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1923
1923 est une année commune commençant un lundi. En bref 11 janvier : occupation de la Ruhr. 24 juillet : traité de Lausanne. 31 août - 27 septembre : incident de Corfou. 13 septembre : début de la dictature de Primo de Rivera. 8 - 9 novembre : putsch de la Brasserie. Événements Afrique : proclamation de la République du Rif par Abdelkrim al-Khattabi. 16 - 27 février : « incidents » à Cotonou et Porto-Novo. Grèves, émeutes et pillages. 24 mars : le système de l'indigénat est introduit au Togo. 15 mai : publication à Paris du journal Le Libéré créé par le malgache Jean Ralaimongo pour soutenir la Ligue pour l’accession des indigènes de Madagascar aux droits de citoyens français. Ralaimongo rentre définitivement à Madagascar. : décret instituant Léopoldville capitale du Congo belge (transfert effectif en 1929). 25 juillet : le Devonshire White Paper proclame que « le Kenya étant avant tout un territoire africain, les intérêts des Africains devaient y passer avant tout ». Le gouvernement colonial concède la création d’un Legco () où des membres élus représentent les Européens, les Indiens et les Arabes, tandis que les intérêts des Africains sont défendus par un missionnaire désigné par le gouverneur. 5 août : inauguration de la ligne de chemin de fer Thiès-Kayes. 31 août : le Ruanda et le Burundi, anciennes colonies allemandes, sont confiés à la Belgique par la SDN sous le nom de Ruanda-Urundi. 28 septembre : l’Éthiopie entre à la Société des Nations. : la Rhodésie du Sud devient colonie de l’empire britannique. Elle obtient une autonomie interne qui assure de fait la prépondérance aux Européens, excluant les 96 % d’Africains. 7 novembre : ouverture du troisième Congrès panafricain à Londres (7 - 8 novembre) et Lisbonne (1 et 2 décembre). 18 décembre : Tanger devient ville internationale jusqu’en 1956. 24 décembre : ouverture de nombreuses églises kimbanguistes dans le territoire de Thysville, au Congo belge. Amérique 25 mars - 3 mai : cinquième conférence internationale des États américains à Santiago de Chili. 4 juin : massacre d’Uncía. Répression de la grève de des mines d’étain en Bolivie. De sources officielles, quatre grévistes sont tués et quatorze sont blessés ; le travail reprend le 9 juin. 20 juillet : Pancho Villa est assassiné. 5 décembre : début de la révolte menée par Adolfo de la Huerta à Veracruz, au Mexique, pour protester contre la candidature de Plutarco Elías Calles à la présidence. Les États-Unis apportent leur soutien au régime Obregón et de la Huerta doit s’exiler après trois mois. Asie 26 janvier : accord entre Sun Yat Sen et l’envoyé soviétique Adolf Joffe en République de Chine. Sun Yat-sen réorganise le Guomindang et son armée avec l’aide et les conseils du Komintern. 9 avril : promulgation d’une constitution en Afghanistan. Gouvernement constitutionnel. Réformes. Les titres de noblesse sont abolis, l’enseignement pour les femmes est décrété, et d’autres mesures radicales destinées à moderniser les institutions traditionnelles sont imposées. 24 avril : l’ancien ministre de l’Intérieur Gotō Shinpei informe le diplomate russe Adolf Joffé que le gouvernement japonais est prêt à organiser une nouvelle conférence russo-japonaise à condition d’obtenir satisfaction sur les questions de Sakhaline et de l’incident de Nikolaïevsk. Joffé se rend officieusement en mission au Japon de juin à novembre sans pouvoir conclure d’accord, mais un traité est finalement signé le . Août : troubles et activité terroriste à Calcutta. Le terrorisme au Bengale connait deux phases principales, de 1923 à 1927 et de 1929 à 1935. : un tremblement de terre détruit les villes de Tokyo et Yokohama faisant . 29 septembre : entrée en vigueur du mandat britannique sur la Palestine. : entrée en vigueur du mandat français sur la Syria. 5 octobre : Cao Kun se fait élire président de la république de Chine à Pékin. 21 décembre : traité d’amitié de Katmandou. L’indépendance du Népal est reconnue par le Royaume-Uni. 26 décembre : fuite en Chine du neuvième panchen-lama Thubten Chökyi Nyima, à la suite de malentendus avec le treizième dalaï-lama Thubten Gyatso. Proche-Orient 30 janvier : accord gréco-turc qui prévoit pour le l’échange des populations entre les deux pays (il concerne , dont Grecs orthodoxes et musulmans, plus les Grecs déjà exilés avant l’accord). 19 avril : adoption d’une Constitution en Égypte, qui prévoit un régime parlementaire bicaméral avec une Chambre des députés élue au suffrage universel et un Sénat composé de personnalités élues ou nommées par le roi. Ce dernier détient d’importants pouvoirs dont le droit de désigner le Premier ministre, de renvoyer le gouvernement et de dissoudre la chambre. L’islam demeure la religion d’État. Le 30 mars, Saad Zaghlul est libéré (Indemnity Law) et le Wafd autorisé à reprendre ses activités politiques. La loi martiale est levée le 5 juillet. 29 mai : la Constitution de la Palestine est suspendue par les Britanniques, en raison du refus des Arabes de participer aux élections législatives du 20 février. 12 juillet : début de l’élection de l’assemblée constituante en Irak. Durant l’été, les principaux chefs religieux chiites (dont Mahdi Al-Khalisi, qui a publié une fatwa qui interdit aux Irakiens de participer aux élections) sont arrêtés et déportés en Perse. Les élections s’achèvent le et le traité de protectorat avec la Grande-Bretagne de 1922 est ratifié par l’assemblée le . 24 juillet : traité de Lausanne, mettant fin à la guerre gréco-turque, et modifiant le traité de Sèvres, au profit de la Turquie qui reprend l'Arménie et une partie de la Thrace. Le traité reconnaît l’indépendance de la Turquie, abolit les Capitulations, et consacre le retour du pays dans la communauté internationale. France (Syrie et Liban) et Royaume-Uni (Irak, Palestine et Transjordanie) se partagent les provinces arabes. Les détroits restent démilitarisés. La Turquie récupère toute l’Asie Mineure et la Thrace orientale. Il n’est plus question d’Arménie indépendante, les alliés ayant renoncé, sous l’influence de la Grande-Bretagne, qui compte négocier cet abandon contre l’attribution de Mossoul à l’Irak. 13 octobre : rompant avec la tradition des ottomans, dont la capitale était Istanbul, Atatürk fait d’Ankara, en Anatolie centrale, la capitale de la Turquie. 29 octobre : l’assemblée nationale turque proclame la république et élit Mustafa Kemal président de la république (fin en 1938). Le parti unique (Cumhuriyet Halk Partisi) fondé le 9 septembre et dirigé par Kemal commence la transformation du vieil empire en un état moderne. : la Grande-Bretagne convoque une conférence de dirigeants arabes au Koweït. Les Britanniques décident d’interrompre le versement des subsides au sultanat saoudien à compter du , ce qui rend caduc le traité de protectorat de 1915. Abdelaziz ben Abderrahmane Al Saoud est libéré de la pression britannique. Europe 3 février : le Conseil de la SDN propose une ligne frontalière entre la Pologne et la Lituanie, reconnaissant ainsi l’annexion de Vilnius par la Pologne. 16 février : les Alliés reconnaissent le rattachement de Memel à la Lituanie en tant que territoire autonome. 4 mars : le professeur de l’Université de Iași fonde la Ligue de défense national-chrétienne (LANC). Il développe des thèses antisémites et nationalistes. 14 mars : les Alliés reconnaissent l’annexion de Vilnius par la république de Pologne. 23 mars : traité de Niš. La Bulgarie s’engage à supprimer les activités du VMRO sur son territoire. 28 mars : constitution en Roumanie. 27 avril : fin de la guerre civile irlandaise ; Frank Aiken, nouveau chef de l’IRA (Irish Republican Army) depuis la mort de , et Éamon de Valera, déposent les armes et décident de poursuivre la lutte sur le plan politique. 18 mai : premières émissions radiophoniques régulières en Tchécoslovaquie (Radio Prague en 1936). 22 mai : début du ministère conservateur de Stanley Baldwin, Premier ministre du Royaume-Uni (fin en 1924). 9 juin : coup d’État en Bulgarie, des officiers menés par Alexandre Tsankov s’emparent du pouvoir. Le Premier ministre Alexandre Stambouliski est destitué, puis assassiné le 14 juin. 24 juillet : traité de Lausanne. La Grèce doit renoncer à Smyrne et à la Thrace à l’est de la rivière Evros. Échange des populations. 11 août : Hendrick Colijn devient ministre des Finances aux Pays-Bas. Il applique des restrictions budgétaires (1923-1926). 27 août : les membres d’une mission militaire italienne dont le général Tellini, chargée d’établir la frontière entre l’Albanie et la Grèce, sont tués près de Janina, en Grèce. 31 août - 27 septembre : incident de Corfou. Après avoir demandé au gouvernement grec des réparations humiliantes, Mussolini ordonne le bombardement et l’occupation de Corfou. Cédant aux pressions anglaises et de la SDN, il accepte une formule de compromis. La flotte italienne évacue Corfou. 13 septembre : début de la dictature de Primo de Rivera en Espagne (fin le ). Miguel Primo de Rivera, commandant général de Catalogne, prend la tête d’un coup d’État militaire qui suspend les garanties constitutionnelles. le chef du gouvernement espagnol Manuel García Prieto démissionne le 14 et le 15, Primo de Rivera se proclame chef d’un directoire militaire que le roi reconnaît immédiatement. C’est la fin du régime constitutionnel : dissolution des Cortes, établissement de la censure, administration sous tutelle militaire, création de milices bourgeoises (les Somatenes). Certains hommes de gauche comme Largo Caballero, secrétaire de l’UGT, acceptent de collaborer, séduits par l’ambition réformatrice et régénératrice avouée. 23 septembre : insurrection communiste écrasée en Bulgarie. 6 octobre : Manuel Teixeira Gomes, démocrate, devient président de la république du Portugal (fin le . 22 octobre : échec d’un coup d’État royaliste en Grèce. 6 décembre : défaite des Conservateurs aux législatives au Royaume-Uni (258 sièges pour 191 travaillistes et 159 libéraux). 16 décembre : victoire de Eleftherios Venizelos aux législatives en Grèce. 19 décembre : le roi Georges II de Grèce quitte la Grèce pour Bucarest. Hongrie : le comte Mihály Károlyi est condamné par contumace pour haute trahison. Allemagne 2-4 janvier : conférence de Paris. , entre la France et le Royaume-Uni : réunis à Paris, les Alliés ne parviennent pas à trouver un accord sur la question des réparations allemandes. Poincaré annonce que la France passera outre l’opposition britannique et fera occuper la Ruhr afin de contrôler les activités des usines et des mines de la région. 11 janvier : un dollar s’échange marks. des troupes françaises et belges occupent la région de la Ruhr réclamant le paiement par l’Allemagne de la dette de guerre. C’est une bonne partie de la production industrielle allemande qui est ainsi confisquée. 19 janvier : une résistance passive, sous forme de grèves généralisées, et financée par la république de Weimar s’organise dans la Ruhr. : banqueroute. Un dollar s’échange . Mars : les Sections d’assaut (SA), réorganisées en unités combattantes, sont placées sous le commandement d’Hermann Göring. 31 mars : cinquante mille ouvriers des usines Krupp manifestent à Essen pour protester contre la réquisition de camions par l’armée française. Violente répression qui fait 13 morts et 30 blessés. : les manifestations du sont perturbées à Munich par des associations patriotiques et les SA. Des syndicalistes sont attaqués et les forces de l’ordre n’interviennent pas. 16 mai : les mineurs de la mine Kaiserstuhl se mettent en grève à la suite d’une flambée des prix. Les négociations salariales échouent devant l’intransigeance des communistes. Une série de grèves sauvages est déclenchée dans la Ruhr. Des combats de rue éclatent. 26 mai : en représailles aux attentats commis contre les troupes d’occupation, le militant nationaliste Leo Schlageter est jugé par un tribunal français et fusillé. 6 juillet : répondant aux exigences britanniques, et à la suite d'une lettre du pape Pie XI du 27 juin, le gouvernement français répète qu’il refusera d’étudier les propositions de l’Allemagne tant que durera la résistance passive dans la Ruhr. 11 juillet : le Parti communiste décide d’organiser une journée antifasciste le 29 juillet. Il rallie de nombreux syndicalistes et de sans-parti. La manifestation est interdite dans la plupart des États, mais se déroule sans heurts. 12 août : chute du gouvernement Wilhelm Cuno devant la multiplication des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre. 13 août : Hyper-inflation : un dollar s’échange 3,7 millions de mark (126 millions le , le ). Les valeurs inscrites sur les billets sont modifiées plusieurs fois par jour en fonction des cours ainsi que les étiquettes des marchandises. Les ouvriers rémunérés à la journée, vont au travail avec des valises afin de pouvoir emporter la masse de billets nécessaires au règlement de leur paie. Gustav Stresemann chancelier, forme un gouvernement de grande coalition républicaine. 25 septembre : fin de la résistance passive dans la Ruhr proclamée par Gustav Stresemann. 26 septembre : en Bavière le gouvernement proclame l’état d’urgence, suspend les droits fondamentaux et accorde au commissaire général du Reich Gustav von Kahr des pouvoirs dictatoriaux. 24 septembre, Munich : grâce à la Sturmabteilung, Adolf Hitler s’assure la direction du Kampfbund, ligue des formations d'extrême droite. 27 septembre : en Saxe, le général Müller, commandant de la Wehrkreis III, s’arroge tous les pouvoirs. 30 septembre : soulèvement de Düsseldorf ; menées séparatistes en Rhénanie. 10 octobre, Saxe : refusant de se soumettre au général Müller, le social-démocrate Erich Zeigner forme un nouveau gouvernement comprenant trois communistes. 13 octobre : Gustav Stresemann obtient les pleins pouvoirs du Reichstag. 21 octobre : proclamation d’une république rhénane indépendante. 22 octobre : échec de l’insurrection communiste à Hambourg. Échec de l’Octobre allemand. 23-25 octobre : Poincaré accepte la constitution d’une commission d’experts chargée d’examiner la question des réparations. 29 octobre : le gouvernement nomme un commissaire du Reich en Saxe. L’armée investit les ministères du Land. Le lendemain, le gouvernement Zeigner démissionne et cède la place à un gouvernement sans communistes. 8 - 9 novembre : échec du putsch de la Brasserie de Munich (Adolf Hitler et Erich Ludendorff). Escorté par les SA, Hitler fait irruption dans la brasserie Bügerbraükeller où se tient une réunion de soutien à Gustav von Kahr et annonce que le gouvernement bavarois est renversé. Gustav von Kahr feint de se rallier et un gouvernement nazi est formé. Alerté par les autorités locales, le gouvernement Streesemann prend des mesures fermes et ordonne le déploiement de l'armée dans le Lander séditieux. Le lendemain, la Reichswehr encercle Munich et tire sur les SA qui défilent dans la rue. Le putstch est réprimé dans le sang par les militaires. 4 policiers et 16 putschistes sont tués. Ludendorff est arrêté dès le . Hitler est capturé à Uffing le 11 novembre et mis en détention. 15 novembre : pour interrompre la spirale inflationniste, le gouvernement (Luther, ministre des finances et Schacht, président de la Reichsbank) crée une nouvelle monnaie, le mark-rente, dont le cours, gagé sur la totalité de l’économie allemande, est fixé à de mark-papier. Pour la consolider, le gouvernement impose des mesures rigoureuses de hausse des impôts et de compression des dépenses publiques . En décembre, une réforme fiscale impose le paiement des impôts sur une base-or, près de fonctionnaires sont licenciés, les allocations chômage diminuées, les subventions aux chemins de fer supprimées... 23 novembre : Les partis communiste et nazi sont interdits. Le gouvernement Gustav Stresemann est renversé à la suite du retrait des ministres sociaux-démocrates. 30 novembre : le Wilhelm Marx du Zentrum devient chancelier d’un gouvernement minoritaire. la commission des réparations nomme deux comités d’experts chargés de préparer un plan garantissant à la fois l’équilibre économique de l’Allemagne et l’intérêt de ses créanciers (plan Dawes). 8 décembre : traité de commerce entre l’Allemagne et les États-Unis ; il entre en vigueur le . 21 décembre : ordonnance sur la durée du travail. Le principe légal des 8 heures par jour et 48 heures par semaine est réaffirmé, mais le décret autorise jusqu’à 10 heures par jour sans augmentation de salaire dans le cadre de contrats collectifs ou par décision administrative. Le temps de travail est fixé à 54 heures pour les fonctionnaires et 59 heures pour les ouvriers des usines sidérurgiques. Union soviétique 10 mars : Lénine a une attaque d’apoplexie le prive de tous moyens d’action et d’expression. 17- 25 avril : congrès du Parti communiste ; Trotski dénonce la « crise des ciseaux », c’est-à-dire l’écart croissant des prix industriels et agricoles. 6 juillet : la Constitution soviétique est adopté par le Comité exécutif central. 15 décembre : Staline lance sa première attaque personnelle contre Trotski qui vient de publier une lettre dans la Pravda accusant les bureaucrates de refuser le « cours nouveau ». Il forme une première troïka antitrotskiste avec Kamenev et Grigori Zinoviev. Fondations en 1923 Naissances en 1923 Décès en 1923 Notes et références Voir aussi Articles connexes Entre-deux-guerres Liens externes
Paul Roekaerts
Paul Roekaerts est athlète et handballeur belge né en 1939 à Louvain, dans le Brabant flamand. Biographie Paul Roekaerts est né le à Louvain, dans le Brabant flamand, il s’installa par la suite dans la Province de Liège, plus précisément à Flémalle. Il débute l'athlétisme en 1944, soit à l'âge de cinq ans et est attiré par le demi-fondoù il courut sur la piste des Trixhes à Flémalle pour le RFC Liègeois qui possédait à l'époque une sous-section dans la commune de Flémalle. Paul Roekaerts était spécialisé en 800 mètres et en 1500 mètres, il s'entrainait tout l'été pour le demi-fonds mais en hiver, n'aimant pas les crosses il jouait au handball dans le club du ROC Flémalle, important club à l'époque avec lequel Paul joua en tant que ailier dû sans doute à sa rapidité, avec ce club de handball, Paul fut champion lors de la saison 1958/1959 et le pratiqua encore par après mais tous simplement dans le but de garder la forme pour son sport de prédilection, l'athlétisme. Dans cette discipline, Paul participa aux Jeux olympiques de 1964 à l'âge de 25 ans mais fut éliminé au premier tour puisqu'il arriva sixième sur les huit concurrents avec un temps de 1:50.9, Paul fut aussi sacré champion de Belgique de 1500 mètres en 1966. En 1970, il contribue à la création du Flémalle Athletic Club et en devient trésorier ainsi qu'entraîneur et organisateur. Il deviendra un moment le président du Comité provincial d’athlétisme et fait partie du Comité des Directeurs de la Ligue francophone Belge d’Athlétisme. Le , le Flémalle Athletic Club rénove sa piste d'athlétisme, en tartan et la renomme La piste Paul Roekaerts. Palmarès Athlétisme Champion de Belgique d'athlétisme en 1500 mètres. Sixième de la sixième série lors du premier tour des Jeux olympiques de 1964 en 800 mètres. Records Handball champion de Belgique lors de la saison 1958/1959 Notes et références Liens externes Coureur de demi-fond belge Handballeur belge Naissance en avril 1939 Naissance à Louvain Coureur de 1 500 mètres Coureur de 800 mètres Joueur du ROC Flémalle Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1964
Valentin Boulgakov
Valentin Boulgakov (en ), né le à Novokouznetsk dans le gouvernement de Tomsk, Empire russe, et mort le à Iasnaïa Poliana dans l'oblast de Toula en URSS, est un tolstoïen qui a été le dernier secrétaire de Léon Tolstoï. Il a dirigé une série de musées littéraires. Anarchiste chrétien, tolstoïen et antimilitariste, il a survécu à la fois aux cachots tsaristes et aux camps de concentration nazis. À la fin de sa vie, il a dirigé pendant 20 ans le musée de Iasnaïa Poliana. Biographie Jeunes années Le père de Valentin Boulgakov était Fiodor Alexeïevitch Boulgakov, surveillant, titulaire des écoles des districts de Novokouznetsk et de Biisk. Sa mère, Tatiana Nikiforovna, était enseignante de l'école paroissiale des filles de Kouznetsk et était 40 ans plus jeune que son père. Après avoir obtenu son diplôme à l'école de l'ouïezd de Novokouznetsk, il entre au gymnasium classique de Tomsk, où il fait la connaissance de l'explorateur Grigori Potanine. Avec son aide, il s'intéresse au folklore, recueille des contes et des chansons de l'Altaï. Il écrit des vers, publie un journal du gymnasium, participe à des spectacles, chante dans une chorale. En même temps se manifeste déjà son talent de chercheur littéraire : à 18 ans, il publie des documents encore inconnus jusqu'alors concernant le premier mariage de Fiodor Dostoïevski avec Maria Issaieva. Il termine le gymnasium avec une médaille d'or en 1906. Il fait ses études avec son frère, qui a également laissé des mémoires, et avec le futur collaborateur permanent du musée de Novokouznetsk, Cyrille Boronine. Le jeune Valentin Boulgakov devient le correspondant permanent du journal de Tomsk Le Kraï des steppes et correspond également avec d'autres journaux de Tomsk. En 1904, dans les annexes du journal Vie sibérienne est publié son premier article concernant Fiodor Dostoïevski à Novokouznetsk. Cet article contient de nouveaux documents sur le premier mariage de Dostoïevski avec Maria Issaieva à Novokouznetsk en 1857. Dans la revue Échos de Sibérie, sous la direction de Boulgakov, sont publiées pour la première fois les lettres adressées par Tchaïkovski à Anna Iakovlevna Aleksandrova-Levenson (1856-1930). En 1906, dans Notes du sous-département de Krasnoïarsk au sein du département de Sibérie de la société géographique russe sont publiés des contes russes et altaïens enregistrés par Boulgakov dans les districts de Novokouznetsk et Biisk en 1904. Parmi ses proches, il faut citer l'explorateur de la Sibérie et de la Mongolie, Grigori Potanine. Secrétaire de Léon Tolstoï Valentin Boulgakov poursuit ensuite ses études à la faculté d'histoire et de philologie de l'université de Moscou (de 1906 à 1910). En 1907, alors qu'il est président de l'amicale sibérienne des étudiants de Moscou, il lit Ma confession de Léon Tolstoï et devient un disciple sincère de l'écrivain en incluant dans sa vie les principes tels que le pacifisme, le végétarisme, le refus de participer à des activités politiques sur base de principes chrétiens. Le , il rend sa première visite à Tolstoï. En 1909, il systématise la doctrine de Tolstoï dans son ouvrage Étique chrétienne. Essai de systématique de la vision du monde de Léon Tolstoï, qui reçoit l'approbation de Tolstoï et sert de base à l'offre que ce dernier lui fait de devenir son secrétaire personnel. En janvier 1910, il quitte l'université et commence son travail de secrétaire personnel de Tolstoï et devient témoin de la vie des habitants du domaine de Iasnaïa Poliana à une période connue pour ses tensions entre les membres de la famille de l'écrivain. Il gère sa correspondance, l'aide à travailler sur son livre Chemin de la vie et répond parfois à des lettres au nom de Tolstoï. À partir du , il enregistre dans un journal tous les évènements du domaine et de ses habitants. Ce journal deviendra l'ouvrage Chez Léon Tolstoï, durant les dernières années de sa vie. Le , il réussit à empêcher la tentative de suicide de l'épouse de Tolstoï, Sophie Tolstoï, après le brusque départ de l'écrivain. Plus tard, Sophie Tolstoï a insisté sur sa participation personnelle en aidant Boulgakov à systématiser l'héritage de l'écrivain. À partir de cette période sont apparues progressivement des divergences de vues entre Boulgakov et Vladimir Tchertkov. Après la mort de Léon Tolstoï, Boulgakov reste plusieurs années à Iasnaïa Poliana, et prépare l'impression de ses notes publiées en 1911 par la , sous le titre Léon Tolstoï durant les dernières années de sa vie et Conception de la vie dans les lettres de son secrétaire. Ces deux livres ont été très vite traduits en plusieurs langues. Boulgakov commence aussi la description minutieuse de la bibliothèque de Tolstoï qui comptait . Il participe aussi activement à l'édition des œuvres de Tolstoï et à l'organisation du musée Tolstoï à Moscou. Première Guerre mondiale La première réaction des tolstoiens aux évènements des premiers mois de la guerre a été la déclaration collective Souvenez-vous, les hommes sont frères ! composée le . En octobre, a lieu la diffusion de cette déclaration, la collecte des signatures, leur affichage, et en parallèle la saisie par les forces de l'ordre des copies de cette déclaration. Le , Boulgakov est arrêté en même temps que les 27 signataires de la proclamation. Les activités anti-guerre des tolstoïens et la répression à leur égard ont précédé l'arrestation des députés bolcheviks de la douma d'État de l'Empire russe, et le refus de Karl Liebknecht de voter pour les crédits de guerre au reichstag en Allemagne. En novembre-décembre 1915, la plupart des bolcheviks ont été libérés sous caution après plus d'un an d'emprisonnement. Le procès a eu lieu le et s'est terminé par l'acquittement des accusés en raison de l'impossibilité de réaliser leur plan qui était de publier leur déclaration en Suisse. Cependant, Pavel Birioukov a reçu le texte de la déclaration et l'a ensuite publié dans la revue suisse Demain (Zavtra), dont le rédacteur était Henri Guilbeaux. Musée En 1916, V. Boulgakov est devenu collaborateur du musée Léon Tolstoï à Moscou, 18 rue Povarskaïa (après le départ pour la Suisse de Pavel Birioukov qui occupait cette fonction). En 1917, il publie L'Éthique chrétienne, un exposé autorisé par Tolstoï de son enseignement religieux et éthique fondé sur ses recherches de systématisation antérieures à Iasnaïa Poliana. Après la révolution d'octobre 1917, de nombreux tolstoïens ont été adversaires du dialogue avec les bolcheviks et ses sont opposés à la nationalisation des musées de Tolstoï, mais, après quelque temps, V. Boulgakov et Alexandra Tolstaïa, la fille cadette de l'écrivain, ont insisté pour qu'un accord soit négocié avec le gouvernement soviétique. Puis Boulgakov, A. Tolstaïa, ensemble avec le collectionneur , fondateur du musée du jouet et soutenus par Vladimir Bontch-Brouïevitch, le secrétaire de V. I. Lénine, ont fait valoir leurs prétentions à occuper l'hôtel particulier de la rue Pretchistenka, . Boulgakov a réussi à créer la salle d'acier contenant les nombreuses archives de Léon Tolstoï. Le , Lénine signe le décret nationalisant la maison de Léon Tolstoï à Moscou. Le et le musée Tolstoï rue Khamovniki ont fusionné en un seul musée dont Boulgakov a pris la tête. Boulgakov a occupé ces fonctions jusqu'à son expulsion par le pouvoir soviétique en 1923. Pomgol, aide aux victimes de la famine Après avoir appris que la commune des tolstoïens proche de Novokouznetsk avait besoin de graines à semer dans les années 1920, Boulgakov organise une collecte de fonds pour pouvoir en acheter et les envoyer dans sa région natale. En raison de la guerre civile russe, des mauvaises récoltes (selon la version officielle) et surtout de la mise en exécution de la politique de prodrazviorstka (saisie forcée des produits alimentaires chez les paysans par le gouvernement), a commencé la famine soviétique de 1921-1922. Les paysans affamés se comptaient par dizaines de mille. Le pouvoir soviétique institutionnalise l'acceptation de l'aide provenant des organisations et des personnalités de bienfaisance occidentales, et il organise la . Sur le terrain de la lutte contre la faim, le , à Moscou, a lieu une réunion préliminaire en vue de créer un comité d'aide aux affamés par décret sous la dénomination de . Le comité a reçu le label : Comité international de la Croix-Rouge. Soixante-trois personnalités faisaient partie, au départ, de ce comité ; parmi lesquels, outre les tolstoïens de V. Boulgakov qui possédaient une expérience dans le domaine de la famine, des personnalités du monde de la culture, l'économiste Alexandre Chayanov, le président de l'académie des sciences Alexandre Karpinski, des représentants du monde religieux russe dissidents, des personnalités ayant des relations internationales. Lev Kamenev a été nommé président du comité. Véra Figner et Vladimir Korolenko ont également occupé des fonctions à la tête de celui-ci. Ont alors débuté des discussions avec les organisations étrangères et en particulier avec l et avec l'explorateur polaire norvégien Fridtjof Nansen, chef du comité exécutif de lAide internationale à la Russie. Les négociations ont abouti à des accords d'approvisionnements alimentaires. Cependant, comme aucune livraison ne suivait, des critiques ont été émises quant aux activités de cette organisation. Après six semaines, le Comité exécutif central a adopté une résolution visant à sa liquidation. La plupart des membres, y compris V. Boulgakov, ont été arrêtés. Dans le journal Kommmounistitcheski troud est publié un article très critique contenant des accusations non fondées à l'égard du comité. À la demande de V. Boulgakov, le , ce journal publia un démenti et un extrait de sa lettre à la rédaction. Valentin Boulgakov est libéré puis expulsé de la République socialiste fédérative soviétique de Russie dans le cadre des expulsions par le Bateau des philosophes en février 1923. Émigration En exil, Boulgakov vit en Tchécoslovaquie, à Prague. Il organise des conférences dans les pays d'Europe occidentale, vulgarisant l'œuvre du mouvement tolstoïen, et plaidant avec Mohandas Karamchand Gandhi la non-violence contre l'action des colonialistes anglais. Il dirige le cercle d'étude de la littérature russe contemporaine à lInstitut libre de Russie à Prague. En 1925, Boulgakov est élu président de lUnion des écrivains et journalistes russes de Tchécoslovaquie, qu'il dirigea jusqu'en 1928. Ensemble avec Marina Tsvetaïeva et , il publie la collection de lUnion des écrivains russes Kovtcheg (Prague, 1926), dont son ouvrage Silence à propos de Tolstoï fait partie. Il poursuit sa correspondance avec Tsvetaïeva après le départ de celle-ci pour la France. En février 1928, il demande au gouvernement soviétique l'autorisation de retourner en Russie avec son épouse Anna Vladimirovna et leur fille Tatiana, mais en mai on lui apprend que sa demande est refusée. Il rejoint alors l'organisation Internationale des résistant(e)s à la guerre et devient rapidement un des membres du conseil d'administration. En 1932, à son initiative, la communauté des doukhobors, qui avait émigré de Russie au Canada à la fin du , a été admise au sein de cette internationale des résistants à la guerre. Il correspond durant l'exil avec des personnalités importantes de la culture et des sciences telles que Romain Rolland, Rabindranath Tagore, Albert Einstein, Nicolas Roerich et d'autres encore. En 1934, à Zbraslav, un château près de Prague, Boulgakov fonde le Musée culturel et historique de la culture, au sein duquel il rassemble de riches collections d'art russe dispersées dans le monde (peintures, antiquités, dessins, livres). Des artistes immigrés (Alexandre Benois, Constantin Korovine, Zinaïda Serebriakova) ont fait don d'œuvres au musée culturel. Sur base de 15 tableaux offerts par Nicolas Roerich et son fils Svetoslav Roerich, est ouverte une salle Roerich au musée en 1938. En collaboration avec A. Ioupatov, il prépare l'ouvrage de référence Art russe à l'étranger (1938, Prague). Dans les années 1930, il prépare un ouvrage fondamental sous forme de dictionnaire de références des écrivains russes de l'étranger (qui n'a pas été publié de son vivant, mais seulement en 1993 à New York). En 1937, Boulgakov a reçu le prix Continental de la société Nouvelle histoire aux États-Unis pour son essai sur le thème Comment parvenir au désarmement général. En 1938, Nicolas Roerich recommande V. Boulgakov à la ligue de promotion de la culture Flamma. Boulgakov y crée des pièces de théâtre dont Sur la Croix de la grandeur (sur la mort de L. Tolstoï) et Edgard Poe. Durant la Seconde Guerre mondiale, après l'entrée des troupes allemandes à Prague, Boulgakov est arrêté par les Allemands, soupçonné d'activités communistes, puis est envoyé dans un camp de concentration bavarois à Weißenburg in Bayern. Là, entre 1941 et 1945, il écrit ses mémoires sur Tolstoï et ses proches, sur son emprisonnement dans le camp. Après avoir été libéré par les troupes américaines, il retourne à Prague. Il y trouve son musée en ruine. Il ne réussit qu'à restaurer partiellement une galerie d'art, qu'il ouvre dans un lycée soviétique. À Prague, il travaille au ministère de l'information, édite la revue Prajskie novosti, donne des conférences sur l'histoire de la Tchécoslovaquie à l'ambassade soviétique, enseigne dans une école russe. Retour en URSS En 1948, V. Boulgakov a pris la nationalité soviétique et est retourné en URSS. La partie qu'il a pu sauver dans les pièces de son musée de Zbraslav, il l'envoie en Union soviétique. L'importance culturelle de cette contribution est attestée par la fait que 51 tableaux ont été transférés à la Galerie Tretiakov et 50 pièces de musée ont été apportées au Musée historique d'État de Moscou en URSS et au . Valentin Boulgakov s'est alors installé à Iasnaïa Poliana, où il a été le conservateur du musée-domaine Léon Tolstoï pendant 20 ans. Il dirige la restauration de l'intérieur de la maison des Tolstoï, du mobilier, des peintures et des sculptures. Il organise personnellement des excursions pour des délégations étrangères. En 1956, il accueille à Iasnaïa Poliana David Bourliouk et Maria Nikiforovna Bourliouk de retour en URSS après leur émigration. Il faut savoir qu'en 1912, dans le manifeste fameux Une gifle au goût public, Bourliouk, ensemble avec Vladimir Maïakovski, Velimir Khlebnikov et Alexeï Kroutchenykh, a appelé à « jeter Pouchkine, Dostoïevski, Tolstoï, etc. du Bateau à vapeur de la Modernité ». Toutefois, l'attitude de Bourliouk à l'égard des classiques contemporains a changé seize ans après 1912. En 1928-29, la maison d'édition Maria Nikiforovna Bourliouk a publié aux États-Unis un livret contenant deux poèmes de David Bourliouk : Le Grand et doux bolchevik sur Tolstoï (écrit le ) et Gorki. En 1925-1930, Bourliouk a créé une toile épique Lénine et Tolstoï, les représentant sur un champ à labourer, Lénine attelé à la charrue et Tolstoï marchant devant. « Boulgakov, en 1956, à Iasnaïa Poliana, faisant ses adieux, dit : "Vivons jusqu'à l'âge de Léon Tolstoï, soit 82 ans !" Mais Bourliouk, le , aura 78 ans, et combien d'insultes lourdes, injustes et idiotes n'avons nous pas supportées, nous les Bourliok », écrit Maria Nikiforovna Bourliouk à propos de cette rencontre à Iasnaïa Poliana en 1956. Valentin Boulgakov n'a pas réussi à respecter son vœu, mais Bourliouk lui a réussi et est mort à 85 ans. En 1958, Boulgakov est accepté comme membre au sein de l'Union des écrivains soviétiques. En 1959, il prend sa retraite mais continue à vivre à Iasnaïa Poliana. Il écrit une série d'essais qui sont compilés dans des livres comme Rencontres avec des artistes, À propos de Tolstoï. Souvenirs et récits, et des mémoires publiées seulement en 2012 sous le titre : Comment est vécue la vie. En 1959, à l'invitation de son camarade de classe, employé au musée de la ville, Constantin Voronine, les frères Benjamin et Valentin Boulgakov visitent leur ville natale de Novokouznetsk. Ils ont retrouvé l'ancien site de la maison de leurs parents (bientôt démolie), ont retrouvé des amis, visité des musées. Valentin Boulgakov a donné une conférence à la bibliothèque Nicolas Gogol sur Léon Tolstoï. Il écrira plus tard à des amis : « Mon attachement à Novokouznetsk en tant qu'emplacement unique sur le globe terrestre à quelque chose de mystique en soi ». Jusqu'à sa mort, Valentin Boulgakov a maintenu le contact avec le musée de la ville, envoyant des livres, des objets personnels, des documents, des photos d'archives familiales des Boulgakov. Par testament, Boulgakov a encore légué une partie de ses objets personnels aux musées et en particulier au . Avec l'aide du critique et écrivain , Boulgakov publie dans la revue sa correspondance avec Nicolas Roerich, qui lui a valu d'importants honoraires. Dans une lettre de remerciement à Bouchine du , Boulgakov écrit : « Je me souviens de nos conversations l'été dernier à Iasnaïa Poliana avec un sentiment amical et chaleureux... Quant au portrait de Staline dans ma chambre, qui à notre époque semblait vous surprendre, me semble-t-il, il n'est pas là par hasard : cet homme m'a rendu ma patrie... » Boulgakov est mort à l'âge de 79 ans à Iasnaïa Poliana. Il est inhumé dans le village de Kotchaki, où se trouve le caveau familial des Tolstoï. Héritage Au , en 2008, le complexe mémorial Valentin Boulgakov constitue une partie importante de l'ensemble muséal. Il est associé principalement au nom de Léon Tolstoï. Dans la succursale du musée, au centre ville, une salle d'exposition a été ouverte sur la famille Boulgakov. Outre ses mémoires sur Léon Tolstoï, Boulgakov a laissé une correspondance importante, en particulier pendant la période d'émigration à Prague : correspondance avec Romain Rolland, Rabindranath Tagore, Albert Einstein, Nicolas Roerich et d'autres personnalités. Ses archives personnelles sont conservées aux Archives d'État de la littérature et de l'art (РГАЛИ) (Ф. 2226), ses ouvrages littéraires sont conservés aux archives du musée de la culture nationale à Prague, mais aussi au musée d'État d'histoire de la culture du kraï de l'Altaï dans la ville de Barnaoul (109 documents donnés par la fille de l'écrivain en 2000). Mémoire Le , sur le territoire de la filiale du musée de Novokouznetsk, rue Narodnan 7 a été inauguré un monument dédié à Léon Tolstoï et à Valentin Boulgakov intitulé Le Maître et l'élève. C'est une œuvre du sculpteur d'Oulan-Oude, Alexandre Mironov, en bronze sur un socle de granit noir. Écranisation Dans le film de 2009 Tolstoï, le dernier automne (Grande-Bretagne/Allemagne/Russie), le rôle de Boulgakov est joué par l'acteur écossais James McAvoy. Bibliographie Valentin Boulgakov (Булгаков В. Ф.) ((Léon Tolstoï durant les dernières années de sa vie. Série de mémoires littéraires (Л. Н. Толстой в последний год его жизни. Серия литературных мемуаров.) Государственное издательство художественной литературы, 1957, 1960, 1989. (première éditionе 1911) . V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) La compréhension de la Vie de L. Tolstoï dans le lettres de son secrétaire Boulgakov V. (Жизнепонимание Льва Николаевича Толстого. В письмах его секретаря В. Ф. Булгакова.) — М., Изд. Т-ва И. Д. Сытина, 1911. V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) Университет и университетская наука. М., 1919. (première édition 1912) V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) Христианская этика. Сб. — Екатеринбург: ТОО «Альфа», 1994. 