certains pays privilégient d'autres titres comme . Un chef de police est nommé par un gouvernement national ou local et est responsable devant lui, à l'exception des shérifs élus aux États-Unis. Missions Le rôle précis d'un chef de police varie selon les pays et parfois au sein d'un même pays. Plus une force ou un service de police est important, plus il est probable que certaines fonctions sont déléguées à des officiers de rang intermédiaire. La liste suivante donne une idée générale des actions et des responsabilités de tout chef de police. Surveillance du fonctionnement et du budget d'un service Contrôle des agents Mesures disciplinaires limitées à prendre en cas d'infraction aux politiques, règles, règlements, lois ou ordonnances. Révocation totale ou sanction lourde des fonctions de l'agent ; ces pouvoirs varient selon le service. Promotion et classement des officiers. Production et développement des politiques et des règlements du département. Liaison avec les gouvernements qui supervisent et financent le ministère. Dans les petits services de police, entretien et mise à jour de l'équipement du service, tel que les véhicules de police, les armes, le matériel de communication et les uniformes. Dans les plus petits services de police, le chef peut également exercer les mêmes fonctions que les agents réguliers (patrouille, enquêtes, etc.). Les chefs de police sont généralement des policiers assermentés, portent donc un uniforme de police et ont le pouvoir d'arrestation, bien qu'il y ait des exceptions. En pratique, leur travail est administratif dans tous les services de police, sauf les plus petits. Les rares occasions où les chefs de police procèdent à des arrestations ont fait l'objet d'une couverture médiatique. En 2014, Bernard Hogan-Howe a poursuivi un groupe de fraudeurs et a procédé à une arrestation. Un chauffeur de taxi avait demandé l'aide de Bernard Hogan-Howe, ignorant qu'il était le directeur du Metropolitan Police Service. En 2017, le chef du Los Angeles Police Department, Charlie Beck, arrête un policier soupçonné d'avoir commis une infraction sexuelle. Canada Le , en , est le titre le plus courant pour l'officier le plus haut placé dans un service de police canadien. Les exceptions sont : la Gendarmerie royale du Canada (commissaire), la Police provinciale de l'Ontario (commissaire), le (officier en chef), le Vancouver Police Department (), le (), la ville de Québec (directeur) et la Sûreté du Québec (directeur général). Dans la province de l'Ontario, un chef de police doit être un agent de police assermenté et donc avoir suivi une formation au ou avoir effectué une période probatoire au sein d'une autre force de police reconnue (comme l'académie de la Gendarmerie royale du Canada appelée Depot). Cette exigence est inscrite dans la loi sur les services de police de l'Ontario. La loi stipule dans son article deux qu'un chef de police est un agent de police. L'article 44.2 de la LSP définit les exigences en matière de formation. Il y a eu un cas dans le service de police de Guelph, en Ontario, où un gestionnaire des ressources humaines a été promu au poste de chef adjoint mais a dû suivre une formation au CPO. Le candidat est sélectionné par un conseil des services de police. Chef adjoint Les grades inférieurs au chef sont : chef adjoint (), chef de police adjoint () et commissaire adjoint () ou directeur associé ( - Québec). Références Articles connexes Chef du Los Angeles Police Department Source de la traduction Police aux États-Unis Grade de la police
Derry GAA
Le Derry GAA est une sélection sportive irlandaise basée dans la province de l'Ulster et pratiquant les sports gaéliques : hurling, football gaélique et camogie. Le Derry GAA évolue au Celtic Park ( places) situé à Derry. Histoire Les origines Au cours de l'année de la fondation de la GAA en 1884, de nombreux clubs furent créés dans le comté de Derry, mais la création d'un conseil gérant l'organisation des compétitions de sports gaéliques ne verra pas le jour avant 1888, date de l'affiliation officielle du comté de Derry à la GAA. Dès l'année suivante, on compte 14 clubs en activité, un nombre jugé suffisant par le président de la GAA, Maurice Davin, pour la création du board de Derry. Durant les premières décennies du (avant les années 1930) , les compétitions de clubs du Derry GAA, compte tenu du nombre trop faible d'équipes dans le comté, étaient contraintes d'inviter des clubs affiliés aux comtés voisins du Donegal et de Tyrone GAA. En plusieurs occasions, des clubs de South Derry, ont aussi disputés les championnats de Antrim GAA . , mais les troubles politiques des années 1910 jusqu'au début des années 1920 vont interrompre le fonctionnement du board jusqu'à sa re-fondation provisoire en 1926 qui ne sera définitive qu'en 1929. Il n'a plus jamais cessé d'exister depuis lors. En compétition de football inter-comté C'est en 1947 que Derry remporte son premier titre majeur en dominant Clare (2-09/2-05) en finale de la National Football League, Francie Niblock inscrit à cette occasion l'un des plus beaux buts de l'histoire de la compétition à Croke Park. En 1958, Derry devient champion d'Ulster pour la première fois de son histoire en battant Down(1-11/2-04), qualifié pour sa première demi-finale de All-Ireland, Derry crée la sensation en dominant Kerry d'un petit point (2-06/2-05) grâce à un but inscrit par Seanie O'Connell à trois minutes de la fin du match. Le , Derry dispute donc, moins de trente ans après la re-fondation du board, sa première finale de championship, Owen Gribben inscrit pour Derry, le premier but de la rencontre après dix minutes en deuxième mi-temps, mais Dublin, par l'intermédiaire de Paddy Farnan et Johnny Joyce, s'impose finalement (2-12/1-09). Derry devra patienter 25 ans avant de pouvoir à nouveau prétendre soulever la Sam. En 1965 Derry décroche son premier All-Ireland minor face à Kerry, trois ans plus tard, l'ossature de l'équipe minor connait un nouveau sacre en remportant le All-Ireland de la catégorie des moins de 21 ans. Les seniors du comté remporteront le championnat d'Ulster à trois reprises dans le courant des années 1970 (1970, 1975 et 1976), échouant à chaque fois en demi finale du All-Ireland (deux fois face à Kerry et contre Dublin). En 1973 Anthony McGurk devient le premier joueur de Derry à être nommé dans l'équipe All-star de l'année de la GAA. Les années 1980 voient les "oak leafs" remporter deux All-Ireland Minor supplémentaires (en 1983 et 1989) ainsi qu'un cinquième titre en Ulster (1987 contre Armagh). La décennie 1990 reste comme la plus glorieuse pour Derry, avec un second titre de League en 1992 (victoire sur Tyrone en finale), et surtout le titre suprême, le All Ireland, que le comté parvient à décrocher le , en prenant le meilleur sur Cork (1-14/2-08). Derry ajoute deux Leagues à son palmarès en remportant consécutivement les éditions 1995 et 1996. En 1998 Derry bat Donegal (1-07/0-08) en finale du championnat d'Ulster, il s'agit de leur dernier titre provincial à ce jour . L'équipe de Derry des années 1990 est considérée comme l'une des plus brillantes des trente dernières années, avec en son sein, des joueurs aussi talentueux que Enda Gormley, Tony Scullion, Damien Cassidy, Henry Downey (nommé footballeur de l'année en 1993), ou encore l'attaquant Joe Brolly aujourd'hui consultant pour la chaîne de télévision nationale, RTÉ. En 2000, Derry s'empare de sa cinquième National Football League, une compétition que le comté gagnera une nouvelle fois en 2008 (contre Kerry en finale). Les premières années du semblent marquer un déclin relatif pour le Derry GAA, bousculé par l'émergence de Tyrone et Donegal, mais l'année 2013 amorce un retour au premier plan avec le titre de Division 2 en National Football League, accompagné de la promotion en D1 que le comté avait quittée en 2010. Effectif de Derry GAA 2013 Staff technique Damian Cassidy, (Bainisteoir) Manager-entraineur Kevin Madden, Sélectionneur Martin McConnell, Sélectionneur Brendan McCrory, Sélectionneur Joueurs de football All-Stars 19 joueurs de Derry ont été All-stars. 2007 : Kevin McCloy, Paddy Bradley 2004 : Enda Muldoon 2000 : Anthony Tohill, Kieran McKeever 1998 : Seán Marty Lockhart 1997 : Joe Brolly 1996 : Joe Brolly 1995 : Tony Scullion, Anthony Tohill 1993 : Tony Scullion, Johnny McGurk, Henry Downey, Gary Coleman, Anthony Tohill, Brian McGilligan, Enda Gormley 1992 : Tony Scullion, Anthony Tohill, Enda Gormley 1987 : Tony Scullion, Brian McGilligan 1984 : Dermot McNicholl 1975 : Peter Stevenson, Anthony McGurk, Gerry McElhinney 1973 : Anthony McGurk 1967 : Sean O'Connell A. Cú Chulainn Award Palmarès de football gaélique All-Ireland Senior Football Championships : 1 1993 National Football League Championships : 6 1947, 1992, 1995, 1996, 2000, 2008 Ulster Senior Football Championships : 7 1958, 1970, 1975, 1976, 1987, 1993, 1998 Dr Lagan Cups : 6 1945, 1947, 1950, 1953, 1959, 1961 All-Ireland Under-21 Football Championships : 2 1968, 1997 Ulster Under 21 Football Championships : 7 1967, 1968, 1976, 1983, 1986, 1993, 1997 All-Ireland Minor Football Championships : 4 1965, 1983, 1989, 2002 Ulster Minor Football Championships : 14 1965, 1969, 1970, 1980, 1981, 1983, 1984, 1986, 1989, 1990, 1995, 2000, 2002 Palmarès de hurling Nicky Rackard Cup 2006 All-Ireland 'B' Senior Hurling Championships : 1 1996 Ulster Senior Hurling Championship : 4 1903, 1908, 2000, 2001 Ulster Under 21 Hurling Championships : 6 1986, 1987, 1993, 1997, 2007, 2008 Ulster Minor Hurling Championships : 9 1974, 1979, 1980, 1981, 1982, 1983, 1990, 1991, 2001 Notes et références Lien externe Site officiel du comté Équipe de Hurling Équipe de football gaélique Sport à Londonderry
National Association of Base Ball Players
La National Association of Base Ball Players (NABBP) fut la première fédération de clubs de baseball formée aux États-Unis. Histoire La première convention de clubs a lieu à New York le avec une douzaine de clubs de Brooklyn et de New York. Un championnat non officiel est mis en place. Il est remporté par les Brooklyn Atlantics. Le , la National Association of Base Ball Players (NABBP) est créée à New York par seize clubs toujours originaires de Brooklyn et New York. De Brooklyn : Brooklyn Atlantics, Bedford, Continental, Eckfords, Excelsior, Harmony, Nassau, Olympic, Putnam ; De Morrisania (de nos jours dans le Bronx) : Union ; De New York (dans ses frontières de 1857) : Baltic, Eagle, Empire, Gotham, Harlem et New York Knickerbockers. Contrairement à ce que pourrait suggérer le nom de la NABBP, cette dernière fédère bien des clubs et pas des joueurs. Le premier club en dehors des limites actuelles de New York a rejoindre la NABBP fut le Liberty club de New Brunswick (New Jersey). En 1865, la NABBP compte une centaine de clubs affiliés ; 400 en 1867. En raison de cette rapide croissance après la Guerre de Sécession, des comités régionaux furent mis en place à travers tout le pays en 1868. Fondée sur le principe d'amateurisme, la NABBP ne réagit pas vraiment quand émergent les premiers cas de joueurs rémunérés au milieu des années 1860. Elle autorisa même officiellement cette pratique en 1869 à la suite d'un vote en décembre 1868, et douze clubs se déclarèrent professionnels dès cette année. Des conflits éclatèrent alors entre amateurs et professionnels à propos du championnat menant à la création en 1871 d'une compétition exclusivement professionnelle : la National Association of Professional Base Ball Players. La NABBP hérita alors, de facto, du statut de fédération de baseball amateur pendant deux ans avant d'éclater en structures régionales. Palmarès 1857 : Brooklyn Atlantics (non officiel) 1858 : New York Mutuals (non officiel) 1859 : Brooklyn Atlantics 1860 : Brooklyn Atlantics 1861 : Brooklyn Atlantics 1862 : Eckford of Brooklyn 1863 : Eckford of Brooklyn 1864 : Brooklyn Atlantics 1865 : Brooklyn Atlantics 1866 : Brooklyn Atlantics 1867 : Union of Morrisania 1868 : New York Mutuals 1869 : Brooklyn Atlantics 1870 : Chicago White Stockings Bibliographie Block David, Baseball Before We Knew It: A Search For The Roots Of The Game, University of Nebraska Press, 2005. Goldstein Warren, Playing for Keeps: A History of Early Baseball, Cornell University Press, 1991. Seymour Harold, Baseball : The Early Years, Oxford University Press, 1960. Wright, Marshall D., The National Association of Base Ball Players, 1857-1870, McFarland & Company, 2000. Notes Baseball aux États-Unis
Sodus Point
Le village de Sodus Point est situé dans le comté de Wayne dans l'État de New York, au bord du lac Ontario. Il fait partie de la ville de Sodus. Lors du recensement de 2010, sa population s'élevait à 900 habitants. Comté de Wayne (New York) Village dans l'État de New York
Lymnaeidae
Les Lymnaeidae (les limnées ou lymnées) sont une famille d'escargots pulmonés d'eau douce caractérisés par une coquille dextre et par une unique paire de tentacules triangulaires. Liste des sous-familles Selon : Lancinae Lymnaeinae Selon : Amphipepleinae Pini, 1877 Lancinae Hannibal, 1914 Lymnaeinae Rafinesque, 1815 Liste des genres Selon : Aenigmomphiscola Austropeplea Bulimnea Bullastra Catascopia Ferissia Fossaria Galba - dont Galba truncatula, la limnée tronquée ou petite limnée Hinkleyia Kutikina Lanx Lymnaea Myxas - dont Myxas glutinosa, la limnée cristalline Omphiscola Pseudosuccinea Radix - dont Radix peregra, la limnée voyageuse Stagnicola Selon : Catascopia Meier-brook & Bargues, 2003 Galba Schrank, 1803 Lymnaea Lamarck, 1799 Myxas Sowerby, 1822 Omphiscola Rafinesque, 1819 Pseudosuccinea Baker, 1908 Radix Montfort, 1810 Stagnicola Jeffreys, 1830 Notes et références Liens externes Famille de gastéropodes (nom scientifique) Taxon fossile décrit par Jean-Baptiste de Lamarck Taxon décrit en 1799
Ǿ
Ǿ (minuscule : ǿ), appelé O barré obliquement accent aigu, est une lettre utilisée dans les alphabets danois ou koonzime. Elle est formée de la lettre O barré obliquement diacritée d’un accent aigu. Utilisation Représentations informatiques Le O barré obliquement accent aigu peut être représente avec les caractères Unicode suivants : précomposé (supplément latin-1) : décomposé (latin de base, diacritiques) : Voir aussi Alphabet latin Ø Accent aigu Lettre O diacritée Lettre latine comportant un accent aigu id:Aksen tirus#Ǿǿ
The Moon and the Son: An Imagined Conversation
est un film d'animation américain réalisé par John Canemaker et sorti en 2005. Synopsis La conversation imaginée entre un fils et son père italo-américain récemment mort, dans une combinaison d'animation, de films et de photos. Fiche technique Réalisation : John Canemaker Scénario : John Canemaker, Joseph Kennedy et Peggy Stern Musique : Ron Sadoff Durée : 28 minutes Date de sortie : Distribution John Turturro : le fils Eli Wallach : le père Mary Bringle : la mère Nominations et récompenses 2006 : Oscar du meilleur court métrage d'animation lors de la 78e cérémonie des Oscars Notes et références Liens externes www.nytimes.com Film américain sorti en 2005 Film d'animation américain Oscar du meilleur court métrage d'animation
Coupe de la confédération 2015
La Coupe de la confédération 2015 est la de la Coupe de la confédération seconde compétition africaine de clubs mettant aux prises les meilleures formations non qualifiées pour la Ligue des champions de la CAF. Al-Ahly SC est le tenant du titre, et après s'être qualifié pour la Ligue des champions de la CAF 2015, il est entré dans la Coupe de la Confédération 2015 après avoir perdu au deuxième tour de la Ligue des champions. L'ES Sahel de Tunisie a remporté la compétition pour la deuxième fois de son histoire, après une victoire cumulée 2-1 contre les Orlando Pirates FC d'Afrique du Sud en finale. Primes monétaires Les primes monétaires de l'édition 2015 sont distribués aux clubs terminant dans les 8 premiers, comme suit: Participants Théoriquement, jusqu'à 56 fédérations membres de la CAF peuvent entrer dans la CAF Champions League 2014. Les les mieux classés en fonction du Classement 5-Year de la CAF peuvent également inscrire par compétition. Pour la compétition de cette année, la Confédération africaine de football va utiliser Classement 5-Year de la CAF d'entre 2007 et 2011. En conséquence, 56 clubs ont pu entrer dans le tournoi. Ci-dessous le schéma de qualification pour la compétition. Les nations sont affichées en fonction de leur Classement 5-Year de la CAF : Tour préliminaire Neuf équipes sont exemptes lors de ce tour : Les matchs aller se jouent les 13, 14 et alors que les matchs retour se jouent les 27, et . |} Premier tour Les matchs aller se jouent les 13, 14 et alors que les matchs retour se jouent les 3, 4, . |} Deuxième tour Les matchs aller se jouent les 17, 18 et alors que les matchs retour se jouent les 1, 2, . |} Barrage Les vainqueurs avancent en barrage contre les perdants du Huitièmes de finale de la Ligue des champions 2015 (indiqués en italique). Ces derniers jouent à domicile lors du match aller. Le tirage au sort aura lieu le au Caire. Les matchs aller se jouent les 15,16 et alors que les matchs retour se jouent les 5,6 et . |} Phase de groupes Le tirage au sort s'est déroulé au Caire le à 12:00 GMT. Groupe A |} Groupe B |} Phase finale Demi-finales Finale Vainqueur Notes et références Voir aussi Articles connexes Ligue des champions de la CAF 2015 Liens externes Résultats complets sur RSSSF 2015 2015 en Afrique Football en 2015
Albert Pisapia
Albert Pisapia, né le à Marseille et mort le dans la même ville, est un joueur de pétanque français. Biographie Albert Pisapia est une légende du Mondial La Marseillaise avec sept titres, ce qui en fait le joueur le plus titré de cette compétition (victoire en 1964, 1966, 1971, 1979, 1982, 1985 et 1990) devant Jean-Marc Foyot (six titres). Il a été aussi une fois champion de France en 1962 en triplette. Clubs ?-? : Pétanque Gazélec Marseille (Bouches-du-Rhône) Palmarès Séniors Championnats de France Champion de France Triplette 1960 (avec Jean Battesti et Vincent Bellantinio) : Pétanque Gazélec Marseille Mondial La Marseillaise Vainqueur 1964 (avec François Besse et Eugène Lubrano) 1966 (avec François Besse et Charles Simon) 1971 (avec Gabriel Binder et Pierre Brocca) 1979 (avec Roger Capeau et Emile Chavillon) 1982 (avec Jean-Pierre Ferret et Eugène Lubrano) 1985 (avec Noël Bengler et Daniel Tescier) 1990 (avec Fernand Moraldo et Adrien Schatz) Records Sept Mondial La Marseillaise. Notes et références Notes Références Liens externes Joueur français de pétanque Champion de France de pétanque Naissance en mars 1923 Naissance à Marseille Décès en mars 2012 Décès dans le 13e arrondissement de Marseille Décès à 88 ans Article à illustrer Pétanque
Kisbouga
Kisbouga est une localité située dans le département de Comin-Yanga de la province du Koulpélogo dans la région Centre-Est au Burkina Faso. Géographie Histoire Démographie Économie Santé et éducation Le centre de soins le plus proche de Kisbouga est le centre de santé et de promotion sociale (CSPS) de Comin-Yanga tandis que le centre médical avec antenne chirurgicale (CMA) se trouve à Ouargaye. Le village possède une école primaire publique. Annexes Notes et références Liens externes Articles connexes Ville dans le département de Comin-Yanga
Jean Aubert
Jean Aubert peut désigner : Jean Aubert (15..-1650), un professeur de grec au collège royal de France, recteur de l'Université de Paris ; Jean Aubert (v. 1680-1741), un architecte français ; Jean Aubert (1894-1984), un ingénieur et président de société français ; Jean Aubert (1921-), un écrivain français ; Jean Aubert, un joueur français de rugby à XIII ; Jean Aubert (1923-2010), un footballeur et entraîneur de football français ; Jean Aubert, un chirurgien et gouverneur de la Guadeloupe de 1640 à 1643.