224 с. (première édition 1917) V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) Sur la Guerre, О войне // «Жизнь для всех». 1917. № 4. V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) L Tolstoï et notre modernité. Sur les chemins de la vraie Renaissance (Л. Толстой и наша современность. О путях к истинному возрождению). — М., 1919. V. Boulgakov (Булгаков Вал.) Histoire de personnes partageant les mêmes idées que Tolstoï sur la Première Guerre mondiale Опомнитесь, люди-братья! История воззвания единомышленников Л. Н. Толстого против мировой войны 1914—1918 гг.. T. 1. — М., Задруга, 1922. V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) Tolstoï moraliste , Pragues (Толстой-моралист. - Прага) 1923 V. Boulgakov (Булгаков Вал.) La révolution en automobile, Pétrograde février 1917 (Революция на автомобилях. (Петроград в феврале 1917 г.)')' // «На чужой стороне».) 1924. № 6. V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) L. Tolstoï et le destin de l'antimilitarisme russe (Лев Толстой и судьбы русского антимилитаризма) // «Воля России». 1924. № 14-15. V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) La Tragédie de L. Tolstoï (Трагедия Льва Толстого. - ) Léningrad , 1928. V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) Comment mourir pour la foi (Как умирают за веру) // «Современные записки». Книга XXXVIII. 1929. V. Boulgakov (Булгаков Валентин.) Tolstoï, Lénine, Gandhi, Prague, 1930// Толстой, Ленин, Ганди. Прага, 1930. V. Boulgakov (Булгаков Валентин) Iasnaïa Poliana Riga 1898 Духоборцы (1932) // «Ясная Поляна». Рига, сентябрь-ноябрь 1989. № 8. V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) ((Histoire du musée Tolstoï à Moscou ( Из истории музеев Л. Н. Толстого в Москве) Toula // «Яснополянский сборник». Тула, 1968. V. Boulgakov (Булгаков Валентин.) Rencontre avec les artistes Léningrad 1969.( Встречи с художниками. — Л., Художник РСФСР) 1969. - 300 с., 25 000 экз.) V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) Léon Tolstoï, ses amis et ses proches (Лев Толстой, его друзья и близкие.) Toula - Тула, 1970 Valentin Boulgakov (Булгаков В. Ф.) Sur Tolstoï , souvenirs et histoires О Толстом. Воспоминания и рассказы. Составление, вступительная статья и примечания доктора филологических наук А. И. Шифмана. Тула, Приок. кн. изд-во, 1964., 326 с.; 2-е изд. 1978. 479+8 п. V. Boulgakov (Валентин Булгаков.) Sur les prisons et sur les camps По тюрьмам и лагерям. В царстве свастики // «Москва». Журнал русской культуры. 2000. № 5. Valentin Boulgakov (Булгаков В. Ф.) Pour sauver de l'oubli, mémoires, inédits (Чтобы спасти от забвенья) — мемуары, неопубликованы V. Boulgakov (Булгаков В. Ф.) Ainsi est vécue la Vie, archives Boulgakov (Так прожита жизнь) — мемуары, неопубликованы, архив В. Ф. Булгакова V. Boulgakov, Éthique chrétienne , essais sur la vision du monde de Tolstoï 1917 Булгаков В. Ф. Христианская этика. Систематические очерки мировоззрения Л.Н. Толстого. - 1917 Valentin Boulgakov (Булгаков В.), Dictionnaire des écrivains russes de l'étranger rédacteur ( составитель. Словарь русских зарубежных писателей.) New York: Norman Ross, 1993. Littérature S.P Zviaguine, Question des liens de Boulgakov avec Tomsk et Kouznetsov Omsk 1933 p. 200-203 (Звягин С.П. К вопросу о связях Валентина Булгакова с Томском и Кузнецком. Тезисы. // Культура и интеллигенция России в переломные эпохи (XX век): тез. докладов Всерос. научно-практ. конф. Омск, 24-26 ноября . / отв. ред. В.Г. Рыженко. Омск, 1993. С. 200-203. Références Liens externes Œuvres de Boulgakov dans le projet Classique Произведения В. Ф. Булгакова в проекте «Классика» Archives personnelles de Boulgakov V. Личный архив В. Ф. Булгакова в [РГАЛИ] (Ф.2226) Articles https://web.archive.org/web/20071225205756/http://rodstvo.ru/B/bulgakov.htm https://web.archive.org/web/20071216055702/http://www.yasnayapolyana.ru/concept/person/index.htm#9 https://web.archive.org/web/20070814124921/http://www.ipmce.su/%7Etsvet/WIN/people/b.html Musée Musée d'État L. Tolstoï Страницы истории. Вчера, сегодня, завтра… Государственный музей Л. Н. Толстого. на Tolstoymuseum.ru, ссылка актуальна на 12 марта 2008 Antimilitarisme Rachkovskaïa M et E. Rachkovski; La Religion de la paix; aide à la famine (М. А. Рашковская, Е. Б. Рашковский)«Милые братья и сестры…» // Религии мира. История и современность. 1989—1990, М., «Восточная литература», 1993 Document du musée Tolstoï «Воззвание имело целью… успокоить встревоженную войной совесть толстовцев-антимилитаристов». Документы Гос. музея Л. Н. Толстого о судебном процессе 21-30 марта 1916 г. Публ. подготовил Ю. В. Варфоломеев // «Отечественные архивы», 2006, № 3 J.S Lurie (Лурье Я. С.) Après L. Tolstoï, vues historiques et problèmes du XX s После Льва Толстого. Исторические воззрения Толстого и проблемы XX века, СПб., «Дмитрий Буланин», 1993 — главы: Толстовцы и большевики, Заключение. Толстой на пороге XXI века. V. Chentalinski (Шенталинский В.) Dénonciation sur Socrate Донос на Сократа // «Новый Мир» 1996, № 11 Aide à la famine Abrossimova Valeria Le mensonge total du pouvoir et le choix de la personnalité des archives de V. Boulgakov Абросимова, Валерия. Тотальная ложь власти и выбор личности. Из архива секретаря Л. Н. Толстого В. Ф. Булгакова. на NG.ru от 2000-03-31, ссылка актуальна на 12 марта 2008 Émigration Cercles littéraires et associations russes en Tchécoslovaquie Русские литературные кружки и объединения в Чехословакии (1922—1940) на Mochola.org, ссылка актуальна на 12 марта 2008 Union des écrivains et journalistes russes en Tchécoslovaquie Союз русских писателей и журналистов в Чехословацкой республике на Mochola.org, ссылка актуальна на 12 марта 2008 Naissance en novembre 1886 Naissance à Novokouznetsk Critique littéraire russe Biographe russe Éditeur russe Mouvement tolstoïen Muséologue Anarchiste russe Décès en septembre 1966 Décès à 79 ans Personnalité du christianisme et de la non-violence
Jeff Trepagnier
Jeff Trepagnier, né le à Los Angeles (États-Unis), est un joueur de basket-ball professionnel américain. Il mesure . Biographie Université 1997 - 2001 Trojans d'USC (NCAA) Draft de la NBA Sélectionné au second tour, à la , en 2001 par les Cavaliers de Cleveland. Clubs 2001 - 2002 : Cavaliers de Cleveland (NBA) 2002 - 2003 : Asheville Altitude (NBDL) 2003 - 2004 : Nuggets de Denver (NBA) 2004 - 2005 : Eldo Napoli (Serie A) 2005 - 2006 : Ülkerspor İstanbul () 2006 - 2007 : Eldo Napoli (Serie A) 2007 - 2008 : Pau Orthez (Pro A) 2008 - 2009 : Jam de Bakersfield (D-League) 2008 - 2009 : Vipers de Rio Grande Valley (D-League) 2009 - 2010 : Energy de l'Iowa (D-League) 2010 - 2011 : Scaligera Vérone (Legadue) Palmarès 2002 - 2003 All-NBDL Team. 2005 - 2006 Champion de Turquie avec Ülkerspor İstanbul. Références Liens externes Joueur américain de basket-ball Naissance en juillet 1979 Joueur des Trojans de l'USC Joueur drafté par les Cavaliers de Cleveland Joueur des Cavaliers de Cleveland Joueur des Nuggets de Denver Joueur de l'Élan béarnais Pau-Lacq-Orthez Naissance à Los Angeles Sportif afro-américain
Tentative de coup d'État de 1997 en Zambie
La tentative de coup d'État de 1997 en Zambie est un tentative de coup d'Etat militaire survenue en Zambie le 28 octobre 1997. Le coup d'État ne dura pas plus de 3 heures et a eu lieu entre 6 et 9 heures du matin quand le chef du coup d'État, le capitaine Solo () de l'armée zambienne, a annoncé via la (radio nationale) qu'un coup d'État avait eu lieu et que le président de l'époque, Frederick Chiluba, devait démissionner. Certaines organisations médiatiques internationales n'ont pas pu s'empêcher de plaisanter sur le chef du coup d'État « bien nommé » (Solo) dont la demande de démission du président a pu être entendue accompagnée des rires des journalistes de la radio qui se trouvaient dans la station de radio au moment de la tentative de coup d'État. Le capitaine Solo a passé les 13 années suivantes en prison pour avoir commis une trahison et n'a été libéré que lorsqu'il est devenu clair qu'il était en phase terminale. Notes et références 1997 en Zambie Octobre 1997 Histoire de la Zambie Politique en Zambie Coup d'État
Robert McLachlan (entomologiste)
Robert Mac Lachlan (ou M’Lachlan ou McLachlan) est un entomologiste britannique, né le à Chipping Ongar, Essex et mort le à Lewisham, près de Londres. Biographie Il est le fils d’Hugh Mac Lachlan. Il fait ses études principalement à Ilford et fait un héritage suffisant pour lui permettre de se consacrer à l’étude de l’histoire naturelle et de voyager. Il se consacre d’abord à la botanique avant de se spécialiser dans l’étude des neuroptères. Il est le premier éditeur de la revue Entomologists’ Monthly Magazine. Mac Lachlan devient membre de la Royal Entomological Society en 1858, son secrétaire de 1868 à 1872, son trésorier de 1873 à 1875 et de 1891 à 1904 et son président de 1885 à 1886. Il est également membre de la Linnean Society of London en 1862, de la Royal Society en 1877, de la Zoological Society of London en 1881 et de la Royal Horticultural Society en 1888. Il est également membre du conseil de la Ray Society et membre de diverses sociétés savantes britanniques et étrangères. Publications Parmi ses , il faut citer : Monograph of the British species of caddis-flies (1865). Monograph of the British Neuroptera-Planipennia (1868). Monograph British Psocidæ (1866-1867). Catalogue of British Neuroptera (1870). Monographic revision and synopsis of the Trichoptera of the European fauna (deux volumes, 1874 et 1880). Liens externes Robert Mac-Lachlan, Quelques espèces de phryganides, in Bull. Soc. Imp. Nat. Mosc., tome 45, 3-4, 1872, sq Source Edward Oliver Essig (1931). A History of Entomology. Mac Millan (New York) : vii + 1029 Naissance en avril 1837 Naissance dans l'Essex Décès en mai 1904 Décès à Lewisham (borough londonien) Décès à 67 ans Entomologiste anglais Membre de la Royal Society Président de la Royal Entomological Society Membre de la Linnean Society of London Membre de la Société zoologique de Londres Membre de la Royal Horticultural Society
Berliet 1 CB
Le Berliet 1 CB est un autocar construit par la société française Berliet à partir de 1911. Il s’est illustré notamment en étant utilisé pour la liaison PLM de la route des Grandes Alpes ; 41 véhicules seront achetés en 1911. Il était entièrement décapotable et transportait 12 à 15 personnes. Son moteur à quatre cylindres de marque Berliet développait 22 cv et avait une cylindrée de 5,3 litres (110x140). Il était pourvu d’un refroidissement à eau, d’un embrayage disques de bronze et d’acier, et d’une boîte quatre vitesses. Sa vitesse de croisière était de 25 km/h en plaine et de 15 km/h dans les cols. Il pouvait atteindre la vitesse maxi de 45 km/h. Notes et références Voir aussi Liens externes Écomusée du pays de la Roudoule, La Route des Grandes Alpes, Édition de l’écomusée du pays de la Roudoule, Puget-Rostang , 1 CB Poids lourd des années 1910
Dragon Quest
, aussi connu sous le nom de Dragon Warrior aux États-Unis, est une série de jeux vidéo créée en 1986 par le concepteur Yuji Horii. Pour chacun des épisodes, Horii tient la place de directeur ou de producteur, Akira Toriyama supervise l'environnement graphique puis se concentre sur la création des personnages et Kōichi Sugiyama compose les musiques. La série est extrêmement populaire au Japon et s'est vendue à près de 80 millions d'exemplaires dans le monde. Création Le premier épisode, créé par la société japonaise Enix, est sorti en 1986. Inspiré par les déjà nombreux jeux vidéo de rôle sur microordinateurs, il est généralement considéré comme le premier représentant du genre sur console de jeu vidéo. Au Japon, l'influence du jeu original et de la série sur les jeux vidéo de rôle sur console a été immense. La série continue encore aujourd'hui à faire des émules, et chaque épisode s'est hissé au sommet des classements des meilleures ventes de jeux vidéo au Japon. Ce qui caractérise Dragon Quest est une certaine forme de classicisme et de simplicité : univers heroic-fantasy coloré, dragons, héros, légendes et autres démons qui se retrouvent dans tous les épisodes, là où d'autres séries varient les univers. À tout cela on peut ajouter les graphismes très caractéristiques d'Akira Toriyama, une difficulté relevée, et un gameplay reconnu pour sa profondeur. Dragon Quest est l'œuvre maîtresse de Yuji Horii. Ce dernier a aussi supervisé, avec Hironobu Sakaguchi, le célèbre Chrono Trigger. Un autre grand nom de DQ est Kōichi Sugiyama, responsable des thèmes musicaux. De par son âge, la série a connu un grand nombre de plates-formes différentes : MSX, NES, Super Nintendo, Game Boy Color, Game Boy Advance, Nintendo DS, Nintendo 3DS, Wii, Wii U, Nintendo Switch, téléphones portables, PlayStation, PlayStation 2, PlayStation 3, PlayStation 4 et Xbox one. Épisodes Série principale Jeux dérivés Dragon Quest a donné naissance à des séries dérivées : Dragon Quest : Fushigi no Dungeon (Mystery Dungeon) : 1993 : Torneko no Daiboken, Torneko étant le personnage du gros marchand dans Dragon Quest IV : L'Épopée des élus, sorti sur Super Famicom au Japon ; 1999 : Torneko: The Last Hope (Torneko no Daibōken 2 - Fushigi no Dungeon au Japon) sorti sur PlayStation au Japon et aux États-Unis ; 2002 : Dragon Quest Characters: Torneko no Daibōken 3 sorti sur PlayStation 2 et Game Boy Advance au Japon ; 2006 : Dragon Quest: Shounen Yangus to Fushigi no Dungeon, qui raconte l'enfance de Yangus, personnage jouable de Dragon Quest VIII, sorti sur PlayStation 2 au Japon ; Dragon Quest Monsters, dans laquelle le joueur doit élever des monstres afin de les faire combattre. Le concept est très proche des jeux Pokémon sortis sur Game Boy quelques années avant : 1998 : Dragon Quest Monsters, sorti sur Game Boy Color au Japon, aux États-Unis et en Europe (premier jeu de la franchise à sortir officiellement en Europe) ; 2001 : Dragon Quest Monsters 2, sorti sur Game Boy Color au Japon et aux États-Unis. 2002 : Dragon Quest Monsters 1+2 Hoshi Furi no Yūsha to Bokujō no Nakamatachi, sorti sur PlayStation au Japon, à la fois compilation et remake des deux épisodes Game Boy Color ; 2003 : Dragon Quest Monsters: Caravan Heart, sorti sur Game Boy Advance au Japon ; 2006 : Dragon Quest Monsters: Joker, sorti sur Nintendo DS au Japon, aux États-Unis et en Europe; 2011 : Dragon Quest Monsters: Joker 2, sorti sur Nintendo DS au Japon, aux États-Unis et en Europe; 2012 : Dragon Quest Monsters: Terry no Wonderland 3D, sorti sur Nintendo 3DS au Japon, remake du premier Dragon Quest Monsters ; 2014 : Dragon Quest Monsters: Iru to Ruka no Fushigi na Fushigi na Kagi, sorti sur Nintendo 3DS au Japon, remake de Dragon Quest Monsters 2 ; 2014 : Dragon Quest Monsters: Super Light, jeu Free to play sorti sur mobile Apple et Android au Japon ; 2016 : Dragon Quest Monsters: Joker 3, sorti sur Nintendo 3DS au Japon; Slime MoriMori Dragon Quest, qui relate les aventures d'un slime bleu ; Dragon Quest Swords, jeux adoptant une vue à la première personne demandant d'affronter des vagues d'ennemis apparaissant à l'écran à l'aide d'un appareil avec reconnaissance de mouvements : 2003 : Kenshin Dragon Quest: Yomigaerishi Densetsu no Ken, jeu sorti uniquement au Japon. Il s'agit d'un appareil à brancher directement à sa télévision pour pouvoir jouer. Le principe consiste à attaquer les monstres qui apparaissent sur sa télévision à l'aide de l'épée / manette ; 2007 : Dragon Quest Swords : La Reine masquée et la tour des miroirs, sur Wii, qui met à profit la jouabilité particulière de cette console ; Dragon Quest: Monster Battle Road, sorti en Arcade en 2007 au Japon ; Dragon Quest Heroes, une série de type beat them up proche du concept des jeux Dynasty Warriors (appelés Musou ou Musо̄ au Japon) développés par Omega Force : 2015 : Dragon Quest Heroes : Le Crépuscule de l'Arbre du Monde, sur PlayStation 4 et PlayStation 3 (uniquement au Japon sur PlayStation 3) ; 2016 : Dragon Quest Heroes II, sur PlayStation 3, PlayStation 4, PlayStation Vita, Windows ; 2017 : Dragon Quest Heroes I+II, sur Nintendo Switch, compilation des deux épisodes sortie uniquement au Japon ; , un jeu musical sur Nintendo 3DS exclusivement au Japon ; Dragon Quest Builders est un jeu d'aventure et de constructions dans un concept proche de Minecraft. 2016 : Dragon Quest Builders, sur PlayStation 3 (uniquement au Japon), PlayStation 4, PlayStation Vita et Nintendo Switch ; 2019 : Dragon Quest Builders 2, sur Microsoft Windows (via Steam), PlayStation 4 et Nintendo Switch ; Hoshi no Dragon Quest, (Dragon Quest of the stars) un jeu de rôle free-to-play sorti sur mobile Apple et Android, exclusivement au Japon en 2015, puis mondialement en 2020 ; Dragon Quest Rivals, un jeu de cartes à collectionner et de duel entre joueurs free-to-play sorti sur mobile Apple et Android, Windows et Nintendo Switch exclusivement au Japon en 2017, le concept est proche de Hearthstone ; Dragon Quest WALK, un jeu d'aventures nécessitant de parcourir les rues pour trouver des monstres et des trésors free-to-play sorti sur mobile Apple et Android, exclusivement au Japon en 2019, le concept est proche de Pokémon GO ; Dragon Quest Tact, un tactical-RPG free-to-play sorti sur mobile Apple et Android, en 2020 au Japon et en 2021 dans le reste du monde ; Adaptations Plusieurs mangas et anime ont été adaptés de Dragon Quest : Dragon Quest: Dai no daibōken : un manga de 37 volumes, une série télévisée de 46 épisodes, 3 films d'animation. L'adaptation la plus connue en Occident. D'abord éditée en France par J'ai lu sous le titre de Fly, elle est rééditée par Tonkam sous le nom de Dragon Quest : La Quête de Daï. Dragon Quest: Yuusha no Abel : un manga basée sur Dragon Quest III, série télévisée de 42 épisodes. Dragon Quest: Emblem of Roto : un manga de 21 volumes, un film. Dragon Quest: The Heaven Saga : une adaptation manga de Dragon Quest V. Dragon Quest: Maboroshi no Daichi : une adaptation manga de Dragon Quest VI Dragon Quest: Eden no senshitachi : une adaptation manga de Dragon Quest VII. Dragon Quest: Emblem of Roto: Les héritiers de l' emblème : suite de Dragon Quest: Emblem of Roto , en cours de parution. Popularité au Japon et à l'étranger Au Japon, Dragon Quest détient de nombreux records. Il s'agit de la série la plus populaire de Square Enix, devant Final Fantasy et d'une manière générale, il s'agit de la série non-Nintendo la plus populaire du pays. Sur NES, les trois meilleures ventes d'éditeurs autres que Nintendo sont des Dragon Quest, tandis que sur Super Nintendo, Dragon Quest VI constitue également la meilleure vente d'un éditeur tiers avec d'exemplaires vendus. Dragon Quest VII devient l'épisode le plus vendu de la série avec presque d'exemplaires vendus, meilleure vente de la PlayStation au Japon et, hors jeux Nintendo, la meilleure vente de l'histoire du pays. Toujours au Japon, La série est si populaire, qu'à la suite de la sortie de Dragon Quest III en 1988, Enix planifie son calendrier de telle sorte que la sortie d'un nouvel opus de Dragon Quest se fasse désormais en dehors des jours ouvrés, afin de limiter l'absentéisme (aussi bien scolaire que professionnel). C'est un tel phénomène au Japon qu'il existe des concerts basés sur cet univers, et de nombreux CD reprenant les diverses OST des jeux (certains ayant bénéficié de la participation de l'Orchestre philharmonique de Londres). Dragon Quest VIII devient à son tour la meilleure vente de la PlayStation 2, tandis que le Dragon Quest IX est plus tard annoncé sur la Nintendo DS qui connaît un succès énorme. Bien que l'annonce d'un nouvel épisode sur une console portable surprenne beaucoup de monde, certaines personnes commencent déjà à imaginer la possibilité d'un succès colossal grâce au phénomène de la Nintendo DS, dont le président de Enterbrain qui déclare s'attendre à ce que le jeu puisse dépasser les . À sa sortie en juillet 2009, il devient le deuxième meilleur démarrage de l'histoire avec environ d'exemplaires écoulés en première semaine () selon Famitsu, mais la loi l'imposant de sortir en week-end l'empêche ainsi de tenir la comparaison face à Final Fantasy VIII qui s'était lui écoulé à d'exemplaires en première semaine, mais était sorti un jeudi, jour habituel des nouveautés au Japon, lui laissant ainsi 4 jours de commercialisation. Néanmoins Dragon Quest IX réussit à se maintenir dans les meilleures ventes et devient alors l'épisode le plus vendu de la série mais aussi le premier jeu non-Nintendo a dépasser les d'exemplaires vendus et constitue actuellement le vidéo le plus vendu de l'histoire du Japon. Dragon Quest n'a en revanche pas beaucoup de succès dans le reste du monde, ce qui fait d'ailleurs qu'au niveau mondial, Final Fantasy est ainsi la série la plus populaire de Square-Enix. Enix avait tout de même à l'époque sorti les premiers épisode aux États-Unis, sous le nom de Dragon Warrior, mais aucun opus n'a rencontré de véritable succès. En revanche, la société n'a sorti aucun épisode en Europe. Après la fusion avec Squaresoft, l'éditeur devient plus ambitieux pour sa série à l'international. Dragon Quest VIII devient le premier épisode à sortir en Europe et également le premier à être traduit officiellement en français. Sans connaître un grand succès, le jeu se vend tout de même très bien en Occident. Depuis, chaque épisode a droit à une localisation aux États-Unis comme en Europe, où Dragon Quest IV, Dragon Quest V et Dragon Quest VI sortent pour la première fois grâce à leurs remakes sur Nintendo DS. Les ventes sont toutefois assez moyennes, surtout en comparaison du succès japonais. La série s'avère toutefois plus populaire en Europe qu'aux États-Unis, bien que ce dernier soit le plus important marché au monde pour le jeu vidéo : dans le cas de Dragon Quest IV sur DS, Square-Enix a écoulé au Japon, en Amérique du Nord, et en Europe. Divers La mascotte officielle de Dragon Quest est un slime (traduit en « gluant », dans la version française de Dragon Quest VIII) bleu, en forme d'oignon. Il apparaît dans chaque épisode du jeu ; c'est souvent le premier personnage que l'on rencontre. Il peut, en se mélangeant avec d'autres slimes, devenir un roi slime, un slime plus gros coiffé d'une couronne. Les jeux contiennent quelques notes religieuses : de nombreux évêques vagabondent souvent au sein de l'univers de Dragon Quest Monsters, et ont un pouvoir de guérison. Dans Dragon Quest VII, le seigneur du mal, une sorte de diable, appelé Orgodemir, est le dernier ennemi à combattre. Une quête annexe permet de se battre contre Dieu lui-même. Dans les épisodes de la série à partir de Dragon Quest IV (numérotés), la sauvegarde se fait dans des églises. Dans Dragon Quest IX, des pierres gravées dans le palais du tout-puissant relatent un récit ressemblant très fort à la genèse (premier livre de la Bible). Dans ce même opus, le mal est incarné par un ange déchu, le tout-puissant a une fille unique qui s'est sacrifiée pour l'humanité. Le héros de Dragon Quest XI est disponible en DLC payant dans Super Smash Bros. Ultimate, avec les héros de Dragon Quest III, Dragon Quest IV et Dragon Quest VIII en costumes alternatifs. Influence Inspiré des jeux de rôle sur micro-ordinateurs (avec Ultima I en 1980 ou Wizardry en 1981), le premier opus Dragon Quest est considéré comme le premier jeu du genre sur console de jeux vidéo. En tant que premier jeu japonais du genre, il est source d'une influence artistique que l'on surnomme J-RPG pour les jeux de rôles japonais. Ce même jeu a fait naître une autre série tout aussi populaire au Japon, Final Fantasy. Une série qui, à ses débuts, prenait référence sur la série Dragon Quest (au moins dans la forme comme l'utilisation de chiffre romain pour les titres) mais qui a su se démarquer par une prise de risque artistique et commerciale par la suite. Dragon Quest a aussi inspiré d'autres séries tout aussi populaires telles que Pokémon, Digimon et Dokapon par la mécanique de recrutement et d'élevage de monstre. En effet dans Dragon Quest V sorti en 1992, il était déjà possible de capturer des monstres et de les faire évoluer, le principe même de Pokémon dont le premier jeu est sorti en 1996. Dragon Quest a également inspiré Sega et le Ryu ga Gotoku Studio dans le dernier épisode de la saga Yakuza. En effet, dans Yakuza: Like a Dragon, sorti en 2020, le protagoniste principal, Ichiban Kasuga, se prend pour un héros de Dragon Quest. Le nom de la série est ouvertement cité dans le jeu, Square-Enix ayant donné à Sega le droit d'utilisation du nom. Notes et références Liens externes Site officiel de Square-Enix (Japonais) Jeux vidéo : « “Dragon Quest”, c’est le vieux livre poussiéreux sur lequel on souffle » Dossier sur la série sur Jeuxvideo.com Série de jeux vidéo lancée en 1986
V838 Herculis
V838 Herculis (ou Nova Herculis 1991) était une nova qui survint en 1991 dans la constellation d'Hercule. Elle atteignit une magnitude minimale (correspondant à une luminosité maximale) de 5,0. Coordonnées Ascension droite : 18h 46m 31s.55 Déclinaison : +12° 14' 05".0 Lien externe Constellation d'Hercule Nova
Ronnie Lee Gardner
Ronnie Lee Gardner, né le à Salt Lake City est mort exécuté le à Draper, est un criminel américain qui a reçu la peine de mort pour meurtre en 1985 et a été exécuté par un peloton d'exécution en 2010. Le cas de Gardner qui a passé près de vingt-cinq ans dans le couloir de la mort a incité la Chambre des représentants de l'Utah à légiférer pour limiter le nombre d'appels dans les affaires criminelles avec peine de mort. Affaire Gardner En , Gardner a tué Melvyn John Otterstrom lors d'un cambriolage à Salt Lake City. Alors qu'il a été transféré en pour une audience au tribunal pour cet homicide, il a abattu l'avocat Michael Burdell dans une tentative infructueuse d'évasion. Reconnu coupable de deux chefs d'accusation de meurtre, Gardner a été condamné à la réclusion à perpétuité pour le premier chef d'accusation et a reçu la peine de mort pour la seconde. L'État a adopté des mesures de sécurité plus strictes à la suite de cet incident survenu au palais de justice. Alors qu'il était détenu à la prison d'État de l'Utah, Gardner a été accusé d'un autre crime capital pour avoir poignardé un détenu en 1994. Cependant, cette accusation a été rejetée par la Cour suprême de l'Utah parce que la victime a survécu. Dans une série d'appels, les avocats de la défense de Gardner ont présenté des preuves atténuantes de l'éducation troublée de leur client, qui avait passé presque toute sa vie adulte incarcéré. Sa demande de commutation de sa peine de mort a été refusée en 2010 après que les familles de ses victimes eurent témoigné contre lui. L'équipe juridique de Gardner a porté l'affaire devant la Cour suprême des États-Unis, qui a refusé d'intervenir. L'exécution de Gardner à la prison d'État de l'Utah a attiré l'attention des médias en , car elle a été la première à être effectuée par un peloton d'exécution aux États-Unis depuis quatorze ans. Gardner avait déclaré auparavant qu'il souhaitait cette méthode d'exécution en raison de son origine mormone. La veille de son exécution, l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours a publié une déclaration clarifiant sa position sur la question de l'expiation par le sang des individus. L'affaire a également attiré un débat sur la peine capitale et si Gardner avait été inexorablement destiné à une vie de violence à cause de son enfance difficile. Notes et références Naissance à Salt Lake City Naissance en janvier 1961 Décès en juin 2010 Personnalité américaine condamnée pour meurtre Condamné à mort exécuté aux États-Unis Décès à 49 ans Décès en Utah
Aerodium
Aerodium est un concepteur et producteur de souffleries verticales basé à Riga, en Lettonie. Son activité principale est la vente et la location de souffleries verticales pour divertissement et l'industrie militaire, mais elle dirige également des différents sites sous franchise. La deuxième partie est liée à l’organisation de spectacles et de performances pour la promotion de marques, de festivals et autres célébrations dans le monde entier. Histoire En 1979 l'inventeur canadien Jean Saint-Germain a eu l'idée de créer la première soufflerie verticale pour bodyflying. Après avoir accumulé des investissements de 450 000 dollars, il ouvre la première soufflerie commerciale à Saint-Simon-de-Bagot, à 50 milles à l’est de Montréal. Ancien parachutiste de l'armée, Saint-Germain était propriétaire de deux écoles de parachutisme lorsqu'il est venu à l'idée qu'un Aérodium aiderait ses élèves à pratiquer la chute libre d'une manière plus efficace. En 1982, Jean Saint-Germain a vendu le concept de soufflerie verticale à Les Thompson et à Marvin Kratter, qui ont ensuite construit leurs propres souffleries à Pigeon Forge (Tennessee) et à Las Vegas (Nevada). Peu de temps après, Saint-Germain a vendu les droits de concession à Kratter pour 1,5 million de dollars. Connu à l'origine sous le nom "Aérodium", il a été breveté comme "Levitationarium" par Jean Saint-Germain aux États-Unis en 1984 et 1994, sous les brevets nos 4 457 509 et 5 318 481, respectivement. En 2003, après avoir rencontré François Saint-Germain (fils de Jean Saint-Germain), l'entrepreneur letton Ivars Beitāns décida d'avancer le concept de soufflerie Aerodium. À l'été 2005, la première soufflerie verticale d'Europe de l'Est a été ouverte à Sigulda, en Lettonie. Améliorant et modernisant progressivement les solutions techniques, l'entreprise a commencé à fabriquer des souffleries commerciales en Lettonie sous le nom Aerodium Technologies. Spectacles, performances et événements Concentré sur les souffleries à ciel ouvert, Aerodium est devenu, au fil des ans, la société principale à participer aux différents spectacles de bodyflying et aux performances à travers le monde. L’un des plus importants événements de l’histoire de la soufflerie verticale était la «machine à vent» lors des cérémonies de clôture des Jeux olympiques d’hiver de Turin 2006, un modèle construit sur mesure par Aerodium. La plupart des spectateurs dans le monde n'avaient jamais vu une soufflerie verticale et étaient fascinés par les humains volants sans fil. Le spectacle comprenait un snowboarder volant (interprété par Ivars Beitāns lui-même) et d'autres effets visuels jamais vus auparavant. Une performance en soufflerie verticale sur la Place Rouge de Moscou a été montrée en 2009 lors de la présentation du logotype des Jeux olympiques d'hiver de Sochi 2014. En 2010, une soufflerie verticale a été exposée au pavillon letton de l'Exposition universelle 2010 à Shanghai, en Chine. Aerodium était l'entrepreneur général du pavillon et présentait des spectacles aux visiteurs toutes les 30 minutes pendant 6 mois. La soufflerie a rassemblé de grandes foules et a même permis à certaines personnes de s’entraîner et de voler dans la soufflerie. Le tunnel était la première soufflerie à recirculation entièrement transparente au monde, permettant aux spectateurs de regarder les performances de tous les côtés. Aerodium a introduit une nouvelle application de souffleries verticales en 2013 quand ils ont construit la première soufflerie au monde adapté au BASE Jump en intérieur au «Sirius Sport Resort» en Finlande. Par rapport aux autres modèles, les parachutistes pouvait désormais entrer dans la soufflerie depuis le sol ou y plonger d’une hauteur de 15 mètres, simulant ainsi le saut depuis un bâtiment. En 2016 Aerodium a présenté un projet nommé « Flying Dream », une soufflerie-amphithéâtre unique. Elle est située à Dengfeng, au milieu de mont Song, près du célèbre monastère de Shaolin en Chine. La soufflerie fait partie d'un spectacle de kung-fu et des moines volants. La même année, le parc Shanghai Disneyland, le premier en Chine continentale, a ouvert ses portes à Pudong. Aerodium a été invité à concevoir une soufflerie unique sans murs permanents pour le spectacle de Pirates des Caraïbes: L'Œil du cyclone, spectacle du capitaine Jack. Il s'agit de la seule soufflerie sans mur du type à recirculation au monde. Projets de film Les souffleries d'Aerodium en plein air ont également suscité l'intérêt de l'industrie cinématographique. Pendant l'Expo 2010, Jackie Chan a essayé de voler dans la soufflerie du pavillon letton. Deux ans plus tard, en 2012, il a passé trois semaines en Lettonie à s'entraîner et à filmer une scène de combat aérien pour le film "Chinese Zodiac". En 2017, Aerodium a construit la plus grande soufflerie verticale du monde, mesurant 3,5 m × 6,5 m, soit quatre fois la taille d'une soufflerie typique. Elle a été nommée Peryton et utilisé par Tom Cruise pour la sixième série de films Mission: Impossible intitulée "Fallout". Pour filmer l'une des premières scènes, Tom Cruise a dû effectuer plus de 100 sauts HALO. Selon Neil Corbould, superviseur des effets spéciaux, "c’était beaucoup, mais vous savez, s’il n’avait pas eu le temps dans la soufflerie, il aurait dû faire 250". Références Entreprise du secteur du divertissement ayant son siège en Lettonie
Megan Shackleton
Megan Shackleton, née le à Halifax (Angleterre), est une pongiste handisport britannique concourant en classe 4. Après le bronze aux Mondiaux en 2017, elle obtient le même métal aux Jeux en 2021. Biographie À l'âge de neuf ans, elle se brise la colonne vertébrale dans un accident mécanique. Elle fait des études de littérature à l'université de Sheffield. Carrière Pour ses premiers Jeux en 2021, Shackleton est éliminée lors du premier tour en individuel mais avec sa compatriote Sue Bailey, elle obtient le bronze par équipes classe 4-5. Le duo avait déjà remporté le bronze aux Championnats du monde 2017. Palmarès Jeux paralympiques médaille de bronze par équipes classe4-5 aux Jeux paralympiques d'été de 2020 à Tokyo Championnats du monde médaille de bronze par équipes classe4-5 aux Championnats du monde 2017 à Bratislava Références Liens externes Pongiste (femme) handisport britannique Pongiste (femme) aux Jeux paralympiques d'été de 2020 Médaillée de bronze paralympique britannique Naissance en mars 1999 Naissance à Halifax (Royaume-Uni)
Prieuré d'Oulchy-le-Château
Le prieuré d'Oulchy-le-Château est un prieuré situé à Oulchy-le-Château, en France. Description Il semble que le prieuré ne soit juste, depuis la ruine d'Oulchy, qu'un prieuré-cure composé du prieur et de un ou deux vicaires. Localisation Le prieuré est situé sur la commune d'Oulchy-le-Château, dans le département de l'Aisne. Historique A de Vertus nous rapporte sur Jean Racine « Ayant contracté des dettes pour achever ses études, le jeune racine ne vit pas d'autres moyens pour les payer que de se faire clerc et d'obtenir un bénéfice. Il ne réussit pas chez son oncle où il se préparait à recevoir la tonsure et demanda alors Oulchy. Mais pour avoir oulchy il fallait porter l'habit blanc des religieus de St jean des Vignes, ce qui déplaisait au jeune homme. » Le monument est classé au titre des monuments historiques en 1921 et 1931. Annexes Articles connexes Liste des monuments historiques de l'Aisne Références Monument historique dans l'Aisne Monument historique classé en 1921 Monument historique classé en 1931 Prieuré dans l'Aisne
François Langlois (homonymie)
François Langlois peut désigner : François Langlois, architecte français du ; François Langlois (1948-), ancien homme politique québécois, député de Bellechasse.
Solea (genre)
Solea (les soles), est un genre de poissons plats de la famille des Soleidae. Liste d'espèces Il existe 11 espèces appartenant au genre Solea, selon ITIS : Solea aegyptiaca Chabanaud, 1927 Solea bleekeri Boulenger, 1898 Solea capensis Gilchrist, 1902 Solea elongata Day, 1877 Solea fulvomarginata Gilchrist, 1904 Solea heinii Steindachner, 1903 Solea ovata Richardson, 1846 Solea senegalensis Kaup, 1858 Solea solea (Linnaeus, 1758) Solea stanalandi Randall & McCarthy, 1989 Solea vulgaris Quensel, 1806 Liens externes Soleidae pl:Solea (architektura)
Raphaël Kockelmann
Raphaël Kockelmann, né le , est un coureur cycliste luxembourgeois, membre de l'équipe Differdange-GeBa. Biographie Raphaël Kockelmann a été sélectionné pour représenter le Luxembourg lors des Championnats du monde de cyclisme sur route juniors à Doha (Qatar), en 2016. Il s'est classé du contre-la-montre individuel et lors de la course en ligne. En 2018, pour sa première saison dans la catégorie espoirs, il est recruté par la formation continentale Differdange-Losch. En 2020, il se classe cinquième du championnat du Luxembourg du contre-la-montre remporté par Bob Jungels. Palmarès sur route 2016 Champion du Luxembourg du contre-la-montre juniors 2017 Champion du Luxembourg du contre-la-montre juniors Notes et références Liens externes Coureur cycliste luxembourgeois Naissance en mai 1999
Roy Acuff
Roy Claxton Acuff ( - ), né à Maynardville dans le Tennessee, est un chanteur, auteur-compositeur-interprète, violoniste et homme du monde du spectacle. Il a été le roi de la musique country durant 50 ans, jouant sur scène pratiquement jusqu'à sa mort, à 89 ans, dans le Grand Ole Opry. Biographie Dans sa jeunesse, il a souffert d'insolation (causé par le soleil), l'empêchant d'atteindre son rêve et de devenir joueur de baseball professionnel. Il a appris le violon et a rejoint un spectacle musical qui faisait un arrêt dans sa ville, Nashville ne désirant travailler qu'après le coucher du soleil. Dans des spectacles dans le Sud des États-Unis, il a joué un numéro composé de vieilles chansons chantées avec un accompagnement joué par des instruments à cordes, des hymnes et quelques chansons populaires de cette époque, et il a aussi fait des sketches comiques (notamment au yo-yo). En 1933, il a formé le groupe Tennessee Crackerjacks avec lequel il a joué sur la radio de Knoxville. L'année suivante, le nom du groupe change pour les Crazy Tennesseans, qui ont commencé à enregistrer en 1936. Cette année-là, Roy Acuff a enregistré ses deux plus grands succès: Great Speckled Bird et Wabash Cannonball. En 1938, le nom du groupe change encore, ils deviennent les Smoky Mountain Boys. Ils commencent à faire des apparitions au Grand Ole Opry de Nashville où Acuff se démarque comme artiste solo au sein du groupe. Des succès remarquables où l'on peut entendre sa voix aiguë et sèche datent de cette époque : Night Train to Memphis, Fire Ball Mail et Wreck on the Highway. Il a aussi joué dans des films des années 1940, tel The Grand Ole Opry. En 1942, il fonde sa maison de disques avec Fred Rose, Acuff-Rose Music Publishing Company. Bien qu'il continue à enregistrer, ses succès ne sont rien comparés à son talent de producteur. Cette compagnie va grossir jusqu'à devenir la plus grosse compagnie de Country au monde. Sa popularité était telle qu'il a fait campagne pour le poste de gouverneur du Tennessee en 1944 et en 1948. Il a parcouru le monde pour divertir les gens lors de la Seconde Guerre mondiale et du Viêt Nam. En 1962, il est introduit dans l'allée des célébrités de la musique Country. Ses honneurs les plus prestigieux sont le Grammy Lifetime Achievement Award, en 1987, ainsi que la médaille Nationale de l'Art et le Kennedy Lifetime Achievement Award, en 1992. Il a enregistré son dernier single en 1974. En 1983, veuf de Mildred Douglas (1914-1981), il a déménagé dans une maison située dans le parc d'amusement d'Opryland où il est mort d'un arrêt cardio-circulatoire. Musicographie 1966 : Roy Acuff Sings Hank William 1970 : Best of Roy Acuff 1970 : The Great Roy Acuff 1970 : Songs of the Smoky Mountains 1970 : The Voice of Country Music 1985 : Roy Acuff: Columbia Historic Edition 1989 : The Best of Roy Acuff 1992 : The Esential Roy Acuff 1936-1949 Liens externes Naissance en septembre 1903 Décès en novembre 1992 Décès à 89 ans Hollywood Walk of Fame Chanteur américain de country Membre du Temple de la renommée de la musique country Membre du Grand Ole Opry Violoniste américain Naissance dans le comté d'Union (Tennessee) Mort d'une crise cardiaque Artiste de Columbia Records Artiste de Vocalion Records Artiste d'Okeh Records
Arseniev
Patronymes Arseniev (masculin ; en ) ou Arsenieva (féminin ; en ) est un patronyme russe porté par plusieurs personnalités (par ordre alphabétique) : Arseniev Constantin Arseniev (1837-1919), avocat libéral et écrivain russe ; Dmitri Arseniev (1832-1915), amiral et membre du Conseil d'État de l'Empire russe ; Mikhaïl Arseniev (1779-1838), militaire russe, héros de la guerre patriotique de 1812 ; Vladimir Arseniev (1872-1930), écrivain et explorateur russe. Toponymes Arseniev, ville du kraï du Primorié, en Russie. Bâtiment à Vladivostok (kraï du Primorié), du nom de l'explorateur de la fin du . Patronyme russe
TVR Jomar
La TVR Jomar est une voiture produite par TVR à la fin des années 1950. Son origine tient à une commande passée à TVR par un Américain du New Hampshire, Ray Saidel. Ce dernier demanda à Trevor Wilkinson de lui construire un châssis de voiture de sport motorisée par un Coventry Climax 4 cylindres et qui sera commercialisée aux États-Unis. Jomar Mk I La TVR Jomar Mk I est le construit par TVR. Il s'agit ici d'une voiture de course, la Mk II sera produite en série. Jomar Mk II La TVR Jomar Mk II est le commercialisé par TVR. Wilkinson dessine en 1955, un châssis tubulaire autour d'une dorsale centrale qui facilitait l'abaissement des sièges conducteur et passager afin qu'ils ne soient qu'à six pouces du sol. La voiture est dotée d’une suspension à quatre roues indépendantes provenant de la Volkswagen Coccinelle, dont elle reprend le train avant à barres de torsion pour l’installer à l’avant et à l’arrière de la voiture. Les freins et les roues sont également empruntés à l’Allemande. Ancêtre de la TVR Grantura, ce coupé, qui reçoit sa carrosserie outre-Atlantique, est baptisé Jomar (d’après les prénoms des enfants de Saidel, JOhn et MARgaret). C’est de ce châssis que dérivent en 1957 les premiers « Coupés » TVR (pré-Grantura), des voitures sportives construites à six exemplaires, dont trois roadsters. À la différence des Jomar, elles sont équipées de freins Girling et de roues Dunlop. Les moteurs sont des Coventry Climax accolés à une boîte de vitesses de MG A. La Jomar était proposé avec un choix de trois moteurs : le 4 cylindres Coventry Climax de de cylindrée, le Ford Kent 100E à soupape latérale (en option avec un compresseur Shorrock), ou le MGA . La Jomar pouvait également être commandée avec une carrosserie en fibre de verre ou en aluminium. Références Voiture de course Automobile TVR Automobile des années 1950
NGC 2153
NGC 2153 est un amas ouvert situé dans la constellation de la Dorade. Cet amas est situé dans le Grand Nuage de Magellan. Il a été découvert par l'astronome britannique John Herschel en 1837. Notes et références Articles connexes Liste des objets du NGC Liens externes (en) NGC 2153 sur le site du professeur C. Seligman 2153 Constellation de la Dorade Amas ouvert Grand Nuage de Magellan Objet céleste découvert en 1837 Objet céleste découvert par John Herschel
El reloj
() est une chanson du genre boléro, avec la musique et les paroles du compositeur et chanteur mexicain , alors membre du trio Los Tres Caballeros. Histoire Cantoral a composé cette chanson en 1956, à Washington D.C., face au fleuve Potomac, à la fin d'une tournée de Los Tres Caballeros aux États-Unis. Au cours de cette tournée, il avait eu une liaison avec l'une des filles participant au spectacle, qui devait rentrer à New York le lendemain matin. Cet épisode d'amour, et la présence d'une horloge de salon lors de leur dernière rencontre, sont les événements qui ont déclenché l'inspiration de Cantoral, qui allait bientôt faire de cet épisode, relativement banal, l'histoire d'un amour profond. La première de Los Tres Caballeros a eu lieu en 1957 et le succès a été immédiat. Depuis lors, elle a été déclinée par d'innombrables interprètes, en plusieurs langues. Version de Luis Miguel Contexte En 1991, Miguel a publié Romance, une collection de ballades latines classiques, dont la plus ancienne remonte aux années 1940. L'album a été produit par Armando Manzanero et arrangé par Bebu Silvetti, et a été crédité pour avoir revitalisé le genre du boléro. Il est également entré dans l'histoire en tant que premier album en langue espagnole à être certifié or par la (RIAA) aux États-Unis. Une suite de Romance est sortie en 1994 sous le titre (Deuxième romance), qui a été produite par Miguel, Juan Carlos Calderón et Kiko Cibrian. Les deux albums ont reçu une certification platine de la RIAA aux États-Unis et ont également connu le succès dans des pays autres que l'Amérique latine et les États-Unis, comme la Finlande et l'Arabie Saoudite, avec plus de douze millions d'exemplaires vendus ensemble. En , Miguel a tenu une conférence de presse à Buenos Aires, en Argentine, où il a annoncé son désir d'enregistrer un troisième album de boléros et a mentionné la possibilité de travailler avec Manzanero et Juan Gabriel. Il a également exprimé son intérêt pour le chant en italien et en portugais, bien que les chansons de l'album soient à l'origine toutes en espagnol. Deux mois plus tard, Manzanero a confirmé qu'il travaillait avec Miguel sur un autre album de ballades inspiré du boléro, sous le titre provisoire de (Troisième Romance). La maison de disques de Miguel a confirmé que quatorze titres seraient inclus sur l'album sous le titre Romances. Accueil , le deuxième single de l'album Romances a atteint la deuxième place du hit-parade des . Fernando González, rédacteur de l'Orange County Register, a signalé, en parlant de la performance de Miguel dans Romances : . La chanson fera partie de la compilation de Miguel, publiée en 2005. Interprètes d Quelques-uns des différents artistes qui ont repris la chanson. Versions en espagnol Il Volo Juan d'Arienzo José Feliciano Lucho Gatica Luis Miguel Los Panchos Neil Sedaka Jorge Valdez Versions en japonais Chiemi Eri Graciela Susana Teruhiko Aoi Jun Anna Yoichi Sugawara Hiroshi Mizuhara Références Annexes Articles connexes Luis Miguel Romances Por debajo de la mesa Sabor a mí Bésame mucho Liens externes Site officiel de Luis Miguel El reloj (Youtube: version orignale de 1957 par Los Tres Caballeros) Single musical sorti en 1997 Chanson de 1957 Chanson interprétée par Luis Miguel
Arrondissement de Fimela
L'arrondissement de Fimela est l'un des arrondissements du Sénégal. Il est situé au sud-ouest du département de Fatick, dans la région de Fatick. Il compte quatre communautés rurales : Communauté rurale de Djilasse Communauté rurale de Fimela Communauté rurale de Loul Sessène Communauté rurale de Palmarin Facao Son chef-lieu est Fimela. Notes et références Fimela
Rue Saint-Dizier
La rue Saint-Dizier est une voie située au sein de la commune de Nancy, dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand-Est. Situation et accès Constituant un des principaux axes nord-sud du centre-ville, la rue Saint-Dizier est placée au sein de la Ville-neuve, et appartient administrativement au quartier Charles III - Centre-Ville. La rue Saint-Dizier relie la place des Vosges et la porte Saint-Nicolas au sud, à la rue Stanislas au nord. Elle croise notamment les rues Saint-Jean et Saint-Georges, au carrefour dénommé Point Central. La voie possède également des intersections avec la rue des Sœurs-Macarons, la rue des Fabriques et la rue Charles III. Voie à sens unique sud-nord, la rue Saint-Dizier longe le marché couvert de Nancy, elle possède sur toute sa longueur un couloir de bus. Le haut de la rue Saint-Dizier, au niveau du Point central, est desservi par la ligne 1 du tramway du réseau STAN, via la station éponyme. Origine du nom C'est un des plus anciens vocables de Nancy, rappelant, non comme on le croit souvent, la mémoire directe d'un saint, mais le souvenir du petit village de Saint-Dizier, bâti avant Nancy sur l'emplacement du faubourg actuel des Trois-Maisons. Ce village, nommé Saint-Dizier, a été entièrement détruit, à l'exception de trois maisons, sur les ordres de Charles III de Lorraine qui voulait renforcer les défenses de Nancy au nord. Les habitants de Saint-Dizier ont été relogés dans la Ville-Neuve dont une rue a gardé le nom du village. Historique Cette voie a été ouverte dans la Ville-Neuve à la fin du sous le nom de «  Grande-Rue » puis de «  Grande-Rue », « faubourg Saint-Dizier », « Grande-rue du faubourg Saint-Dizier », avant de prendre les noms de « rue de la Constitution » en 1791 et de « rue Saint-Dizier » depuis 1814 À l'angle des rues Saint-Dizier et Saint-Jean se trouvait l'église Saint-Roch des Jésuites de Nancy, où fut enterré Jean des Porcelets de Maillane. Bâtiments remarquables et lieux de mémoire La rue Saint-Dizier comporte plusieurs immeubles répertoriés monuments historiques ou remarquables, dont maison de Clodion classée par arrêté du devanture de l'ancienne maison Eugène Arnoux-Masson construite en 1911 par l’architecte Louis Déon verrières de Jacques Grüber inscrites par arrêté du immeuble construit en 1909 par l’architecte Lucien Bentz Hall du Livre maison Aimé construit en 1905 par les architectes Georges Biet et Eugène Vallin la façade, le hall, la toiture sont inscrits par arrêté du actuellement occupée par une agence de la banque Société Générale maison de Hanvs (façade) avec le buste de Léopold Ier, inscrite par arrêté du 6 siège de L'Est républicain jusqu'en 1913. anciens magasins Vaxelaire et Pignot construit en 1886 par l’architecte Charles André la façade actuelle est construite selon les plans de Lucien Weissenburger en 1913 actuellement Mc Donald’s maison de Jean-Baptiste Isabey la porte de l'immeuble donnant rue du four inscrite par arrêté du ancien hôtel particulier de Jean Charles François de Lavaulx, chambellan du roi de Pologne, duc de Lorraine et de Bar. immeuble construit en 1900 par l’architecte Lucien Humbert se trouvait le Noviciat des Jésuites Notes, sources et références Voir aussi Bibliographie Les rues de Nancy : du à nos jours, Charles Courbe, 2000, . Dictionnaire des rues de Nancy, Jean-Mary Cuny, 2001, . Promenades à travers les rues de Nancy, Charles Courbe, 2004, . Articles connexes Monuments historiques à Nancy Art nouveau à Nancy Urbanisation à Nancy Liens externes la rue St Dizier, sur le site stanislasurbietorbi.com la rue St Dizier, sur le site nancybuzz.fr Voie à Nancy Voie historique Secteur sauvegardé à Nancy Monument historique à Nancy Architecture Art nouveau à Nancy Édifice labellisé « Patrimoine du XXe siècle » à Nancy Patrimoine du XXe siècle Bâtiment en Meurthe-et-Moselle
Artemi Panarine
Artemi Sergueïevitch Panarine - en russe et en anglais : - (né le à Korkino en République socialiste fédérative soviétique de Russie) est un joueur professionnel russe de hockey sur glace. Il évolue au poste d'attaquant avec les Rangers de New York. Biographie Carrière en club En 2009, il débute avec son club formateur du Vitiaz Tchekhov dans la KHL. Le , il est échangé aux Ak Bars Kazan en retour d'une compensation financière. En 2013, il rejoint le SKA Saint-Pétersbourg. Il remporte la Coupe Gagarine 2015 avec le SKA. Il part en Amérique du Nord en 2015. Il signe avec les Blackhawks de Chicago dans la Ligue nationale de hockey. Il s'adapte rapidement à son nouvel environnement notamment grâce à son compatriote Viktor Tikhonov, qui arrive également du SKA Saint-Pétersbourg . Il joue son premier match le face aux Rangers de New York et inscrit un but. Patrick Kane, Artiom Anissimov et Panarine jouent sur le même trio d'attaque. Le , il est échangé aux Blue Jackets de Columbus avec Tyler Motte et un choix de pour le repêchage de 2017 en retour de Anton Forsberg, Brandon Saad et un choix de pour le repêchage de 2018. Les Rangers de New York signent Artemi Panarine pour sept saisons avec un contrat d'une valeur de 81,5 millions de dollars soit 11,642 millions par saison. Le , Panarine annonce se retirer des activités des Rangers jusqu'à nouvel ordre à la suite des publications le concernant dans le quotidien Komsomolskaïa Pravda. Panarine est accusé par son ancien entraîneur du HK Vitiaz Andreï Nazarov d'avoir frappé une femme de 18 ans lors d'un déplacement à Riga en 2011. Nazarov prétend qu'une somme de 40000 euros aurait permis de faire taire cette affaire. Nazarov déclare parler de l'incident, car il n'est pas d'accord avec les positions politiques de Panarine qui soutient Alexeï Navalny, un opposant du président russe Vladimir Poutine. Carrière internationale Il représente la Russie au niveau international. Il a participé aux sélections jeunes. Il prend part à la Super Serie Subway en 2010. Au cours du championnat du monde junior 2011, il inscrit un doublé dont le but de la victoire lors de la finale remportée 5-3 face au Canada après que la Sbornaïa ait été menée 3-0 à la fin du deuxième tiers-temps. Il honore sa première sélection senior avec la Russie A le lors d'un match amical face à la Biélorussie. Il inscrit son premier but le face à la Suisse. Trophées et honneurs personnels Championnats du monde 2017 : nommé meilleur attaquant. 2017 : nommé dans l'équipe type. 2017 : termine meilleur pointeur. 2017 : termine meilleur passeur. Ligue nationale de hockey 2016 : nommé dans l'équipe des recrues. 2016 : remporte le Trophée Calder. 2016 : remporte le Trophée Kharlamov. 2017 : nommé dans la deuxième équipe d'étoiles de la ligue. Statistiques Pour les significations des abréviations, voir statistiques du hockey sur glace. En club | 2008-2009 || Vitiaz Tchekhov || KHL || 5|| 0|| 1|| 1|| 2|| || || || || |- | 2009-2010 || Vitiaz Tchekhov|| KHL || 20|| 1|| 7|| 8|| 16|| || || || || |- | 2009-2010 || Rousskie Vitiazi || MHL || 38|| 20|| 24|| 44|| 55|| 3|| 1|| 2|| 3|| 0 |- | 2010-2011 || Vitiaz Tchekhov|| KHL || 40|| 5|| 16|| 21|| 8|| -|| -|| -|| -|| - |- | 2010-2011 || Rousskie Vitiazi || MHL || 13|| 5|| 12|| 17|| 22|| -|| -|| -|| -|| - |- | 2011-2012 || Vitiaz Tchekhov|| KHL || 38|| 12|| 14|| 26|| 49|| -|| -|| -|| -|| - |- | 2011-2012 || Ak Bars Kazan || KHL || 12|| 1|| 4|| 5|| 4|| 3|| 0|| 0|| 0|| 0 |- | 2012-2013|| Vitiaz Tchekhov || KHL || 40|| 11|| 7|| 18|| 22|| -|| -|| -|| -|| - |- | 2012-2013 || SKA Saint-Pétersbourg || KHL || 3|| 0|| 1|| 1|| 2|| 14|| 2|| 7|| 9|| 0 |- | 2013-2014 || SKA Saint-Pétersbourg || KHL || 51|| 20|| 20|| 40|| 30|| 4|| 0|| 0||0 || 2 |- | 2014-2015 || SKA Saint-Pétersbourg || KHL || 56|| 26|| 36|| 62|| 37|| 20|| 5|| 15||20 || 4 |- | 2015-2016 || Blackhawks de Chicago || LNH || 80 || 30 || 47 || 77 || 32 || 7 || 2 || 5 || 7 || 14 |- | 2016-2017 || Blackhawks de Chicago || LNH || 82 || 31 || 43 || 74 || 21 || 4 || 0 || 1 || 1 || 0 |- | 2017-2018 || Blue Jackets de Columbus || LNH || 81 || 27 || 55 || 82 || 26 || 6 || 2 || 5 || 7 || 6 |- | 2018-2019 || Blue Jackets de Columbus || LNH || 79 || 28 || 59 || 87 || 23 || 10 || 5 || 6 || 11 || 0 |- | 2019-2020 || Rangers de New York || LNH ||69|| 32 || 63 || 95 || 20 || 3 || 1 || 1 || 2 || 0 |- | 2020-2021 || Rangers de New York || LNH || 42 || 17 || 41 || 58 || 6 ||- ||- ||- ||- ||- |- | 2021-2022 || Rangers de New York || LNH || || | 433 || 165 || 308 || 473 || 128 || 30 || 10 || 18 || 28 || 20 Au niveau international | 2011 || align="left"| Championnat du monde junior || 7|| 3|| 2|| 5|| 4|| +2|| align="left"| Médaille d'or |- | 2015 || align="left"| Championnat du monde || 10|| 5|| 5|| 10|| 4|| +4|| align="left"| Médaille d'argent |- | 2016 || align="left"| Championnat du monde || 10|| 6|| 9|| 15|| 4|| +9|| align="left"| Médaille de bronze |- | 2016 || align="left"| Coupe du monde || 4|| 1|| 1|| 2|| 4|| +1|| align="left"| Quatrième place |- | 2017 || align="left"| Championnat du monde || 9 || 4 || 13 || 17 || 4 || +4 || align="left"| Médaille de bronze Références Naissance en octobre 1991 Naissance à Korkino Joueur international russe de hockey sur glace Joueur du HK Vitiaz Joueur de l'Ak Bars Kazan Joueur du SKA Saint-Pétersbourg Attaquant de hockey sur glace Joueur des Blackhawks de Chicago Gagnant du trophée Calder Joueur de la Ligue nationale de hockey non repêché Joueur des Blue Jackets de Columbus Joueur des Rangers de New York Champion de la Coupe Gagarine
Ray Myers
Ray Myers est un acteur, réalisateur et scénariste américain du cinéma muet né à Hot Springs (Arkansas) le et décédé le à Los Angeles (Californie). Filmographie Comme acteur 1912 : Memories of a Pioneer 1912 : The Colonel's Peril 1912 : Blood Will Tell de Thomas H. Ince 1912 : For the Cause de Thomas H. Ince et Francis Ford 1912 : The Post Telegrapher 1912 : His Message 1912 : The Invaders 1912 : His Double Life 1912 : The Deserter 1912 : War on the Plains 1912 : The Battle of the Red Men 1912 : The Bugle Call 1912 : The Lieutenant's Last Fight 1912 : The Sergeant's Boy 1912 : The Man They Scorned 1912 : The Prospector's Daughter 1912 : The Law of the West 1913 : The Great Sacrifice 1913 : His Brother 1913 : Wynona's Vengeance 1913 : The Light in the Window de Francis Ford 1913 : The Coward's Atonement 1913 : A Black Conspiracy 1913 : War 1913 : The Battle of Bull Run 1913 : Taps 1913 : Sheridan's Ride 1914 : Martin Eden de Hobart Bosworth comme réalisateur 1910 : The Light in the Window 1910 : Clancy 1915 : The Little Lumberjack 1915 : Queen of the Band 1915 : The Penalty comme scénariste 1912 : War on the Plains 1912 : The Battle of the Red Men 1922 : Ridin'Wild (+ histoire) Lien externe Acteur américain Acteur américain du muet Réalisateur américain Scénariste américain de cinéma Naissance en juin 1889 Décès en novembre 1956 Décès à 67 ans
Pierre Sébastiani
Pierre Sébastiani, né en 1939 à Savigny-sur-Orge, est un haut fonctionnaire français, avec un parcours centré essentiellement dans le corps préfectoral. Biographie Études Licence et DES de sciences économiques, IEP Paris. 1970 Diplômé de l'ENA, promotion Robespierre (Jacques Attali, économiste, écrivain et haut fonctionnaire, ancien président de la BERD, ancien conseiller spécial de François Mitterrand ou encore Philippe Séguin, ancien premier président de la Cour des comptes, ancien ministre, ancien secrétaire général du RPR...) Premiers parcours dans l'administration Pendant une quinzaine d'années, Pierre Sébastiani acquiert une expérience significative du fonctionnement en préfecture et des relations avec les élus, en passant sur différentes fonctions : 1970-1971 Administrateur civil détaché au rectorat de Montpellier 1971-1973 Sous-préfet, directeur de cabinet du préfet de la Nièvre. 1973-1978 Secrétaire général de la préfecture de Lozère puis de Lot-et-Garonne. 1978-1979 Conseiller technique au cabinet du secrétaire d'état auprès du Premier Ministre chargé des relations avec le parlement, Jacques Limouzy. 1979-1982 Sous-préfet de Libourne. 1982-1985 Secrétaire général de la Vienne. Préfet En 1985, il est nommé préfet des Landes par Pierre Joxe, et reste en poste pendant la cohabitation entre le président François Mitterrand et le premier ministre Jacques Chirac, à partir de 1986. Cette période est marquée par la mise en place de la décentralisation entamée par Gaston Defferre en 1982 et 1983, impliquant une profonde évolution du rôle du préfet qui doit désormais composer davantage avec l'exécutif départemental et régional. En 1988, le ministre de l'intérieur de Jacques Chirac, Charles Pasqua, l'affecte à un nouveau département en le nommant préfet des Ardennes. En 1990, Pierre Joxe, revenu au poste de ministre de l'intérieur, le nomme préfet de Dordogne. En 1993, il devient préfet de Charente-Maritime, et reste dans cette fonction pendant six ans. Ces années correspondent également à la fin de la mandature de Michel Crépeau comme maire de La Rochelle. Michel Crépeau est une forte personnalité, avec une notoriété nationale. Le moindre sujet peut avoir un écho important, comme cet arrêté municipal adopté par Michel Crépeau interdisant la mendicité que le préfet est obligé de récuser pour son caractère illégal. Les élus de Charente-Maritime et leur préfet cherchent dans cette période à retrouver une dynamique économique plus forte, à implanter des entreprises et à accompagner les évolutions par une modernisation des infrastructures. C'est l'époque du déménagement du port de pêche de La Rochelle à Chef de Baie. La région Poitou-Charentes a la particularité, dans cette période, de comprendre plusieurs personnalités politiques d'envergure nationale, notamment Michel Crépeau déjà cité et figure historique du PRG, Édith Cresson, ex-premier ministre et socialiste, Ségolène Royal, député des Deux-Sèvres de ce même parti socialiste, Jean-Pierre Raffarin, président de région et futur premier ministre français, appartenant à la droite modérée, et, bien entendu, René Monory, président du Sénat, second personnage de l'État, à ce titre, et patron local de la droite dans cette région. En 1995, Jean-Pierre Raffarin devient ministre. Puis deux ans plus tard, en 1997, c'est au tour de Ségolène Royal, dans le cadre d'une nouvelle cohabitation entre le président Jacques Chirac et le premier ministre Lionel Jospin. Parcours complémentaire Pierre Sébastiani devient préfet hors cadre en 1999, et chargé de mission auprès du chef de l'inspection générale de l'administration (IGA) en 2000. En 2004, Pierre Sébastiani tente une entrée en politique, à l’occasion des élections cantonales, mais échoue et doit se retirer. Décorations Notes et références Naissance à Savigny-sur-Orge Naissance en 1939 Haut fonctionnaire français Préfet de la Charente-Maritime Préfet de la Dordogne Préfet des Ardennes Préfet des Landes Élève de l'École nationale d'administration (France) Enseignant à l'École nationale d'administration (France) Chevalier de la Légion d'honneur Officier de l'ordre national du Mérite Naissance en Seine-et-Oise
Corrida (homonymie)
La corrida est une forme de course de taureaux. Corrida est un cheval de course qui a remporté deux fois de suite le prix de l'Arc de Triomphe en 1936 et en 1937. Cinéma La Corrida est un court métrage d'animation de Christian Broutin (prix Jean-Vigo 1975) Peinture La Corrida est un tableau d'Edouard Manet de 1864. Corrida est le titre d'un tableau de Miquel Barceló Corrida est le titre d'une peinture d'André Masson Corrida est le titre d’une gouache de Francis Picabia Musique La Corrida est une chanson de Francis Cabrel sur l'album Samedi soir sur la Terre La Corrida est une chanson de Gilbert Bécaud, numéro un des classements en France en . Corrida est une chanson du groupe Les Sales Majestés, sur l'album Y'a pas d'amour.
Jemini
Jemini est un groupe pop britannique, originaire de Liverpool. Il représente le Royaume-Uni au Concours Eurovision de la chanson 2003 en interprétant Cry Baby. Histoire Chris Cromby et Gemma Abbey (née en 1982) se rencontrent en 1995 à la Starlight Stage School de Liverpool et vont dans les pubs et les clubs de Liverpool lors de la tournée des enfants de l'académie. À 16 ans, après avoir quitté l'école, ils forment Tricity, nommé d'après la marque d'appareils électriques. Trois ans après, ils se renomment Jemini (« Gem and I »). Ils passent les deux années et demie suivantes à aller dans les pubs et les clubs au Royaume-Uni en interprétant Stevie Wonder, Randy Crawford, les chansons de Motown et des medleys d'ABBA, ainsi que leurs propres compositions. Jemini et la chanson Cry Baby sont sélectionnés pour participer à l'Eurovision par un vote téléphonique du public dans le cadre du concours A Song for Europe de la BBC. Sa prestation à l'Eurovision n'obtient aucun point et est critiquée pour son manque de clarté. L'échec de l'Eurovision suscite à la fois l'hilarité et la consternation dans les médias britanniques. Jemini admet que sa performance fut en dehors de la tonalité et déclare qu'ils étaient incapables d'entendre la piste d'accompagnement en raison d'une faute technique. Terry Wogan, longtemps commentateur du concours pour la BBC, pense que le Royaume-Uni aurait souffert d'une protestation à la guerre en Irak. L'échec du Royaume-Uni est le plus spectaculaire de l'histoire du concours (un record qui restera jusqu'au Concours Eurovision de la chanson 2015 où l'Allemagne et l'Autriche ont tous deux marqué 0 point dans une finale de 27 participants, ainsi que 13 autres pays qui ne sont pas en finale). L'échec de Jemini a lieu la dernière année avant l'introduction des demi-finales, tous les pays présentés au Concours le samedi votent. Cry Baby atteint la quinzième place des ventes de singles au Royaume-Uni, reste dedans trois semaines. En raison de leur échec à l'Eurovision, ils sont immédiatement abandonnés par leur label (Integral Records UK), et par conséquent, l'album n'est jamais publié. Le duo se sépare. En 2013, le duo se réunit pour une interview spéciale sur sa performance dans une émission spéciale de deux heures de la BBC Three intitulée How To Win Eurovision, diffusée le . En 2014, le duo est de nouveau réuni pour participer à une émission spéciale Eurovision de Pointless et plusieurs interviews télévisées sur l'Eurovision. Gemma Abbey est arrêtée et condamnée pour fraude à la sécurité sociale en . Elle affirmait être une mère célibataire alors qu'elle avait fait un mariage dans l'Algarve en 2013 et vivait avec son compagnon. Elle est condamnée à une peine d'emprisonnement de 30 semaines, suspendue de ses droits et mise sous surveillance pendant un an. Discographie Singles 2003 : Cry Baby Source de la traduction Voir aussi Articles connexes Royaume-Uni au Concours Eurovision de la chanson 2003 Royaume-Uni au Concours Eurovision de la chanson Concours Eurovision de la chanson 2003 Liens externes Groupe britannique de pop Groupe musical britannique des années 2000 Participant au Concours Eurovision de la chanson pour le Royaume-Uni Participant au Concours Eurovision de la chanson 2003
Route 544
Il existe plusieurs routes ayant comme numéro 544 dans le monde. Route régionale 544 en Finlande Route nationale 544 en France
Constantin Somov
Constantin Andreïevitch Somov (en ), né le à Saint-Pétersbourg et mort le à Paris, est un peintre symboliste russe. Biographie Né d'un père historien de l'art et conservateur au musée de l'Ermitage, Constantin Somov s'intéresse très tôt à l'art et à la musique du . Entre 1888 et 1897, il étudie la peinture à l'Académie impériale des beaux-arts et fréquente pendant trois ans l'atelier d'Ilia Répine avec Igor Grabar, Philippe Maliavine, Anna Ostroumova-Lebedeva. Il affectionne en particulier l'art rococo, à la manière de Fragonard et de Watteau, et privilégie la peinture à la gouache. Il se lie pendant ses études avec Alexandre Benois, Serge Diaghilev et Léon Bakst et se rend avec eux à Paris en 1897. Somov fréquente alors les ateliers de Whistler et de l'Académie Colarossi. Lors de leur retour en Russie, Somov contribue par ses illustrations à la revue Mir Iskousstva que ses trois compagnons fondent en 1899. Pendant les années 1910, Somov illustre les œuvres d'Alexandre Blok et réalise notamment une série de personnages de la commedia dell'arte. Ses peintures sont exposées en France, au Salon d'automne de 1906, et en Allemagne, où une première monographie lui est consacrée en 1907. Il devient membre de l'Académie impériale en 1913 et il est nommé professeur à l'École des beaux-arts de Pétrograd (Saint-Pétersbourg) en 1918. Il demeure au 97 perspective Ekaterinhofski (aujourd'hui perspective Rimski-Korsakov) de 1887 à 1923. En 1923, il émigre aux États-Unis, mais ne reste qu'un an dans ce pays qu'il déclare incompatible avec son tempérament artistique. Il s'installe alors à Paris, où il illustre entre autres Manon Lescaut, Daphnis et Chloé et les poèmes de Pouchkine. Vers la fin de sa vie, il peint surtout des portraits. À sa mort en 1939, il est inhumé au cimetière de Sainte-Geneviève-des-Bois. Les peintures de Constantin Somov connaissent un regain de popularité au début du et leur valeur sur le marché de l'art s'est en conséquence beaucoup accrue. Ainsi le , son paysage intitulé L'Arc-en-ciel (1927) a été vendu à 7,33 millions de dollars chez Christie's. Notes et références Articles connexes Personnalités symbolistes Liens externes Biographie et galerie d'œuvres sur abcgallery.com. « Constantin Somov » sur Artcyclopedia. Galerie d'œuvres sur russianavantgard.com. Peintre russe du XIXe siècle Peintre russe du XXe siècle Peintre portraitiste russe Peintre symboliste Peintre dont l'œuvre est marquée par les thèmes LGBT Illustrateur russe Illustrateur érotique Naissance en novembre 1869 Naissance dans le gouvernement de Saint-Pétersbourg Naissance à Saint-Pétersbourg Décès en mai 1939 Décès à Paris Décès à 69 ans Personnalité inhumée au cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois
El Carmen de Bolívar
El Carmen de Bolívar est une municipalité située dans le département de Bolívar, en Colombie, à 114 km au sud-est de Carthagène des Indes. Il est situé dans le système orographique des Montes de María, étant la plus grande population, ainsi que celui qui concentre le mouvement économique et commercial de la sous-région. C’est la troisième municipalité la plus peuplée du département. Il s’agit d’un important centre agricole, considéré comme « le garde-manger agricole et alimentaire du département de Bolivar » pour être un excellent fournisseur pour l’ensemble du département de produits tels que l’avocat, le tabac, le cacao, la banane, le yus et le sésame. est également connu comme la ville douce de Colombie car une partie de son économie est basée sur la transformation des aliments tels que les biscuits Chepacorina, Coco Casadilla, Panochas, entre autres. En ce qui concerne les infrastructures de transport, sa position géographiquement privilégiée relie les Caraïbes colombiennes aux Santander et à l’intérieur du pays par une interconnexion de la Ruta del Sol III, de la même manière est un point clé de connexion de l’ouest du pays aux grands ports de Barranquilla et Carthagène. Il reliera bientôt cette importante artère routière nationale au golfe de Morrosquillo à travers les Montes de María. Pendant le temps de l’Indépendance, elle se distingua par le soutien de ses habitants à la cause de libération menée par le colonel Manuel Cortés Campomanes, qui lui valut le temps d’être érigé dans un village en 1812. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, elle a acquis une importance stratégique et économique au début du commerce des producteurs agricoles tels que le tabac et le café par le port de Jésus del Río, sur le río Magdalena vers le site de Barrancas de San Nicolás, ce qui lui a permis de devenir l’un des principaux centres d’exportation du pays jusqu’à la première moitié du XXe siècle. Les paramilitaires des Águilas Negras mènent des opérations de « nettoyage social » dans la ville. Neuf jeunes sont ainsi exécutés fin 2019. Démographie Selon les données récoltées par le DANE lors du recensement de 2005, El Carmen de Bolívar compte une population de . Liste des maires 2020 - 2023 : Carlos Eduardo Torres Cohen Références Ville en Colombie Municipalité dans le département de Bolívar (Colombie) Ville de 50 000 à 100 000 habitants en Colombie
À qui mon cœur ?