Christoph Theusner
Christoph Theusner, né le à Berlin-Est, est un auteur-compositeur-interprète, compositeur de musiques de film et guitariste allemand. Il a fondé le groupe de musique Bayon. Biographie Christoph Theusner vit à Weimar, il a quatre enfants dont la peintre Ulrike Theusner. Theusner a appris à jouer de la guitare et du luth dès l'âge de cinq ans avec son père, le musicien Egon Theusner. Il a ensuite fréquenté l'école de musique de Köpenick et a appris le piano. Après des études d'architecture à l'université Bauhaus de Weimar dont il est diplômé en 1974, il n'a jamais travaillé comme architecte et se consacre directement à sa carrière musicale. À Weimar, Theusner fonde d'abord le groupe de jazz-rock Garage Players, puis au contact d'étudiants du Cambodge et de Cuba, il fonde avec Michael Lehnhardt et Sam Ay Neou le groupe Bayon. Depuis 1975, Theusner écrit aussi de la musique pour le cinéma et le théâtre. En 2006, Stell dich mitten in den Regen un titre de Bayon sorti en 1974 est utilisé dans le film La Vie des autres. Depuis 2007 Theusner est compositeur et chef d'orchestre au Théâtre de Neustrelitz. Discographie Albums studio / Vinyles 1977 : Bayon (Amiga) 1980 : Suite (Amiga) 1980 : Echos (Amiga) 1982 : Sonido (Amiga) 1989 : Echos – Klangbilder CDs 1992 : Rock aus Deutschland OST – Vol.18 – Bayon 1995 : Walkin’ Home 1996 : Movens In Carmine – Herder 1997 : Die Suiten 1997 : Gespräch über den Dächern – W. Borchert 2002 : Live 2005 : Das Beste 2006 : Nur wer die Sehnsucht kennt 2008 : Tanz der Apsara 2014 : Music for a while Singles 1977 : Lautensuite / Haus der Kindheit (Amiga) Musiques de film Musiques de film 1988 : Dschungelzeit 1990 : Biologie! Liens externes Site officiel Site internet de Bayon Naissance en août 1948 Naissance à Berlin-Est Auteur-compositeur-interprète allemand Guitariste allemand
M77
M77 ou M.77 peut désigner : Armement M777 howitzer, un fusil léger américain ; Zastava M77, un fusil d'assaut serbe. Sciences Astronomie M77, une galaxie spirale de la constellation de la baleine. Médecine Autres enthésopathies, d'après la Classification internationale des maladies. Transports Autoroute Autoroute britannique M77 reliant Glasgow à Kilmarnock. Aviation , un avion construit dans les années 1950. Voir aussi Sigles d'une lettre suivie de deux chiffres
Frej Liewendahl
Frey Fritiof « Frej » Liewendahl (né le à Jomala et décédé le à Mariehamn) est un athlète finlandais originaire d'Åland spécialiste du 1 500 mètres et du 3 000 mètres. Affilié au Turun Urheiluliitto, il mesurait pour . Biographie Palmarès Records Liens externes Athlète finlandais Coureur de 1 500 mètres Coureur de 3 000 mètres Champion olympique d'athlétisme Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1924 Naissance en octobre 1902 Naissance à Jomala Décès en octobre 1966 Champion olympique finlandais
Friedrich von Hohenlohe
Friedrich von Hohenlohe (mort le ) est prince-évêque de Bamberg de 1344 à sa mort. Biographie Friedrich vient de la Maison de Hohenlohe. Cette maison est puissante, car, à la même époque, son frère Albrecht est évêque de Wurtzbourg de 1345 à sa mort en 1372 ; Albrecht a pour prédécesseur Gottfried III, son oncle, évêque de Wurtzbourg de 1314 à 1322. Au moment de l'élection de Friedrich von Hohenlohe comme prince-évêque, le pape est Clément VI et l'empereur Louis IV. Friedrich suit le pape qui soutient Charles IV élu roi des Romains le par cinq prince électeurs avec l’appui du pape contre Louis IV. Charles IV récompense Friedrich von Hohenloheen étendant l'évêché vers le sud et l'est, notamment en donnant les propriétés de la Maison de Schlüsselberg, éteinte après la mort au combat au château de Neideck de Konrad II von Schlüsselberg, soutien de Louis IV, en 1347. Pendant son épiscopat, les Juifs sont persécutés et expulsés en 1348, accusés de l'épidémie de peste. L'évêque récupère la propriété des Juifs expulsés de son territoire. À la place de la synagogue, il fait construire la . Les Juifs pourront revenir à Bamberg en 1365. L'épitaphe de Friedrich dans la cathédrale de Bamberg est remarquable, car il ne représente pas l'évêque idéalisé, mais comme un vieil homme, marqué par l'âge. Ce tombeau servira de modèle pour celui de Friedrich II von Truhendingen. Source, notes et références Évêque de Bamberg Évêque du XIVe siècle Décès en 1352 Friedrich
Lasker - Bauer
La partie d'échecs Lasker - Bauer est une remarquable partie d'échecs jouée à Amsterdam en août 1889 par Emanuel Lasker, futur champion du monde, et Johann Bauer, un maître autrichien. Contexte La partie est jouée tout au début de la carrière de Lasker, dans la première ronde du tournoi d'Amsterdam 1889, le premier tournoi international auquel il prend part. Lasker termine le tournoi en deuxième place, derrière Amos Burn et devant James Mason et Isidor Gunsberg entre autres. Bauer termine des neuf participants avec 3½/8. Le même sacrifice est survenu dans une partie antérieure, mais il n'était pas correct et Owen, qui offrait le sacrifice, a perdu la partie. Néanmoins, la partie peut avoir inspiré Lasker. Ce thème a été exploité dans des parties ultérieures, les plus notables étant les parties Aaron Nimzovitch - Siegbert Tarrasch, Saint-Pétersbourg, 1914 ; Tony Miles - Walter Browne, Lucerne, 1982; et Judit Polgar - Anatoli Karpov, Essent, 2003. Partie commentée Lasker - J. H. Bauer Amsterdam, Début Bird 1. f4 d5 2. e3 Cf6 3. b3 e6 4. Fb2 Fe7 5. Fd3!? b6 6. Cf3 Fb7 7. Cc3 Cbd7 8. 0-0 0-0 9. Ce2 c5? (diagramme) Une décision incompréhensible de nos jours. À cette époque, certaines notions se rapportant à ce début étaient mal connues. Cette partie montre justement ce qu'il ne faut pas faire. Les Noirs auraient dû échanger le Fd3 par 9...Cc5. 10. Cg3 Dc7 11. Ce5 Cxe5 Il est encore possible de maintenir l'équilibre en continuant par 11...g6 12. Cxd7 Cxd7 13. f5 Ff6! 12. Fxe5 Dc6 13. De2 a6? (diagramme) Coup joué pour positionner un cavalier en d7 sans être ennuyé par Fb5. Le coup 13...a6 permet une combinaison. 14. Ch5! Cxh5 Par le coup du texte, les noirs veulent réfuter les menaces découlant de 15. Dxh5 par f7-f5. Malheureusement pour eux, il n'y a plus de sauvetage possible, car Lasker a préparé : 15. Fxh7+! Rxh7 16. Dxh5+ Rg8 17. Fxg7!! (diagramme) La pointe de la combinaison à sacrifices ! Si f7-f6, alors la Tf1 monte sur la colonne f. Après la prise du fou, le roi est nu. Les autres pièces noires, en surnombre mais coincées derrière les pions, ne peuvent lui apporter une aide efficace sans se sacrifier. 17...Rxg7 18. Dg4+ Rh7 19. Tf3 e5 20. Th3+ Dh6 Si les Noirs pouvaient maintenir l'équilibre matériel, ils pourraient encore se défendre, mais Lasker a vu plus loin. 21. Txh6+ Rxh6 22. Dd7 Les jeux sont faits, les Blancs pourront prendre des pièces noires sans compensation. La partie continue comme suit. 22...Ff6 23. Dxb7 Rg7 24. Tf1 Tab8 25. Dd7 Tfd8 26. Dg4+ Rf8 27. fxe5 Fg7 28. e6 Tb7 29. Dg6 f6 30. Txf6! Fxf6 31. Dxf6+ Re8 32. Dh8 Re7 33. Dg7+ Rxe6 34. Dxb7 Td6 35. Dxa6 d4 36. exd4 cxd4 37. h4 d3 38. Dxd3 Les Noirs abandonnent. Notes et références Bibliographie Gedeon Barcza, Laszlo Alfody et Jeno Kapu, Les Champions du monde du jeu d'échecs. Tome 1 : De Morphy à Alekhine, Grasset et Europe-Echecs, 1985, trad. Alphonse Grunenwald, p.163-164. David Hooper et Kenneth Whyld, The Oxford Companion to Chess, 1992, , Oxford University Press, François Le Lionnais, Les Prix de beauté aux échecs, 1939, 1973, Éditions Payot, p. 61-62. Lien externe Partie d'échecs remarquable 1850-1900 Août 1889
École professionnelle supérieure d'arts graphiques
LÉcole professionnelle supérieure d'arts graphiques (EPSAG) est une école municipale, publique de l'enseignement supérieur. École d'art, rattachée à la Direction de l'Attractivité et de l'Emploi de la ville de Paris, elle forme aux métiers de la communication visuelle et au design graphique. Elle est située à Ivry-sur-Seine sur le site classé de la Manufacture des œillets. Missions de l'école L’EPSAG offre une diversité de formations qui s’adressent à des publics très variés, souhaitant bénéficier d’un enseignement professionnel. Elle accueille des élèves bacheliers ou de niveau bac (toutes filières confondues). Son cursus supérieur prépare au certificat de directeur artistique en communication visuelle et multimédia. L'école accueille également une classe préparatoire d'arts graphiques et une section de formation au digital media. Autour du graphisme, elle forme aux métiers de l'illustration, de la publicité, de la presse, de l'édition, de l'évènementiel, du web design, du motion design, du packaging ,de la typographie et du digital. Dans le cadre des cours municipaux pour adultes (CMA) de la Ville de Paris, l'école dispense également des cours du soir en arts appliqués et communication visuelle : (dessin, photographie, vidéo, rough, story-board, typographie, 3D…). Atelier préparatoire Atelier préparatoire aux concours des écoles supérieures d'art (formation en 1 an). Arts graphiques Diplôme de directeur artistique en communication visuelle et multimedia (formation en 3 ans - certification de niveau 7). Post-diplôme Digital Media Certificat d'école (formation en 1 an) - Possible passerelle avec la année en arts graphiques. (Ce Digital Media Lab est ouvert aux titulaires d’un diplôme en communication visuelle ou équivalent.) VAE en communication visuelle Validation des acquis de l’expérience certifiée par l’État. MOOC Digital L’EPSAG, en accord avec sa tutelle, a décidé en 2015 de se doter d’une formation en ligne ouverte à tous, ou Massive Open Online Course (MOOC), en sollicitant les compétences et en exploitant les ressources allouées à l’enseignement des médias numériques dont bénéficient déjà ses étudiants pour les étendre à un plus large public. Ainsi le MOOC de l’EPSAA est destiné à un public en recherche de formation initiale comme à un large réseau de professionnels. Les cultures et pratiques numériques sont aujourd’hui transversales dans bien des domaines, et vont des arts visuels aux arts appliqués jusqu’au spectacle vivant. Les contenus du MOOC de l'EPSAA recouvrent les pratiques qui sont à la croisée des réseaux, des jeux vidéo, du design d’interaction, des nouvelles images, de la datavisualisation, du mapping vidéo ou de la générativité en son. Personnalités liées à l'EPSAG Direction Brigitte Leroux de 1994 à 2010 Jérôme Pernoud depuis 2010 Notes et références Liens externes MOOC numérique de l'EPSAG Écoles supérieures de la Ville de Paris École supérieure d'art à Paris École d'art en France École supérieure des arts appliqués Classe préparatoire aux grandes écoles Enseignement à Ivry-sur-Seine
Linares (Nuevo León)
Linares est une commune mexicaine (municipio) dans l'État du Nuevo León. C'est aussi le nom du chef-lieu de ce municipio. Voir aussi Ville dans l'État de Nuevo León Municipalité du Nuevo León
Liste des guerres de l'Argentine
Cette liste regroupe les guerres et conflits ayant eu lieu sur l'actuel territoire argentin ou ayant vu la participation de l'Argentine sous ses différentes entités. Liste Voir aussi Liste des batailles Guerres Guerre
La Glorieuse Parade
La Glorieuse Parade () est un film américain biographique réalisé par Michael Curtiz en juin 1942 relatant la vie de l'artiste George M. Cohan. Le titre original provient du chant patriotique Yankee Doodle. En 1993, le film est entré dans le National Film Registry pour conservation à la Bibliothèque du Congrès aux États-Unis à cause de son importance « culturelle, historique ou esthétique. » Synopsis La vie de George M. Cohan, de ses premiers pas sur scène jusqu'à son triomphe à Broadway grâce à ses chants et ses danses. Fiche technique Titre : La Glorieuse Parade Titre original : Réalisation : Michael Curtiz Scénario : Robert Buckner et Edmund Joseph d'après une histoire de Robert Buckner Production : William Cagney (producteur associé), Hal B. Wallis (producteur exécutif) et Jack Warner (producteur exécutif) Société de production : Warner Bros. Pictures Photographie : James Wong Howe Montage : George Amy Directeur musical : Leo F. Forbstein et Heinz Roemheld (non crédité) Musique : Ray Heindorf (non crédité) - Chansons : George M. Cohan - Partition : Ray Heindorf, Heinz Roemheld Chorégraphe : Seymour Felix, LeRoy Prinz et Jack Boyle (pour les danses de James Cagney) Direction artistique : Carl Jules Weyl Costumes : Milo Anderson Distribution : Warner Bros. Entertainment Pays d'origine : Langue : anglais Format : Noir et blanc - Son : Mono (RCA Sound System) Genre : Musical biographique Durée : 126 minutes Dates de sortie : : (première à New York), (sortie nationale) : Distribution James Cagney : George M. Cohan Joan Leslie : Mary Walter Huston : Jerry Cohan Richard Whorf : Sam Harris Irene Manning : Fay Templeton George Tobias : Dietz Rosemary DeCamp : Nellie Cohan Jeanne Cagney : Josie Cohan Eddie Foy Jr. : Eddie Foy Frances Langford : la chanteuse George Barbier : Erlanger S. Z. Sakall : Schwab Douglas Croft : George M. Cohan à 13 ans Minor Watson : Albee Odette Myrtil : Bartholdi Et, parmi les acteurs non crédités : Leon Belasco : le magicien Leslie Brooks : Chorus Girl dans le numéro 'Little Johnny Jones' Glen Cavender : un machiniste Ann Doran : une réceptionniste Bill Edwards : un journaliste John Hamilton : un major au recrutement Harry Hayden : . Llewellyn George Meeker : un employé d'hôtel Dolores Moran : Chorus Girl Francis Pierlot : . Anderson Frank Sully : un recruteur de l'armée Chansons The Yankee Doodle Boy Give My Regards to Broadway etc. Distinctions Oscars du cinéma 1943 Récompensé - Oscar du meilleur acteur pour James Cagney Récompensé - Oscar du meilleur son pour Nathan Levinson Récompensés - Oscar de la meilleure musique de film pour Ray Heindorf et Heinz Roemheld Nommé - Oscar du meilleur film Nommé - Oscar du meilleur réalisateur pour Michael Curtiz Nommé - Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Walter Huston Nommé - Oscar de la meilleure histoire originale pour Robert Buckner Nommé - Oscar du meilleur montage pour George Amy Annexes Articles connexes George M. Cohan Yankee Doodle Liens externes Film américain sorti en 1942 Film biographique américain Film musical américain Film musical des années 1940 Film musical jukebox Film biographique sur un musicien Film américain en noir et blanc Film de Warner Bros Film réalisé par Michael Curtiz Film avec un Oscar du meilleur acteur Film avec un Oscar de la meilleure musique de film Film avec un Oscar du meilleur mixage de son Film tourné aux Warner Brothers Burbank Studios Film tourné à Washington (district de Columbia) Film inscrit au National Film Registry
Irene Whitfield Holmes
Irene Whitfield, Irene Thérèse Whitfield Holmes pour l'état-civil, née le à Rayne, dans la paroisse de l'Acadie, en Louisiane et morte le à Lafayette, paroisse de Lafayette, est une ethnologue et ethnomusicologue dont l'œuvre eut un impact majeur sur le renouveau et la connaissance de la musique cadienne et de la culture cadienne en général. Elle avait contribué aux recherches de John Lomax, et ses travaux influencèrent le répertoire et l'œuvre de musiciens comme Virgil Thomson, Michael Doucet et les travaux de chercheurs et de pédagogues comme John Broven, Edouard Garo, Sybil Kein Biographie la famille d'Irene Whitfield vivait dans une ferme, La Belle Savanne, située dans la paroisse de l'Acadie, entre les villes de Duson et de Rayne, dans laquelle ils plantaient du riz et élevaient du bétail. Elle était la seconde de sept sœurs. Irene Whitfield fit ses études au Southwestern Louisiana Industrial Institute et en reçut le diplôme en 1919. Elle les poursuivit à l'université de Chicago qui lui délivra, en 1924, un baccalauréat avec mention. Elle suivit aussi des cours à l'université de Californie. En 1939, Irene Whitfield soutint sa thèse Louisiana French Folk Songs, qui reste, encore aujourd'hui, un ouvrage de référence en matière de musique cadienne, à l'université d'État de Louisiane à Baton Rouge En 1940, Irene Whitfield épousa Lloyde Neil Holmes, qui était né le à Alexandria, paroisse des Rapides en Louisiane aux États-Unis, et qui mourut le à Lafayette. Lloyde Neil Holmes avait eu, avec sa première épouse Ethel Ruth Robertson, née le à Alexandria et morte le à Lafayette, six enfants. Dans les années 1940, Irene Whitfield aida Williams Owen à recueillir d'autres chansons. Publications Louisiana French Fold Songs, Baton Rouge, State Universty of Louisina Press, 1939. , L'Action nationale, avril 1940, . Acadian Folksongs, Baton Rouge, State University of Louisiana Press, 1955. Louisiana French Folk Songs, New York, Dover Publications, 1969. , Attakapas Gazette, 1975, , . , Attakapas Gazette, 1975, , , . , Attakapas Gazette, 1975, , , . , Attakapas Gazette, 1976, , , . , Attakapas Gazette, 1979, , , . , Attakapas Gazette, 1980, , , . Notes et références Naissance en octobre 1900 Naissance dans la paroisse de l'Acadie Ethnomusicologue américain Musicologue américain Ethnologue américaniste Femme ethnologue Étudiant de l'université de Californie Étudiant de l'université de Chicago Étudiant de l'université d'État de Louisiane Personnalité féminine américaine Décès en mai 1993 Décès à 92 ans
Brigades de la révolution de 1920
Les Brigades de la révolution de 1920 (, Katabb Thawra al-Ashrayn) sont une milice sunnite d'Irak formée en partie de membres de l'ancienne armée irakienne. Idéologie Les Brigades de la révolution de 1920 sont islamiste sunnite et nationaliste. Actions Le groupe est fondé en 2005. Il a utilisé des engins explosifs improvisés et des attaques armées contre les troupes d'occupation américaines dans le pays. Liens externes Compte twitter Bibliographie . Références Faction armée en Irak Faction armée islamiste
Rebecca (film, 1940)
Rebecca est le premier film américain réalisé par Alfred Hitchcock, sorti en 1940. C'est l'adaptation du roman de Daphné du Maurier publié en 1938, conte traitant de l'emprise d'une morte sur l'homme qui fut son mari, sur la nouvelle épouse de celui-ci et sur leur gouvernante, un an après sa mort. Synopsis , horripilante veuve âgée, accompagnée de sa jeune dame de compagnie, est en villégiature à Monte-Carlo dans l'hôtel Côte d'Azur lorsque leur chemin croise celui d'un riche veuf, Maxim de Winter. Ce dernier n'a aucun mal à séduire la jeune femme et, dans la foulée, à l'épouser et l'emmener dans sa demeure ancestrale de Manderley, quelque part sur la mystérieuse côte de Cornouailles. Les premiers contacts avec le personnel du château, régenté par la peu amène gouvernante Mrs Danvers, sont glaciaux. Cette dernière, en effet, attachée depuis toujours au service de feue Mrs de Winter, Rebecca, et lui vouant une passion sans limite, même à titre posthume, n'accepte pas l'intrusion de l'« usurpatrice ». Le souvenir de l'épouse disparue et vénérée continue de hanter le sombre château… Fiche technique Titre original : Rebecca Titre français : Rebecca Réalisation : Alfred Hitchcock Scénario : Joan Harrison, Robert E. Sherwood Adaptation : Philip MacDonald, , d'après le roman de Daphné du Maurier Décors : Lyle Wheeler Photographie : George Barnes, Archie Stout (seconde équipe, non crédité) Montage : Hal C. Kern, James E. Newcom et W. Donn Hayes (non crédité) Musique : Franz Waxman et Hans Sommer (musique additionnelle) Production : David O. Selznick pour Selznick International Pictures Pays d'origine : Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - Mono Genre : Drame, thriller, romance Langue : anglais Durée : 130 minutes Dates de sortie en salles : : (première mondiale à Los Angeles) (première à New York) (sortie nationale) : Distribution Laurence Olivier (VF : Marc Valbel) : Maxim de Winter (George Fortescue Maximilien de Winter) Joan Fontaine (VF : Mony Dalmès) : la nouvelle Mrs de Winter George Sanders (VF : René Fleur) : Jack Favell (le cousin de Rebecca, un vendeur de voiture) Judith Anderson (VF : Tania Balachova) : Mrs Danvers (la gouvernante) Nigel Bruce (VF : Camille Guérini) : le major Giles Lacy, beau-frère de Maxim Reginald Denny (VF : Gérard Férat) : Frank Crawley, intendant et ami de Maxim C. Aubrey Smith (VF : Henry Valbel) : le colonel Julyan, juge de paix local Gladys Cooper (VF : Maya Noël) : Beatrice Lacy, sœur de Maxim Florence Bates (VF : Germaine Kerjean) : Van Hopper Melville Cooper : Coroner Leo G. Carroll (VF : Jean Gournac) : Baker Leonard Carey (VF : Jean d'Yd) : Ben Lumsden Hare : Tabbs Edward Fielding : Frith Philip Winter : Robert Forrester Harvey : Chalcroft Billy Bevan (VF : Alfred Argus) : le policier (non crédité) Gino Corrado : le directeur de l'hôtel (non crédité) Autour du film Rebecca est le seul film d'Hitchcock qui a obtenu l'Oscar du meilleur film (celui-ci attribué au producteur, non au réalisateur...). Bien que Rebecca soit le premier film qu'il ait tourné en Amérique, Alfred Hitchcock n'en reste pas moins fidèle à son Royaume-Uni natal. En effet, l'histoire (dont les scènes-clé se déroulent dans un manoir de la côte de Cornouailles) est adaptée d'un roman de l'auteur britannique Daphne du Maurier. Hitchcock comptait sur la popularité du roman afin de promouvoir son premier film américain. Un slogan disait You loved the novel, you'll live the film (Vous avez aimé le roman, vous vivrez le film). Hitchcock apparaît en caméo dans le dernier quart du film : il sort de la cabine téléphonique d'où Favell va appeler Mrs Danvers pour lui décrire la tournure que prennent les événements. Cette scène semble avoir été coupée au montage dans certaines versions. La collaboration Selznick-Hitchcock fut orageuse. Le producteur remania de nombreuses scènes, ce qui incita par la suite Alfred Hitchcock à tourner en utilisant la technique du tourné-monté (en suivant le fil du scénario), afin d'offrir moins de latitude d'intervention au directeur du studio. La silhouette de Mrs Danvers (Judith Anderson) fut reprise pour le personnage de Lady Trémaine, la marâtre du dessin animé Cendrillon (1950) de Walt Disney Pictures. Ce film a fait l'objet de nombreuses interprétations (cf. notamment le documentaire The Celluloid Closet) selon lesquelles le scénario suggérerait une relation saphique entre Mrs Danvers et Rebecca. Ces interprétations s'appuient surtout sur la scène où Mrs Danvers exhibe et caresse les dessous et manteaux de fourrure de la défunte, puis proclame la passion qu'elle éprouvait à son égard ; sous-entendus repris dans la scène où Max De Winter révèle à sa nouvelle épouse qu'il découvrit peu de temps après son premier mariage « la vraie nature » de Rebecca. Le château de Manderley a inspiré Orson Welles pour son Xanadu, le gigantesque château du film Citizen Kane. Le film a fait l'objet d'un remake, Rebecca, réalisé par Ben Wheatley et sorti en 2020 sur la plateforme Netflix. Commentaires Citations de Hitchcock : « Ce n'est pas un film d'Hitchcock. C'est une sorte de conte et l'histoire elle-même appartient à la fin du . C'était une histoire assez vieux jeu, assez démodée. Rebecca est une histoire qui manque d'humour. » « Je pense que d'une certaine manière, le film est l'histoire d'une maison ; on peut aussi dire que la maison est un des trois personnages principaux du film. Souvenez-vous que la maison n'avait aucune situation géographique ; elle était complètement isolée. C'est instinctif de ma part. Je dois garder cette maison isolée pour m'assurer que la peur y sera sans recours. La maison dans Rebecca est éloignée de tout. Vous ne savez même pas de quelle ville elle dépend. » Récompenses Oscars du cinéma (Academy Awards) 1941 : Oscar du meilleur film : David O. Selznick, producteur Oscar de la meilleure photographie : George Barnes Sans compter 9 « nominations », la même année, dans d'autres catégories : Oscar du meilleur acteur : Laurence Olivier Oscar de la meilleure actrice : Joan Fontaine Oscar de la meilleure actrice de second rôle : Judith Anderson Oscar de la meilleure direction artistique : Lyle R. Wheeler Oscar du meilleur réalisateur : Alfred Hitchcock Oscar des meilleurs effets visuels : Jack Cosgrove (photographie) et Arthur Johns (son) Oscar du meilleur montage : Hal Kern Oscar de la meilleure musique de film : Franz Waxman Oscar du meilleur scénario adapté : Joan Harrison et Robert E. Sherwood'' Notes et références Liens externes Ébauche d'analyse, Extrait Film américain sorti en 1940 Film dramatique américain Thriller (film) américain Film romantique américain Thriller psychologique Film romantique des années 1940 Film américain en noir et blanc Film avec un Oscar de la meilleure photographie Film d'United Artists Film de Selznick International Pictures Film nommé aux Oscars Film produit par David O. Selznick Film réalisé par Alfred Hitchcock Film se déroulant à Monaco Film traitant des fantasmes Film sur le deuil Oscar du meilleur film Psychologie au cinéma Film en anglais Domesticité au cinéma Film inscrit au National Film Registry Adaptation d'un roman britannique au cinéma
Frontières du Kirghizistan
Le Kirghizistan, État enclavé d'Asie centrale a 4 frontières internationales, de longueur assez similaires : Frontière avec la Chine, Frontière avec le Kazakhstan, Frontière avec l'Ouzbékistan, Frontière avec le Tadjikistan, Sauf celle avec la Chine (ancienne partie de la frontière ce pays avec l'Union soviétique), les trois autres frontières sont issues des frontières entre les républiques de l'URSS. De cette période datent également les enclaves du Tadjikistan et de l'Ouzbékistan en territoire kirghize. Article connexe Délimitation des frontières en Asie centrale soviétique
Pehr Kalm