À qui mon cœur ? est un court métrage muet de réalisation anonyme tourné en 1909. Résumé Une jeune héritière harcelée par des prétendants promet d'épouser celui qui la rejoindra en haut d'une très haute montage. Seulement le vainqueur n'aura qu'une photo d'elle car celle-ci a décidé d'épouser le timide et froussard Max. Fiche technique Réalisation : anonyme Scénario : Max Linder Production : Pathé Frères Durée : 95 m Première présentation le Distribution Max Linder : Max, le prétendant timide et froussard Voir aussi Articles connexes Liste de films français sortis en 1909 Liens externes Film français sorti en 1909
Chamaeangis vagans
Chamaeangis vagans est une espèce de plantes de la famille des Orchidées et du genre Chamaeangis, endémique de l'île de Principe, à Sao Tomé-et-Principe. Notes et références Bibliographie Tariq Stévart, Daniel Geerinck et Jean Lejoly, « Liste des Orchidaceae de Sao-Tomé et Principe », in Acta Botanica Gallica, 2000, , , Liens externes Flore endémique de Sao Tomé-et-Principe Espèce d'Angiospermes (nom scientifique) Orchidaceae
Sermon sur l'enseignement du salut de Mani
Sermon sur l'enseignement du salut de Mani () est un rouleau de soie de la dynastie Yuan, mesurant 1 et datant du , avec des thèmes didactiques : un récit multi-scénique qui dépeint les enseignements de Mani sur le salut combine un sermon sous-scène avec les représentations de l' enseignement sotériologique dans le reste du tableau. La peinture était considérée comme une représentation des six royaumes du saṃsāra par les bouddhistes japonais, c'est pourquoi elle s'appelait « Peinture des six chemins de la renaissance » ( ). Après avoir été étudiée par des spécialistes comme Takeo Izumi, Yutaka Yoshida, Zsuzsanna Gulácsi et Jorinde Ebert, ils ont conclu que la peinture était une œuvre d'art manichéenne. Il a probablement été produit par un peintre du de Ningbo, une ville du sud de la Chine et est conservé aujourd'hui au musée d'art japonais Yamato Bunkakan à Nara, Nara. La description Le tableau est divisé en cinq scènes, avec des titres donnés par Zsuzsanna Gulácsi, une spécialiste hongroise du manichéisme. La visite de la jeune fille de la lumière au paradis : la première section, en haut, représente le paradis comme un édifice palatial qui constitue le centre d'une narration d'événements avec les images répétées de quelques êtres mythologiques : la jeune fille de la lumière visitant le paradis. Elle montre à gauche les salutations de l'hôte du ciel à l'arrivée de la jeune fille de la lumière, la rencontre avec l'hôte dans le palais au milieu et la jeune fille quittant le ciel à droite. Sermon autour d'une statue de Mani : la deuxième scène est la section principale et la plus grande des cinq, elle représente un sermon prononcé autour de la statue d'une divinité manichéenne (Mani) par deux élus manichéens habillés en blanc à droite. L'élu qui prononce le sermon est assis, tandis que son assistant est debout. À gauche, le laïc habillé en rouge et son assistant écoutent le sermon. États de la bonne réincarnation : la troisième section est divisée en quatre petits carrés, chacun représentant l'une des quatre classes de la société chinoise afin de capturer ce qui semble être la vie quotidienne des laïcs manichéens chinois. De gauche à droite, la première scène représente des ouvriers ambulants ; le second, les artisans ; le troisième, les fermiers, et le quatrième, les aristocrates. L'intervention de la Vierge de la Lumière lors d'un jugement : la quatrième scène montre un juge assis derrière un bureau, entouré de ses assistants, dans un pavillon situé sur une plate-forme surélevée, devant laquelle deux paires de démons conduisent leurs captifs pour entendre leur sort. Dans le coin supérieur gauche, la Vierge de la Lumière arrive sur une formation de nuages avec deux assistants, pour intervenir en faveur de l'homme qui va être jugé. Cette section est une représentation de la vision manichéenne du jugement après la mort. L'historien français Étienne de la Vaissière a comparé la scène du jugement avec celui affiché sur le Sogdian Wirkak sarcophage de, et a conclu qu'elles sont étonnamment semblables. États de mauvaise réincarnation : la scène finale dépeint quatre images effrayantes de l'enfer qui comprennent, de gauche à droite, un démon tirant des flèches sur une personne suspendue à un cadre rouge dans le coin supérieur gauche ; une personne suspendue la tête en bas et démembrée par deux démons ; une roue ardente roulant sur une personne ; et enfin un groupe de démons attendant leurs prochaines victimes. Une analyse Zsuzsanna Gulácsi déclare dans son article Un sermon visuel sur l'enseignement du salut de Mani : . Dans l'article The Origin of the Manichaean « Hades Frame » in the Yamato Bunkakan Collection, Japan, Ma Xiaohe, un universitaire spécialisé dans le manichéisme, a fait une reconstruction hypothétique de l'évolution de l'image : Galerie Excursus Huit rouleaux de soie suspendus avec des images didactiques manichéennes du sud de la Chine entre le et le , qui peuvent être divisés en quatre catégories : Deux portraits uniques (représentant Mani et Jésus) Icône de Mani Peinture manichéenne du Bouddha Jésus Un rouleau illustrant la théorie du salut () Sermon sur l'enseignement du salut de Mani Quatre rouleaux représentant la prophétologie () Les parents de Mani Naissance de Mani Épisodes de l'œuvre missionnaire de Mani Création de la communauté de Mani Un rouleau représentant la cosmologie () Diagramme manichéen de l'univers Voir également Le manichéisme chinois Références Art manichéen Dynastie Yuan Tableau du XIIIe siècle Peinture religieuse Tableau d'un peintre chinois
Coupe de l'UFOA 1982
La Coupe de l'UFOA 1982 voit le sacre du Sekondi Hasaacas FC du Ghana qui bat les Nigérians des Spartans Owerri FC en finale, lors de cette sixième édition de la Coupe de l'UFOA, qui est disputée par les meilleurs clubs d'Afrique de l'Ouest non qualifiés pour la Coupe des clubs champions africains ou la Coupe d'Afrique des vainqueurs de coupe. Toutes les rencontres sont disputées en matchs aller et retour. Premier tour Matchs disputés les et . |} Quarts de finale Matchs disputés les et . |} Demi-finales Matchs disputés les et . |} Finale Matchs disputés les 16 et . |} Voir aussi Coupe des clubs champions africains 1982 Coupe des Coupes 1982 Références et liens externes Liens externes Résultats complets sur RSSSF Références 1982 Football en 1982 1982 en Afrique
Gilberto Mendes
Gilberto Mendes, né le dans l'État de São Paulo à Santos et mort le dans la même ville, est un compositeur brésilien. Biographie Gilberto Mendes étudia le piano avec Antonieta Rudge et l'harmonie avec Sabino de Benedictis. L'influence de Villa-Lobos se fait sentir dès ses premières œuvres, laissant entrevoir l'avènement proche de la bossa nova. Sa proximité avec les poètes du groupe Noigandres forgea l'inspiration fortement idéologique d'une partie de son œuvre (Beba Coca-Cola...). Depuis les années 1980, ses compositions ressortent principalement du courant de la Nouvelle musique consonante. Dans les années 1970 et 1980, Gilberto Mendes enseigne à l'Université du Wisconsin et à l'Université du Texas, puis plus tard à l'université de São Paulo. Il est le fondateur du Festival Musica Nova, entièrement consacré à la musique contemporaine. Notes et références Liens externes Compositeur brésilien de musique classique de la période contemporaine Professeur à l'université du Texas à Austin Professeur à l'université de São Paulo Naissance en octobre 1922 Naissance à Santos Décès en janvier 2016 Décès à 93 ans Décès dans l'État de São Paulo
Vergèze
Vergèze est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie. La source de l'eau minérale Perrier est à Vergèze. Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1949. Géographie Commune du sud-Gard, proche de Nîmes. Ses habitants s'appellent les Vergézois et Vergézoises. C'est sur le territoire de la commune que se trouve la source Perrier. Vergèze est l'une des 75 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard, et fait également partie d'une des 34 communes du Pays Vidourle-Camargue (voir liens). Climat Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents. Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant. Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vestric-et-Candiac », sur la commune de Vestric-et-Candiac, mise en service en 1966 et qui se trouve à à vol d'oiseau, où la température moyenne annuelle est de et la hauteur de précipitations de pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à , la température moyenne annuelle évolue de pour la période 1971-2000, à pour 1981-2010, puis à pour 1991-2020. Milieux naturels et biodiversité Réseau Natura 2000 Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises », d'une superficie de , qui accueillait, en 2004, chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France. Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de est recensée sur la commune : la « plaine entre Rhony et Vistre » (), couvrant du département. Urbanisme Typologie Vergèze est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Elle appartient à l'unité urbaine de Vergèze, une agglomération intra-départementale regroupant et en 2017, dont elle est ville-centre. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe , est catégorisée dans les aires de à moins de . Occupation des sols L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,6 %), cultures permanentes (25,6 %), zones urbanisées (21 %), forêts (14,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), eaux continentales (3,7 %), prairies (0,4 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Histoire Si son origine remonte sans doute à la période Gallo-romaine, l’histoire de Vergèze n’a pas laissé de traces jusqu’au début du . Au , on peut signaler une bataille qui oppose les Camisards aux troupes royales, durant la guerre des Cévennes. Jusqu’au , Vergèze a surtout été un village à vocation agricole. La principale culture était la vigne et l’économie villageoise était tournée vers cette production. La plupart des habitants se répartissaient dans les professions suivantes : viticulteurs, tonneliers, négociants en vin. Cette empreinte peut encore s'observer sur les maisons de vignerons de la « rue Neuve » ou de la « rue d’Entrevignes », et la reconstitution d’un atelier de tonnellerie avec des mannequins animés, grandeur nature, se veut être un hommage à cette époque révolue. De nos jours, si le vin produit par les viticulteurs est un excellent vin de table commercialisé par la cave coopérative des « Vignerons de la voie d’Héraclès », la richesse de la commune vient surtout de l’exploitation sur le territoire de la Source Perrier. Connue depuis l’antiquité, l’eau de cette source était surtout consommée pour ses vertus médicales : atonie gastrique ou états nauséeux. La source d’eau minérale n’a cependant été exploitée industriellement que depuis le début du . Actuellement, ce sont plus de qui travaillent dans une usine dont les bâtiments couvrent plusieurs hectares et dont la production est exportée. Politique et administration Tendances politiques et résultats Liste des maires Administration municipale Le Conseil municipal vergézois comprenait 27 membres, dont le maire, 7 adjoints et 19 conseillers municipaux, puis, depuis 2020, 29 membres, dont le maire, 8 adjoints et 20 conseillers municipaux. Élections municipales Canton Vergèze fait partie du canton de Vauvert, qui rassemble dix communes. Vergèze fait partie de la deuxième circonscription du Gard. Démographie Économie Revenus En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte fiscaux, regroupant . La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de ( dans le département). 52 % des ménages fiscaux sont imposés (43,9 % dans le département). Emploi En 2018, la population âgée de s'élève à , parmi lesquelles on compte 74,2 % d'actifs (65,6 % ayant un emploi et 8,7 % de chômeurs) et 25,8 % d'inactifs. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France. La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle. Elle compte en 2018, contre en 2013 et en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de , soit un indicateur de concentration d'emploi de 139,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,8 %. Sur ces actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 585 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants. Pour se rendre au travail, 82,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,6 % les transports en commun, 7,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile). Activités hors agriculture Secteurs d'activités 420 établissements sont implantés à Vergèze au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,6 % du nombre total d'établissements de la commune (99 sur les 420 entreprises implantées à Vergèze), contre 30 % au niveau départemental. Entreprises et commerces Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont : Vergezali, supermarchés () Eurofins Agroscience Services Chem, analyses, essais et inspections techniques () Eurofins Hydrologie Sud, analyses, essais et inspections techniques () Cogeflu, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et équipements industriels divers () Transports Randon Sylvain, transports routiers de fret de proximité () Agriculture La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la viticulture. Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 109 lors du recensement agricole de 1988 à 38 en 2000 puis à 16 en 2010 et enfin à 14 en 2020, soit une baisse de 87 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de en 1988 à en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à . Culture locale et patrimoine Lieux et monuments Église Saint-Félix de Vergèze : la tour de l'horloge, surmontée d'un campanile, y est accolée. Église Notre-Dame-d'Accueil de Vergèze. Temple réformé de l'église protestante unie de France. Maison dite « Le Château », propriété privée (arrêté d'inscription aux Monuments historiques le ) : mitre de cheminée, dite « Tour sarrazine ». Cheminée dite « Tour sarrazine » ou « Lanterne des Morts », déformation de « Lanterne des Maures » (aucun lien avec une lanterne des morts ; plutôt une évocation de l'aspect quelque peu orientalisant de cet étonnant élément d'architecture). Source Perrier, vaste parc et demeure de la fin du . La commune s'est bâtie une solide renommée avec : le sport : une de ses équipes tennis est championne invaincue du Gard depuis quelques années ; elle possède, en outre, des équipements sportifs de haut niveau. la musique, grâce au Festival des Jeunes Talents, que le village organise chaque année, et qui a accueilli des groupes tels qu'O-kazOo, Allusion et Blind Memory. Personnalités liées à la commune Louis Audemard (1865-1955), explorateur français, né et mort à Vergèze. Edgard Raizon (1888-1975), félibre, poète en occitan Maurice Trintignant, pilote automobile emblématique des années 1950. Il fut maire de la commune de 1958 à 1964, où il s'était retiré pour devenir viticulteur. Stéphane Diagana, qui venait s'entraîner, avant chaque grande compétition, sur la piste du Stade Perrier, rebaptisé depuis Stade Stéphane Diagana. René Fontayne, peintre. Xavier Ruas, raseteur, y est né en 1943. Jumelages Vergèze est jumelée avec la ville de Bârlad en Roumanie. Vues aériennes Voir aussi Articles connexes Liste des communes du Gard Communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle Gare de Vergèze - Codognan Club de Handball Ville de Vergèze Liens externes Site de la mairie Vergèze sur le site de l'Institut géographique national Vergèze sur le site de l'Insee Notes et références Notes et cartes Notes Cartes Références Site de l'Insee Autres sources Commune dans le Gard Commune dans l'arrondissement de Nîmes Canton de Rhôny-Vidourle
Luther Blissett (football)
Luther Loide Blissett est un footballeur puis entraîneur anglais né le à en Jamaïque. Il évolue au poste d'attaquant du milieu des années 1970 au milieu des années 1990. Il effectue l'essentiel de sa carrière au Watford FC et compte 14 sélections pour trois buts inscrits avec l'équipe d'Angleterre Son nom est utilisé comme pseudonyme collectif par des centaines d'artistes et d'activistes en Europe et en Amérique du Sud depuis l'été 1994. Biographie Carrière 1975-1983 : Watford 1983-1984 : Milan AC 1984-1988 : Watford 1988-1991 : Bournemouth AFC 1991-1993 : Watford 1992-1993 : West Bromwich Albion Palmarès 14 sélections et 3 buts avec l'équipe d'Angleterre entre 1982 et 1984. Watford FC Vice-champion du Championnat d'Angleterre de football (1) : 1983. Meilleur buteur du Championnat d'Angleterre de football (1) : 1983 : 27 buts. Notes et références Liens externes Footballeur international anglais Footballeur jamaïcain Joueur du Watford FC Joueur de l'AC Milan Joueur du West Bromwich Albion FC Joueur de l'AFC Bournemouth Joueur du Southport FC Joueur du Derry City FC Joueur du Mansfield Town FC Joueur du Bury FC Entraîneur anglais de football Entraîneur jamaïcain de football Naissance en février 1958 Naissance dans la paroisse de Trelawny
La Peur (film, 1966)
La Peur (, O Fovos) est un film grec réalisé par Kostas Manoussakis et sorti en 1966. Il fut présenté à la Berlinale 1966. Il est considéré comme un des représentants de la « nouvelle vague » grecque précurseur du Nouveau Cinéma grec. Synopsis Le fils d'un riche propriétaire terrien viole et tue une des servantes (sourde-muette) de la famille. Il l'enterre avec l'aide de son père et de sa belle-mère. Le secret soude ensuite la communauté qui sait que si le crime est découvert, tous les ressentiments refoulés depuis des années risquent d'éclater au grand jour. Fiche technique Titre : La Peur Titre original : (O Fovos) Réalisation : Kostas Manoussakis Scénario : Kostas Manoussakis Production : Société de production : Directeur de la photographie : Nikos Gardelis Montage : Yorgos Tsaoulis Direction artistique : Petros Kapouralis Costumes : Musique : Pays d'origine : Grèce Genre : policier Format : 35 mm noir et blanc Durée : 116 minutes Date de sortie : 1966 Distribution Anestis Vlachos Spyros Fokas Élena Nathanaíl Alexis Damianos Thodoros Katsadramis Bibliographie Michel Demopoulos (dir.), Le Cinéma grec, Cinéma/Pluriel, Centre Georges Pompidou, 1995. Film grec sorti en 1966 Film dramatique grec Film policier grec Film se déroulant en Grèce Film tourné en Grèce Film grec en noir et blanc Film en grec
Dorsum
Dorsum (pluriel dorsa) est un mot d'origine latine initialement utilisé pour désigner le dos d'un animal, puis employé par les Romains pour décrire une crête montagneuse. Ce terme est utilisé sur la Lune ou Mars pour une ride, une crête ou une structure généralement allongée et surélevée. L'étoile Theta Capricorni est également nommée ainsi. Dorsa sur la Lune Dorsa sur Mars Notes et références Géomorphologie planétaire Nomenclature planétaire Géographie de Mars Liste en rapport avec l'astronomie
Discus guerinianus
Discus guerinianus est une espèce d'escargots, des gastéropode terrestres, endémique de Madère. Discus guerinianus est un taxon Lazare qui, après avoir été considéré comme une espèce éteinte durant 80 ans, a été de nouveau localisé en 1999 à l'extrême ouest de l'ile. En 2011, l'espèce est considérée par l'UICN comme étant en danger critique d'extinction. Cette espèce a été décrite pour la première fois en 1852 par l'écrivain et naturaliste britannique Richard Thomas Lowe (1802-1874). Selon ce genre n'est pas valide et ses espèces sont placées dans le genre Diretmus. Notes et références Liens externes Discidae Espèce de gastéropodes (nom scientifique) Faune endémique de Madère Taxon Lazare Statut UICN En danger
Rivière Opinaca
La rivière Opinaca est une rivière du bassin de la rivière Eastmain laquelle s'écoule sur la rive est de la baie James. La rivière Opinaca coule vers l'ouest dans la municipalité de Eeyou Istchee Baie-James, dans la région administrative du Nord-du-Québec, au Québec, au Canada. Géographie Traditionnellement un affluent de la rivière Eastmain, son cours supérieur est devenu un affluent de La Grande Rivière depuis le détournement de l'Eastmain-Opinaca-La Grande (EOL), dans le cadre de la première phase du complexe hydroélectrique de La Grande. Venant du nord-est, la rivière Opinaca se déverse dans le réservoir Opinaca par la rive est. À partir du complexe hydroélectrique érigé à l'embouchure du réservoir (côté ouest), la rivière Opinaca continue son parcours sur 94,4 km vers le sud-ouest pour aller se déverser dans la rivière La Grande, à 38,0 km à l'est du littoral de la Baie James, soit à Eastmain. Toponymie Son nom pourrait vouloir dire, en cri, « rivière droite ou rétrécie ». Voir aussi Références Articles connexes Projet de la Baie-James Réservoir Opinaca La Grande Rivière Petite rivière Opinaca Jamésie Lien externe Rivière Opinaca sur Commission de toponymie du Québec Cours d'eau au Nord-du-Québec Eeyou Istchee Baie-James Système hydrologique de la baie James
Slobodan Tedić
Slobodan Tedić, né le à Podgorica au Monténégro, est un footballeur serbe qui évolue au poste d'avant-centre au PEC Zwolle, en prêt de Manchester City. Biographie Carrière en club Čukarički Slobodan Tedić est formé au FK Vojvodina avec qui il signe son premier contrat professionnel le . Il rejoint en le FK Čukarički. C'est avec ce club qu'il fait ses débuts en professionnel, le , alors qu'il n'a que 17 ans. Ce jour-là, il entre en jeu lors d'un match de championnat contre le FK Javor Ivanjica, où les deux équipes se séparent sur un score nul (0-0). Le , il inscrit son premier but en pro face à son club formateur, le FK Vojvodina, lors d'une lourde défaite des siens par six buts à un, où il est le seul à marquer pour son équipe. Il se fait remarquer lors des matchs de qualifications pour la Ligue Europa lors de la double confrontation face au FC Urartu, en marquant un doublé au match aller le 11 juillet 2019 (victoire 3-0 de FK Čukarički) et en inscrivant un autre but et délivrant une passe décisive au retour le 16 juillet (victoire 0-5)). Il est alors considéré comme l'un des joueurs les plus prometteurs du football serbe. Manchester City et PEC Zwolle Recruté par Manchester City, Slobodan Tedić est laissé dans un premier temps à son club formateur jusqu'à la fin de saison. Le il est prêté au club néerlandais du PEC Zwolle pour une saison. En mai 2021, son prêt à Zwolle est prolongé d'une saison. Carrière en sélection nationale Avec les moins de 17 ans, il participe au championnat d'Europe des moins de 17 ans en 2017. Lors de cette compétition, il joue trois matchs, avec notamment une victoire contre l'Irlande. À partir de 2018, Slobodan Tedić est sélectionné avec l'équipe de Serbie des moins de 19 ans. Il délivre une passe décisive contre l'Irlande du Nord en , puis officie comme capitaine lors d'un match contre la Slovénie en . Notes et références Liens externes Footballeur serbe Joueur du FK Čukarički Joueur du PEC Zwolle Naissance en avril 2000 Naissance à Podgorica
Skate America 1992
Le Skate America est une compétition internationale de patinage artistique qui se déroule aux États-Unis au cours de l'automne. Il accueille des patineurs amateurs de niveau senior dans quatre catégories: simple messieurs, simple dames, couple artistique et danse sur glace. Le onzième Skate America est organisé du 19 au à Atlanta en Géorgie. Résultats Messieurs Dames Couples Danse sur glace Source Patinage Magazine N°35 (-Janvier/) MONIOTTE Sophie, Les Patins de la Colère, éd. Anne Carrière, Paris, 1999 p.115 1992 Événement sportif à Atlanta Sport aux États-Unis en 1992 Sport en octobre 1992
Autopsie du cinéma africain
Autopsie du cinéma africain est un documentaire du Camerounais Lambert Ndzana. Le documentaire est réalisé autour du débat sur le cinéma africain. Synopsis Le cinéma africain vit-il encore? Quels sont les problèmes qui l’entourent, et quelles peuvent être les solutions? Tant de questions abordées dans ce documentaire qui dissèque les maux qui minent le septième art en Afrique. Le discours est partout le même. Réalisateurs comme producteurs peinent à trouver les moyens pour financer leurs productions. Les professionnels du milieu, de tous horizons, s'expriment par des regards croisés. La réflexion sur le sujet se creuse et se comble par des arguments tangibles et avancés. Fiche technique Titre : Autopsie du cinéma africain Réalisateur : Lambert Ndzana Pays du réalisateur : Cameroun Langue : français Année : 2008 Durée : 83 minutes Couleur / N&B : couleur Format : Vidéo Lien externe Film camerounais sorti en 2008 Film documentaire camerounais
Reina Mercedes
Reina Mercedes est une municipalité de la province d’Isabela, aux Philippines. Notes et références Municipalité dans la province d'Isabela
Route européenne 641
La route européenne 641 est une route reliant Wörgl à Salzbourg. 641 641
Oberndorf am Neckar
Oberndorf am Neckar est une ville de l'arrondissement de Rottweil dans le Land du Bade-Wurtemberg en Allemagne. Elle est située sur la Neckar à au nord de Rottweil. Historique La manufacture d'armes royale d'Oberndorf est créée le par Frédéric de Wurtemberg ; l'année suivante, elle emploie déjà 133 ouvriers. Il s'agit de l'usine Mauser originelle. Historique sur le site internet de la commune Géographie Villes jumelées Quartiers Oberndorf se compose de sept quartiers : Aistaig, Altoberndorf, Beffendorf, Bochingen, Boll, Hochmössingen et Oberndorf. Blasons Monument Le cloître et l'église attenante des Augustines (en ), ont été construits de 1772 à 1779 par l'architecte Christian Großbayer dans le style baroque. À l'intérieur de l'église, restaurée en 1978, le statuaire est Johann Georg Weckenmann et les fresques ont été peintes par Johann Baptist Enderle. Le cloître sert actuellement d'hôtel de ville et l'église reçoit des manifestations culturelles (concerts). Références Voir aussi Liens externes Webcam sur le site internet de la Commune Oberndorf am Neckar Ville en Bade-Wurtemberg Ville ou commune de tradition armurière
Bang supersonique
Le bang supersonique caractérise le bruit causé par une onde de choc d'un objet physique comme un avion (ou le bout d'un fouet) qui atteint une vitesse supersonique , donc supérieure à celle du son. Causes On peut définir pour tout milieu une vitesse de propagation des déformations mécaniques appliquées à ce milieu. Cette vitesse de propagation des déformations est appelée vitesse du son. Elle dépend des conditions qui règnent dans le milieu. On la note c (à ne pas confondre avec la vitesse de la lumière dans le vide). Par exemple, pour l'air, à une température de et à une pression normale, cette vitesse est de . Si on déplace un mobile dans ce milieu, il est facile de comparer sa vitesse v à c : si on dit que la vitesse du mobile est subsonique ; si le régime est dit transsonique ; si le régime est dit supersonique ; si le régime est dit hypersonique. Le bang supersonique se produit lorsque le mobile se déplace à une vitesse supérieure à la vitesse du son. Origine physique du « bang » supersonique Onde de pression sonore et onde de choc Le « bang » supersonique est une onde qui est à la fois une pression sonore et un choc. La pression sonore s'étale dans l'espace et dans le temps en partant de son point d'origine et en rayonnant dans toutes les directions en l'absence d'obstacle. Une onde correspond à un profil de la variation dans l'espace d'une grandeur donnée (pression, énergie, ...) qui se déplace au cours du temps (comme la vague d'étrave d'un bateau) ; ce profil s'aplatit à la longue ; on dit qu'il s'« amortit ». Quand le phénomène qui varie est la pression, on l'appelle une « onde de pression sonore ». Une onde de choc est un cas particulier d'onde, dont le profil a une très forte discontinuité. En réalité, il n'y a jamais de réelle discontinuité en physique, mais la variation au niveau de la « discontinuité » est telle que le phénomène devient brutalement marqué (le signal est quasi-rectangulaire). Signal de déplacement et vitesse du son Une onde accompagne le déplacement de tout mobile dans un fluide (ici, un avion dans l'air). Elle vient de ce que l'avion qui force son passage dans l'air impose à chaque instant T une petite variation de pression (surpression due à l'intrusion suivie d'une détente), qui se propage comme un signal pour les molécules d'air ; « poussez-vous, l'avion arrive ». Par définition, ce signal se propage à la vitesse du son, notée c. Si l'avion fait un déplacement élémentaire à un instant T0, au bout d'un temps t l'information parvient aux molécules situées sur une sphère de rayon c·t, centrée sur la position initiale de l'avion. Cependant, entre-temps, l'avion a continué d'avancer. Voir schémas dans Nombre de Mach. Les dessins explicatifs sont faits en deux dimensions, et la sphère en question y est figurée par un cercle. Cela ne change rien à l'explication, bien entendu. Formation de l'onde de choc Quand la vitesse de l'avion dépasse la vitesse c du son, au bout d'un instant T1 il dépasse (allant plus vite que le son) l'onde O0 qu'il avait émise à l'instant T0 . On montre facilement que les cercles O0 et O1 correspondant aux deux signaux T0 et T1 (qui s'élargissent avec le temps) ont constamment une intersection; alors qu'en deçà du mur du son, l'onde O1 reste constamment à l'intérieur de O0. Au point d'intersection de ces deux cercles, les deux signaux se superposent. L'intersection des ondes fait que le signal est renforcé. Et l'avancement de l'avion étant continu, cette superposition des ondes ne se réduit pas à une intersection ponctuelle, mais forme une enveloppe continue dont on montre qu'elle forme un cône, le cône de Mach. Et à chaque instant Ti, ce cône se renforce du signal Oi survenu : tout se passe comme si l'avion 'accumulait sur son cône' la succession de chocs survenus depuis qu'il a passé la vitesse du son. Ce signal cumulé correspond donc à toute une portion de la trajectoire, portion d'autant plus longue et en un temps d'autant plus bref que l'avion va vite. Cette accumulation en cône de surpressions constitue ainsi un 'mur de son' : Au passage du cône (qui s'étend par définition à la vitesse du son), les molécules reçoivent brusquement cette forte surpression, il se crée alors un choc, le signal surpression / détente qu'une molécule reçoit ayant la forme d'un signal rectangulaire (le 'mur'). Ce mur reste évidemment inaudible tant qu'il n'a pas atteint l'observateur. C'est l'alternance de pic de surpression et de la relaxation, signal d'avancement extrêmement amplifié par le cône de Mach, qui peut briser les vitres. Bang supersonique en altitude En altitude, deux phénomènes se combinent ; d'une part, l'énergie de l'onde est conservée dans le cône de choc, et donc se dilue quand ce cône s'élargit ; elle est inversement proportionnelle à la distance de la source d'origine (ou au rayon du cône). D'autre part, l'atmosphère n'étant pas homogène, il y a des phénomènes de réfraction (exactement comme des mirages) qui font que l'énergie du choc tend à se dissiper vers le haut. De ce fait, les supersoniques en altitude ne s'entendent pratiquement pas au sol ; il faut un passage à basse altitude (moins de ) pour que le « bang » supersonique ait un effet quelconque. Notes et références Voir aussi Articles connexes Supersonique Mur du son Nombre de Mach Aéraulique Acoustique
Le Christ bénissant (Bellini, musée d'art Kimbell)
Le Christ bénissant (en italien : Cristo benedicente) est une peinture religieuse réalisée par Giovanni Bellini vers 1500. Le tableau est actuellement exposé au musée d'art Kimbell Histoire On trouve l'œuvre au dans des ventes privées mais sans en connaître l'auteur avec certitude, on l'attribue néanmoins à Cima da Conegliano. Josef H. Dasser de Zurich, l'authentifia comme œuvre de Bellini, probablement vers 1958, et la Hallsborough Gallery, de Londres, l'acheta. La Kimbell Art Foundation, Fort Worth, l'acquit en 1967. Thème Le Christ bénissant est une figure de l'iconographie christique traditionnelle : Jésus, de face, en pied ou en buste, lève la main droite avec deux doigt levés, en signe de bénédiction à destination des protagonistes présents ou plus généralement au monde. Description Le Christ est représenté en buste, de face, la tête droite ; il est simplement vêtu d'un linge blanc lui ceignant les reins et couvrant l'épaule droite; ses stigmates sont visibles mais discrets, refermés, un au creux de sa main droite levée, deux doigts dressés en signe de bénédiction ; un seul autre de ses stigmates est visible, celui de sa plaie au flanc droit ; des rayons partent de sa tête sur le haut et les côtés mais sans forme d'auréole. De sa main gauche, le Christ porte une hampe rouge dressée. Juste derrière lui, à la droite du tableau deux lapins, un blanc, un roux s'embrassent et, entre sa main levée et son épaule droite, un arbre s'élève, avec un oiseau sur une de ses branches sèches. Un paysage occupe le fond de la composition, laissant voir à droite et à gauche des collines et des bâtiments avec un très haut et fin campanile à droite. Dans un pâturage, à gauche, un berger rassemble son troupeau. Sur un chemin qu'on devine à droite, trois personnages, un jaune, rouge et un blanc reviennent de l'église. Le ciel, qui porte des nuages, va du doré à l'horizon, au bleu clair en haut. Analyse La hampe rouge est signe de son martyre, lui ayant transpercé le flanc droit, devenue ensuite la hampe portant sa bannière blanche à croix rouge. Les lapins sont symboles de renaissance, le berger, celui du Christ en « Bon Berger » (Jean, 10:14). Les trois petites figures sont celles des trois Marie, ayant accompagnées le Christ vers sa tombe. Un autre des tableaux du maître, plus ancien, du même thème du Christ bénissant, est conservé au musée du Louvre (Paris) avec une autre facture artistique : le Christ n'affiche pas un visage rayonnant, mais triste, la tête légèrement baissée Notes et références Sources Notice du musée Bibliographie Articles connexes Passion du Christ Représentation artistique de Jésus-Christ Les œuvres du même sujet Les œuvres du même titre Liens externes Notice du musée Tableau de Giovanni Bellini Tableau des années 1500 Représentation du Christ bénissant Œuvre conservée au musée d'art Kimbell
Emmanuil Vitorgan
Emmanuil Gedenovich Vitorgan (en ), né le à Bakou, est un acteur soviétique. Biographie Filmographie partielle 1971 : Le Roi Lear () de Grigori Kozintsev : valet du duc d'Albany 1973 : La Dague () de Nikolaï Kalinine : ataman Valéry Nikitski 1985 : Bataille de Moscou (Bitva za Moskvou) de Youri Ozerov : commissaire Iefim Fomine 1991 : Anna Karamazoff () de Rustam Khamdamov : Prokoudine-Gorski 1992 : Le Carré noir () de Youri Moroz : Kazakov 2003 : Pauvre Nastia () de Piotr Stein : prince Piotr Dolgorouki Récompense Artiste du peuple de la Fédération de Russie Notes et références Liens externes Acteur russe Acteur soviétique Acteur de doublage russe Acteur russe de théâtre Artiste du peuple de la Fédération de Russie Naissance en décembre 1939 Naissance à Bakou Naissance en RSS d'Azerbaïdjan
Acronis True Image
Acronis True Image est un logiciel de manipulation d'image disque pour Windows, Linux et macOS créé par Acronis et distribué sous licence utilisateur final. Il est utilisé notamment dans la sauvegarde et la récupération d'image disque depuis ou vers un support externe tel qu'un Serveur NAS (Network Attached Storage) relié au réseau, un périphérique de stockage USB, ou bien le Cloud de la société. Systèmes de fichiers supportés par le logiciel Les systèmes de fichiers supportés sont : NTFS, FAT16 et FAT32, Ext2 et Ext3, ReiserFS et Reiser4, Linux Swap. En plus des systèmes de fichiers bénéficiant d'un soutien public, Acronis True Image fournit également des matières premières du secteur de sauvegarde et de restauration des options pour tous les autres systèmes de fichiers. 'Raw' mode fournit un soutien pour un système de fichiers qui est corrompu, ou qui n'est pas officiellement supporté, en capturant une image complète de tous les secteurs sur le disque. Cette méthode se traduit par une plus grande image fichier tel qu'il n'est pas en mesure de compresser, redimensionner, sélective ou restaurer des fichiers sur le système de fichiers non reconnus. Notes et références Annexes Article connexe Liste des logiciels de clonage de disque Système de fichiers Logiciel de sauvegarde
F-15 Strike Eagle (jeu vidéo)
est un jeu vidéo de simulation de vol de combat créé par Sid Meier et Grant Irani et publié par en 1984 sur borne d'arcade, Amstrad CPC, Apple II, Atari 8-bit, Atari ST, C64, IBM PC, MSX, NES, PC-88, ZX Spectrum, Game Gear, Game Boy et Thomson TO. Le joueur y pilote un avion de chasse McDonnell Douglas F-15 Eagle au cours de sept missions de combat. Six d’entre elles sont basées sur des évènements historiques et la dernière, hypothétique, prend place dans le golfe Persique en 1984. Le joueur contrôle son avion par l’intermédiaire d’une vue à la première personne du cockpit de l’avion et d’un affichage tête haute. Ce dernier inclut une carte de navigation sur laquelle est affichée la position de l’avion et de la base du joueur, ainsi que celle des ennemis. La vue du cockpit affiche l’environnement en trois dimensions et les ennemis, que ce soit dans les airs ou au sol. Le joueur contrôle son avion au joystick. Le jeu a bénéficié de deux suites : F-15 Strike Eagle II (1989) et F-15 Strike Eagle III (1992). Références Jeu de simulation de combat aérien Jeu vidéo sorti en 1984 Jeu MicroProse Jeu vidéo d'arcade Jeu Amstrad CPC Jeu Apple II Jeu Atari 8-bit Jeu Atari ST Jeu Thomson Jeu Commodore 64 Jeu DOS Jeu MSX Jeu NES Jeu PC-88 Jeu ZX Spectrum Jeu Game Gear Jeu Game Boy Jeu vidéo développé aux États-Unis
Pietrzyk
Pietrzyk (prononciation : ) est un village polonais de la gmina de Lutocin dans le powiat de Żuromin de la voïvodie de Mazovie dans le centre-est de la Pologne. Il se situe à environ à l'ouest de Żuromin (siège du powiat) et à au nord-ouest de Varsovie (capitale de la Pologne). Histoire De 1975 à 1998, le village appartenait administrativement à la voïvodie de Ciechanów. Village dans la voïvodie de Mazovie Powiat de Żuromin
La Vérité (Le Bernin)
La Vérité est une sculpture en marbre de l'artiste italien Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin. Réalisée entre 1645 et 1652, Le Bernin souhaite y dépeindre la vérité de manière allégorique, en jeune femme nue, dévoilée par une figure du Temps qui se trouve au dessus d'elle. Toutefois, la figure du Temps n'est jamais réalisée. Le Bernin a, jusqu'en 1665, toujours exprimé le souhait d'ajouter ce personnage. Selon son fils Domenico, Le Bernin créé cette œuvre en réponse aux attaques des opposants qui critiquaient un de ses projets raté, celui de faire construire deux tours sur la façade de la basilique Saint-Pierre. Des fissures étaient apparues sur la façade, dues à l'incapacité des fondations à soutenir les tours. Références Bibliographie Copy at Google Books. Bernini, Domenico (1713). Vita del Cavalier Gio. Lorenzo Bernino. Rome: Rocco Bernabò. Copy at Google Books. Sculpture du Bernin Sculpture en marbre Sculpture du XVIIe siècle Œuvre conservée à la Galerie Borghèse
Ruisseau de Castera
Le ruisseau de Castera est une rivière française qui coule dans le département de la Gironde et le département des Landes. C'est un affluent de la Leyre. Géographie De , le ruisseau de Castera prend sa source dans les Landes de Gascogne, commune de Saint-Symphorien, dans le département de la Gironde sous le nom de ruisseau de la Grave, prend le nom de ruisseau du Bourg puis celui de ruisseau du Grand Arriou et sous le nom de ruisseau de Castera avant de se jeter en rive droite dans l'Eyre à Saugnacq-et-Muret département des Landes. Principaux affluents Ruisseau du Bayle : 12 km Ruisseau de Roumehort : 8.7 km Ruisseau de Lugadets : 6.5 km Craste de la Mounarde : 16.4 km Communes traversées Landes : Saugnacq-et-Muret, Moustey, Mano, Argelouse. Gironde : Saint-Symphorien Hydrologie Annexes Articles connexes Liens externes Site du Sandre - recherche libre Références Cours d'eau en Gironde Cours d'eau dans les Landes Ruisseau de Castera Cours d'eau du bassin côtier Adour-Garonne
Renoux
Charles-Caïus Renoux (1795-1846), artiste-peintre français ; Jules Ernest Renoux (1863-1932), artiste-peintre français ; Célestin Renoux (1876-1942), missionnaire français ; René Renoux (1904-2000), chef-décorateur français ; Charles Renoux (1925-), bénédictin, orientaliste français spécialiste des manuscrits liturgiques arméniens ; André Renoux (1939-2002), artiste-peintre français ; Allain Renoux (1944-), peintre, aquarelliste et lithographe français ; Christian Renoux (1960-), historien et un responsable associatif français ; Nathalie Renoux (1971-), journaliste et animatrice de télévision française,
Adolphe Drion du Chapois
Adolphe François Camille, baron Drion du Chapois, né le et décédé le est un industriel et homme politique belge, membre du parti catholique. Biographie Il est le fils de François-Joseph (1800-), industriel et Marie Dumont (1806-). Il épouse Laure Pirmez (1835-1913) en 1860. Ils ont quatre enfants : Adolphe (1861-1945), Émeline (1864-1948), Ernest (1869-1942) et Ferdinand (1871-1926). Industriel, administrateur des Forges de Gosselies, membre du conseil de la Société antiesclavagiste belge, il est conseiller communal à Gosselies de 1863 à 1884. Il est député de 1870 à 1878, 1886 à 1890, 1892 à 1894 et de 1900 à 1909. Il est créé baron en 1886 par Léopold II, titre qui est transmissible. Il est ami de l'historien Ursmer Berlière. À l'origine la famille de maîtres des forges s'appelle Drion. Anoblie, elle est autorisée de porter le nom du château qu'elle habite, le Chapois situé à Gosselies. Sources Bio sur ODIS Liens externes Baron belge Industriel belge Député belge Personnalité du Parti catholique Naissance en mai 1831 Décès en février 1914 Décès à 82 ans
Abies fargesii
Abies fargesii est un conifère de la famille des Pinacées. Il est originaire du Centre et de l'Est de la Chine. Description Dimensions Abies fargesii a une hauteur de 40 mètres mais peut parfois atteindre 65 mètres pour un tronc de 1,5 à 2 mètres de diamètre. Caractéristiques botaniques Abies fargesii possède un port conique . Son écorce est d'abord brun-rouge et lisse puis, prend un teint gris-brun foncée et devient écailleuse ainsi que fissurée. Les ramules sont rouges, légèrement sillonnées, glabres ou avec une légère pubescence couleur rouille dans les sillons. Les bourgeons sont globuleux ou sub-globuleux, rougeâtres et plus ou moins résineux. Les aiguilles font de 1 à 3 cm de longueur et de 1 à 4 mm de largeur, sont vert foncé sur la face supérieure, blanches-verdâtres sur la face inférieure. Elles sont linéaires, aplaties et oblancéolées. L'apex est échancrée voir obtus si les aiguilles poussent sur des rameaux portant de cônes. Les cônes mâles mesurent 1,3 cm, rouges et disposés en amas près de l'extrémité des rameaux. Les cônes femelles mesurent de 6 à 9 cm de longueur pour 3 à 4 cm de largeur, sont d'abord violets avant de devenir bruns-pourpres et sont ovoïdes voir oblongs. Ils ont un très court pédoncule. Leurs écailles sont en éventails, aux bords entiers, mesurant de 1,5 à 2 cm de large et placées au milieu des cônes avec des bractées épineuses peu ou pas sorties. Les graines sont noires, mesurant de 4 à 8 mm, avec une aile asymétrique noire de 1 cm et possédant 4 à 6 cotylédons. Répartition et habitat Distribution Abies fargesii pousse naturellement à partir de 1500 jusqu'à 4000 mètres dans le Centre et l'Est de la Chine et plus précisément dans le Henan, l'Hubei, le Gansu, le Shaanxi, le Sichuan et le Yunnan. Il a été introduit en Europe en 1901 par Ernest Wilson. Exigences Abies fargesii est résistant jusqu'à -17 °C mais est en proie aux maladies. Utilisation Abies fargesii est utilisé dans la construction. Annexes Notes et références Articles connexes Sapin Pinacées Conifère Cône Chine Lien externe * Abies Espèce de Gymnospermes (nom scientifique)
Racka
Le racka est une race de mouton rare et rustique originaire des steppes de la Puszta en Hongrie. Il est aussi connu sous le nom de . C'est aujourd'hui une race protégée. Description Le racka se caractérise par de grandes cornes torsadées pouvant atteindre un mètre. Sa taille est moyenne (de 50 à , 30 à ). La gestation comme celle de tous les moutons est de 5 mois. Il est classé dans les races « à laine » car celle-ci pousse parfois jusqu’au sol. S’il n’est pas tondu, le mouton de Valachie arrache sa laine en se frottant contre tout ce qu'il trouve (arbres, clôtures, rochers). Sa robe peut être blanche ou noire, deux parents blancs ou noirs peuvent très bien avoir un agneau d'une autre couleur en fonction des allèles qu'ils portent. Voir aussi Articles connexes Mouton Élevage Liste des races ovines Liste des animaux domestiques de Hongrie Liens externes Mouton Racka sur Moutonvillage Description du domaine zoologique de Pescheray Race ovine Race animale originaire de Hongrie Race ovine originaire d'Europe
La Tête haute (homonymie)
La Tête haute peut désigner : La Tête haute, une chanson des Cowboys fringants parue en ; La Tête haute, un téléfilm de Gérard Jourd'hui, diffusé en 2005, avec Eddy Mitchell, adaptation du roman Le Fils Cardinaud de Georges Simenon ; La Tête haute, un épisode de la saison 1 de la série française Interpol, diffusé le ; La Tête haute, un film d'Emmanuelle Bercot sorti en 2015. Voir aussi Tête haute, Charly! , film allemand sorti en 1927 ;
Karl Helbig
Karl Martin Alexander Helbig (né le à Hildesheim et mort le à Hambourg) était un explorateur, géographe et ethnologue allemand. Ses voyages l’ont notamment conduit à Java, à Sumatra, à Bornéo et en Amérique centrale. K. Helbig se distingue dans ses travaux par un sens aigu de l’observation, des contenus instructifs ainsi qu’un langage épuré et compréhensible. En plus de ses travaux en géographie et en ethnographie, K. Helbig a également écrit des récits de voyages populaires, des livres pour enfants et adolescents et des romans d’aventures dans lesquels il raconte ses expéditions au grand public d’une façon à la fois puissante et divertissante. Il en va de même pour les conférences qu’il a animées dans des écoles et des instituts scientifiques, aussi bien en Allemagne qu’à l’étranger. Karl Helbig a été décoré de l’Ordre du Mérite sur ruban de la République fédérale d’Allemagne et a également reçu le prix scientifique national du Mexique. Biographie Depuis le dernier quart du , sur ordre du gouvernement colonial des Indes orientales néerlandaises, plusieurs expéditions géodésiques professionnelles ont été entreprises et ont permis, au terme de décennies de travail, de découvrir des régions reculées de l’Insulinde et de les ajouter à la carte. Les travaux de Karl Helbig ont été d’autant plus reconnus qu’il est parvenu dans les années 1930, à l’aide d’études de terrain traditionnelles, à combler certaines zones de la carte jusqu’alors inexplorées. K. Helbig a mené ses recherches géodésiques non seulement sur l’île de Bornéo, encore largement inexplorée à l’époque, mais également – poursuivant des recherches entreprises par Franz Wilhelm Junghuhn et Hermann von Rosenberg dans le sud des terres batak – sur l’île de Sumatra, déjà relativement bien exploitée à l’époque.  Ses voyages en Amérique centrale sont tout aussi importants. En effet, K. Helbig y découvre également des régions jusque-là inexplorées. Au Chiapas et au nord-est du Honduras, ses recherches l’amènent à révolutionner le matériel cartographique de l’époque. Ses travaux ne se limitent cependant pas à la cartographie, qu’il ne pouvait mener, en tant que scientifique indépendant, que dans les grandes lignes. Ses recherches comprennent également des analyses géologiques, botaniques, climatographiques, ethnologiques et géographico-économiques. Soucieux de parvenir à une représentation d’ensemble exhaustive, il se considère souvent comme le successeur de F. W. Junghuhn dont il admire les écrits. Son acharnement à exploiter toutes les ressources disponibles pour parvenir à cette polyvalence se retrouve dans ses deux bibliographies classées et commentées sur l’Inde profonde, l’Insulinde et Bornéo. Jeunesse Karl Helbig, né le à Hildesheim, est le fils de l’ingénieur Otto Helbig et de sa femme Ida, née Manß. En 1912, il entre en Realschule et passe son baccalauréat en 1921. Entre-temps, de 1919 à 1920, il s’engage volontairement comme garde-frontière à l’Est de l’Allemagne. Par la suite, K. Helbig connait des moments difficiles. En hiver 1921, il travaille comme mineur dans des conditions de chaleur extrême (jusqu’à ) à sous terre dans une mine de potasse à proximité de Diekholzen. À la fin de l’année 1921, sa mère décède et son père est victime d’un violent infarctus au début de l’année 1922, ce qui oblige K. Helbig à subvenir à ses propres besoins ainsi qu’à ceux de sa sœur Elisabeth et à ceux de son père. Après avoir travaillé comme livreur dans une briqueterie de Thuringe, comme manœuvre dans une ferme à Peine, et comme assistant dans un haras à Celle, il entreprend des études en sciences de la terre à l’université de Göttingen à l’automne 1922. Sa tentative de financer ses études et de subvenir aux besoins de sa famille en travaillant en tant que chauffeur dans un hôpital de Göttingen échoue à cause de l’inflation et le conduit à abandonner ses études à l’été 1923. Son besoin irrépressible de découvrir le monde le pousse ensuite à s’engager dans la Marine marchande où il exerce les métiers de soutier et de chauffeur de bateau jusqu’en 1951, puis de graisseur et d’assistant au commissaire de bord. De cette manière, ses voyages maritimes étaient gratuits et sa solde lui permettait, en minimisant ses dépenses, de financer au moins en partie ses excursions. Il effectue son premier voyage en 1923 à bord du Drachenfels, un paquebot à vapeur. Il traverse la mer rouge en direction de l’Inde et fait escale à Karatschi, à Bombay, à Colombo et à Calcutta où il apprend par une lettre de sa sœur le décès de son père. À son retour à Hambourg, sa sœur et lui se retrouvent complètement démunis à cause de l’inflation, si bien qu’ils doivent secrètement enterrer l’urne contenant les cendres de leur père pendant la nuit dans le caveau familial d’Eisenach. Avant son séjour d’études sur l’île de Java, Karl Helbig effectue 8 voyages maritimes supplémentaires au cours desquels il fait escale dans plus de 60 ports, dont ceux de l’Insulinde, du Mexique et des Antilles, de la Méditerranée à Istanbul et du Levant. Études et thèse À l’automne 1927, Karl Helbig s’inscrit à l’Université de Hambourg. Il y suit des cours de géographie avec Siegfried Passarge, d’océanographie avec MM. Schultz et Schott, de géographie économique avec M. Lütgense, de climatologie avec M. Kuhlbrodt, de géologie et de paléontologie avec Georg Gürich, Karl Gripp et Johann Wysogorski et enfin d’indonésien avec MM. Dempwolff et Aichele. Il finance ses études en travaillant comme docker le soir ou la nuit. Pendant le semestre d’été de 1929, Karl Helbig fait une pause. Avec l’accord de son directeur de thèse, il se rend à Java en travaillant comme chauffeur à bord du paquebot à vapeur Menes. Il reste alors neuf mois à Batavia (ancien nom de Jakarta) et dans ses alentours. Soutenu financièrement par Emil Helfferich, directeur d’un syndicat de plantation allemand, Karl Helbig parvient à réunir les ressources nécessaires à l’écriture de sa thèse dont le sujet s’articule autour du développement, des structures architecturales et de l’importance économique, coloniale et culturelle de Batavia, capitale des Indes orientales néerlandaises. Le résultat de ce travail, la thèse illustrée par des images, des cartes et des schémas intitulée Batavia. Eine tropische Stadtlandschaftskunde im Rahmen der Insel Java (Batavia. Étude d’un paysage urbain tropical appliquée à l’île de Java), est reçue avec la mention honorable par la faculté de mathématiques et de sciences naturelles de l’Université de Hambourg. Cette thèse est la première à fournir une représentation scientifique de paysage urbain tropical. Étant donné que l’élargissement de la sphère d’influence de Batavia est également important pour le développement de la ville, des voyages à Java et sur l’île voisine de Madura ont été entrepris dans le cadre de ces études. À cette occasion, K. Helbig fait l’ascension de volcans et de hauts plateaux et explore des zones peu fréquentées. En 1929 paraît son premier ouvrage intitulé Eine Diengwanderung, suivi en 1935 par les essais Der Kenndeng, eine Kalklandschaft auf Südostjava (Le Kenndeng, une région de chaux au sud-est de Java) et Bau und Bild der Insel Java (Construction et représentation de l’île de Java). Une de ses œuvres littéraires les plus abouties s’intitule Ferne Tropen-Insel Java (La lointaine île tropicale de Java). Cet ouvrage pour la jeunesse raconte l’histoire d’un jeune fermier dans un village de l’île de Java situé à l’ouest du volcan Merapi. Son livre Zu Mahamerus Füßen. Wanderungen auf Java (Aux pieds du Mahamerus. Expéditions sur l’île de Java) retrace ses aventures de voyage. Recherches sur l'île de Sumatra Le , Karl Helbig embarque en tant qu’homme de ménage sur le paquebot S. S. Menes de Hambourg à Sumatra. Ce n’est que le qu’il arrive à Belawan, le port de Medan dans le Détroit de Malacca. Pendant près d’un an, K. Helbig fait des recherches sur de vastes territoires situés au sud-est et au sud du lac Toba et de l’île Nias, sur la côte est de l’île. Accompagné d’un seul sherpa indigène, K. Helbig parcourt plus de à pied sur des chemins encore partiellement inconnus à l’époque. Sa zone de recherche s’étend d’un côté jusqu’aux terres batak situées à des hauteurs saines au sud et au sud-est du lac Toba, et de l’autre côté jusqu’aux terres du Sultanate Asahan, de Kualu, de Bila, de Kota Bilang et de Pane, dans l’ancienne province de la « côte est de Sumatra », dans le bas pays chaud et insalubre. Avant les recherches entreprises par K. Helbig, ces paysages n’avaient encore jamais été décrits de manière cohérente et la vaste montagne de Simanalaksa, souvent dénommée « chaîne de Bila », ainsi que de nombreux éléments des paysages d’Habinsaran et de Dolok étaient encore largement méconnus sur les plans géographique et géologique. K. Helbig choisit comme station de base un séminaire à Parsoburan, dans la province d’Habisaran. Sa plus longue marche, qu’il entreprend à partir de là, dure plus de trois mois. Sur le plan ethnologique, sa visite de trois semaines chez les Orang Lubu, une des dernières tribus autochtones du nord de Sumatra (dont les représentants occupent alors le versant est de la vallée des steppes de Mandailing, au centre de Sumatra, à l’été 1931 est particulièrement remarquable. Avec cette excursion, K. Helbig a pour principal objectif de sauvegarder la langue de ce peuple en voie de disparition. Ce n’est qu’à son retour de Sumatra, le , que son diplôme de docteur lui est remis, à Hambourg. Les résultats de ce voyage sont considérables. Vingt articles sont publiés dans des revues spécialisées, des quotidiens et d’autres organes. L’étude la plus précieuse sur le plan scientifique est Beiträge zur Landeskunde von Sumatra. Beobachtungen zwischen Asahan und Barumun, Tobasee und Malakastraße (Contributions à l’étude civilisationnelle de Sumatra. Observations entre Asahan et Barumun, le lac Toba et le détroit de Malacca). Les huit rapports publiés par K. Helbig en 1931 sous le titre commun de Weniger bekannte Teilgebiete der Bataklande auf Sumatra (Zones moins connues des terres batak de Sumatra) dans le journal Deutsche Wacht à Batavia et pratiquement tombés dans l’oubli sont également très précieux : Habinsaran (Habinsaran), Am Oberlauf des Koealoe (Sur le cours supérieur du Koealoe), Die Bila-Ketten (La chaîne de Bila), Das Tal des Pahae (La vallée du Pahae), Das Hochtal von Sipirok (La haute vallée du Sipirok), Das Bergland des Dolok (Le relief du Dolok), Die Gras-Steppen der Padang Lawas (Les steppes herbeuses du Padang Lawas), Das Pane- und Bila-Gebiet (La région du Pane et du Bila). Des publications ethnologiques sur les Toba-Batak, qui traitent de tous les aspects de leur vie quotidienne, de l’observation de la nature à leurs conceptions morales et leur religion en passant par l’urbanisation et l’architecture, viennent s’ajouter à ces représentations géographico-géologiques. Un récit de voyage riche en informations géographiques et ethnologiques parait sous le titre Tuan Gila – ein verrückter Herr wandert am Äquator (Tuan Gila – Voyage d’un fou en Équateur).  Sur le haut plateau du nord de Sumatra, K. Helbig découvre une plantation de thé installée par la famille allemande Heinrich Gundert. Une amitié solide avec le fils de la famille, âgé de quinze ans, lui inspire son livre pour la jeunesse intitulé Til kommt nach Sumatra. Das Leben eines deutschen Jungen in den Tropen. (Til va à Sumatra. Vie d’un jeune allemand dans les tropiques) ; cette amitié durera toute sa vie. Traversée de l’île de Bornéo Après avoir effectué des voyages en bateau dans les Caraïbes, en direction du Cap Nord européen, à Léningrad et un autre en direction de l’Amérique centrale, K. Helbig entreprend ses voyages les plus lointains et les plus éprouvants en . En tant que seul chauffeur au monde possédant un doctorat, il part pour Batavia sur le cargo Hanau. Après avoir mené des études préliminaires dans l’ouest de Java et sur les îles d’étain de Bangka et Belitung, il arrive à Pontianak, sur la côte ouest de Bornéo, en . À partir de là, il entame l’une des expéditions les plus courageuses de l’avant-guerre : alors que les autres chercheurs empruntent quasiment sans exception les voies navigables, K. Helbig est le premier à traverser l’île de Bornéo à pied sur une trajectoire de en zigzag à travers une forêt vierge difficilement praticable. Il réussit cette performance accompagné d’un seul compagnon blanc, son camarade de navigation allemand Erich Schreiter et de trois, maximum quatre, sherpas autochtones, pour la plupart masculins, remplacés de village en village. Rarement une expédition de cette ampleur a été conduite avec des moyens matériels aussi réduits. L’expédition chemine ensuite le long de la côte ouest en direction de Sarawak. Dans les montagnes situées au nord-ouest de l’ancienne « Wester-Afdeeling » (division ouest), ils visitent les tribus Dayak des Songkong, des Ketugan et des Ibans. À partir de là, l’expédition se dirige vers Sanggau, Sekadau et Sintag sur le fleuve Kapuas puis à nouveau vers le nord en direction de Sarawak. Après avoir fait le tour de la région des lacs du Kapuas supérieur, elle atteint Putussibau, situé en amont du fleuve. Plus tard, elle se dirige en direction du sud, vers le Plateau Madi. Accompagné de seulement trois sherpas, K. Helbig franchit les montagnes de Schwaner. En raison du transport d’un bateau, cette entreprise se révèle particulièrement épuisante pour l’équipage. Au-delà de cette ligne de partage des eaux, dans les « Zuider- en Ooster-Afdeeling » (divisions sud et est), K. Helbig et E. Schreiter remontent le fleuve Kahayan, visitent les tribus des Ngaju-Dayak et des Ot-Danum-Dayak et participent à un rituel mortuaire nocturne à Tumbang-Mahuroi. Dans la prolongation de la direction est, ils traversent les affluents du « petit » Kapuas et du Barito puis atteignent le Mahakam supérieur à proximité de Tering et Longiram. En suivant ce fleuve, ils arrivent dans la vaste région des lacs située sur son cours inférieur et naviguent sur le lac Jempang. La dernière étape de cette traversée d’ouest en est ponctuée de nombreux détours et crochets est la ville de Samarinda, située en amont du delta du Mahakam. À partir de là, l’expédition effectue une traversée de la partie sud-est de Bornéo, le long d’un oléoduc traversant la région du charbon et du pétrole entre Samarinda et Balikpapan, à travers la steppe pâturée du Pasir habitée par les mahométans Kutai et Pasiresen et dans le bassin densément peuplé du Barito inférieur en passant par les montagnes de Meratus. En , huit mois après le départ de Pontianak, l’expédition prend fin à Benjarmasin, dans le sud de Bornéo. K. Helbig est interviewé au sujet de ce voyage à l’âge de 86 ans, dans son appartement de Hamburg-Altona par la productrice Sonja Balbach. La traversée de Bornéo avait eu lieu 52 ans auparavant. Le , le film Borneo. Auf den Spuren von Karl Helbig (Bornéo. Sur les traces de Karl Helbig) qui s’appuie sur cette interview est diffusé sur la chaîne de télévision Südwest 3. En dehors de nombreuses conférences et publications dans les revues destinées à la jeunesse et les revues spécialisées, des quotidiens et des journaux nationaux et étrangers, ainsi que dans le récit de voyage populaire intitulé Urwaldwildnis Borneo (La forêt vierge sauvage de Bornéo), ce n’est que 45 ans plus tard que les résultats scientifiques de cette expédition sont présentés aux lecteurs allemands. En 1982, l’œuvre en deux volumes intitulée Eine Durchquerung der Insel Borneo (Kalimantan). Nach den Tagebüchern aus dem Jahre 1937. (Une traversée de l’île de Bornéo (Kalimantan). D’après les journaux de l’année 1937) paraît aux éditions Dietrich Reimer à Berlin. Avec presque 800 pages dans son format in-octavo, richement illustré de dessins, de cartes et d’images photographiques et assorti de précieuses annexes scientifiques, c’est encore aujourd’hui un livre de premier plan pour les curieux de Bornéo. « Ces deux volumes occupent la place de livre de référence de premier plan pour la recherche à Kalimantan. Ils montrent à nouveau l’auteur comme l’un des plus grands spécialistes de l’Indonésie dans l’espace linguistique germanophone pendant l’avant guerre ». (Werner Röll). K. Helbig a expliqué les causes du retardement de la publication de cette œuvre dans le premier volume :« […] Au milieu de l’année 1938, j’étais de retour en Allemagne. La Seconde Guerre Mondiale qui s’apprêtait à éclater entraînait de nombreux autres problèmes. La destruction de ressources documentaires essentielles à Hambourg et ailleurs compliqua la poursuite de l’exploitation des résultats. La situation confuse dans les régions coloniales néerlandaises et dans la totalité de l’Extrême-Orient retarda plus d’un examen et plus d’une décision concernant la mise en forme effective de la matière et, a fortiori, toute tentative de réalisation d’une mission de vérification complémentaire. Des entreprises de recherches et des voyages d’études ultérieurs dans d’autres régions, en particulier au Mexique et en Amérique centrale, puis en Union soviétique, en Scandinavie et dans de nombreux pays méditerranéens, ainsi que les multiples rédactions des résultats, ont empêché la poursuite de l’exploitation scientifique de mes journaux écrits à Bornéo. […] L’âge avançant et l’inquiétude grandissante de devoir finalement laisser ces journaux inutilisés, moyennant quoi ils seraient considérés comme totalement perdus – d’autant plus qu’ils étaient rédigés dans une sténographie qui n’est plus utilisée de nos jours – m’ont à nouveau poussé à achever la tâche entreprise ».Jusqu’au début du mois de , K. Helbig reste dans les Indes orientales néerlandaises. Il parcourt une nouvelle fois Java, puis l’île de Bali et l’île voisine de Nusa Penida. Bali. Erfüllungen und Enttäuschungen (Bali. Réussites et déceptions), Bali: Eine tropische Insel landschaftlicher Gegensätze (Bali : une île tropicale de contrastes pittoresques), Nusa Penida, die Insel der „Banditen“ (Nusa Penida, l’île des « bandits »), et Nusa Penida. Eine tropische Karstinsel (Nusa Panida. Une île de karst tropicale) sont ses principaux écrits concernant les îles mentionnées précédemment. Au milieu de l’année 1938, K. Helbig arrive de nouveau à Hambourg après une absence d’un an et demi. Ce fut son dernier voyage en Asie du Sud-Est. Habilitation En 1940, la thèse d’habilitation de K. Helbig est acceptée par la faculté de philosophie de l’Université de Marbourg. Elle s’intitule Die Insel Bangka. Beispiel des Landschafts- und Bedeutungswandels auf Grund einer geographischen Zufallsform. (L’île de Bangka. Exemple de transformation des paysages et des significations sur la base d’une forme de hasard). Il collecte les ressources documentaires nécessaires à la réalisation de ce travail sur Bangka, avant le commencement de son expédition à Bornéo. La conférence d’habilitation intitulée Menschen im Urwald. Bericht über eine Reise zu den Dayak auf Borneo. (Des Hommes dans la forêt vierge. Récit d’un voyage chez les Dayak à Bornéo) tenue le vient s’y ajouter. K. Helbig refuse cependant d’adhérer au NSDAP, qu’il méprise, et il ne parvient donc pas accéder à la fonction de professeur des universités. Guerre et après-guerre Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, K. Helbig travaille comme civil dans le cadre de l’assistance militaire et s’occupe de la formation en géographie des officiers et des soldats en Norvège, en Roumanie, aux Pays-Bas, en France, en Belgique, en Russie et dans d’autres pays européens. En hiver 1944, il est témoin de la retraite de l’armée allemande et de la misère des réfugiés allemands. C’est seulement en 1951, après avoir voyagé une nouvelle fois en Amérique du Nord en tant que chauffeur sur un cargo, que des chaires lui sont proposées – par les deux états allemands – dans les universités de Hambourg, de Leipzig, de Jena, de Rostock et de Greifswald. K. Helbig reste cependant indépendant. Ce choix le condamne à la plus grande parcimonie jusqu’à la fin de sa vie. Recherches en Amérique centrale Sur les conseils de Franz Termer, directeur du Musée de l’ethnologie de Hambourg (Hamburger Museum für Völkerkunde), K. Helbig se tourne vers les études scientifiques en Amérique centrale. Il effectue son premier voyage d’étude ethnologique, soutenu par la Fondation allemande pour la recherche, en 1953/54 avec des escales au Mexique, au Guatemala et à San Salvador, dans la province nord-est de la République du Honduras, alors méconnue dans la science géographique de l’époque. Ces régions sont sillonnées pendant sept mois principalement à pied et en bateau sur certains grands fleuves et dans les lagunes côtières. Il publie une partie de ses résultats scientifiques dans ses travaux intitulés Die Landschaften von Nordost-Honduras auf Grund einer geographischen Studienreise im Jahre 1953 (Les paysages du nord-est du Honduras à partir d’un voyage d’études géographique en 1953) et Antiguales (Altertümer) der Paya-Region und die Paya-Indianer von Nordost-Honduras (Antiguales (Antiquités) de la région de Paya et des Inidens Paya du nord-est du Honduras). La carte en couleurs à plusieurs plis de K. Helbig Entwurf einer topographischen Übersicht von Nordost-Honduras mit der Mosquitia (Projet de représentation topographique du nord-est du Honduras et de la Mosquitia) apporte des corrections fondamentales aux documents cartographiques disponibles sur cette région : la hauteur et la disposition des montagnes, le cours des fleuves, la configuration des lagunes, la position des colonies ainsi que les liaisons routières et les noms de lieux sont rectifiés. Un massif montagneux qui n’avait pas encore été nommé est baptisé « Montaňas del Patuca » par K. Helbig. Les ouvrages intitulés Von Mexiko bis zur Mosquitia (Du Mexique à la Mosquitia) et Indioland am Karibischen Meer (Territoire indien dans la mer des Caraïbes) comptent parmi ses publications de vulgarisation les plus célèbres sur ces voyages. Il effectue son voyage suivant en 1957/58 en direction du centre et du sud du Mexique. Le point d’orgue de ses recherches est l’état fédéral de Chiapas. À la suite des travaux de Leo Waibel dans la Sierra Madre de Chiapas, les régions de la grande dépression du Rio Grijalva supérieur et de la Mesa Central, situées au nord de cette chaîne de montagnes, ainsi que les modifications plus récentes entreprises dans les régions caféières de la Sierra Madre de Chiapas à travers la guerre, la réforme agricole, les nouveaux aménagements et les mouvements migratoires, sont étudiées. Ses monographies intitulées Die Landschaft Soconusco im Staate Chiapas, Süd-Mexico, und ihre Kaffeezone (Les paysages du Soconusco dans l’État du Chiapas, sud du Mexique, et leurs régions caféières) et Das Stromgebiet des Rio Grijalva; eine Landschaftsstudie aus Chiapas, Süd-Mexiko (Le bassin du Rio Grijalva ; une étude de paysage dans le Chiapas, au sud du Mexique) sont extrêmement précieuses sur le plan scientifique. Outre d’autres publications dans des journaux et des périodiques, ces voyages ont également débouché sur la première édition de son ouvrage à succès intitulé So sah ich Mexiko (Le Mexique tel que je l'ai vu) et sous-titré Forschungsfahrt von Tampico bis Chiapas (Voyage d’étude de Tampico à Chiapas).  À nouveau soutenu par la Fondation allemande pour la recherche, K. Helbig voyage entre 1962 et 1963 du Mexique à l’est du Panama, en passant par le Guatemala, San Salvador, le Honduras britannique, le Nicaragua et le Costa Rica. L’objectif de ces voyages était d’obtenir un aperçu global de la géographie et de l’économie de l’Amérique centrale, d’observer la transformation du paysage due à l’expansion de l’agriculture et d’analyser les possibilités de développement méthodique futur de la région. Pour ce faire, K. Helbig achève ses études par un voyage complémentaire du nord du Mexique à Monterrey. Les résultats scientifiques sont publiés dans les œuvres intitulées Zentralamerika. Natürliche Grundlagen, ihre gegenwärtige und künkftig mögliche Auswertung (Amérique centrale. Bases naturelles, possible exploitation présente et future) et Die Wirtschaft Zentralamerikas. Kartographisch dargestellt und erläutert (L’économie d’Amérique centrale. Représentations et explications cartographiques). L’ouvrage So sah ich Mexiko (Le Mexique tel que je l’ai vu) est révisé et à nouveau publié en 1967 avec le sous-titre Von Monterrey bis Tapachula (De Monterrey à Tapachula). En 1971, le gouvernement mexicain charge K. Helbig de l’exploration géographique de l’État du Chiapas. Il doit réaliser des études de terrain à grande échelle. Comme lors de toutes les excursions précédentes, il est le seul scientifique et travaille cinq ans sur ce gros projet. Il résume ses résultats dans la monographie régionale en trois volumes intitulée Chiapas. Geografia de un Estado Mexicano, dont il surveille personnellement l’impression et la distribution à Mexico. En hommage à cette œuvre folio de grande envergure, seulement publiée en espagnol, il reçoit le « prix de l’État du Chiapas, domaine scientifique ». Dernières années Le , sa maîtresse de maison Emma Mahler, née Fillsack (1884) décède. Il lui adresse une dédicace dans son œuvre sur Bornéo en deux volumes, où il la décrit comme celle « … qui s’est occupée de lui et l’a accompagné de façon désintéressée pendant près de cinq décennies ». Pour son inhumation, il achète deux sépultures au cimetière d’Altona, en face de son dernier appartement : une pour Mahler et une pour lui-même, située juste à côté. Sa dernière œuvre s’intitule Seefahrt vor den Feuern. Erinnerungen eines Schiffseizers (Traversée devant les feux. Souvenirs d’un chauffeur de bateau). Cet ouvrage, qui décrit sous forme romancée le voyage d’un paquebot vers l’Amérique centrale dans les années 1920, ne rapporte pas seulement la technique et la manutention des chaudières et des mécanismes d’entraînement des bateaux à vapeur, mais également le travail de force alors peu reconnu des soutiers et des chauffeurs dans la chaleur et la poussière. La présentation de ce livre a lieu au port de Travemunde, à bord du brise-glace à vapeur Stettin, une occasion pour laquelle K. Helbig, alors âgé de 84 ans, se mobilise « devant les feux ». Il présente aux invités avec un « élan de jeunesse » (tel le décrit son éditeur Hans Georg Prager) les compétences que requiert le « soin du feu », de la surveillance de la pression de la vapeur et des niveaux d’eau dans les chaudières à la rupture des scories et à l’extraction des cendres, en passant par le remplissage de charbon. En , lors de la traversée du Stettin de Kiel à Travemunde, il fait preuve pour la dernière fois, à l’âge de 85 ans, de son savoir de chauffeur. À l’automne 1987, le journaliste télé Eberhard Fechner interviewe onze marins qui ont encore connu l’époque des voiliers et des bateaux à vapeur. K. Helbig est le seul soutier et chauffeur, aux côtés de quatre capitaines, deux ingénieurs navals, un cuisiner de bord, un voilier, un chef du personnel de bord et un charpentier de la marine. Le , le reportage de E. Fechner est diffusé en deux parties par les chaînes allemandes ARD et WDR, sous le titre La Paloma. Sur ce, la revue allemande Der Spiegel publie l’article Fernsehen. Halber Weg zur Karibik (Télévision. À mi-chemin vers les Caraïbes) dans lequel « l’homme au regard sévère et au visage anguleux » est décrit comme étant le « héros secret d’E. Fechner ». Au cours des dernières années de sa vie mouvementée de chercheur, K. Helbig s’occupe sans relâche de l’organisation de ses successions ethnographiques et littéraires. Les ethnographies qu’il avait rassemblées se trouvent dans le musée d’ethnologie de Hambourg et le musée d’ethnologie de Stuttgart ainsi que dans la collection ethnologique du Roemer- und Pelizaeusmuseum de Hildesheim. Ce dernier expose également ses œuvres littéraires, sa collection de photos et sa bibliothèque.  En reconnaissance de ses mérites dans le domaine géographico-culturel, K. Helbig reçoit le la croix fédérale du Mérite lors d’une cérémonie à la mairie d’Hildesheim, sa ville natale. Après les discours officiels, K. Helbig prend lui aussi la parole. Le jour suivant, le Hildesheimer Allgemeine Zeitung consacre près d’une page entière à son récit. Le , K. Helbig succombe à une crise cardiaque dans son appartement d’Altona (arrondissement de Hambourg). Il décède dans les bras de Helmut Gundert, le fils du propriétaire de plantations nommé Heinrich Gundert qu’il avait rencontré comme en 1931 sur l’île de Sumatra alors qu’il n’avait que cinq ans et qu’il a fait passer à la postérité sous le nom de “Til” dans des articles et des livres. Dans ses dernières volontés, K. Helbig avait demandé que son décès soit annoncé officiellement qu’au bout de trois semaines. La cérémonie funéraire tenue le au cimetière d’Altona, situé entre la Bernadottestraße et la Bleickenallee, s’est donc déroulée en petit comité : seules 14 personnes se sont inscrites sur le livre de condoléances. Le Hildesheimer Allgemeine Zeitung respecte lui aussi les dernières volontés de K. Helbig et ne publie l’avis de décès que le . Du 20 au , sa ville natale Hildesheim l’honore d’un colloque scientifique à l’occasion de son . Une plaque commémorative en laiton se trouve sur son dernier domicile au numéro 22 de la Bleickenallee, à Hambourg-Altona. Expéditions, voyages de recherche et d’études Dans les Indes néérlandaises (aujourd’hui : Indonésie) 1929 : Batavia, Java  1931 : Sumatra 1937 : Java, Bangka, Belitung, Bali, Bornéo (ou Kalimantan) En Amérique centrale 1953–1954 : Mexique, Guatemala, El Salvador, Honduras  1957–1958 : Mexique (Chiapas)  1962–1963 : Mexique, Guatemala, El Salvador, Honduras britannique, Nicaragua, Costa Rica, Panama  1971–1975: Mexique (Chiapas) Bateaux sur lesquels Karl Helbig s’est engagé (échantillon) 1923 : S. S. Drachenfels, comme soutier vers l’Inde  1923 : S. S. Altona, comme soutier vers les Indes néérlandaises  1925 : S. S. Ursula Siemers, comme soutier et chauffeur dans la Méditerranée  1925 : S. S. Schleswig Holstein, comme chauffeur vers le Mexique  1926 : S. S. Pontos, comme chauffeur dans la Méditerranée  1928 : S. S. Galicia, comme chauffeur dans les Caraïbes (voyage raconté dans son œuvre Seefahrt vor den Feuern (Voyage en mer devant les feux))  1929 : S. S. Menes, vers Batavia, à la plonge (études pour sa thèse)  1929 : S. S. Ramses, retour de Batavia, à la plonge 1930 : S. S. Menes, vers Belawan-Deli (études sur Sumatra) 1931 : S. S. Freiburg, à la plonge et comme membre du personnel au retour de Batavia  1934 : S. S. Oceana, comme chauffeur en direction de la Scandinavie  1935 : S. S. Antiochia, comme chauffeur vers les Indes occidentales puis retour  1936 : S. S. Hanau, comme chauffeur vers Batavia et retour en 1938 (traversée de Bornéo)  1951 : S. S. Clara Blumenfeld, comme chauffeur en 1951 vers les États-Unis et en 1952-53 en mer du Nord et en mer Baltique  1953 : M. S. Westfalen, comme graisseur vers le Mexique (études au Honduras) 1954 : M. S. Cläre Hugo Stinnes, comme graisseur au retour du Mexique  1957 : M. S. Vulkan, comme assistant au commissaire de bord vers Cuba et le Mexique (études dans le centre et le sud du Mexique)  1958 : M. S. Augsburg, retour du Mexique comme assistant au commissaire de bord  1962 : M. S. Saarland, comme auteur de pont vers le Guatemala (études en Amérique centrale)  1963 : M. S. Leipzig, retour du Mexique comme assistant au commissaire de bord  1971 : M. S. Siegstein, comme assistant au commissaire de bord vers le Mexique (études dans le Chiapas) 1972 : T. S. Essen, retour du Mexique comme assistant au commissaire de bord  1975 : M. S. Frankfurt, comme assistant au commissaire de bord vers le Mexique (études dans le Chiapas)  1976 : M. S. Frankfurt, retour du Mexique comme assistant au commissaire de bord (dernier voyage en tant que membre d’équipage). Œuvres Livres et essais de grande envergure sur les Indes néerlandaises (Indonésie) Batavia. Eine tropische Stadtlandschaftskunde im Rahmen der Insel Java. Imprimerie C. H. Wäsers, Bad Segeberg. Sans indication de l’année (la préface est datée "Hamburg, été 1930". L’évaluation et la notation de ce travail ont eu lieu en . In : Petermanns Mitteilungen, 78. année 1932, Rapport bibliographique de la géographie , dans le de la Literaturbesprechung, il est écrit que l’année de parution serait 1931). – Thèse pour l’obtention du titre de docteur, validée par la faculté de mathématiques et sciences de la nature de l’Université de Hambourg. Bei den Orang-Loeboe in Zentral-Sumatra. In : Baessler-Archiv, édition de Dietrich Reimer (Ernst Vohsen), volume XVI, . Berlin 1933.  