Pehr (Pietari) Kalm ( - ), aussi connu en Amérique du Nord sous les noms de Peter Kalm et de Pierre Kalm, est un explorateur, un botaniste, un naturaliste et un économiste agricole né en Suède de parents finlandais. Il est l'un des plus importants apôtres de Carl Linnæus. En 1747, l'Académie royale des sciences de Suède le choisit pour effectuer un voyage dans les colonies britanniques et françaises d'Amérique du Nord, afin d'en rapporter des semences et des plantes pouvant être utiles pour l'agriculture et l'économie suédoise. Kalm est célèbre pour avoir le premier décrit les chutes du Niagara et avoir fourni la première étude détaillée d'histoire naturelle de l'Amérique du Nord. Il a publié son récit de voyage, qui a été traduit en plusieurs langues. Biographie Jeunesse et études Pehr Kalm, fils du pasteur luthérien Gabriel Kalm et de Catharina Ross, est né le dans la province d'Ångermanland. Son père meurt avant ou juste après sa naissance et sa mère retourne, à Vaasa, en Finlande en 1721, où il grandit. Il y est scolarisé, puis commence en 1735 des études de théologie à l'Académie royale d'Åbo, l'actuelle Turku, avant de se concentrer sur les sciences naturelles. A partir de l'automne 1740, il poursuit ses études à l'université d'Uppsala. Il suit les cours de Carl Linnæus, lequel deviendra Carl von Linné après avoir été anobli en 1761. En 1745, il est admis parmi les membres de l'Académie royale des sciences de Suède. Pendant ses études à Uppsala et jusqu'en 1747, il s'occupe des collections d'histoire naturelle et du jardin de Sten Carl Bielke au manoir de Löfstad, qui en retour, finance ses études. Bielke lui finance plusieurs voyages dans différentes régions de Finlande (1740), de Suède (1741 et 1742) et de Russie (1744). En 1746, Kalm devient professeur assistant d'histoire naturelle et d'économie à l'académie royale d'Åbo, puis professeur d'économie à partir du 31 d'. Expédition en Amérique du Nord La même année, l'Académie royale des sciences de Suède le choisit pour faire un voyage en Amérique du Nord, dans le but d'en rapporter toutes semences et plantes nouvelles qui pourraient se révéler utiles pour l'agriculture et l'industrie. Pour permettre le développement de la production de soie en Suède, Kalm a particulièrement la charge de collecter des pieds de mûrier rouge (Morus rubra), les feuilles de mûrier étant l'aliment préféré de la chenille du Bombyx du mûrier, qui est communément appelé ver à soie. Le bilan sera décevant tant pour Kalm que pour Linné puisque les plantes ramenées s'adapteront mal au climat nordique. Kalm quitte Göteborg le , mais son bateau doit s'arrêter en Norvège à cause d'une tempête. Il fait escale à Grömstad, Arendal et Kristiansand. Le , il gagne Londres et doit y rester jusqu'à l'été, dans l'attente d'un navire pour traverser l'Atlantique à destination de l'Amérique. Le , il embarque à bord de la Mary-Gally et arrive à Philadelphie en Pennsylvanie le , où il se lie d'amitié avec Benjamin Franklin et le naturaliste John Bartram. Il passe l'automne et l'hiver dans la communauté finno-suédoise établie à Raccoon (aujourd'hui Swedesboro), dans le sud du New Jersey. Au printemps 1749, il gagne la ville de New York, puis celle d'Albany. De là, il amorce son voyage vers le Canada le 10 juin, en remontant le fleuve Hudson. Au début juillet, il fait halte au fort Saint-Frédéric, au sud du lac Champlain. Trois semaines plus tard, il gagne le fort Saint-Jean, puis le village de La Prairie et de là Montréal, où il reste jusqu'au début d'août. Il descend ensuite le fleuve Saint-Laurent, fait halte à Trois-Rivières, puis arrive à Québec le 5 août. À la fin août, il se rend à Baie-Saint-Paul et jusqu'au Cap-aux-Oies. Il revient à Québec le 7 septembre, puis est de retour sur l'île de Montréal le 15 septembre. Il y reste jusqu'au 10 octobre, après quoi il entreprend le voyage de retour au New Jersey. Il passe l'hiver à Raccoon. Il y officie comme pasteur et s'y marie en 1750 avec Anna Magaretha Sjöman. À l'été, il traverse l'Iroquoisie pour se rendre au fort Niagara, sur la rive sud du lac Ontario. Il retourne ensuite à Philadelphie. Il y passe l'automne et l'hiver 1751. Le , il part de Philadelphie et retraverse l'océan, arrive en Angleterre le 27 mars et rentre à Stockholm le 13 juin. Retour en Europe De retour en Suède, Kalm est l'un des fondateurs en 1751 un jardin botanique à Turku (Finlande). Il retrouve également son poste de professeur à l'Académie royale d'Åbo, fonction qu'il occupe jusqu'à sa mort le . En prise à des difficultés économiques croissantes, il décide de travailler parallèlement comme pasteur et s'occupe successivement des paroisses de Pikis (1757-1763) et de Sainte-Marie (1763-1779), toutes deux à Turku. En 1768, il obtient son doctorat en théologie. Publications Le récit de son voyage en Amérique du Nord est publié en suédois, à l'origine en écriture Fraktur (gothique) entre 1753 et 1761, et 150 ans plus tard dans une police d'écriture classique entre 1904 et 1929. Il traite principalement de botanique, mais présente aussi des observations plus générales sur la population, les coutumes et l'organisation sociale. Il est traduit, entre autres, en allemand entre 1754 et 1764, en anglais en 1770-1771 et en 1937, ainsi qu'en français, d'abord en 1880 et ensuite en 1977. Ce dernier ouvrage est plus détaillé, car il s'agit d'une traduction du journal de voyage tenu par l'explorateur sur le terrain, dans lequel ses observations sont consignées avec minutie, en particulier les descriptions des plantes. Le récit de Pehr Kalm constitue l'un des grands témoignages de la colonie française avant la Conquête. Linné, dans son Species Plantarum de 1753, cite 90 espèces de plantes rapportées par Kalm, dont 60 sont nouvelles pour la science. Hommages Carl von Linné nomme un genre botanique Kalmia en l'honneur de Pehr Kalm. Notes et références Liens externes Naissance en mars 1716 Botaniste finlandais Botaniste suédois Naturaliste finlandais Naturaliste suédois Universitaire finlandais Disciple de Linné Personnalité de la Nouvelle-France Étudiant de l'université d'Uppsala Membre de l'Académie royale des sciences de Suède Décès en novembre 1779 Décès à Turku Décès à 63 ans Professeur à l'Académie royale d'Åbo Personnalité suédoise du XVIIIe siècle
Sulcis
Le Sulcis (Maurreddìa en sarde) est un territoire de la Sardaigne qui va de la partie sud-ouest de l'ile, partie intégrale de la région historico-géographique du Sulcis-Iglesiente. Actuellement rattaché depuis la réforme territoriale de 2016 à la province du Sud-Sardaigne, il tire son nom de l'antique cité de Sulky. Voir aussi Articles connexes Archipel des Sulcis Liens externes Territoire en Sardaigne Province du Sud-Sardaigne
(325973) Cardinal
(325973) Cardinal est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Description (325973) Cardinal est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Il fut découvert le à Mauna Kea par David D. Balam. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 2,77 UA, une excentricité de 0,20 et une inclinaison de 7,8° par rapport à l'écliptique. Compléments Articles connexes Liste des planètes mineures (325001-326000) Ceinture d'astéroïdes Références Planète mineure découverte en 2006 Astéroïde de la ceinture principale
En l'an 2001
En l'an 2001 est une chanson interprétée par Pierre Bachelet avec Les Petits Écoliers chantants de Bondy. Elle figure sur l'album En l'an 2001 (1985), à partir de la mélodie composée l'année précédente pour le film Gwendoline de Just Jaeckin. Classement Notes et références Chanson de 1985 Chanson interprétée par Pierre Bachelet
Robert de Namur (1323–1391)
Robert de Namur (1323/1325-1391), seigneur de Beaufort et de Renaix, est un noble des Pays-Bas proche du roi Édouard III d'Angleterre, par qui il est fait chevalier de la Jarretière en 1369. Il était le fils de Jean Ier de Namur et de Marie d'Artois. Carrière Jeune homme, il participe à des expéditions en Prusse et en Terre-Sainte. En 1346, son oncle Robert III d'Artois l'emmène à Calais, où il rencontre le roi Édouard III d'Angleterre, qui faisait alors le siège de la ville et à qui il fait bonne impression. Le 30 août 1350, Robert et Henri de Grosmont commandent le vaisseau anglais Salle du Roy lors de la Bataille de L'Espagnols sur Mer, près de Winchelsea. Le 2 février 1354, Robert épouse Isabeau de Hainaut (1323–1361), jeune sœur de Philippa de Hainaut, reine consort d'Édouard III, dont il devient ainsi le beau-frère. Il s'empare du château d'Escanaffles en 1363. Il emmène Jean Froissart en Angleterre et le présente à la reine Philippa. En 1369, il défend le camp anglais à Tournehem-sur-la-Hem contre les Français. Il est fait chevalier de la Jarretière en 1369 après la mort de Robert d'Ufford. En 1370, il demande à Jean Froissart de rédiger une chronique de l'Angleterre. Le 20 août 1371, il s'engage auprès de Venceslas Ier de Luxembourg et commande une troupe de à la Bataille de Baesweiler, mais il est défait et doit payer une rançon pour sa libération. En 1373, Froissart termine le premier livre de ses Chroniques, qu'il dédicace à Robert de Namur. Mariages Le 2 janvier 1354, il épouse Isabeau de Hainaut (1323-1361), fille de Guillaume Ier de Hainaut et de Jeanne de Valois (1294-1352). Le 4 février 1380, il épouse Isabeau de Melun, fille de Hughes de Melun, seigneur d'Antoing, qui meurt en 1409. Ces deux mariages sont restés sans enfant, mais Robert aurait eu au moins deux enfants illégitimes : Robert, dit Robechon († av. 1445), qui avait épousé Agnès de Hemptinne qui lui donna au moins deux filles (mariées respectivement à François de Cange et Guillaume de Spontin), et Louis, marié à Marie Luquet qui lui donna au moins un fils, Jean. Références Sources The Medieval Combat Society Robert de Namur Lord of Beaufort, Renaix, Ballâtre and Chièvre 1323–1391 Chevalier de la Jarretière
The Trial (opéra)
est un opéra de chambre en 2 actes et un interlude, pour orchestre et solistes, composé en 2014 par Philip Glass, sur un livret de Christopher Hampton d'après le roman de Franz Kafka, Le Procès. Commande conjointe du Royal Opera, du Scottish Opera, du et de la compagnie (pour célébrer son ), la première mondiale a eu lieu le sous la direction musicale de Michael Rafferty et la mise en scène de Michael McCarthy. Conception Argument Personnages Structure Références Liens externes The Trial sur le site officiel du Royal Opera House. The Trial sur le site officiel de la compagnie Music Theatre Wales. Opéra américain (États-Unis) Opéra en anglais Opéra des années 2010 Opéra de Philip Glass Opéra créé à Londres Adaptation d'un roman à l'opéra Adaptation d'une œuvre de Franz Kafka
Coupe de Polynésie française de football
La Coupe de Polynésie française de football (Coupe Tahiti Nui) a été créée en 1938. Elle se dispute chaque année entre les clubs de Polynésie française, à travers plusieurs tours à élimination directe. Avec dix-huit trophées, l'AS Central Sport est de loin le club le plus titré dans la compétition. Déroulement La Coupe débute à l'issue de la phase régulière du championnat national. Les quatre clubs engagés en poule de promotion-relégation entrent en lice en compagnie des deux finalistes de la Coupe de Moorea, des équipes de Division 2 et des meilleures équipes des autres archipels polynésiens (Îles Marquises, Îles Sous-le-Vent...). Seules deux équipes se qualifient pour la phase finale de la Coupe, qui démarre avec les quarts de finale. Les six équipes devant jouer la poule pour le titre en championnat débutent alors la compétition. Le vainqueur de la Coupe de Polynésie française obtient le droit de participer à la Coupe de France. Il entre en lice au , en même temps que les clubs de Ligue 2 ainsi que les autres représentants des territoires d'outre-mer. Comme en championnat, il peut arriver qu'une sélection polynésienne de jeunes (moins de 20 ans ou moins de 17 ans) dispute également la Coupe, avec parfois de bons résultats comme la finale atteinte par les moins de 20 ans en 2009. Palmarès Bilan Par clubs 18 titres : AS Central Sport (Papeete) 9 titres : AS Pirae (Pirae) 8 titres : AS Tefana (Faa'a), AS Fei Pi (Papeete) et AS Venus (Mahina) 5 titres : AS Jeunes Tahitiens (Papeete) 4 titres : AS Excelsior (Papeete) et AS Dragon (Papeete) 2 titres : AS PTT (Papeete), AS Manu-Ura (Paea) et AS Punaruu (Papeete) 1 titre : JS Arue (Arue), AS Temanava (Moorea), AS Vaiete (Papeete), CAICT et Marine Par villes 44 : Papeete 9 : Pirae 8 : Faa'a 8 : Mahina 2 : Paea 1 : Arue et Moorea Sources Tahiti - List of Cup Winners sur rsssf.com Compétition de football en Polynésie française Polynésie française
Championnat de France de football de Division 4 1980-1981
Le championnat de France de football de Division 4 1980-1981 est la du Championnat de France de football de Division 4. Classement Groupe A |} Groupe B |} Groupe C |} Groupe D |} Groupe E |} Groupe F |} Groupe G |} Groupe H |} Voir aussi Articles connexes Championnat de France de football de Division 4 Coupe de France de football 1980-1981 Championnat de France de football 1980-1981 Liens externes Le CFA 2 sur fff.fr Championnat de France de football de quatrième division France Championnat de France en 1980 France Championnat de France en 1981
Archevêché orthodoxe grec d'Australie
L'archevêché orthodoxe grec d'Australie est une juridiction de l'Église orthodoxe en Australie dont le siège est à Sydney. Il appartient canoniquement au Patriarcat œcuménique de Constantinople. L'archevêque porte le titre d'Archevêque d'Australie. Histoire Organisation Voir aussi Articles connexes Liens externes Site officiel Patriarcat œcuménique de Constantinople Christianisme orthodoxe en Australie Australie
Safran Electronics & Defense
, anciennement Sagem Défense Sécurité est une entreprise française spécialisée dans les systèmes optroniques, avioniques et électroniques ainsi que dans les logiciels critiques pour applications civiles et militaires dans les domaines aéronautique, terrestre, naval et spatial. C’est l’une des dix entités du groupe Safran. Historique La Société d’applications générales d’électricité et de mécanique (SAGEM) est créée en 1925. Ses produits vont de la centrale inertielle au télécopieur. Sagem réalise par ailleurs des équipements de précision pour la Marine nationale : gyrocompas, postes de direction de tir, équipements électro-optiques. En 2005, Sagem fusionne avec la Société nationale d'étude et de construction de moteurs d'aviation (SNECMA) pour constituer le groupe Safran. Certaines activités de Sagem sont intégrées à la société Sagem Défense Sécurité. Les autres, autour des télécommunications ou de la sécurité, sortent progressivement du groupe Safran (aujourd’hui Sagemcom, Mobiwire et Idemia). La même année, l'établissement de Valence, cédé par Alcatel Space et spécialisé en électronique embarquée spatiale, rejoint la Sagem. La division Safran Electronics voit le jour en 2009, rassemblant l'ensemble des électroniciens de Safran. En 2011, l'établissement de Tarbes, qui fabriquait des éléments du Laser Mégajoule, est cédé au groupe Alcen. La question d’une fusion ou d’échanges d’activités avec le groupe Thales est régulièrement évoquée entre 2004 et 2011. La même année, Thales et Sagem rachètent les parts d’Areva dans Sofradir. Cette filiale détenue à 50 % par Sagem est un leader européen des détecteurs infrarouge. En juillet, les deux sociétés annoncent la création d'OPTROLEAD, société commune détenue à parts égales dans le domaine de l'optronique. Au , l'établissement de Fougères, ancien site de fabrication de téléphone portable de Sagem est intégré à Sagem Défense Sécurité. Depuis , l’établissement de Saint-Pierre-du-Perray devient une filiale à 100 % de . Ses activités sont centrées sur l’étude et la réalisation d’optiques de hautes performances pour le spatial, l’astronomie, les lasers de haute puissance et l’industrie des semi-conducteurs. En 2013, Sagem annonce l’ouverture d’une usine près de Casablanca (Maroc) destinée à produire des composants pour actionneurs et équipements avioniques. Le , toutes les sociétés du groupe prennent le nom Safran et Sagem celui de . En fin d'année, la société regroupe ses activités de R&D et R&T du nord-ouest de Paris au sein de l'établissement d'Éragny. Ses dirigeants successifs sont : Jacques Paccard, Jean-Paul Herteman (nommé en ), Jean-Lin Fournereaux (), Philippe Petitcolin (), Bruno Even () et Martin Sion (). Organisation L’entreprise dispose aujourd'hui de plusieurs établissements et filiales en France et à l'étranger. Filiales et co-entreprises Safran Electronics & Defense possède également des filiales et des co-entreprises, ces dernières étant issues de la fusion entre Safran et Zodiac : Safran Electronics & Defense Australasia ; Brazil ; Canada ; Germany ; Service Asia ; Service India ; Avionnics USA Safran Colibrys : Yverdon Safran Optics 1 : Bedford Safran Vectronix : Heerbrugg Safran Reosc : Saint-Pierre-du-Perray Safran Electronics & Defense Actuation : Auxerre, La Courneuve Safran Data Systems : Colombelles, Les Ulis, La Teste-de-Buch, Norcross (Géorgie) et Bergisch Gladbach Safran Electronics & Defense Cockpit Solutions : La Courneuve, Besançon. Produits Société de haute technologie, Safran développe des solutions tant civiles que militaires pour des applications en mer, sur terre, dans les airs et dans l'espace. Dans le domaine de l'optronique, elle est, par exemple, à l'origine du périscope non-pénétrant du sous-marin Barracuda, du système FELIN (Fantassin à équipements et liaisons intégrés), de lunettes et caméras infrarouge pour hélicoptères et chars de combat, ainsi que des systèmes des drones Sperwer et Patroller. En matière d'avionique, la société propose de nombreux équipements allant du système de commande de vol électrique de l'hélicoptère NH90 jusqu'au système d'information de l'Airbus A380, en passant par les centrales inertielles et calculateurs de régulation moteurs. Enfin, en ce qui concerne le spatial, Safran fabrique des optiques spatiales haute performance embarquées sur des satellites comme MeteoSat et Gaïa. Galerie Notes et références Entreprise de l'armement ayant son siège en France Entreprise du secteur spatial ayant son siège en France Entreprise de l'aéronautique ayant son siège en France Groupe Safran Équipementier spatial Entreprise ayant son siège à Paris
Santa Ana (canton de Manabí)
Santa Ana est un canton d'Équateur situé dans la province de Manabí. Toponymie Histoire Géographie Géographie physique Découpage administratif Climat Démographie Politique Économie Références Santa Ana
Dames italiennes
Les dames italiennes sont un jeu de stratégie combinatoire abstrait de la famille des dames. Les dames italiennes sont jouées principalement en Italie et en Afrique du Nord. Il est pratiqué depuis le . Règles Taille du plateau: 64 cases (8 x 8) ; Nombre de pions : 24 (2 x 12) ; Orientation du plateau: la grande diagonale relie la gauche de chaque joueur ; Cases utilisées : cases sombres ; Joueur qui commence : Blancs ; Prise autorisée des pions : Diagonales avant seulement ; Les rafles sont limitées à trois prises ; Un pion ne peut pas prendre une dame ; Dame : Ne se déplace que d'une case vers l'avant ou l'arrière ; Contrainte de prise : prise majoritaire obligatoire ; Prise qualitative : Entre deux rafles de valeurs équivalente, il faut si possible effectuer la rafle avec une dame plutôt qu'un pion ; Une dame ayant le choix entre deux rafles comprenant le même nombre de pièces, doit choisir celle qui comprend le plus de dames ; Une dame ayant le choix entre deux rafles comprenant le même nombre de dames et de pions doit choisir entre celles qui permettent de capturer une dame adverse le plus rapidement ; Souffler : interdit depuis 1936. Histoire Le premier livre mentionnant le jeu a été publié en 1547, le premier traité à lui être consacré date de 1830. Principales compétitions , organisé par la depuis 1925. Références italiennes
Nouveau combat sans code d'honneur 2 : La Tête du boss
est un film japonais réalisé par Kinji Fukasaku, sorti en 1975. Synopsis Il y a deux grandes organisations, le clan Owada et le Kyōeikai, elles sont en conflit sur les intérêts énormes de l'héroïne. Au commandement de Tokuji Owada, le chef du clan Owada, Tetsuya Kusunoki, avec Kuroda et Sugawa, attaque Masaki, le patron du Kyōeikai. Fiche technique Titre français : Nouveau combat sans code d'honneur 2 : La Tête du boss Titre original : Réalisation : Kinji Fukasaku Scénario : ,Yōzō Tanaka Photographie : Tōru Nakajima Montage : Kōzō Hiriike Décors : Takatoshi Suzuki Musique : Pays d'origine : Langue originale : japonais Société de production : Tōei Société de distribution : Tōei Format : couleur - 2,35:1 - 35 mm - son mono Genre : yakuza eiga Durée : Dates de sortie : Japon : Distribution Bunta Sugawara : Shuzō Kuroda Tsutomu Yamazaki : Tstuya Kusunoki Meiko Kaji : Asako Kusunoki Mikio Narita : Shigehiko Aihara : Aya Nenji Kobayashi : Masao Shimura Kan Mikami : Shigeru Sasaki Nobuo Yana : Miyai Hideo Murota : Takeo Akamatsu Tsunehiko Watase : Kunimitsu Sugawa Sonny Chiba Kō Nishimura : Tokuji Owada Notes et références Liens externes Film japonais sorti en 1975 Film dramatique japonais Film policier japonais Thriller (film) japonais Film réalisé par Kinji Fukasaku Yakuza au cinéma Film de Tōei
(523750) 2014 US224
(523750) 2014 US est un objet transneptunien, classé comme cubewano et une planète naine potentielle. Références Annexes Articles connexes Cubewano Liste des planètes mineures (523001-524000) Lien externe Objet céleste nommé par sa désignation provisoire Planète naine potentielle Planète mineure découverte en 2011 Cubewano Objet céleste découvert par Pan-STARRS
Chiaravalle
Chiaravalle est une commune italienne d'environ habitants, située dans la province d'Ancône, dans la région Marches, en Italie centrale. Géographie Histoire Saint-Bernard y fonda une abbaye qu'il nomma du même nom que l'Abbaye de Clairvaux. Économie Culture Monuments et patrimoine Administration Hameaux Grancetta Communes limitrophes Camerata Picena, Falconara Marittima, Jesi, Monte San Vito, Montemarciano Notes et références Commune dans la province d'Ancône
Dranga Palkye Yongten
Dranga Palkye Yongten (), connu également sous le nom de Dranga Yongten ou de Yongten, était un moine bouddhiste de l'empire du Tibet. Il a servi comme Banchenpo (, « ministre moine ») sous le règne de Ralpacan. Il a entetenu des relations amicales avec la Chine de la dynastie Tang, et il a signé le traité de paix entre le Tibet et la Chine après une longue guerre. Une mission chinoise est venue à Lhassa en 821 pour y rencontrer de hauts dignitaires tibétains et prêter un serment d'amitié entre les deux États. Ils érigèrent trois monuments de pierre, à Chang'an, à Lhassa et à la frontière sino-tibétaine, contenant le texte complet du traité à la fois en chinois et en tibétain. Le seul pilier qui reste se trouve aujourd'hui à Lhassa, à l'extérieur du temple de Jokhang. Selon ce texte, Dranga Palkye Yongten était à l'époque le ministre le plus haut placé du Tibet. Notes et références Moine bouddhiste tibétain Date de naissance non renseignée (VIIIe siècle) Date de décès non renseignée (IXe siècle)
Johannes Hertenberg
Johannes Hertenberg (né le , et mort le à Colombo) est un administrateur colonial hollandais. Il a été le gouverneur de Makassar, le commandant de Galle, de Maladar, et le 22 gouverneur du Ceylan néerlandais. Biographie Johannes Hertenberg a voyagé aux Indes orientales néerlandaises, actuel Indonésie, en tant que troisième chirurgien du bateau De Groote Vischerij. Il réussit à s'en sortir en devenant marchant à Makassar en 1712. Entre Juin et , il devient le Gouverneur de Makassar en intérim, après la mort de Gerrit van Toll et avant l'arrivée de son successeur Joannes Sipman. Il revint à Batavia en 1714 en tant que marchand, mais en , il est envoyé à Ceylan pour devenir commandant de Galle. En 1716, il devint le Commandant de Malabar, dans la cote ouest de l'Inde, où il entretient une bonne relation avec les Zamorin. Il fut nommé gouverneur de Ceylan à la mort d'Isaak Augustyn Rumpf en . Jacob de Jong devint commandant de Malabar à sa place, et Johannes Hertenberg prit alors ses fonctions à Colombo en le . Encore une fois, il semblait avoir une bonne relation avec le souverain local, le roi de Kandy, mais Hertenberg mourut après deux ans au pouvoir le . Références Liens externes Liste des chef d'états du Sri Lanka Gouverneur de Ceylan néerlandais Naissance en avril 1668 Décès en octobre 1725 Décès à 57 ans Décès à Colombo
Story Musgrave
Franklin Story Musgrave est un astronaute américain né le à Boston. Biographie Il est sélectionné dans le groupe d'astronautes 6. En 1996 (à 61 ans), il est devenu le deuxième astronaute à voler sur six vols spatiaux. Il a la particularité unique d'avoir effectué une mission sur les cinq navettes spatiales américaines et est le premier astronaute à effectuer une sortie extravéhiculaire à partir de la navette spatiale. Lors de sa cinquième mission, il effectue trois sorties pour une durée totale de vingt-deux heures pour effectuer la réparation du téléscope Hubble. Il est l'astronaute le plus diplômé avec six diplômes universitaires. Il fait des apparitions dans plusieurs films et documentaires. Bien qu'il ne fut pas qualifié en tant que pilote qu'après avoir terminé sa formation d'astronaute, Musgrave a effectué 17700 heures de vol dans 160 types différents d'avions civils et militaires, dont 7500 heures dans des avions à réaction. Il a obtenu les qualifications de la FAA comme instructeur, instructeur de vol aux instruments, instructeur de planeur et pilote de transport aérien en plus de son badge d'astronaute. Il fut aussi un parachutiste accompli : il a effectué plus de 800 chutes libres, dont plus de 100 descentes expérimentales en chute libre impliquées dans l'étude de l'aérodynamique humaine. Vols spatiaux réalisés Story Musgrave est l'un des rares astronautes à avoir effectué 6 missions. : Challenger STS-6 : Challenger STS-51-F : Discovery STS-33 : Atlantis STS-44 : Endeavour STS-61 : Columbia STS-80 Références Liens externes Une biographie officielle sur le site de la NASA Un résumé précis des vols effectués Naissance à Boston Naissance en août 1935 Astronaute américain du programme STS Étudiant de l'université de Californie à Los Angeles Étudiant de l'université du Kentucky Astronaute ayant effectué une sortie extravéhiculaire Pilote de vol à voile
XO (chanson de Beyoncé)
XO est une chanson de la chanteuse américaine Beyoncé Knowles issue album. Le titre est écrit par Ryan Tedder, Terius Nash et Beyoncé Knowles. Il est sorti comme single le . Performances Beyoncé l'a interprété pour la première fois lors de sa tournée mondiale The Mrs. Carter Show World Tour, le à Chicago. Clip Le clip a été réalisé par Terry Richardson et tourné à Coney Island le . Notes et références Liens externes Chanson écrite par Beyoncé Chanson écrite par Ryan Tedder Chanson interprétée par Beyoncé Chanson produite par Ryan Tedder Single musical sorti en 2013 Single publié par Columbia Records
Cigoli
Lodovico Cigoli (1559-1613) : peintre et architecte italien ; Valerio Cigoli (1529-1599) : sculpteur italien.