Die Lubu-Sprache auf Sumatra. In : Zeitschrift für Eingeborenensprachen, édition de Dietrich Reimer (Ernst Vohsen), volume XXIV, cahier 1 (1933), , volume XXIV, cahier 2 (1934), . Berlin 1933/34. Bei den Orang Loeboe in Zentral-Sumatra. In : Deutsche Wacht, Batavia, année 1934, , , , , , , , , , .  Tropischer Urwald und Mensch. Langensalza, édition Julius Beltz, Berlin-Leipzig, sans indication de l’année (deux éditions, 1934). – Raum und Volk. Erdkundliche Arbeitshefte. Édition de Mathias Volkenborn et Severin Rüttgers. Groupe II. Räume der Sammler und Jäger. Cahier 1 [sur le voyage de K. Helbig vers Orang Lubu].  Tuan Gila. Ein „verrückter Herr“ wandert am Äquator. Leipzig, Brockhaus 1934. – Reisen und Abenteuer, vol. 54 (Deuxième édition, légèrement augmentée de textes et d’images : Leipzig, Brockhaus 1945). Die Welt der Malaien. Langensalza, Édition de Julius Beltz, Berlin-Leipzig, sans indication de l‘année (1934). – Raum und Volk. Erdkundliche Arbeitshefte. Publié par Mathias Volkenborn et Severin Rüttgers. Groupe V. Räume der Braunen und Gelben. Cahier 5. Til kommt nach Sumatra. Das Leben eines deutschen Jungen in den Tropen. Gundert, Stuttgart 1935 (nombreuses éditions jusqu‘en 1957) Einige Bemerkungen über die sittlichen Zustände und die Erotik der Toba-Batak auf Sumatra. In : Baessler-Archiv, édition de Dietrich Reimer (Ernst Vohsen), vol. XVIII, . Berlin 1935.  Die Insel Bangka. Beispiel des Landschafts- und Bedeutungswandels auf Grund einer geographischen „Zufallsform“. In : Deutsche Geographische Blätter. Publié par la Geographische Gesellschaft à Brême par le biais du Dr. Herbert Abel avec l’assistance de C. Honigsheim. – Schriften der Bremer Wissenschaftlichen Gesellschaft, Rangée C, vol. 43, Cahiers 3–4, Brême 1940 (Kommissionsverlag Franz Leuwer). – Thèse acceptée par la faculté philosophique de l’Université de Marbourg (également parue en tirage spécial). Bangka-Zinn. In : Geographischer Anzeiger, , année 1942, Cahier 1/2, . Cliquer ici pour accéder aux tableaux 1 à 3 avec 6 illustrations. Justus Perthes, Gotha 1942. Beiträge zur Landeskunde von Sumatra. Beobachtungen zwischen Asahan und Barumun, Tobasee und Malaka-Straße. Ferdinand Hirt & Sohn, Leipzig 1940. – Wissenschaftliche Veröffentlichungen des Deutschen Museums für Länderkunde. Nouvelle série 8 Urwaldwildnis Borneo. 3000 Kilometer Zick-Zack-Marsch durch Asiens größte Insel. Gustav Wenzel & Fils, Braunschweig 1940 ( : 1941, : 1942 ; également paru chez Brockhaus, Leipzig 1957).  Hinter- und Insel-Indien (1926–1939/40). In : Ludwig Mecking (parution) : Geographisches Jahrbuch. Fondé en 1866 par E. Behm, poursuivi par H. Wagner. Année 1942. Justus Perthes, Gotha 1943. Première moitié du volume , seconde moitié du volume . Registre de noms personnels de la première partie du volume (cette partie comprend également les noms personnels d’une contribution antérieure) et de la seconde moitié du volume. Pour le registre des noms personnels de la partie C ( moitié du volume, Insel-Indien), trois pages d’autorisations ont été ajoutées ultérieurement. – Bibliographie des publications parues entre 1926 et 1939/40 pour l’Asie du Sud-Est et les îles d’Inde allant à la frontière indo-sino-birmane jusqu’aux îles orientales de l’archipel, y compris le groupe des îles Andaman et des îles Nicobar, les îles Cocos, les îles Christmas et les Philippines. titres sont listés d’après des données bibliographiques précises. La classification de ces titres est l‘exemple rare d’un travail d’une rigueur exemplaire : après un survol de l’ensemble de la région, ils sont classés à l’échelle régionale par Land, à l’échelle du Land par domaine et à l’intérieur de ces domaines par groupes thématiques avec des explications introductives. Les titres des articles relevant du domaine scientifique sont assortis de résumés courts et critiques et, le cas échéant, de remarques sur les commentaires en citant les sources. Indonesien [Bibliographie]. In : Naturforschung und Medizin in Deutschland 1939–1946. Édition spéciale pour l’Allemagne de la Fiat Review of German Science. Volume 45 Géographie partie II, publié par Hermann v. Wissmann, géographe. Institut de l’Université de Tübingen, p. 53–61. Dieterich’sche Verlagsbuchhandlung Inh. W. Klemm, Wiesbaden (sans données de dates). – Complément du travail précité. 85 titres y sont listés par ordre thématique avec des commentaires introductifs. Einige Bemerkungen zum Weltbild der Ngadjoe-Dajak. In : Baessler-Archiv, Édition de Dietrich Reimer, Vol. XXIV, p. 60–79. Berlin 1941. Ferne Tropen-Insel Java. Ein Buch vom Schicksal fremder Menschen und Tiere. Gundert, Stuttgart 1946 (, 1952). – Édition abrégée : Ferne Tropen-Insel Java. Ein Buch vom Schicksal fremder Menschen und Tiere. Eine Auswahl. Schaffstein, Cologne 1950 (, 1965). De Marianne Spitzler avec l’aimable autorisation de l'auteur et de la maison d’édition D. Gundert, extrait tiré de l’article Ferne Tropen-Insel Java par Karl Helbig, ainsi que du Ministère de l’éducation de Basse-Saxe avec le décret N°III/3056/50 du pour en faire usage à des fins pédagogiques. – Numéro 116 de la collection „Grüne Bändchen“. Indonesiens Tropenwelt. Kosmos/Gesellschaft der Naturfreunde. Franckh’sche Verlagshandlung, Stuttgart 1947. Die südostasiatische Inselwelt (Inselindien). Franckh’sche Verlagshandlung (sous licence de la maison d‘édition Siebenberg, Vienne). – Kleine Länderkunden. Unser Wissen von der Erde. Publié par le Dr. habil. W. Evers, Privat-docent en géographie à l’université technique de Hanovre, série IV, Cahier 7. Stuttgart 1949 Indonesien. Eine auslandskundliche Übersicht der Malaiischen Inselwelt. Franz Mittelbach, Stuttgart 1949. Am Rande des Pazifik. Studien zur Landes- und Kulturkunde Südostasiens. Kohlhammer, Stuttgart 1949. Paradies in Licht und Schatten. Erlebtes und Erlauschtes in Inselindien. Vieweg, Braunschweig 1949. Inselindien. Heimat der Malaien. Eilers & Schünemann Verlagsgesellschaft mbH., Brême 1953. – Cahier ES N° 92. Zu Mahamerus Füssen. Wanderungen auf Java. Brockhaus, Leipzig 1954. Die Insel Borneo in Forschung und Schrifttum. Publié en auto-édition par la Geographischen Gesellschaft Hamburg. In : Mitteilungen der Geographischen Gesellschaft in Hamburg. Publié à la demande du Conseil d’administration par le Prof. Dr. Franz Termer. Volume 52, . Voir aussi les tableaux 16–24 avec 19 illustrations en noir et blanc. Hambourg 1955. – Bibliographie classée par ordre alphabétique et commentée, incluant 2410 travaux et l’histoire détaillée de cette découverte. Eine Durchquerung der Insel Borneo (Kalimantan). Nach den Tagebüchern aus dem Jahre 1937. 2 volumes. Éditions Dietrich Reimer, Berlin 1982. (broché.) et (relié). – Paru avec le même contenu mais dans un plus petit format en tant que numéro spécial dans : Mitteilungen der Geographischen Gesellschaft in Hamburg, 1982 (2 volumes, parties 1 et 2) (en allemand). Livres et écrits plus longs sur l’Amérique centrale  Die Landschaften von Nordost-Honduras. Auf Grund einer geographischen Studienreise im Jahre 1953. Hermann Haack, Gotha 1959. – Cahier supplémentaire 268 aux publications géographiques de Petermann. Antiguales (Altertümer) der Paya-Region und die Paya-Indianer von Nordost-Honduras (Auf Grund einer geografischen Erkundungsreise im Jahre 1953). Museum für Völkerkunde und Vorgeschichte, Hambourg 1956. – Contributions sur l’ethnologie de l’Amérique centrale, volume 3. Von Mexiko bis zur Mosquitia. Kleine Entdeckungsreise in Mittelamerika. Brockhaus, Leipzig 1958. Indioland am Karibischen Meer. Zentralamerikanische Reise. Brockhaus, Leipzig 1961. Die Landschaft Soconusco im Staate Chiapas, Süd-Mexico, und ihre Kaffeezone. Friedrich Trüjen, Brême 1961. In : Deutsche geographische Blätter, volume 49, Cahier 1/2. Das Stromgebiet des oberen Rio Grijalva. Eine Landschaftsstudie aus Chiapas, Süd-Mexiko. In : Mitteilungen der Geographischen Gesellschaft zu Hamburg, volume 54, p. 7–274, Hambourg 1961. Zentralamerika. Natürliche Grundlagen, ihre gegenwärtige und künftig mögliche Auswertung. In : Petermanns Geographische Mitteilungen, , et 241–260, avec 40 illustrations en noir et blanc sur 8 tableaux. VEB Hermann Haack, Gotha 1964. So sah ich Mexiko – Forschungsfahrt von Tampico bis Chiapas. Brockhaus, Leipzig 1962. Die Wirtschaft Zentralamerikas. Kartographisch dargestellt und erläutert. Institut für Iberoamerika-Kunde, Hambourg 1966. Unter Kreolen, Indios und Ladinos: Von Belize bis Panama – Reiseeindrücke aus den sieben Ländern Zentralamerikas. Brockhaus, Leipzig 1966. So sah ich Mexiko – Von Monterrey bis Tapachula. Brockhaus, Leipzig 1967 (Réédition de l’édition de 1962). Chiapas: Geografia de un Estado Mexicano (2 recueils et 1 ouvrage cartographique). Instituto de Ciencias y Artes de Chiapas, Tuxtla Gutiérrez (Chiapas), 1976. Livres et écrits plus longs sur d’autres thèmes Kurt Imme fährt nach Indien. Die Geschichte von der ersten Seereise eines Hamburger Schiffsjungen. Gundert, Stuttgart 1933 (nombreuses éditions jusqu’en 1955). Levantepott im Mittelmeer. Kurt Immes abenteuerliche Seefahrt mit Mustafa, Krischan und den Dalmatinern. Für deutsche Jungen erzählt. Gundert, Stuttgart 1934. Nordkap in Sicht. Eine unerwartete Nordlandreise. Gundert, Stuttgart 1935. Vorderindien (coécrit avec R. E. Kaltofen). In : Fritz Kluthe (éd.) : Handbuch der Geographischen Wissenschaft. Volume Vorder- und Südasien, p. 212–326. Société d’édition académique Athenaion, Potsdam 1937. Von den Ländern und Meeren der Welt. D. Gundert, Stuttgart 1947. – Wir fangen an. Ein Ruf an die Jugend und ein Wort auf den Weg. Une collection créée par Friedrich Gundert † et publiée par Kurt Müller. Cahier 4. Trampfahrt in die Levante: Erlebnisse und Abenteuer mit allerlei Schiffsvolk auf blauen Wassern für die Jugend erzählt. Gundert, Stuttgart 1950. – Gunderts Blaue Jugendbücher (refonte de l‘ouvrage „Levantepott im Mittelmeer“ paru en 1934). Seefahrt vor den Feuern. Erinnerungen eines Schiffsheizers. H. G. Prager Vlg., Hambourg 1987 ( revue et corrigée 1988). Certains ouvrages ont été traduits en tchèque, en slovaque, en suédois et en russe. Des ouvrages sur l’Amérique centrale ont été traduits en espagnol. Pendant des décennies, Madame Gertrud Tischner, épouse du chercheur des mers du Sud Herbert Tischner a contribué aux ouvrages en tant qu’illustratrice. Publications moindres Environ 600 publications, mémoires, supports de cours et comptes rendus de lecture ont été publiés dans des revues pour la jeunesse ou des revues spécialisées ainsi que dans des quotidiens allemands et internationaux. Un des organes les plus importants pour les premiers articles de K. Helbig était la revue « Deutsche Wacht » parue à Batavia. Les nombreuses contributions illustrées (en allemand) parues entre 1948 et 1974 dans la collection de l’annuaire « Durch die weite Welt », Stuttgart, Franckh’sche Verlagshandlung se distinguent également. Bibliographie Werner Röll : Karl Helbig. Leben und Werk. In : Bernhard Dahm (édit.) : Asien. Deutsche Zeitschrift für Politik, Wirtschaft und Kultur. À la demande de la Société allemande des Études asiatiques, Hambourg. N. 26, , (en allemand). Rüdiger Siebert : Geograph und Seemann, Wissenschaftler und Welterkunder: Karl Helbig (1903–1991). In : Ingrid Wessel (édit.) : Indonesien am Ende des 20. Jahrhunderts. Analysen zu 50 Jahren unabhängiger Entwicklung – Deutsche in Indonesien. . Abera, Hambourg 1999, (en allemand). Rüdiger Siebert : Promovierter Dampfschiff-Heizer erforscht Borneo. Karl Helbig, Geograph und Seemann. In : Deutsche Spuren in Indonesien. Zehn Lebensläufe in bewegten Zeiten. Horlemann, Bad Honnef 2002, (en allemand). Werner Rutz, Achim Sibeth (édit.) : Karl Helbig – Wissenschaftler und Schiffsheizer. Sein Lebenswerk aus heutiger Sicht. Rückblick zum 100. Geburtstag. Olms, Hildesheim entre autres 2004, . (Sommaire numérisé, document PDF) (en allemand). Liens externes Ouvrages de et sur Karl Helbig dans le catalogue de la Bibliothèque nationale allemande (en allemand). Michael von Beckerath : Erinnerungen an Karl Helbig. In : EisbärPost. Informationen für Mitglieder und Freunde des Vereins Dampf-Eisbrecher STETTIN e.V. [1] (Document PDF ; voir pages 3; 4,8 MB) (en allemand). Rüdiger Siebert : Tuan Gila – Wissenschaftler und Weltenbummler. Ein „verrückter Herr“ wandert am Äquator. – Extrait, publié par la Société germano-indonésienne, Cologne (2011) (en allemand). Rüdiger Siebert : Herausforderung Indonesien. Macht, Kritik, Befreiung – Niederländische Kolonialgeschichte im Spiegel deutscher Lebensläufe [Gustav Wilhelm Baron von Imhoff - Franz Wilhelm Junghuhn - Ludwig Ingwer Nommensen - Max Dauthendey - Emil Helfferich - Hans Overbeck - Karl Helbig - Walter Spies]. – Extrait de la Société germano-indonésienne, Cologne (2011). –Extrait du livre de Rüdiger Siebert : „Deutsche Spuren in Indonesien – Zehn Lebensläufe in bewegten Zeiten“. Horlemann-Verlag, Unkel/Rhin, 2002. (en allemand). Notes et références Liens externes Écrivain allemand du XXe siècle Écrivain voyageur allemand Ethnologue allemand Chevalier de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne Naissance en mars 1903 Naissance à Hildesheim Naissance en province de Hanovre Décès en octobre 1991 Décès à Hambourg Décès à 88 ans
Linq
LINQ ou Linq peut désigner : un jeu de société : Linq ; L'abréviation de Language Integrated Query ; Linq, un groupe d’idoles japonaises formé en .
Henry Crowder
Henry Crowder, né à Gainesville (Géorgie) en 1890 et mort à Washington D.C. en 1955, est un musicien de jazz afro-américain. Il était une figure importante de la culture jazz européenne de son temps. Crowder est né à Gainesville, en Géorgie, dans une famille pauvre et était en grande partie un musicien autodidacte. Il a commencé sa carrière en jouant du piano dans des bordels de Washington, D.C. et finit par devenir un important bandleader avant de s'embarquer pour l'Europe en 1928. Références Liens externes Musicien américain de jazz Naissance en 1890 Naissance à Gainesville (Géorgie) Décès en 1955 Décès à Washington (district de Columbia)
Hlavečník
Hlavečník est une commune du district et de la région de Pardubice, en République tchèque. Sa population s'élevait à habitants en 2020. Géographie Hlavečník se trouve à à l'ouest-nord-ouest de Přelouč, à à l'ouest-nord-ouest de Pardubice, à au sud-ouest de Hradec Králové et à à l'est de Prague. La commune est limitée par Tetov au nord, par Kladruby nad Labem à l'est, par Selmice au sud-est, par Labské Chrčice au sud-ouest, par Uhlířská Lhota à l'ouest. Histoire La première mention écrite du village date de 1229. Notes et références Commune dans le district de Pardubice
Saison 1986-1987 du FC Nantes
La saison 1986-1987 du FC Nantes est la de l'histoire du club nantais. Le club est engagé dans trois compétitions : la Division 1 (), la Coupe de France () et la Coupe UEFA (). Résumé de la saison Effectif et encadrement Transferts Effectif !colspan=7 style="background: #FFFFFF" align=center| Gardiens !colspan=7 style="background: #FFFFFF" align=center| Défenseurs !colspan=7 style="background: #FFFFFF" align=center| Milieux !colspan=7 style="background: #FFFFFF" align=center| Attaquants Compétitions Division 1 Coupe de France Coupe UEFA Statistiques Statistiques collectives Statistiques individuelles Buteurs Affluences L'affluence à domicile du FC Nantes atteint un total : de 256.777 spectateurs en 19 rencontres de Division 1, soit une moyenne de 13.515/match. de 19.000 spectateurs en 1 rencontres de Coupe UEFA. de 275.777 spectateurs en rencontres toutes compétitions confondues, soit une moyenne de 13.789/match. Affluence du FC Nantes à domicile Notes et références Notes Références Saison du FC Nantes Nantes Football en France en 1986 Football en France en 1987
Saison 3 de Sons of Anarchy
Cet article présente le guide des épisodes de la troisième saison de la série télévisée américaine . Distribution Acteurs principaux Charlie Hunnam : "Jax" Jackson Teller Katey Sagal : Gemma Teller-Morrow Mark Boone Junior : "Bobby" Robert Munson Dayton Callie : Chef de la Police Wayne Unser Kim Coates : "Tig" Alex Trager Tommy Flanagan : "Chibs" Filip Telford Ryan Hurst : "Opie" Harry Winston William Lucking : "Piney" Piermont Winston Theo Rossi : "Juice" Juan Carlos Ortiz Maggie Siff : Ron Perlman : "Clay" Clarence Morrow Acteurs récurrents Sonny Barger : Lenny 'The Pimp' Janowitz Michael Beach : T.O. Cross Olivia Burnette : la sans-abri Kenneth Choi : Henry Lin Marco De La Cruz : Estevez Hal Holbrook : Nate Madok Kenny Johnson : Herman Kozik Kevin Kearns : Luke Tory Kittles : Laroy Wayne Jeff Kober : Jacob Hale Jr. David Labrava : Happy Bellina Logan : Fiona Larkin Bart McCarthy : Declan Brogan Bob McCracken : Brendan Roarke Jamie McShane : Cameron Hayes Taryn Manning : Cherry : Chuck Marstein Mario Perez : Gomes Mitch Pileggi : Ernest Darby Frank Potter : Miles Chris Reed : Philip 'Filthy Phil' Russell Kristen Renton : Ima Tite Emilio Rivera : Marcus Alvarez McNally Sagal : Margaret Murphy Patrick St. Esprit : Elliot Oswald Taylor Sheridan : le sherif adjoint David Hale Kurt Sutter : Otto Delaney (non crédité) Keith Szarabajka : Viktor Putlova Ally Walker : l'agent June Stahl Robin Weigert : Ally Lowen Titus Welliver : Jimmy O'Phelan Winter Ave Zoli : Lyla Winston Invités Matthew Alan : Mark (8, 11) Zoe Boyle : Trinity Ashby (3, 4, 5, 8, 9, 10, 11) Jose Pablo Cantillo : Hector Salazar (2, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12) James Carraway : Floyd (3) Paul Collins : Dooley (10, 11) James Cosmo : le père Kellan Ashby (2, 3, 4, 7, 8, 9, 10, 11) Monique Gabriela Curnen : Amelia Dominguez (1, 2, 3) Michael Fairman : Lumpy Feldstein (5, 8, 9) Frances Fisher : Honey (4) Leo Fitzpatrick : Shephard (6, 8) Pamela Gray : l'agent Amy Tyler (1, 5, 6, 9, 11, 12) Jon Gries : le faussaire (1) Chad Guerrero : Pozo (2, 3, 5, 6) Darin Heames : Seamus Ryan (7, 8, 9, 10) Dan Hildebrand : Sean Casey (2, 3, 4, 8, 9, 10, 11) Dominic Keating : Luther (8, 9) Q'Orianka Kilcher : Kerrianne Larkin-Telford (7, 8, 9, 11) Stephen King : Bachman, le nettoyeur (3) Andy McPhee : Keith McGee (3, 5, 7, 8, 9, 10) Tara Macken : Luisa (2, 7, 8, 9, 10, 11, 12) Paula Malcomson : Maureen Ashby (1, 2, 3, 4, 5, 7, 8, 9, 10, 11) David Marciano : Chicken Man (5) Dorian Missick : Pony Joe (1) Dohn Norwood : Grim Bastard (6) Lorcan O'Toole : Padraic Telford (8, 9) Ray Porter : Head Red (4) Thomas Rosales Jr. : un membre des Calaveras (6) Casey Sander : le sherif principal (6, 12) Vicellous Shannon : Fester (1) Joseph Julian Soria : Roscoe (7) Marcello Thedford : Lander Jackson (2, 3, 5, 6, 7) Joel Tobeck : Donny (8, 9, 10, 11, 12) : Liam O'Neill (3, 4, 6, 7, 8, 9, 10) Tom Virtue : le médecin (4) Résumé La troisième saison reprend peu de temps après la fin de la saison 2 : Jackson est désespéré par l'enlèvement de son fils, SAMCRO cherche un nouveau fournisseur d'armes tout en enquêtant sur l'enlèvement d'Abel, tandis que Cameron se cache à Belfast avec le bébé. La veillée funéraire en l'honneur de Half-Sack (le prospect, tué par Cammy Hayes) tourne au drame lorsque le petit gang des Calaveras (engagé par les Mayans) profite du rassemblement de tous les Sons pour déclencher une fusillade, provoquant la mort du chef-adjoint Hale (frère du futur maire de Charming) et de plusieurs innocents. Cette fusillade, ainsi que le discours moralisateur de Clay (sur le fait que Jax représente l'avenir du club) poussent Jax à se reprendre en main et à réagir pour retrouver son fils. De son côté, Gemma se retrouve en cavale après avoir été piégée par l'agent Stahl. Accompagnée de Tig, elle se cache chez son père (atteint d'Alzheimer) et doit empêcher la garde-malade de celui-ci de la dénoncer aux autorités pour toucher la récompense. La deuxième partie de saison se déroule en grande partie en Irlande, au chapitre de Belfast présidé par un des 9 fondateurs (First 9) des Sons, Keith McGee. Toujours sous le coup d'une obligation de comparaître lors d'un procès, les membres de SAMCRO (Clay, Jax, Bobby, Opie, Juice, Chibs et Happy) s'envolent pour l'Irlande dans le but de retrouver Abel. Les ennuis ne tardent pas à leur tomber dessus : le père Kellan Ashby, conseiller militaire de l'IRA, utilise Abel comme moyen de pression contre Jax ; un des leaders de l'IRA (Jimmy O'Phelan) veut cesser le trafic d'armes et se débarrasser de Clay et de Jax, tandis que même les membres dirigeants des Sons de Belfast (Le président Keith McGee et le Sergent d'Armes Liam O'Neill) complotent avec Jimmy O pour tuer leurs "frères" de SAMCRO. Après de nombreuses péripéties, trahisons, coups de théâtre, révélations familiales, McGee et O'Neill seront tués par SAMCRO à cause de leur trahison, Jax repartira d'Irlande avec Abel et en s'étant découvert une nouvelle famille (Trinity Ashby se trouve être sa demi-sœur, la fille de John Teller et de Maureen Ashby). La fin de la saison 3 permet aux Sons de régler tous leurs comptes avec l'ATF et avec Hector Salazar, l'ex-Président des Calaveras. Ce dernier ayant enlevé Tara, Jax choisira sa propre vengeance personnelle au lieu du bien de Charming et finira par le tuer. Salazar était en effet le seul à pouvoir relier le maire de Charming, Jacob Hale Jr., au meurtre du vieux propriétaire de la salle de sport, Lumpy Feldstein. Puis, au terme d'un épisode riche en rebondissements et trahisons, SAMCRO se débarrassera de Jimmy O'Phelan et de l'agent de l'ATF June Stahl. Épisodes Épisode 1 : La Mort dans l'âme Épisode 2 : Crime et Châtiment Épisode 3 : Le Nettoyeur Épisode 4 : Auprès des miens Épisode 5 : Pacte avec le diable Épisode 6 : L'union fait la force Épisode 7 : Hors-la-loi Épisode 8 : Lochan Mor Épisode 9 : Sous le choc Épisode 10 : L'Adieu aux traîtres Épisode 11 : L'Échange Épisode 12 : La Faucheuse Épisode 13 : Le Crépuscule du prince Références 3
Cubitostrea digitalina
Cubitostrea digitalina est une espèce éteinte d’huîtres. Ses fossiles ont été découverts un peu partout dans le monde dans des sédiments datés entre le Crétacé supérieur et le Miocène. Liens externes Cubitostrea digitalina sur le site science.mnhn.fr Notes et références Bibliographie L. R. Cox, 1936 : « Fossil Mollusca from southern Persia (Iran) and Bahrein Island ». Memoirs of the Geological Survey of India, , , M. M. El-Hedeny, 2005 : « Taphonomy and Paleoecology of the Middle Miocene oysters from Wadi Sudr, Gulf of Suez, Egypt ». Revue de Paléobiologie, Genève, , , † † Espèce de mollusques préhistoriques (nom scientifique) Taxon fossile décrit en 1830
Cephaloscyllium umbratile
Cephaloscyllium umbratile est une espèce de requin de la famille des Scyliorhinidae. Publication originale Jordan & Fowler, 1903 : A review of the elasmobranchiate fishes of Japan. Proceedings of the United States National Museum, , , . Notes et références Liens externes Scyliorhinidae
Régie nationale des tabacs et des allumettes
La Régie nationale des tabacs et des allumettes (RNTA) est une entreprise publique tunisienne possédant le monopole pour la fabrication et la commercialisation du tabac et des allumettes en Tunisie mais aussi pour les cartes à jouer et pour la poudre de chasse. Créée en 1891 sous le protectorat français, elle devient régie nationale en 1964. Elle fusionne ensuite avec la Manufacture des tabacs de Kairouan (MTK) créée en 1981. Elle représente l'une des plus grandes entreprises tunisiennes et emploie plusieurs milliers de salariés, notamment dans les deux usines de Tunis et celle de Kairouan, ainsi que dans les sièges sociaux des deux entités. Elle est associée au secteur de la tabaculture tunisienne, achetant la récolte de plusieurs milliers de tabaculteurs des régions du nord du pays (notamment des gouvernorats de Jendouba, Béja, Bizerte et Nabeul). Elle produit trois types de tabacs : le tabac brun, le tabac clair et le tabac à priser. Elle fabrique par ailleurs des centaines de millions de paquets de cigarettes et approvisionne plus de débitants sur le territoire national. Lien externe Entreprise du secteur du tabac Entreprise publique en Tunisie Entreprise fondée en 1891 Entreprise ayant son siège à Tunis
Daniel Cabou
Daniel Cabou (né en 1929) est un homme politique sénégalais, plusieurs fois ministre et ancien Secrétaire général de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO). Biographie Né à Mandina, en Casamance, il fait ses études à l'Université de Dakar où il obtient un certificat d’Études littéraires générales classiques, premier certificat de licence en Droit et deuxième certificat de licence de Droit puis au Lycée Louis Le Grand où il prépare le Concours A d’entrée à l’École Nationale de la France d’Outre-Mer (1952-1953) qu'il reçoit le 9 juillet 1953. Cette réussite au Concours A d’entrée à l’École Nationale de la France d’Outre-Mer lui vaut l’honneur d’être reçu à déjeuner, en tête à tête, à l’occasion de ses vacances à Dakar, par le Gouverneur Général de l’AOF au Palais. Il est, dit-on, le premier Africain Noir, non mulâtre, ni métis, à être reçu à ce concours A. Il est enregistré à l’École Nationale de la France d’Outre-Mer sous le numéro 2838 du Cycle A. Membre de la Garde d’Honneur du Drapeau de l’École Nationale de la France d’Outre-Mer, Promotion 1953, il est affecté en Côte d’Ivoire avec quatre de ses camarades de la Promotion 1953. Le Gouverneur Pierre Messmer, l’affecte d’abord à Odienné où il sert sous les ordres de Joseph Vezy, administrateur en Chef de la France d’Outre-Mer puis, de son successeur à Odienné, Michel Guerpillon. Pierre Messmer l'affecte ensuite à Abidjan où il sert au service de la Coopération et Mutualité Agricole sous les ordres d'Alexandre Tanguy, administrateur en Chef de la France d’Outre-Mer. Durant sa scolarité à l’École Nationale de la France d’Outre-Mer, il est fortement marqué par ses professeurs, notamment par Leopold Sedar Senghor (1954-1956). En 1956, il effectue un stage de spécialisation au Siège de la Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie, Boulevard des Italiens à Paris, avec des camarades de sa promotion. Il étudie ensuite à la Faculté de Droit et de Sciences Économiques de Paris où il obtient une licence en Droit puis un Doctorat d’État en Sciences Économiques. Avant l’Indépendance du Sénégal, il sert comme Administrateur de la F.O.M. au Sénégal, et occupe les fonctions suivantes : D’octobre 1956 à mars 1957, il est membre du Bureau de Liaison avec le Grand Conseil de l’AOF, rattaché au cabinet de Xavier Torré, Secrétaire Général du Gouvernement Général de l’AOF; De mars 1957 à août 1957 : chef de Cabinet du Gouverneur Pierre Lami, Gouverneur du Sénégal à Saint-Louis, il est membre de la Commission Administrative Française chargée de préparer les passations de services dans les cercles et subdivisions du Sénégal, entre les Administrateurs de la FOM, commandants de Cercles et chefs de subdivisions, et les Futures Autorités Administratives du Sénégal. Pendant la période d’Autonomie Interne du Sénégal, Mamadou Dia, alors Vice Président du Conseil du Gouvernement demande à la France son détachement auprès du Gouvernement du Sénégal. La France donne son accord. Il est alors nommé successivement : Conseiller technique du Ministre de la Production Abdoulaye Ly, puis de son successeur Diaraf Diouf (août 1957-septembre 1958). Conseiller Économique du Président du Conseil Mamadou Dia et Secrétaire permanent du Comité d’Études Économiques présidé par le Ministre Karim Gaye. Ce comité d’Études Économiques est chargé de préparer le Premier Plan de Développement du Sénégal, dans le cadre des Travaux dirigés par le Père Lebret, Dominicain (novembre 1958-janvier 1960). Directeur de Cabinet du Ministre du Commerce de l’Industrie et de l’Artisanat, Cissé Dia (janvier 1960-mars 1960) Gouverneur de la région du Fleuve. Il est installé au Palais du Gouverneur du Sénégal à Saint-Louis où la passation de service se fait avec Jean-Pierre Kiesgen (mars 1960-décembre 1961). Après l’Indépendance du Sénégal , en 1961, il doit choisir entre rester fonctionnaire français et repartir en France comme Administrateur Civil, ou nommé dans les Grands Corps de l’État, ou alors, rester au Sénégal et choisir la fonction publique sénégalaise. Il choisit de rester au Sénégal et démissionne de la fonction publique française en 1962 Directeur de cabinet du Ministre des Finances, André Peytavin, (décembre 1961-12 novembre 1962), Secrétaire d’État chargé de l’Hydraulique, de l’Urbanisme et de l’Habitat de novembre 1962 à décembre 1962 puis Secrétaire d’État aux Finances et aux Affaires Économiques de décembre 1962 au 6 février 1963, il devient Ministre des Finances de février 1963 à février 1964, Membre du conseil d’administration de la B.C.E.A.O., et Président du Comité Monétaire National. Ministre du Commerce et de l’Industrie et de l’Artisanat de février 1964 à mars 1968, membre du Comité Monétaire National, Président du Conseil Africain de l’Arachide, dont le siège est à Lagos au Nigeria, et Président du Conseil d’Administration de l’Office africain et Malgache de la Propriété Industrielle dont le siège est au Cameroun, il est Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République du Sénégal du 7 mars 1968 à mars 1970. Ministre du Développement Industriel et Président du Conseil des Ministres de l’Organisation des États Riverains du Fleuve Sénégal (OERS) dirigée par Ould Dadah, de mars 1970 à juillet 1972, date à laquelle sur demande expresse et pressante de obert Julienne, Inspecteur Général des Finances, Directeur Général de la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest, et après acceptation de la demande par le Président Léopold Sédar Senghor, Président de la République, il est mis en position de détachement auprès de la B.C.E.A.O à compter du août 1972 comme Directeur Général adjoint de la B.C.E.A.O., en remplacement de Marcel Boyer, Inspecteur Général de la France d’Outre Mer. Il cumule cette fonction avec celle de Secrétaire Permanent du Comité des Ministres des Finances, chargé de la réforme des Institutions de l’Union Monétaire Ouest Africaine, présidé par le Ministre Marc Garango, Ministre des Finances de Haute-Volta, de décembre 1972 au 14 février 1975 date de la mise en place des nouvelles structures de la BCEAO, de l’Union Monétaire Ouest Africaine et de l’installation de la BOAD avec toutes ses structures. Il est Secrétaire général de la B.C.E.A.O, de 1975 à 1984, avec en plus la responsabilité provisoire du Bureau de Paris de la B.C.E.AO. en attendant la nomination du délégué titulaire intervenue le 16 juin 1980. Délégué du Gouverneur de la B.C.E.A.O. au bureau de Paris, de 1984 à 1989, date de son départ à la retraite, il est nommé en 1991 Conseiller Spécial, puis Ministre Conseiller Spécial des Premiers Ministres Habib Thiam, Mamadou Lamine Loum et Moustapha Niasse. Le 12 novembre 1994, il est nommé par le Gouverneur de la B.C.E.A.O, Charles Konan Banny, membre du Comité Historique chargé de rédiger l’ouvrage Histoire de l’Union Monétaire Ouest Africaine des Origines à nos jours. Il préside ce Comité Historique. Cet ouvrage en trois tomes sera publié par la B.C.E.A.O. en 2000 en version française et en 2002 en version anglaise Le 23 juin 2004, à la demande de Modiene Guisse, alors Directeur de la Formation et du Gouverneur Charles Konan Banny, il prononce une conférence devant les étudiants du COFEB sur le thème : « la B.C.E.A.O. et les défis des années 1970 ; La vision des Pères Fondateurs et des Premiers Dirigeants Africains ». Depuis 2004 cette conférence est projetée devant les étudiants des promotions successives du COFEB. Décorations Commandeur de la Légion d’Honneur par décret du 4 mai 1971 du Président de la République Française, Georges Pompidou Commandeur de l’Ordre National du Lion, par décret du Président de la République du Sénégal le 10 juillet 1972, scellé et enregistré sous le Grand Officier de l’Ordre National du Lion par décret du 22 février 1982, scellé et enregistré sous le Grand Croix de l’Ordre National du Lion par décret du 28 mars 1990, scellé et enregistré sous le Membre du Conseil de l’Ordre National du Lion. Notes et références Voir aussi Bibliographie Africa Year Book and Who's Who, publié par Africa Journal Ltd., 1977, Annuaire des États d'Afrique Noire : Gouvernements et cabinets ministériels des républiques d'expression française, publié par Ediafric, Babacar Ndiaye et Waly Ndiaye, Présidents et ministres de la République du Sénégal, Dakar, 2006 ( éd.), 75 Liens externes Ministres chargés de l'Économie et/ou des Finances de 1960 à nos jours (site du Ministère) Administrateur civil du Sénégal Personnalité politique sénégalaise Personnalité de Casamance Ministre sénégalais Ministre sénégalais de l'Économie et des Finances Naissance en juin 1929 Élève du lycée Louis-le-Grand Commandeur de la Légion d'honneur Grand-croix de l'ordre national du Lion du Sénégal
Centrino
La plateforme Centrino d'Intel est une plateforme informatique pour les ordinateurs portables lancée en et disparue le . Soutenues lors de son lancement par une vaste campagne marketing évaluée à 300 millions de dollars, Intel a également lancé une architecture analogue pour les PC de bureau appelée Viiv. Intel Centrino Liste des plateformes Centrino Une plateforme Centrino est généralement composée de trois composants : un processeur spécifique pour les ordinateurs portables ; un chipset de carte mère de marque Intel ; une interface pour le réseau sans fil (Wi-Fi). Plate-forme Carmel (2003) Carmel La plate-forme Carmel fut lancée en et introduit la gamme Centrino. Elle connait un enrichissement de la gamme au printemps 2004 qui est l'occasion pour Intel de mettre en place une nouvelle nomenclature en 7xx. Processeurs compatibles : Pentium M#Plate-forme Carmel et Liste des microprocesseurs Celeron#Banias (130nm) Carmel Refresh La plate-forme connait un rafraîchissement avec l'arrivée des processeurs Dothan qui se distinguent surtout par leur cache L2 de et une gravure plus fine (90 nm). Processeurs compatibles : Liste des microprocesseurs Intel#Plate-forme Carmel Refresh Plate-forme Sonoma (2005) La plate-forme Sonoma fut lancée en . Processeurs compatibles : Pentium M#Plate-forme Sonoma Plate-forme Napa (2006) Ce nouveau Centrino est sorti en . Napa utilise le processeur double cœur au nom de code Yonah (appellation commerciale « Centrino Duo ») ainsi qu’une version mobile du chipset Intel 945 avec traitement graphique intégré (Intel GMA 950). La plate-forme mobile promet également d’améliorer les performances de l’accès sans fil (Wi-Fi) par rapport aux versions antérieures. Napa Processeurs compatibles : Yonah Napa Refresh Les derniers ordinateurs Napa utilisent le nouveau processeur Merom avec de cache L2, sorti en . Processeurs compatibles : Merom Plate-forme Santa Rosa (2007) La plate-forme Santa Rosa a été lancée en au profit d’un renouvellement de la gamme Merom. Plusieurs évolutions marquent ce changement à commencer par le passage au socket P et l’adoption d’un FSB de 800 MT/s. La mémoire DDR2- est supportée. Le chipset i945 est remplacé par le 965 (nom de code Crestline) dont il existe deux variantes : GM965 (IGP GMA 3100) et PM965 (sans IGP). Le GM965, cadencé à , bénéficie de la technologie Clear Video pour la prise en charge de la HD (1080p) et gère DirectX 10. Ils sont secondés par un southbridge ICH8M. Une puce Wi-Fi compatible avec la norme 802.11n MIMO (nom de code Kedron) (Intel 4965AG, 4965AGN) et un contrôleur WLAN (Intel 3945ABG) complètent les nouveautés matérielles de la plate-forme. Pour améliorer l’autonomie des portables, Intel a développé plusieurs technologies. Ainsi la plate-forme Santa Rosa inaugure la technologie Turbo Memory (nom de code Robson), créée par Intel et dont le principe repose sur l’ajout d’une carte mémoire flash interne utilisé pour accélérer les temps de démarrage (boot) ainsi que pour exploiter les technologies ReadyBoost et ReadyDrive de Windows Vista, chargées d’accélérer l’exécution de certaines applications. Toutefois ce système ne semble pas faire l’unanimité auprès des fabricants comme HP et Sony. Voici la liste des autres technologies : Accessoirement Intel dédie aussi cette plate-forme à destination des PC de petits formats équipés d’une carte-mère Mini-ITX. En outre le projet Blue Dolphin a pour objectif de développer des plates-formes plus petites que les portables et surtout dépourvues de ventilateur (). Hewlett-Packard aurait été le premier à proposer des modèles sous sa marque haut de gamme Voodoo. Santa Rosa Processeurs compatibles : Merom#Plate-forme Santa Rosa Santa Rosa Refresh L’arrivée des processeurs Penryn est l’occasion de renouveler la plate-forme (Refresh) en attendant la plate-forme Montevina. Les Penryn sont un die-shrink des précédents processeurs Merom : ils sont gravés en et apportent les premières versions des instructions SSE4 (SSE4.1 : 47 nouvelles instructions par rapport à SSE3). Cette première évolution permet de conserver une compatibilité avec les composants de la plate-forme Santa Rosa dont le chipset GM965. Cette nouvelle gamme se concentre surtout vers le haut de gamme avec l'apparition des Core 2 Extreme sur la plate-forme Centrino et l'absence de renouvellement des modèles faibles consommations (LV : Low Voltage) : Processeurs compatibles : Penryn (microprocesseur)#Plate-forme Santa Rosa Refresh Plate-forme Montevina (2008) : Centrino 2 Prévue officiellement pour le second semestre 2008 puis pour à l'occasion du Computex. La sixième plate-forme Centrino ne sera finalement pas lancée avant la mi-juillet dans une relative discrétion à la suite de problèmes d'intégration du processeur graphique et de certification des composants Wi-Fi/WiMax avec la FCC. Cette nouvelle plate-forme supportera les processeurs Penryn et sera nommé Centrino 2 pour éviter la confusion avec les précédentes générations basées sur des processeurs gravés en . Une mise à jour de la plate-forme (Montevina Refresh) serait prévue pour dans le but de faire patienter le public jusqu'à l'arrivée de la plate-forme Calpella à base de Nehalem. Toutefois aucune évolution majeure n'est attendue. Processeurs La plate-forme Montevina bénéficie d'une évolution de la gamme Penryn qui se distingue des modèles proposés sur la plate-forme Santa Rosa Refresh par une augmentation du FSB à contre 800 MT/s auparavant et la prise en charge de la DDR3-800/1066/1333 en plus de la DDR2-667/800. Intel souhaite aller encore plus loin en dépassant les pour les barrettes mémoires via sa technologie XMP. Mais elle bute sur la décision du JEDEC qui doit en premier lieu standardiser la mémoire DDR3-1600 (PC12800). En outre l'utilisation d'une telle mémoire s'avère peu intéressante, en raison de timings élevés de la DDR3, par rapport à la DDR2. Montevina propose les premiers processeurs quadricœurs mobile. Pour compenser le dégagement de chaleur plus important de ces processeurs, Intel avait présenté à l’IDF 2007 de Taïwan un système de compresseurs organisé en cylindre de de diamètre sur de long, permettant d’abaisser de la température d’un châssis portable. Outre un TDP et une consommation électrique supérieur aux modèles double cœur, la disposition des pins sur le socket est différente ce qui impose de concevoir des plates-formes spécifiques essentiellement destinés aux portables orientés performance. À l'opposé, le développement d'appareils ultraportables ou très fins (gamme SFF : Small Form Factor) pousse Intel à proposer en plus de sa gamme standard à Socket P des modèles à contact Micro-FCBGA de dimension plus réduite (22 x ). Bien qu'il existe des modèles Micro-FCBGA 35 x en alternative au socket P et qu'ils soient tous deux directement soudés à la carte mère, les modèles à die compacte se distinguent par un TDP inférieur à et constituent la gamme Core 2 Solo/Duo LV et ULV. Cette miniaturisation des composants affecte aussi la carte-mère dans son ensemble dont la surface passe de en Montevina classique à seulement pour les modèles SFF soit une réduction de 58 %. Processeurs compatibles : Penryn (microprocesseur)#Plate-forme Montevina Chipset Le chipset Intel Mobile 45 Express (nom de code Cantiga) est décliné en quatre versions (contre 2 pour Santa Rosa) et associé à un southbridge ICH9M. Il pourra être accompagné d’un contrôleur graphique intégré (IGP) GMA X4500 deux fois plus rapide que le GMA X3100. Il est compatible DirectX 10 et gèrera le Shader Model 4.0 ainsi que la technologie Clear Video d’Intel pour l’accélération matérielle des vidéos HD. Une déclinaison du GM45 () avec un processeur graphique plus rapide, le GM47 (), sera aussi proposé. Connectique La plate-forme supporte les solutions de stockage de type NAND et pourra gérer jusqu'à de mémoire avec l'Intel Turbo Memory (nom de code Robson 2.0). Elle embarque un contrôleur LAN 82567LM/82567LF (nom de code Boazman) et DisplayPort. La connexion Wi-Fi s'effectue au moyen d'un adaptateur mini-PCIe, il peut être accompagné par une carte optionnelle WiMax (nom de code Dana Point). Des adaptateurs mixtes Wi-Fi/WiMax sont apparus par la suite et peuvent se substituer aux précédentes cartes. À noter enfin que la norme 802.11n n'était pas standardisée au lancement de la plate-forme. vPro Plate-forme Calpella (2009) La plate-forme Calpella utilise depuis 2009 les processeurs pour ordinateur portable de la famille Nehalem. Calpella Processeurs compatibles : Intel Core i7#Clarksfield Calpella Refresh Processeurs compatibles : Liste des microprocesseurs Intel#Arrandale Plate-forme Huron River La plate-forme Huron River utilisera les futurs processeurs mobiles de l'architecture Sandy Bridge début 2011. Logos Notes et références Voir aussi Articles connexes Chipsets Intel Liens externes Plate-forme Centrino 2 dans Intel.com Que vaut le Puma d'AMD face à l'Intel Centrino 2 ? dans Clubic Intel Centrino 2 : la preview : Retard et lancement partiel dans tom's hardware Nouvelle plateforme Calpella dans tom's hardware/presence-pc.com, 2009-10 un article sur Calpella Refresh dans tom's hardware/presence-pc.com, 2010-01 Matériel informatique Microprocesseur Intel Produit lancé en 2003 Produit arrêté en 2010
Pierrette Mari
Pierrette Mari est une compositrice et musicographe française, née à Nice en 1929. Biographie Pierrette Mari étudie la musique au conservatoire de Nice (1943-1946), et obtient quatre prix (piano, solfège, histoire de la musique, harmonie). Entrée au Conservatoire national de musique à Paris en 1950, dans les classes de Noël Gallon, Tony Aubin et Olivier Messiaen, elle remporte un premier prix de contrepoint en 1953, et un premier prix de fugue l'année suivante. En 1956, elle obtient de l'Autriche une bourse pour participer au colloque Musique et Théâtre à Salzbourg. Critique pour des journaux et revues musicales, elle a écrit plusieurs biographies : Olivier Messiaen, Béla Bartók et Henri Dutilleux (2 biographies en 1974 et 1988). À partir de 1977, elle enseigne à l'Université Paris Sorbonne-Paris IV où après un double C.A d'Etat (histoire de la musique et esthétique), elle est titularisée en 1981. Récompenses 1946 : Prix de la Ville de Nice 1961 : Premier prix de la mélodie française, de l'Union Nationale des Arts Choix d'œuvres Psaumes, pour récitant et orchestre (1954) Divertissement pour flûte et orchestre (1954) Le Sous-Préfet aux champs (1956) Trois Mouvements pour cordes Concerto pour guitare (1971) Les Travaux d'Hercule (1973) Dialogue avec Louise Labé, pour voix et cordes (1979) Ciel de bruyère pour alto et piano (1981) Escalades sur un piano, cinq pour piano dédiées à Maurice Herzog Hommage à Jacques Toja, pour orchestre (2003) Dans l'espace figé, mélodie sur un poème d'Andrée Brunin (2012) Écrits Olivier Messiaen, Ed. Seghers, 1965 Béla Bartók, Ed. Hachette, 1970 Henri Dutilleux, Ed. Hachette, 1974 Notes et références Notice biographique à partir d'éléments de l'ouvrage de Marc Vignal, ''Dictionnaire de la Musique française. Editions Larousse, 1988 Liens externes Naissance en 1929 Naissance à Nice Compositrice française de musique classique de la période contemporaine Élève du conservatoire à rayonnement régional de Nice Élève du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris
Friedrich Werner
Friedrich Werner (né à Pirna le , mort dans les années 1660?), est un cornettiste allemand, frère du chantre Christoph Werner (1617-1650), jouant à la cour de Dresde sous la direction de Heinrich Schütz. Notes et références Liens externes Naissance en octobre 1621 Cornettiste (cornet à pistons) Musicien allemand Date de décès non renseignée (XVIIe siècle) Naissance à Pirna
École nationale supérieure d'architecture de Versailles
L’École nationale supérieure d'architecture de Versailles (ENSA-V) est une grande école située à Versailles (département des Yvelines en France) membre associé de l'Université Paris-Saclay. Elle est reconnue comme l'une des meilleures écoles d'architecture d'Europe figurant notamment dans le classement annuel indépendant Domus initié en 2013. Placée sous la tutelle du ministère de la Culture et de la Communication (Direction générale des Patrimoines), c'est l'une des vingt écoles publiques qui dispensent un enseignement supérieur de l’architecture en France. L'école est installée dans la Petite Écurie, bâtiment classé monument historique dû à l'architecte Jules Hardouin-Mansart, faisant partie du château de Versailles, qui hébergeait à l'époque des rois les chevaux d'attelage et les carrosses du roi et de la Cour. Il est rénové en 2005 par les architectes français Aldric Beckmann, Françoise N’Thépé et Franck Vialet. Elle fait partie de l'un des 23 "Campus des métiers et des qualifications d'excellence nationaux" de France sous le patronage du Ministère de l'Éducation Nationale. Le Campus de Versailles et celui de la Manufacture des Gobelins sont les deux seuls situés en Île-de-France et font partie des Investissements d'Avenir. Enseignement L’École nationale supérieure d’architecture de Versailles a pour objectif pédagogique de favoriser une pratique intense du projet architectural tout en développant les questions de l’architecture dans les domaines de l’édifice, de la ville et du territoire. Elle est à la fois un lieu de réflexion, de production et de création, offrant une pluralité d’approches disciplinaires ainsi qu’une diversité des échelles de manipulation et de modélisation. La formation en architecture se caractérise par l’enseignement de la théorie et de la pratique du projet architectural et urbain auquel sont associés quatre champs disciplinaires : l’histoire, les sciences humaines et sociales, les sciences et techniques pour l’architecture, la culture artistique. L'école accorde beaucoup d'importance à l'égalité homme-femme. Jeanne Gang, Valérie Mancret-Taylor ou Anne Démians sont des exemples de femmes architectes reconnues formées à l'ensav. En Master, elle multiplie les parcours croisés avec d'autres Grandes Écoles ou Universités comme les double master "Architecte-Manager" avec l'ESSEC, "Jardin historiques, patrimoine et paysage" avec CY Cergy Paris Université, "Ecological Urbanism" avec l'Université de Tongji. Histoire L'Unité pédagogique d'architecture remplaçant les Beaux-Arts de Paris pour la formation des architectes fut fondée en 1969 dans les petites écuries du château de Versailles avec une approche radicale découlant des changements suivant les événements de mai 1968. Parmi les enseignants, Eugène Beaudouin et Louis Arretche y déplacent leurs ateliers. On peut aussi citer Henri Gaudin, Jean-Charles Depaule ou René Duvillier comme autres enseignants intégrant l'école dès sa fondation. Dès ses débuts, l'école a développé un fort ancrage américain avec l’Université de l'Illinois à Urbana-Champaign, très liée à l’école de Chicago. « L’une des plus belles réserves de sculptures du château de Versailles et du musée du Louvre se trouve au cœur [de l’école d’architecture]. Sous les voûtes de la fin du , des copies de statues antiques grecques et romaines côtoient notamment des sculptures originales provenant des jardins du château de Versailles ». Depuis 1970, les petites écuries accueillent la gypsothèque du département des Antiquités grecques, étrusques et romaines du musée du Louvre servant de modèle pour les étudiants architectes. Plus de y sont présentés, somme de trois fonds importants: la collection de moulages du Louvre, celle de l'École des beaux-arts et celle de l'Institut d'art et d'archéologie de la Sorbonne. « Cette collection de moulages d’après l’Antique se distingue par la présence de tirages anciens des et siècles et par un riche fonds d’architecture grecque et romaine. On peut signaler parmi les fleurons de ces copies, l’angle du Parthénon de l’Acropole d’Athènes, l’un des Dioscures du Quirinal à Rome, l’Hercule Farnèse, ou la base de la colonne de Trajan. Les originaux en marbre provenant du Jardin de Versailles. Parmi ceux-ci, Apollon servi par les nymphes et les deux groupes des Chevaux du Soleil forment l’ensemble du bosquet des Bains d’Apollon, assurément le chef-d’œuvre absolu de la sculpture française du Grand Siècle. » Direction En 2015, Jean-Christophe Quinton devient directeur de l'école par décret du Président de la République Française. Recherche et Théorie Le Léav est le laboratoire de l’ensav créé en 2009. Ce dernier est membre de l'école doctorale SHS (Université de Paris-Saclay). Deux autres centres de recherche en architecture et en urbanisme sont présents dans l'école: le LADRHAUS et le GRAI. Deux publications, la revue EAV (Enseignement Architecture Ville) existe depuis 1995 et la revue fabricA sont publiées par le laboratoire. L'ENSAV accueille aussi dans ses locaux "Ville Recherche Diffusion", une structure de diffusion de travaux de recherche sur la ville. Elle organise des conférences publiques de chercheurs et de théoriciens : Jean-Pierre Chupin, William J.R. Curtis, Antoine Grumbach... Membres du conseil d'administration : Jean Castex, David Mangin, Frédéric Borel, Gilles Clément, Jorge Orta, Antoine Picon, Paola Vigano, Jean-Philippe Vassal. International L'École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles développe une politique d'ouverture à l'international et propose à ses étudiants des échanges à l'étranger avec des partenariats dans plusieurs établissements : accueil d'étudiants étrangers, envoi d'étudiants français pour des séjours d'études, ou des stages. Elle a pour cela établit des accords avec 36 établissements étrangers. Elle organise également chaque année une série de workshops internationaux (Dakar, Rome, Isaphan, Rio, Delft, Shanghai, Kyoto, Casablanca...). Le voyage d'études et l'exposition menés par Tetsuo Harada, professeur à l'école, et organisés conjointement à la Fondation du Japon en 1992 restent dans les mémoires. La participation de Tadao Ando, Toyo Ito, Tamiji Kitagawara, Kumé, Ikehara, Kenzo Tange permis la réalisation d'une exposition itinérante à leur retour qui parcourut la France. En 2010, l'école fêtait le anniversaire de ses relations historiques avec l'University of Illinois, Urbana-Champaign School of Architecture. En 2016, elle réalise en collaboration avec l'École Polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) le projet international d'expérimentation "House 1/12 cities" regroupant plus de 200 personnes. Le but fut la construction d'une structure itinérante en bois échelle 1. D'abord montée sur le campus de Lausanne elle fut ensuite réadapté et reconstruite à l'École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles (ENSA-V). En 2019, l'École est partenaire de l'Architectural Association School of Architecture et accueille une de ses universités d'été : la AA Visiting School "Architecture et Écriture". L'ENSAV propose un double master intitulé "Ecological Urbanism" avec l'Université de Tongji en Chine. Infrastructures de l'école 2 laboratoires de recherche appliquée 1 centre de documentation / médiathèque 1 atelier maquette 1 atelier de moulages 1 laboratoire de développement photo 1 studio photo 3 salles multimédia 1 pôle informatique 1 amphithéâtre de 181 places 1 auditorium de 250 places 1 coopérative étudiante 2 points de restauration 1 café d'hiver et un café d'été dessiné par les architectes italiens Piovene Fabi. 3 ateliers en libre service 2 espaces d’exposition (La Rotonde, La Forge) 1 petite école pour les enfants dessinée par les architectes américains MOS. 1 Grande nef (lieu d’accueil de workshops, d’expositions, d’expérimentations pédagogiques). 1 centre d’art contemporain : La Maréchalerie. Événements internationaux L'école accueille et met en place de nombreux événements à rayonnement international liés à l'architecture : Conférences d'architectes, artistes, designers, philosophes de renom tels que Jean Nouvel, Kengo Kuma, Gian Piero Frassinelli, Christian de Portzamparc, Marc Barani, Dominique Perrault, Odile Decq, Nicolas Sarkozy, Rudy Riciotti, Frederic Borel (parrain de la Promotion 2016), Abraham Poincheval, Mathieu Lehanneur, Paul Andreu, David Van Severen(professeur à l'école et parrain avec Kersten Geers de la promotion 2019), Jakob + Macfarlane, Felice Varini, Antoine Grumbach, Roland Castro, Winy Maas, Yves Lion, Clément Blanchet (ancien élève), Frank Riester, David Basulto (fondateur d'Archdaily), Chaix et Morel, Dominique Gonzalez-Foerster, X-TU architecte, Régis Roudil (professeur invité) Laurent Grasso, Patrick Bouchain, Jean Rodet (ancien élève), Daniko Yotsuba, José Pondouchèz, Duncan Lewis, Yann Kersalé, Klaus Pinter, Nicolas Dorval-Bory (professeur à l'école), Richard Copans, Philippe Chiambaretta, Jean-Paul Jungmann, Bertrand Lamarche, Thomas Raynaud (professeur à l'école), Mark Alizart, Kasper T.Toeplitz, Bruno Latour, Jean Castex, NP2F, Pascal Gontier (ancien élève), Sébastien Martinez Barat (professeur à l'école), Michel Desvigne, Tanja Herdt, Encore Heureux, Fala Atelier, Matthias Armengaud(AWP, ancien élève et professeur à l'école), Éric Lapierre, Dogma, Office KGDVS... Ce fut le cas en 2017 avec le DSM17. Ce Design Modelling Symposium constitué de cours, de conférences, d'expérimentations et d'expositions avait pour thème « Humanizing digital reality ». On peut citer parmi les intervenants Antoine Picon, Carlo Ratti, Arthur Mamou-Mani, Philippe Rahm (professeur à l'ensav). Chaque année un artiste de renommée internationale est invité à l'École nationale Supérieure d'Architecture de Versailles pour guider un workshop de plusieurs semaines. Ce fut le cas de Hans Walter Muller, Tadashi Kawamata, Tetsuo Harada (professeur à l'école) les frères Campana, Miquel Barcelo, Lucy et Jorge Orta (Lucy Orta), Marco Casagrande ou Tomas Saraceno Bap ! La biennale d'architecture et de paysage d'Île-de-France en 2019. La Architectural Association Paris Visiting Summer School en 2019 dont l'école est partenaire. Associations étudiantes Les étudiants ont une grande place dans la vie de l'école à travers plusieurs associations : BDE Kfet : Association responsable de la cafétéria de l’école gérée par les étudiants. BADAS (Bureau Associatif des Archis Sportif) : L'association propose de nombreux sports dont le football, le handball, le volleyball, le rugby, le basketball, l'athlétisme, le badminton, l'escalade, la gymnastique et le yoga. Elle organise également plusieurs sorties sportives durant l'année et en lien avec la FSEA, participe aux Archipiades (Olympiade sportive entre les écoles d'architecture) La Grande Mousse : Association responsable des fanfares et de la majorité des événements festifs de l’école. ADN+ : Architecture, Design, Novation. Laboratoire de recherche et d'expérimentation à échelle 1. Elle possède un atelier de prototype au cœur de l'école. Archivoile : association de voile créée en 1996. Volume : magazine consacré aux arts visuels. L'Arsénik : troupe de théâtre. ArchiAbroad : Association responsable de l’accueil des élèves étrangers. Publications L'école publie des travaux de recherche et des livres en lien avec les thématiques architecturales via son service d'édition. Elle publie et distribue aussi annuellement : Yearbook : Chaque année, l'ENSA-V publie et distribue son annuel étudiant "Yearbook" présentant les travaux de l'année, des écrits de professeurs, des interviews de personnalités liées à l'architecture. Son élaboration s'inscrit dans le cadre du mémoire de master "Processus expérimentaux, arts et médias". EAV revue : Revue publiée depuis 1995, elle présente les points de vue, articles, écrits et recherches d'acteurs de l'école au niveau international et d'intervenants extérieurs. Elle est aussi une source de réédition de références architecturales devenues introuvables ailleurs. L'ENSAV a aussi soutenu la création de la revue PLI dirigée par Christopher Dessus, ancien élève de l'école. Le Pavé est un blog tenu par une association de masters renouvelée chaque année. Son but est de diffuser des réflexions, recherches, ou critiques architecturales. Notes et références Master : Territoires : cultures, patrimoines, paysages : Jardins historiques, patrimoine et paysage Voir aussi Article connexe Liste des écoles d'architecture Lien externe École d'architecture de Versailles, site officiel Léav Laboratoire de l’école nationale supérieure d’architecture de Versailles, site officiel La Maréchalerie, centre d'art contemporain de l'ENSAV, site officiel Versailles Université du grand ouest parisien Enseignement à Versailles
Courbe d'Aston
La est, en physique nucléaire, une courbe représentant l'énergie de liaison par nucléon des noyaux atomiques, en fonction de leur nombre de masse. L'éponyme de la courbe d'Aston est le physicien britannique Francis William Aston (-) qui l'a publiée pour la première fois en après l'avoir déterminée, avec précision, grâce au spectromètre de masse qu'il avait conçu. Notes et références Voir aussi Bibliographie . . . Physique nucléaire
Tomáš Kmeť
Tomáš Kmeť (né le à Poprad, alors en Tchécoslovaquie) est un joueur slovaquie de volley-ball. Il mesure et joue central. Il est international slovaque. Clubs Palmarès MEVZA Finaliste : 2007, 2008 Championnat d'Allemagne (3) Vainqueur : 2012, 2013, 2014 Championnat d'Autriche (2) Vainqueur : 2007, 2008 Championnat de Slovaquie (1) Vainqueur : 2001 Finaliste : 2002 Coupe d'Allemagne (1) Vainqueur : 2011 Voir aussi Articles connexes Liens externes Notes et références Joueur slovaque de volley-ball Naissance en décembre 1981 Naissance à Poprad Naissance en Tchécoslovaquie
Chapelle Saint-Pierre-aux-Liens d'Ancelle
La chapelle Saint-Pierre-aux-Liens est une chapelle du diocèse de Gap et d'Embrun située à Ancelle, dans les Hautes-Alpes. Histoire et architecture L'édifice actuel porte la date 1803 sculptée sur le linteau de la porte. Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste des édifices chrétiens des Hautes-Alpes Ancelle Ancelle
Waleed Abu al-Khair
Waleed Sami Abu al-Khair () est un avocat saoudien et un militant des droits de l'homme qui dirige l'organisation Monitor of Human Rights in Saudi Arabia (MHRSA). Le , il a été condamné à quinze ans de prison par une cour criminelle spéciale. Jeunesse et éducation Waleed Abu al-Khair est né le à Djeddah. Il obtient un baccalauréat universitaire en arabe à l'Université du roi Abdulaziz en 2003. Il commence sa carrière d'avocat en 2007 dans le cabinet d'Essam Basrawi à Djeddah. En 2009, il prend la défense des victimes des inondations de Djeddah et crée une page Facebook suivie par utilisateurs. Il obtient en 2009 une maîtrise universitaire à l' en Jordanie. La même année, il crée l'organisation Monitor of Human Rights in Saudi Arabia (MHRSA). La même année encore, il défend le militant saoudien des droits de l'homme Abdul Rahman Al Shumari dans le cadre d'une plainte portée contre le ministre de l'intérieur saoudien. Affaire Samar Badawi Samar Badawi est une militante saoudienne pour les droits de la femme, emprisonnée en 2010 à la prison centrale de Dahaban pour désobéissance envers son père. Waleed Abu al-Khair organise en 2010 la défense de Badawi, en particulier sous forme d'une campagne de communication sur internet. Le , il épouse Samar Badawi. Reconnaissance internationale En 2011, l'édition moyen-orientale du magazine Forbes inclut al-Khair dans une liste des cent Arabes les plus influents sur Twitter. En 2012, il prend la défense d'Hamza Kashgari, un blogueur saoudien emprisonné, notamment en publiant dans le Washington Post un article et en organisant un salon de discussion hebdomadaire dans son appartement. La même année, il est finaliste du programme Middle East Partnership Initiative’s Leaders for Democracy Fellowship organisé par le département d'État des États-Unis. Selon la société Portland Communications, il est un des dix saoudiens les plus suivis sur Twitter. Le prix Olof Palme lui est décerné en 2013, mais il ne peut se rendre en Suède pour le recevoir, un visa de sortie lui étant refusé. En 2012, al-Khair prend la défense du blogueur Raif Badawi. Le , il a été désigné comme le lauréat du Prix International des Droits de l'Homme Ludovic-Trarieux décerné chaque année à « un avocat sans distinction de nationalité ou de barreau, qui aura illustré par son œuvre, son activité ou ses souffrances, la défense du respect des droits de l'Homme, des droits de la défense, la suprématie du droit, la lutte contre les racismes et l'intolérance sous toutes leurs formes ». Le prix doit lui être remis à Genève en . Procès Waleed Abu al-Khair fait l'objet de deux procédures judiciaires. La première concerne la signature en 2011 d'une pétition demandant des réformes politiques. Le , la cour d'appel de La Mecque a confirmé sa condamnation en première instance à trois mois de prison pour outrage, mais en le laissant libre. La seconde procédure pour avoir tenu le « salon » organisé chez lui, commencée le , après qu'al-Khair ait été emprisonné puis libéré sous caution, concerne des accusations de défaut d'allégeance au roi, de manque de respect aux autorités, de création et direction d'une association interdite (la MHRSA), de contribution à l'établissement d'une autre association interdite (la Saudi Civil and Political Rights Association) et d'incitation de l'opinion publique. Le , il est arrêté en pleine audience de la cour criminelle spéciale qui examinait son cas. Le , une semaine après son arrestation, son épouse Samar Badawi déclare qu'il est torturé. Le , al-Khair est condamné à quinze années de prison, suivies de quinze années d'interdiction de voyager à l'étranger, ainsi qu'à une amende de riyals, la cour criminelle spéciale de Djeddah l'ayant jugé coupable d'avoir « sapé le régime et les personnalités officielles », « incité l'opinion publique » et « insulté l'appareil judiciaire ». Ce jugement a été critiqué par le département d'état américain et par le Haut Commissariat des Nations unies pour les droits de l'homme. Il est proposé en 2015 pour le prix Nobel de la paix Références Articles connexes Ali Mohammed Al-Nimr Sadiq Malallah, poète saoudien exécuté pour blasphème et apostasie en 1992 Hadi Al-Mutif, condamné à mort pour apostasie en Arabie saoudite en 1996, puis gracié en 2012 Hamza Kashgari, journaliste saoudien accusé d'apostasie et emprisonné Raif Badawi Droit saoudien Droits de l'homme en Arabie saoudite Religion en Arabie saoudite Naissance en juin 1979 Naissance à Djeddah Avocat saoudien Personnalité saoudienne Personnalité de la défense des droits de l'homme Prix Olof-Palme Violence politique en Arabie saoudite
North Audley Street
North Audley Street est une rue de la ville de Londres. Elle est située dans la cité de Westminster, dans le quartier de Mayfair. Situation et accès North Audley Street s'étend de Oxford Street à Grosvenor Square. Orientée nord-sud et en sens unique, elle est longue d’environ 240 m. Elle est prolongée, de l'autre côté de la place, par South Audley Street. Les stations de métro les plus proches sont Marble Arch, où circulent les trains de la ligne , et Bond Street, desservie par les lignes . Origine du nom Mary Davies (1665-1730), épouse de Thomas Grosvenor, dont la Davies Street voisine rappelle le souvenir, était l’héritière d’un avocat et usurier nommé Hugh Audley. Historique Comme Grosvenor Square, Brook Street et d’autres rues du quartier, North Audley Street a été aménagée dans les années 1725. Bâtiments remarquables et lieux de mémoire : maisons restaurées autour de 1820. : église St Mark's (1825-1828), bâtiment classé de grade I ; en 2019, l'église, désaffectée, est transformée en espace de restauration et en centre commercial, le Mercato Mayfair. : pub "The Marlborough Head". Lien externe North Audley Street : Introduction, sur British History Online. Notes et références Voie à Londres Cité de Westminster
Szkodna
Szkodna est une localité polonaise de la gmina de Sędziszów Małopolski, située dans le powiat de Ropczyce-Sędziszów en voïvodie des Basses-Carpates. Notes et références Village dans la voïvodie des Basses-Carpates Powiat de Ropczyce-Sędziszów
Tunnel d'Eupalinos
Le tunnel d'Eupalinos ou aqueduc d'Eupalinos (en grec : / ) est un aqueduc souterrain du , situé dans l'île de Samos, en Grèce. Selon les connaissances actuelles, c'est après le tunnel d'Ézéchias, la deuxième tentative réussie de forage d'un tunnel par les deux extrémités (en grec, / signifiant « ayant deux ouvertures »), et la première à faire appel à des plans méthodiques. Avec ses de long, l'aqueduc souterrain d'Eupalinos de Mégare apparaît aujourd'hui comme l'un des chefs-d'œuvre antiques du génie civil, au même titre que le tunnel d'Ézéchias à Jérusalem. Histoire L'île de Samos était gouvernée, au , par le célèbre tyran Polycrate (535-522 ). Sous les ordres de l'ingénieur Eupalinos de Mégare, deux équipes de travail creusèrent un aqueduc souterrain sous le mont Kastro afin d'alimenter en eau douce l'ancienne capitale de Samos (aujourd'hui Pythagorion). Il s'agit d'une œuvre d'importance défensive, l'aqueduc souterrain étant difficilement décelable par un ennemi susceptible de couper l'approvisionnement en eau. Le tunnel, creusé dans la roche calcaire, demanda près de dix années de labeur aux équipes d'esclaves souvent capturés dans les îles voisines. Le défi technique était que, creusant simultanément des deux côtés et respectant une certaine pente pour l'écoulement de l'eau, les deux équipes devaient se retrouver au milieu de la montagne. La rencontre eut bien lieu comme prévu, avec une très faible différence de niveau. L'aqueduc fut utilisé pendant un millier d'années, comme le prouvent les découvertes archéologiques. Le tunnel a été fouillé en 1882-1884 : il est aujourd'hui ouvert aux visiteurs. Le texte d'Hérodote L'aqueduc d'Eupalinos est cité par Hérodote (3, 60) : Je me suis d'autant plus étendu sur les Samiens, qu'ils ont exécuté trois des plus grands ouvrages qu'il y ait dans toute la Grèce. On voit à Samos une montagne de cent cinquante orgyies de haut. On a percé cette montagne par le pied, et l'on y a pratiqué un chemin qui a deux bouches en ouvertures. Ce chemin a sept stades de longueur sur huit pieds de hauteur et autant de largeur. Le long de ce chemin, on a creusé un canal qui traverse toute cette montagne. Il a vingt coudées de profondeur sur trois pieds de largeur. Il conduit à la ville, par des tuyaux, l'eau d'une grande fontaine. L'architecte qui a entrepris cet ouvrage était de Mégare et s'appelait Eupalinos, fils de Naustrophus. C'est un des trois ouvrages des Samiens. Le second consiste en un môle, ou une grande digue faite dans la mer, près du port, d'environ vingt orgyies de haut et de deux stades et plus de long. Leur troisième ouvrage est un temple, le plus grand dont nous ayons connaissance. Le premier architecte de cet édifice est un homme du pays, nommé Rhoecos, fils de Philée. C'est à cause de ces ouvrages que je me suis étendu sur les Samiens. Description Le tunnel captait la source des Agiadès près de Mytilini, qui fut couverte pour être dissimulée à la vue d'un ennemi potentiel. Un canal enterré, avec des regards d'inspection à intervalles réguliers, conduisait l'eau jusqu'à l'entrée nord du tunnel. Un autre similaire la dirigeait depuis la sortie sud jusqu'à l'est de la ville. Dans la partie souterraine, l'eau courait dans une conduite située en contrebas du chemin de visite. La section nord, juste assez large pour le passage d'une personne, comporte un plafond dallé à double pente pour empêcher les chutes de pierre. La section sud, un peu plus large, est creusée dans une roche plus compacte. Les deux parties se rencontrent grâce à une technique connue sous le nom de dog-leg (« patte de chien »). Techniques d'arpentage Hermann J. Kienast et d'autres chercheurs ont décrit la méthode employée par Eupalinos pour que les deux sections du tunnel puissent se rejoindre. Conscient que les erreurs de mesures successives pourraient faire manquer le point de rencontre des deux équipes, Eupalinos appliqua dans ses plans des principes de géométrie qui ne furent codifiés que plusieurs siècles plus tard par Euclide. Suivant le principe que deux lignes parallèles ne se rencontrent jamais, Eupalinos reconnut qu'une erreur de plus de deux mètres de largeur (la largeur du tunnel est  environ) lui ferait manquer le point de rencontre. Le chantier parvenant au voisinage du point de jonction, il modifia donc la direction des deux tunnels, de sorte qu'un point de rencontre puisse être garanti, même si les deux directions jusqu'alors suivies étaient parallèles. De même, il fallait envisager une possible déviation dans le plan vertical, malgré tous les soins prodigués pour l'éviter. Eupalinos, là encore, prit toutes les précautions possibles en augmentant, en sens contraire, la hauteur de chacune des extrémités des sections. La section nord voit donc sa hauteur accrue de , tandis que la section sud a été au contraire surcreusée de . Le tunnel ne présentant pratiquement aucune erreur dans le sens vertical, toutes ces précautions se sont avérées inutiles (Kienast a relevé une différence verticale inférieure à ). Notes et références Voir aussi Bibliographie Archéologie V. Guérin, Description de l'île de Patmos et de l'île de Samos, Paris, 1865. . . . Hermann J. Kienast, Die Wasserleitung des Eupalinos auf Samos, Deutsches Archäologisches Institut, Athènes. . . . Littérature Paul Valéry, Eupalinos ou l'Architecte, dialogue poétique entre Socrate et Phèdre, 1921, aussi sur Wikisource. Articles connexes Samos Héraion de Samos Liens externes Tunnel of Eupalinos, Odysseus, site officiel. Vidéo sur le tunnel d'Eupalinos. Dan Hughes, Hans J. Keller : le Tunnel d'Eupalinos. Michael Lahanas : « The Eupalinos tunnel of Samos ». The Eupalinian aqueduct, by the Greek Ministry of Culture (lien éteint : date = 30 août 2009). Eupalinos, tunnel, d' Canal antique Ouvrage d'art en Grèce Transport en Grèce antique
Ahcène Derrahi
Ahcène Derrahi est un footballeur algérien né le à Constantine. Il évoluait au poste de milieu défensif. Biographie Il évolue en Division 1 avec les clubs du CS Constantine, de la JSM Béjaïa, et du CA Bordj Bou Arreridj. En 2008, il remporte la Coupe d'Algérie avec la JSM Béjaïa, en battant le WA Tlemcen après une séance de tirs au but. Derrahi est titulaire lors de cette finale disputée à Blida. Palmarès Vainqueur de la coupe d'Algérie en 2008 avec la JSM Béjaïa. Accession en Ligue 1 en 2004 et 2011 avec le CS Constantine. Accession en Ligue 1 en 2007 avec l'AS Khroub. Notes et références Liens externes Naissance en avril 1980 Naissance à Constantine Footballeur algérien Joueur du CS Constantine Joueur de l'AS Khroub Joueur de la JSM Béjaïa Joueur du MO Constantine Joueur du CA Bordj Bou Arreridj Joueur de la JSM Skikda Joueur de l'USM Annaba
Acide maléique
L'acide maléique est un acide dicarboxylique insaturé, l'acide Z-butènedioïque. Cette molécule est le diastéréoisomère de l'acide fumarique ou acide E-butènedioïque, la configuration montre que les groupes carboxyle, caractéristiques des acides organiques sont placés sur un plan du même côté de la liaison éthylénique, c'est-à-dire de la double liaison carbone-carbone, rigide. Les sels de ses anions et les esters sont appelés maléates. Stabilité et propriétés L'acide maléique est moins stable que son isomère fumarique, car la proximité des groupes carboxyle rend aisée une déshydratation en anhydride maléique, découverte par le chimiste Kekulé. L’acide maléique est le stéréo-isomère Z de l’acide fumarique. Une liaison hydrogène intramoléculaire est possible entre l’hydrogène du groupe carboxyle porté par un des carbones extrémaux de la chaîne carbonée et l’oxygène du groupe carboxylique porté par l’autre carbone extrémal de la chaîne. La présence de cette liaison hydrogène intramoléculaire limite la formation de liaisons hydrogène intermoléculaires, ce qui diminue la cohésion du solide constitué de molécules d’acide maléique. C’est pourquoi la température de fusion de l’acide maléique est plus faible que celle de son stéréo-isomère E, l’acide fumarique. La première acidité est relativement forte, par un effet de stabilisation électronique de la base conjuguée. L'acide maléique est un philodiène par sa liaison éthylénique, appauvrie par deux groupes voisins attracteurs d'électrons. Ce philodiène participe ainsi à de nombreuses réactions avec des diènes pour former des cycles à six carbones. Il donne facilement par chauffage un anhydride cyclique appelé anhydride maléique. C'est la réaction de déshydratation évoquée plus haut, qui explique le non-sens de la mesure de point de fusion ou d'ébullition, signalé par le terme décomposition, puisque la molécule d'acide maléique se transforme en anhydride cyclique beaucoup plus volatil. L'acide maléique, par sa double liaison susceptible de réaction d'addition radicalaire, est aussi un monomère. Associé à l'acide acrylique, il permet d'obtenir des copolymères acrylomaléiques, qui présentent malgré un coût élevé un intérêt en tant qu'adjuvants actifs de détergents. Leurs effets dispersants, séquestrants et légèrement tensio-actifs les proposent pour l'usage adjuvant en substitution des polyphosphates, en l'occurrence le tripolyphosphate de sodium STPP ou Na5P3O10. Voir aussi Acide fumarique, l'isomère trans de l'acide maléique Liste d'acides Notes et références Liens externes Fiche internationale de sécurité, sur cdc.gov Maleique Saveur acide Maleique
Faune endémique de l'Éthiopie
Cet article présente une liste des espèces animales endémiques de l'Éthiopie. Mammifères Oiseaux Reptiles Notes et références Bibliographie Bibliographie générale . Mammifères . . . Oiseaux . . . . !