Bílov
Bílov est un toponyme qui peut désigner : Bílov, une commune du district de Plzeň-Nord, dans la région de Plzeň ; Bílov, une commune du district de Nový Jičín, dans la région de Moravie-Silésie. Homonymie de localités tchèques
Ottobeuren
Ottobeuren est une commune de Bavière (Allemagne), située dans l'arrondissement d'Unterallgäu, dans le district de Souabe, où se situe une célèbre abbaye bénédictine, l'un des plus importants exemples d'architecture style baroque de l'Allemagne du sud. Jumelages Monuments Église basilique de l'abbaye. La façade est relativement sobre, en contraste avec l'intérieur baroque de style rococo richement orné de stucs et de décors peints. La chaire et le maître-autel sont particulièrement en évidence, ainsi que le tabernacle. Personnalités liées à la ville Sebastian Kneipp (1821-1897), prêtre né à Stephansried. Theodor Breher (1889-1950), évêque né à Ottobeuren. Bourg de Bavière
Artem Zanin
Artem Zanin (Артем Занин), né le , est un escrimeur russe qui pratique le sabre. Zanin remporte l'or dans l'épreuve de sabre par équipe aux championnats du monde 2010 en battant l'Italie par 45 touches à 41. Il remporte ce titre avec ses coéquipiers Alexey Yakimenko, Nikolay Kovalev et Veniamin Reshetnikov. Palmarès Championnats du monde d'escrime Médaille d'or au sabre par équipes aux Championnats du monde d'escrime 2010 à Paris Naissance en novembre 1986 Sabreur russe
Johnny Aitken
John 'Johnny' Aitken, né le à Indianapolis (Indiana) et mort le dans la même ville, était un pilote automobile américain qui obtint ses principaux résultats en compétition avec le constructeur automobile français Peugeot. Biographie Il disputa 33 courses de l'American Automobile Association entre 1907 et 1916, avec 7 victoires retenues pour 23 épreuves officielles de ChampCar American Championship car racing (AAA National Championship, en Indycars) entre 1909 et 1916 (sur National de 1907 à 1911, Stutz en 1915, et Peugeot entre 1915 et 1916). Il participa à trois reprises à la compétition des 500 miles d'Indianapolis, disputant la course par deux fois en 1911 et 1916, et effectuant quelques tours en 1915 pour Gil Anderson () et Earl Cooper (). Il fut également victorieux de l'Indy 500 comme Directeur d'équipe à deux reprises, en 1912 avec Joe Dawson sur National, et en 1913 avec Jules Goux sur Peugeot. Lors du Grand Prix des États-Unis, il cassa un piston dès la fin du premier tour. Au reprit le volant des mains de Howdy Wilcox, pour mener la course à son terme (48 tours de piste). Il fut déclaré à la fois dernier (avec sa propre voiture initiale) et premier du GP. De nos jours seul serait donné pour vainqueur le pilote ayant pris le départ d'une course s'il venait à être remplacé (sauf en discipline d'endurance), en fonction de l'évolution des règlements. Il mourut de bronchopneumonie, peu après avoir contracté la grippe de 1918. Palmarès 1916: vice-champion du AAA Championship Car (derrière Dario Resta); 1916: Astor Cup (Peugeot EX5, en 125 tours sur le Sheepshead Bay Race Track de New York); 1916: (Peugeot, 3 courses d'affilée le même jour sur l'Indianapolis Motor Speedway); 1916: Coney Island Cup (Peugeot, sur le Sheepshead Bay Race Track); 1916: Premier International Sweepstakes (Peugeot, sur le Cincinnati Motor Speedway); 1916: (Peugeot, sur le Sheepshead Bay Speedway); 1916: Grand Prix automobile des États-Unis avec Howdy Wilcox (Peugeot EX5 toujours, à Santa Monica en fin de saison); (nb: également en 1916 pole position aux 500 miles d'Indianapolis, toujours sur Peugeot) Autres victoires, encore en AAA: 1910: Atlanta race 4 et Indianapolis race 9 (sur National); 1915: Minneapolis (sur Stutz). Records Bien que décédé prématurément à 33 ans, il est le pilote ayant remporté le plus de courses organisées sur l'Indianapolis Motor Speedway (IMS): 15 (devant Ray Harroun, 8 entre 1909 et 1911); Il est aussi le seul coureur à avoir gagné des courses à chacun des quatre week-ends de compétition organisés entre 1909 et 1910 sur l'IMS, avant la toute première course des 500 miles d'Indianapolis proprement dite en 1911; Il est encore le pilote ayant disputé le plus de courses sur l'IMS: 41 (le suivant étant A. J. Foyt, avec 36 compétitions de 1958 à 1994). Notes et références Liens externes Johnny Aitken sur ChampCarStats.com; 1916 AAA Championship Car season; Naissance en mai 1885 Naissance à Indianapolis Décès en octobre 1918 Décès à Indianapolis Pilote automobile américain Mort de la grippe espagnole Décès à 33 ans
Léon Hennique
Léon Hennique, né à Basse-Terre (Guadeloupe) le et mort à Paris le , est un romancier naturaliste et auteur dramatique français. Il est enterré à Ribemont. Biographie Fils du général de brigade Privat François Agathon Hennique et frère de Privat Agathon Benjamin Arthur Hennique (1844-1916), capitaine de vaisseau de la Marine nationale et d'Agathon Nicolas Ernest Auguste Hennique (1845-1891), capitaine de l'infanterie de marine, Hubert Florimond Antoine Léon Hennique étudie la peinture mais se consacre après la guerre de 1870 à la littérature. Ami d'Émile Zola, il s'en détache au moment de l'affaire Dreyfus. Vers 1880, il s'installe dans l'actuel musée Condorcet de la ville de Ribemont où il reçoit ses contemporains. Guy de Maupassant lui a dédié la nouvelle La Rempailleuse. Exécuteur testamentaire et colégataire avec Alphonse Daudet d'Edmond de Goncourt, il s'occupa activement de la fondation de l'Académie Goncourt, dont il assuma la présidence de 1907 à 1912. Il contribua, avec L'Affaire du grand 7, aux Soirées de Médan (1880). Il fut nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1895, promu officier en 1908 et commandeur en 1932. À chaque grade, il se fit décorer par un membre de l'Académie Goncourt : par Alphonse Daudet le 27 janvier 1895, par Gustave Geffroy le 5 février 1908, par Pol Neveux le 7 mars 1932. Il est le père de la poétesse symboliste Nicolette Hennique. Œuvres Romans La Dévouée : les héros modernes, Paris, G. Charpentier (1878, lire en ligne) Elisabeth Couronneau, Paris, E. Dentu (1879) — Contient : Les Funérailles de Francine Cloarec ; Benjamin Rozes. L'Accident de M. Hébert, Paris, G. Charpentier (1884) Pœuf, Paris, Tresse et Stock (1887) Un caractère, Paris, Tresse et Stock, roman spirite (1889) Texte en ligne Minnie Brandon, Paris, Charpentier et Fasquelle (1899) Théâtre L'Empereur Dassoucy, comédie en 3 actes, avec Georges Godde, Paris, Théâtre de Cluny, . Pierrot sceptique, pantomime, avec Joris-Karl Huysmans (1881). Texte en ligne Jacques Damour, pièce en un acte tirée de la nouvelle d'Émile Zola, Paris, Théatre-Libre, , puis Paris, Théâtre de l'Odéon, . Esther Brandès, pièce en 3 actes (1887) La Mort du duc d'Enghien, en trois tableaux, Paris, Théâtre-Libre, . Texte en ligne Amour, drame historique (1890) La Menteuse, pièce en 3 actes, avec Alphonse Daudet, Paris, Théâtre du Gymnase, L'Argent d'autrui, comédie en 5 actes, Paris, Théâtre de l'Odéon, . Deux Patries, drame en 5 tableaux, dont un prologue, Paris, Théâtre de l'Ambigu-Comique, . La Petite Paroisse(1895), pièce en 4 actes et 6 tableaux, avec Alphonse Daudet, Théâtre Antoine, Jarnac, drame historique en 5 actes, avec Johannès Gravier, Paris, Théâtre de l'Odéon, . Whisky (1929), d'après son roman Minnie Brandon, avec Edmond Guiraud Notes et références Annexes Bibliographie Liens externes Base Léonore Écrivain français du XIXe siècle Écrivain naturaliste Dramaturge français du XIXe siècle Académie Goncourt Commandeur de la Légion d'honneur Naissance en novembre 1850 Naissance à Basse-Terre Décès en décembre 1935 Décès dans le 16e arrondissement de Paris Décès à 85 ans Personnalité inhumée dans l'Aisne
Maurizio Biondo
Maurizio Biondo (né le à Vimercate, dans la province de Milan, en Lombardie) est un coureur cycliste professionnel italien, membre de l'équipe Meridiana Kamen. Biographie Le , il est contrôlé positif à l'EPO CERA. Il est suspendu 2 ans par la CONI. Palmarès 1999 Médaillé de bronze du championnat du monde de poursuite par équipes juniors du championnat du monde sur route juniors 2001 Champion d'Italie du contre-la-montre espoirs Mémorial Daniele Angelini Coppa del Grano Prologue du Baby Giro (contre-la-montre par équipes) Médaillé de bronze du contre-la-montre aux Jeux méditerranéens de la Targa Libero Ferrario 2002 du Tour de Berlin du Tour de Berlin 2003 de la Roue tourangelle du championnat d'Italie du contre-la-montre espoirs du Grand Prix de Waregem 2004 Trofeo Pina e Mario Bazzigaluppi 2005 Trofeo Zssdi Giro del Valdarno du Trofeo Comune di Acquanegra sul Chiese de la Coppa Collecchio de la Coppa Città di San Daniele 2006 Trophée Edil C 2007 Tour de Navarre Classement général de la Clásica Memorial Txuma 2008 Tour du district de Santarém Classement général (contre-la-montre) du championnat d'Italie du contre-la-montre du Grand Prix de la ville de Camaiore 2009 Tour de Drenthe du Tour du Danemark (contre-la-montre) du Tour du Danemark du championnat d'Italie contre-la-montre Classements mondiaux Notes et références Liens externes Coureur cycliste italien Naissance en mai 1981 Naissance à Vimercate Personnalité italienne du XXIe siècle
Liste des distinctions de Thirty Seconds to Mars
est un groupe rock américain formé en 1998 à Los Angeles (Californie). Le groupe est constitué de Jared Leto (chant et guitare), Shannon Leto (batterie et percussions) et Tomo Miličević (guitare). Thirty Seconds to Mars a produit trois albums studio jusqu'à ce jour, soit : 30 Seconds to Mars (2002), (2005) et (2009). Le groupe a été nommé un total de 144 fois et a gagné 80 récompenses. Bandit Rock Awards Billboard Music Awards Breakthrough of the Year Awards BT Digital Music Awards Drummies Awards Festivalbar Fuse Awards Fuse Fangoria Chainsaw Awards Kerrang! Awards MK Awards MTV Awards Los Premios MTV Latinoamérica MTV Asia Awards MTV Australia Awards MTV Europe Music Awards |- | style="text-align:center" rowspan="2" | 2007 | rowspan="2" | Thirty Seconds to Mars | Rock Out | |- | Best Inter Act | |- | style="text-align:center" rowspan="2" | 2008 | Thirty Seconds to Mars | Rock Out | |- | A Beautiful Lie | Video Star | |- | style="text-align:center" rowspan="3" | 2010 | rowspan="2" | Thirty Seconds to Mars | Best Rock | |- | Best World Stage Performance | |- | Kings and Queens | Best Video | |- | style="text-align:center" rowspan="3" | 2011 | rowspan="3" | Thirty Seconds to Mars | Best Alternative | |- | Best Best World Stage Performance | |- | Biggest Fans | |- | style="text-align:center" | 2013 | Thirty Seconds to Mars | Best Alternative | |- | style="text-align:center" | 2014 | Thirty Seconds to Mars | Best Alternative | MTV Fan Music Awards |- | style="text-align:center" rowspan="4" | 2011 | rowspan="2" | Thirty Seconds to Mars | Best Group | |- | Best Rock | |- | Hurricane | Best Group Video | |- | Jared Leto | Best Fashion | MTV Video Music Awards MTV Video Music Awards Japan MTV Video Plays Awards mtvU Woodie Awards O Music Awards TRL Awards NME Awards Planeta Awards Rock on Request Awards Teen Choice Awards TMF Awards StarShine Music Awards Virgin Media Music Awards Wild and Young Awards Autres récompenses Notes et références Thirty Seconds to Mars Distinctions bar:30 Seconds to Mars#Auszeichnungen
Hrádek (district de Rokycany)
Hrádek est une ville du district de Rokycany, dans la région de Plzeň, en République tchèque. Sa population s'élevait à habitants en 2018. Géographie Hrádek se trouve à au sud-est du centre de Rokycany, à à l'est-sud-est de Plzeň et à au sud-ouest de Prague. La commune est limitée par Dobřív au nord et à l'est, par Mirošov au sud et par Kamenný Újezd à l'ouest. Histoire La première mention écrite de la localité date de 1325. Administration La commune se compose de deux quartiers : Hrádek Nová Huť Économie Au quartier de Nová Huť, une aciérie électrique, dont les origines remontent à 1900, produit de l'acier laminé. Exploitée par la société Železárny Hrádek, elle emploie 165 personnes en 2014 et appartient au groupe Z-Group Steel Holding, qui possède plusieurs établissements en République tchèque. Notes et références Ville dans la région de Plzeň Commune dans le district de Rokycany
Moulin à café
Le moulin à café est un appareil qui permet de moudre des grains de café. Le passionné et collectionneur de moulins à café est un mylokaphephile. Les premiers moulins à café apparaissent au . Histoire L’arrivée du café en Europe au implique la création d’un objet spécifique, le « moulin à café », permettant de broyer cette graine en conservant au maximum ses arômes. Il apparaît rapidement que les moulins à épices sont partiellement adaptés. Pour broyer le café, la première méthode connue est l’utilisation d’un mortier avec des graines torréfiées. Les premiers vrais moulins apparaissent en Europe et en Turquie en même temps au . En Turquie, les moulins sont composés d’un cylindre en cuivre ou en laiton. Ciselés ou ornés de pierres précieuses, ils sont dotés d'un mécanisme composé d’un axe vertical qui actionne une noix striée, et souvent d’une manivelle pliable qui se range dans le haut du moulin. Les premiers moulins français sont des modèles de luxe pour les salons de la grande noblesse. Saint-Étienne sera un centre important de production de ces modèles exceptionnels, utilisant le savoir-faire de la mécanique de précision appliqué depuis longtemps dans la fabrication des armes. La plus belle collection de moulins à café de salon se trouve au Musée Le Secq des Tournelles à Rouen en Normandie. En France les premiers moulins « de série » sont appelés « modèles Louis XIV ». Ils ont un corps taillé dans un seul morceau de bois. C’est pour cette raison qu’on les qualifie de monoxyle. Ils sont le plus souvent en noyer. Ils étaient fabriqués à la demande par les taillandiers ou les maréchaux-ferrants. À l’époque, ces moulins étaient des objets de luxe. Au fur et à mesure du développement de la consommation de café, des moulins strictement fonctionnels font leur apparition vers le milieu du . Ils sont en général équipés d’une patte de fixation permettant de les fixer à la table. Ce type de moulin est dit « moulin entonnoir » dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert en raison de leur forme. Le modèle-star de l’époque est le modèle dit sablier. Il est composé de deux cônes reliés par une fixation à baïonnette. Il est équipé lui aussi d’un dispositif de fixation. Les types de moulin sont très différents selon les régions où se développe le café, comme la Hollande, l’Espagne. Le , siècle de l’industrialisation, correspond à la vraie popularisation du café. La raison est aussi historique car le siècle débute en 1806 par un coup de force de Napoléon , (dont le moulin personnel est un des plus célèbres de la collection Malongo) qui instaure le blocus contre toutes les marchandises britanniques. En représailles les Britanniques coulent les bateaux qui livrent des produits exotiques en Europe. Les stocks s’accumulent chez les producteurs. Après la bataille de Waterloo, ces stocks libérés provoquent un effondrement du cours du café. Les fournisseurs développent alors les moulins de comptoir pour que chaque épicerie puisse fournir du café moulu à ses clients. Cette époque correspond aussi à la grande période du moulin à arbre horizontal. Il voit aussi une explosion des formes et des mécanismes. L’utilisation de l’acier permet l’avènement d’une vraie industrie du moulin à café. Le , c’est aussi la période pendant laquelle le moulin cubique va faire son apparition en s’imposant comme la meilleure solution pour un usage individuel. Le moulin flamand en bois à colonnette avec son bol ouvert, puis le moulin Peugeot en France à partir de 1840. Le correspond à l’apogée Moulins à café Peugeot Peugeot est notamment connu en France grâce à ses voitures, mais il a commencé au par des moulins à café de ménage de forme cubique, que l’on trouve encore dans les vide-greniers. Peugeot débute dans l'industrie des moulins à café vers 1840 dans le Doubs. La famille Peugeot, originaire du pays de Montbéliard, avait sur ses terres des moulins à eau qui ont marqué les emplacements des futures usines. Jean-Pierre Peugeot (1734-1814) laisse en héritage à ses fils une teinturerie, une huilerie et un moulin. La Révolution française permet le rattachement du pays de Montbéliard à la France. Les deux fils aînés de Jean-Pierre Peugeot, Jean-Frédéric (1770-1822) et Jean Pierre (1768-1852) transforment le moulin du lieu-dit du Sous-Cratet en fonderie d'acier (1810) en s’associant avec Jacques Maillard-Salins. Cette usine fournit les horlogeries en ressorts d'acier, puis à partir de 1833, de la grosse quincaillerie, puis des scies à rubans, des outils. À partir de 1840, elle lance un moulin à café cubique en bois, avec mécanisme intérieur en acier. La trace la plus ancienne de vente de moulins à café remonte à 1840, selon les livres de compte de la société « Peugeot frères aînés », la firme principale ayant été fondée en 1832. En 1846, ils forment une société en nom collectif « Peugeot aînés et Jackson frères », la production s'accroît et se diversifie. À la gamme d'outillage s'ajoutent des moulins à café. Des moulins cubiques ont leur tiroir bloqué à l'avant par une plaque en laiton fixée légèrement au-dessus du tiroir par une vis et portant l'inscription « Peugeot-Jackson-Pont-de-Roide Doubs », utilisée de 1866 à 1877. Puis les raisons sociales se succèdent au fur et à mesure des modifications de statuts : « Peugeot aînés et Cie » avec même plaque de blocage, portant comme emblème un éléphant, de 1878 à 1893 ; « Peugeot et Cie » de 1894 à 1910, avec le même type de plaque qui, en plus du laiton, peut être en acier. Celle-ci peut être remplacée par une petite plaque classique, ne servant plus de bloque-tiroir, fixée par deux vis. De 1910 à 1938, on ne trouve plus que des plaques fixes en laiton ou laiton nickelé, en losange aux angles arrondis, de deux tailles, toujours « À l'éléphant » et avec les inscriptions « Peugeot et Cie » « Pont-de-Roide, Doubs ». L’éléphant de Peugeot et Cie est l'équivalent du lion de « Peugeot frères ». De façon courante, on dit « Peugeot Pont-de-Roide » pour désigner ces moulins. Les deux sociétés sont regroupées en 1933 mais la production se poursuit sous chaque marque encore quelques années. Les moulins « Peugeot-Pont-de-Roide » sont moins nombreux que les « Peugeot frères ». Ce sont les « Peugeot frères » qui ont donné aux moulins cubiques en bois leur notoriété et en ont fait le symbole du moulin à café. Les cubiques en bois ont été la plus importante production des moulins Peugeot. Ils existent en 56 modèles différents représentant 280 versions, si l'on différencie les essences de bois, les tailles, le matériau des calottes, les couleurs, les décors. Commencées en 1840, les ventes se sont poursuivies jusqu'en 1960 : , selon le catalogue général édité en 1993 par le musée Peugeot de Sochaux. Les premiers moulins décorés, à dessins bleus ou polychromes, apparaissent en 1904, leur fabrication cessant en 1915. D'autres, d'un style différent, se font à partir de 1930. À partir de 1930, devant la multiplication des modèles bon marché, Peugeot produit des modèles standards, sans marque, pour les grands magasins, BHV, La Samaritaine Certains sont vendus à des grossistes qui apposent leur propre marque : J.L. Norly, Le Vainqueur, Dalto. Les modèles « belges » à trémie extérieure (bol fermé) avec ou sans colonnettes n'étaient vendus qu'à l'exportation. Les « moulins silencieux » datent de 1938. Ils sont équipés d'une trémie en tôle absorbant les vibrations du mécanisme et supprimant toute déformation. La plaque la plus ancienne, datant de 1851, porte l’inscription « Peugeot Frères d’Hérimoncourt brevetée S.D.DU.G. ». C’est une petite plaque rectangulaire aux coins coupés, en laiton. En 1855, Hérimoncourt est remplacé par Valentigney. À partir de 1865, la plaque s’ovalise et à partir de 1880 apparaît le fameux lion Peugeot, dit « Lion sur flèche », de profil, debout, en marche sur ses quatre pattes, en équilibre sur une flèche. De 1910 à 1941, elle se fait aussi bien en laiton (jaune) ou en laiton nickelé. La plaque octogonale — sans lion — marquée Peugeot frères avec un croissant et « mouvement acier forgé » est apposée sur des moulins bon marché vendus en grands magasins, entre 1934 et 1936. La décalcomanie fait son entrée en 1936. Elle décore un autocollant gris et ovale marqué, en noir, d'un lion sur flèche et des mots « Peugeot frères » (1936-1945). De 1938 à 1961, cet autocollant prend la forme d'un écu, assez large, aminci à partir de 1950. Les manivelles sont en acier rond poli ou, à partir de 1890, nickelé sur les modèles de luxe. Les calottes en tôle sont peintes bronze ou vert, en laiton ou laiton nickelé. Le chargement se fait par l'arrière, jusqu'en 1935, par la droite ensuite jusqu'en 1960. Entre 1932 et 1934, on voit des calottes nickelées à chargement par le devant. Entre 1935 et 1939, la calotte nickelée est à chargement par le côté. Peugeot a aussi commercialisé des moulins en tôle. Le premier apparaît dans le catalogue de 1872. Il s'en est fabriqué jusqu'en 1936, dont de nombreux sont peints façon bois, chêne ou noyer. Peugeot a réalisé aussi des moulins cylindriques, dits de voyage, de soldat, ou même « turcs » (modèle H), le modèle G étant le plus célèbre pour les collectionneurs. Après la Première Guerre mondiale, Peugeot a eu le mérite de populariser le moulin mural de ménage. Peugeot a pris pour modèle des moulins américains du début du . Les premiers, en bois verni, ressemblent à de hautes boîtes rectangulaires généralement métalliques, en vente de 1920 à 1935. En 1923, il commercialise les moulins muraux à trémie en faïence blanche ou décorée d'un moulin hollandais. Il ne s'agit plus d'une boîte compacte renfermant les trois parties du moulin à café. Sur une planchette en bois s'appuie une longue trémie rectangulaire, à arêtes arrondies, au-dessus d'un carter en aluminium, contenant le mécanisme broyeur, et sur lequel s'enclenche la manivelle. La mouture tombe dans un récipient en verre gradué dont les bords supérieurs glissent sous un support à rigoles. Le mécanisme, dit aussi mouvement, est en acier forgé. Le couvercle se fait en laiton ouvragé terminé par un gland, ou en laiton plat. Produite entre 1936 et 1961, la , a particulièrement attiré l'attention, elle est composée de dix exemplaires en chromolithographies chaudement colorées. La manivelle se modifie avec le temps. D'abord à une seule courbe, elle prend, après 1932, une forme en S ronde ou plate ajourée. À partir de 1955, elle est droite et cadmiée. À partir de 1932, le carter est en fonte. Les mouvements ont une telle réputation que de nombreux carters Peugeot KM9 équipent des modèles de différentes marques, avec des trémies de fabrication particulière. « Tous nos moulins sont silencieux », affirment alors les annonces publicitaires. Des trémies profilées, trapézoïdales, englobant le mécanisme, donnent une ligne moderne aux derniers moulins muraux, en faïence blanche en 1937-1938, en acier laqué de ton crème de 1948 à 1951, de ton blanc entre 1952 et 1955. Voir aussi Bibliographie Nostalgische Kaffeemühlen, Werner Schindler, 2006, Schindler-Verlag, Antike Kaffeemühlen, Werner Schindler, 2007, Schindler-Verlag, Die schönsten Kaffeemühlen, Werner Schindler, 2008, Schindler-Verlag, Articles connexes Café Liste de variétés de caféier Café (établissement) Mylokaphephilie Lien externe L'histoire des moulins à café Peugeot Moulin Équipement pour le café
Joan Terès i Borrull
Joan Terès i Borrull, né le à Verdú et mort le , était issu d'une famille de condition modeste. Il suivit les cours d'humanités à Reus et alla étudier la philosophie et la théologie à Valence. Après son ordination sacerdotale, Terès fut nommé bénéficier dans la communauté ecclésiastique de la cathédrale de Tarragone. Peu de temps après, il obtint, au concours, la stalle de chanoine théologal, au sein du chapitre métropolitain de cette ville. Le cardinal Gaspar Cervantes de Gaeta, archevêque du diocèse, lui confia la charge de chanoine pénitencier, puis le choisit pour son coadjuteur. Terès reçut alors, du Saint-Siège, le titre d'évêque du Maroc. Le , le Souverain Pontife Grégoire XIII le nomma au siège épiscopal d'Elne, laissé vacant par la mort de Pedro Mártir Coma. Terès prit possession de son diocèse, par procureur, le 26 juillet de la même année. Le , Marie d'Autriche, veuve de l'empereur Maximilien II, qui se rendait à la cour d'Espagne avec sa fille Marguerite, vint à débarquer à Collioure. À son passage à Elne, elle reçut la visite de Terès, qui lui présenta la vraie Croix pour la baiser. Le jour de Noël, ainsi que le jour de la fête de saint Jean l'Evangéliste, l'évêque d'Elne célébra la messe pontificale dans l'église Saint-Jean de Perpignan, en présence de l'impératrice Marie d'Autriche, de l'Infante, sa fille, et de toute la cour. En 1584, il assista au concile provincial de Tarragone, et le il approuva un règlement élaboré par la communauté ecclésiastique de Millas concernant la célébration des messes fondées. Dans le cours du mois de , Terès avait engagé des pourparlers avec la communauté des bénéficiers de Saint-Jean, touchant la translation à Perpignan du siège épiscopal d'Elne. Il ne put donner suite à son projet, car, dès les premiers jours du mois de juin suivant, il reçut de Sixte V les bulles de nomination à l'évêché de Tortosa. C'est en tant que titulaire du siège épiscopal de ce dernier diocèse, qu'il consacra, le , l'église paroissiale de sa ville natale. Moins d'une année après sa promotion à l'évêché de Tortosa, Terès fut élevé par Sixte V au siège métropolitain de Tarragone (mai 1587). Dans son nouveau diocèse, Terès s'appliqua à entourer de sa protection les ordres religieux. Les Capucins, les Augustins, les Carmes et les Jésuites devinrent l'objet de ses attentions et de ses faveurs particulières. Il chercha à promouvoir l'éclat du culte dans les églises et à maintenir la discipline ecclésiastique dans le clergé, à l'aide des conciles provinciaux qu'il tint dans sa ville archiépiscopale. Terès publia, en 1593, cinq livres de Constitutions provinciales de Tarragone avec le catalogue des archevêques de cette église. Clément VIII lui donna mission de procéder à la suppression des chanoines réguliers sur le territoire de la Catalogne, le Roussillon et la Cerdagne. Terès prit une part active au procès de canonisation de saint Raymond de Peñafort. À la suite d'une commission apostolique, il fit, en 1596, la reconnaissance du corps de ce bienheureux. Le , Philippe III d'Espagne confia à l'archevêque de Tarragone la charge éminente de vice-roi et de capitaine-général de Catalogne. Terès n'exerça pas longtemps les hautes fonctions de la vice-royauté en Catalogne. La mort le frappa à Barcelone, le . Son corps fut transféré à Tarragone et inhumé dans la cathédrale de cette ville. Les restes de Joan Terès reposent dans un mausolée en marbre blanc qu'on a élevé dans la muraille qui relie les deux chapelles de saint Fructueux et de saint Jean. Notes et références Liens externes Évêque de Tortosa Archevêque de Tarragone Décès en juillet 1603 Naissance dans la province de Lérida Naissance en septembre 1538 Personnalité espagnole du XVIe siècle Vice-roi de Catalogne Évêque d'Elne