Sululos
Sululos est un municipe de la province romaine d'Afrique proconsulaire qui se développe des années 30 avant notre ère à 640. Nommée Municipium Septimium Aurelium Severianum Apollinare Sululitanum, les archéologues pensent qu'elle se situe à l'emplacement des ruines de Bir El Heuch, dans la région des oueds Medjerda et Miliane, près de Goubellat, à quatre kilomètres au nord du djebel Riban, 35 kilomètres à l'est de Dougga et 60 kilomètres au sud-ouest de Tunis. Histoire En 168, la ville est une civitas (ville) mais, sous les règnes de Septime Sévère et Caracalla, elle accède au statut de municipe. Ernest Babelon y recense un aqueduc avec une source dans la zone du Sud-Vedic, près d'Aïn Sense, un temple et un pont converti plus tard en camp romain. Six kilomètres au nord des ruines de Bir El Euch a été trouvée la base d'une statue de l'empereur Valentinien I () désormais exposée au musée national du Bardo. La ville a aussi été le siège d'un diocèse chrétien antique, dont on sait qu'un évêque a participé à la conférence de Carthage en 411. Le diocèse a cessé de fonctionner lors de la conquête musulmane du Maghreb au mais est recréé avec d'autres diocèses tunisiens en 1927. Références Voir aussi Diocèse de Sululos Cité romaine en Tunisie Site antique en Tunisie
Ligne S6 du RER bruxellois
La ligne S6 du RER bruxellois, plus simplement nommée S6, est une ligne de train de l'offre ferroviaire suburbaine à Bruxelles, composante du projet Réseau express régional bruxellois, elle relie Alost ou Denderleeuw à Grammont puis traverse Bruxelles sur un axe Sud-Nord : Grammont - Hal - Schaerbeek. Il existe quelques trains supplémentaires en heure de pointe sur certaines portions de la ligne S6. Elle emprunte les infrastructures de la ligne 90 (Denderleeuw - Ath), de la ligne 123 (Grammont - Braine-le-Comte), de la ligne 96 (Bruxelles - Froyennes) et de la jonction Nord-Midi. Histoire La ligne S6 fait partie de l'offre ferroviaire S de Bruxelles lancée le . Elle permet la desserte de la ligne 90 dont elle est la seule desserte régulière entre Denderleeuw et Grammont et relie les villes de Ninove, Grammont et Hal à Bruxelles sans nécessiter de correspondance. Entre Hal et Bruxelles-Midi, elle ne dessert aucune gare intermédiaire. Elle est actuellement exploitée au rythme d’un train par heure, limitée à Denderleeuw les weekends. Il existe plusieurs trains supplémentaires, uniquement en semaine. Infrastructure Liste des gares La desserte de la ligne S6 comporte les gares suivantes : Alost (uniquement en semaine) Denderleeuw Iddergem Okegem Ninove Eichem Appelterre Zandbergen Idegem Schendelbeke Grammont Viane-Moerbeke Gammerages Tollembeek Herne Enghien Hal Bruxelles-Midi Bruxelles-Central Bruxelles-Nord Schaerbeek Exploitation Tous les trains réguliers de la ligne S6 sont composés d’automotrices Siemens Desiro ML série AM 08 de la SNCB. La plupart des trains sont composés de deux automotrices (soit six voitures) ou trois automotrices (neuf voitures), plus rarement une seule (trois voitures). Les trains supplémentaires sont assurés soit avec des Desiro, des AM 86, des automotrices classiques ou des voitures M4 remorquées par une locomotive série 21. Il existe quelques trains supplémentaires, destinés à renforcer le nombre des trains sur les lignes 90 ou 123 en heure de pointe. un train Grammont - Schaerbeek (le matin) un train Grammont - Bruxelles-Midi (le matin) qui continue ensuite comme train S8 vers Ottignies trois trains Denderleeuw - Grammont (le matin) un train Grammont - Denderleeuw (le matin) et trois autres l’après-midi. Projets Notes et références Notes Références Voir aussi Article connexe Réseau express régional bruxellois Liens externes Le Train S sur le site de la SNCB (2015) Le Train S sur le site de la SNCB (2019) Brochures de lignes (fiches horaires) de la SNCB (2019)
Lincoln-Zephyr
La Lincoln-Zephyr est un modèle de la marque d'automobiles américaine Lincoln, conçu comme un type de voitures de luxe de gamme moyenne et de prix relativement accessible, produit de 1936 à 1940. Les Lincoln-Zephyr et Mercury, introduites en 1939, comblent l'écart important entre la gamme V-8 De Luxe de Ford et les K-series de Lincoln dans la stratégie commerciale de Ford. La voiture a été conçue par Edsel Ford et . Automobile Lincoln Automobile des années 1930
Saint-Saturnin (Charente)
Saint-Saturnin est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine). Saint-Saturnin est une commune résidentielle située à l'ouest d'Angoulême dont elle fait partie de la communauté d'agglomération. Ses habitants sont les Saturniniens et les Saturniniennes. Géographie Localisation Saint-Saturnin est une commune située à l'ouest d'Angoulême et au sud-est d'Hiersac. Elle fait partie du Grand Angoulême dont elle est la commune la plus occidentale, et du canton d'Hiersac, comme ses voisines Linars et Trois-Palis. Elle est située dans les Fins bois de la région de production du Cognac. Saint-Saturnin est aussi à à au nord de Nersac, au nord-est de Châteauneuf. Hameaux et lieux-dits Le bourg est au centre de la commune, mais celle-ci est composée de nombreux hameaux : Beauregard, Marteau, Tarsac, la Vigerie, Mouillac… Communes limitrophes Géologie et relief La commune est située sur un vaste plateau au sous-sol calcaire d'environ d'altitude, légèrement incliné vers le sud, surmontant la vallée de la Nouère et au nord de la vallée de la Charente. Géologiquement, elle est à la limite du Jurassique qui occupe la moitié nord du département de la Charente et du Crétacé au sud. Le Portlandien (Jurassique supérieur) occupe une grande moitié nord de la commune. Le Cénomanien (Crétacé) occupe les parties hautes au sud de la commune, où est situé le bourg. Son point le plus haut, , est situé en bordure de la commune d'Hiersac, près de Tarsac. Son point le plus bas, , est sur la Nouère à Marteau, en limite de commune de Linars. Hydrographie La commune est bordée à l'est par la Nouère, affluent en rive droite de la Charente. Au nord de la commune un petit ruisseau venant de Douzat se jette dans la Nouère à la Vigerie. Un ruisseau temporaire affluent de la Charente borde la commune à l'ouest. Climat Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale. Voies de communication et transports La commune est traversée d'est en ouest par la route nationale 141 d'Angoulême à Saintes, qui est une portion de la route Centre-Europe Atlantique (RCEA), et qui passe par le hameau de la Vigerie, pont sur la Nouère, à au nord du bourg. Cette route est en cours d'aménagement en voie express 2x2 voies entre Hiersac et Saint-Yrieix. Le bourg est desservi par la D 41 d'Hiersac à Linars et la D 53 d'Asnières-sur-Nouère et la Vigerie à Sireuil. Saint-Saturnin est aussi desservie par les transports en commun d'Angoulême qui desservent l'agglomération, les lignes 21 et 23 qui vont à Linars. Urbanisme Typologie Saint-Saturnin est une commune rurale. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe , est catégorisée dans les aires de à moins de . Occupation des sols L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,5 %), cultures permanentes (20 %), terres arables (12 %), prairies (10,5 %), forêts (5,3 %), zones urbanisées (4,7 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Toponymie Comme de nombreuses communes éponymes localisées principalement dans le sud de la France, cette commune doit son nom au culte de saint Saturnin de Toulouse (saint Cernin), premier évêque chrétien de Toulouse répertorié. Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Saturnin-sur-Nouère. Histoire Des découvertes sur le territoire de la commune, notamment de poteries et de tegulae (en particulier à la Vigerie), ont établi la présence d'habitants au premier millénaire avant Jésus-Christ, puis d'une vie gallo-romaine active. Le chemin des Anglais, voie antique qui reliait Angoulême à Cognac et Saintes, passait à peu de distance au nord du bourg. L'existence du village de Saint-Saturnin est attestée au . Le développement des hameaux, notamment la Vigerie et Villars, est dû au développement économique au . D'après la légende inscrite sur les bas-reliefs énigmatiques du tympan de l'église, celle-ci aurait été fondée par le frère de saint Ausone, évêque d'Angoulême, et en ce lieu se seraient rencontrés saint Ausone et saint Martial, apôtre de l'Aquitaine. Au , Saint-Saturnin dépend de la châtellenie et du diocèse d'Angoulême, au sein de la généralité de Limoges. Une économie locale se développe au grâce aux vignobles et aux quelques moulins à blé mais de graves intempéries climatiques ruinent la commune à la fin de ce siècle. Sous l'Ancien Régime, Saint-Saturnin avait la particularité de ne pas avoir de château seigneurial. Le comte d'Angoulême, seigneur de Saint-Saturnin, y rendait la justice par l'intermédiaire d'un prévôt. Les principaux fiefs de la paroisse étaient Mouillac, Tarsac et Maillou. Ce dernier était le plus important et il deviendra le chef-lieu de la seigneurie. Au , Maillou comprenait un , et une maison particulière avec métairie. Le siège de la seigneurie était possédé par François de Mosnac, qui ne possédait pas les terres du hameau. En 1539, le village et la métairie furent acquis par Guillaume Nesmond, avocat au Présidial d'Angoulême. Cette famille était issue d'une famille de marchands, qui par la suite obtiendra de hautes dignités dans l'église, la magistrature et l'armée. En 1579, son fils François acquit la totalité des terres de Maillou. Celui-ci fut nommé avocat du roi au Présidial d'Angoulême, puis président à mortier au Parlement de Bordeaux en 1569, et conseiller d'État. C'est lui qui construisit le château. Son fils et petit-fils eurent les mêmes charges, et la famille prit le titre de de Nesmond. Le fief de Tarsac sera rattaché à celui de Maillou par André de Nesmond vers 1610. En 1710, Maillou et Tarsac furent vendus à Henri Rambaud. Originaire du Dauphiné ainsi que son épouse, il avait fait fortune à l'Houmeau, à Angoulême. Un de ses descendants fut seigneur de Bourg-Charente, un autre curé de l'Houmeau, et un autre maire de Saint-Saturnin à la Restauration. À ses débuts, Mouillac était un petit domaine bâti sur les terres de l'abbaye de Saint-Cybard. Au , il fut anobli. La seigneurie de Mouillac fut possédée entre 1632 et la Révolution par la famille Valleteau; en 1793 le domaine fut aliéné. Pendant la première moitié du , la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer départementaux, la ligne d'Angoulême à Matha, appelée le Petit Rouillac. La gare de Saint-Saturnin était située près du bourg, entre celle de Linars et celle d'Hiersac. Administration Liste des maires Jumelages Au , Saint-Saturnin n'est jumelée avec aucune commune. Politique environnementale La gestion des ordures ménagères est assurée au niveau de l'ensemble des communes du Grand Angoulême par un service commun de collecte des déchets. Démographie Évolution démographique En 2009, Saint-Saturnin comptait (soit une augmentation de 13 % par rapport à 1999). La commune occupait le rang au niveau national, alors qu'elle était au en 1999, et le au niveau départemental sur 404 communes. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Saint-Saturnin depuis 1793. Au début du , les modalités de recensement ont été modifiées par loi du , dite loi de démocratie de proximité, afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est inférieure à , les enquêtes sont exhaustives et ont lieu par roulement tous les cinq ans. Pour Saint-Saturnin, le premier recensement a été fait en 2006, les suivants étant en 2011, 2016, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Saint-Saturnin, est un recensement exhaustif. Un maximum de la population a été atteint en 2009 avec . Pyramide des âges En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à s'élève à 28,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à est de 27,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental. En 2018, la commune comptait pour , soit un taux de 51,39 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %). Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit. Économie Revenus de la population et fiscalité En 2009, le revenu fiscal médian par ménage était de , ce qui plaçait Saint-Saturnin au rang parmi les communes de plus de 50 ménages en métropole. Agriculture La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac. Emploi En 2008, le taux de chômage à Saint-Saturnin était de 5,4 %. Entreprises et commerces Plusieurs artisans du BTP sont présents sur la commune. La commune de Saint-Saturnin est située en vignoble d’appellation cognac et la viticulture joue un grand rôle économique. Équipements, services et vie locale Enseignement Saint-Saturnin possède une école primaire publique, Gilbert-Ramblière, comprenant cinq classes (une classe de maternelle et quatre classes d'élémentaire). Le secteur du collège est Saint-Michel. Santé Le groupe médical le plus proche est celui d'Hiersac. Sports La commune dispose d'une salle de sports communale, de clubs de football, tennis, tennis de table, VTT ainsi que d'un centre équestre. Cultes Au sein du diocèse d’Angoulême, la commune dépend de la paroisse catholique de Fléac-Hiersac qui regroupe les communes d'Asnières-sur-Nouère, Fléac, Hiersac, Linars, Moulidars, Saint-Saturnin et Trois-Palis. Lieux et monuments Patrimoine religieux L'église paroissiale Saint-Saturnin a été construite au et restaurée au ; elle a été classée monument historique le . Le logis accolé à l'église était la propriété de l'archidiacre de la cathédrale d'Angoulême. La tradition veut que Calvin y ait séjourné lors de son passage à Angoulême, accueilli par son ami le chanoine Louis du Tillet, en 1533 et 1534, et où il aurait écrit une partie de ses "Commentaires". Patrimoine civil Le logis de Moulède était l'ancien prieuré. Le prieuré Notre-Dame de Moulède a été fondé par l'abbaye de La Couronne, de l'ordre augustinien vers 1143 sur un domaine qui lui a été donné par le chapitre de la cathédrale d'Angoulême. L'église, désaffectée, comporte trois travées qui ont reçu des croisées d'ogives au . Le château de Maillou date des . François Nesmond, conseiller d'État et président du Parlement de Bordeaux, le fit édifier en 1580. Cette commune a la particularité de disposer de deux monuments aux morts à l'issue de la Première Guerre mondiale. Après la guerre, les habitants ne s’étant pas mis d'accord sur l’emplacement du monument aux morts, un premier monument est construit place de l’église selon le choix des conseillers de droite, tandis que les conseillers de gauche choisissent de construire un second monument aux morts devant l’école. depuis cette date, les commémorations officielles ont lieu devant les deux monuments. Personnalités liées à la commune Jean Calvin (1509-1564), un des fondateurs de la religion chrétienne protestante, a été hébergé près de l'église vers 1533. Pierre Mathieu-Bodet (1816-1911), député et ministre, est né à Saint-Saturnin. Notes et références Notes et cartes Notes Cartes Références Voir aussi Articles connexes Liste des communes de la Charente Bibliographie Liens externes de la mairie de Saint-Saturnin Commune en Charente Aire urbaine d'Angoulême
Leucoplasie chevelue buccale
La leucoplasie chevelue buccale est une atteinte muqueuse indolore due au virus d'Epstein-Barr. Quasi pathognomonique de l'infection par le VIH, sa découverte doit faire proposer un test diagnostique. Elle se présente sous forme de plaques blanchâtres, adhérentes dont la surface est irrégulière et parcourue de fines striures verticales. Essentiellement située sur les bords latéraux de la langue, elle atteint plus rarement la face interne de la muqueuse jugale, les gencives ou le plancher buccal. L'étendue des lésions augmente avec le déficit immunitaire. Le traitement le plus efficace est la lutte contre le déficit immunitaire. Notes et références Voir aussi Article connexe Leucoplasie Maladie virale Odonto-stomatologie
L'Affaire Manderson (film, 1929)
L'Affaire Manderson () est un film américain réalisé par Howard Hawks et sorti en 1929. Synopsis Fiche technique Titre original : Réalisation : Howard Hawks Scénario : W. Scott Darling d'après un roman de E. C. Bentley Production : William Fox Photographie : Harold Rosson Costumes : Sophie Wachner Durée : 66 minutes (6 bobines) Dates de sortie: () Distribution Raymond Griffith : Philip Trent Marceline Day : Evelyn Manderson Raymond Hatton : Joshua Cupples Donald Crisp : Sigsbee Manderson Lawrence Gray : Jack Marlowe Nicholas Soussanin : Martin Anita Garvin : Ottilie Dunois Edgar Kennedy : Inspecteur Murch Notes et références Liens externes Film américain sorti en 1929 Film américain en noir et blanc Film muet américain Adaptation d'un roman britannique au cinéma
Rietheim-Weilheim
Rietheim-Weilheim est une commune de Bade-Wurtemberg (Allemagne), située dans l'arrondissement de Tuttlingen, dans le district de Fribourg-en-Brisgau. Commune en Bade-Wurtemberg
Journal of a Crime
est un film dramatique américain réalisé par William Keighley, sorti en 1934. Synopsis Fiche technique Titre français : Réalisation : William Keighley Scénario : F. Hugh Herbert et Charles Kenyon d'après la pièce de Jacques Deval Photographie : Ernest Haller Musique : Heinz Roemheld Production : Hal B. Wallis Pays d'origine : Format : Noir et blanc Genre : Film dramatique Date de sortie : 1934 Distribution Ruth Chatterton : Francoise Adolphe Menjou : Paul Claire Dodd : Odette George Barbier : Chautard Douglass Dumbrille : Cartier Noel Madison : Costelli Henry O'Neill : Docteur Phillip Reed : Jeune homme à la fête Henry Kolker : Henri Marcher Frank Reicher : Herr Winterstein Walter Pidgeon : Florestan Elsa Janssen : Frau Winterstein Parmi les acteurs non crédités : Sidney D'Albrook : Conducteur de camion Jane Darwell : Convive Lester Dorr : Secrétaire de Cartier Mary MacLaren : Convive George Magrill : Ambulancier Claire McDowell : Sœur de l'hôpital Paul Panzer : Conducteur de camion Edward Peil Sr. : Geôlier Voir aussi Liens externes Film américain sorti en 1934 Film dramatique américain Film réalisé par William Keighley Adaptation d'une pièce de théâtre française au cinéma Film américain en noir et blanc
Schoettella
Schoettella est un genre de collemboles de la famille des Hypogastruridae. Liste des espèces Selon Checklist of the Collembola of the World (version du ) : Schoettella (Schoettella) Schäffer, 1896 Schoettella alba Folsom, 1932 Schoettella andina Dìaz & Palacios-Vargas, 1983 Schoettella celiae Fernandes & de Mendonça, 1998 Schoettella distincta (Denis, 1931) Schoettella glasgowi (Folsom, 1916) Schoettella janiae Palacios-Vargas, 1979 Schoettella neomexicana (Scott, 1961) Schoettella novajaniae Palacios-Vargas & Castaño-Meneses, 1998 Schoettella tristani (Denis, 1931) Schoettella ununguiculata (Tullberg, 1869) Schoettella (Knowltonella) Wray, 1958 Schoettella idahoensis (Wray, 1958) Publication originale Schäffer, 1896 : Die Collembolen der Umgebung von Hamburg und benachbarter Gebiete. Mitteilungen aus dem Naturhistorischen Museum in Hamburg, , (texte intégral). Liens externes Notes et références Hypogastruridae Genre de collemboles (nom scientifique)
Gare de Vittel
La gare de Vittel est une gare ferroviaire française de la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt, située sur le territoire de la commune de Vittel, dans le département des Vosges, en région Grand Est. C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains régionaux du réseau . Situation ferroviaire Établie à d'altitude, la gare de Vittel est située au point kilométrique (PK) 68,689 de la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt, entre les gares ouvertes de Contrexéville et d'Hymont - Mattaincourt. Vers Hymont, s'intercale les gares fermées de Haréville-sous-Montfort, Remoncourt, Rozerotte et Bazoilles-Devant-Hymont. Histoire La rame TGV Sud-Est 75 est baptisée du nom de la ville depuis le . Depuis , la gare n'était plus desservie par les trains TER (depuis Nancy) ; des autocars de substitution ont alors été mis en place. La desserte ferroviaire est toutefois restaurée le , cette fois-ci par le biais d'une liaison Paris – Vittel ; cela permet de recréer le « train des Eaux », qui avait été supprimé en 2002. Service des voyageurs Accueil C'est une gare SNCF qui dispose d'un bâtiment voyageurs, avec guichet, ouvert tous les jours. Elle est équipée d'automates pour l'achat de titres de transport TER. Desserte Vittel est une gare du réseau TER Grand Est, desservie par des trains en provenance et à destination de Paris-Est via Contrexéville, circulant les vendredis, dimanches et jours fériés (de début avril à début novembre). Intermodalité Un parking est aménagé à ses abords. La gare est desservie par des autocars du réseau TER Grand Est, depuis ou vers Neufchâteau, Épinal, Contrexéville et Nancy. À cela s'ajoutent ceux du réseau interurbain Connex Vosges (lignes 9 et 47). Patrimoine ferroviaire Bâti en 1926 d'après les plans de l'ingénieur , l’actuel , ses façades, toitures, marquise ainsi que les intérieurs, dont le hall, font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le . Le bâtiment d'origine, du plan type standard pour les gares de moyenne importance, était initialement identique à celui de la gare de Contrexéville (également remplacé dans les ), avec un corps central à trois ouvertures espacées sous un toit à deux pans transversal, encadré par deux ailes basses de quatre travées. Une extension de trois travées a par la suite été ajoutée à sa gauche. Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste de gares en France Liste des gares de Lorraine Ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt Lien externe Gare dans le département des Vosges Ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt Gare monument historique en France Gare Gare Gare Gare
Coupe du monde de ski de vitesse 2016
La Coupe du monde de ski de vitesse 2016 est la édition de la Coupe du monde de ski de vitesse. Elle s'est déroulée du à Sun Peaks (Canada) au à Idre Fjäll (Suède). Catégorie S1 Classement général Calendrier Hommes Femmes Liens externes fis-ski.com Notes et références 2016 Ski en 2016
Feux d'artifice artisanaux mexicains
Les feux d'artifice artisanaux mexicains sont principalement concentrés dans l'État de Mexico, au centre du Mexique. Tultepec, au nord de Mexico, est la capitale auto-proclamée des feux d'artifice du Mexique. Bien que l'ingrédient principal des feux d'artifice, la poudre à canon, soit apporté par les conquistadors au , les feux d'artifice deviennent populaires au Mexique au . Aujourd'hui, c'est le deuxième producteur en importance d'Amérique latine, presque entièrement à usage domestique, avec des produits allant des petits pétards aux gros obus et cadres pyrotechniques appelés « » (châteaux) et « » (petits taureaux). L’industrie est artisanale et la production est concentrée dans des ateliers appartenant à des familles et de petites usines, dont certaines opèrent illégalement. La production et la vente de pièces pyrotechniques, relativement informelles, rendent ce lieu dangereux avec un certain nombre d'accidents notables de la fin des années 1990 à nos jours, malgré les tentatives de réglementation en matière de sécurité. Histoire Bien que les cultures préhispaniques sachent manipuler le feu à des fins cérémoniales, la popularité des feux d'artifice arrive au Mexique à la fin du . Les feux d’artifice sont inventés par les Chinois et à des fins cérémonielles et religieuses, leur principale utilisation au Mexique. La production et l'utilisation de feux d'artifice parviennent au Mexique via l'Europe. L'ingrédient principal, la poudre à canon, vient avec les conquistadors mais à des fins militaires. Tultepec est le premier endroit où commence la fabrication de la poudre à canon. À l'époque coloniale, elle est distincte de Mexico et possède du salpêtre en abondance, à partir duquel les produits chimiques peuvent être extraits. La popularité des feux d'artifice commence au , après l'indépendance du Mexique La loi fédérale (armes, munitions, explosifs et pyrotechnie), relative à la fabrication, à la vente et à la manipulation de feux d’artifice, vise à réduire les risques liés à ce produit. Cette loi promulguée en 1963 est davantage destinée aux militaires. Les efforts récents pour mettre à jour la loi incluent la formation et d'autres mesures pour étendre le statut juridique aux fabricants en situation irrégulière. Les feux d'artifice sont une animation de base des fêtes religieuses mexicaines, en particulier celles des saints patrons. Les célébrations entourant l’indépendance du Mexique commencent toutefois par la reconstitution du cri du père Hidalgo contre les Espagnols à , le . Les feux d’artifice sont allumés juste après la reconstitution. Fabrication En Amérique latine, le Mexique est le deuxième producteur d'art pyrotechnique après le Brésil. Au Mexique, plus de fabriquent des feux d'artifice, dont beaucoup illégalement, le faisant dans du seul État de Mexico. Beaucoup de ces artisans sont situés dans les municipalités d'Almoloya de Juárez, d'Axapusco, de Tianguistenco, de Tenancingo, de Tenango del Valle, d'Otumba, de Capulhuac, de Coyotepec, de Tecámac et de Texcoco, ainsi que de la communauté de . Cependant, le plus gros producteur est la municipalité de Tultepec, située juste au nord de Mexico, qui représente 25% de l’ensemble des feux d’artifice produits au Mexique. Il existe des entreprises pyrotechniques internationalement reconnues au Mexique. Lux Pirotecnia est situé à Zumpango, connu pour ses méthodes de fabrication rigoureuses et sa participation à des compétitions internationales en Europe et au Canada. Pirotecnia Reyes remporte la première place au Concours international de feux d'artifice de Hanovre en Allemagne, en 2011 avec un feu d'artifice et un spectacle musical d'une durée de . Cette entreprise est fondée par Manues Reyes Arias, lauréat du Premio Nacional de Ciencias y Artes (prix national des sciences et arts) en 1996. La plupart des artisans sont formés par leurs aînés sans formation ni diplôme en chimie ou en ingénierie, bien que certains aient également une formation à l'étranger pour promouvoir les produits. Les artisans achètent des ingrédients dans les magasins de produits chimiques locaux et sur les marchés locaux, qui sont ensuite mélangés à la main dans des ateliers familiaux et des petites usines. Tout est fabriqué à partir de zéro, avec des cartouches en ruban d'emballage et du papier brouillon achetés en vrac. Souvent, les feux d'artifice ne sont emballés que dans de vieux sacs de farine de maïs et de nourriture pour chiens. La plupart des artisans ne sont pas des employés officiels, mais travaillent plutôt dans l'entreprise familiale. Les formules utilisées par chaque atelier sont individuelles et gardées par les familles qui les possèdent. Les ateliers sont classés avec les meilleurs artisans recevant le titre de « maestro » (maître), capables de produire des produits élaborés tels que des , , et des spectacles synchronisés de pyrotechnie, de lumières et de musique. Les feux d'artifice mexicains comprennent un certain nombre d'objets explosifs tels que les « » (roches, sortes de pétards puissants), les « » (vampires), les « » (sabots de mules) et les « » (grandes roquettes) tout comme des cadres pyrotechniques appelés « » (châteaux), « » (petits taureaux), « » (petits paniers) et « ». Les sont généralement de grands cadres en bois recouverts de fusees éclairantes pouvant coûter entre et mexicains (entre 937 et en 2019) en fonction de la taille et de la complexité. Ceux-ci sont le plus souvent faits pour honorer les saints protecteurs ou les héros patriotes du Mexique. Les sont des montures plus petites en forme de taureau, conçues pour être portées par une personne lorsqu'elles sont allumées, pourchassant les passants dans la rue pendant les festivals. Une version du est conçue pour libérer des bonbons une fois lancés, ce qui a pour effet d’avoir des enfants qui courent vers lui au lieu de s’enfuir. Les Toritos coutent environ mexicains ( en 2019) sur le marché. Le produit le plus élaboré s'appelle un « » (pyro-musical), un ensemble de feux d'artifice synchronisés avec de la musique et parfois des lumières, avec un prix commercial moyen d'environ mexicains ( en 2019) la minute, d'une durée d'environ quatorze minutes. Tultepec La plupart des feux d'artifice au Mexique sont produits dans l'État de Mexico, en particulier la municipalité de Tultepec, située juste au nord de Mexico, qui s'est déclarée la « capitale pyrotechnique du Mexique ». Cette région a une tradition de deux cent ans de fabrication de feux d'artifice avec environ 65% de la population de la municipalité impliquée directement ou indirectement dans la production de feux d'artifice. À Tultepec, ils sont tous fabriqués à la main, y compris la décoration et l'emballage, la plupart du temps dans de petites usines ou ateliers produisant de tout, des petits pétards aux obus de douze pouces destinés aux spectacles professionnels. Tultepec est également l'un des principaux fournisseurs d'ingrédients nécessaires à la fabrication de feux d'artifice. La plupart des fabriques de la municipalité sont concentrés dans une zone appelée zone pyrotechnique de La Saucera, située à l'extérieur de la ville de Tultepec, près des communautés de Xahuento et de Lomas. À l'origine, toute la production de feux d'artifice est dispersée autour de la municipalité, mais après l' explosion et l'incendie de feux d'artifice sur le à Mexico en 1988, les autorités décident de forcer les artisans à s'installer dans un secteur éloigné du secteur résidentiel. avec des précautions de sécurité telles que des entrepôts spéciaux pour les produits finis et le stockage de produits chimiques. Le marché le plus important de feux d'artifice au Mexique de l'État du Mexique, le est construit par l'État qui dépense neuf millions de pesos ( en 2019) pour la construction de 300 stands. Cependant, ce marché subit des explosions majeures en 2005 et 2006, réduisant la plupart des étals en ruine à ces deux occasions. Le marché est également affecté par des problèmes de réglementation concernant la capacité de stockage et de vente sur le marché, ainsi que le harcèlement des clients quittant le marché par la police. Cela conduit à une réduction de 50% du volume des ventes, les ventes se déplaçant vers d'autres points, souvent clandestins, dans la municipalité. La Festival national de la pyrotechnie (Festival national de la pyrotechnie) a lieu chaque année au mois de mars à Tultepec, mettant en vedette un concours national de . La plupart des gens qui assistent à l’événement vont au concours pyro-musical, qui attire environ . Il y a aussi des compétitions pour les . Danger L’industrie est dangereuse, principalement en raison de l’application insuffisante des lois et règlements de sécurité en vigueur et du manque de formation professionnelle. Une peinture murale de Tultepec montre des habitants de la ville avec des mains manquantes, des barils de poudre et des . Dans l’État de Mexico, environ fabriquent des feux d’artifice de manière illégale, sans formation ni installations appropriées et sans l’autorisation des autorités. Selon l' (institut mexicain de la pyrotechnie), la raison principale en est que leur fabrication se fait principalement dans les familles, plutôt que dans les usines. La plupart des accidents ont lieu à Tultepec, avec dans la municipalité rien qu'en 2002, avec un total de douze morts et des dizaines de blessés. En 2011, il y a quatorze explosions à La Saucera, dont aucune n'est fatale, et une dans un magasin clandestin qui fait quatre morts. Il y a de nombreux accidents notables liés à la fabrication et à la vente de feux d'artifice au Mexique. En 1998, une explosion dans un atelier du quartier Barrio de San Agustín à Tultepec touche plus de cent maisons et tue dix voisins. En 1999, une explosion à Celaya fait et . En 2003, une explosion se produit au marché Miguel Hidalgo de Veracruz. Elle débute dans un entrepôt clandestin de feux d'artifice, faisant , et . En 2006, une explosion sur le marché de San Pablito est attribuée à un produit appelé « » (allumette), qui consiste en un bâtonnet coloré avec des produits chimiques aux deux extrémités, produisant des étincelles lors du grattage sur une surface. Cela conduit à une interdiction d'un an pour le produit afin que sa sécurité puisse être réévaluée. Le dernier accident majeur à Tultepec est en 2016 lors d' une importante explosion de feux d'artifice à San Pablito tuant au moins . Ventes Au Mexique, les feux d'artifice, en particulier les grosses roquettes appelées « » (fusées), sont une animation de base des fêtes patronales. Les fêtes religieuses, même dans les plus petites villes, ont des feux d'artifice qui peuvent inclure des images du saint patron sur un cadre décrit dans des pièces pyrotechniques. Cela est particulièrement vrai pour les grands lieux de pèlerinage tels que celui de . Le jour le plus important des ventes de feux d'artifice est le jour de l'indépendance du Mexique. Lors de la célébration du sur le Zocalo ou la place principale de la ville de Mexico, plus de composent le spectacle multimédia qui commence par une reconstitution de l’appel des troupes lancé par le père Miguel Hidalgo à le . Il existe trois marchés spécialisés dans les feux d'artifice, San Pablito à Tultepec, à Chimalhuacán et à Zumpango, San Pablito étant le plus important du pays. Les ventes nationales de pièces pyrotechniques varient entre et mexicains (entre et en 2019) par an. Seules mexicaines exportent à l'étranger, principalement parce que les autres ne respectent pas les normes en matière de feux d'artifice définies par les États-Unis, le principal marché international le plus proche. Les feux d'artifice mexicains ont tendance à être plus puissants que ceux fabriqués en série en Chine, qui représentent la majeure partie des ventes légales aux États-Unis, ce qui tente de nombreux Américains d'essayer de les faire traverser la frontière pour les célébrations du 4 juillet. La pyrotechnie mexicaine est principalement promue par l' de l'État de Mexico, qui parraine des événements tels que des expositions d'art sur le thème de la pyrotechnie et des spectacles de marionnettes sur la sécurité des feux d'artifice pour les enfants. Références Économie au Mexique Art au Mexique Feu d'artifice Artisanat au Mexique
Thomas-Marie Royou
Thomas-Marie Royou, né le et mort le , connu sous le nom d’abbé Royou, est un professeur de philosophie qui s'illustra comme journaliste. Biographie Il est connu avant la Révolution française comme adversaire du parti philosophique au sein de l'Année littéraire dirigé par Élie Fréron, dont il est le beau-frère. En 1776, au décès de son beau-frère Elie Fréron, il prend en main la direction de l'Année Littéraire, que son neveu Louis-Marie Stanislas Fréron trop jeune ne pouvait assurer. L'abbé Royou fut journaliste au Journal de Monsieur dont l'Académie obtint la suppression, en 1783, pour un compte-rendu de séance irrespectueux. À la Révolution, en 1790, avec Galart de Montjoie, Julien Louis Geoffroy et Jacques Corentin Royou, son frère, il fonde L'Ami du roi, un organe ultraroyaliste – sans doute le plus important. Il y écrit des articles très appréciés dans les milieux contre-révolutionnaires. Le , un décret supprime l'Ami du roi ; l'abbé Royou est accusé d'abus de liberté de presse et traduit devant la Haute Cour. Malade, l'abbé se cache et meurt peu après. Il est le frère de l'historien Jacques-Corentin Royou. Publications Le monde de verre réduit en poudre ou Analyse et réfutation des Époques de la nature de celle de M. le comte de Buffon, Paris, 1780 Étrennes aux beaux-esprits, 1786 Notes et références Voir aussi Bibliographie Harvey Chisick, The Production, Distribution Readership of a Conservative Journal of the Early French Revolution : The Ami du Roi of the Abbé Royou, Philadelphie, American Philosophical Society, 1992 Liens externes Naissance en janvier 1743 Décès en juin 1792 Prêtre catholique français du XVIIIe siècle Journaliste de la Révolution française Journaliste français du XVIIIe siècle Décès à 49 ans
Charles Lamarque-Cando
Charles Lamarque-Cando, né le à Onard (Landes) et mort le à Mont-de-Marsan (Landes), est un homme politique français. Biographie Son père est agriculteur, et a été maire d'Onard. Sa mère est institutrice. Après des études à l'Ecole normale d'instituteurs de Mont-de-Marsan, Charles Lamarque-Cando enseigne dans les écoles françaises de San Sébastien, en Espagne, puis à Aire-sur-Adour, dans les Landes. Il connaît y ses premiers engagements politiques, militant simultanément à la Ligue des droits de l'homme et à la SFIO. Très attaché à la laïcité, il est aussi secrétaire fédéral du syndicat national des instituteurs. Charles Lamarque-Cando se tourne plus activement vers l'action politique au lendemain de la manifestation antiparlementaire de droite du . Il organise, dès le , un meeting de protestation à Mont-de-Marsan, et crée, à Rochefort, une section locale du Comité de vigilance des intellectuels antifascistes. Remarqué pour la vigueur de ses convictions et son habileté dans les joutes oratoires, Charles Lamarque-Cando rejoint la commission exécutive de la fédération socialiste des Landes, dont il devient, à partir de , le secrétaire fédéral. Détail des fonctions et des mandats Mandats parlementaires - : Député des Landes - : Député des Landes - : Député des Landes - : Député des Landes - : Député des Landes - : Député de la des Landes - : Député de la des Landes Mandats municipaux - : Maire de Mont-de-Marsan Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste des députés des Landes Première circonscription des Landes Liste des maires de Mont-de-Marsan Lien externe Député des Landes Maire de Mont-de-Marsan Membre de l'Assemblée constituante de 1945 Membre de l'Assemblée constituante de 1946 Décès à Mont-de-Marsan Décès en novembre 1989 Décès à 88 ans Naissance dans les Landes Naissance en janvier 1901 Président du conseil général des Landes
IHM (homonymie)
IHM est un sigle qui peut désigner : interfaces homme-machine, les moyens et outils mis en œuvre afin qu'un humain puisse contrôler et communiquer avec une machine ; , une organisation professionnelle au Royaume-Uni, pour les cadres des secteurs de la santé et de l'aide sociale ; Sisters, Servants of the Immaculate Heart of Mary, un institut religieux catholique de sœurs.