Maria Anna de Raschenau
Maria Anna de Raschenau (fl. ) est une compositrice et chanoinesse autrichienne. Elle a été active à Vienne, mais ne faisait pas partie de la cour. Elle a été le maître de chapelle au couvent St Jakob auf der Hülben de Vienne. Raschenau a écrit un oratorio sur un livret de MA Signorini, Le sacre visioni di Santa Teresa, qui a été créé le . La partition a fait parie de l'Österreichische Nationalbibliothek, mais n'était plus au catalogue en 1991, et est supposé être perdue. Raschenau était une contemporaine d'autres compositrices d'oratorio, Caterina Benedicta Grazianini, Maria Grimani et Camilla de Rossi, qui étaient aussi des chanoinesses. Notes et références Personnalité autrichienne du XVIIIe siècle Compositrice de la période baroque Compositrice autrichienne de musique classique
Stadum
est une municipalité allemande située dans le land du Schleswig-Holstein et dans l'arrondissement de Frise-du-Nord. En 2015, sa population est de . Personnalités liées à la ville Rio Reiser (1950-1996), chanteur mort à Fresenhagen. Commune au Schleswig-Holstein
Mendieta (Alava)
Mendieta est un hameau de la municipalité d'Artziniega dans la province d'Alava dans la Communauté autonome basque. Référence Voir aussi Liste des municipalités d'Alava Localité en Alava
Équipe de Hong Kong féminine de hockey sur glace
L'équipe de Hong Kong féminine de hockey sur glace est la sélection nationale de Hong Kong regroupant les meilleures joueuses hongkongaises de hockey sur glace féminin lors des compétitions internationales. Elle est sous la tutelle de la . Hong Kong est classé sur 42 équipes au classement IIHF 2021 . Historique Résultats Jeux olympiques L'équipe féminine de Hong Kong n'a jamais participé aux Jeux olympiques. 1998-2014 — Ne participe pas 2018 — Non qualifié 2022 — Non qualifié Championnats du monde Jeux asiatiques 1996-2011 — Ne participe pas 2017 — Sixième Challenge d'Asie 2010-2012 — Ne participe pas 2014 — de la Division 2015 — de la Division 2016-2018 — Ne participe pas Classement mondial Références Liens externes Hong Kong Hockey sur glace à Hong Kong Hockey sur glace
Koumban
Koumban est une sous-préfecture de la préfecture de Kankan, dans la région du même nom en Guinée. Notes et références Ville en Guinée
Bothus lunatus
Bothus lunatus, communément nommé Turbot paon ou Rombou lune, est une espèce de poissons marins de la famille des Bothidae. Le Turbot paon est présent dans les eaux tropicales de la zone occidentale de l'océan Atlantique des côtes de la Floride au Brésil englobant aussi le golfe du Mexique et de la mer des Caraïbes, mais également dans la zone orientale de l'océan Atlantique. Sa taille maximale est de mais sa taille moyenne courante est de . Notes et références Liens externes Bothidae Pleuronectiformes (nom scientifique)
Roboam
Roboam ou Rehabam ou de son nom complet Rehabam ben Sholmon (en hébreu : « Celui qui élargit le peuple », en grec , en latin ), fut roi du royaume d'Israël vers -932, à la mort de son père Salomon, puis roi de Juda seul jusqu'en -915 (après le schisme). C'est lui qui fut, selon la volonté divine, à l'origine du schisme qui divisa le royaume d'Israël en 2 royaumes rivaux. Biographie La seule source explicite dont on dispose sur Roboam est la Bible, mais l'archéologie contribue à éclairer certains aspects de son règne. Source biblique Fils de Salomon et de Naama l'Ammonite, il succède à son père à l'âge de 41 ans. Il épouse Mahalat, puis Maacah, fille d'Absalom, 16 autres femmes et 60 concubines. Maacah étant sa préférée, il désigne son fils Abijam comme successeur. Il a 28 fils et 60 filles. Le schisme Comme tous les rois de l'époque, il doit pour régner obtenir l'allégeance des tribus d'Israël. Il entreprend donc un voyage à Sichem (l'actuelle Naplouse) afin de recueillir celle-ci auprès des chefs de tribu réunis. Mais ces derniers, sous la conduite de Jéroboam, revenu pour l'occasion de son exil en Égypte, lui présentent leurs doléances : ils demandent des impôts moins lourds et l'abolition des corvées instituées sous le règne de Salomon pour embellir le royaume. À l'avis des anciens conseillers de son père, favorables aux requêtes du peuple, Roboam préfère celui de ses propres conseillers, ambitieux et sans sens politique. Il refuse donc brutalement d'accéder aux demandes des tribus, et leur envoie Adoram, le chef des corvées. Les tribus du Nord ne prêtent pas allégeance à Roboam, qui fuit à Jérusalem ; elles lapident Adoram, et se constituent en un royaume distinct, le royaume d'Israël, avec Jéroboam comme roi. De retour à Jérusalem, Roboam constate que deux tribus lui sont fidèles : celle de Benjamin et celle de Juda. Il lève une armée pour réunifier par la force les deux royaumes, mais le prophète Shemaya l'en dissuade. Il gouverne les deux tribus du Sud sous le nom de royaume de Juda. Règne La cinquième année du règne de Roboam, le pharaon Sheshonq attaque Jérusalem, et en pille le temple et le palais royal. Roboam devient un vassal de Sheshonq, et lui laisse les trésors pillés comme tribut. Dans le premier livre des Rois, Roboam est un roi impie, comme son peuple. Mais le Chroniste décrit un roi qui reste fidèle à Dieu pendant 3 ans, ce qui lui vaut le ralliement des lévites du Nord, avant de s'en écarter. Le Chroniste décrit l'attaque de Sheshonq comme un châtiment divin, à la suite duquel Roboam et les siens reviennent au monothéisme. Il mentionne aussi la construction ou la restauration par Roboam de villes fortifiées du Royaume de Juda. Mentions postérieures Dans le deuxième livre des Chroniques, Abijam, fils de Roboam, apostrophe l'armée de Jéroboam, condamnant le schisme et décrivant son père comme un homme « jeune et craintif », qui « manqua de force devant eux » et ne put résister à la rébellion nordiste. Enfin, dans le Siracide, Ben Sira décrit Roboam comme « insensé aux yeux du peuple, dépourvu de prudence ». Autres sources Si aucune source extérieure à la Bible ne permet aujourd'hui de confirmer (ou d'infirmer) l'existence historique de Roboam, la conquête de Sheshonq est un des premiers événements bibliques attestés par l'archéologie. Des traces archéologiques de destruction, en particulier à Megiddo ou Tel Rehov, permettent de dater cette conquête de -925. Par ailleurs, un relief du temple de Karnak mentionne les villes prises par Sheshonq lors de cette campagne. Mais l'absence de Jérusalem dans cette liste semble assez difficilement compatible avec le texte biblique. Chronologie Comme de nombreuses dates concernant les personnages bibliques de cette époque, celles-ci sont approximatives, et peuvent faire l'objet de débats entre exégètes. Roboam aurait régné de -922 à -915 (Albright), de -931 à -913 (Thiele), ou de -931 à -914 (Galil). Le fait que, comme l'indique la Bible, l'attaque égyptienne ait eu lieu la cinquième année du règne de Roboam (soit -927 ou -926 selon Thiele et Galil), semble confirmé par les conclusions archéologiques (voir ci-dessus). Selon Manéthon, Sheshonq , de la , régna entre -945 et -924. Cette donnée est incompatible avec la chronologie d'Albright, mais elle permet de confirmer l'époque du règne de Roboam. Au cinéma 2020 : Westworld (Saison 3), Série américaine HBO, Intelligence artificielle successeur et version aboutie de Solomon . Notes et références Notes Références Voir aussi Liste des personnages de la Bible Bibliographie Articles connexes La campagne militaire de Sheshonq Liste des rois de Juda Liste des rois d'Israël Monarchie unifiée d'Israël et Juda Royaume de Juda Royaume d'Israël Personnalité du Xe siècle av. J.-C. Roi de Juda Personnalité du Proche-Orient ancien
Christopher Weber
Christopher Weber (né le à Dortmund) est une bobeur allemand. Biographie Palmarès Jeux olympiques : médaillé d'argent en bob à quatre aux Jeux olympiques d'hiver de 2022 à Pékin . Références Liens externes Bobeur allemand Bobeur aux Jeux olympiques d'hiver de 2022 Médaillé aux Jeux olympiques d'hiver de 2022 Médaillé d'argent olympique allemand Naissance en octobre 1991 Naissance à Dortmund
Anaïs Ventard
Anaïs Ventard, née le , est une patineuse artistique française qui est championne de France élite 2013. Biographie Saison 2009-2010 À 13 ans, Anaïs Ventard participe à ses premiers championnats de France élite à Marseille où elle se classe à la . Saison 2010-2011 Elle patine successivement aux championnats de France élite de à Tours () puis aux championnats de France junior en à Cergy qu'elle remporte. Saison 2011-2012 Anaïs Ventard participe pour la première fois à des épreuves du Grand Prix ISU junior, à Gdansk et à Innsbruck en septembre et . Elle s'y classe aux deux compétitions. En décembre, elle monte pour la première fois sur le podium national élite à Dammarie-lès-Lys, à l'âge de 15 ans, en remportant la médaille de bronze derrière Yrétha Silété et Maé-Bérénice Meité. La FFSG la sélectionne ensuite pour participer aux premiers Jeux olympiques de la jeunesse d'hiver qui ont lieu à Innsbruck en . Elle s'y classe . Saison 2012-2013 A 16 ans, elle devient en à Strasbourg la championne de France 2013 de la catégorie féminine. Elle bat la favorite Maé-Bérénice Meité. La FFSG lui préfère Laurine Lecavelier pour les championnats du monde junior de patinage artistique 2013. Elle est médaillée d'argent au Festival olympique d'hiver de la jeunesse européenne 2013. Saison 2013-2014 Elle perd son titre national à Vaujany en et prend le bronze derrière Maé-Bérénice Meité et Laurine Lecavelier, mais la fédération décide de l'envoyer cette fois-ci aux championnats du monde junior en à Sofia. Elle prend la . Saison 2014-2015 Lors des championnats de France à Megève, elle finit en . Elle n'a à ce jour encore jamais participé ni à une épreuve du Grand Prix ISU senior, ni aux Championnats d'Europe, ni aux Championnats du monde senior, ni aux Jeux olympiques d'hiver. Palmarès Liens externes Patineuse artistique française Naissance en septembre 1996 Naissance à Dijon
Pepin Township
Pepin Township est une localité du comté de Wabasha, dans le Minnesota, aux États-Unis. Elle abrite notamment le Reads Landing Overlook, un point de vue panoramique sur le lac Pépin inscrit au Registre national des lieux historiques depuis le . Liens externes Township au Minnesota Comté de Wabasha
Publius Coelius Apollinaris
Publius Coelius Apollinaris (fl. 111) était un homme politique de l'Empire romain. Biographie Fils d'un Publius Coelius et de sa femme Ulpia ou Traia, cousine germaine de Trajan. Il était consul suffect en 111. Il s'est marié avec Vibullia, fille de Lucius Vibullius Pius, né à Corinthe, Achaïe, agonothète dans Corinthe, Achaïe, et petite-fille paternelle de Lucius Vibullius Saturninus, arrière-arrière-petit-fils paternel de Lucius Vibullius Rufus. Ils furent les parents de Publius Coelius Balbinus Vibullius Pius. Bibliographie Date de naissance incertaine (Ier siècle) Consul de l'Empire romain
Virage
Un virage est une courbe formée par une route, un sentier ou autre. Explication Les virages sont généralement construits pour permettre de contourner des obstacles ou parce que le relief l'oblige, comme les routes en lacet en montagne. Mais ils peuvent également avoir été tracés volontairement pour réduire la vitesse du trafic ou pour permettre de changer d'itinéraire comme c'est le cas avec les bretelles d'accès et les échangeurs. Sur un circuit automobile, les virages pimentent la course et assurent le spectacle. Les types de virages Il existe différents types de virages dont voici les principaux : chicane : virage en « S », souvent artificiel et destiné à ralentir les véhicules ; virage en épingle : virage très serré, dit « épingle à cheveux », rencontré sur circuit ou en côte dans le cas de lacets ; lacets : succession de virages en épingle de sens opposés, souvent rencontrée en montagne ; demi-tour : virage d'un angle de 180°, pour passer sur la voie opposée. En sport mécanique En sport mécanique, on distingue trois points dans la trajectoire d'un virage : le point de braquage, le point de corde et le point de sortie. Notes et références Annexes Articles connexes Courbure Sous-virage Survirage Code de la route Circuit (déplacement) Infrastructure routière Vocabulaire du sport automobile
(11943) Davidhartley
(11943) Davidhartley est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Description (11943) Davidhartley est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Il fut découvert le à La Silla par Eric Walter Elst. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 3,02 UA, une excentricité de 0,05 et une inclinaison de 8,9° par rapport à l'écliptique. Compléments Articles connexes Liste des planètes mineures (11001-12000) Ceinture d'astéroïdes Références Objet céleste découvert en 1993 Astéroïde de la ceinture principale
Paul Troost
Paul Ludwig Troost (né à Elberfeld le – mort le à Munich) est un architecte allemand. Troost appartenait à une école d'architectes, tout comme Peter Behrens et Walter Gropius, qui, avant 1914, s'opposait au Jugendstil et sa propension à la décoration fournie, prêchant plutôt pour une approche architecturale plus restreinte et fine, presque sans ornementation. Troost fit son diplôme avant la Première Guerre mondiale en dessinant les intérieurs des bateaux à vapeur, puis les équipements des yachts somptueux comme l'Europa, en un style qui combinait la tradition spartiate avec des éléments modernes. Hitler N'ayant jamais été avant 1933 un des architectes majeurs de l'Allemagne, il devint un architecte hitlérien de premier plan, et son style néoclassique devint pour un temps l'architecture officielle du Troisième Reich. Son travail enthousiasmait Hitler, à tel point qu'il conçut et construisit des édifices municipaux et nationaux à travers toute l'Allemagne. À l'automne 1933, il reçut la commande de la reconstruction et de l'ameublement de la résidence de la Chancellerie de Berlin. Troost, parmi d'autres architectes, projeta et construisit des bâtiments officiels et municipaux à travers tout le pays, dont des nouveaux bâtiments administratifs, des logements sociaux pour ouvriers et des viaducs pour les principales voies rapides. Un des nombreux édifices dont il fit le projet avant de mourir fut la Haus der Kunst à Munich, ayant comme ambition de devenir un grand temple du « vrai et éternel art du peuple allemand ». Ce fut un bon exemple de cette période du Troisième Reich d'imitation des formes classiques pour un monument public, bien qu'Hitler commençait à changer de goût, se lassant de plus en plus de la sobriété du style de Troost au profit de la pompe impériale qu'il avait pu admirer à Vienne, lors de sa jeunesse, sur le Ring. La relation de Hitler à Troost fut celle d'un élève à son maître admiré. Selon Albert Speer, qui devint ensuite l'architecte favori d'Hitler, le Führer félicitait Troost avec empressement dans ces termes : « Je n'en peux plus, Herr Professor. Y a-t-il quelque chose de nouveau ? Voyons cela ! » Troost étalait alors ses derniers plans et esquisses. Hitler déclarait souvent, toujours selon Speer, que « la première fois qu'il avait appris ce qu'était l'architecture, ce fut par Troost. » La mort de l'architecte le des suites d'une longue maladie, marqua profondément Hitler. Il restera proche de sa veuve, Gerdy Troost, également architecte, dont les goûts architecturaux correspondaient aux siens, et il fit d'elle (selon les mots de Speer) « une sorte d'arbitre de l'art à Munich. » Troost fut enterré au Nordfriedhof (cimetière du nord) à Munich. La pierre tombale gravée existe encore même si le nom de famille a été retiré. Hitler décora Troost à titre posthume du Prix national allemand des Arts et des Sciences en 1936. Propos d'Albert Speer Voici ce qu'a rapporté Albert Speer de la relation de Hitler avec Troost : « Au moment voulu le destin permit à Hitler de rencontrer Troost avec il se lia d'amitié. Ce que Dietrich Eckart fut pour le Führer pour les échanges d'idées concernant la politique du monde, le professeur Troost le devint bientôt pour l'architecture. » « Les premiers bâtiments qui s'érigèrent à travers l'alliance unique de ces deux hommes fut un petit édifice original, la Maison brune (Braunes Haus), située dans la rue de Brienne (Brienner Straße) à Munich. Bien que ce ne fut qu'une reconstruction, ce fut un énorme effort comme le Führer parfois le fit remarquer. » « Les tracés de cette reconstruction virent le jour dans le modeste studio de l'architecte Troost, dans la petite maison au fond de la rue Theresien à Munich. Dans le même studio des plans furent faits pour un nouveau code de l'urbanisme, les plans de la Königsplatz à Munich, la maison des Arts allemands et beaucoup d'autres bâtiments du Führer. Les plans de ces importants bâtiments ne furent jamais vus par le Führer dans ses bureaux officiels. Pendant des années lors de ses moments perdus, il alla voir les plans des nouveaux projets directement dans l'agence de Troost. Mais le Führer ne s'est pas occupé par lui-même uniquement de la supervision des plans ; chaque détail, chaque nouveau matériau recevait son approbation et beaucoup furent améliorés grâce à des suggestions fructueuses. Ces heures de battement dans son emploi du temps devinrent, comme l'a souvent confessé Hitler, des heures de joie pure et un profond sentiment de bonheur pour lui. Elles lui firent du bien, et lui donnèrent la force de mener à bien d'autres projets. Là il eut l'opportunité, durant les quelques heures de répit que la vie politique lui accorda, de se dédier à l'art de construire. » « Pendant les hivers 1931 et 1932 il consulta Troost à propos de la future morphologie de la Königsplatz à Munich, et beaucoup de beaux projets résultèrent de ces réunions. Avant son arrivée au pouvoir la place était, comme le résultat de ces nombreuses délibérations sur les plans et les maquettes, déjà finie dans sa forme actuelle. » « En Paul Troost, artiste irremplaçable, le Führer trouva son architecte. Troost comprit comment utiliser les intentions d'Hitler et comment fournir la forme architecturale adéquate. Le Führer lors de son grand discours de la rencontre culturelle du parti du Reich en 1935, donna un éloge funèbre au Professor Troost qui ne pouvait constituer un plus bel hommage fait à un architecte de notre temps. Hitler dit : " Nous devrions être heureux et fiers que par une étrange fatalité l'Allemagne possédait le plus grand architecte depuis Schinkel, dans le nouveau Reich et pour le Parti. Il érigea ses premières et, malheureusement, seules immenses œuvres de pierre comme un monument dédié à la vraie pureté allemande et teutonique." » Références Annexes Articles connexes Architecture nazie Hauptstadt der Bewegung Bibliographie Liens externes Architecte allemand Architecture nazie Naissance en août 1878 Naissance à Elberfeld Naissance en province de Rhénanie Décès en mars 1934 Décès à Munich Décès à 55 ans Personnalité inhumée au cimetière du Nord de Munich
Jeanne Fusier-Gir
Jeanne Fusier-Gir, née Jeanne Fusier le au 53 rue Lafayette à Paris IX et morte le à Maisons-Laffitte (Yvelines), est une actrice française. À ses débuts, elle apparaît sous le nom de Jane Fusier, puis Fusier-Gir après son mariage avec le peintre Charles Gir. Biographie Fille de l'artiste dramatique Léon Fusier et de Isabelle Adolphine Mulot, Jeanne Fusier fut une des élèves de Firmin Gémier et une des interprètes préférées de Sacha Guitry. Dans Le diable boiteux, elle a été Marie-Thérèse Champignon, un amour de jeunesse de Talleyrand, dans La Poison, la fleuriste. Au théâtre, elle a joué dans des opérettes et des pièces comme No, No, Nanette de Vincent Youmans ; Une nuit chez vous, Madame de Jean de Létraz ; Il y a longtemps que je t'aime de Jacques Deval ; Une femme trop honnête d'Armand Salacrou ; Coralie et de Maurice Hennequin et Albin Valabrègue, etc. Au cinéma, de même que Pauline Carton et Alice Tissot, elle tint un dans une multitude de films, mise en scène aussi bien par Loubignac, Couzinet, Cammage... et acquiert une popularité auprès du public qui aime la retrouver, grâce à la vivacité de son jeu et à sa voix bien reconnaissable. Dans Tu m'as sauvé la vie, comtesse de Morhange, elle tombait amoureuse de Fernandel, comme d'ailleurs dans Les Cinq Sous de Lavarède de Maurice Cammage. Elle tourna aussi notamment avec Henri-Georges Clouzot et Jacques Becker dans Falbalas où elle dirige les petites mains d'une grande maison de couture. Épouse du peintre et caricaturiste Charles Gir (né Charles Félix Girard - 1883-1941), depuis le , elle était la mère de François Gir, réalisateur de télévision (1920-2003) et de Françoise Lamy, née Girard. Elle est inhumée auprès de son mari et de son fils au cimetière de Grisy-les-Plâtres. Filmographie Période muette 1909 : La Peau de chagrin de Michel Carré 1910 : Robe de fiançailles Production E-ACAD 1912 : La Poupée hollandaise Production E-ACAD 1929 : Le Crime de Sylvestre Bonnard d'André Berthomieu Période 1930-1939 1930 : Les Vacances du diable d'Alberto Cavalcanti : la standardiste 1930 : Chérie de Louis Mercanton : Mayme 1931 : Le Cheval du cinquième de Robert Rips - (court métrage) 1931 : Une idée de génie de Louis Mercanton - (court métrage) 1931 : Le Voisin du dessus de André Chotin - (court métrage) 1931 : Une histoire entre mille de Max de Rieux 1931 : Un homme en habit de René Guissart 1931 : Quand te tues-tu ? de Émile Couzinet : Virginie 1931 : La Vagabonde de Solange Bussi 1931 : La Couturière de Lunéville de Harry Lachmann : Léonie 1931 : La Chance de René Guissart : la concierge 1931 : Rien que la vérité de René Guissart : de Sampa-Larose 1932 : Maquillage de Karl Anton 1932 : Baby de Karel Lamač et Pierre Billon : la comtesse de Brétigny 1932 : La Femme poisson de Louis Mercanton - (court métrage) 1932 : Heure d'été de Robert Bossis - (court métrage) 1932 : Le Chien qui parle de Robert Rips - (court métrage) 1932 : Allô! mademoiselle de Maurice Champreux : Adèle, la soubrette 1932 : Les As du turf de Serge de Poligny : la directrice de l'atelier 1932 : Quick de Robert Siodmak : l'amoureuse de Maxime 1932 : Ce cochon de Morin de Georges Lacombe 1932 : Maruche ou Restez dîner de Robert Péguy - (court métrage) : Marie 1932 : Retour au bercail - (court métrage) 1932 : Grains de beauté de Pierre Caron : Jacqueline 1933 : Rien que des mensonges de Karl Anton : Colombe 1933 : L'Héritier du Bal Tabarin de Jean Kemm : la boniche 1933 : Je te confie ma femme de René Guissart : la domestique 1933 : Le Coq du régiment de Maurice Cammage 1933 : Crainquebille de Jacques de Baroncelli : Bayard 1933 : L'Assassin est ici de Robert Péguy - (court métrage) 1933 : Coquin de sort d'André Pellenc : Hortense Vouzon 1933 : Jacqueline fait du cinéma de Jacques Deyrmon - (court métrage) 1933 : Je suis un homme perdu de Edmond T. Gréville - (court métrage) 1933 : Quatre à Troyes de Pierre-Jean Ducis - (court métrage) 1934 : Un tour de cochon de Joseph Tzipine 1934 : Le Miroir aux alouettes de Hans Steinhoff et Roger Le Bon : la passagère 1934 : La Cinquième Empreinte de Karl Anton 1934 : Prince de minuit de René Guissart 1934 : Roi de Camargue de Jacques de Baroncelli 1934 : L'Affaire Sternberg de Robert Péguy - (court métrage) : Madame Bechu 1934 : Un bout d'essai de Walter Kapps et Emil G. de Meyst - (court métrage) 1934 : Studio à louer de Jean-Louis Bouquet : la concierge, la mère d'Estelle 1934 : Les Suites d'un premier lit, moyen métrage de Félix Gandéra : Blanche 1935 : Couturier de mon cœur de René Jayet et Raymond de Cesse 1935 : Divine de Max Ophüls : Nicou, la concierge 1935 : La Coqueluche de ces dames de Gabriel Rosca 1935 : Retour au paradis de Serge de Poligny : la baronne de Pimbêche 1935 : Train de plaisir de Léo Joannon : Culpas 1935 : Voyage d'agrément de Christian-Jaque 1935 : Le Coup de trois de Jean de Limur : Popolka 1935 : Ernest a le filon de Andrew F. Brunelle - (court métrage) 1935 : Monsieur Prosper de Robert Péguy - (court métrage) 1935 : Et moi, j'te dis qu'elle t'a fait de l'œil de Jack Forrester : Anne-marie 1936 : L'Homme du jour de Julien Duvivier : la chanteuse 1936 : Les Gaietés du palace de Walter Kapps : la comtesse de Malpeignet 1936 : Pantins d'amour de Walter Kapps 1936 : La Reine des resquilleuses de Max Glass et Marco de Gastyne 1936 : Trois artilleurs au pensionnat de René Pujol : Désirée, l'institutrice 1936 : Blanchette de Pierre Caron : Mme Michu 1936 : Une poule sur un mur de Maurice Gleize 1936 : La Loupiote de Jean Kemm : la mère de Ballot 1936 : Marinella de Pierre Caron : Irma 1936 : Œil de lynx, détective de Pierre-Jean Ducis : Gorien 1937 : Claudine à l'école de Serge de Poligny : Griset 1937 : À minuit, le 7 de Maurice de Canonge : Pichecolle, la concierge 1937 : Cinderella de Pierre Caron : Mataplan 1937 : Un soir à Marseille de Maurice de Canonge : la femme de ménage 1937 : Boulot aviateur de Maurice de Canonge : la cuisinière 1937 : Mon député et sa femme de Maurice Cammage 1937 : Miarka, la fille à l'ourse de Jean Choux : la gouvernante 1937 : Un carnet de bal de Julien Duvivier : la marchande de journaux 1937 : La Citadelle du silence de Marcel L'Herbier : la fille du majordome 1938 : Les Femmes collantes de Pierre Caron : la bonne des Mourillon 1938 : La Route enchantée de Pierre Caron : Gwendeline 1938 : Gosse de riche de Maurice de Canonge : Victor 1938 : Petite Peste de Jean de Limur : Mustel 1938 : La Marraine du régiment de Gabriel Rosca 1938 : Mon curé chez les riches de Jean Boyer : la dame patronnesse 1938 : Place de la Concorde de Carl Lamac 1938 : Remontons les Champs-Élysées de Sacha Guitry 1939 : Les Cinq Sous de Lavarède de Maurice Cammage : la princesse Djali 1939 : L'Intrigante de Émile Couzinet : Angèle 1939 : Narcisse de Ayres d'Aguiar : la tante 1939 : Tourbillon de Paris de Henri Diamant-Berger 1939 : Gargousse de Henry Wulschleger : Anaïs Lebrennois 1939 : Le Feu de paille de Jean Benoît-Lévy : Goulevin, la concierge 1939 : Le Chemin de l'honneur de Jean-Paul Paulin : Augustine, la bonne 1939 : Une main a frappé de Gaston Roudès : la voyante Cléopâtre Période 1940-1949 1940 : Ils étaient cinq permissionnaires de Pierre Caron : Prune 1940 : L'Irrésistible rebelle ou Une idée à l'eau de Jean-Paul Le Chanois 1941 : Pêchés de jeunesse de Maurice Tourneur : Henriette Noblet 1941 : Le Destin fabuleux de Désirée Clary de Sacha Guitry : Albertine, la servante 1942 : L'Honorable Catherine de Marcel L'Herbier : une invitée 1942 : L'ange gardien de Jacques de Casembroot 1943 : Monsieur des Lourdines de Pierre de Hérain : Perrette 1942 : Le Voile bleu de Jean Stelli : Eugénie 1943 : La Cavalcade des heures d'Yvan Noé : la femme de Léon 1943 : Marie Martine d'Albert Valentin : Crémier 1943 : Donne-moi tes yeux de Sacha Guitry : Clotilde 1943 : Le Corbeau de Henri-Georges Clouzot : la mercière 1943 : La Malibran de Sacha Guitry : la concierge 1943 : Vingt-cinq ans de bonheur de René Jayet : tante Béatrice 1943 : Coup de tête de René Le Hénaff : Lambercier 1944 : Falbalas de Jacques Becker : Paulette 1945 : Paméla, de Pierre de Hérain : La Montensier 1945 : Madame et son flirt de Jean de Marguenat : la vraie Léa 1945 : L'Insaisissable Frédéric de Richard Pottier : Justine 1945 : Trente et quarante de Gilles Grangier : Agathe 1946 : Nuit sans fin de Jacques Séverac : la mercière 1947 : Plume la poule, de Walter Kapps 1947 : Quai des Orfèvres d'Henri-Georges Clouzot : Pâquerette, la dame du vestiaire 1947 : Le Diamant de cent sous de Jacques Daniel-Norman 1947 : Une mort sans importance d'Yvan Noé : Joséphine 1947 : Bichon de René Jayet : tante Pauline 1947 : Mademoiselle s'amuse de Jean Boyer : Agathe 1948 : Le voleur se porte bien de Jean Loubignac : Dumontier 1948 : Le diable boîteux de Sacha Guitry : Marie-Thérèse Champignon 1948 : La Voix du rêve de Jean-Paul Paulin : Amélie 1948 : Ma tante d'Honfleur de René Jayet : Dorlange 1948 : Deux amours de Richard Pottier : Poucette 1949 : Toâ de Sacha Guitry : Maria La Huchette 1949 : Le Trésor de Cantenac de Sacha Guitry : Lacassagne, la mercière 1949 : Le Martyr de Bougival de Jean Loubignac : maître Brigitte 1949 : Tête blonde de Maurice Cam : Mélanie 1949 : Millionnaires d'un jour d'André Hunebelle : Louise 1949 : Menace de mort de Raymond Leboursier : Jeanne 1949 : Miquette et sa mère d'Henri-Georges Clouzot : Poche 1949 : À la culotte de zouave de Henri Verneuil - (court métrage) Période 1950-1959 1950 : Tu m'as sauvé la vie de Sacha Guitry : la comtesse de Morhange 1950 : Le Clochard milliardaire de Léopold Gomez : Marie 1950 : Coq en pâte de Carlo Felice Tavano : tante Clémentine 1950 : Et moi j'te dis qu'elle t'as fait d'l'œil de Maurice Gleize : Lespinois 1951 : Mon phoque et elles de Pierre Billon : Pierrat 1951 : Min vän Oscar de Pierre Billon et Ake Ohberg - (version suédoise du film précédent) 1951 : Deburau de Sacha Guitry : Raboin 1951 : La Poison de Sacha Guitry : la fleuriste 1951 : Les Deux Monsieur de Madame de Robert Bibal : Chèvre 1951 : Chacun son tour d'André Berthomieu : la baronne 1951 : L'Amour, Madame de Gilles Grangier : Berthe 1952 : Buridan, héros de la Tour de Nesle de Émile Couzinet : Gillonne 1952 : Le Trou normand de Jean Boyer : Maria, la servante 1952 : Le Curé de Saint-Amour d'Émile Couzinet : la marquise de Saint-Ange 1952 : Monsieur Taxi d'André Hunebelle : Angèle, la patronne d'une maison de rendez-vous 1952 : Quand te tues-tu ? de Émile Couzinet : Virginie 1952 : Les femmes sont des anges de Marcel Aboulker : Léontine 1952 : Des quintuplés au pensionnat de René Jayet : Adélaïde 1952 : Bacchus mène la danse de Jacques Houssin - (Film resté inachevé) 1953 : Belle Mentalité ! d'André Berthomieu : Fleury 1953 : La Famille Cucuroux d'Émile Couzinet : Célestine 1953 : Piedalu député de Jean Loubignac 1953 : La rafle est pour ce soir de Maurice Dekobra : Vernaux 1953 : Faites-moi confiance de Gilles Grangier : Vréture 1954 : Si Versailles m'était conté... de Sacha Guitry : une révolutionnaire 1954 : Les Fruits de l'été de Raymond Bernard : Mademoiselle 1954 : Le Congrès des belles-mères d'Émile Couzinet : la baronne de Courtebise 1954 : Napoléon de Sacha Guitry : Leroy (coupée au montage) 1955 : Les Révoltés (Il mantello rosso) de Giuseppe Maria Scotese 1955 : Treize à table d'André Hunebelle : la tante 1955 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry : l'aubergiste 1955 : Mannequins de Paris d'André Hunebelle : Gabrielli 1956 : Les Sorcières de Salem de Raymond Rouleau : Martha Corey 1956 : Le Septième Commandement de Raymond Bernard : tante Amélie 1956 : Les carottes sont cuites de Robert Vernay : Hélène, une amie fidèle des Boyer 1956 : Ah ! Quelle équipe de Roland Quignon : la concierge 1957 : C'est arrivé à 36 chandelles d'Henri Diamant-Berger : elle-même 1957 : Les Vignes du Seigneur de Jean Boyer : la tante Aline Tremplin 1958 : Marie-Octobre de Julien Duvivier : Victorine, la gouvernante 1959 : À rebrousse-poil de Pierre Armand : la concierge Période 1960-1966 1960 : Au cœur de la ville de Pierre Gautherin 1961 : L'Éventail de Lady Windermere de François Gir : la duchesse de Berwick 1961 : À rebrousse-poil de Pierre Armand : la concierge 1962 : Du mouron pour les petits oiseaux de Marcel Carné : Pain 1962 : Césarin joue les étroits mousquetaires d'Émile Couzinet 1963 : Cadavres en vacances ou Pas folles les guêpes de Jacqueline Audry : Berthe Bordin 1964 : La Chance et l'amour d'Eric Schlumberger, dans le sketch : Les fiancés de la chance : Pillaud 1965 : Les Mordus de Paris de Pierre Armand 1966 : Le Jardinier d'Argenteuil de Jean-Paul Le Chanois : Son Altesse Théâtre 1903 : Antoinette Sabrier de Romain Coolus, Théâtre du Vaudeville 1904 : L'Esbrouffe d'Abel Hermant, Théâtre du Vaudeville 1905 : Monsieur Piégois d'Alfred Capus 1905 : Bertrade de Jules Lemaître, Théâtre de la Renaissance 1906 : La Griffe d'Henri Bernstein, Théâtre de la Renaissance 1907 : La Course du flambeau de Paul Hervieu, Théâtre Réjane 1907 : Raffles de Ernest William Hornung et Eugene Wiley Presbrey, Théâtre Réjane 1908 : L'Impératrice de Catulle Mendès, Théâtre Réjane 1908 : Qui perd gagne de Pierre Veber d'après Alfred Capus, Théâtre Réjane 1909 : La Course du flambeau de Paul Hervieu, Théâtre Réjane 1909 : Le Refuge de Dario Niccodemi, Théâtre Réjane 1909 : La Maison de danses de Fernand Nozière et Charles Müller d'après Paul Reboux, Théâtre du Vaudeville 1910 : César Birotteau d'après Honoré de Balzac, adaptation Émile Fabre, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre Antoine 1911 : Marie-Victoire d'Edmond Guiraud, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre Antoine 1912 : Les Petits de Lucien Népoty, Théâtre Antoine 1913 : Le Procureur Hallers de Louis Forest et Henry de Gorsse d'après Paul Lindau, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre Antoine 1916 : L'École du piston de Tristan Bernard, Théâtre Antoine 1916 : L'Illusionniste de Sacha Guitry, Théâtre des Bouffes-Parisiens 1918 : Deburau de Sacha Guitry, Théâtre du Vaudeville 1919 : La Jeune Fille aux joues roses de François Porché, Théâtre Sarah Bernhardt 1925 : Le Lâche d'Henri-René Lenormand, mise en scène Georges Pitoëff, Théâtre des Arts 1927 : Fanny et ses gens de Pierre Scize et Andrée Méry d'après Jerome K. Jerome, mise en scène Edmond Roze, Théâtre Daunou 1937 : Les Précieuses ridicules de Molière, mise en scène René Rocher, Théâtre du Vieux-Colombier 1942 : N'écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine 1943 : À la gloire d'Antoine de Sacha Guitry, Théâtre Antoine 1945 : La Revue des Capucines, livret de Pierre Louki, Mauricet, Serge Veber, musique de Mitty Goldin, Perre Mercier, Raoul Moretti, mise en scène Louis Blanche, Théâtre des Capucines 1946 : Jeux d'esprits de Noel Coward, mise en scène Pierre Dux, Théâtre de la Madeleine 1948 : Le Diable boiteux de et mise en scène Sacha Guitry, Théâtre Edouard VII 1949 : Toâ de Sacha Guitry, Théâtre du Gymnase 1950 : Deburau de et mise en scène Sacha Guitry, Théâtre du Gymnase 1951 : Une folie de et mise en scène Sacha Guitry, Théâtre des Variétés 1952 : Le Cocotier de Jean Guitton, mise en scène Paule Rolle, Théâtre du Gymnase 1952 : N'écoutez pas, mesdames ! de Sacha Guitry, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Variétés 1953 : Frère Jacques d'André Gillois, mise en scène Fernand Ledoux, Théâtre des Variétés 1954 : Frère Jacques d'André Gillois, mise en scène Fernand Ledoux, Théâtre des Célestins 1954 : Carlos et Marguerite de Jean Bernard-Luc, mise en scène Christian-Gérard, Théâtre de la Madeleine 1955 : Il y a longtemps que je t'aime de Jacques Deval, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre Edouard VII 1955 : L'Éventail de Lady Windermere d'Oscar Wilde, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre Hébertot, 1956 : Théâtre Daunou 1957 : Une femme trop honnête d'Armand Salacrou, mise en scène Georges Vitaly, Théâtre Édouard VII 1959 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, mise en scène André Roussin, Théâtre de la Madeleine 1959 : Les Choutes de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Jean Wall, Théâtre des Nouveautés 1960 : Les Glorieuses d'André Roussin, mise en scène de l'auteur, Théâtre royal du Parc, Théâtre de la Madeleine 1961 : Niki-Nikou de Jacques Bernard, mise en scène Christian-Gérard, Théâtre de la Potinière 1961 : Coralie et Compagnie de Maurice Hennequin et Albin Valabrègue, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre Sarah Bernhardt 1962 : N'écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry, mise en scène Jacques Mauclair, Théâtre de la Madeleine 1963, 1964 : La Voyante d'André Roussin, mise en scène Jacques Mauclair, Théâtre de la Madeleine Opérettes et comédies musicales 1921 : Ouin-Ouin, revue de Battaille-Henri à la Gaieté Rochechouart. 1926 : No, No, Nanette comédie musicale, adaptation française au théâtre Mogador Notes et références Voir aussi Bibliographie Olivier Barrot et Raymond Chirat, Noir et Blanc - 250 acteurs français du cinéma français 1930-1960, Paris, Flammarion, 2000, Liens externes Jeanne Fusier-Gir sur le site L'encyclopédie multimédia de la comédie musicale théâtrale en France (1918-1944). Actrice française de cinéma Chanteuse d'opérette Chanteuse française du XXe siècle Naissance en avril 1885 Naissance dans le 9e arrondissement de Paris Décès en avril 1973 Décès à Maisons-Laffitte Décès à 88 ans Actrice française de théâtre
Nikon Coolpix 950
Le Nikon Coolpix 950 est un appareil photographique numérique sorti en 1999 de type compact fabriqué par Nikon de la série de Nikon Coolpix. C'est un appareil-photo compact avec un corps sur pivot aux dimensions de 14,3 x 7,65 x 3,65 cm, une définition de 2,1 mégapixels et un zoom optique de 3x. Sa portée minimum de la mise au point est de 2 cm. L’ajustement de l'exposition est possible dans une fourchette de ±2,0 par paliers de 0,33 EV. La balance des blancs se fait de manière automatique, mais également semi-manuel avec 5 options préréglées (fin, lumière incandescent, trouble, éclair et tubes fluorescents). Son flash incorporé a une portée effective de 9 m et dispose de la fonction atténuation des yeux rouges. Le principal défaut de l'appareil-photo est la porte de logement de la batterie, qui est fragile. En plus, beaucoup d'utilisateurs ont constaté que même un choc mineur sur l'appareil-photo endommageait la motorisation de mise au point automatique, ayant pour résultat des réparations coûteuses. Il a été remplacé par le Coolpix 990 et sa production est maintenant arrêtée. Caractéristiques Année de sortie : 1999 Boitier : Alliage de magnésium Capteur CCD 1/2 pouce : 2,1 millions de pixels Zoom optique : 3x, numérique : 2,5x Distance focale équivalence 35 mm : 38-115 mm Ouverture de l'objectif : F/2,6-F/4 Vitesse d'obturation : 8 à 1/750 seconde Sensibilité : ISO 80 - 100 - 160 - 320 Stockage : CompactFlash Définition image : 640x480 - 1024x768 - 1600x1200 au format JPEG et TIFF Connectique : Série, sortie vidéo composite phone (RCA) Écran LCD de 2 pouces - matrice active TFT de 130 000 pixels Batterie : 4 piles alcalines AA (LR6) autonomie : 60 min Poids : 400 g Finition : noir Voir aussi Coolpix 900 Coolpix 900s Coolpix 910 Coolpix 990 Coolpix 995 Liens externes Test du Nikon Coolpix 950 Nikon Coolpix 950 Review (Eng) Avis d'utilisateurs Nikon Coolpix 950 (de 2001 à 2004) Appareil photographique numérique Coolpix 950
Aggravation (cocktail)
Aggravation est le nom d'un cocktail reconnu comme grand classique, préparé au shaker avec glaçons, se sert on the rocks ou sur glace pilée. Il se compose de lait, liqueur de café et de crème fraîche liquide à mesure égale, à quoi il faut ajouter du sucre de canne. Les doses recommandées sont : Bibliographie Page 34 du Difford's Guide to Cocktails, Volume 7 par Simon DiffordÉd. : Sauce Guides Limited, 2008 - (432 pages) Références Cocktail à base de liqueur
Jean-Paul Gaidoz
Jean-Paul Gaidoz est un footballeur français né le à Warmeriville (Marne). Cet avant-centre formé au Stade de Reims, a évolué ensuite à Valenciennes, Angers et Cannes. Carrière de joueur 1963-1967 : Stade de Reims 1967-1970 : US Valenciennes Anzin 1970-1973 : SCO Angers 1973-1977 : AS Cannes Palmarès Champion de France D2 en 1966 (avec le Stade de Reims) Challenge des champions 1966 (avec le Stade de Reims). Notes et références Footballeur français Joueur du SCO Angers Joueur de l'AS Cannes Joueur du Stade de Reims Joueur du Valenciennes FC Naissance dans la Marne Naissance en août 1942
Grand Séminaire de Québec
Le Grand Séminaire de Québec a été fondé en 1663 par le premier évêque en Nouvelle-France, Monseigneur François de Laval afin de former des prêtres pour ce nouveau territoire. Historique Le Grand Séminaire de Québec a été fondé en même temps que la communauté des prêtres du Séminaire de Québec car, dans l'Acte de fondation du Séminaire de Québec, François de Montmorency-Laval réunit ses prêtres en société d'abord pour veiller à la formation des futurs prêtres. Il était situé, jusqu’en 2018, dans l’ensemble des édifices du Séminaire de Québec du Vieux-Québec. Ancien Grand Séminaire vers 1900, photos de Livernois Aujourd'hui, plusieurs diocèses francophones du Canada envoient leurs séminaristes en formation au Grand Séminaire de Québec. Les cours de théologie sont dispensés par l'Université Laval. La formation spirituelle, liturgique et humaine est donnée par une équipe de prêtres et de laïques. Pour une histoire détaillée, voir les pages créées pour le 325e anniversaire du Grand Séminaire de Québec en 1988. Nouvelle demeure Le cardinal Gérald Cyprien Lacroix, archevêque de Québec, procéde le à la bénédiction de la nouvelle demeure du Grand Séminaire où se poursuit la formation des futurs prêtres. Cette maison, connue auparavant sous le nom de Résidence Notre-Dame-de-Recouvrance, située au 233, avenue Giguère à Vanier dans l’arrondissement Les Rivières, abritait une quinzaine de religieuses de la communauté des Sœurs du Bon Pasteur de la Divine Providence de Québec qui ont quitté les lieux. Étapes de formation La première étape est une année de préparation permettant au séminariste d'acquérir la formation de base nécessaire afin de faire suite au projet de devenir prêtre. Elle se termine avec le rite d'admission, qui confirme l'entrée officielle du séminariste à la formation au sacerdoce. La deuxième étape a une durée approximative de trois ans, où le séminariste complète ses études au baccalauréat en théologie. Il devra de plus acquérir de l'expérience pastorale en participant à des activités extérieure du séminaire. Les ministères du lectorat et de l'acolytat peuvent être demandé par le candidat pendant la deuxième étape. La troisième étape se vit en paroisse pendant deux ans. Le séminariste doit travailler en collaboration avec une équipe de prêtres, diacres et laïques engagés dans l'animation pastorale d'une paroisse. Le séminariste est évalué par le Grand Séminaire. La quatrième étape se veut un retour sur l'expérience du stage en paroisse, et la continuité des études en théologie mais cette fois au second cycle. Normalement, cette étape a une durée d'une ou deux années. Le séminariste sera ordonné diacre pendant ou à la fin de cette étape. Au minimum six mois doivent s'écouler entre l'ordination au diaconat et l'ordination au presbytérat. Cette dernière ordination marque la fin du cheminement en tant que séminariste. Notes et références Voir aussi Articles connexes Pavillon Louis-Jacques-Casault, qui abritait à l'origine le Grand Séminaire Grand séminaire de Montréal Séminaire de Québec Liens externes Grand Séminaire de Québec Quebec Quebec École à Québec (ville) Catholicisme au Québec
Osasco (Brésil)
Osasco est une ville brésilienne de l'État de São Paulo. Sa population était estimée à en 2009. La municipalité s'étend sur dans la banlieue de São Paulo à une distance d'environ à l'ouest. Histoire Période pré-précolombienne De nombreuses tribus indiennes Tupi-Guarani ont habité la région depuis la période pré-Cabral. Période coloniale Le premier groupe de colons de règlement a été la ville de Quitaúna, fondée au , où a vécu le pionnier Antonio Tavares Raposo et où il est enterré. ce village s'est vidé au avec la découverte d'or dans le Minas Gerais. Dans la région où se trouve aujourd'hui Osasco et dans ses environs se trouvaient plusieurs sites et exploitations agricoles. Près des rives de la rivière Tietê, au , il y avait un village de pêcheurs et de grandes fermes. L'une d'entre elles appartenait à l'Italien Antonio Agù, et une autre à Manuel Rodrigues, un Portugais. Période moderne Antonio Agù a été propriétaire de plusieurs entreprises et de terres dans la région, et en 1887 il a acheté une parcelle de terrain à du chemin de fer de Sorocabana. Autour de 1890, il a décidé d'élargir sa petite usine de briques, avec l'aide du baron Sensaud Lavaud. La poterie, qui fabriquait des briques et tuiles, a également commencé à produire des tuyaux et des céramiques, créant ainsi une première activité industrielle. Après de nouvelles initiatives en 1895, Agu a construit la gare de chemin de fer, ce qui a entrainé celle de plusieurs maisons dans le voisinage pour loger les ouvriers chargés des travaux. Les dirigeants du chemin de fer voulurent donner à la gare le nom du développeur principal de la région, mais Antonio Agu a demandé que cet honneur ne soit pas été donné à lui, mais à son village natal en Italie: Osasco. Par la suite, Osasco, fut connue dans la région et n'a cessé de croître, et de nombreuses personnes connues et plusieurs industries clés se sont installés là-bas. Une main-d'œuvre immigrée a été embauché pour faire fonctionner les machines de ces industries. Les immigrants provenaient principalement d'l'Italie, d'Espagne, du Portugal,d'Allemagne et d'Irlande. Avec l'accroissement de la population des travailleurs, le développement du commerce est également devenu possible, développé par des colonies essentiellement arménienne, libanaise et juive. Dans les zones rurales, de nombreux immigrants japonais se sont mis à planter des légumes. Ce mélange de populations immigrées marque déjà l'identité de la ville actuelle. C'est d'Osasco qu'est parti le premier vol d'Amérique latine, effectué par le jeune et enthousiaste baron Dimitri Sensaud Lavaud. Période contemporaine Osasco a grandi en termes de population et de commerce, mais, malgré ces progrès, n'est à ce jour rien de plus qu'un simple sous-district de la ville de São Paulo. En 1952 vint la première manifestation d'émancipation. Ce mouvement de libération a subi de nombreux revers et des oppositions, mais finalement, après un difficile plébiscite le , Osasco est devenu une municipalité. L'année suivante, la Banco Brasileiro de Descontos (maintenant appelé Bradesco), dont le siège est à Cidade de Deus, district d'Osasco près de la frontière avec São Paulo, a organisé et mis en service la Suburban Telephone Company Paulista - COTESP. La nouvelle société prévoyait initialement d'équiper la nouvelle municipalité de trois mille terminaux téléphoniques, fonctionnant avec 48 préfixes. Le COTESP a été fusionnée dans Telesp en 1974. La zone de la ville d'Osasco a été progressivement divisée en nouveaux centres d'appel – Rochdale, Santo Antonio, Quitaúna et Menck, outre la zone centrale. Le , les travailleurs de Cobrasma se sont mis en grève pour protester contre la mort de leurs collègues dans les chaudières et la baisse des salaires. Cette loi a cette dispontando contre le régime militaire de l'époque. L'explosion de la Osasco Plaza Shopping le a été causée par une fuite souterraine de gaz. 42 personnes sont mortes et 300 ont été blessés. Cet accident a été diffusé dans les médias nationaux et internationaux. Géographie Située dans le sud-est du Brésil, dans l'état de São Paulo, sur le plateau de Piratininga à d'altitude, son climat est de type subtropical, avec de température moyenne. Elle est traversée par deux rivières, le Rio Tietê et le Rio, qui se jettent l'un dans l'autre avant de traverser tout l'État de São Paulo et de se jeter dans le Rio Paraná. Sa population était de au recensement de 2009. La municipalité s'étend sur . Climat Le climat de Osasco est de type subtropical humide. Les températures dépassent rarement en été et le gel est exceptionnel en hiver. Les précipitations sont abondantes, atteignant par an. Les mois les plus chauds sont également les plus humides. Pas plus que les environs, la ville n'est pas exposée aux cyclones tropicaux. Hydrographie Currency Baronesa Currency Bussocaba Currency da Divisa Currency Continental Currency Areia Lac du Parc Chico Mendes Lac du Jardim Três Montanhas. Currency Joao Alves Currency Rouge Rivière Tietê Démographie Actuellement, Osasco est la sixième plus grande ville de l'état de Sao Paulo. Population urbaine : Hommes : Femmes : Densité de population : Mortalité infantile d’un an (pour ): 15,62 Espérance de vie humaine (années): 71,35 Taux de natalité : 1,94 Alphabétisation: 94,24 % Indice de développement humain (IDH-M): 0,818 IDH-M Revenu: 0,769 IDH-M Longévité: 0,772 IDH-M Éducation: 0,913 Source : IPEADATA - Dados do Censo 2000. Ethnie Religion Source : IBGE 2000. Évolution démographique de la ville de Osasco Source : IBAM. Crime La ville de Osasco, ainsi que le grand Sao Paulo, a connu une baisse de la criminalité au cours des années récentes, en particulier pour le taux d'homicides pour : 1999 : -37,61 % pour ; 2004 : -26,09 % pour ; 2008 : -14,82 % pour ; 2010 : -13,98 % pour . Depuis décès de l'agression est tombé 70,93 % pour en 1999 à 37,61 % pour en 2004 une réduction de 47 %, selon Seade. Villes voisines Osasco est voisine des quatre municipalités (municípios) suivantes : São Paulo Barueri Carapicuíba Cotia Quartiers Transports Osasco en raison de sa proximité à São Paulo, a un transit similaire à la capitale de l'État. Dans la ville peut être trouvé le moyen de transport routier et ferroviaire. Les routes principales Avenue des Autonomistes (Avenida Dos Autonomistas). Artère qui relie la frontière avec le São Paulo à la frontière avec Carapicuíba, en passant par les quartiers: Vila Yara, Vila Campesina, Vila Osasco, Centro et Quitaúna. Viaduc de Reinaldo de Oliveira. Avenue Maria Campos. Connecte le centre-ville à la ville, passant devant centre commercial Power Center Osasco. Viaduc du Président Tancredo Neves (Viaduto Pres. Dr. Tancredo de Almeida Neves). Raccorde à les zones nord et sud de la municipalité. Trains La ville est desservie par les trains de la ligne 8 et la ligne 9 du CPTM. Les stations sont les suivantes: Presidente Altino (lignes 8 / 9) Osasco (ligne 8 / 9) Commandant Sampaio (ligne 8) Quitaúna (ligne 8) Routes Osasco est devenu un important nœud routier avec la Rodovia Anhangüera, la Rodovia Castelo Branco, - l'accès principal à la ville. la Rodovia Raposo Tavares et le Rodoanel Mário Covas. Aéroports de São Paulo São Paulo est desservie par les aéroports de Cumbica/Guarulhos (vols nationaux et internationaux) et Congonhas (vols nationaux) ayant des liaisons quotidiennes avec les grandes capitales mondiales. Compagnies de bus Viação Osasco Auto Viação Urubupunga Terminaux de bus principaux Osasco Terminal Aguiar Amador (Vila Yara) Terminal de Largo Osasco Road Osasco Maires Éducation Universités et facultés Centro Universitário FIEO (UNIFIEO) Universidade Federal de São Paulo (UNIFESP)pour inaugurer en 2012 Faculdade Fernão Dias Faculdade Integração Zona Oeste (Fizo)- Anhanguera Faculdade FIPEN Osasco il y a plus de six pouvoirs conférés par la MEC. Collèges techniques Faculdade de Ciências da Fundação Instituto Tecnológico de Osasco (Fac-FITO) Fundação Instituto Tecnológico de Osasco (FITO) Escola Técnica Estadual (ETEC de Osasco) Serviço Nacional de Aprendizagem Industrial (Escola Senai Nadir Dias de Figueredo) Serviço Nacional de Aprendizagem Comercial (SENAC) Faculdade de Tecnologia do Estado de São Paulo (FATEC) Grandes écoles et instituts de formation professionnelle Santé Les grands hôpitaux de la ville AACD Association d'aide aux enfants handicapés Hôpital Cruzeiro do Sul Hôpital et Maternité Amador Aguiar Hôpital et Maternité João Paulo II Hôpital Montreal S/A Hôpital Municipal Antônio Gíglio Hôpital (Régional) Hôpital et Maternité Sino Brasileiro Culture Principaux théâtres Théâtre municipal d'Osasco Espaço Grande Otelo Théâtre do Sesi Bibliothèques Bibliothèque Municipal Monteiro Lobato Bibliothèque Hector Sinegalia Bibliothèque Manoel Fiorita Bibliothèque de l'Université FIEO Center () Bibliothèque de la Faculté des FITO Musée Musée Dimitri Sensaud de Lavaud Lieux culturels Centro de Eventos Pedro Bortolosso Espaço Cultural Grande Otelo Établissement d'enseignement culturel École des Arts César Antonio Salvi Chambres d'événements culturels Casa de Angola Casa do Violeiro do Brasil Loisirs et l'environnement Parc Ecológico Nelson Vilha Dias Parc Municipal Dionísio Alvares Mateos Parc Municipal Chico Mendes Parc Clóvis Assaf Parc de Laser Antônio Temporim Parc Ecológico Jardim Piratininga Économie Dans le passé, Osasco était une ville industrielle, mais elle a perdu ce statut après la décentralisation industrielle. La ville a un PIB de mil R$ (BR: 10º). Grandes entreprises Municipales Marchés Mercado Municipal de Osasco Shopping Centers Osasco Plaza Shopping Super Shopping Osasco Shopping União de Osasco Centres Mini Shopping Primitiva (premier centre commercial appelé "Shopping" dans la ville) Shopping Galeria Osasco Prime Center Succursales de banques Bradesco Banco do Brasil Caixa Econômica Federal Nossa Caixa Santander Real HSBC Unibanco Itaú Citibank Banco Safra Banco Panamericano Sports Football Le principal club de football de la cité de Osasco : Grêmio Esportivo Osasco. Volley-ball Le principal club de volley-ball de la cité de Osasco : FINASA Clubs Sollys/Osasco Associação Cristã de Moços/ACM SESI Jardim Piratininga Clube Floresta Clube dos Subtenentes e Sargentos do II Exército Les compétitions sportives San Antonio Race, a lieu chaque année près de la journée qui est vénéré patron de la ville (juin 13) - organisé par le Centre de l'Université FIEO University Games Osasco Circuit de course et de marche - Marketing Sports Il a été la première ville à accueillir le Circuit de course pour la nature course et la marche effectuée par SportsFuse - Sports Marketing et Dizplay Media Parmi les médias dans la ville, notamment: Les journaux imprimes Diário da Região ; Visão Oeste ; Página Zero ; Correio Paulista; Jornal do Trem; Les journaux web Portal PlanetaOsasco.com; Webdiário; Station de rádio Nova Difusora 1540 AM e; Radio Iguatemi AM. Radio Terra FM. Station de Télévision Sistema Brasileiro de Televisão (SBT), canal 04 VHF (São Paulo); Nova Geração de Televisão (NGT), canal 48 UHF; TV Shop Tour canal 46 UHF; TV Osasco, canal 22 UHF; Net Serviços de Comunicação e; RedeTV, canal 09 VHF (São Paulo). Personnalités liées à la ville Adriana Nascimento Antonio Agù Guitom Santa Cruz Hirant Sanazar José Bonifácio de Oliveira Sobrinho Manoel Leão Silas Bortolosso Silvio Pereira Sônia Lima Zezeh Barbosa Naissance de sportifs Football Rodrygo André Lima Pedro Cristiane Rozeira de Souza Silva Cristiano Lima da Silva Eduardo Marques de Jesus Passos Igor Nascimento Soares Jair da Costa Júlio Santos Júlio Terceiro Kléber Giacomance de Souza Freitas Paulinho Kobayashi Vágner Benazzi Jumelages La ville de Osasco est jumelée avec : Notes et références Notes Références Annexes Bibliographie Sanazar, Hirant. Osasco - Sua história, sua gente. Osasco: ed. do autor, 2003. Favarao, Mazé. Osasco conta sua história através dos bairros. Osasco: Secretaria de Educação, 2007. Metroviche, Eduardo. Osasco - Um século de fotografia. Osasco: Maxprint Editora, 2007. Pavao, Lucas. Memórias...Algumas histórias de Lucas Pavão na antiga Vila de Osasco. Osasco: Edifieo, 2010. Articles connexes Mésorégion métropolitaine de São Paulo Microrégion d'Osasco Liens externes Site officiel de la municipalité Camara WikiMapia de Osasco Osasco, Brazil
Vissoie
Vissoie est une localité et une ancienne commune de Suisse, située dans le canton du Valais. Histoire Village médiéval où Seigneurs et Châtelains ont élu domicile dès le . À 82,6 %, les citoyens de l'ancienne commune de Vissoie ont accepté, le , la fusion avec cinq autres communes du Val d'Anniviers pour former la nouvelle commune d'Anniviers. Depuis le , la fusion est effective. Lieu Vissoie, 1204m, est situé au centre de la vallée. Le village de Vissoie comporte 2 hôtels, 3 restaurants, 2 banques, 2 bancomats, 1 postomat, une pharmacie, 2 médecins, le centre scolaire pour l'ensemble de la vallée, une église, une poste, un camping (Camping d'Anniviers), une salle de spectacle et d'exposition http://www.touranniviers.ch/, une piscine, un skate-park et une patinoire. Accès Autoroute de Lausanne-Simplon. Sortie Sierre-est, direction Val d'Anniviers à 14 km par une pittoresque route de montagne. La localité est desservie par CarPostal. Personnalités nées à Vissoie Aloys Theytaz (1909-1968), écrivain, journaliste et personnalité politique Bernard Crettaz (né en 1938), sociologue et ethnologue Philippe Theytaz (né en 1945), écrivain et consultant en relations humaines Références Voir aussi Bibliographie Paul-André Florey, Vissoie : village médiéval du Val d'Anniviers. Visite de quelques lieux historiques de Vissoie : témoignages, Éditions à la Carte, Sierre, 2003, 240 p. Galerie Ancienne commune dans le canton du Valais Localité dans le canton du Valais Site construit à protéger dans le canton du Valais
Pierre Edelman
Pierre Edelman est un producteur de films français. Il est pendant un temps l'époux de Victoria Abril. Il a été journaliste avant de devenir producteur. C'est par son entremise que David Lynch, fatigué du système de production américain qui ne lui laisse pas assez de liberté, sera produit en France, d'abord chez Ciby 2000. Il mettra ensuite le réalisateur en relation avec Alain Sarde puis StudioCanal. Filmographie 1974 : Mes petites amoureuses de Jean Eustache 1980 : Extérieur, nuit de Jacques Bral 1991 : Talons aiguilles de Pedro Almodóvar 1995 : The Wife de Tom Noonan 1999 : Une histoire vraie de David Lynch 1999 : Tout sur ma mère de Pedro Almodóvar 2001 : Speaking of Sex 2001 : Mulholland Drive de David Lynch 2002 : All or Nothing de Mike Leigh 2004 : La vie est un miracle de Emir Kusturica 2006 : Inland Empire de David Lynch Notes et références Lien externe Producteur français de cinéma Date de naissance non renseignée (XXe siècle)
Siphonopidae
Les Siphonopidae sont une famille de gymnophiones. Elle a été créée par Charles-Lucien Bonaparte en 1850. Répartition Les espèces des cinq genres de cette famille se rencontrent en Amérique du Sud. Liste des genres Selon : Brasilotyphlus Taylor, 1968 Luetkenotyphlus Taylor, 1968 Microcaecilia Taylor, 1968 Mimosiphonops Taylor, 1968 Siphonops Wagler, 1828 Taxinomie Considérée par le passé comme synonyme des Caeciliidae, elle a été rétablie par Wilkinson, San Mauro, Sherratt et Gower en 2011 Publication originale Bonaparte, 1850 : Conspectus systematum Herpetologiae et amphibiologiae. Editio altera reformata. Liens externes Notes et références Siphonopidae Famille de gymnophiones (nom scientifique) Faune endémique d'Amérique du Sud
Opéra à sauvetage
Un opéra à sauvetage (en anglais : «  ») est un genre populaire de l'opéra à partir de la fin du et du début du en France et en Allemagne. Généralement, les opéras à sauvetage mettent en scène la rescousse du personnage principal en danger et, à la fin, la pièce connait une résolution heureuse dans laquelle les idéaux humanistes nobles triomphent. Étymologie Impact L'intensité dramatique et émotionnelle est accrue et l'inclusion de la musique instrumentale et descriptive. Notes et références Bibliographie Vocabulaire de l'opéra Opéra par genre
Sminthopsis crassicaudata
Le dunnart à pieds étroits (Sminthopsis crassicaudata) est une espèce de souris marsupiale vivant en Australie. C'est l'un des rares marsupiaux à posséder, comme les primates, une vision trichromatique. Distribution Cette espèce se rencontre en Australie, dans une large moitié sud à l'exception de la côte est. Galerie Notes et références Liens externes photos photo Mammifère (nom scientifique) Faune endémique d'Australie Dasyuridae
Sucre (Falcón)
Sucre est l'une des 25 municipalités de l'État de Falcón au Venezuela. Son chef-lieu est La Cruz de Taratara. En 2011, la population s'élève à habitants. Géographie Subdivisions La municipalité est divisée en deux paroisses civiles avec chacune, à sa tête, une capitale (entre parenthèses) : Pecaya (Pecaya) ; Sucre (La Cruz de Taratara). Notes et références Municipalité dans l'État de Falcón
Nadab
Nadab (), roi d'Israël de -910 à -909, était fils de Jéroboam Ier. Présentation Il se livre à tous les excès. Au cours de la deuxième année de son règne, alors qu'il assiège la ville philistine de Gebbethon, au sud de Dan, une conspiration se trame dans sa propre armée. Il est tué par Baasa, un de ses généraux, qui le remplace sur le trône. Autre personnage Voir Nadab (fils d'Aaron). Source Notes et références Articles connexes Liste des rois de Juda Liste des rois d'Israël Royaume de Juda Royaume d'Israël Voir aussi Liste des personnages de la Bible Personnalité du Xe siècle av. J.-C. Roi d'Israël assassiné
Sri TV
Sri TV est une chaîne de télévision privée sri-lankaise à vocation internationale. Lancée en 2005, elle se veut « un pont entre le Sri Lanka et la diaspora sri-lankaise dans le monde ». Disposant de studios à Colombo (où se trouve son siège) et à Rome, elle est diffusée par satellite en Asie, en Europe et en Afrique du Nord. Présentation Sri TV commence à émettre au mois de à l'initiative de l'homme d'affaires sri-lankais Thushara Kurera et de son épouse Krishanthi Fernando, tous deux désireux de créer un lien fort entre les Sri-Lankais restés « au pays » et ceux vivant en dehors des frontières nationales, mais aussi de donner une meilleure image de leur pays, qu'ils jugent « diabolisé » en raison des actions violentes des Tigres de libération de l'Îlam tamoul. Après des débuts difficiles, Sri TV bénéficie d'une aide technique italienne et commence à émettre régulièrement. Chaîne de format généraliste, elle reprend sur son antenne des séries, des émissions thématiques (Adaraye ulpatha woo ammaa, programme destiné aux mères de famille, Cheff Pabilis ou Fun with Don, émissions culinaires, Heta Dawasa, émission politique...), des dessins animés, de la musique (Sri hits chart show, variétés nationales ou anglo-saxonnes, Hithamithuru Charikah, programme présentant les « étoiles montantes » de la chanson sri-lankaise...) et des informations (Sri News, journaux télévisés repris à plusieurs moments de la journée, Puwathath Himidi Riya, émission traitant de l'actualité nationale et internationale, etc.). L'ensemble des programmes sont en singhalais et en tamoul. Diffusion Sri TV est diffusée en clair : en Asie via le satellite Insat 2A en Europe et Afrique du Nord via le satellite Hot Bird. Notes et références Chaîne de télévision au Sri Lanka Chaîne ou station de télévision fondée en 2005
(8889) Similitortue
(8889) Similitortue, désignation internationale (8889) Mockturtle, est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Description (8889) Similitortue est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Il fut découvert par Yoshisada Shimizu et Takeshi Urata le à l'observatoire de Nihondaira. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 3,037 UA, une excentricité de 0,139 et une inclinaison de 11,97° par rapport à l'écliptique. Il fut nommé en hommage au personnage de Simili-Tortue dans le roman Les Aventures d'Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll. Compléments Articles connexes Liste des planètes mineures (8001-9000) Ceinture d'astéroïdes Références Objet céleste découvert en 1994 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste nommé d'après un personnage de Lewis Caroll
Tretki
Tretki (prononciation ) est un village de la gmina de Żychlin, du powiat de Kutno, dans la voïvodie de Łódź, situé dans le centre de la Pologne. Il se situe à environ à l'est de Żychlin (siège de la gmina), à l'est de Kutno (siège du powiat) et au nord de Łódź (capitale de la voïvodie). Histoire Administration De 1975 à 1998, le village était attaché administrativement à l'ancienne voïvodie de Płock. Depuis 1999, il fait partie de la nouvelle voïvodie de Łódź. Références Village dans la voïvodie de Łódź Powiat de Kutno
Bertha Stoneman
Bertha Stoneman, née le , morte le , est une botaniste sud-africaine d'origine Américaine. Elle a été présidente du Huguenot Collège de 1921 à 1933, et fondatrice de l'association sud-africaine des femmes diplômées des universités. Biographie Bertha Stoneman est née en août 1866 dans une ferme près de Jamestown, dans l'État de New York, fille de Byron Stoneman et Mary Jane Markaham Stoneman. Sa tante, Kate Stoneman, est la première femme admise au barreau de l'État de New York, et son oncle George Stoneman est un général de la Guerre de Sécession, puis un gouverneur de la Californie. Bertha Stoneman mène des études supérieures jusqu'au doctorat en botanique ; obtenu  à l'Université Cornell en  1896. Sa thèse de recherche est consacrée aux anthracnoses. Après ses études, elle accepte un poste de chef du département de botanique au Huguenot Collège, un collège pour filles à Wellington, en Afrique du Sud. Elle y commence un herbier et une collection de plantes, et enseigne des cours de psychologie et de logique ainsi que botanique. En 1923, elle  fonde la Fédération sud-africaine des femmes diplômées des universités, et en est la première présidente. Elle devient présidente du Huguenot University College, en 1921, et prend sa retraite en 1933. Son manuel, Plants and their ways in South Africa, publié en 1906 est utilisé dans les établissements scolaires en Afrique du Sud, pendant plusieurs décennies. Parmi ses grands élèves figurent Olive Coates Palgrave et Ethel Doidge. Elle meurt à son domicile en Afrique du Sud en 1943, âgée de 76 ans. Il y a un laboratoire de botanique à l'Université de Pretoria à son nom, et l'Association sud-africaine des femmes diplômées des universités décerne une bourse annuelle également à son nom. Références Liens externes Biographie Naissance en août 1866 Décès en avril 1943 Botaniste américain Étudiant de l'université Cornell Botaniste sud-africain Femme botaniste Décès à 76 ans
Grupo Néctar
Grupo Néctar est un groupe de cumbia péruvien, originaire de Buenos Aires, en Argentine. Il est formé en 1995 par Jhonny Orosco Torres (chanteur), Ricardo « Papita » Hinostroza (congas), Enrique Orosco (basse) et Juan Carlos Marchand « Calín » (batterie). Leur style de cumbia est costeña, avec leurs propres arrangements et un rythme dansant. Biographie Avant la création du groupe, en 1994, Jhonny Orosco Torres, Ricardo Hinostroza Jara - plus connu dans le milieu musical sous le nom de « Papita » - et d'autres musiciens se sont rendus à Buenos Aires pour jouer dans différents groupes, l'un des plus populaires étant Grupo Ciclón ; voyant que la situation était compliquée pour eux de continuer à travailler, certains sont retournés au Pérou et d'autres sont restés en Argentine, parmi ceux qui sont restés se trouvent Jhonny, son frère Enrique, Papita et Calín, ils ont fondé le Grupo Néctar, en Argentine. Au petit matin du dimanche , les membres du groupe, leurs représentants et le chauffeur du bus meurent dans un accident sur l'autoroute 25 de Mayo, dans le quartier de San Cristóbal de la ville de Buenos Aires, qui a fait au total treize morts. Parmi les personnes décédées figurent, outre les musiciens, la femme d'affaires Myriam Orillo et sa compagne Lidia. Le conducteur dans ce cas était Juan Murillo, qui est parti à la recherche du groupe en raison d'un manque de mobilité, car le groupe devait se produire dans sa salle de spectacle dans la ville de La Plata, salsodromo El Rey. Les autorités argentines confirment qu'il s'agissait d'un accident de la circulation. Une collision multiple, qui a entraîné l'issue fatale dans la camionnette combi rurale dans laquelle le groupe voyageait. Cette voiture était conduite par M. Juan Alberto Murillo. Cependant, on a émis l'hypothèse que c'était une mafia qui poursuivait le groupe, mais les personnes présentes lors de l'accident affirment qu'ils sont morts dans la voiture en raison d'un excès de vitesse. Cependant, des personnes proches du groupe ont encore de sérieux doutes sur cet accident. Membres Ricardo « Papita » Hinostroza — fondateur, chef d'orchestre (1951-2007) Jhonny Orosco « Tío » — fondateur, directeur et chanteur (décédé, 1970-2007) Enrique Orosco « Kike » — basse (1964-2007) Juan Carlos Marchand « Kalín » — batterie (1973-2007) Pascual « Kiko » Rayme Cañahuiri — claviers (décédé en 2007) Pedro « Perico » Pablo García — animateur (1954-2007) Daniel Cahuana — guitare solo) décédé en 2007 Miguel Porras « Chimbote » — timbales (nouveau dans le groupe) (décédé en 2007) Julio Gómez — bongo Julio Caycho — second chant Ricardo « Kibe » Valle Rafael « Chispita » Ramón Alonso Mena Discographie 1997 : (Leader Music) 1998 : (Santa Fe Records) 1999 : (Copacabana internacional) 2000 : (Rosita Producciones) 2001 : (Cass) 2002 : 2006 : (D&P Producciones) 2007 : 2015 : (Global Music) 2015 : Notes et références Groupe musical péruvien Groupe musical argentin Groupe musical des années 1990 Groupe de cumbia Groupe musical formé en 1995
Château de Villemont
Le château de Villemont est un château situé à Vensat dans le département du Puy-de-Dôme et la région d'Auvergne-Rhône-Alpes en France. Histoire Villemont, en Auvergne, est à l'origine un modeste domaine qualifié, au début du , de « maison, motte, fossé, basse court de Villemont ». Il dépend du comté de Montpensier appartenant alors au connétable de Bourbon (Charles III de Bourbon). Il est confisqué par (1515 – 1547) qui fait alors payer au connétable le prix de sa trahison. La seigneurie de Neufville et Villemont échoit en 1557 à Michel de Veyny ou Véni, trésorier de la marine du Levant et beau-frère du chancelier Duprat. Le château de Villemont va rester dans la même famille (descendance par les femmes) jusqu'à sa vente en 1958, un peu avant l'incendie qui le détruit. Les inventaires après le décès de Michel de Vény en 1571, et après celui de son fils en 1590, semblent indiquer que la famille s'est d'abord installée dans la maison de Neufville à cause de la petite taille de la maison de Villemont. Le château de Villemont va disparaître et Neufville prend le nom de Villemont au . Les inventaires indiquent une maison richement meublée , et particulièrement la chapelle. En 1566, le château accueille le roi Charles IX accompagné de sa mère, la reine Catherine de Médicis et du chancelier Michel de l'Hospital. Les Veyny prospèrent tout au long du , s'illustrent dans les armées et l'Église et sont pourvus de père en fils de la charge de bailli de l'ancien comté devenu duché de Montpensier. La seigneurie de Villemont est érigée en marquisat en 1720 par le régent. En 1740, elle appartient à Gilbert de Veyny « mestre de cavalerie » et constructeur du château actuel dont la légende veut qu'en disgrâce de la cour de Louis XV il aurait fait édifier l'immense ensemble que l'on connait aujourd'hui pour y loger son régiment. Selon la méthode préconisée à l'époque par l'architecte Philibert Delorme pour étendre et régulariser un édifice médiéval, il fait agrandir la façade Sud. Le grand corps de logis, débarrassé de sa tour Ouest, démolie, est allongé et une autre tour identique à celle conservée à l'est est construite à l'extrémité. Une aile Ouest est édifiée, à l'arrière, à l'identique de l'aile est existante. Les communs, grandioses, ont été ensuite réalisés avec un ordonnancement en fer à cheval enfermant une grande cour d'honneur. Des avenues bordées de quatre rangs de noyers sont tracées en étoile autour du château. Les marais avoisinants sont assainis par des canaux. La Révolution et le début du correspondent à une période de déclin au cours de laquelle les héritiers de Gilbert de Veyny se déchirent en un procès successoral qui ne se termine qu'en 1846. Pendant tout ce temps, mal entretenu, le château se dégrade. C'est seulement dans la seconde moitié du qu'est engagée une restauration très importante : de cette époque datent tous les décors en stuc (encadrement de fenêtres et portes, ailerons de lucarnes, balustrades de balcons, frises en reliefs surlignant les arcs, médaillons et bustes de la façade, etc.). C'est aussi à ce moment que les toits des tours sont refaits à la mode médiévale : en poivrière, tandis que la construction du les avait réalisés plus élégamment en forme de dômes à lanterne. Après le déclin des décennies post-révolutionnaires et la reprise, puis la splendeur du , vint une seconde période, si ce n'est de délaissement, du moins d'entretien minimum puisque Henri Pourrat écrit au début de l'année 1958 dans l'ouvrage qu'il a consacré aux châteaux en Auvergne : « Il faudrait aujourd'hui 4 millions [de francs] pour empêcher les toits de Villemont de crouler. » Le château a été vendu à la fin du mois de par sa dernière propriétaire, héritière descendante directe des Veyny. Un mois plus tard dans la nuit du 3 au , il brûlait de toutes parts. Près de quarante ans après, il sombrait dans un état de ruine avancée avant de renaître grâce à un sauvetage in extremis. Repris en 1995, à l'état de ruines, il est aujourd'hui l'objet d'un important projet de restauration. Une fondation d'entreprise (FE) porte ce projet. Elle a été autorisée une première fois par le préfet du Puy-de-Dôme le , puis à nouveau le : il faut souligner cet aspect novateur, car c'est une des premières fondations à être créée en France, pour la sauvegarde d'un élément du patrimoine architectural, depuis la réforme apportée par la loi dite Aillagon sur le mécénat du . Entre autres personnages ayant vécu au château, Marguerite de Veyny d'Arbouze, réformatrice de l'abbaye Notre-Dame du Val-de-Grâce, y est née le . Architecture La première construction importante est peut-être l'œuvre de Michel de Veyny et serait datée du . L'atlas de Trudaine indique qu'en 1740 c'est un bâtiment en L ; sa façade, orientée au sud, est flanquée de deux tours coiffées de toitures coniques et est prolongée à l'ouest par une aile en retrait. Au sud toujours, on a des jardins à la française tandis qu'au nord partent des allées cavalières en étoile. Au après développement de la façade, déplacement de la tour Ouest (photo ci-contre), une aile a été ajoutée à l'arrière pour donner à l'ensemble la forme de U qui subsiste actuellement. Le portail d'entrée avec clocheton qui ouvre sur une grande cour d'Honneur hexagonale, les murs bordés à leur faîte de balustres carrées, les longues écuries basses couvertes à la Mansart entourant la cour d'Honneur, sont typiques de l'architecture auvergnate de l'époque. Le château paraît caractéristique de l'organisation militaire due à la présence d'un détachement de cavalerie. Il reste à l'intérieur des vestiges de décor peint du , des décors stuqués et des cheminées. Classement Une proposition de classement comme monument historique en 1948 est refusée. La demande en 1965 d'inscription à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques reste sans réponse. Le château est inscrit partiellement et les dépendances entourant la cour classées monuments historiques le . L'ensemble du château est inscrit le . L'ensemble, y compris le parc, a été classé le . Notes et références Annexes Articles connexes Liste des monuments historiques du Puy-de-Dôme Vensat Liens externes Château de Villemont - Site officiel Page du château de Villemont sur le site "Casteland" Villemont Monument historique classé en 2012
Route 467
Il existe plusieurs routes ayant comme numéro 467 dans le monde. Route fédérale 467 en Allemagne RS-467 au Brésil Route régionale 467 en Finlande Route nationale 467 en France
Mars 1883
Événements Canada : fermeture définitive des Forges du Saint-Maurice. 8 mars : le roi des Ashanti Mensa Bonsu est déposé. Difficultés politiques en Asante. 12 mars : le lieutenant de vaisseau Robert Cordier négocie un traité de reconnaissance pour la France sur le royaume Loango (Congo). Naissances 2 mars : Leonard Colebrook, physiologiste et bactériologiste anglais († ). 4 mars : Sam Langford, boxeur. 5 mars : Marius Barbeau, anthropologue. Marius Barbeau, anthropologue, ethnologue, folkloriste canadien († 1969). 9 mars : Umberto Saba, écrivain et poète italien († ). 19 mars : Pepete (José Gallego Mateo), matador espagnol († ). 27 mars : Marie Under, poétesse estonienne. Décès 14 mars : Karl Marx, philosophe et théoricien (° 1818). Notes et références
Fondation de Rome
La fondation de Rome décrit les aspects historiques de la naissance de la ville de Rome au cours du Les recherches historiques et archéologiques récentes renouvellent la représentation de l'origine de la ville et mettent souvent à mal le récit traditionnel que les auteurs antiques en ont laissé. La tradition Deux traditions existaient dans l'Antiquité sur l'origine de Rome : Les Grecs, avec Hellanicos de Mytilène (vivant au ), attribuaient sa fondation à un descendant d'Énée et des Troyens rescapés de la guerre de Troie. Les anciens récits romains évoquaient également un certain Latinus, roi de la peuplade autochtone des Latins, et beau-père d'Énée, comme étant le fondateur de la cité. Virgile tira de la première tradition une épopée intitulée L'Énéide, récit qui a plus une prétention poétique (dans la lignée de Homère) qu'historique. Voir, à ce propos, la légende d'Énée. Le récit de la fondation D'après les mythes romains, Romulus fonda la ville de Rome à l'emplacement du mont Palatin sur le Tibre le C'est à partir de cette date fictive que les Romains comptèrent les années. Cette convention nécessitait une justification mythique pour en affirmer le caractère sacré ; deux narrations sont connues à travers la littérature gréco-latine sur le récit de cette fondation : Tite-Live (-59 ; 17) écrivit une histoire de Rome : (AUc), qui en latin signifie « depuis la fondation de la ville ». Denys d'Halicarnasse (années -50) écrivit pour sa part Histoire ancienne de Rome. Elle livre un récit chronologique des débuts de la puissance romaine, depuis cette origine légendaire jusqu'au déclenchement de la première guerre punique. Selon le mythe rapporté par Tite-Live, Procas, le roi d’Albe-la-Longue, avait deux fils : Numitor et Amulius. À la mort de leur père, l’héritage fut partagé à parts égales : l'aîné, Numitor, obtint le trône, tandis qu’Amulius, le cadet, récupéra les richesses et l’argent paternel. Déçu par le partage, Amulius détrôna son frère et tua le fils de Numitor, Lausus. Afin d’être sûr que la lignée de Numitor disparaisse, il fit également de sa nièce, Rhéa Silvia, une vestale dont le sacerdoce l’obligea à rester vierge tout au long de sa vie. Néanmoins, le dieu Mars tomba fou amoureux de la jeune fille qui accoucha de jumeaux : Romulus et Rémus. Amulius fit alors emmurer la vestale et condamna les nourrissons à être jetés dans le Tibre. Les enfants furent abandonnés dans une fondrière, sur les rives du fleuve en crue, par le serviteur chargé d'exécuter la sentence. Ils furent alors recueillis par une louve qui les allaita dans la grotte du Lupercal, au pied du Palatin. Par la suite, le berger Faustulus, témoin de ce prodige, recueillit alors les jumeaux au pied du (figuier sauvage) situé à l’entrée de la grotte et les éleva, en compagnie de son épouse Acca Larentia. Cette dernière aurait été une prostituée que les bergers des environs auraient surnommée , en latin « louve » ou « prostituée ». La légende de la louve allaitant les jumeaux tirerait peut-être son origine de ce surnom. Notons également à ce sujet, que le aurait été, à l’origine, consacré à la déesse Rumina qui présidait à l’allaitement (en latin, désigne la « mamelle »). Devenus adultes, Romulus et Rémus décidèrent de fonder une ville. N'arrivant pas à départager celui des deux qui donnerait son nom à la nouvelle ville, ils s'en remirent aux augures. Romulus se plaça sur le mont Palatin, là où ils avaient été découverts et élevés par la Louve, Rémus sur l'Aventin. Ce dernier fut le premier à voir six vautours voler dans le ciel. Aussitôt après, Romulus vit douze vautours. Rémus avait donc pour lui la primauté, alors que Romulus avait le nombre le plus important. Ce fut Romulus qui finalement fut désigné. Alors qu'il trace le , sillon sacré délimitant la ville, soulevant l'araire pour ménager des portes, son frère Rémus, pour se moquer de la faiblesse de la ville nouvelle, franchit d'un pas ce rempart symbolique. Aussitôt Romulus le tue en songeant à l'adage (« Le pouvoir ne se partage pas ») marquant ainsi tout aussi symboliquement l'intransigeance sourcilleuse de Rome devant toute incursion malveillante. Ce rite fondateur est suivi de divers événements qui concourent au peuplement initial de Rome : enlèvement des Sabines, guerre contre le roi sabin Titus Tatius, secours apporté par le chef étrusque Cælius Vibenna qui s’installe sur une colline à laquelle il donne son nom (selon Varron), paix avec les Sabins, et partage du pouvoir avec Titus Tatius. Traditions alternatives Denys d'Halicarnasse a recensé plusieurs traditions alternatives : D'après Cephalon de Gergis, Demagoras et Agathyllos, Rome aurait été fondée par Romos, fils d'Énée et frère d'Ascagne, Euryleon et Romulos. D'après Hellanicos et son disciple Damastès de Sigée, Rome aurait été fondée par Énée lui-même, à son arrivée en Italie après être passé au pays des Molosses. D'après Callias de Syracuse (v. 350 - v. 270 av. J.C.), Rhomè est une des femmes troyennes qui se réfugient en Italie après la chute de Troie. Elle épouse Latinos, roi des Aborigènes (nom donné aux premiers habitants de l'Italie, qui prirent par la suite le nom de Latins, d'après leur roi), de qui elle eut trois fils, Rhomos, Romulos et Télégonos, qui fondèrent une ville et lui donnèrent le nom de leur mère. D'après , Rome aurait été fondée par Romos, fils d'Ulysse et de Circé. D'après Denys de Chalcis, Rome aurait été fondée par Romos, fils d'Ascagne ou d'Emathion. D'après d'autres auteurs, dont le nom n'est pas rapporté par Denys d'Halicarnasse, Rome aurait été fondée par Romos, le fils d'Italus et de Leucaria, la fille de Latinus. La date de la fondation Rome a été fondée, selon la tradition, au milieu du . L'anniversaire du jour de la fondation de Rome était célébré le 21 avril (fête des ). L'année retenue par les Romains et par les historiens modernes est -753, date proposée par Tite-Live, malgré quelques propositions alternatives : Timée de Tauroménion (vers -350, -250), cité par Denys d’Halicarnasse, propose -814, en même temps que la fondation de Carthage. Calpurnius Piso, d'après Censorin, propose -758. Quintus Fabius Pictor (vers -254, -201), le premier historien romain, se base sur une royauté de 7 générations de 35 ans qui précède l'établissement de la République et aboutit à -747 ou -748. Le censeur Caton l'Ancien (-234, -149) qui rédigea une histoire des Origines calcule 432 ans après la guerre de Troie, et obtient -751. L'écrivain romain Varron (-116, -27) reprend les travaux de Fabius Pictor et corrige la date de fondation de Rome en -753/754, ce que Tite-Live adoptera. Atticus propose -553. Denys d'Halicarnasse, dans une démonstration argumentée sur la chronologie des rois, date la fondation de Rome de la première année de la septième olympiade, soit -751. Polybe de Mégalopolis, la deuxième année de la septième olympiade d'après une tablette conservée par les grands pontifes, soit -550. Cornelius Nepos et Diodore, -550. Lucius Cincius Alimentus, d'après Denys d'Halicarnasse et Solin, propose -728 ou -728, quatrième année de la douzième olympiade. Les vestiges au temps de la République romaine Au temps de Cicéron, donc au , les Romains montraient fièrement sur le Palatin la , une cabane au toit de chaume et aux murs de torchis, où le berger Faustulus éleva les enfants Romulus et Rémus, et une autre cabane sur le Capitole devant le temple de Jupiter Optimus Maximus, attribuée à Romulus en personne ou encore à son collègue Titus Tatius. Vestiges respectés et attributions légendaires, ce sont des indices d’habitat certainement très anciens, mais de quelle époque ? Le lieu de la fondation Les auteurs de l'Antiquité s'accordent pour considérer que le site de Rome était déjà habité lors de sa fondation. Au moins trois des peuples albains (), habitants primitifs du Latium, dont la liste nous a été transmise par Pline l'Ancien, occupaient des collines voisines au Capitole. En effet, les habitaient le Cælius. D'après Tacite, le Caelius se serait d'abord appelé le , en raison du grand nombre de chênes dont il était couvert. D'après Pline l'Ancien, son nom primitif se serait perpétué par la porte Querquétulane (), nom qu'il donne à la porte Cælimontane () située entre le Cælius et l'Esquilin. Le Cælius n'aurait pris le nom qu'après que Cælius Vibenna, un chef étrusque appelé au secours de Rome fut établi en cet endroit par Tarquin l'Ancien ou un roi antérieur. D'autre part, les habitaient le ; les , le ; et les , le Viminal. S'y ajoutent peut-être les , que certains auteurs identifient aux , habitants du Mucial, la partie centrale du Quirinal, mais que d'autres identifient aux habitants de ; les , que certains identifient aux habitants du forum romain. Le Palatin aurait abrité Saturnie (). D'après Pline l'Ancien, le Janicule aurait abrité . D'après Virgile, il s'agissait d'un qui aurait été fondé par Janus lui-même et se serait appelé . D'après de nombreux auteurs antiques, le Palatin aurait abrité Pallantée, ville fondée par Évandre, originaire de la ville homonyme d'Arcadie, fondée par Pallas, l'aïeul d'Évandre, et située au nord-est de Mégalopolis dans le Péloponnèse. Les critiques de la tradition Tite-Live et Denys d’Halicarnasse émirent eux-mêmes des réserves sur ce qu’ils rapportaient. Ainsi Tite-Live rapproche le surnom et l'histoire de la louve. Au , un rejet massif s’exprime avec la Dissertation sur l’incertitude des cinq premiers siècles de l’histoire romaine, de Louis de Beaufort, publiée en 1738. L’historien Mommsen (1817-1903) a exprimé des doutes plus modérés. Il émet l’hypothèse que la tradition antique a pu se construire à partir de faits réels mais projetés sur un passé lointain et transformés en mythes. Par exemple, l’immigration à Rome de population sabine (arrivée des Claudii) au début de la République serait à l’origine de l’épisode de l’enlèvement des Sabines et de l’association avec Titus Tatius. D’autres critiques soulignent l’habitude des auteurs anciens d’inventer un personnage éponyme pour fournir l’origine du nom d’un lieu. Romulus et Rome, le chef étrusque Cœlius Vibenna et la colline du Cælius sont des exemples de ce mécanisme. Georges Dumézil, pour sa part, explique les légendes de la fondation de Rome comme un récit mythique structuré par le système de Fonctions tripartites indo-européennes. À partir de traditions indo-européennes, les romains auraient inventé les légendes fondatrices, ces légendes exprimant en fait des schémas idéologiques indo-européens. Romulus et Numa Pompilius se partagent la fonction de souveraineté sacrée, Tullus Hostilius représente la fonction guerrière et Ancus Marcius représente la troisième fonction de production et de fertilité. Les analyses archéologiques apporteront des éléments nouveaux. L'apport de l'archéologie L'archéologie a montré que le site de Rome a été occupé dès le Le site de Rome n'est alors qu'un ensemble de villages de pasteurs, répartis sur les collines entourant la dépression du forum romain. Les premières découvertes archéologiques à Rome Les premières découvertes datent du début du , et furent suivies d’autres, au hasard des travaux ou des sondages : quelques vestiges trouvés entre le Tibre et le forum Boarium attestent une présence vers le , mais celle-ci ne semble pas avoir été continue. Elle n’est donc pas retenue comme contribuant à la fondation de Rome. sur le Germal (sommet ouest du Palatin), on découvrit en 1907 des fonds de cabanes que l’on dégagea en 1949 : sols creusés dans le tuf de la colline, trous de poteaux, traces de foyer ; les céramiques associées dataient du sur le Palatual (sommet est du Palatin), d’autres fonds de cabanes furent découverts. la présence d’une tombe à urne d’incinération entre les deux groupes de cabanes du Palatin permet de supposer l’existence d’un espace dégagé entre ces deux établissements, probablement une nécropole. la plaine marécageuse située entre le Capitole et le Palatin, qui deviendra le forum romain, fut aussi d’abord une nécropole ; en 1902-1903, on trouva 41 tombes près du Temple d'Antonin et Faustine : des puits funéraires de tombes à incinération, des fosses d’inhumation avec des mobiliers variés, dont des vases proto-corinthiens du Des cabanes furent également repérées, au centre du forum et sur les pentes du Palatin. sur le Quirinal, 5 tombes, les unes à incinération, les autres à inhumation sur l’Esquilin, 86 tombes, toutes à inhumation, sauf quatre à incinération. Ces tombes contenaient un riche mobilier différent des précédentes nécropoles : des armes, des casques, des boucliers et même un char de combat. Les datations réalisées s’échelonnent du au , ce qui est compatible avec la tradition. Les premiers habitants de Rome habitaient donc dans de grossières huttes de torchis à l’image des urnes funéraires en forme de cabanes rondes trouvées dans le forum, et étaient en majorité pasteurs et paysans. Les premières interprétations archéologiques Parallèlement à ces découvertes, les études sur les peuples italiques indo-européens, dont font partie les Latins, indiquaient une prédominance pour les funérailles par incinération, tandis que les peuples méditerranéens étaient réputés adeptes exclusifs de l’inhumation. Les tombes à incinération furent donc toutes supposées latines. Puisque la tradition de la fondation de Rome décrivait un mélange entre Latins et Sabins, peuples différents, les tombes par inhumation furent systématiquement attribuées à des Sabins, qu’on estimait plus influencés par les coutumes méditerranéennes. L’ethnie de chaque village fut ainsi déduite selon la proximité et le type des inhumations : Le cimetière du forum fut attribué aux Latins, ainsi que les cabanes du Palatin et de la Velia (confirmant la tradition), la nécropole de l'Esquilin aux Sabins (cette fois à l’encontre de la tradition qui y situe les Latins) de même que celle du Quirinal (malgré le petit nombre et la diversité des tombes). On supposa une première fédération des deux villages du Palatin, apparemment les plus anciens, qui s’élargit ensuite à sept villages pour créer le Septimontium. De nos jours, les archéologues sont moins catégoriques sur les attributions ethniques, d’autant plus que souvent sur un même site coexistent des tombes à incinération et des tombes à inhumation. Ils évitent les interprétations des trouvailles menées à la lumière des traditions et cherchent plutôt à placer les données archéologiques dans un contexte d’ensemble, avec ses évolutions et ses interactions culturelles. L’approfondissement de la recherche archéologique À partir de 1948, de nouvelles fouilles archéologiques à Rome et dans le Latium apportèrent des éléments factuels sur l’origine de Rome. À partir d’un recensement de tous les vestiges découverts à Rome et dans le Latium, l'archéologue suédois Einar Gjerstad (1897-1988) proposa une chronologie de la période allant du au en quatre phases. Très débattue par ses confrères, révisée par H. Müller-Karpe et R. Peroni en 1962, elle a fini par être admise comme cadre de référence : La première phase se place au à la fin de l’âge du bronze et au début de l’âge du fer. Les Latins pratiquent l’incinération, recueillent les restes dans des vases ou des urnes funéraires en forme de cabane (urne-cabane), puis réunissent dans une jarre () l’urne, des reproductions en miniature de mobilier ou d’objets usuels en bronze ou en terre cuite, parfois les restes du repas funéraire. Cette jarre est ensuite enterrée dans un puits funéraire. Ce mode d’incinération/inhumation est aussi pratiqué à la même période en Étrurie (tombe a ziro). La seconde phase va du début du au début (900-770 pour Müller-Karpe-Peroni). De nouveaux types de vases, des fibules démontrent des contacts avec l’Étrurie et la Campanie. La pratique de l’incinération recule au profit de l’inhumation. On subdivise cette période en IIA (pratique majoritaire de l’incinération) et IIB (inhumation majoritaire). La troisième phase occupe le milieu du (770-730 pour Müller-Karpe-Peroni). Des importations de céramiques grecques de style géométrique apparaissent, imitées par la production locale. Les objets métalliques se diversifient, les tombes traduisent par la diversité de leur mobilier une différenciation sociale et l’apparition de familles riches. La quatrième phase, dite orientalisante, va de la fin du au début (730-570 pour Müller-Karpe-Peroni). Les céramiques grecques et étrusques sont présentes dans tout le Latium. De riches tombes témoignent de l’existence d’une aristocratie guerrière dans le Latium, contemporaine de celle qui se développe en Étrurie. C’est à cette période que se rattache le plus ancien document écrit connu, la fibule de Préneste portant en caractères grecs le nom de Numasios et datée d’environ -675. C’est également à cette période que l’on rattache les premières murailles découvertes au pied du Palatin en 1987, peut-être un vestige du pomœrium. Nouvelles interprétations archéologiques Cette série de fouilles sur un périmètre plus large complètent les fouilles d’avant la Seconde Guerre mondiale. Elles confirment la présence de hameaux dispersés sur les diverses collines de Rome dès le , avec une culture voisine de la culture villanovienne de l’Étrurie (urnes cinéraires dans des tombes à puits). L’étiquetage sur le site de Rome entre des villages latins, sabins, étrusques se révèle maintenant un exercice hasardeux, sur des groupes humains aux conditions modestes et homogènes. Ce peuplement dispersé évolue lentement, modifiant ses habitudes funéraires, sans que l’on puisse voir une rupture marquée, qui aurait reflété un changement brusque de peuplement. Le milieu du témoigne d’une accélération de la différenciation sociale, et le début d’une société avec une aristocratie plus riche, en contact avec l’expansion grecque qui commence elle aussi à cette période. Ce mouvement touche l’Étrurie, la Campanie, le Latium, et bien sûr le site de Rome. Au , le n’est plus un cimetière et commence à être habité. Les sépultures sont repoussées vers l'Esquilin. Ces tombes de guerriers se situent dans la phase de la chronologie, mais n’ont pas le luxe d’autres tombes latines de la même époque. Les importations à Rome de céramiques étrusques commencent vers la fin du , en retard sur le reste du Latium. Toujours au , le devient un espace public, avec l’aménagement d’un sol empierré. Le apparaît comme le témoin de la naissance de Rome : il fut successivement marécage, cimetière à incinération puis à inhumation, lieu habité, espace public. L’historien Pierre Grimal l’étudia et en tira les observations qui suivent. Les traces du rituel de fondation Pierre Grimal relève dans son ouvrage Les Villes romaines les éléments récurrents du rituel de fondation pratiqué par les Étrusques puis par les Romains et confirmés par le plan des colonies qu’ils ont fondées et recoupés en partie par la description de Tite-Live : la délimitation de la cité par un sillon primordial, le , saignée ouvrant le sol et infranchissable car sous l’influence des dieux infernaux, délimitant ainsi l'enceinte sacrée, le . l’orientation selon les axes cardinaux, matérialisée par quatre portes face aux quatre points cardinaux, interrompant le tracé du sillon sacré ; les Latins nommaient ces deux axes le et le . une mise sous la protection des dieux « d’en haut », en leur dédiant un temple sur un point élevé de la fondation, de façon que leur regard couvre la plus grande superficie possible de la future cité. au centre de la fondation, une fosse circulaire appelée recevant des offrandes pour les divinités « d’en bas ». Si l’on ne trouve pas sur le périmètre du Palatin le souvenir de portes orientées selon les points cardinaux, telles que les aurait ménagées Romulus, en revanche quatre portes très anciennes étaient connues à l’époque romaine classique, qui bordaient le : au nord, la porte de Janus au sud, la porte Romaine à l’est, la « poutre de la sœur », porte par où Horace meurtrier de sa sœur, serait entré dans la ville après s’être purifié à l’ouest, la , de mauvais augure, et juchée sur la pente du Capitole afin que nul ne la franchisse. Selon Pierre Grimal, ces portes sont les vestiges du rite de fondation, le , axe traditionnel Est-Ouest étant devenu la Via Sacra (Voie sacrée), tandis que le Nord-Sud se lit dans les voies qui le prolongent, l’ au nord et le au sud. Un autre point du rituel est respecté, par la position surplombante du temple du Capitole, pour la triade protectrice Jupiter, Junon, Minerve. Ces observations confirment donc le respect du rite de fondation, mais contredisent son lieu : le tracé fondateur déduit de ces quatre portes ceinture le vieux forum et non le Palatin comme l’indiquent Tite-Live et Denys d’Halicarnasse. Les fouilles d'Andrea Carandini au Palatin Les fouilles effectuées à partir de 1985 sous la direction d'Andrea Carandini sur un flanc du Palatin, dans une zone entre l'arc de Titus et la maison des Vestales, ont relancé les discussions sur la fondation de Rome et l'historicité possible d'une partie des traditions antiques. Les recherches conduites ont dégagé une importante stratigraphie reposant sur quatre murailles successives pouvant être datées respectivement des années -550--530, environ -600, environ -675 et environ -730--720. La découverte des restes incontestables d'une délimitation urbaine au autour du Palatin renvoie pour A. Carandini et A. Grandazzi à la fondation romuléenne de Rome. Selon A. Grandazzi le mythe de la fondation de Rome renverrait bien à un événement historique et à un personnage historique, que nous connaissons en tant que Romulus, dont la mémoire a été conservée et mythifiée, à travers notamment l'action de Servius Tullius. Si l'existence factuelle des restes découverts par A. Carandini n'est pas remise en question, les interprétations qui les mettent en rapport avec la tradition annalistique de Romulus et son éventuelle historicité restent encore très discutées. Conclusions Si l’on rapproche l’analyse de Pierre Grimal du phénomène de projection d’événements réels dans un passé mythique suggéré par Mommsen, on peut estimer que le rite de fondation a bien été exécuté, mais à l’époque où la dépression du forum commençait à être peuplée. Quels sont les auteurs de cette fondation ? Là encore, il est délicat de départager les Romains des origines et les Étrusques. Pierre Grimal penche pour la fondation d’une colonie étrusque, sur un site déjà habité et selon les rites attribués à Romulus. Les historiens modernes s’accordent à considérer que les rois Étrusques en occupant la région vont faire de Rome une véritable ville vers , en la dotant d'une muraille, en aménageant le Forum Romain et en bâtissant le sanctuaire du Capitole. Les Romains antiques, quant à eux, se transmirent bien sûr le passé qui faisait d’eux les auteurs de la fondation de Rome. Au contraire, si l'on veut suivre les analyses développées par A. Grandazzi, la formation de Rome doit être vue comme un processus complexe marqué par un événement fondateur vers -730 : la fondation d'une enceinte urbaine au sein de l'habitat déjà présent sur le Palatin, l'aménagement du forum correspondant seulement à une phase de développement et de monumentalisation d'une entité urbaine qui avait déjà son identité et son histoire. Les mythes ne constitueraient pas alors la projection dans le passé d’évènements postérieurs, mais entretiendraient avec les faits historiques des rapports plus complexes. Point fondamental de l'histoire scientifique de l'antiquité romaine, la question de la fondation de Rome, encore discutée aujourd'hui, montre la difficulté qu'il y a à confronter les sources antiques et la réalité archéologique malgré la progression certaine des connaissances sur la plus ancienne réalité de la ville de Rome. Notes Voir aussi Sources antiques Tite-Live, La Fondation de Rome, Flammarion (23 avril 1999), . Denys d'Halicarnasse, Les Antiquités romaines, 1990, Les Belles Lettres. Bibliographie Pierre Grimal, La Civilisation romaine, 1960, éditions Arthaud, 1981, éditions Flammarion. . Alexandre Grandazzi, La Fondation de Rome, 1991, Les Belles Lettres (réédition 1997, Pluriel) . . Laura Orvieto, Contes et Légendes de la naissance de Rome, Pocket Junior . Marcel Le Glay, Rome, Grandeur et Déclin de la République, 1990, éd. Perrin, tome 1, . Marcel Le Glay, Yann le Bohec et Jean-Louis Voisin, Histoire romaine, éditions PUF, collection Quadridge Manuels, . Naissance de Rome, catalogue d’exposition au Petit Palais, 1977, préfacé d’articles sur l’archéologie romaine : François Villard, L'Archéologie et ses problèmes. Giovanni Colonna, Milieu, peuplement, phases naturelles. . . Articles connexes Histoire de Rome Pallantium Apports des Étrusques aux Romains Liens externes mythologica.fr. Histoire de Rome Histoire du Latium Histoire de la Rome antique Ville antique de Rome